Vivre du lait. Le plan CAPR 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Vivre du lait. Le plan CAPR 1"

Transcription

1 l édito N otre métier d'éleveurs laitiers (bovins et caprins) sera toujours passionnant et attrayant vu le nombre de sujets traités (production de lait, sanitaire, environnement, territoire...). Mais pour que nos filières vivent et se renouvellent nous devons répondre aux personnes désirant s installer. La volonté de chaque éleveur de transmettre son atelier et ses terres déterminera le nombre des futurs éleveurs laitiers. Ensuite le projet de vie (rémunération, temps de travail) des futurs installés détermine le mode d'installation (individuelle ou associative), et ainsi calibre leur atelier. Pour réussir les transmissions et installations la synergie de tous les organismes (laiteries, chambres d'agriculture, région, département, interprofession, fournisseurs d'aliments...) se préoccupant du sujet semble indispensable. Nous essayons de le faire dans le plan capr1. Bien sur le prix du lait et les besoins de volume seront déterminants pour l'avenir des producteurs de lait de vaches et chèvres mais quel beau métier. François BONNET Président de la FRESYCA Membre du BRILAC Vivre du lait Bassin laitier Charentes-Poitou Bulletin des éleveurs bovins et caprins N 4 Juin 2009 Transmettre son exploitation Le plan CAPR 1 La région Poitou-Charentes compte 1300 exploitations caprines, soit approximativement 2600 emplois. Les entreprises de transformation du bassin laitier totalisent 3000 emplois (lait de vaches et de chèvres). Les structures des exploitations caprine sont en mutation : taille des exploitations en évolutions significatives, sous formes associative ou salariale. Les livraisons stagnent en Poitou-Charentes et les marchés du fromage de chèvre marquent le pas, tout en restant orientés positivement. Du lait spot est toujours disponible hors de nos frontières et vient combler ce déficit. 36% des éleveurs ont plus de 50 ans et doivent impérativement être remplacés. Il est indispensable que la région et les pouvoirs publics concernés (DDAF, SAFER ) se mobilisent afin d éviter le démantèlement des surfaces indispensables à l installation des jeunes en élevage caprins au profit d agrandissements démesurés. Face à ces constats, la filière a souhaité s organiser pour accompagner la démarche d installation et de transmission en élevages caprins sur le Poitou-Charentes. C est le plan CAPR 1. Le plan d actions CAPR 1 est réparti en 5 grands axes : Communiquer auprès des cédants et candidats, en utilisant des centres et sources d informations ainsi qu en organisant des rencontres collectives. Aider, pour développer l attractivité de la production caprine. Recenser et mettre en place des aides encourageant l installation en production caprine (aides laiteries, collectivités, état, SAFER, banques, etc ), favoriser l accès foncier. Promouvoir la production caprine en favorisant les orientations collectives de la filière en faveur de la transmission et de l installation. Rencontrer et sensibiliser les prescripteurs et acteurs des territoires afin de favoriser les échanges. Rassembler les informations techniques et /ou de recherche et développement. 1 Faire vivre un observatoire régional annuel cédants et candidats. Démarrage du plan CAPR 1 Suite à son lancement au salon Caprinov 2008, j ai rencontré l ensemble des laiteries de Poitou- Charentes. Nous avons élaboré un observatoire cédants-candidats en croisant leurs informations à celles des répertoires départementaux à l installation. Actuellement nous sommes en train de rencontrer un premier groupe d une cinquantaine d agriculteurs de plus de cinquante ans n ayant engagé aucune démarche. Les visites s effectuent à deux (technicien de laiterie et conseiller du réseau ADA- SEA) et ont pour objectif de proposer un accompagnement personnalisé dans la démarche de transmission de leur outil. Dans un futur proche je vais entre autre chercher à rencontrer les nombreux autres acteurs de la filière (centre de gestion, banques, SAFER, collectivités, Contrôles Laitiers, Chambre d Agriculture etc ) afin de créer des ponts et de favoriser les échanges. Cette action est animée, au niveau régional, par un conseiller ODA- SEA dans le cadre d un partenariat entre le CRLPA et le BRILAC : Christophe AUBIN ODASEA Ce bulletin est réalisé grâce à la collaboration des organismes de la filière laitière Charentes-Poitou

2 pour les caprins TRANSMETTRE : UN Dynamique d exploitations caprines : 3 étapes majeures 1. faire évoluer son exploitation 2. s installer 3. transmettre Je ne me voyais pas seul avec deux employés après le départ de mes parents. Le degré d implication dans les prises de décisions et d organisation d un associé n est pas le même que celui d un salarié. La trajectoire des exploitations agricoles est le fruit d'un cheminement personnel et professionnel qui s'opère sur toute une carrière. Si l'installation marque l'entrée dans le monde agricole, les agrandissements, les associations, l'embauche de main d oeuvre salariée, le changement de système ou encore la transmission sont autant de périodes clefs d'une vie d'exploitant. Le dossier "dynamique d'exploitations caprines : s'installer, faire évoluer son exploitation, transmettre..." aborde ces questions en les illustrant à travers des témoignages d éleveurs très divers et en apportant des recommandations pratiques. Damien BOUCHET et Sylvain COULOT Gaec des feuillages, la Popinière, Blanzay (86) Sans négliger les aspects économiques, l intégration du nouvel associé et la réussite du projet commun dépendent de la compatibilité des attentes personnelles de chaque associé. Les éleveurs raisonnent souvent à l inverse. Des conflits peuvent naître, une phase préparatoire conduite avec une tierce personne permettra de recueillir les attentes personnelles des futurs associés. Il s agira de vérifier comment chacun se retrouve dans le projet collectif. caprins 1 Trouver un nouvel équilibre quand la main d oeuvre diminue Embaucher un salarié L embauche d un salarié est avant tout réalisée pour réduire la charge de travail, avec parfois en perspective la recherche d un nouvel associé. Pour pérenniser les emplois et stabiliser le salarié, il est important de créer un temps plein, seul ou avec d autres agriculteurs. La diversité entre les systèmes de production est un atout pour trouver une complémentarité des activités du salarié sur l année. Après l échec du projet d association, j avais plusieurs choix, soit je mécanisais, soit j embauchais. La mécanisation, je ne suis pas partisan, cela ne résout pas tout. Je voulais de la sécurité, avoir des contacts, l embauche était l idéal. La majorité des éleveurs employeurs de main d oeuvre l affirment : embaucher un salarié impose une rigueur de travail et un effort de planification.au final, cet effort de planification permet de gagner en efficacité. Il faut expliquer ce que l on fait et pourquoi, il faut planifier et se fixer des objectifs ensemble. S associer avec un voisin S il est bien réfléchi, le regroupement de deux élevages laitiers permet de maintenir les conditions initiales de travail. Dans les exploitations spécialisées, la principale difficulté réside surtout dans la capacité à trouver une organisation qui permette à chaque associé de bien vivre son métier (partage des responsabilités et des tâches ). Dans les exploitations diversifiées, il est surtout important de trouver une organisation permettant le remplacement pendant le week-end et les vacances. Nous souhaitions l un et l autre plus de souplesse dans notre emploi du temps, quand l un de nous deux doit s absenter une journée, que ce soit prévu ou non, ça ne pose pas de problème Il est important de définir un projet commun avant de s engager. La réussite d une association ne s improvise pas. Quand le regroupement d exploitations s effectue à l occasion du départ d une partie de la main d oeuvre, la dimension par travailleur augmente. Il faut alors veiller à maintenir l efficacité économique pour préserver, voire améliorer l EBE. Toutefois, le revenu disponible de la nouvelle structure est avant tout lié à la masse d investissements réalisés pour regrouper les deux structures. Remplacer l associé qui part Lors du départ d un associé, son remplacement par un nouvel installé est la solution la plus logique. Ce choix permet de maintenir la main d oeuvre disponible et la cohérence de l outil en place en terme de système et d investissements. Philippe MASSE et Christophe BOURBON Gaec le Mel Elie, Messé (79) (suite p 5)

3 ENJEU POUR LE TERRITOIRE, LA FILIERE Présentation de solutions innovantes de transmission par le Réseau bovins lait de Poitou-Charentes pour les bovins L agrandissement des exploitations laitières françaises implique des montants de reprise de plus en plus élevés. Cette situation est encore plus prégnante en Poitou-Charentes où les structures ont des dimensions très importantes. LA TRANSMISSION CLASSIQUE Ce qui impacte le plus le revenu d un jeune qui s installe, c est avant tout le montant de la reprise. Dans les différentes situations étudiées, une réévaluation de la reprise de se traduit par 700 à 1000 de revenu mensuel en moins pour le jeune. D autres risques sont à prendre en compte lors d une installation. L arrivée d un repreneur sans expérience entraîne souvent une baisse passagère de technicité et d efficacité économique. De plus, il faut désormais tenir compte des fortes fluctuations des marchés. Les conditions actuelles ne facilitent pas l installation en élevage laitier. Dans le cas d une conjoncture changeante, qui doit supporter le risque lié à une reprise d exploitation? Est-ce le jeune entièrement (c est le cas aujourd hui)? Est-ce que le cédant doit prendre une partie du risque à sa charge? Comment sécuriser l installation pour permettre au jeune d avoir un revenu correct dès la première année d installation? La formule GAEC est-elle adaptée à tous les projets d installation en structure collective? Ne faut-il pas repenser le schéma du rachat du capital à chaque génération, puisqu il pénalise fortement le revenu du jeune? PROPOSITIONS DE SOLUTIONS INNOVANTES Pour ces simulations, nous nous sommes appuyés sur un cas concret où trois associés d un GAEC (un million de litres de quota et 240 ha de SAU) partent en retraite en même temps (cas le plus problématique pour la transmission). Trois formules innovantes ont été testées : - installation progressive, - capital détenu par des non-exploitants, - création de réserves impartageables 1. Installation progressive : Deux associés s installent en société et embauchent un salarié qui a un projet d installation, mais pas les moyens financiers d y parvenir. Outre une prime technique liée à la maîtrise de la qualité du lait et du coût de concentré qui lui permet d obtenir un salaire d environ 150 % du SMIC, le salarié a une prime d intéressement au résultat qui est capitalisée dans l exploitation. Elle est calculée sur la base du revenu dégagé par l exploitation. Après prélèvement de la rémunération du travail des associés ( chacun), de leur capital (4%) et de l autofinancement des investissements (20%), le reste est partagé en trois, une part revenant au salarié. En conjoncture moyenne*, le salarié capitalise environ par an, soit un apport de après 9 années de salariat. Les associés perçoivent beaucoup plus que le salarié : pendant que ce dernier reçoit 1 de participation au résultat, chaque associé reçoit 3 (rémunération du capital + part du résultat). * Conjoncture moyenne : alternance d une conjoncture favorable ( pour le lait et 2007 pour les cultures) et d une conjoncture défavorable (2005 pour le lait et 75% de 2007 pour les cultures). 2.Apports de capitaux extérieurs : Deux associés s installent en société (EARL, SCEA ou SARL), embauchent un salarié qui n a pas vocation à s installer. Un tiers du capital détenu par les trois associés sortants n est pas repris par les nouveaux associés. Les anciens associés, ou d autres apporteurs de capitaux, détiennent cette part. La rémunération du capital est réalisée avec le solde de disponible après prélèvement des associés pour leur travail ( chacun) et autofinancement des investissements. En conjoncture moyenne, la rémunération du capital est de 5 % par an (de +11% à - 2% selon la conjoncture). Grâce aux capitaux extérieurs, le revenu disponible est beaucoup plus stable et le risque est partagé avec d autres personnes (cédants par exemple). En revanche, cette formule n est peut-être pas très attractive pour les apporteurs de capitaux qui peuvent perdre de l argent les mauvaises années. Ne faut-il pas imaginer une solution où la rémunération du capital serait constante (possible uniquement en SCEA et SARL), quel que soit le résultat de l année?

4 3. SCAEC, SCOP et création de réserves impartageables : Comme pour toute coopérative, ce genre de structure a des réserves impartageables (liquidités et/ou matériels) dont la vocation est de rester propriété de la structure. L avantage des réserves impartageables, c est qu il n y a plus de rachat du capital à chaque génération. Après paiement des salaires (130% du SMIC avec charges sociales payées par la SCAEC) et autofinancement des investissements (5 500 dans l étude), la répartition du résultat est divisée en trois parts : - 1/3 pour les salariés (associés ou non) - 1/3 pour les associés (salariés et autres apporteurs de capital) - 1/3 pour les réserves impartageables Dans le cas étudié, une SCAEC est créée entre trois associés salariés, une collectivité locale et une laiterie apportant du capital. Afin de réduire le capital à reprendre, les bâtiments restent propriété des cédants et sont loués Ainsi, chaque jeune apporte , la laiterie et la collectivité locale apportant Le revenu des trois jeunes en conjoncture moyenne est de et au bout de 9 ans, la réserve impartageable s élève à La rémunération du capital est de 3 %. Dans cette situation, la transmission ne pose pas de problème car avec très peu de capital ( ou moins), il est possible de devenir salarié coopérateur. En revanche, la création de la structure est plus délicate. La constitution d une réserve impartageable représente un changement majeur de raisonnement. La capitalisation est collective, elle consolide l entreprise mais elle ne peut être source de revenu différé pour les associés, ce qui rend difficile la création d un telle structure pour la première génération. C est pourquoi dans un schéma de ce type, des apporteurs de capitaux extérieurs ayant intérêt à ce que l exploitation perdure en production laitière (collectivités, laiteries, ) pourraient avoir un vrai rôle à jouer. Ces propositions ne prétendent pas répondre à toutes les questions posées par la transmission classique, mais elles ouvrent le débat et montrent qu il existe d autres horizons à explorer. Ensuite, à chacun d imaginer les solutions adaptées à ce qu il recherche. Dossier réalisé par Arnaud MOUILLET Conseiller Réseau Bovins lait Chambre d Agriculture de la Vienne Dossier issu de l étude du Réseau Bovins Lait Poitou-Charentes : La transmission des exploitations bovins lait de Poitou-Charentes, étude de solutions innovantes LA REPRISE DE L EXPLOITATION PATERNELLE Témoignage Olivier SOURIAU EARL DE LA SALLE 60 VL, L de quota 90 ha 1 salarié En 2000, j ai remplacé le salarié de mon père. Je me suis installé, en 2003 à sa retraite, avec un salarié dès le départ. La structure est faite pour travailler à deux, sinon on est vite débordé et mon objectif est d avoir du temps pour faire autre chose. Des associés non exploitants, une solution qui s est vite imposée La reprise de la totalité de l exploitation semblait difficile pour dégager un revenu correct et je pensais qu un associé arriverait rapidement sur l exploitation. C était donc dommage que j achète toutes les parts pour les revendre ensuite à un associé. J ai donc racheté les 50,1% des parts de mon père et mes parents se sont partagés les parts restantes. Pour ne pas léser mes frères et soeurs, les parts ont été réévaluées au moment de mon installation. Il a été également décidé de ne pas les réévaluer le jour de leur rachat. Ceci permet de ne pas tenir compte de l augmentation de valeur que j ai pu apporter à l exploitation. Cela a sécurisé mon installation. La reprise a été moins élevée : , le foncier étant en fermage. Quant à mes parents, ils n avaient pas besoin du capital. Le laisser sur l exploitation ou le placer ailleurs, sachant que ça m aidait, le choix allait de soi. Des règles de fonctionnement imposées par le statut social Ma rémunération est décidée en assemblée générale de l EARL. Elle est de 125% du SMIC et n a pas été modifiée depuis mon installation. Ensuite le résultat est partagé suivant le pourcentage de parts sociales détenues (le statut d EARL impose cela). C est là le principal point noir. Le montant distribué aux associés les bonnes années peut être très important : pour l exercice clôturant en septembre 2008, soit 23 % de rendement pour le capital détenu par mes parents. Avec ce mécanisme, on perd un peu de souplesse dans la gestion d une exploitation, surtout quand les cours sont très fluctuants. En revanche, avec une rémunération fixe du capital, on s affranchirait de ce type d inconvénient. Cela rassurerait aussi le cédant qui dans ce cas est plus sûr de son placement. Sinon, il peut y avoir des rémunérations négatives en cas de mauvais résultats. Dans mon cas, le fait d être en famille a simplifié des choses. C est plus simple pour le cédant de faire confiance au jeune s il est de sa famille. Malgré tout, des avantages importants Un tel montage diminue le niveau d investissement et l installation s en trouve sécurisée. La situation n est pas irréversible et les parts peuvent être rachetées si besoin. Cela me paraît aussi plus sécurisant : les parts de société sont moins faciles à vendre à des tiers que des terres ou un bâtiment. Enfin, l autre avantage non négligeable est que ce type de montage diminue les montants de MSA. Et pour l avenir? Il y a plusieurs possibilités, mais ça ne m inquiète pas car les modalités de rachat ont été clarifiées dès le départ. Si un associé arrive, il achètera les parts de mes parents et je lui cèderai 0,1 % pour que nous soyons à 50/50. Sinon, je peux également racheter une partie plus ou moins importante des parts. Mais il faudra certainement changer de forme juridique dans ce cas afin de pouvoir évoluer vers une rémunération fixe des capitaux détenus par des nonexploitants.

5 ENJEU POUR LE TERRITOIRE, LA FILIERE pour les caprins... Suite... Dynamique d exploitations caprines : s installer, faire évoluer son exploitation, transmettre... 2 S installer : seul ou à plusieurs, reprendre ou créer. La reprise d une exploitation apparaît souvent plus sécurisante. Le nouvel installé peut bénéficier de l expérience du cédant. Mais pour mettre toutes les chances de son côté, il faut bien analyser l exploitation, s assurer de sa bonne santé financière, économique, technique et sanitaire. Sur les exploitations visitées, un seul exploitant avait chiffré son projet et savait exactement dans quelles conditions allait se dérouler sa succession. Cet état de fait a été déterminant dans notre décision finale. Nous savions où nous allions, documents comptables et techniques à l appui. S installer en structure sociétaire, c est moins risqué sur le plan financier, le jeune installé peut bénéficier de l expérience de l associé en place. S installer seul me paraissait difficile. L ambiance, l organisation, c est tout un ensemble qui m a attiré sur cette exploitation. La réussite du projet dépendra beaucoup de l entente entre associés, il faudra bien définir les objectifs, les priorités de chacun, la répartition des tâches "Pour que le GAEC fonctionne bien, les décisions doivent être prises ensemble : une bonne entente au sein du GAEC, ce sont des discussions sur chaque problème ou difficulté rencontrés". Le Réseau caprins Animation départementale Harmony BOUTIN - CA 16 Sébastien BESSONNET - CA 17 Angélique ROUE - CA 79 Céline SAINT-JEAN - CA 86 Carole DAVID - CA 35 Manon GILLIER - CA 49 Virginie TARDIF - BOVICAP Conseils Bernard POUPIN - CL 85 Frantz JENOT - FRESYCA Coordination Régionale Nicole BOSSIS Institut de l Elevage La création d entreprise nécessite de la trésorerie en attendant que le troupeau atteigne son rythme de croisière. L'étude prévisionnelle d'installation permet de dimensionner le projet en fonction des objectifs préalablement définis. Pour construire un prévisionnel réaliste, il faut avoir une vision claire des atouts et contraintes de son exploitation et de son environnement, mobiliser les références techniques et économiques locales. C'est le projet qui doit guider les investissements et non l'inverse. 3 Transmettre La transmission est un enjeu majeur pour la filière caprine. La capacité à renouveler les générations d'éleveurs laitiers et fromagers fermiers aura des conséquences sur le maintien de la diversité de cette filière, l approvisionnement des outils de transformation, mais aussi sur l organisation collective de la production. J aurais pu vendre mes 11ha de terres, et les bâtiments. Nous étions prêts à quitter la maison, mais je n aurais pas aimé voir les bâtiments vides, et mon idée première était quand même d installer un jeune La transmission doit s envisager comme un nouveau projet. Le cédant envisagera la transmission d autant plus positivement qu il pourra entrevoir de nouvelles activités, un nouveau projet personnel. Joël DUGUE, Guillaume et Aurélie Brulain (79) La transmission ne se réduit pas forcément à une vente. On peut envisager d autres stratégies, présentant des conséquences fiscales et sociales intéressantes. On peut louer son matériel et ses bâtiments, on peut envisager de transmettre dans la continuité en créant un GAEC, et pourquoi pas embaucher un salarié avec intéressement et capitalisation d une partie du salaire avant installation, on peut imaginer transmettre de façon progressive, garder des parts financières en créant une SCEA Le gros point fort de cette reprise, c est la façon dont l exploitation nous a été cédée. Nous reprenons aujourd hui, un cheptel et un peu de matériel. Pour tout le reste, c est de la location La transmission du savoir-faire est aussi un élément incontournable que le parrainnage facilite. Il est valorisant pour le cédant et formateur pour le repreneur. Le document réalisé par les techniciens caprins des Chambres d Agriculture de Poitou-Charentes d Ille et Vilaine et les techniciens des Contrôles laitiers du Maine et Loire et de la Vendée est disponible en format papier auprès de votre technicien ou en format PDF sur le site de l institut de l élevage, techniques caprines : N hésitez pas à échanger sur ce sujet avec vos techniciens habituels ou les interlocuteurs en charge de ces dossiers (Chambre d Agriculture, ADASEA...)

6 Echo filière Plan bâtiments : bilan des aides apportées aux éleveurs Depuis 2007, en Poitou-Charentes, ce sont 300 projets bâtiments de plus de euros d'investissement qui ont été aidés dans les productions bovins-lait et caprins. Les aides attribuées par l'etat, la Région et l'europe se répartissent comme suit (source DRAAF Poitou-Charentes) : Filière bovins lait dossiers, d'aides publiques. Filière caprine dossiers, d'aides publiques. Autres filières (bovins-viande, ovins) dossiers, d'aides publiques. Des aides complémentaires peuvent être apportées par les Conseils Généraux. Le dispositif PMBE se poursuit. Renseignements et dossiers auprès de la DDAF - DDEA de votre département. bovins caprins Point des adhésions chartes en Charentes-Poitou (Poitou-Charentes + Vendée) V i v r e d u l a i t euros / tonne Cotations Cotations Beurre Beurre - Poudre - Poudre Cours Beurre Cours Poudre0% consommation humaine /T Charte des Bonnes Pratiques : 2722 (lait et mixte) Blé tendre rendu Rouen AOC : 810 Source ONILAIT /T Code Mutuel des Bonnes Pratiques : 635 Baromètre : Prix moyen payé au producteur en Poitou-Charentes er trimestre ème trimestre ème trimestre ème trimestre Année entière er trimestre ème trimestre ème trimestre ème trimestre Année entière Le prix du lait est calculé par le SCEES après enquête mensuelle des laiteries. C est un prix du lait moyen payé au producteur, toutes primes comprises et toutes qualités confondues. Attention, il ne prend pas en compte les compléments de prix. Les données sont provisoires. Collecte du lait de chèvre (source FranceAgriMer) Cumul en milliers de litres Poitou- Charentes Pays de la Loire France Soja 48%, Brésil, pellet départ Montoir Avec le soutien financier de FranceAgriMer, du CRIEL Charentes-Poitou et du BRILAC 2009 (évolution 08-09) Janv - mars (+ 0,7 %) Janv - déc Janv - mars (+ 4,7 %) Janv - déc Janv - mars (+ 1,1 %) Janv - déc Document réalisé par le Service Communication de la Chambre d Agriculture de la Charente-Maritime - Coordination Christophe MAUGER CA 17 - Crédits photos : CA 17 Document imprimé par Imprimerie Rochelaise - Le Nouvel R avec encres végétales sur papier PEFC/

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

Plan de soutien à l élevage français

Plan de soutien à l élevage français Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission

Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Un accompagnement historique! * Création ou reprise d entreprises agricoles Voyage de presse installation-transmission - 4 avril

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

Trajectoires laitières

Trajectoires laitières Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés

Plus en détail

Les sociétés agricoles

Les sociétés agricoles Les sociétés agricoles L exercice d une activité agricole peut se faire soit dans le cadre d une entreprise individuelle soit dans le cadre d une société. Dans cette dernière situation, la loi prévoit

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail. CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

Appliquer la réglementation dans la filière

Appliquer la réglementation dans la filière Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière

Plus en détail

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets

Plus en détail

TRANSMETTRE MON EXPLOITATION AGRICOLE

TRANSMETTRE MON EXPLOITATION AGRICOLE Agriculteurs TRANSMETTRE MON EXPLOITATION AGRICOLE 2 SOMMAIRE ANTICIPER LA TRANSITION À quel moment penser à transmettre votre exploitation?... p. 7 Comment évaluer votre exploitation?...p. 8 Comment bien

Plus en détail

SOMMAIRE. Quelles questions se poser afin de faire mûrir votre projet? p 2 Comment bâtir votre plan de développement? p 3

SOMMAIRE. Quelles questions se poser afin de faire mûrir votre projet? p 2 Comment bâtir votre plan de développement? p 3 SOMMAIRE BÂTIR VOTRE PROJET Quelles questions se poser afin de faire mûrir votre projet? p 2 Comment bâtir votre plan de développement? p 3 Comment estimer la rentabilité de votre projet? Comment établir

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef

Plus en détail

CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER

CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE cerfa N de dossier : (adresse) N 11534* 02 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L EQUIPEMENT ET DE L'AGRICULTURE du Tél. Fax : CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION

Plus en détail

Journée des partenaires de la filière laitière

Journée des partenaires de la filière laitière Journée des partenaires de la filière laitière Grands troupeaux : comment accompagner les éleveurs? Réseau bovins lait Poitou-Charentes 23 Juin 2015 Programme Grands troupeaux : état des lieux en Poitou-Charentes

Plus en détail

Prediagri Retraite. Préparer sa retraite, c est essentiel. Solutions Assurances Agriculteurs

Prediagri Retraite. Préparer sa retraite, c est essentiel. Solutions Assurances Agriculteurs Solutions Assurances Agriculteurs Complément de retraite Préparer sa retraite, c est essentiel. Votre retraite, c est à vous d en décider. Plus tôt vous la préparez, plus vous mettez d atouts de votre

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience GUIDE POUR AGIR Comment SE PRÉPARER à la validation des acquis de son expérience JE BÂTIS MON PROJET PROFESSIONNEL Avec le soutien du Fonds social européen Pourquoi se préparer à la validation des acquis

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

Consultant Laissez-vous porter. portage salarial

Consultant Laissez-vous porter. portage salarial Consultant Laissez-vous porter. portage salarial * Je suis mon propre patron mais je suis salarié. Yvan - Conseiller en informatique 1Le portage salarial Le portage salarial : être indépendant tout en

Plus en détail

par Ségolène Royal Présidente de la Région Poitou-Charentes

par Ségolène Royal Présidente de la Région Poitou-Charentes Inauguration de la SCOP SARL Chizé confection par Ségolène Royal Présidente de la Région Poitou-Charentes Contact presse : Attachée de presse de la Région Poitou-Charentes Valérie Courrech 05 49 55 77

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER. Avant de remplir cette demande, lisez attentivement la notice d information.

CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER. Avant de remplir cette demande, lisez attentivement la notice d information. MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE cerfa DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DU PUY DE DOME N 11534* 02 N de dossier : Site de Marmilhat_BP43 63370 LEMPDES Tél : 04-73-42-14-78 ou 04-73-42-14-59

Plus en détail

Info «travailleur indépendant»

Info «travailleur indépendant» Info «travailleur indépendant» Quels sont les avantages et les inconvénients pour une structure (client) de faire appel à un travailleur indépendant? L équipe permanente est forcément limitée en nombre

Plus en détail

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

Consultant Laissez-vous porter. portage salarial

Consultant Laissez-vous porter. portage salarial Consultant Laissez-vous porter. portage salarial * * Je suis mon propre patron mais je suis salarié. Yvan - Conseiller en informatique 1Le portage salarial Le portage salarial : être indépendant tout en

Plus en détail

Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.)

Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Qu est-ce que le C.I.C.E.? Le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E) est un avantage fiscal qui a pour

Plus en détail

Recruter et intégrer des seniors

Recruter et intégrer des seniors Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Enjeux Le recrutement de seniors correspond à des enjeux spécifiques pour les entreprises, que cette action relève d une politique affichée de lutte contre les

Plus en détail

FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014

FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 N FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 PLAN DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DIAGNOSTIC SEUL DISPOSITIF N 121 C1 DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL DE LA RÉGION NORD PAS DE CALAIS Cette demande

Plus en détail

PLAN D'ENTREPRISE - PCAE

PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Modèle document national Version du 17/03/2015 PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Cadre réservé à l'administration Date de dépôt du dossier : / / 1. RENSEIGNEMENTS SUR LE CANDIDAT Identification Nom / Prénom : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

LE CONGÉ SOLIDAIRE DEUX SEMAINES POUR AGIR AU SERVICE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE

LE CONGÉ SOLIDAIRE DEUX SEMAINES POUR AGIR AU SERVICE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE LE CONGÉ SOLIDAIRE DEUX SEMAINES POUR AGIR AU SERVICE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE Renforcer l'autonomie des populations et la protection de leur environnement le partenariat continu pour apporter un

Plus en détail

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP

«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP «TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP I. Présentation de l action La Région Rhône-Alpes a lancé en 2007, en partenariat avec l Union régionale des Scop (Urscop),

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Services financiers collectifs. Régime de participation différée aux bénéfices Guide du participant

Services financiers collectifs. Régime de participation différée aux bénéfices Guide du participant Services financiers collectifs Régime de participation différée aux bénéfices Guide du participant 1 Services financiers collectifs Régime de participation différée aux bénéfices RBC Votre employeur a

Plus en détail

CONVENTION. Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne. Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne

CONVENTION. Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne. Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne CONVENTION Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne 1 Préambule La filière viande bovine subit depuis plusieurs années des crises successives, mettant beaucoup

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

Valeur Prévoyance Un capital garanti pour assurer votre patrimoine professionnel

Valeur Prévoyance Un capital garanti pour assurer votre patrimoine professionnel LES SOLUTIONS ASSURANCES DES PROFESSIONNELS ASSURANCE DÉCÈS Février 2006 Valeur Prévoyance Un capital garanti pour assurer votre patrimoine professionnel Sachez anticiper pour préserver votre outil de

Plus en détail

Valeur Prévoyance. Un capital garanti pour assurer votre patrimoine professionnel

Valeur Prévoyance. Un capital garanti pour assurer votre patrimoine professionnel ASSURANCE DÉCÈS PROTEGER SON PATRIMOINE PROFESSIONNEL AVEC UN CAPITAL DECES, C EST UNE PRIORITE Pour préserver votre parimoine professionnel et choisir la solution qui convient à votre situation, rencontrez

Plus en détail

Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.)

Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Qu est-ce que le C.I.C.E.? Le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E) est un avantage fiscal qui a pour

Plus en détail

vous informer sur votre retraite

vous informer sur votre retraite vous informer sur votre retraite www.reunica.com points de repères Répartition : une retraite solidaire entre générations Notre système de retraite repose sur la répartition : les cotisations prélevées

Plus en détail

Crédits. Trésorerie, Financement, Création et Rachat d entreprise... Des solutions de crédit pointues et adaptées à vos besoins!

Crédits. Trésorerie, Financement, Création et Rachat d entreprise... Des solutions de crédit pointues et adaptées à vos besoins! Pour en savoir plus sur les solutions CRÉDITS du Crédit Mutuel, appelez votre conseiller au : Connaissez-vous Bail-Immo-Nord? Filiale spécialisée dans le Crédit Bail Immobilier, Bail Immo Nord vous apporte

Plus en détail

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de

Plus en détail

Les revenus de l activité professionnelle

Les revenus de l activité professionnelle Comment ne pas se tromper quand on commence, et surtout faut-il ne pas se tromper? À chacun de trouver la réponse à cette question, ô combien personnelle. Le but de cet ouvrage est de débroussailler un

Plus en détail

COMPTE RENDU D'AUDITION DU PLAN RÉGIONAL DE L'AGRICULTURE DURABLE

COMPTE RENDU D'AUDITION DU PLAN RÉGIONAL DE L'AGRICULTURE DURABLE PRÉFET DE LA RÉGION POITOU-CHARENTES Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes Service régional de l'économie agricole, de la forêt et de l environnement

Plus en détail

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser MICHEL MORIN, AGR. AGROÉCONOMISTE (CDPQ) COLLABORATEURS: STÉPHANE D AMATO, AGR., AXIS AGRICULTURE JEAN-DENIS LABRECQUE, CTA 2003 RÉJEAN LEBLANC,

Plus en détail

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,

Plus en détail

LES ETAPES DE LA CREATION

LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES

Plus en détail

DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE

DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE BUSINESS PLAN Partie 1 : Présentation de votre projet 1 Vous êtes prêt à créer votre entreprise? Ce dossier va vous permettre de préciser et de mettre en forme votre projet

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION

LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION Depuis quelques années, on constate une grande évolution de la fonction vente ; avec le passage de la notion de l acte de vente à

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Retraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public

Retraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Retraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Préfon (Caisse nationale de prévoyance de la fonction

Plus en détail

Etudiez à l étranger. Avril 2011. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent. FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris 1 cles@fbf.

Etudiez à l étranger. Avril 2011. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent. FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris 1 cles@fbf. Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

SOMMAIRE. 2/ Phase de travaux et de lancement

SOMMAIRE. 2/ Phase de travaux et de lancement SOMMAIRE Tout projet doit être mûrement réfléchi pour juger de sa pertinence, de sa faisabilité et des enjeux économiques qui en résultent, de ses coûts et finalement de sa rentabilité. La constitution

Plus en détail

Réforme de la formation professionnelle

Réforme de la formation professionnelle MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes

Plus en détail

ENTREPRISES FAMILIALES VITICOLES DE COGNAC (FRANCE, 1997-2005)

ENTREPRISES FAMILIALES VITICOLES DE COGNAC (FRANCE, 1997-2005) BNDES, Rio de Janeiro, 23 octobre 2009. Colloque Sécurité alimentaire et sécurité énergétique : stratégies d expansion de la production d aliments et d agrocarburants en Europe et au Brésil. SESSION n

Plus en détail

OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER

OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable DESS en Banques et Finances Commissaire aux Comptes et Professeur de droit fiscal OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER www.editions-organisation.com/livres/denos

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

S C P I. Le guide de l investissement en SCPI

S C P I. Le guide de l investissement en SCPI S C P I Le guide de l investissement en SCPI Version de Février 2013 Pourquoi ce guide? Jonathan DHIVER Fondateur de MeilleureSCPI.com En tant que spécialiste du conseil en investissement immobilier, nous

Plus en détail

Sociétés d Exercice Libéral. Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl

Sociétés d Exercice Libéral. Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl Sociétés d Exercice Libéral Par : Gérard De BRUYKER Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl En 1999, certains clients médecins et chirurgiens dentistes, nous ont consulté

Plus en détail

Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité.

Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité. Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité. Septembre 2011 Contact : Muriel LESAINT, chef de projet. muriel.lesaint@educagri.fr Tel : 03 84 87 21 06 Contenu

Plus en détail

Qu est-ce que le C.I.C.E.?

Qu est-ce que le C.I.C.E.? Qu est-ce que le C.I.C.E.? L article 66 de la loi de finances rectificative pour 2012 n 2012-1510 du 29 décembre 2012, met en place le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E.). Le C.I.C.E. a pour objectif

Plus en détail

Sommaire. Recruter et intégrer des seniors

Sommaire. Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Bonnes pratiques des entreprises en matière de maintien et de retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l action Recruter et intégrer des seniors Recruter des seniors, c est d

Plus en détail

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les

Plus en détail

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations

Plus en détail

Annexe n 1 au compte-rendu du GT sur l économie locale, les commerces et l agriculture (12/1/15) Profil des 12 personnages

Annexe n 1 au compte-rendu du GT sur l économie locale, les commerces et l agriculture (12/1/15) Profil des 12 personnages Annexe n 1 au compterendu du GT sur l économie locale, les commerces et l agriculture (12/1/15) Profil des 12 personnages Principe du jeu de rôle : Mettez vous dans la peau de et répondez aux questions

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

L exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats

L exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats L exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats Le contexte agricole change profondément depuis quelques années et génère de des évolutions qui dessinent sans doute progressivement

Plus en détail

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS RECUEIL IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 Institut de l Élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12 Boucle électronique officielle : questions-réponses

Plus en détail

FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville

FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Ma 28/5 Me 29/5 J 30/5 V 31/5 S 1/6 Lyon Place de la République Marseille Place Léon Blum (Devant la Mairie du 1 er et 7 éme arrondissement) Montpellier Place Paul Bec (Antigone) Toulouse Place Olivier

Plus en détail

LE PERP retraite et protection

LE PERP retraite et protection LE PERP retraite et protection Benoit Rama http://www.imaf.fr Le PERP (Plan d Épargne Retraite Populaire) est une mesure d encouragement à la préparation de la retraite destinée aux salariés. Il copie

Plus en détail

TERRE D AVENIR 2 MARS 2013

TERRE D AVENIR 2 MARS 2013 TERRE D AVENIR 2 MARS 2013 LA SÉCURITÉ EN TOUTE LIBERTÉ Terre d avenir 2, un contrat d assurance vie souple qui s adapte à vos besoins Une nouvelle génération de contrat d assurance vie qui vous aide À

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

Guide pratique de l épargnant

Guide pratique de l épargnant Guide pratique de l épargnant Article 83 euro rendre votre contrat / Effectuer des versements individuels facultatifs / La vie de votre contrat en 8 questions / C otre complément de revenu / Consulter

Plus en détail

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide

Plus en détail

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier. Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

[ Adie Contact : un lien avec le créateur sur la durée. [ L informatique se met à la portée des créateurs. [ Une action au coût limité

[ Adie Contact : un lien avec le créateur sur la durée. [ L informatique se met à la portée des créateurs. [ Une action au coût limité Le pôle accompagnement : L offre d accompagnement de l Adie est accessible aux créateurs pendant toute la durée de remboursement de leur prêt et à pour but de les aider à pérenniser et à développer leur

Plus en détail

Etudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles

Etudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles Sondage de l Institut CSA pour LinkedIn Février 203 Sommaire Fiche technique du sondage p 3 Des jeunes optimistes pour eux-mêmes malgré un contexte

Plus en détail

Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble!

Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble! Le Livret d accueil du Repreneur Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble! 2 3. Sommaire Le CRA Ce livret a pour vocation de vous aider à utiliser d une manière optimale l

Plus en détail

Projet de création / reprise d entreprises

Projet de création / reprise d entreprises Projet de création / reprise d entreprises Repère méthodologique pour élaborer votre plan d affaires Cet outil est destiné à vous aider dans l élaboration de votre plan d affaires. Il est scindé en 2 parties

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.

Plus en détail