RAPPORT RBM/WG/2012/REP5 Avril 2013 Document final Diffusion générale Version anglaise, française

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1 RAPPORT RBM/WG/2012/REP5 Avril 2013 Document final Diffusion générale Version anglaise, française Troisième atelier conjoint RBM Fonds Mondial sur la gestion des achats et des stocks (GAS) «Résoudre les goulots d étranglement liés au GAS» Tunis (Tunisie) 18 au 20 septembre

2 Sommaire Sommaire ACRONYMES CONTEXTE OBJECTIFS et RÉSULTATS ATTENDUS... 3 a. Objectifs... 3 b. Résultats attendus PARTICIPANTS MÉTHODOLOGIE DE TRAVAIL... 4 a. Avant l atelier... 4 b. Durant l atelier RÉSUMÉ DES PRÉSENTATIONS ET DES DISCUSSIONS... 5 a. MILDA... 5 b. CTA et TDR... 6 c. Insecticide pour Pulvérisation Intra-Domiciliaire... 6 d. Défis du système GAS... 6 e. Solutions générales proposées LES RESULTATS DE L ATELIER ÉTAPES SUIVANTES... 8 a. Pour les pays... 8 b. Pour le groupe de travail RBM sur la gestion des achats et de la chaîne d approvisionnement (PSMWG)... 8 c. Pour le PSMWG, le secrétariat du Fonds mondial, l AMDS et les autres parties prenantes... 8 d. Pour le Fonds mondial ANNEXE I Programme ANNEXE II Liste des participants et des facilitateurs ANNEXE III Groupes de pays et facilitateurs ANNEXE IV Consolidation des plans d action GAS finalisés de 27 pays participants ANNEXE V Assistance technique requise

3 1. ACRONYMES AEDES AQ BP CCC CHAI CMM CP CQ CTA FM FPM GAS GMP GTT IEC IST JSI MILDA MSH OMS PID PNLP POS PSI PSMGW Agence Européenne pour le Développement et la Santé Assurance qualité Bénéficiaire principal Communication et Changement de Comportement Initiative Clinton pour l accès à la santé (Clinton Health Acces Initiative) Consommation Moyenne Mensuelle Condition suspensive Contrôle qualité Combinaison thérapeutique à base d artémisinine Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Gestionnaire de portefeuille du Fonds (Fund Portfolio Manager) Gestion des achats et des stocks Programme mondial pour la lutte contre le paludisme Groupe de Travail Technique Information, Education et Communication Équipe d appui interpays (OMS) John Snow, Inc. Moustiquaire imprégnée d insecticide à longue durée d action Management Sciences for Health Organisation mondiale de la Santé Pulvérisation intradomiciliaire d insecticides à effet rémanent Programme national de lutte contre le paludisme Procédure opérationnelle standard Population Services International Groupe de travail RBM sur la gestion des achats et de la chaîne d approvisionnement RBM Partenariat Roll Back Malaria («Faire reculer le paludisme») RDC République démocratique du Congo S&E Suivi et évaluation SB Sous-bénéficiaire SIGL Système d information pour la gestion logistique SRN Réseau RBM sous-régional SSF Flux unique de financement, FM TDR Test de diagnostic rapide TF Équipe spéciale inter-agences autour des CTA/TDR TRP Comité technique d examen des propositions du Fonds mondial UNICEF Fonds des Nations Unies pour l Enfance VPP WHOPES Mécanisme volontaire d approvisionnement groupé (Voluntary Pooled Procurement) Système OMS d évaluation des pesticides 2

4 2. CONTEXTE Après le succès des trois ateliers organisés par le groupe de travail RBM sur la gestion des achats et de la chaîne d approvisionnement (PSMWG), à savoir : - un premier atelier organisé en 2008 à Kampala sur le thème des plans GAS du Fonds mondial ( selon le modèle d analyse du Comité technique d examen des propositions du Fonds mondial, TRP ) à l initiative du PSMWG seul, - puis deux ateliers organisés conjointement par RBM-PSMWG et le Fonds mondial : o o en 2009 à Genève sur le thème des défis pour les MILDA (présentations et sessions de questionsréponses), et en 2010 à Accra sur le thème des défis GAS (selon le modèle d analyse du TRP) pour 21 pays, le Fonds mondial et le PSMWG ont organisé un troisième atelier conjoint sur le thème de la résolution des goulots d étranglement liés au GAS du 18 au 20 septembre 2012 à Tunis (Tunisie). Au terme de plusieurs années d intensification des interventions de lutte contre le paludisme, les pays ont acquis des connaissances considérables sur les goulots d étranglement liés au GAS et sur leur résolution. Ils ont donc de nombreuses expériences à partager et disposent des moyens de s entraider. 3. OBJECTIFS et RÉSULTATS ATTENDUS a. Objectifs Cet atelier avait pour objectif premier de permettre aux pays de s entraider entre pairs au sujet de leurs goulots d étranglement liés au GAS. À cet effet, les délégations des pays composées de trois gestionnaires GAS expérimentés travaillant au niveau i) du programme national de lutte contre le paludisme, ii) de l unité d approvisionnement du ministère de la Santé/de la centrale d achat des médicaments, et du iii) bénéficiaire principal du Fonds Mondial, ont eu l occasion de : 1. Présenter de quelle façon ils ont résolu récemment leurs goulots d étranglement liés à la quantification et au GAS, puis de préciser pour quels goulots d étranglement, le cas échéant, ils souhaitent des conseils. 2. Participer à des séances de travail avec les délégations des autres pays, deux par deux, de manière à partager des orientations concrètes avec les pays ayant résolu leur(s) goulot(s) d étranglement et avec ceux qui sont confrontés au(x) même(s) goulot(s) d étranglement. 3. Fournir un retour d information au Fonds Mondial, aux partenaires de RBM et à l OMS au sujet de leurs processus et exigences respectives. 4. Recevoir des conseils additionnels de la part du Fonds Mondial, de l OMS et des partenaires de RBM sur les nouveaux processus et exigences concernant le contrôle qualité, la sélection des produits et les systèmes d information. 5. Établir un plan d action GAS pour résoudre les goulots d étranglement et définir l assistance technique requise, le cas échéant, de la part des autres pays ou des partenaires. b. Résultats attendus 1. Les directives récentes de l OMS, du Fonds mondial et de RBM ont été partagés avec les pays. 2. Un plan d action pour résoudre les goulots d étranglement liés au GAS est disponible pour chaque pays. 3

5 4. PARTICIPANTS - 82 participants venant de 31 pays : Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d Ivoire, Érythrée, Éthiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée équatoriale, Kenya, Madagascar, Malawi, Mali, Niger, Ouganda, RDC, République centrafricaine, Sao Tomé-et-Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Sud- Soudan, Swaziland, Togo, Zambie, Zanzibar et Zimbabwe. Les délégations des pays étaient constituées de gestionnaires GAS : Un gestionnaire GAS du programme national de lutte contre le paludisme, Un gestionnaire GAS (pour les intrants du paludisme) de l «unité GAS» du Ministère de la Santé (Direction, centrale d achat des médicaments, etc ), Un gestionnaire GAS du bénéficiaire principal facilitateurs membres des organisations suivantes : IST/AFRO, OMS, UNICEF, AEDES, i+solutions, Fondation IDA, secrétariat du Fonds mondial, Secrétariat RBM Un certain nombre de facilitateurs d organisations basées aux États-Unis, CHAI, JSI, MSH et PSI, n ont pas pu faire le voyage pour des raisons de sécurité, ainsi qu un facilitateur d une Académie indienne : Empower School of Health (Paul Lalvani, co-président). La liste définitive des participants figure en annexe II. 5. MÉTHODOLOGIE DE TRAVAIL a. Avant l atelier Avant l atelier, les pays ont reçu un formulaire leur permettant de consigner les éléments suivants : 1. Progrès réalisés par rapport aux plans d action établis lors de l atelier GAS de 2010 à Accra (Ghana) pour résoudre leurs goulots d étranglement, 2. Goulots d étranglement identifiés et résolus depuis, 3. Actions entreprises ou prévues pour résoudre les goulots d étranglement actuels, c est-à-dire leur plan d action en cours pour résoudre leurs goulots d étranglement. En se basant sur les 28 plans d action GAS reçus avant la réunion, le programme de l atelier a été revu afin de mieux répondre aux besoins exprimés par les pays (cf. Annexe I). b. Durant l atelier Les facilitateurs se sont retrouvés avant la réunion pour discuter et finaliser les méthodologies et les processus à utiliser lors de l atelier. Il a été convenu de donner plus de temps aux délégations des pays durant les sessions plénières et en petits groupes, afin de leur offrir l opportunité de partager leurs expériences et de discuter de leur plan d action GAS provisoire, ainsi que de leur contexte national, des défis à relever et des solutions trouvées. Les séances en groupes ont été organisées en combinant les pays deux par deux, plus rarement par trois, en tenant compte de leur similitudes opérationnelles, géographiques et linguistiques, puis en leur affectant un ou deux facilitateurs. 4

6 Le programme définitif de l atelier est le reflet de cet esprit - réduire le temps consacré aux présentations et encourager le partage d expériences entre les pays. La liste des groupes de pays et des facilitateurs alloués à chaque groupe figure en annexe III. 6. RÉSUMÉ DES PRÉSENTATIONS ET DES DISCUSSIONS Les présentations et discussions en plénières ont mis en évidence des défis spécifiques aux intrants du paludisme, mais aussi des défis relatifs au système GAS, à la gestion des cas de paludisme, ainsi qu aux politiques et systèmes de lutte anti-vectorielle. a. MILDA 1. Le Fonds mondial explore actuellement les moyens pour une sélection plus rationnelle des MILDA et évalue l impact de certaines spécifications des MILDA pour l optimisation des ressources. Ceci pourrait se traduire par de futures recommandations pour la sélection des MILDA. Dans certains cas, l impact des spécifications des MILDA est très clair : o Couleur : l impact sur les coûts est négligeable. Le choix entre les couleurs - blanc, bleu et vert - peut donc être conservé. o Hauteur : une MILDA de 180 cm de haut coûte US $0,79 de plus qu une moustiquaire de 170 cm et exige un délai de fabrication plus long. Seules les MILDA d une hauteur inférieure ou égale à 170 cm de haut pourraient être recommandées à l avenir. o Largeur : les MILDA d une largeur inférieure ou égale à 130 cm favorisent une occupation individuelle. Pour encourager l occupation double, seules les MILDA d une largeur supérieure ou égale à 130 cm pourraient être recommandées à l avenir. o Motifs graphiques : la présence de motifs graphiques non standard sur les étiquettes et les emballages augmente le coût de US $0,11 par moustiquaire et rallonge le délai de fabrication de 4 à 6 semaines. La recommandation pourrait alors être de ne pas autoriser de différence par rapport aux motifs graphiques standards. Dans d autres cas, il est nécessaire de disposer de plus de données et d analyses : o Emballage en vrac : pour les distributions de masse, des économies très nettes existent pour les coûts de production de l emballage en vrac par rapport à un emballage unitaire des moustiquaires, mais d autres facteurs sont à prendre en compte : coûts de transport, manipulation des moustiquaires non protégées, etc. o Crochets/chaînes : leur présence entraîne un surcoût de US $0,08 à US $0,11 par moustiquaire, mais l impact de l interdiction d acheter des MILDA avec crochets/chaînes n est pas connu. Le Fonds mondial consulte actuellement ses partenaires au sujet des spécifications et de leurs modifications éventuelles. Cependant, il est nécessaire de s assurer que les limitations à certaines spécifications sont rationnelles et justifiées, et permettent la concurrence. 2. L insuffisance des capacités de stockage et la faiblesse des plans de distribution de masse et continue des MILDA entravent le déblocage des fonds du FM. 3. Les pays sollicitent des conseils et du soutien pour réaliser un suivi comparatif de la durée de vie des différentes marques de MILDA dans des conditions réelles d utilisation, afin de pouvoir choisir les MILDA offrant le meilleur rapport qualité-prix. 4. Une plus grande clarté est nécessaire en ce qui concerne les dates d expiration des MILDA lorsqu elles sont stockées pendant deux à trois ans dans leur emballage non ouvert et, notamment, si ces emballages sont biodégradables. 5. Des directives pour l élimination des déchets doivent être établies pour les MILDA usagées et leurs emballages. 5

7 b. CTA et TDR 1. Le Non-respect des directives de traitement du paludisme par les prescripteurs, ainsi que des directives d utilisation des TDR par les agents de santé, entraînent des ruptures de stock imprévisibles ou des surstocks. 2. La faiblesse des prévisions/quantifications et des plans de distribution ainsi que des conditions de stockage non conformes entravent le déblocage des fonds du FM. 3. Le manque de financement ne permet pas de mettre en place un système d assurance qualité des CTA et TDR, de réaliser le contrôle de la qualité des produits avant expédition et tout au long de la chaîne d approvisionnement. 4. Le manque d harmonisation entre les TDR (interchangeabilité) empêchent le processus d approvisionnement concurrentiel, et impose de former/recycler les utilisateurs finaux sur l utilisation des TDR et de superviser les performances à chaque changement de TDR. c. Insecticide pour Pulvérisation Intra-Domiciliaire 1. Lacunes dans le suivi de la résistance aux insecticides, ainsi que pour la sélection et la quantification des insecticides. 2. Le contrôle de la qualité des produits insecticides avant expédition n est pas fait systématiquement. 3. Des directives pour l élimination des déchets sont nécessaires pour les conteneurs et les emballages des insecticides. d. Défis du système GAS 1. Pour tous les intrants du paludisme, les principaux goulots d étranglement GAS identifiés par les pays concernent les processus suivants : quantification (25 pays/27), système d information, gestion des stocks ou stockage (24/27), assurance qualité (23/27), achats (22/27), distribution (20/27), sélection (14/27) et réception (11/27). 2. Les performances des pays sont limités par des systèmes d information pour la gestion logistique (SIGL) qui sont faibles, des prévisions et des quantifications inadéquates, un manque de coordination entre les partenaires et avec le ministère de la Santé, et des retards de livraison des fabricants. 3. Le manque d harmonisation et d alignement des stratégies/outils GAS entre les partenaires constitue un lourd fardeau pour le personnel et augmente les risques d erreurs. 4. Le manque de fonds, l allocation inappropriée des fonds ou les décaissements retardés entravent les achats, la logistique, l assurance qualité et le S&E. 5. La sous-utilisation des systèmes nationaux existants pour les achats et la distribution, qui est parfois due à une méconnaissance de ces système 6. Le manque de formation (au niveau périphérique) ou une mauvaise allocation des compétences disponibles. 7. Les systèmes GAS internationaux ne sont pas conformes aux bonnes/meilleures pratiques en matière de GAS, ni aux politiques pharmaceutiques nationales, ce qui génère des risques importants d inefficacité (indisponibilité de produits de qualité garantie pour la population), une mauvaise optimisation des ressources et des systèmes GAS nationaux non viables. 8. Les conditions suspensives (CP) imposées par le FM sont régies selon le principe de précaution et de limitation des risques plutôt que de gestion des risques. Ces CP sont devenues écrasantes et paralysantes. 9. Les BP et SB ont une mauvaise compréhension des conventions et des procédures opérationnelles du FM entraînant des erreurs et des retards de décaissement. 10. Les BP ne sont pas impliqués dans l élaboration de la proposition ce qui aboutit à des incompréhensions et à des erreurs lors de la mise en œuvre de la proposition. 6

8 11. L utilisation de plusieurs BP et SB complique la mise en oeuvre de la proposition, car les retards d un BP compromettent les performances des autres BP et la planification coordonnée. 12. Le renouvellement fréquent des FPM, chacun avec sa propre méthode de travail, et l impact de la restructuration du FM suscitent des appels à plus de stabilité et à un taux de renouvellement du personnel moins élevé. 13. La pérennité des projets une fois que les bailleurs de fonds ont mené leur projet à terme constitue un problème. 14. De nombreux partenaires/acteurs sont impliqués, il est difficile de trouver des solutions cohérentes. Diverses méthodologies et approches sont donc utilisées et les pays sont confrontés à des difficultés de coordination. 15. Le manque de transparence et de communication du mécanisme VPP concernant les commandes placées/les délais de livraison constituent un véritable problème. Les délais de préavis pour les livraisons sont insuffisants entraînant des frais de surestaries conséquents imputables à des délais de dédouanements supérieurs à 3 à 7 jours. e. Solutions générales proposées 1. Plaider en faveur d une meilleure diffusion des directives et bonnes pratiques de l OMS, des recommandations et meilleures pratiques de RBM (problème de la disponibilité des documents en français et en portugais!) et en faveur d une assistance aux pays, pour traduire tous ces documents en politiques nationales et en outils opérationnels. 2. Mettre en œuvre un SIGL fonctionnel et viable, capable de capturer toutes les données sur les maladies et la consommation des produits. Pour garantir la pérennité du SIGL, des investissements à long terme sont nécessaires. 3. Mettre en place un mécanisme/comité de coordination nationale avec les partenaires et parties prenantes, pour la réalisation d une planification coordonnée et adéquate de la quantification/ du financement/ de l achat et de la distribution des intrants du paludisme, ainsi que pour le partage de l information. 4. Mobiliser des ressources pour acheter les produits, mais aussi pour renforcer le GAS à tous les niveaux de la chaîne d approvisionnement (stockage, logistique, formation GAS, supervision et suivi GAS, contrôle qualité, etc.) et mettre l accent sur les besoins en termes de GAS dans les propositions du FM. 5. Investir en priorité dans le renforcement des systèmes GAS nationaux, plutôt que dans le développement de systèmes parallèles, pour assurer la pérennité du système. 6. Suivre et évaluer les performances des systèmes GAS, et mettre en place les actions correctives qui s imposent. 7. Les conditions suspensives du FM étant spécifiques à chaque pays, il convient d identifier des interventions à court et à long terme pour résoudre les problèmes GAS dans chaque pays 8. Il est nécessaire d harmoniser les indicateurs GAS entre les programmes des 3 maladies prioritaires et entre les partenaires. 9. Des formations sur la mise en oeuvre des conventions et des procédures du FM devraient être organisées à l attention des BP et des SB. 10. Il est important de tenir compte des délais de réalisation des tests de contrôle de la qualité dans le calendrier général du plan d approvisionnement. Dans le domaine de l AQ, les mesures correctives peuvent être financées par le budget GAS. Le FM recommande un budget AQ compris entre 2 et 3 % de la valeur des produits pharmaceutiques. Il est nécessaire de disposer de laboratoires régionaux accrédités pour réduire les délais d obtention des résultats fournis par les laboratoires externes du Nord. 11. Plaider en faveur d une plus grande transparence des partenaires sur les achats (VPP, procédures, planification des commandes, expédition, etc.). 12. Groupe de travail inter-agences sur la gestion des achats et l approvisionnement des CTA (TF) : très peu de participants avaient connaissance de l existence de la TF avant la réunion. Les pays ont demandé à ce qu un calendrier spécifique leur soit envoyé à l avance afin de connaitre la date à laquelle les données devaient être envoyées et ainsi leur permettre de s organiser en conséquence. Ils ont également recommandé de 7

9 simplifier le formulaire de collecte des données. Les pays ont précisé que plusieurs partenaires sont impliqués dans la collecte de données, qu ils sont donc surchargés de requêtes pour les données de stocks et que c est toujours des demandes en urgence. De leur point de vue, il faut impérativement harmoniser les formulaires de collecte de données entre les partenaires et identifier un point focal chargé de centraliser toutes les données sur les produits afin d éviter de dupliquer les collectes d informations. Les pays ont également demandé des formations et des instructions pour apprendre à remplir les formulaires. L information est utile, mais le retour d information est nécessaire. Les pays ont indiqué qu ils ne recevaient aucun feed-back de la part de la TF et qu ils sont donc contrariés de recevoir encore des requêtes pour des collectes de données. L analyse des données par les partenaires au niveau mondial n est pas pertinente. Les pays devraient réaliser eux-mêmes l analyse des données et si un problème de stocks est identifié, ils pourraient transmettre l information à la TF pour une intervention éventuelle. Plus de clarté est nécessaire sur ce que la TF peut faire vis-à-vis des agents d approvisionnement. En résumé, la TF doit repenser sa stratégie de collecte des données et améliorer sa communication avec les pays. 13. Il convient d encourager les échanges entre les pays afin d apprendre les uns des autres par le biais de visites d étude entre pays. 7. LES RESULTATS DE L ATELIER Sur les 31 pays participants, 27 pays ont transmis un plan d action GAS au terme de l atelier. Les 31 pays participants ont reçu une clé USB comportant toutes les directives et bonnes pratiques de l OMS, ainsi que les meilleures pratiques de RBM et les politiques du FM. La consolidation des plans d action GAS des 27 pays est présentée en annexe IV. 8. ÉTAPES SUIVANTES a. Pour les pays Présenter le plan d action GAS au niveau du pays pour obtenir des commentaires et le faire valider par les collègues, la hiérarchie et les parties prenantes Mettre en oeuvre le plan d action GAS. Poursuivre les échanges entre les pays via des s ou des visites dans les pays. b. Pour le groupe de travail RBM sur la gestion des achats et de la chaîne d approvisionnement (PSMWG) Effectuer un suivi auprès des délégations des pays sur la poursuite du développement, l adoption et la mise en oeuvre des plans d action GAS par les collègues, la hiérarchie, les parties prenantes et les partenaires dans le pays. Partager les plans d action GAS des pays avec les réseaux sous-régionaux RBM correspondants pour planifier et organiser l assistance technique requise par les pays. Appuyer, sur demande des pays/réseaux sous-régionaux, la mise en œuvre des solutions pour résoudre les questions GAS spécifiques à la lutte contre le paludisme. Présenter à la 9 e réunion du PSMWG qui aura lieu en novembre 2012, les défis et les solutions rapportés par les pays lors de l atelier de Tunis, afin de développer le plan de travail et le budget 2013 du PSMWG. c. Pour le PSMWG, le secrétariat du Fonds mondial, l AMDS et les autres parties prenantes Assister, sur demande des pays, à la mise en œuvre des solutions GAS intersectorielles selon une approche systémique et intégrée. 8

10 d. Pour le Fonds mondial Explorer les options permettant de consolider davantage les séries et les subventions SSF (flux unique de financement) par maladie, afin qu il n existe plus qu un SSF et un BP par maladie. Garantir une plus grande transparence du mécanisme VPP et partager les informations concernant le renforcement des capacités nationales. Rechercher des moyens pour plus de flexibilité dans l appréciation des goulots d étranglement GAS et dans la gestion des conditions suspensives afin de réduire les délais de décaissement. 9

11 9. ANNEXE I Programme Jour 0 : lundi 17 septembre 2012 Atelier sur la résolution des goulots d étranglement liés au GAS des intrants du paludisme 18 au 20 septembre 2012 à Tunis (Tunisie), Le Palace Hôtel Heure 15h00-18h00 18h00 Réunion des facilitateurs Enregistrement des participants Activité Jour 1 : mardi 18 septembre 2012 Heure SESSION PLÉNIÈRE Activité Présidence : Sophie Logez, co-présidente GAS 8h30-9h00 Ouverture officielle, mots de bienvenue Fonds Mondial : Sophie Logez Groupe de travail Roll Back Malaria sur la GAS : Sophie Logez, co-présidente Objectifs, résultats attendus, agenda et mesure de l impact de l atelier Secrétariat RBM : Jan Van Erps Qu avons-nous appris de l atelier GAS d Accra en 2010? 9h00-9h15 Résultats de l étude de cas menée en RDC sur les goulots d étranglement liés à la GAS lors de la mise en œuvre des subventions du Fonds Mondial, Franck Biayi, ministère de la Santé, RDC 9h15-9h30 Défis, conditions suspensives dans le cadre de la GAS, Mariatou Tala Jallow, Fonds mondial 9h30-9h45 Principaux problèmes GAS rencontrés par les pays, Magali Babaley, Secrétariat RBM SESSION PLÉNIÈRE Présidence : Vincent Habiyambere, OMS/VIH 9h45-10h45 Comment les pays voient et traitent leurs problèmes liés à la mise en œuvre de la GAS? Qu est-ce que les pays attendent de cet atelier? 10h45-11h15 PAUSE CAFÉ 10

12 SESSION PLÉNIÈRE Présidence : Vincent Habiyambere, OMS/VIH Thème 1 : sélection, achat, AQ/CQ Objectif de la session : mises à jour des directives 11h15-11h35 11h35-11h45 Mise à jour sur les directives et les bonnes pratiques OMS relatives à la sélection, l achat et à l assurance qualité pour les CTA et les TDR, Silvia Schwarte, OMS/GMP Questions et réponses 11h45-12h05 12h05-12h15 Assurance qualité pour les MILDA, Jolanta Wozniak, Supply Division de l UNICEF Questions et réponses 12h15-12h45 12h45-12h55 Mise à jour sur la politique d assurance qualité du Fonds Mondial pour les produits de santé, Sophie Logez, Fonds mondial Spécifications des MILDA Optimisation des ressources Mariatou Tala Jallow, Fonds mondial Questions et réponses 12h55-13h00 13h00-14h00 14h00-17h30 Informations logistiques pour les séances en groupes, Jan Van Erps et Magali Babaley, Secrétariat RBM DÉJEUNER SÉANCE EN GROUPES sur la sélection, l achat, l AQ et le CQ Ensemble du groupe divisé en 13 tables rondes de 2 à 3 délégations de pays À chaque table ronde, les 2 à 3 pays discutent entre pairs le Plan d action de l autre pour résoudre les défis GAS liés à la sélection, l achat, l AQ/le CQ Café disponible SESSION PLÉNIÈRE Présidence : Sophie Logez, co-présidente GAS - Jan Van Erps, Secrétariat RBM 17h30-18h30 18h30-19h00 19h30 Commentaires des délégations des pays sur le format, le déroulement de l atelier et les séances en groupes Réunion des facilitateurs Cocktail/réception 11

13 Jour 2 : mercredi 19 septembre 2012 Heure SESSION PLÉNIÈRE Activité Présidence : Vincent Habiyambere, OMS/VIH Thème 2 : SIGL, quantification/prévision et distribution Objectif de la session : mises à jour des directives et expériences des pays/success stories 8h30-8h45 Leçons tirées de la veille, co-présidents GAS 8h45-10h15 Équipe spéciale inter-agences : évaluation des risques des ruptures de stock et de surstocks dans les pays et actions mises en œuvre pour mitiger les risques commentaires des pays, Silvia Schwarte et Caroline Bogren, OMS/GMP 10h15-10h55 10h55-11h25 11h25-12h05 Expérience du Zimbabwe, Arthur Peter SANYANGA, Direction de la Pharmacie PAUSE CAFÉ Expérience du Burkina Faso, Dr Arsène Ouédraogo, Direction Générale de la Pharmacie, du Médicament et des Laboratoires (DGPML) 12h05-12h45 Principes de quantification/prévision et de planification de la distribution de masse des MILDA, Elena Trajkovska, Supply Division de l UNICEF 12h45-13h00 13h00-14h00 14h00-18h30 Informations pour les séances en groupes, Magali Babaley, Secrétariat RBM DÉJEUNER SÉANCES EN GROUPES sur le SIGL, la quantification/prévision et la distribution Ensemble du groupe divisé en 13 tables rondes de 2 à 3 délégations de pays À chaque table ronde, les 2 à 3 pays discutent entre pairs le Plan d action de l autre pour résoudre les défis GAS liés au SIGL, à la quantification/prévision et à la distribution Café disponible 18h30-19h00 Réunion des facilitateurs 12

14 Jour 3 : jeudi 20 septembre 2012 Heure 8h30-8h45 SESSION PLÉNIÈRE Leçons tirées de la veille, co-présidents GAS Activité Présidence : Mamessilé Assih, Cameg-Togo 8h45-10h55 Discussions plénières : Restitution par les pays des solutions identifiées 10h55-11h00 11h00-11h30 11h30-13h00 Informations pour les séances en groupes, Magali Babaley, Secrétariat RBM PAUSE CAFÉ SÉANCES EN GROUPES pour la finalisation des plans d action provisoires des pays Les délégations des pays finalisent les plans d action provisoires pour la résolution des goulots d étranglement liés à la GAS Délégations des pays + facilitateurs 13h00-14h00 Café disponible SESSION PLÉNIÈRE DÉJEUNER Présidence : Vincent Habiyambere, OMS/VIH 14h00-16h00 Revue de l atelier Discussions plénières : questions en suspens Clôture officielle de l atelier Secrétariat RBM : Jan Van Erps Fonds mondial : Mariatou Tala Jallow Groupe de travail RBM sur la gestion des achats et de la chaîne d approvisionnement 16h00-16h30 Réunion des facilitateurs Co-présidents du groupe de travail GAS : Secrétariat du Fonds mondial : Secrétariat RBM : Sophie Logez : Sophie.logez@theglobalfund.org Paul Lalvani : paul.lalvani@empower.net.in Sophie Logez : Sophie.logez@theglobalfund.org Mariatou Tala Jallow : mariatou.jallow@theglobalfund.org Jan Van Erps : vanerpsj@who.int Magali Babaley : babaleym@who.int Plusieurs intervenants/facilitateurs d organisations basées aux États-Unis avaient confirmé leur venue, mais ont dû annuler leur voyage à la dernière minute pour des raisons de sécurité : Paul Lalvani de la Empower School of Health de New Dehli (coprésident GAS), Lisa Hare de JSI (co-présidente de l axe de travail sur les défis GAS), Rima Shretta et Gladys Tetteh de MSH, ainsi que Luke Rooney de CHAI. 13

15 10. ANNEXE II Liste des participants et des facilitateurs N Pays Nom Fonction Structure/organisation Téléphone PAYS ENDÉMIQUES 1 Bénin Chérifatou Bello ADJIBABI Pharmacien chargé des intrants du PNLP (229) cheribel_01@yahoo.fr paludisme 2 Bénin Eugène Gualbert MONTCHO Pharmacien chef de l'unité de gestion des CAME, centrale d achat (229) meggua2005@yahoo.fr programmes spécifiques 3 Bénin Zimé Rachade NAKOU Pharmacien chargé de la GAS AFRICARE, BP (229) rnakou@africare.org 4 Botswana Maungo GASENNA Pharmacien Centrale d achat des médicaments (267) gasemaungo@yahoo.com 5 Botswana Daniso MBEWE Chargé de l information RBM-SARN/IFRC (267) daniso.mbewe@ifrc.org 6 Botswana Boitumelo Mpho LESASO Assistante du Coordinateur pour le réseau RBM-SARN/IFRC (267) boitumelo.lesaso@ifrc.org sous-régional RBM pour l Afrique du Sud 7 Burkina Faso Jean Pascal SANDWIDI Responsable de la planification et du S&E PNLP (226) psandwidi@yahoo.fr 8 Burkina Faso Arsène OUEDRAOGO Directeur Direction des approvisionnements (226) arsene.ouedraogo@gmail.com pharmaceutiques, DGPML 9 Burundi Emmanuel NSENGIYUMVA Directeur technique CAMEBU, centrale d achat (257) emmansengi@yahoo.fr 10 Burundi Ignace BIMENYIMANA Coordonnateur Projets Fonds Mondial de Lutte contre (257) bimenyimana@yahoo.fr le Paludisme 11 Burundi Lydwine BARADAHANA Directeur PNILP (257) baradahanalidwine@yahoo.fr 12 Cameroun Forssah Dorothy ACHU Chef de la section Prise en Charge des CAS PNLP (237) dollykah@yahoo.com Cameroun Solange KOUAKAP Sous-directeur DPM (237) stkouakap@yahoo.fr 13 (237) Cameroun Tabi Sampson Nkeng Directeur adjoint des exploitations CENAME, centrale d achat (237) nkengtabi@yahoo.com Côte d Ivoire Mea Antoine TANOH Directeur Coordinateur PNLP (225) tanomeaantoine@yahoo.fr 15 tanohmea@hotmail.fr 16 Côte d Ivoire Yépié Armande YAPI Pharmacienne PNLP (225) yyaej@yahoo.fr 17 Côte d Ivoire Yolande Olga ANDJI BLA Point focal Paludisme, Responsable GAS, Chef de service Médicaments essentiels et ARV Pharmacie de la Santé Publique-Côte d Ivoire (PSP), centrale d achat (225) yolandeolga@yahoo.fr drblayo@psp.ci 18 Érythrée Asemehey YEBIO Director Finance Administration & Finance, ministère de la Santé 19 Érythrée Selam Mihreteab UQUBAY Entomologiste point focal S&E pour le PNLP selamino2001@yahoo.com paludisme 20 Érythrée Yemane ZEREMARIAM Pharmecor Eritrea yemanezer@gmail.com 21 Éthiopie Tseganeh AMSALU Grant manager team leader Grant management and finance (251) tseganeh2009@yahoo.com directorate, ministère de la Santé 22 Gabon Patience NTONGONE OKE Expert Gas BP avoilesame@yahoo.fr 14

16 N Pays Nom Fonction Structure/organisation Téléphone Gabon Pasteur Louis Gaspard OBIANG OBAME Président CCM (241) Gambie Babading SABALLY Pharmacien en chef National Pharmaceutical Services, (220) ministère de la Santé 25 Gambie Balla KANDEH Pharmacien en chef PNLP (220) Gambie Adam Secka BAH Chargé des achats PNLP 27 Ghana Felicia AMOO-SAKYI Chargé du programme pour la zone Nord PNLP (233) Ghana Kwasi BRENYAH Coordinateur GAS PNLP (233) Ghana Naana FREMPONG Expert GAS pour les intrants du paludisme Procurement and Supply Directorate, (233) auprès du BP ministère de la Santé 30 Guinée équatoriale Juan Oma ESUA NCO Chargé des médicaments Ministère de la Santé (240) Guinée équatoriale Teodosia EVUNA AYETEBE Gestion des cas PNLP (240) Guinée équatoriale Maria Gloria NSENG NCHAMA Directeur PNLP (240) Kenya David SOTI Head, Division of Malaria Control Ministry of Public Health and Sanitation (254) Kenya Permenas David MUTTU Procurement Manager, Programs Kenya Medical Supplies Agency (254) Kenya Josephine Mwango MOGAKA Supply chain management officer Ministère de la Santé, BP (254) Madagascar Madagascar Benja Harinivo RANDRIAMANALINA Benjamin RAMAROSANDRATANA Chargé de programme UGP de la Centrale d achat SALAMA (Organisme chargé de l'acquisition des intrants Palu de Madagascar) (261) benja_randriamanalina@yahoo.fr Directeur PNLP (261) rabefan2009@yahoo.fr 38 Malawi John Hafu SANDE Gestionnaire des cas de paludisme PNLP (265) jhsande@yahoo.co.uk Malawi Maxwell Nyirongo Administrateur principal des achats Specialised Procurement Unit in the (265) maxwell_chimkokomo@yahoo.com 39 CHIMKOKOMO Department of Administration, ministère de la Santé 40 Malawi Yohane Mmanga MISOMALI Comptable (point focal du Fonds mondial) Ministère de la Santé (265) misomaliy@yahoo.com 41 Mali Safoura BERTHE Point focal Suivi des intrants PNLP (223) safbc2003@yahoo.fr Mali Zoumana FANE Chef de Division Expédition/Vente/ Pharmacie Populaire du Mali (PPM), (223) zoufane2002@yahoo.fr Département Distribution centrale d achat Niger Sanouna ISSIFI Responsable du S&E série 7, paludisme Catholic Relief Services (CRS) (227) Issifi.sanouna@crs.org Niger Ibrahim TANKARI Contrôleur de gestion au Fonds Commun BP désigné pour la subvention RSS R10 (227) (227) itankari@yahoo.fr Niger Zodi ALKASSOUM Chargé Approvisionnements série 7 PNLP (227) zodialkassoum@yahoo.fr Paludisme et série 5/Amfm 15

17 N Pays Nom Fonction Structure/organisation Téléphone RDC Franck BIAYI Responsable GAS Cellule d Appui et de Gestion des financements du Secteur Santé, Ministère de la Santé Publique (243) biayifranck@yahoo.fr RDC Nadine HEMEDI TASUMINI Assistant GAS paludisme Cellule d'appui et de gestion, Ministère (243) nhemedi@yahoo.fr de la Santé Publique RDC Thomas LUZOLO LUA Pharmacien chargé des médicaments PNLP (243) staffpreso@yahoo.fr KUNGIENDA RDC Franck KABENGA Responsable de la chaîne SANRU (243) kabengaf@outlook.com d approvisionnement République centrafricaine République centrafricaine République centrafricaine Sao Tomé-et-Principe Sao Tomé-et-Principe Jean Méthode MOYEN Joseph GREMBO Marie Laure YETE Alzira Segunda SILVA DO ROSARIO João ALCANTARA VIEGAS D'ABREU Représentant du Programme National de lutte contre le Paludisme Pharmacien Coordonnateur Projet UCM/Fonds Mondial Expert GAS du BP en charge de la quantification de tous les intrants utilisés dans la lutte contre le paludisme Directeur Responsable Sénégal Ibrahima DIALLO Chargé de la Pharmacovigilance et du contrôle de la qualité Sénégal Mamadou Lamine DIOUF Pharmacien/responsable des achats et des approvisionnements PNLP (+236) methodemoyen@yahoo.fr Unité de Cession du Médicament (236) jogrembo@yahoo.fr (UCM), centrale d achat CN/CNLS, BP (236) mamikama@yahoo.fr Centre National des Endémies (paludisme, SIDA, tuberculose) (239) rosarioalzira@gmail.com Département de Formation et de (239) joaoalcantara2@hotmail.com Gestion des consommables PNLP (221) haril76@yahoo.fr PNLP (221) dioufdunga@yahoo.fr 57 Sénégal Ndella DIAKHATE Administrateur de projet Fonds Mondial IntraHealth International (221) ndelladiakhate@yahoo.fr 58 Sierra leone Samuel Juana SMITH Directeur du programme PNLP (232) samueljuana@yahoo.com 59 Sierra leone Kenewa Nurudeen GAMANGA Chargé des chats Unité du BP, Fonds mondial (232) kgamanga@yahoo.co.uk 60 Sierra leone Mohamed KALLON Responsable des achats Ministry of Health and Sanitation sweetkallon2002@yahoo.com 61 Somalie Gideon CHELULE Spécialiste GAS UNICEF (254) gchelule@unicef.org 62 Somalie Abdi ABDILLAHI ALI Coordinateur PNLP (252) dr.abdi_a4@hotmail.com 63 Somalie Said MOHAMED ABDIRAHMAN Chargé de la logistique pour le Fonds Health and Human services, ministère (252) mcslosgry@yahoo.com mondial de la Santé Sud-Soudan Ronjo Mayik NEJOWK Responsable phramaceutique Directorate of Pharmaceuticals and (211) ronjo_a@yahoo.com 64 Equipment Soudan Fahad Awad Ali ELNOUR Point focal du Fonds mondial PNLP (249) fahad7810@yahoo.com 65 (249) Soudan Osama Musa Bella HUSSIAN Spécialiste Chaîne d approvisionnement UNDP (249) Osama.hussian@undp.org 67 Soudan Sufian MOHAMED ABDIN Spécialiste GAS Central Medical Supplies Public Corp. (249) Sufian_cms@live.com FADUL 16

18 N Pays Nom Fonction Structure/organisation Téléphone 68 Swaziland Simon Phindi KUNENE Directeur du programme PNLP (268) Swaziland Lynette L. KUNENE Directeur des achats NERCHA, bénéficiaire principal (268) (268) Direct 70 Swaziland Sincedile Hlobsile DLAMINI Administrateur principal des achats Ministère de la Santé (268) Togo Mamessile ASSIH Directrice CAMEG-TOGO, centrale d achat (228) mamessile@yahoo.fr 71 mamessile@gmail.com 72 Togo Ayi Hervé D'ALMEIDA Direction des Projets et Programmes de CAMEG-TOGO, centrale d achat (228) dalmeidaherve@yahoo.fr Santé 73 Togo Poukpessi ADJELOH Chargé de la logistique des intrants PNLP (228) adjeloh@yahoo.fr 74 Ouganda Miriam Nancy AMONY Responsable de la gestion des achats et de The Aids Support Organization Limited (256) amonynancy@yahoo.co.uk la chaîne d approvisionnement Uganda 75 Ouganda Morris OKUMU Spécialiste PSM (256) morriokum@gmail.com 76 Zambie George Mwila MULENGA Spécialiste des achats Ministère de la Santé - Gouvernement mwilamg@yahoo.co.uk de la Zambie 77 Zambie Moonga Belden HAWELA Parasitologiste en chef National Malaria Control Centre - (260) mhawela@yahoo.co.uk Ministère de la Santé 78 Zanzibar Mwinyi I MSELLEM Gestionnaire adjoint du programme Zanzibar Malaria Control Program (255) mmwinyi@hotmail.com Zanzibar Zahran Ali HAMAD Coordinateur des services pharmaceutiques Zanzibar Malaria Control Program (255) zapharmas@yahoo.com 80 Zimbabwe Arthur Peter SANYANGA Pharmacien, lutte contre le paludisme Pharmacy Directorate (263) asanyanga@zol.co.zw 81 Zimbabwe Shadreck SANDE Chargé de la lutte antivectorielle PNLP (263) ssande@nmcpzim.co.zw 82 Zimbabwe Karen HONG Spécialiste des achats et de la chaîne UNDP Zimbabwe, GFTAM PMU, (263) karen.hong@undp.org d approvisionnement bénéficiaire principal FACILITATEURS 1 Kenya Besrat HAGOS Spécialiste des achats pour le programme UNICEF-ESARO (254) bhagos@unicef.org 2 Suisse Betty UDOM Conseillère Secrétariat RBM (41) udomb@who.int 3 Suisse Carine WERDER Administratrice technique, experte GAS Fonds mondial (41) Carine.Werder@theglobalfund.org 4 Suisse Caroline BOGREN Manager OMS/GMP (41) bogrenc@who.int 5 Sénégal Caroline DAMOUR Spécialiste GAS senior UNICEF-WCARO (221) cdamour@unicef.org 6 Suisse Caroline NDIAYE Chargée de la Gouvernance Secrétariat RBM (41) ndiayec@who.int 7 Danemark Elena TRAJKOVSKA Spécialiste des contrats, unité de prévention Division Supply de l UNICEF (45) etrajkovska@unicef.org et de diagnostic du paludisme 8 France Eric-Marie DUPUY Consultant Consultant (33) eric-marie.dupuy@orange.fr 9 Suisse François JOUBERTON Administrateur technique, expert GAS Fonds mondial (41) Francois.Jouberton@theglobalfund.org 10 Suisse Jan Van ERPS Coordinateur Secrétariat RBM (41) vanerpsj@who.int 17

19 N Pays Nom Fonction Structure/organisation Téléphone 11 Pays-Bas Jean-Charles MERDY Consultant senior i+solutions (31) Danemark Jolanta WOZNIAK Responsable du centre d assurance qualité Division Supply de l UNICEF jwozniak@unicef.org 13 Belgique Julien DESCHAMPS Consultant AEDES (33) deschampsjulien2011@yahoo.fr 14 Gabon Loic AUBRY Expert GAS OMS/IST (241) aubryl@who.int 15 Pays-Bas Luuk-Jan BOOK Directeur général i+solutions (31) ljboon@iplussolutions.org 16 Suisse Magali BABALEY Conseillère Secrétariat RBM (41) babaleym@who.int 17 Suisse Mariatou Tala JALLOW Manager, équipe d appui aux Co-président de l axe de travail sur les (41) mariatou.jallow@theglobalfund.org approvisionnements goulots/défis de la GAS, Fonds mondial 18 Pays-Bas Nicolas BABLON Directeur régional Afrique Fondation Ida (31) nbablon@idafoundation.org 19 France Olivier BARTHES Consultant AEDES obarthes1@orange.fr 20 Belgique Pierre LEPLAT Consultant Consultant (32) pierre.leplat@yahoo.fr 21 Suisse Richard CARR Conseiller Secrétariat RBM (41) carrr@who.int 22 Suisse Silvia SCHWARTE Administratrice technique OMS/GMP (41) schwartes@who.int 23 Suisse Sophie LOGEZ Manager, gestion des achats et de la chaîne d approvisionnement Co-présidente du groupe de travail sur la GAS, Fonds mondial (41) Sophie.Logez@theglobalfund.org 24 Suisse Vincent HABIYAMBERE Administrateur technique OMS/VIH (41) habiyamberev@who.int AUTRES Suisse Marilyne VONLANTHEN Assistante Secrétariat RBM, Appui aux (41) vonlanthenm@who.int 1 approvisionnments 2 Pays-Bas Marie LAMY Assistante de direction i+solutions (31) mlamy@iplussolutions.org

20 11. ANNEXE III Groupes de pays et facilitateurs Pays Facilitateur 1 Facilitateur 2 1 Bénin/Burkina Faso François Jouberton Julien Deschamps 2 République centrafricaine/sao Tomé-et-Principe Vincent Habiyambere Olivier Barthes 3 RDC/Côte d Ivoire Carine Werder Caroline Ndiaye 4 Érythrée/Ouganda Elena Trajkovska Sophie Logez 5 Gabon/Cameroun/Burundi Betty Udom Magali Babaley 6 Gambie/Ghana Jolanta Wozniak Richard Carr 7 Kenya/Soudan/Éthiopie Silvia Schwarte Tala Jallow 8 Madagascar/Guinée équatoriale Loic Aubry Pierre Leplat 9 Malawi/Sierra Leone Caroline Bogren 10 Mali/Niger Caroline Damour Nicolas Bablon 11 Somalie/Zanzibar/Swaziland Jan Van Erps 12 Togo/Sénégal Eric-Marie Dupuy Jean-Charles Merdy 13 Zambie/Zimbabwe/Botswana Besrat Hagos 14 Sud-Soudan Magali Babaley 19

21 12. ANNEXE IV Consolidation des plans d action GAS finalisés de 27 pays participants SÉLECTION (14 pays sur 27) Catégorie d intrants du paludisme CTA CTA Principaux problèmes rapportés par les pays Non-respect des directives de traitement du paludisme par les prescripteurs Conduisant à des sous ou sur-prescriptions rendant difficile les estimations et les prévisions de consommation des CTA et des TDR et entraînant des risques de ruptures de stock et/ou de surstocks, ainsi que des péremptions de médicaments Manque de données factuelles au niveau national pour garantir une sélection objective des CTA de 1 ère et 2 e ligne : - Efficacité des CTA - Résistance des parasites aux CTA - Comportement des agents de santé dans la gestion des cas de paludisme Solutions identifiées lors de l atelier 1. S assurer que les directives de traitement du paludisme sont correctement diffusées et disponibles dans les établissements de soins Consulter les «Directives pour le traitement du paludisme - 2ème édition» publiées par l OMS sous : 2. Former et re-former les agents de santé et le personnel GAS sur les directives de traitement du paludisme 3. Organiser une supervision régulière pour contrôler le respect des directives de traitement du paludisme Remarque : il s agit d un problème lié à la politique de gestion des cas, et non un problème GAS 1. Mener des études afin de mesurer l efficacité des CTA. 2. Mener des études afin de mesurer la résistance des parasites aux CTA. 3. Organiser des enquêtes dans les établissements de soins afin de mesurer les indicateurs de gestion des cas. Remarque : il s agit d un problème lié à la politique de gestion des cas, et non un problème GAS 20

22 MILDA TDR Manque de connaissances au niveau national sur l efficacité et la durée de vie des MILDA, ce qui permettrait de sélectionner les MILDA sur la base de données factuelles Absence de directives/politiques nationales pour la sélection, l acquisition et l utilisation des TDR Conduisant à un risque de sélection inappropriée des TDR 1. Mener des études sur l efficacité des MILDA et leur durée de vie dans les pays en se basant sur le document «Guidelines for monitoring the durability of long-lasting insecticidal nets under operational conditions» publié par WHOPES/GMP (en anglais uniquement) et accessible dans la colonne de droite de la page suivante : 2. Mobiliser des ressources pour les études. Remarque : il s agit d un problème lié à la politique de lutte antivectorielle, et non un problème GAS. 3. Mettre en place des contrôles de qualité des MILDA (en précisant la méthode d échantillonnage) tout au long de la chaîne d approvisionnement en suivant les méthodologies définies dans les directives «WHOPES guidelines for procuring public health pesticides» (en anglais uniquement) sous : 1. Établir une politique et des directives nationales pour l utilisation des TDR en suivant les «Bonnes pratiques relatives au choix et à l achat des tests de diagnostic rapide du paludisme» récemment publiées par l OMS sous : et la publication «Accès universel aux tests diagnostiques du paludisme» sous : 2. Assurer une diffusion efficace de la politique et des directives aux acteurs/partenaires concernés 3. Former les agents de santé et le personnel GAS sur les nouvelles directives/la nouvelle politique concernant les TDR 4. Mettre à jour la liste nationale des médicaments essentiels (LNME) pour y inclure les TDR sélectionnés 5. Surveiller et documenter les expériences menées dans les pays au sujet des performances des TDR vis-à-vis du système de classement OMS/FIND Remarque : les solutions précitées concernant la bonne utilisation des TDR relèvent de la politique de gestion des cas, et non du GAS 6. Développer des directives nationales pour l achat des TDR en suivant les «Bonnes pratiques relatives au choix et à l achat des tests de diagnostic rapide du paludisme» récemment publiées par l OMS sous : 7. Garantir l approvisionnement de TDR performants et de qualité garantie 21

23 Artésunate injectable MILDA, PID Absence de directives/politiques nationales pour l utilisation de l artésunate injectable dans la prise en charge des cas de paludisme grave L artésunate injectable (ASinj) est employée à tort pour traiter les cas de paludisme simple à falciparum - En plus d une mauvaise gestion des cas de paludisme simple, cette pratique a des répercussions sur la disponibilité des stocks ainsi que sur la quantification, les prévisions et les achats des CTA et de l ASinj Les spécifications techniques génériques et détaillées des intrants du paludisme ne sont pas disponibles Conduisant à un risque élevé d achat de produits non conformes (en termes de qualité, d emballage adapté, etc...) 1. Développer/mettre à jour/renforcer les directives et politiques nationales sur l utilisation de l artésunate injectable (ASinj) en tant que traitement de première intention des cas de paludisme graves par le biais d un Groupe de Travail Technique (GTT) avec les partenaires et en suivant les «Directives pour le traitement du paludisme - 2ème édition» publiées par l OMS sous : 2. Assurer une diffusion efficace de la politique et des directives aux acteurs/partenaires concernés 3. Former les agents de santé et le personnel GAS sur l emploi de l ASinj 4. Former les prescripteurs et les patients à l utilisation rationnelle des médicaments via une Communication pour le Changement de Comportement (dans certaines régions, il existe une perception erronée que les injections seraient plus efficaces que les comprimés) 5. Inclure les formations correspondantes dans les curricula des études médicales 6. Mettre à jour la liste nationale des médicaments essentiels (LNME) pour y inclure l ASinj 7. Organiser une supervision régulière afin de contrôler l application des directives/de la politique sur l utilisation de l ASinj Remarque : les solutions précitées pour une bonne utilisation de l ASinj relèvent de la politique de gestion des cas, et non du GAS. 8. Garantir l approvisionnement en ASinj 1. Mettre en place un groupe de travail technique (GTT) avec les partenaires afin d établir les spécifications techniques génériques et détaillées des intrants du paludisme, y compris les critères de sélection, sous l égide du Ministère de la Santé 2. Développer une directive nationale pour les spécifications techniques génériques des intrants du paludisme en respectant les directives et bonnes pratiques publiées par l OMS 3. Assurer une diffusion efficace de la directive aux acteurs/partenaires concernés. 4. Former les agents de santé et le personnel GAS sur les spécifications techniques génériques des intrants du paludisme 5. Surveiller le respect des spécifications techniques génériques des intrants du paludisme par tous les acteurs/partenaires (donations) dans les pays Remarque : il s agit d un problème combinant la gestion des cas et le GAS et pour les autres produits, il associe la lutte antivectorielle et le GAS. 22

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