L Elevage de porcs EN AGRICULTURE Biologique

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1 L Elevage de porcs EN AGRICULTURE Biologique AGROBIO 47 vous présente son guide technique sur l élevage de porcs en agriculture biologique destiné à tous les producteurs qui souhaitent connaître ce type de production. Loin d être exhaustif, il a pour but de donner des informations réglementaires et techniques de base sur ce type d élevage. Sans négliger les élevages en bâtiment, ce guide donne davantage de données sur les élevages de porcs plein air de taille réduite et des clés pour assurer une autonomie alimentaire. Sommaire Ces données sont basées sur de la bibliographie, des visites d éleveurs et des formations sur l élevage en porcs biologiques dispensées par Denis FRIC, vétérinaire homéopathe du GIE Zone Verte spécialisé notamment en élevage de porcs plein air. Bonne lecture! > Quelques repères > La réglementation bio > L alimentation des porcs > L habitat des porcs > La conduite sanitaire des porcs Edition Octobre 2011 Rédaction : AGROBIO 47 Association de développement de l Agriculture Biologique de Lot et Garonne

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3 ETAT DES LIEUX DE LA FILIERE FRANCAISE QUELQUES REPERES La production porcine biologique est encore très peu développée : elle ne représente que 0,2 % de la production porcine nationale en 2009 (production de 4000 tonnes de porcs bio en France sur une totalité de 2 millions de tonnes) : - 15 % des porcs biologiques produits sont issus d élevages de moins de 10 truies qui valorisent la totalité de leur production en vente directe - les 85 % restants sont commercialisés dans des filières organisées Dans le 1er cas, des races rustiques (porc gascon, porc basque, cul noir du Limousin,, ) peuvent être utilisées alors que dans le 2ème cas, les élevages sont plutôt des races «classiques» (Large White, Piétrain, Duroc, Landrace, ). Les éleveurs de porcs biologiques peuvent être des agriculteurs déjà convertis à l agriculture biologique (AB) qui décident de créer un atelier porc. Dans ce cas, il s agit le plus souvent d ateliers d engraissement, plus faciles à maîtriser techniquement qu un atelier de naissage, mais dont la pérennité est soumise à la disponibilité en porcelets biologiques. Des éleveurs de porcs conventionnels peuvent également décider de convertir leur élevage à l AB. Dans ce cas, les profils sont plus variés : élevages naisseurs, naisseurs engraisseurs ou engraisseurs, élevage en plein air, en chalets ou en bâtiments sur litière. LES FACTEURS CLES DE REUSSITE D UN ELEVAGE DE PORCS EN AB La réussite d un élevage de porcs biologiques repose sur divers points clés : - la maîtrise de la mortalité des porcelets - l équilibre nutritionnel - un point d alimentation en dur permettant d éviter le gaspillage - le lien au sol - la valorisation commerciale de son produit Dans tous les cas, même si l autonomie alimentaire n est plus obligatoire, elle demeure un facteur de rentabilité économique indéniable des élevages de porcs biologiques (particulièrement pour les systèmes en circuits longs).

4 LA REGLEMENTATION BIO Les principaux points sur la réglementation en élevage de porcs bio sont résumés ci-dessous ; cependant, pour une exhaustivité des informations, il faut se reporter au cahier des charges Européen de l agriculture biologique (règlement d application CE n 889/2008). L ACHAT D ANIMAUX Constitution d un troupeau Les porcelets non bio introduits sont élevés en bio dès leur sevrage, et doivent peser moins de 35 kg à leur entrée dans la ferme. Il n est possible d introduire des porcs non biologiques dans la ferme qu à des fins de reproduction et lorsque des porcs biologiques ne sont pas disponibles en nombre suffisant. Renouvellement d un troupeau Le renouvellement du troupeau se fait à partir d animaux bio. En cas d indisponibilité en porcs bio, sont autorisés : - l achat de verrats non bio - l achat de cochettes de renouvellement non bio dans la limite de 20 % du cheptel adulte Ce pourcentage pourra être porté à 40 %, dans le cas d une extension importante de l élevage ou d un changement de race, et sous réserve de l accord de l organisme certificateur. - l achat d animaux non bio en cas de mortalité élevée Ces animaux seront ensuite élevés en bio. LA REPRODUCTION LA DUREE DE CONVERSION Animaux La durée de conversion des animaux doit être de 6 mois minimum Terres La période de conversion normale de 2 ans peut être réduite à : - 6 mois si aucun produit interdit en bio n a été utilisé l année précédente - 1 an pour les pâturages et espaces de plein air utilisés par les porcs Seules la monte naturelle et l insémination artificielle sont autorisées. La synchronisation des chaleurs et le transfert d embryon sont interdits. LES EFFLUENTS D ELEVAGE La densité de peuplement est limitée et ne doit pas dépasser les 170 kg d azote/ an/ha de terres agricoles. Si la quantité d effluents dépasse ce seuil, l exploitation doit établir un accord de coopération écrit en vue de l épandage de ces effluents excédentaires uniquement avec d autres exploitations ou entreprises bio.

5 LE LOGEMENT Les surfaces minimales par animal et par type de logement ne sont pas redonnées ici, mais sont définies dans le cahier des charges de l AB. Espaces plein air Les animaux doivent disposer d aires d exercice, leur permettant de satisfaire leurs besoins naturels et de fouir. Ces aires peuvent être partiellement couvertes ; il est donc possible qu elles soient intégrées au bâtiment d élevage (bâtiment à 3 murs). Bâtiments Les truies sont maintenues en groupes, sauf en fin de gestation et pendant la période d allaitement. Il est interdit de maintenir les animaux attachés Les porcelets ne peuvent être gardés dans des cases à plancher en caillebotis ou des cages. Au minimum 50% des sols des bâtiments doivent être construits en matériau dur, c est-à-dire qu ils ne peuvent pas être constitués de caillebotis. L ALIMENTATION LES PRATIQUES D ELEVAGE Les mutilations en agriculture biologique ne doivent pas s effectuer systématiquement et doivent être autorisées par l autorité compétente. La seule opération autorisée en France sur les porcelets est la castration. Elle doit s effectuer dans des conditions sanitaires satisfaisantes et pratiquée à moins de 7 jours d âge. A partir du 31/12/2011, elle doit s effectuer avec une anesthésie et/ou analgésie suffisante. - L alimentation des porcs doit être bio. - Une partie peut être en conversion (jusqu à 30% de C2 dans la ration ou 100% si les aliments sont produits sur la ferme) ou conventionnelle à hauteur de 5% (MS) en moyenne par an depuis le 1er janvier 2010, et 0% à partir du 1er janvier Les aliments doivent principalement être produits sur la ferme ou provenir d exploitations biologiques de la même région. - Des fourrages grossiers, frais, secs ou ensilés doivent être ajoutés à la ration journalière des porcs, notamment grâce aux parcours. - Les porcelets sont nourris au lait maternel pendant au minimum 40 jours. - L utilisation d acides aminés de synthèse est interdite LA PROPHYLAXIE ET LES TRAITEMENTS VETERINAIRES La prophylaxie en agriculture biologique passe d abord par la mise en place de mesures de prévention. Les produits homéopathiques, phytothérapiques et oligo-éléments sont utilisés de préférence aux médicaments vétérinaires allopathiques chimiques de synthèse ou aux antibiotiques. En dehors des vaccinations, des traitements antiparasitaires et des plans d éradication obligatoires, les traitements allopathiques annuels sont effectués sous prescription vétérinaire et sont limités à : - 1 pour les animaux dont la durée de vie est inférieure à 12 mois - 3 pour les animaux dont la durée de vie est supérieure à 12 mois Le délai d attente avant commercialisation dans le circuit biologique des animaux traités ou de leurs produits correspond à un doublement du délai d attente légal, 48h le cas échéant.

6 L ALIMENTATION DES PORCS Le porc est un animal monogastrique omnivore : il est donc important de lui donner une alimentation diversifiée. Le porc est vendu en fonction du TMP (Taux de Muscle des Pièces). De par les obligations du cahier des charges de la bio, la formulation d une ration pour les porcs repose sur une parfaite connaissance des matières premières biologiques pour réaliser des associations permettant la meilleure adéquation avec les besoins nutritionnels des animaux. Céréales Ils représentent souvent plus des 2/3 de l aliment. Céréales à énergie rapidement dégradable : triticale, orge, avoine,... Céréales à énergie à dégradation lente : maïs Remarques : - Le triticale est riche en lysine et contient des phytases (molécules inhibées par la chaleur) qui permettent l assimilation du phosphore CARACTERISTIQUES DES MATIERES PREMIERES - Le maïs est pauvre en azote et lysine (il peut donner une coloration jaune au gras) et a tendance à engraisser davantage l animal que les autres céréales - l avoine donné en grande quantité peut déclencher les chaleurs de la truie > Les sources énergétiques apportent 1/2 des besoins en protéines mais moins de 1/4 de la lysine. Protéines Les sources de protéines proviennent : - de protéagineux : pois, féverole, lupin - d oléagineux : les graines ou tourteaux de colza, soja ou tournesol Remarques : - Le tourteau de soja est bien équilibré au niveau des acides aminés. Il est riche en lysine, ce qui permet de combler les déficits des rations. - 2 kg de protéagineux équivalent à 1 kg de tourteau de soja et 1 kg de céréales > Les matières premières de base (céréales, protéagineux, oléagineux ) apportent les 3/4 du P et 1/10 du Ca nécessaire à l animal Issues Son : 15% matière protéique + 5 à 6 g lysine/kg, mais aliment peu énergétique (forte teneur en cellulose) Petit lait : 10 à 12l équivalent à 1 kg d aliment équilibré Attention à ne pas donner trop de petit lait (max 10 à 12 l/j) en général qui peut provoquer des diarrhées et en finition, diminuer cette quantité 3 semaines avant abattage pour éviter les carcasses «pisseuses». Pommes de terre : Elles peuvent être données cuites avec un maximum de 2 à 4 kg/j (4 kg pommes de terre équivalent à 1 kg d aliment)

7 Autres produits Certains produits peuvent remplacer une partie de la ration en céréales, mais ils sont globalement pauvres en protéines : - Châtaignes, glands : 1,5 kg de châtaignes ou de glands équivalent à 1 kg de céréales - Topinambours : 4.5 à 5 kg équivalent à 1 kg de céréales - Betteraves : 5 kg équivalent à 1 kg de céréales ; les demi-sucrières sont plus riches en matière sèche que les fourragères - Légumes : Ils sont généralement très riches en eau, donc très peu énergétiques Fourrages grossiers Le porc est un monogastrique qui peut ingérer jusqu à 2 kg MS de fourrages /j. Il est capable de bien valoriser les fourrages ; en effet, 10 à 20% des besoins alimentaires (soit l équivalent de 1 kg à 1.5 kg d aliment) peuvent être couverts par les fourrages (pâture, foin, enrubanné), à condition que ceux-ci soient riches en légumineuses (trèfle, luzerne..). Les fourrages diminuent la sensation de faim de l animal, et donc développent le calme, ce qui permet de diminuer chez la truie l écrasement de porcelets. Attention à l état de l herbe : le porc broute et ne fouit pas tant que l herbe est abondante et riche en sucres. Attention à l état de la truie avant la mise-bas : elle doit être en bon état pour pouvoir allaiter ses petits. Le pâturage va l aider à reprendre de l état et favoriser le calme. Eau Il est nécessaire d avoir une eau de qualité. Donner si possible de l eau potable, sinon analyser régulièrement l eau des abreuvoirs. Attention : Les canalisations doivent être droites, tout coude étant un nid à microbes. Dans tous les cas, nettoyer les conduits d eau 1 à 2 fois par an avec un acide et une base (même produit que pour laver les machines à traire). Porcelet Porc charcutier Verrat Truie Besoins journaliers en eau (par kg de MS ingéré) 3 à 3,5l 2,2 à 2,5l 2 à 2,5l 5 à 5,5l

8 COMPLEMENTATION EN OLIGO-ELEMENTS, MINERAUX ET VITAMINES Phosphore/Calcium : La plus grande partie de l alimentation de l animal est composée de céréales. Les céréales sont souvent riches en phosphore et pauvres en calcium. Pour équilibrer ce rapport phosphore / calcium, il est intéressant d apporter du carbonate de calcium ou du lithotamne à 1.5 ou 2% de la ration (ou du minéral pour vache ou brebis 6-24, 20g/jour/porc). Fer : Les porcelets ont besoin de fer. Ce fer est contenu dans l herbe et la terre. Il n y a pas de conséquence sur les porcs plein air, mais si les porcelets sont élevés en bâtiment, ils sont anémiés. Si le sevrage est précoce (3 semaines), les porcelets ont un risque d anémie plus élevé avec le stress du sevrage. Les oligo-éléments : L apport quotidien d oligo-éléments (à 0.5% de la ration) et notamment du sélénium est important. En effet, cet élément joue sur la qualité des muscles et la vitalité des porcelets à la naissance (tétée rapide). Cet apport permettra de prévenir les problèmes cardiaques ainsi que les problèmes de boiterie (par carence de sélénium, le porc court les 2 pieds arrières joints). La consoude contient beaucoup de sélénium : elle peut être fauchée et distribuée aux porcs en cure. Les oligo-éléments peuvent être apportés de 2 façons : - d origine organique (ex : plantes) : très digestibles, mais chers - d origine minérale : peu digestibles sauf si l alimentation est équilibrée, mais peu chers Les vitamines : Les vitamines A et E sont apportées par l herbe fraîche, la vitamine D par le soleil. Donc si les porcs sont en plein air et ont à disposition de l herbe, l apport de vitamines n est pas nécessaire. Autres apports : - Ortie : Elle est riche en matière protéique (25-30% de MAT) et en divers oligo-éléments ; le porc la mange très bien une fois fauchée ou en soupe. Cependant, la concentration en fer peut être importante et bloquer la fixation de certains éléments. C est aussi une plante guérisseuse pour le porcelet à distribuer soit en décoction, soit broyée. Ses propriétés sont : tonique, anti-anémique, drainage hépatique, stimulante des sécrétions digestives, activité anti-inflammatoire - Sel : Il n y a pas de régulation de sel chez les porcs (contrairement aux ruminants) : en mettre 0.3% dans la ration - Argile : elle favorise l assimilation des aliments et peut être donnée en libre service aux porcelets et jusqu à 2% de la ration (après sevrage) - Levures de bière : Elles sont très riches en protéines (46.5% MAT) et en vitamines B. Elles peuvent être incorporées dans l aliment minéral (jusqu à 10% de la ration finale). Remarque : Les levures sont actuellement considérées comme additifs dans le règlement de l agriculture biologique, mais seront des ingrédients agricoles à partir du 31 Décembre 2013.

9 STRATEGIES D ALIMENTATION L alimentation diffère suivant le type d élevage (bâtiment ou plein air, nombre d animaux, circuit de commercialisation,...) et la possibilité de produire ses propres céréales ou non. La stratégie d alimentation doit être bien réfléchie car ce poste représente un gros poste de dépense (80% du coût de revient en bio contre 65% en conventionnel), et peut donc avoir de grosses conséquences sur la rentabilité de l élevage. Achats d aliments ou non? L achat d aliments est à recommander pour des élevages de porcs biologiques, assez spécialisés, dont la production est plutôt destinée à une commercialisation en grandes surfaces et qui ont des objectifs de performances (croissances) et des caractéristiques de carcasses (poids, TMP) assez proches de celles retenues pour la production classique. Dans ce cas, il est difficile d équilibrer les rations uniquement avec des aliments produits sur la ferme, notamment pour les porcelets où la période critique se situe entre la naissance et le post-sevrage. De plus, les objectifs de performance fixés ne peuvent être atteints que grâce à l'utilisation d'un ou plusieurs aliments pour chaque stade, aliments dont les caractéristiques nutritionnelles sont parfaitement adaptées aux besoins des animaux, en particulier en ce qui concerne les équilibres en acides aminés (lysine, méthionine, ). Cependant, ces aliments sont chers (de l ordre de 450 /t). Par contre, la production d aliments sur la ferme est à privilégier pour des éleveurs de porcs biologiques, moins spécialisés, ayant des élevages de taille souvent inférieure, et qui commercialisent plutôt à des particuliers ou des charcutiers locaux. Ces derniers recherchent en général des carcasses plus lourdes, acceptent ou souhaitent même des croissances plus lentes et donc des porcs plus âgés à l'abattage. Le nombre d'aliments achetés utilisés sur l'élevage est alors limité (par exemple un seul aliment utilisé en engraissement et finition) voire nul. Les types génétiques utilisés peuvent être différents (races rustiques comme le Cul noir du Limousin, le porc Gascon...), justifiant de conduites alimentaires et d'apports nutritionnels différents. Cas de l achat d aliments : Types d aliments existants : 6 types d aliments peuvent être trouvés pour l alimentation des porcs en agriculture biologique : - pour porcelets : aliments 1 er âge et 2 ème âge (12-25 kg) - pour truies : aliments de gestation et de lactation - pour l'engraissement : aliments croissance et finition Lait de la mère Lait de la mère + aliment 2 ème âge Aliment 2 ème âge + fourrage Aliment Croissance + fourrage Aliment Finition + fourrage Type d aliment Naissance j 40 j Sevrage Temps 50 à 60 j Animaux > 50kg Aliments donnés en fonction de l âge des porcs

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