A. Zrig (1), M. Zohd (1), E. Gassab (1), R. Salem (1), MA. Jellali (1), B. Hmida (1), M. Maatouk (2), A. Gassab (1), C. Hafsa (1), M.
|
|
- Laurence Soucy
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 IMAGERIE DES INFECTIONS FUNGIQUES INVASIVES DU MASSIF FACIAL A. Zrig (1), M. Zohd (1), E. Gassab (1), R. Salem (1), MA. Jellali (1), B. Hmida (1), M. Maatouk (2), A. Gassab (1), C. Hafsa (1), M. Golli (1) (1) Monastir - Tunisie, (2) Paris - France
2 INTRODUCTION La mucormycose et l aspergillose invasive sont des infections fongiques opportunistes rares, rapidement extensives, touchant particulièrement les diabétiques non équilibrés et les malades immunodéprimés La présentation clinique et radiologique de la maladie est peu spécifique L objectif de ce travail est de rapporter les aspects en imagerie en coupe permettant d'évoquer le diagnostic d'infection fongique invasive précocement
3 INTRODUCTION Schématiquement les atteintes rhino sinusiennes fongiques sont divisées en formes invasives ou non invasives selon la présence ou non d agents fongiques dans les tissus (muqueuse, os, vaisseaux) Les examens complémentaires radiologiques ne sont pas spécifiques mais quelques signes sont très évocateurs de l origine fongique Le caractère invasif en imagerie est basé essentiellement sur la présence de lyse osseuse et d extension vers les tissus mous avoisinants La confirmation diagnostique est basée sur les examens anatomopathologique et ou microbiologique
4 PATIENTS ET MÉTHODE Étude rétrospective de 6 dossiers radio cliniques d infection fongique invasive ou agressives Quatre femmes et deux hommes L âge moyen : 52 ans Trois patients étaient diabétiques et un asthmatique La symptomatologie clinique était: une obstruction nasale (trois cas) une algie de l hémiface gauche (un cas) une rhinorrhée chronique (deux cas)
5 PATIENTS ET MÉTHODE L examen ORL avec endoscopie naso-sinusienne a été pratiqué pour tous les malades Tous nos patients ont été explorés par TDM Deux patients ont été explorés par IRM Tous ces patients ont été opérés Une preuve histologique a été obtenue pour tous les patients
6 de: RÉSULTAT IMAGERIE Outre le comblement sinusien, non spécifique, la TDM a permis Montrer les calcifications intra sinusiennes caractéristiques l aspergillose Montrer le caractère agressif des lésions avec lyse osseuse importante Détecter des extensions intra orbitaires Suspecter ou de montrer une extension endocrânienne
7 TDM du massif facial, coupes axiales en fenêtre parties molles avec injection de PDC: - Comblement des sinus maxillaires et de l ethmoïde - Lyse du cornet moyen gauche - Extension aux parties molles faciales - Extension orbitaire bilatérale avec exophtalmie bilatérale plus marquée à droite
8 IRM en coupe sagittale T1 montrant la solution de continuité du toit ethmoïdal ( ) et la continuité du contenu sinusien avec les structures neuroméningées traduisant l extension à l étage cérébrale antérieure
9 La patiente a été opérée et elle a bénéficié d une injection intra orbitaire d amphotéricine B L examen anatomopathologique a conclu à une mucormycose naso-sinusienne Aspect per opératoire: aspect nécrotique des os propres du nez
10 Patiente de 20 ans, asthmatique sous corticoïdes. Obstruction nasale Examen endoscopique: formation polypoïde de la cavité nasale gauche TDM des sinus fenêtre parties molles et osseuse: comblement hyperdense des sinus maxillaires et sphénoïdal et des cellules ethmoïdales avec des calcifications et lyse osseuse ( ) du canal optique et du toit ethmoïdal gauches. L aspect est celui d une sinusite fongique agressive Traitement: chirurgie endoscopique endonasale suivie d une corticothérapie prolongée Examen anatomopathologique: sinusite aspergillaire
11 Aspect post opératoire (un an): Remodelage osseux avec réossification des zones de lyses osseuses Epaississement muqueux résiduel sans caractère agressif
12 Femme âgée de 24 ans, obstruction nasale et épistaxis depuis un an Examen ORL: masse polylobée non saignante de la cavité nasale gauche et du cavum TDM SPC en Coupes axiale et coronales: processus expansif des cavités nasosinusiennes gauches ( ) avec importante lyse osseuse et extension intra orbitaire ( ) Diagnostic: sinusite aspergillaire pseudo-tumorale et agressive ou tumeur naso-sinusienne
13 IRM du massif facial en coupes coronales pondérées en T2 et T1 avec saturation de graisse et injection de Gadolinium : Comblement polypoïde unilatéral des cavités nasosinusiennes gauches en hyposignal T2 hétéroègene ( ). Hypersignal T2 avec rehaussement de la muqueuse inflammatoire ( ) délimitant une un matériel très hypointense en T2 (faible teneur en eau et possible fort contenu calcique) Extension orbitaire ( ) Examen anatomo-pathologique: sinusite aspergillaire
14 TDM cérébrale et du massif facial (fenêtres osseuse et parties molles) chez une patiente diabétique, présentant des céphalées, des algies faciales, une rhinorrhée muco-purulente et un œdème facial important: Comblement ethmoïdal et du sinus frontal Important épaississement dense des parties molles sous cutanées frontales ( ) et périorbitaires droites ( ) avec des microabcès Abcès cérébral frontal droit ( ) Ostéolyse de l os frontal et du toit orbitaire ( ) Examen anatomopathologique: mucormycose rhino-cérébrale
15 DISCUSSION La mucormycose et l aspergillose invasive sont des infections fongiques en pleine recrudescence ces dernières années Elles peuvent survenir à tout âge sans prédominance de sexe Elles surviennent préférentiellement sur un terrain d immunodépression secondaire à un diabète, une hémopathie, un traitement immunosuppresseur ou un cancer à un stade terminal Il s agit d infections fongiques redoutables progressant de manière rapide et agressive avec invasion vasculaire L atteinte peut être rhino-cérébrale ou viscérale Classiquement la forme rhino-cérébrale est retrouvée chez le diabétique tandis que les formes viscérales ou disséminées sont exceptionnelles et surviennent chez les malades infectés par le VIH ou traités pour hémopathie maligne
16 DISCUSSION Les infections rhino sinusiennes fongiques sont divisées en formes invasives ou non invasives selon la présence ou non d agents fongiques dans les tissus (muqueuse, os, vaisseaux) Pour les formes non invasives, on distingue : la rhinite allergique IgE dépendante, les balles (anciennement appelées aspergillome ou mycétome), limité à la lumière d un sinus et touchant rarement le sinus sphénoïdal les rhinosinusites fongiques allergiques, plus fréquente au niveau ethmoïdal et fréquemment associé à un asthme ou à une polypose nasosinusienne Les formes invasives, groupent: des formes aiguës ou fulminantes et des formes chroniques ou indolentes
17 DISCUSSION Les sinusites fongiques invasives: Elles atteignent l os et les structures environnantes crâniennes ou orbitaires ou vasculaires La diffusion des lésions peut se faire par: Contiguïté: l infection première se situe souvent dans une cellule ethmoïdale et s étend de proche en proche vers les cavités nasales, les autres sinus, l orbite à travers la lame papyracée et vers les méninges et l encéphale par la lame criblée de l ethmoïde Voie vasculaire le long des vaisseaux de la base du crâne et de la veine angulaire de l orbite Voie systémique générale en constituant des thrombi mycotiques responsables d emboles à distance
18 DISCUSSION La présentation clinique est celle d une sinusite ou rhino sinusite chronique rebelle au traitement médical ou encore d un tableau aigue associant des signes ophtalmologiques et/ou neurologiques Les signes cliniques les plus fréquents sont: obstruction nasale avec ou sans anosmie mouchages purulents de moules compacts mucopurulents ou de croûtes algies faciales Les signes cliniques évocateurs du caractère invasif sont: l œdème des parties molles faciales et péri orbitaires des algies faciales inhabituelles ou rebelles aux antalgiques classiques les troubles visuels et neurologiques
19 IMAGERIE: TDM Certains aspects TDM ne sont pas spécifiques: pan- ou poly sinusite, uni- ou bilatérale, avec des signes de comblement souvent hétérogènes des rétentions liquidiennes avec bulles d air piégées et des contours festonnés de la muqueuse des remaniements osseux un aspect pseudo tumoral dans certains cas
20 IMAGERIE: TDM Malgré ce caractère non spécifique des images, la TDM peut être contributive au diagnostic en montrant des signes évocateurs d atteinte fongique: opacité intra sinusienne contenant des zones hyperdense. L hyperdensité des opacités doit être recherchée en fenêtrage parties molles des calcifications fines, rondes ou linéaires NB: l existence de lyse osseuse de la base du crâne ou des parois orbitaires signe le caractère agressif mais pas forcément le caractère invasif. Ce dernier se traduit plutôt par l infiltration des parties molles et l envahissement des espaces neuro-méningés
21 IMAGERIE: TDM Le caractère agressif ou invasif est retenu sur les arguments suivants: l infiltration de la graisse de la fosse infra temporale l apparition de destruction osseuse l extension des lésions vers l orbite et vers l encéphale Les signes d extension orbitaire sont : Unelysedelalameorbitaire Un épaississement de muscle droit médial Une infiltration de la graisse orbitaire Une collection intra orbitaire
22 IMAGERIE: TDM La TDM constitue également un examen utile pour le suivi évolutif sous et après traitement et pour la gestion des récidives
23 IMAGERIE: IRM L IRM, grâce à son étude multi planaire multi séquence, permet un meilleur bilan d extension des lésions vers l orbite, l endocrâne et les espaces profonds de la face +++ L IRM paraît surtout indiquée: complément de la TDM devant un aspect pseudo tumoral en cas de problème de diagnostic différentiel avec une atteinte tumorale dans la détection de complications post opératoires L angio-rm permet de mettre en évidence les thromboses du sinus caverneux, de la carotide interne et de ses branches
24 IMAGERIE: IRM L IRM montre des anomalies du signal évocateurs de l origine aspergillaire: T1: hyposignal intra sinusien, parfois très hétérogène T2: hyposignal intense lié aux composants paramagnétiques fongiques peuvent en imposer pour de l air Après Gadolinium: rehaussement de la muqueuse inflammatoire
25 IMAGERIE: IRM En cas de sinusite invasive : Destruction osseuse Infiltration des tissus mous environnants (espaces profonds de la face) Prise de contraste des tissus mous et des structures neuroméningées Une atteinte vasculaire peut entraîner une sténose, dissection ou thrombose: intérêt de l angio IRM
26 Les Complications locorégionales des sinusites fongiques invasives Complications infectieuses : Empyème sous et extradural Méningite Abcès Encéphalite Complications vasculaires : Veineuses : Thrombose Artérielles: Spasme,Artérite
27 Examens anatomopathologiques et mycologiques L examen anatomopathologique et mycologique après coloration spéciale constitue un argument important pour le diagnostic positif de sinusites fongiques Pour certains auteurs, ces critères histologiques constituent les critères diagnostiques essentiels voire exclusifs pour le diagnostic
28 TRAITEMENT Le traitement est avant tout chirurgical: chirurgie sinusienne de drainage Le traitement médical antifongique est indiqué dans les formes invasives notamment en cas de mucormycose: Par voie générale, systématiquement Par voie locale (en intra orbitaire: cas d une de nos patientes ce qui a permis d améliorer considérablement le pronostic fonctionnel oculaire) En aérosol durant la durée du traitement
29 SURVEILLANCE Le risque de récidive, même tardive, est non négligeable et impose une surveillance attentive et prolongée: clinique et TDM L apparition des signes neurologiques évoque l extension intracrânienne et la formation d empyème ou d abcès cérébral est une indication pour l IRM cérébrale
30 CONCLUSION La TDM et l IRM ne sont pas caractéristiques mais hautement suggestives du diagnostic chez un diabétique en acidocétose La TDM est l examen de première intention. Elle montre un aspect de sinusite chronique avec des caractères d agressivité locorégionale permet d évoquer le diagnostic et d instaurer un traitement adapté sans délai L IRM permet un bilan lésionnel plus précis notamment pour les extensions orbitaire et endocrânienne Le diagnostic de certitude est histologique
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES
Page 1 de 5 LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES INTRODUCTION Il faut être conscient qu environ 90% des céphalées rencontrées en pratique sont «primaires»,
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailINTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE;
PLAN INTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE; MATÉRIELS & MÉTHODES; RÉSULTATS; DISCUSSION: GÉNÉRALITÉS; RAPPEL ANATOMIQUE DE LA BASE DU CRÂNE; CLASSIFICATION DES TBC; CLINIQUE. LES MOYENS D IMAGERIE DES TBC;
Plus en détailItem 97 (ex item 262) : Migraine, névralgie du trijumeau et algies de la face Collège Français d'orl et de Chirurgie Cervico-faciale
Item 97 (ex item 262) : Migraine, névralgie du trijumeau et algies de la face Collège Français d'orl et de Chirurgie Cervico-faciale 2014 1 Table des matières 1. Présentation générale, position du problème...3
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailLe problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :
Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailClassification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,
Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailItem 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher.
Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher. I. INTRODUCTION II. MECANISME DES FRACTURES DU ROCHER III. TABLEAU CLINIQUE
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTE DE MEDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR GAUTIER MAXIME Né le 31 Octobre 1984 à Enghien Les Bains Présentée et soutenue
Plus en détailCHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION. Gilles Géraud et Nelly Fabre
CHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION Gilles Géraud et Nelly Fabre Plan du Chapitre 1. Conduite du diagnostic clinique devant une céphalée 1.1. L interrogatoire 1.2. L examen clinique
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailORL et Allergies. DESC Allergologie
ORL et Allergies. DESC Allergologie Mars 2012 Dr C. Colin Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale, Hôpital de la Croix Rousse, Lyon Rhinites et rhinosinusites Le patient Son NEZ obstruction nasale céphalées
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailEDITORIAL p. 3. DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4. CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p.
TRIMESTRIEL Mai > juil. Numéro 3 EDITORIAL p. 3 DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4 CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p. 11 IMAGERIE CÉRÉBRALE ET RADIOPROTECTION
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailEPIDEMIOLOGIE: Paralysie du VI Etiologie en fonction de l âge : Paralysie du VI
EPIDEMIOLOGIE: Paralysie du PARALYSIES DU NERF OCULOMOTEUR (NERF ABDUCENS) La paralysie du muscle droit latéral est la plus fréquente des paralysies des muscles extra oculaires, et la douzième en fréquence
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailItem 313. Epistaxis (avec le traitement) Objectifs pédagogiques
Item 313. Epistaxis (avec le traitement) I. DIAGNOSTIC POSITIF ET DE GRAVITE II. LES DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS : III. Conduite à TENIR, devant une épistaxis quelle que soit son importance. IV. TRAITEMENT
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailPrise en charge de l atrésie choanale Choanal atresia management
Annales d Otolaryngologie et chirurgie cervico-faciale xxx (2008) xxx xxx CAS CLINIQUE AUX EXPERTS Prise en charge de l atrésie choanale Choanal atresia management P. Froechlich e, *, G. Roger a, N. Garabedian
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailOrientation et prise en charge d une céphalée. Dr Valérie Domigo Service de Neurologie Unité Neuro-vasculaire Hôpital Sainte Anne
Orientation et prise en charge d une céphalée Dr Valérie Domigo Service de Neurologie Unité Neuro-vasculaire Hôpital Sainte Anne Interroger Examiner Soulager orienter INTERROGER: 1. PROFIL EVOLUTIF de
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailNEUROPATHIES PERIPHERIQUES MIGRAINE ET ALGIES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES
NEUROPATHIES PERIPHERIQUES MIGRAINE ET ALGIES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES Docteur KABORE Raphaël Service de Neurologie CHU Limoges I. Définition : Ensemble des troubles neurologiques liés à l atteinte du
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détail