Favoriser l intelligence collective
|
|
- Coraline Petit
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Favoriser l intelligence collective Qu est-ce que l intelligence collective? Comment la révéler et la valoriser dans le cas d un collectif agricole? Quels principes pédagogiques et quelle posture d accompagnement l animateur peut-il adopter? Une illustration avec l accompagnement de groupes d agriculteurs qui s engagent dans une démarche innovante : l agriculture écologiquement intensive. Le groupe AEI de la Sarthe en marche dans une démarche de réflexion collective. Un groupe est un système vivant qui peut, comme chacun de ses membres, produire le meilleur comme le pire. Dans cet article de Travaux-et-Innovations, il s agit d explorer et d exploiter les ressources du groupe pour en tirer le meilleur parti : mettre en place les conditions qui lui permettent de ne pas tomber dans «l illusion groupale», un vecteur d inertie des collectifs (1). La littérature sur les sciences sociales propose de nombreuses définitions de l intelligence. Howard Gardner, psychologue à l université d Harvard, parle d intelligence rationnelle (le sens logique), spatiale (le sens qu on donne aux formes), ou même musicale (le sens qu on donne aux sons). Il y a aussi les intelligences verbale, émotionnelle intra et interpersonnelle (se comprendre soi-même et l autre), et environnementale (comprendre son environnement). Ces catégories concernent l intelligence de l individu. Mais un groupe peut aussi les révéler. Il peut en plus révéler une forme d intelligence collective : sa capacité à faire «quelque chose de plus» que la production de chaque membre. C est la capacité du collectif à se poser des questions et à chercher les réponses ensemble (2). On retrouve la conscience de l intelligence du groupe dans des expressions «L union fait la force», «Le groupe est plus fort que le plus fort du groupe». Prenons un groupe de développement agricole. Ses membres peuvent y mobiliser tous les types d intelligence, chacun à sa manière. Elles s ajoutent et se complètent. Mais ils peuvent aussi bloquer ces mécanismes et produire du négatif ou du toxique. Comment mobiliser l intelligence collective qui lie connaissances, expériences, et fonctionnements individuels? Comment créer les conditions pour la révéler, la développer pour accompagner ce collectif vers ses objectifs? (1) Didier Anzieu - «Le groupe et l inconscient» - hwww.pedagopsy.eu/livre_groupe_anzieu.htm. (2) Défi nition tirée de l ouvrage d Olivier Zara «Le management de l intelligence collective» - M21 éditions NOVEMBRE TRAVAUX & INNOVATIONS NUMÉRO
2 Favoriser l intelligence collective Qu est-ce que l intelligence collective? Comment la révéler et la valoriser dans le cas d un collectif agricole? Quels principes pédagogiques et quelle posture d accompagnement l animateur peut-il adopter? Une illustration avec l accompagnement de groupes d agriculteurs qui s engagent dans une démarche innovante : l agriculture écologiquement intensive. Le groupe AEI de la Sarthe en marche dans une démarche de réflexion collective. Un groupe est un système vivant qui peut, comme chacun de ses membres, produire le meilleur comme le pire. Dans cet article de Travaux-et-Innovations, il s agit d explorer et d exploiter les ressources du groupe pour en tirer le meilleur parti : mettre en place les conditions qui lui permettent de ne pas tomber dans «l illusion groupale», un vecteur d inertie des collectifs (1). La littérature sur les sciences sociales propose de nombreuses définitions de l intelligence. Howard Gardner, psychologue à l université d Harvard, parle d intelligence rationnelle (le sens logique), spatiale (le sens qu on donne aux formes), ou même musicale (le sens qu on donne aux sons). Il y a aussi les intelligences verbale, émotionnelle intra et interpersonnelle (se comprendre soi-même et l autre), et environnementale (comprendre son environnement). Ces catégories concernent l intelligence de l individu. Mais un groupe peut aussi les révéler. Il peut en plus révéler une forme d intelligence collective : sa capacité à faire «quelque chose de plus» que la production de chaque membre. C est la capacité du collectif à se poser des questions et à chercher les réponses ensemble (2). On retrouve la conscience de l intelligence du groupe dans des expressions «L union fait la force», «Le groupe est plus fort que le plus fort du groupe». Prenons un groupe de développement agricole. Ses membres peuvent y mobiliser tous les types d intelligence, chacun à sa manière. Elles s ajoutent et se complètent. Mais ils peuvent aussi bloquer ces mécanismes et produire du négatif ou du toxique. Comment mobiliser l intelligence collective qui lie connaissances, expériences, et fonctionnements individuels? Comment créer les conditions pour la révéler, la développer pour accompagner ce collectif vers ses objectifs? (1) Didier Anzieu - «Le groupe et l inconscient» - hwww.pedagopsy.eu/livre_groupe_anzieu.htm. (2) Défi nition tirée de l ouvrage d Olivier Zara «Le management de l intelligence collective» - M21 éditions NOVEMBRE TRAVAUX & INNOVATIONS NUMÉRO
3 Faire produire une vision commune En 2010 et 2011, Trame a accompagné 3 groupes d agriculteurs de la région Pays de la Loire dans une formation expérimentale sur l AEI (Agriculture écologiquement intensive). Leur objectif était d explorer le concept d AEI, nouveau et complexe, et de se l approprier pour envisager les concrétisations possibles sur leurs exploitations (3). La première modalité d animation a été de réunir les agriculteurs ayant manifesté leur envie de travailler sur des thématiques proches de l AEI, et de leur faire exprimer leurs attentes. La FRGeda Pays de la Loire (4) a mobilisé les responsables de groupes locaux et a organisé des réunions par département. Elle a confié à Trame l animation de ces rencontres. La posture de l intervenant/animateur Trame a alors été celle de l écoute et du partage des attentes individuelles : certains ont dit vouloir faire évoluer leurs pratiques dans un objectif de conservation du sol, d autres trouver des moyens de rapprocher l agriculture des attentes de la société, d autres avoir une vision de l agriculture du XXI e siècle Des attentes variées qui se rejoignent autour d une préoccupation partagée sur les nouveaux enjeux et l avenir de l agriculture. A ce stade, la vision collective est encore floue, car chacun interprète les Une information prend du sens dans l interaction avec des personnes. Un principe de base : exploiter le «réservoir de puissance» du groupe En 2010, dès la constitution des groupes en Pays de la Loire, la valorisation de l intelligence collective a été mobilisée par Trame. Elle a constitué un principe pédagogique de base pour conduire cette expérimentation et exploiter le «réservoir de puissance» du groupe : écouter les attentes individuelles, aider le groupe à produire une vision commune, veiller au processus et ne pas s impliquer sur le contenu, faire produire le groupe, aider le groupe à évaluer le chemin parcouru. contributions des autres à sa manière, à partir de son vécu et de sa culture. Mais émerge déjà l envie de travailler ensemble pour aller plus loin. Créer un groupe autour d une vision partagée Chacun des 3 groupes engagés dans la formation expérimentale a produit sa propre vision de la démarche d Agriculture écologiquement intensive. L utilisation de la méthode de la carte mentale (5) favorise l expression de chacun sur toutes les dimensions et le sens du concept. Ces contributions se complètent jusqu à constituer une image qui reflète, à un moment donné, la vision collective. Celle-ci donne du sens à l action du groupe et facilite l engagement de chacun. Mettre en place le contrat de collaboration et permettre aux membres de le tenir L intervenant/animateur met en place un contrat de collaboration pour faciliter le fonctionnement du groupe. Dans ce cadre, il s agit d expliquer l importance de certains comportements à favoriser et à éviter dans le groupe pour construire une réflexion collective. Pour que les membres d une organisation s engagent au bénéfice de l action collective, le respect de la parole des autres, l ouverture et de partage des informations, la coresponsabilité dans le résultat sont indispensables. Les membres du collectif écrivent et valident eux-mêmes ce contrat collaboratif, y compris l animateur, qui pourra y décrire son rôle. L intervenant/animateur peut s y référer en cas de besoin. Les membres du collectif connaissent les règles de fonctionnement et adaptent leurs comportements à l objectif de coopération qu ils se sont donné. Savoir partager ses informations pour coopérer Un collectif agricole qui se constitue pour faire progresser ses connaissances traite de nombreuses informations qui comportent une dimension rationnelle (pertinence technique) et relationnelle (interactions entre informations et personnes). Dans le cas de la formation expérimentale conduite en 2010, le groupe du Maine-et-Loire a analysé des références (3) Cf. l article «Explorer en groupe un concept pour construire sa stratégie individuelle» - Travaux-et-Innovations n avril téléchargeable sur (4) FRGeda : Fédération régionale des groupes d études et de développement agricole. (5) Pour en savoir plus sur la carte mentale, cf. Dossier «La créativité dans tous ses états : la carte mentale, un outil aux multiples utilisations» - Travaux-et-Innovations n janvier téléchargeable sur 14 TRAVAUX & INNOVATIONS NUMÉRO NOVEMBRE 2013
4 produites par un Institut technique sur le travail du sol. Le groupe a confronté ces références avec celles issues de sa propre expérience, ce qui lui a permis de relativiser ces informations pourtant fournies comme des données scientifiques avérées : la qualité du travail de certains matériels à dents n était pas celle annoncée dans des conditions de Le groupe construit sa collaboration autour d une vision commune, les dimensions du concept d AEI. La carte mentale permet au groupe d expliciter une vision collective qui lui sert de moteur. sol sec, le prix des machines qui n est plus le même lorsqu on l adapte soimême, etc. Les informations apportées par les membres d un collectif forment un ensemble de connaissances exploitable. Il sera d autant plus important que la réflexion collective va le transformer et l amplifier en lui donnant un sens nouveau, lié à l action du groupe. Pour accompagner cette réflexion, l animateur doit rester à distance du contenu, et rester vigilant sur le processus. Il laisse ainsi les participants prendre eux-mêmes la distance nécessaire à l interprétation des informations traitées. De l information à la collaboration Une information nécessite un émetteur (celui qui amène l information dans le groupe), et des récepteurs (les membres du groupe qui découvrent cette information). Lorsqu un groupe réalise un travail de veille informative, ses membres sont alternativement émetteurs et récepteurs d informations : chacun va chercher des informations sur des sujets L intelligence arrêtés à l avance, collective à travers et les restitue aux autres membres du l expérience de groupe. S ils jouent groupes engagés à la fois ces deux dans la démarche rôles, ils partagent l information, en de l Agriculture plus de se la diffuser. C est ce qui écologiquement intensive (AEI). se passe lorsque le groupe analyse collectivement des informations apportées par ses membres. Les membres du collectif peuvent jouer un troisième rôle vis-à-vis d informations : celui d acteur. Il s agit de transformer les informations échangées et en créer de nouvelles. Le travail de prospective réalisé par les groupes AEI révèle cette collaboration. Là encore, le contenu est apporté par les participants, et l animateur met en place un processus de réflexion étape par étape, dans lequel chacun se concentre sur une question à la fois. Après avoir identifié des variables de l environnement déterminantes pour leurs exploitations, les groupes ont formulé des hypothèses d évolution de ces variables, NOVEMBRE TRAVAUX & INNOVATIONS NUMÉRO
5 puis ils ont élaboré à partir de ces dernières des scénarios d avenir. Les groupes ont créé ces scénarios prospectifs à partir de leurs propres ressources et de leur analyse collective. Chaque groupe a expertisé sa propre situation, et cela a donné à ces scénarios d autant plus de sens pour la stratégie des exploitations de ses membres. Acquérir les compétences nécessaires au travail collaboratif Pour exercer cette collaboration, le groupe peut avoir à développer des connaissances spécifiques (caractériser son système de production, identifier ses atouts et contraintes, se situer dans son environnement ) L intervenant/animateur doit être à l écoute du collectif pour aider ses membres à identifier ses ressources internes, et définir, avec eux, les besoins en formation, pour atteindre l objectif collectif. Si des formations sont mises en œuvre, il doit alors aider le collectif à faire le lien entre l exercice des compétences acquises et ses effets. Par exemple, le groupe AEI de la Sarthe a identifié en 2011 un besoin de renforcer ses compétences dans le partage de ses expériences, au sein du groupe et vers l extérieur. Une formation de 3 jours a été organisée par Trame en 2012 pour répondre à ce besoin. A l issue de cette formation, les membres du groupe ont pu organiser une journée de témoignage de leur démarche auprès d une quarantaine de personnes. En revanche, la compétence d acceptation de la critique s est développée spontanément au cours du travail du groupe. Au début, que ce soit par excès de modestie ou d orgueil, chacun pouvait être inquiet des remarques des autres : Que vont-ils penser de moi ou de ce que je fais? Le travail régulier d analyse objective des informations et des expériences a développé une confiance réciproque qui fait Le partage de points de vue permet de prendre de la hauteur par rapport à l information. que chacun ne prend pas à titre personnel les remarques des uns et des autres : les expériences sont analysées, pas les personnes. Des freins à la coopération Mettre en place un fonctionnement collaboratif ne va pas toujours de soi, ni pour les membres du collectif ni pour son animateur, puisqu il nécessite des comportements spécifiques comme le respect de la parole des autres, l ouverture et de partage des informations, la coresponsabilité dans le résultat. Ces comportements se manifestent si les membres du collectif - dont l animateur, croient à l intérêt d un fonctionnement collaboratif, s il s inscrit dans leurs valeurs. Un animateur conforté dans son métier par le sentiment de pouvoir qu il exerce sur le groupe risque de freiner des comportements collaboratifs, en entretenant une relation verticale, de «maître à élève». L animateur doit être vigilant en permanence sur le rôle qu il joue et ne pas prendre la place du collectif lui-même dans le partage et la collecte d information. Par ailleurs, les informations analysées ne sont pas connues à l avance, et le groupe se retrouve responsable de leurs analyses, avançant dans le brouillard. Cette production de nouveaux savoirs révèle au collectif ses capacités d innovation et de créativité. Dans le cas des 3 groupes AEI des Pays de la Loire, cette peur de l inconnu a été l une des principales raisons de retrait de certains participants lors des deux premières journées de formation. Et vous? Votre groupe a-t-il un fonctionnement de coopération? Que produit son intelligence collective? Quel rôle jouez-vous dans cette coopération? Comment l améliorer? Adrien Boulet Trame avec la collaboration de Muriel Astier Trame Source : «Le management de l intelligence collective, vers une nouvelle gouvernance» - Olivier Zara, M 21éditions Contact : Adrien Boulet, chargé de mission AEI à Trame - Tél. : a.boulet@trame.org 16 TRAVAUX & INNOVATIONS NUMÉRO NOVEMBRE 2013
M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailFORMATIONS COACHING EVOLUTIF - PNL - HYPNOSE - NON VERBAL - COMMUNICATION EFFICACE
FORMATIONS COACHING EVOLUTIF - PNL - HYPNOSE - NON VERBAL - COMMUNICATION EFFICACE Ecole de Coaching. Vous préparer à réaliser vos potentiels... Pour vous initier au coaching, développer vos connaissances,
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailINTEGRALMANAGER by EICL
by EICL Le management Humaniste Integral Manager by EICL Le coaching Humaniste 1 Cycle de formation Le management Humaniste Le management de proximité qui réconcilie éthique et performance Integral Manager
Plus en détailFORMATION PNL CYCLE COMPLET. «Révélez vos talents»
Formation Coaching Préparation Mentale athlètes haut-niveau Enseignement de la PNL Annecy Genève Aix-les-Bains Chambéry Contact : +33677610793 s.thomas-conseil@orange.fr www.sebastien-thomas-conseil.com
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détailATELIER FORMATION. «Identifier un projet motivant pour la retraite»
ATELIER FORMATION L. Chalmet Huot, LCH Coaching +33 6 73 73 28 12 laurence.chalmet@gmail.com J. Marlier, Action Coaching Plus +33 6 88 32 34 56 jacques.marlier@action-coaching-plus.com «Identifier un projet
Plus en détailBILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.
- 1 - Conseil RH et Formation BILAN DE CARRIERE La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.fr L heure est au changement et, pour
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détail14 Adopter une attitude professionnelle
14 Adopter une attitude professionnelle Pour mener à bien votre projet et instaurer des relations constructives le groupe doit adopter une attitude professionnelle et se montrer : 1. Mobilisé tous les
Plus en détail«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris
«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Le Hameau partagé, un projet d'habitat participatif à Saint-Jean de Braye
DOSSIER DE PRESSE Le Hameau partagé, un projet d'habitat participatif à Saint-Jean de Braye Historique du projet : Ce projet a vu le jour à l'initiative de la ville de Saint-Jean de Braye qui souhaitait
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détailSÉMINAIRE INTELLIGENCE EMOTIONNELLE
21 ET 22 AOÛT 2010 Nuvilly-Suisse Contact Cornelia Roulet Tél. 078/787.17.81 chevalcoaching@orangemail.ch Eliane Bernard Coach structurel et facilitatrice équin «grow» Dominique Pellet Coach PNL «dpcoaching»
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailFormation certifiante au métier de coach scolaire
Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détail«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT»
«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT» Ministère de l Éducation Nationale Protection Judiciaire de la Jeunesse Théâtre Liberté Contact : Betty Le Mellay, Responsable de
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailPRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS
PROFESSEUR DES ÉCOLES PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS Éric SEGOUIN Denis BASCANS Une méthode et un outil d aide à la conception et à la programmation de séquences d enseignement pour l école primaire
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailUN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE
N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailGROUPE DE SUPERVISION TOULOUSE
GROUPE DE SUPERVISION TOULOUSE ENJEUX ET FINALITES POURQUOI UN LIEU DE SUPERVISION? Les mutations que vivent les organisations nous obligent à clarifier notre façon d'accompagner les changements. La complexité
Plus en détail«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION»
«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» PROMO 7 La formation au coaching QUI SOMMES-NOUS? Nous sommes des coachs professionnels, hommes et femmes, témoins et acteurs de l évolution des
Plus en détailNos enfants et Internet
Extrait du support de présentation orale Nos enfants et Internet Isabelle Le Roy Isabelle Gulphe-Lachaud Anne Gustin Eléonore Papeix Mars 2014 Avec le soutien de 1 Bon anniversaire! 2 Une bonne occasion
Plus en détailRemue méninge (10 minutes) Dressez la liste des idées, des thèmes ou des sujets proposés par les membres du groupe 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Danses pour des jeunes par des jeunes Processus de création Nous nous exprimons par la danse La danse qui sera créée devra refléter une préoccupation sociale qui est importante et signifiante à ta génération.
Plus en détailDEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN
DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailPROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration
PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration Préambule La société doit faire face à de nouveaux défis pour satisfaire les
Plus en détailProgramme de formation
Programme de formation Symbos a mis au point avec ses experts un programme en deux temps. l ABC du coaching en neuf jours APPROFONDISSEMENT par l acquisition des méthodes en neuf jours complémentaires.
Plus en détailLe scénario pédagogique des formations AgriTic
Le scénario pédagogique des s AgriTic Guide à l attention des formateurs pour la mise en œuvre locale des s AgriTic. Un projet porté, au sein de Préférence FORMATIONS, par le CFPPA de Melle Niort. I. Le
Plus en détailLa gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions?
La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? Mireille HUGUET Chargée de Mission RH Seniors Présentation Mireille HUGUET Consultante RH et Bilan de compétences Chargée de Mission
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailAcadémie de Créteil. Projet présenté autour de l album «Trois souris peintres» d Ellen Stoll Walsh
Projet académique 2013-2014 «Des boîtes à histoires» Comment créer un outil au service de la mise en mémoire et de la compréhension des textes littéraires Académie de Créteil Projet présenté autour de
Plus en détailLa démarche en dix points : détail de la méthodologie
La démarche expérimentale «Lien social et solidarités de proximité» d après les expérimentations réalisées dans trois PNR Livret technique La démarche en dix points : détail de la méthodologie Par Vincent
Plus en détailAppel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers
Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question
Plus en détailRapport d activité et retours d évaluations du service de coaching en ligne COACHLINE
Rapport d activité et retours d évaluations du service de coaching en ligne COACHLINE Client: entreprise du secteur privé et public Population: top management - 160 cadres dirigeants répartis en France
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailChargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols
Chargé(e) d Accueil La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailPrésentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage
Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous
Plus en détailCohésion et coaching d équipe
Cohésion et coaching d équipe Institut du Selfcoaching Tél. : 09 75 61 33 17 Mob. 06 10 18 63 93 info@selfcoaching.fr www.selfcoaching.fr 1 Notre Vision du Coaching LE COACHING est un accompagnement sur
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détailNote de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan
Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr
Plus en détailESSOURCES PÉDAGOGIQUES
2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailLa formule Leadership en Action TM. Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Leadership en Action TM
La formule Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Nous contacter : Monique Cumin, monique.cumin@lasting-success.com Tel : 06 95 09 10 31 La formule Formation-action : entraînement
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailDOSSIER de présentation
Projet d Habitat Participatif intergénérationnel et écologique DOSSIER de présentation 2015 Sommaire Mots d Ecoravissants Présentation d Ecoravie Donnez du sens à votre argent Chiffres et dates Contact
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailcoaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur
coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailJoëlle Bolot, Stéphane Cipriani.
Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani. Sommaire Programme, Capacités (http://www.education.gouv.fr/cid50636/ mene0925419a.html) Dossier documentaire d histoire géographie en CAP : Note de cadrage de l épreuve.
Plus en détailTransformez votre relation au monde!
Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailInstitut Informatique de gestion. Communication en situation de crise
Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un
Plus en détailLES APPRENTISSAGES DES ELEVES Qu est-ce qu apprendre?
LES APPRENTISSAGES DES ELEVES Qu est-ce qu apprendre? 1- Pensées et aphorismes 2- Les réseaux neuronaux en Intelligence Artificielle 3- Parallèles avec les apprentissages humains 4- Qu est-ce qu une situation
Plus en détail3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)
3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la
Plus en détailQUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE
QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détailCycle LTL. David Cooperrider. John Fitzgerald Kennedy. Leadership for Team Leaders
Cycle LTL Leadership for Team Leaders Les individus et les organisations s'épanouissent lorsque les gens voient ce qu'il y a de meilleur en eux, partagent leurs rêves et leurs préoccupations de façon positive
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailAvant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs :
2. Qu est-ce qu un projet commun? Avant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs : le projet a un début et une fin et se structure en
Plus en détailAttestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année
Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié
Plus en détailProjet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.
Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement
Plus en détailL ENTRETIEN INDIVIDUEL
L ENTRETIEN INDIVIDUEL 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L entretien individuel est une technique de recueil de l information qui se déroule dans une relation de face-à-face entre l évaluateur
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailAccompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE
O Reilly Consultants est un cabinet de conseil en gestion des ressources humaines, formation et coaching qui vise à réconcilier l épanouissement individuel : Accompagner les individus dans la réappropriation
Plus en détail«Mettre en scène le meilleur de soi pour le bénéfice de tous»
Form En Scène Formation professionnelle en ressources humaines par le THEATRE Arlette GELABERT Comédienne, formatrice, animatrice «Mettre en scène le meilleur de soi pour le bénéfice de tous» Form En Scène
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche
Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche Inauguré en juin 2013, le centre régional pour la biodiversité Beautour redonne vie à l héritage
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION
ECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION IAP-CU ECOLE DE BOUMERDES PROGRAMME FORMATION CONTINUE 2012 LANGUAGES & COMMUNICATION INDEX THEMES DUREE PERIODE _COM01 _COM02 _COM03 GÉRER ET PRE'VENIR
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailFORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon
FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours
Plus en détailAutonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique
L irrésistible ascension du capitalisme académique 18-19 avril 2013 Autonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique Julien Barrier
Plus en détailCATALOGUE. Interventions - Formations - Accompagnement - Evolution professionnelle CATALOGUE. Développer votre potentiel ici et maintenant ENTRER
Développer votre potentiel ici et maintenant Interventions - Formations - Accompagnement - Evolution professionnelle ENTRER Alioth Conseil - 1, chemin de la colline Saint Joseph Alioth - Conseil Résidence
Plus en détailUN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE
UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts
Plus en détail