ANTIBIOTHERAPIE CHEZ LE PATIENT DIALYSE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ANTIBIOTHERAPIE CHEZ LE PATIENT DIALYSE"

Transcription

1 ANTIBIOTHERAPIE CHEZ LE PATIENT DIALYSE 15ème réunion annuelle du Club des Jeunes Néphrologues Vendredi 20 mars 2015 Dr Blandine Aloy Service ICAR Service de Néphrologie Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, Paris

2 Liens d intérêts Le Service ICAR/SiteGPR a lié des partenariats industriels permettant de soutenir les activités du service: Roche Gilead Sciences Vifor Pharma Daiichi Sankyo Ipsen Pharma Principes et Définitions 1 : - Les liens d intérêts peuvent susciter des conflits d intérêts - Tout lien d intérêt ne constitue pas un conflit d intérêts 1 Haute Autorité de Santé. Guide des déclarations d intérêts et de gestion des conflits d intérêts. Juillet

3 Infectiologie et insuffisance rénale Classe thérapeutiques les plus consultées sur le SiteGPR en 2014 J-Anti-infectieux généraux à usage systémique 47% J- Antiinfectieux généraux à usage systémique N - Système nerveux A - Voies digestives et métaboliques M - Muscles et squelette C - Système cardiovasculaire Autres 3

4 Infectiologie et insuffisance rénale Adaptations posologiques en ligne : DCI les plus consultées par des néphrologues en 2014 Rang DCI 1 Pipéracilline/Tazobactam 2 Ofloxacine 3 Sulfaméthoxazole + Triméthoprime 4 Amoxicilline 5 Ciprofloxacine 6 Ceftriaxone 7 Imipenem + Cilastatine Les 10 DCI les plus consultées par les néphrologues sont des anti infectieux 8 Vancomycine 9 Amoxicilline + Clavulanate 10 Ceftazidime 4

5 Maladies infectieuses chez le patient IR 2 ème cause de décès chez les patients IRC t Rapport REIN 2012, Agence de Biomédecine 5

6 Médicaments et Dialyse Etude rétrospective n = prescriptions entre 2007 et 2010 Services de chirurgie et médecine + de 90% des dialysés ont reçu au moins un médicaments non adapté à leur fonction rénal! SolakY et al. Am J of ther

7 Médicaments et Dialyse SolakY et al. Am J of ther

8 Principales questions du néphrologue Administration à posologie usuelle ou adaptée? Administration en bolus ou administration prolongée? Administration avant ou après la séance? Dose de charge ou pas? Dosage plasmatique au pic ou résiduelles? 8

9 Administration à posologie usuelle ou adaptée? 9

10 Administration à posologie usuelle ou adaptée? A D M Quelques rappels (1) «Effet de l organisme sur le médicament» É A D M É bsorption istribution étabolisme limination (excrétion) 1) Launay-Vacher V, et al. Presse Med

11 Absorption chez le patient dialysé (1) Modifications du ph gastrique Circulation systémique Estomac Intestin de la perméabilité du métabolisme du métabolisme Veine cave inférieure Veines mésentériques Veine porte Foie Vancomycine per os pour infections à C. Difficile Normalement pas d absorption chez le patient normorénal, F =33% retrouvé chez un patient hémodialysé! (1) YamazakiS, et al.intj ClinPharmacolTher (2) Pettit N, et al. Pharmacotheray

12 Distribution chez le patient dialysé Compartiments périphériques du volume de distribution de la liaison aux protéines Doxycycline: diminution de la liaison aux protéines plasmatiques, augmentation de la fraction libre Benzylpénicilline: modification de la distribution à la BHE (chez le rat) HouinG et al. BritJ Clin Pharmac NaudJ et al. J Clin pharmacol

13 Métabolisme chez le patient dialysé du captage hépatique de l activité enzymatique 1)VanholderR, et al. Kidney Int ) Launay-Vacher V, et al. Presse Med

14 Erythromycine chez le patient dialysé Erythromycine : Chez le patient à fonction rénale normale : élimination urinaire minoritaire (5 à 15%), élimination principalement dans bile et fecès. Chez le patient IR : augmentation des concentrations plasmatiques. Diminution du captage hépatique et de la clairance hépatique. Conséquence : diminution de 25 à 50 % de la posologie chez le patient IR dont le DFG <15 ml/min Sun H. et al. Clin PharmacolTher

15 Erythromycine chez le patient dialysé Sun H. et al. Clin PharmacolTher

16 Elimination chez le patient dialysé de la filtration glomérulaire de la sécrétion tubulaire 1) Launay-Vacher V, et al. Presse Med de la réabsorption tubulaire 16

17 Doxycyclinechez le patient dialysé Doxycycline: Chez le patient à fonction rénale normale : élimination rénale sous forme active (40%) et hépatobiliaire. Chez le patient IR et dialysé: pas de modification significative de AUC et t1/2 : compensation de la diminution de l élimination urinaire par une augmentation de l élimination hépatobiliaire. Conséquences : pas de modifications de la posologie chez le patient IR et dialysé. HouinG et al. BritJ Clin Pharmac Jeffe JM et al. J Pharmacokinet Biopharm BarzaM et al. Am J HospParm

18 Administration à posologie usuelle ou adaptée? Il existe des modifications pharmacocinétiques chez le patient dialysé! A D M É bsorption istribution étabolisme limination Modifiés/altérés chez le patient IR des concentrations plasmatiques 1) Launay-Vacher V, et al. Presse Med

19 Conséquences chez le patient dialysé Surdosage : risque de toxicité Surdosage = surmortalité AMINOSIDES GLYCOPEPTIDES PENICILLINES FLUOROQUINOLONES Ototoxicité Néphrotoxicité(ClRR) Neurotoxicité Pas de toxicité dose-dépendante Sous-dosage : risque majeur d inefficacité Sous dosage = surmortalité Patient en état critique, réanimation 19

20 Administration à posologie usuelle ou adaptée? 20

21 Modalités d adaptation posologique chez le patient dialysé 3 méthodes Méthode de la dose Méthode de l intervalle Méthode mixte 1) Launay-Vacher V, et al. Presse Med

22 Adaptation de la posologie des antibiotiques Méthode de la Dose: de la dose unitaire et maintien de l intervalle Cas des ATB TEMPS-DEPENDANTS : Pénicillines et Glycopeptides Bactéricidie liée au temps de contact Méthode de l intervalle : de l intervalle entre 2 administrations Cas des ATB CONCENTRATION-DEPENDANTS : Aminosides et Fluoroquinolones Bactéricidie intense et rapide, liée au pic 22

23 Adaptation de la posologie des antibiotiques Méthode mixte : la dose unitaire et l intervalle entre 2 administrations Sulfaméthoxazole : médicament à élimination hépatique dont les métabolites sont éliminés par voie rénale: prolongement de l activité pharmacologique et/ou apparition d effets toxiques 23

24 Administration en bolus ou administration prolongée? 24

25 BOLUS OU ADMINISTRATION PROLONGEE? Antibiotiques TEMPS DEPENDANTS : Β lactamines et glycopeptides Antibiotiques CONCENTRATION DEPENDANTS : Aminosides et Fluoroquinololes Bactéricidielente, liée au temps de contact Temps de contact > CMI doit être le plus long possible EPA faible Bactéricidie rapide et intense V augmente avec C Efficacité pic-dépendant EPA important Perfusion prolongée Administration en bolus 25

26 Dosage plasmatique au pic ou aux résiduelles? 26

27 Dosage plasmatique des résiduelles ou du pic? Antibiotiques TEMPS DEPENDANTS : Β lactamines et glycopeptides Antibiotiques CONCENTRATION DEPENDANTS : Aminosides et Fluoroquinololes Dosage des résiduelles Dosage du pic Attention à l effet rebond après la séance de dialyse et à l adsorption sur la membrane Ex de la Vancomycine : sur les 3 6 heuressuivant la séance : rebonddes concentrations de 16 36% : phase de redistribution dosage plasmatique avant la séance suivante! Attention à la marge thérapeutique Aminosides : toxicité liée à l AUC 27 Vandecasteele SJ. Semin Dial 2011

28 Administration avant ou après la séance? 28

29 Antibiotiques en dialyse Administration avant ou après la séance? Elément de réponse : Le VD Rappel : Volume de distribution : Ensemble des compartiments anatomiques et virtuels dans lesquels les médicaments sont distribués. VD large (> 0,8 L/kg) Peu d influence de l EER Administration indifféremment avant ou après la séance Cas des ATB lipophiles : macrolides ; FQ (sauf lévoflo et ciproflo) ; tétracyclines ; chloramphénicol ; rifampicine Vdfaible : répartition du médicament dans le liquide extra-cellulaire, épuration par l EER, via le secteur vasculaire. Administration après la séance de dialyse Cas des ATB hydrophiles : βlactamines(sauf ceftriaxoneet oxacilline) ; Aztréonam; aminosides ; glycopeptides; daptomycine; linézolide 29

30 Dose de charge? 30

31 Antibiotiques en dialyse Dose de charge? AUSSI CONDITIONNEE PAR LE VD Médicaments lipophiles : pas de dose de charge car large diffusion tissulaire. Exception des FQ pour lesquelles on souhaite une forte Ctissulairerapidement Médicaments hydrophiles : Importance de la dose de charge pour atteindre rapidement une concentration sanguine efficace. Chez l IRC, du VD: possibilité d la dose de charge Lautrette A. Réanimation

32 Antibiotiques en dialyse Autres facteurs à prendre en compte : Le Poids moléculaire Ex. les glycopeptidesont un PM très élevé Importance de la technique : -Hémodialyse: échanges selon un gradient de concentration Impact sur les petites molécules en concentration élevée dans le sang - Hémofiltration: échanges selon un gradient de pression Impact sur les molécules de taille moyenne, indépendamment de la concentration Les glycopeptidesseront d avantage éliminés par une méthode convective (hémofiltation) que par diffusion (hémodialyse) La liaison aux protéines plasmatiques Médicament à forte liaison aux PP + hypoalbuminémie: risque +++ d épuration précoce 32

33 Adaptation de la posologie des antibiotiques Focus sur Vancomycine et Aminosides 33

34 Vancomycine et dialyse : état des connaissances Patient normorénal: Élimination majoritaire par le rein sous forme inchangée. Poso usuelle : 2g/j ou 30 mg/kg/j Chez l IR, diminution de la clairance corporelle totale : risque d accumulation et d apparition d EI dose-dépendant (troubles digestifs, neutropénie, ototoxicité et néphrotoxicité). Chez le patient HD : 20 à 30 mg/ kg en dose de charge, max 1500 mg puis 500 à 1000 mg en entretien en fonction des taux résiduels Administration après la séance (dialysable) Importance du suivi thérapeutique pharmacologique : Résiduelles avant la séance de dialyse : mg/l Zelenitsky SA, Clin Infect Dis 2012 Vandecasteele SJ. Antimicrob Chemother Vandecasteele SJ. Semin Dial 2011 Marquet P. STP

35 Vancomycine et dialyse : état des connaissances Zelenitsky SA, Clin Infect Dis 2012 Vandecasteele SJ. Semin Dial Dose charge liée au poids +++ -Administration en fin de séance 35

36 Vancomycine et dialyse : état des connaissances indosecalculator/ Vandecasteele SJ. Antimicrob Chemother

37 Aminosides et dialyse 37

38 Aminosides et dialyse Recommandations FDA : administration à dose réduite après la séance, DUJ (limite la toxicité rénale et auditive) Depuis plusieurs années, des études suggèrent la possibilité d une administration avant la séance (Sowinski CJASN 2008 ; Teigen J Clin Pharmacol 2006 ; Dang J Clin Pharmacol 2006 ; Kamel Mohamed CJASN 2007 ) Etude monocentrique prospective observationnelle française menée chez 10 patients : Genta6mg/kgsur30min,séance30minaprèsfindeperfusion. Cmax élevée(>20 mg/l): efficacité C24h > recommandations C48h<2mg/L AUC0-24h>recommandations(70to120mg h/l):toxicité Veinstein A. AAC 2013 BALANCE BENEFICE-RISQUE 38

39 Antibiothérapie chez le patient dialysé Administration à posologie usuelle ou à posologie adaptée Antibiotiques TEMPS DEPENDANTS : Β lactamines et glycopeptides Antibiotiques CONCENTRATION DEPENDANTS : Aminosides et Fluoroquinololes Perfusion prolongée Dosage des résiduelles Administration en bolus Dosage du pic ATB LIPOPHILES Fluoroquinolones; Macrolides ATB HYDROPHILES Pénicillines, Aminosides Vdlarge : Pas de dose de charge pas sûr! Administration avant ou après la séance Vdfaible : Dose de charge; Administration après la séance 39

40 Merci de votre attention Pour des réponses pratiques et rapides : 40

41 Quelles sont les affirmations vraies? 1. Seuls les médicaments à élimination urinaire majoritaire nécessitent une adaptation de posologie chez le patient dialysé. 2. L érythromycine, à élimination hépatobiliaire majoritaire, ne s adapte pas chez le dialysé. 3. La dialysanced un antibiotique dépend entre autre de son volume de distribution, de son poids moléculaire et de la méthode de dialyse. 4. Le dosage du pic plasmatique est recommandé lors d une prescription d aminosides. 5. Le dosage des résiduelles est recommandé lors d une prescription de vancomycine. 41

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?

Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)

Plus en détail

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie

Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie Laurent Bourguignon To cite this version: Laurent Bourguignon.

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

Intoxication par les barbituriques

Intoxication par les barbituriques Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

RELPAX. hydrobromure d élétriptan

RELPAX. hydrobromure d élétriptan RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

!! "#$%&$'()*!+'!),'(-(.$'()*!/&!012+3$,+&'(4! 53&6!7)*(')3(*68!+*!*9)*$')%)6(+!

!! #$%&$'()*!+'!),'(-(.$'()*!/&!012+3$,+&'(4! 53&6!7)*(')3(*68!+*!*9)*$')%)6(+! !"#$%&'#()*+%*,%"-$%**./01%*+%*234&54/#%*,%"-$%6748'4""%* * 9):4&(%5%"(*+%*+#&%/(#0"*10;#'(#

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC)

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Diatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile

Diatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Propriétés pharmacologiques, indications, posologies et modes d administration, surveillance du traitement

Propriétés pharmacologiques, indications, posologies et modes d administration, surveillance du traitement Mars 2011 Version intégrale de la MAP MISE AU POINT SUR LE BON USAGE DES AMINOSIDES ADMINISTRÉS PAR VOIE INJECTABLE : GENTAMICINE, TOBRAMYCINE, NÉTILMICINE, AMIKACINE Propriétés pharmacologiques, indications,

Plus en détail

PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE

PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765

Plus en détail

: Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en. réanimation (adulte et pédiatrique)

: Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en. réanimation (adulte et pédiatrique) Anesth Reanim. 2015; //: /// en ligne sur / on line on www.em-consulte.com/revue/anrea www.sciencedirect.com Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en réanimation (adulte

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

Point d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir

Point d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,

Plus en détail

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,

Plus en détail

Conflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine

Conflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles

Plus en détail

En considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :

En considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament : Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L

Plus en détail

Nouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1

Nouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine

Plus en détail

PSDP et usage des pénicillines - ESAC

PSDP et usage des pénicillines - ESAC Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux

Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits

Plus en détail

Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )

Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du

Plus en détail

INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne

INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

LE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS

LE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées

Plus en détail

Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes

Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen

Plus en détail

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

journées chalonnaises de la thrombose

journées chalonnaises de la thrombose Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations

Plus en détail

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014 UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

Données de Pharmacovigilance et les NOACs. Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr

Données de Pharmacovigilance et les NOACs. Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr Données de Pharmacovigilance et les NOACs Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr Dabigatran (Pradaxa) Rivaroxaban (Xarelto) Apixaban (Eliquis ) Effet Attendu (A) Effet Inattendu (B) Hémorragie - Hépatotoxicité

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

French Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.

French Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:

Plus en détail

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique

Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants

Plus en détail

Aspects pratiques du traitement de la MTEV

Aspects pratiques du traitement de la MTEV JFA Aspects pratiques du traitement de la MTEV 1 er février 2013 Isabelle Mahé Hôpital Louis Mourier Médecine Interne APHP, Université Paris 7 Conflits d intérêt Conseil en développement Daiichi Sankyo,

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE

ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE 1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

Prise en charge des hémorragies par les NACO et autres protocoles

Prise en charge des hémorragies par les NACO et autres protocoles Prise en charge des hémorragies par les NACO et autres protocoles de SU en évolution Objectifs Comprendre que les NACO sont largement utilisés en pratique clinique Discuter des protocoles nouveaux et en

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux

Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

Les NOACs en situation de crise

Les NOACs en situation de crise Les NOACs en situation de crise Vanderhofstadt Quentin Stagiaire en médecine interne (CHHF) Février 2013 Supervision : Dr Guillen 1 Les NOACs en situation de crise Pourquoi un staff à ce sujet R/ de plus

Plus en détail

LES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond

LES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants

Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

Cibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.

Cibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa. Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques

Nouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques Nouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques PY Cordier Service de Réanimation HIA Laveran - Marseille Février 2014 Introduction Anticoagulants oraux : historique Antivitamines K

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Information pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)

Information pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL) Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information

Plus en détail

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques

Plus en détail

RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE

RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération

Plus en détail

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

AVK AVEC ASSISTANCE! ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase

AVK AVEC ASSISTANCE! ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase Pr. I. Elalamy Service d Hématologie Biologique Hôpital Tenon ER2 UPMC Paris Clot progression driven by blood borne hypercoagulability

Plus en détail

Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux

Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Docteur Marie-Josèphe JEAN-PASTOR Centre Régional Pharmacovigilance Marseille-Provence-Corse Hôpital Sainte Marguerite AP-HM Tél :

Plus en détail

Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009

Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

DOCUMENTATION TECHNIQUE

DOCUMENTATION TECHNIQUE DOCUMENTATION TECHNIQUE ETUDE DE LA SENSIBILITE AUX ANTIMICROBIENS Lycée des métiers du tertiaire, de la santé et du social - Louise Michel - Grenoble ANTIBIOGRAMME EN MILIEU GELOSE COMITE DE L ANTIBIOGRAMME

Plus en détail

Neutropénies fébriles

Neutropénies fébriles Neutropénies fébriles Dr Florence ADER SMIT Hôpital de la Croix-Rousse HCL Inserm 1111 Centre de Recherche en Infectiologie (CIRI) UCBL1 DUCIV LYON 2014-2015 florence.ader@chu-lyon.fr Neutropénie Grade

Plus en détail

MONOGRAPHIE DE PRODUIT

MONOGRAPHIE DE PRODUIT MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr ESBRIET Capsules de pirfénidone 267 mg Antifibrosant et anti-inflammatoire InterMune Canada, Inc. 612-1275 North Service Road West Oakville, ON L6M 3G4 Date de révision : 18 août

Plus en détail

Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires

Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Brest RENNES Orléans Angers Nantes TOURS Poitiers du Grand Ouest Octobre 2011 Présentation du CRIOGO Les réunions de concertation pluridisciplinaires

Plus en détail

L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013

L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants en 2012

Les nouveaux anticoagulants en 2012 Les nouveaux anticoagulants en 2012 Actualités thérapeutiques 1 er décembre 2012 Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne Hôtel-Dieu CHU de Nantes jerome.connault@chu-nantes.fr Pourquoi de nouveaux

Plus en détail

COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE

COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE COMITE DE L ANTIBIOGAMME DE LA SOCIETE FANCAISE DE MICOBIOLOGIE ecommandations 2012 (Edition de Janvier 2012) Coordonnateur : Pr C.J. SOUSSY Centre Hospitalier Universitaire Henri Mondor 94010 Créteil

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?

Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur

Plus en détail