industriels majeurs. Que faire en cas d accident?
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- Valentin Pellerin
- il y a 8 ans
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1 Guide d information et de prévention Vous habitez dans une zone à risques à conserver! industriels majeurs. Que faire en cas d accident? Etablissements concernés : BASF Agri-Production COATEX PYRAGRIC INDUSTRIE SANOFI AVENTIS /////////////////////////////// Préfecture du Rhône
2 Guide d information et de prévention Vous habitez (ou travaillez) dans une zone à risques. Les industriels, l Etat et les collectivités agissent au quotidien pour assurer votre sécurité. Des mesures sont prises régulièrement pour limiter les risques. Mais en cas d accident, vous devrez réagir vite et bien! Les consignes préconisées sont simples à mémoriser et faciles à appliquer. Elles peuvent aussi être l occasion d une discussion sur le sujet en groupe ou en famille S informer, c est se protéger. risques majeurs, quatre voies d'action : 1 Prévenir les risques à la source. La réduction du risque à la source constitue l axe prioritaire de la politique globale de prévention. Dès le choix d implantation d un site industriel, des études de dangers sont réalisées par l établissement afin de mettre en évidence les risques potentiels et les actions possibles : réduction des volumes de stockage, recherche de matières moins dangereuses Chaque entreprise appuie sa prévention sur un Système de Gestion de la Sécurité (SGS). Le Préfet, sur proposition de la Direction Régionale de l Industrie, de la Recherche et de l Environnement (DRIRE), prescrit des mesures de sécurité et fait procéder à des inspections régulières. 2 Maîtriser l urbanisation. Afin de limiter la densité de population autour des sites industriels à risques, les documents d urbanisme intègrent des restrictions de construction, que ce soit le Plan Local d Urbanisme (PLU) ou les Plans de Prévention des Risques Technologiques (PPRT)institués par la loi Risques de juillet 2003 et en cours d élaboration. 3 Planifier. En cas d accident à l intérieur d un site industriel, le Plan d Opération Interne (POI) est mis en œuvre. Etabli par l exploitant, il définit les mesures d organisation, les méthodes d intervention et les moyens de protection du personnel. En cas d accident dont les effets peuvent déborder hors de l enceinte de l entreprise, c est le Plan Particulier d Intervention (PPI), volet du dispositif Orsec, qui s applique sous l égide du Préfet. Enfin, le Plan Communal de Sauvegarde (PCS), obligatoire pour les communes concernées par un PPI, organise l assistance et le soutien aux populations. 4 Vous informer. Toute personne susceptible d être exposée à des risques industriels majeurs doit être informée. La loi Risques a notamment institué les Comités Locaux d Information et de Concertation (Clic). Le présent document vous fournit toutes les informations nécessaires et vous incite à mémoriser les bons réflexes à adopter en cas d accident. Un accident peut arriver Un accident industriel majeur, c est quoi? c est un accident très grave, se produisant dans un établissement industriel ou nucléaire et dont les conséquences dépassent les limites du site. Selon la nature des produits et les quantités impliquées, l accident peut prendre la forme d un incendie, d une explosion ou d une émission de produits toxiques ou radioactifs. Ses conséquences peuvent affecter les personnes, l environnement ou les biens. Etablissement Seveso : des exigences spécifiques La directive européenne Seveso impose aux Etats membres de l Union Européenne la mise en place d une législation renforcée en matière de sécurité à l égard des établissements dont l activité peut présenter un risque industriel majeur. Les entreprises classées Seveso seuil haut doivent informer les populations riveraines. Comment vous préparer? informez-vous sur les risques auxquels vous êtes soumis. Les données nécessaires sont regroupées dans ce document : la liste des entreprises concernées, les risques associés Pour plus d informations, consultez le site internet Mémorisez les bons réflexes à adopter en cas d accident pour réagir de la meilleure manière possible. Le mot du préfet Priorité à la prévention La priorité en matière de risques majeurs, c est d éviter que l accident ne survienne, ou de faire en sorte qu il reste d ampleur limitée, en menant une politique de prévention. Pour cela, l action à conduire tant par les industriels que par l Etat consiste avant tout à réduire les risques à la source, c est à dire au plus près des installations. Beaucoup de progrès ont déjà été réalisés, néanmoins la maîtrise des risques doit s inscrire dans une amélioration continue. Gérer la crise Si malgré tout, un accident survenait, susceptible d avoir des effets au-delà de l enceinte de l établissement industriel, le préfet déclencherait le Plan Particulier d Intervention (PPI). Celui-ci est préparé en amont par les services de la protection civile et les pompiers à partir des informations fournies par l exploitant dans son étude s. Le PPI est un document opérationnel, qui recense les mesures et les moyens pouvant être mis en oeuvre, qui planifie les secours et organise l intervention des services compétents en cas de crise. Sachez aussi que des exercices réguliers, souvent grandeur nature, sont organisés pour tester, améliorer le dispositif et être prêt à faire face. Être acteur à son niveau Les informations contenues dans cette brochure permettent de mieux connaître les risques mais aussi les acteurs qui se mobilisent pour prévenir l accident ou en réduire les conséquences. Elle vous informe le plus précisément et simplement possible des consignes à respecter en cas d alerte. Une chose est sûre, la sécurité est l affaire de tous. Je vous remercie de l attention que vous porterez aux informations et consignes qui vous sont données. Le préfet du Rhône 2 3
3 Guide d information et de prévention Dès les premiers instants, vous devez avoir les bons réflexes. Comment serez-vous alerté? CE QU IL FAUT FAIRE... ET NE PAS FAIRE Le signal d alerte en cas de risque industriel est identique partout en France. Il avertit d un danger imminent et indique que vous devez prendre les mesures de protection nécessaires. Dès que vous l entendez, agissez... Composé de trois cycles d 1 minute et 41 secondes séparées par un intervalle de 5 secondes, il est modulé, montant puis descendant. Les entreprises ou plateformes industrielles qui font l objet de cette campagne d information testent leur sirène le premier mercredi de chaque mois à midi. Saisissez cette occasion pour vous familiariser avec le son de la sirène! Et si vous n entendez pas la sirène... Le signal sonore émis n est pas toujours audible sur la totalité du périmètre d application du plan de secours. Ce peut être le cas si vous vous trouvez dans une zone éloignée de la source, dans laquelle l alerte peut être différée et les moyens de secours mis en œuvre de manière progressive et graduée ; des dispositifs complémentaires seront alors utilisés pour vous alerter : autres sirènes proches, appels téléphoniques automatisés, haut-parleurs fixes ou mobiles... Ceci est un résumé des consignes. Pour plus de détails, reportez-vous au dos de cette brochure. Le préfet, le maire et l industriel mettent en œuvre les moyens d information disponibles pour que vous ayez les bons réflexes. Fin d'alerte 30 secondes La fin de l alerte est signalée par un son continu qui dure 30 secondes. Ce signal vous indique que le danger est passé et que les consignes sont levées. Sortez ensuite de votre lieu de mise à l abri et pensez à bien aérer les locaux. Comme pour le début d alerte, dans les zones où la sirène n est pas audible, vous serez prévenu par d autres moyens. Des consignes sonores à votre disposition Pour vous préparer, vous pouvez écouter les sirènes d alerte et de fin d alerte ainsi que les consignes en appelant le numéro vert ci-dessous (appel gratuit) Attention, ce numéro n est pas un répondeur de crise : n appelez pas en cas d alerte réelle. 4 5
4 Guide d information Le bassin Lyon Nord. et de prévention Campagne bons réflexes bassins en Rhône-Alpes BOURG-EN-BRESSE ANNECY 69 LYON 42ST-ETIENNE 38 CHAMBERY 73 GRENOBLE VALENCE 07 PRIVAS Information générale sur les risques Effets et phénomènes dangereux Conséquences sur les personnes Effets thermiques INCENDIE Combustion de liquides ou de solides - Explosion de gaz - Boil over - BLEVE Transmission de la chaleur par convection, radiation ou conduction Brûlures aux 1er, 2e et 3e degrés Effets toxiques EMISSION D UNE SUBSTANCE toxique Fuite de liquide avec vaporisation - Fuite de gaz - Incendie avec dégagement de produits toxiques Déplacement du nuage toxique en fonction de la densité du gaz et des conditions météorologiques Dépend de la toxicité intrinsèque de la substance et de la dose reçue, de irritant (voie respiratoire ou cutanée), nocif voire mortel Effets de surpression EXPLOSION Eclatement de réservoir BLEVE - Explosion de gaz ou de solides Propagation à grande vitesse d une onde de pression (onde de choc) 3 BLEVE : détente explosive d un gaz liquéfié chauffé Boil-over : boule de feu et projection de liquide enflammé 1000 m Commune d implantation Entreprise Principaux dangers Périmètre d information BASF AGRI Genay 300 m COATEX Genay m 3 PYRAGRIC INDUSTRIE Rillieux-la-Pape sanofi AVENTIS Neuville-sur-Saône PRODUCTION Inflammable Lésions internes aux poumons et aux tympans et blessures provenant de la projection de débris Toxique Comburant m m Dangereux pour l environnement Communes concernées Page 8 Genay, Saint-Germain-au-Mont-d Or Curis-au-Mont-d Or, Genay, Neuville-sur-Saône, Saint-Germain-au-Mont-d Or, Quincieux, Albigny-sur-Saône, Massieux (01) 10 Rillieux-la-Pape 12 Neuville-sur-Saône, Genay, Curis-au-Mont-d Or, Saint-Germain-au-Mont-d Or, Albigny-sur-Saône 14 Explosif Nocif Radioactif 7
5 BASF Agri-Production Historique de l établissement 1976 : construction du site. Le site est implanté par Agrishell pour subvenir aux besoins du marché français en produits phytosanitaires. L activité de stockage-distribution est mise en place en parallèle : le site est étendu pour les différentes activités : Shell cède ses activités agropharmaceutiques à American Cyanamid. L usine comporte 3 unités de formulation-conditionnement d insecticides et de fongicides sous forme liquide. La première unité industrielle européenne fabricant des insecticides sous forme de comprimé effervescent est mise en service en En 2000, BASF acquiert les activités agropharmaceutiques issues d American Home Products. ZI Lyon Nord Rue Jacquard BP Genay Cedex Eléments fournis par le directeur Tél Effectif moyen : 95 personnes Thierry Coez basf.agri@basf.com BASF Agri-Production Présentation de l établissement et de ses activités Le site de BASF Agri-Production Genay est spécialisé dans la formulation de produits agropharmaceutiques insecticides, fongicides et traitement des semences. C est un centre de stockage et de distribution de produits de protection des plantes. Aucune activité de synthèse chimique n est réalisée à Genay. Près de 10 millions d euros d investissements ont été réalisés pour améliorer la sécurité des installations, la protection de l environnement, la prévention des accidents, ainsi que la performance économique du site. Réglementation et dispositions auxquelles est soumis l établissement L arrêté préfectoral du 13 août 1996 modifié réglemente les activités du site. L étude a été mise à jour en Moyens de secours disponibles Moyens humains Le personnel est formé à la manipulation d extincteurs et constitue l équipe de Première Intervention. Une équipe de Seconde Intervention Usine est capable d intervenir sur un sinistre avant l arrivée des pompiers extérieurs. Système d astreinte technique et pour l encadrement de l usine. Moyens matériels 2 principaux types de systèmes de protection : Système sprinkler, plus 300 extincteurs, 50 Robinets d Incendie Armés. Centralisation des alarmes incendie au Poste de Garde et en salle de contrôle. Murs et portes coupe-feu 2 heures. Usine sur rétention avec un bassin de m 3 pouvant recueillir les eaux d extinction incendie. Information sur les risques & leurs effets Produits concernés 200 m Limite de commune Solvants : xylène, cyclohexanone, alcool amylique Matières actives et produits finis agropharmaceutiques Périmètre d information minimal. Il correspond à un scénario d incendie dans les magasins de stockage. Pictogrammes Caractéristiques Liquides inflammables Toxiques, dangereux pour l Environnement, Inflammables Mesures de réduction des risques à la source Les principales barrières de prévention, appliquées au site BASF Agri-Production, sont de plusieurs ordres : Des équipements dédiés à la sécurité intervenant soit de manière passive (rétentions, murs et portes coupe-feu, protection contre la foudre ), soit de manière active (dépoussiéreur, détection des fumées, protections incendie déluge et sprinkler, ) La formation du personnel et des consignes de sécurité : - les consignes de réception des produits par camion, intégrant les règles de circulation à suivre par les transporteurs sur site, les consignes de sécurité à appliquer pour les déchargements et la surveillance des déchargements, - des mesures visant à limiter voire interdire le risque de présence de source d inflammation (permis de feu lors de travaux à chaud, matériel électrique adapté au risque ) Un entretien planifié des équipements. Actions de communication volontaires chaque année, l usine organise une réunion avec les élus locaux. des visites de clients sont organisées plusieurs fois par an. une plaquette d information sur le site est disponible. Retrouvez ces informations sur le site Risques majeurs Incendie, explosion Incendie, Fumées toxiques 8 9
6 COATEX Historique de l établissement L entreprise a été fondée en 1970 pour l étude et la recherche d additifs rhéologiques. Fabrication industrielle sur le site de Genay en devenue filiale OMYA SA en 1992, le site a été doublé en c est une filiale d Arkema depuis Rue Ampère - ZI Lyon Nord Genay Tél Effectif moyen : 240 personnes Eléments fournis par Gabriel Hautier Directeur Technique Coatex@fr.oleane.com Présentation de l établissement et de ses activités Principales fabrications : polymères pour la mise en suspension de charges minérales, et épaississants pour peintures à l eau. Produits utilisés dans le papier, la peinture, le traitement d eau, la céramique, le béton, le forage, la cosmétique coatex Réglementation et dispositions auxquelles est soumis l établissement L arrêté préfectoral du 4/04/1989 modifié le 21/12/1997 et complété le 30/07/2007 réglemente les activités du site. Les différentes études ont été remises de manière échelonnée et sont mises à jour périodiquement. Information sur les risques & leurs effets Produits concernés Acide acrylique 1000 m Limite de commune Périmètre d information minimal. Il correspond à un scénario de polymérisation explosive d une cuve de stockage d acide acrylique. Pictogrammes Caractéristiques Dangereux pour l environnement Polymérisation explosive Risques majeurs Pollution, Explosion Mesures de réduction des risques à la source Stockage enterré des cuves d acide acrylique. Surveillance permanente et sécurisée des paramètres Importants Pour la Sécurité. Moyens de secours disponibles Moyens humains L équipe de secours est entraînée mensuellement. Elle comprend 20 personnes. Astreinte technique et d encadrement. Moyens matériels Véhicule de secours incendie, moyens fixes d extinction et cuvettes de rétention pour les stockages. Systèmes d alarme centralisé. Actions de communication volontaires Participation au programme Agenda 21 du Val de Saône. Présentation Développement Durable au public en Visites d enseignants, d étudiants et de scolaires sur demande. Retrouvez ces informations sur le site 10 11
7 PYRAGRIC INDUSTRIE Historique de l établissement 639 avenue de l hippodrome Rillieux-la-Pape Effectif moyen : 28 personnes Eléments fournis par Didier Andres, Soutien Technique et Développement Tél andresdidier@pyragric.fr L établissement est créé en 1935 par M. Gruaz. L établissement développe rapidement des activités industrielles de fabrication et de négoce de produits à usage de divertissement et s est spécialisé depuis plus de 30 ans dans les artifices de divertissement et les artifices à usage technique. Pyragric Industrie dispose aujourd hui des infrastructures de stockage et d expédition de produits de la classe 1 des matières dangereuses adéquates pour consolider sa position d acteur majeur dans le domaine de la pyrotechnie de divertissement. Présentation de l établissement et de ses activités Les activités de l établissement sont organisées autour de l importation, la réception sur site, le contrôle et le stockage puis l expédition de produits pyrotechniques (artifices de divertissement et artifices à usage technique). Réglementation et dispositions auxquelles est soumis l établissement L arrêté préfectoral du 19/05/51 modifié le 28/03/58 et le 20/12/01 réglemente les activités du site. L étude a été mise à jour en juin PYRAGRIC INDUSTRIE 200 m Limite de commune Périmètre d information minimal. Il correspond à un scénario d incendie d un dépôt de stockage d artifices de divertissement. Information sur les risques & leurs effets Produits concernés Pictogrammes Caractéristiques de danger Risques majeurs Produits pyrotechniques (*) Incendie Incendie Artifices de divertissement et artifices techniques ou à usage agricole Incendie Incendie, fumées toxiques (*) Produits ne présentant qu un danger mineur d incendie et de projections en cas de mise à feu ou d amorçage, au sens de l arrêté ministériel du 20 avril 2007 relatif aux établissements pyrotechniques. Moyens de secours disponibles Mesures de réduction des risques à la source Etude de sécurité pour la fermeture d un local de stockage et l ouverture d un nouveau dans l objectif de diminuer le nombre de personnes exposées aux effets d un phénomène accidentel potentiel. Réévaluation du flux de produits pyrotechniques au niveau du quai d expédition et révision des capacités de stockage des installations concernées dans l objectif de meilleures conditions d exploitation à ce niveau. Aménagements à l intérieur du site d aires de stationnement de véhicules de transport de produits pyrotechniques (dix véhicules) à destination ou en provenance de la voie publique conformément au nouvel arrêté ministériel de référence réglementant ces activités dans l objectif d améliorer la gestion du flux de véhicules de transport entrant sur le site. Moyens humains Service incendie interne formé (exercices incendie, exercices d évacuation, exercice POI annuel). Moyens matériels Matériel pour l extinction de feux (motopompe, réserve d eau de 350 m 3 ), appareils respiratoires isolants. Actions de communication volontaires Site internet de l entreprise en cours de construction. Retrouvez ces informations sur le site 12 13
8 SANOFI AVENTIS Historique de l établissement 1872 : création de l usine pour la fabrique de colorants, puis rachat par BASF : l activité s oriente sur la chimie minérale et organique. Elle se développe pour assurer la fabrication de produits à usage pharmaceutique et produits agro-vétérinaires (société Uclaf en 1953 qui deviendra Roussel-Uclaf) : le site devient Hoechst-Marion-Roussel. Il se reconvertit en site pharmaceutique et devient en 1999 un site Aventis, puis Sanofi Aventis en quai Armand Barbès Neuville-sur-Saône cedex Eléments fournis par la direction Effectif moyen : 850 personnes tél gilles.servarie@sanofi-aventis.com Présentation de l établissement et de ses activités Le site Sanofi Aventis de Neuville-sur-Saône est composé d un centre de développement des procédés (lien entre la recherche et la production), d une unité de lancement (production commerciale et de support au développement) et de deux départements de fabrication (60% de l activité sont dédiés à la fabrication de Corticostéroïdes) de principes actifs pharmaceutiques. Réglementation et dispositions auxquelles est soumis l établissement SANOFI AVENTIS L arrêté préfectoral du 21/12/1983 modifié réglemente les activités du site. Les différentes études de l établissement sont remises de manière échelonnée et mises à jour régulièrement. 500 m Limite de commune Information sur les risques & leurs effets Produits concernés Solvants organiques Pictogrammes Caractéristiques Liquides inflammables Risques majeurs Incendie, explosion Périmètre d information minimal. Il correspond à un scénario de dispersion d ammoniac gazeux provenant d une des centrales frigorifiques. Ammoniac Acide chlorhydrique Brome Chlore Gaz toxiques Nuage toxique Mesures de réduction des risques à la source En 2001, l arrêt de la fabrication d insecticide a réduit le stockage et l utilisation de différents produits toxiques. Les matières premières dangereuses de type cancérogènes sont exclues de toute nouvelle synthèse, des produits moins nocifs sont recherchés pour les remplacer. Les quantités de produits toxiques et de produits inflammables sont réduites. Moyens de secours disponibles Moyens humains L organisation interne repose sur 20 sapeurs-pompiers professionnels, un médecin du travail et un service infirmier, 50 équipiers de seconde intervention et 200 secouristes sauveteurs du travail recyclés. Environ 110 personnes sont mobilisables pour apporter leurs connaissances dans leurs domaines de compétences. Moyens matériels Le site est doté de systèmes d extinction automatiques en cas d incendie, ainsi que de puissants moyens mobiles permettant d intervenir efficacement sur les incendies et fuites de produits toxiques : véhicules d intervention, véhicule mousse, véhicule anti-pollution, réserve d émulseur, poste de commandement mobile Actions de communication volontaires Pour mieux faire connaître ses engagements en matière de sécurité et d environnement, le site élabore et anime différentes opérations de communication dans le cadre d un plan annuel : Mise à disposition d une plaquette institutionnelle et d un dépliant faits et chiffres. Information par voie de presse des exercices de sécurité et reportage TV ou dans la presse écrite sur le management de la sécurité et de l environnement. Participation à des manifestations locales. Opération Portes ouvertes (en moyenne tous les deux ans). Accueil d élèves en classe industrie tous les deux ans. Accueil d élus locaux et de professionnels du monde de la santé. Accueil d étudiants de la région lyonnaise. Retrouvez ces informations sur le site 14 15
9 Guide d information et de prévention Les bons réflexes : L alerte sonore : Sirène à son modulé durant 3 fois 1 minute 41 coupé par des espaces de 5 secondes. à faire Mettez vous à l'abri dans le bâtiment le plus proche. Fermez les portes, les volets et les fenêtres. Si vous le pouvez, calfeutrez les ouvertures et les aérations, arrêtez la ventilation et la climatisation, installez-vous dans une pièce sans fenêtre. Même si l'isolation n'est pas totale, ces réflexes sont les plus efficaces. En cas d'explosion, ces mesures vous permettent d'être protégé d'un éventuel nuage toxique. Ne restez pas à côté des vitres, vous risqueriez d'être atteint par des éclats de verre. Ecoutez la radio et respectez les consignes. France Bleu, France Inter ou France Info. Ces radios vous délivrent des informations sur la nature du risque, les consignes spécifiques et l évolution de la situation. D autres moyens peuvent être utilisés : véhicule d alerte, système téléphonique Vous trouverez ci-contre les fréquences radio de votre secteur. à ne pas faire N allez pas chercher vos enfants à l école. Ils seront mis en sécurité par leurs enseignants qui connaissent les consignes. N appelez pas pour ne pas encombrer le réseau téléphonique qui doit rester disponible pour les services de secours. Ecourtez la conversation si l appel ne vient pas des autorités. Consignes complémentaires Evitez toute flamme ou étincelle. Ne vous rendez pas sur les lieux de l'accident ou à proximité, vous mettriez votre vie en danger et gêneriez les secours. Fin d alerte : Sirène à son continu 30 secondes Vous pouvez sortir, pensez à aérer les locaux. France Inter : 101,1 ou 99,8 France Info : 105,4 ou 103,4 Cette brochure a été élaborée conjointement par les services de protection civile des préfectures, les industriels concernés et APORA (Association des entreprises de Rhône-Alpes pour l environnement industriel), la DRIRE (Direction Régionale de l industrie, de la Recherche et de l Environnement), le SPIRAL (Secrétariat Permanent pour la Prévention des Pollutions Industrielles et des Risques dans l Agglomération Lyonnaise) et le CIRIMI (Comité pour l Information sur les Risques Industriels Majeurs dans le département de l Isère). Papier issu de forêts gérées durablement - Impression : Fot - Photo de couv. : Olivier Allard - Cartographie : Michelin/Tele Atlas - Réalisation : RCS Lyon B FR Tirage : ex. - Automne B
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