Plan de priorités locales et propositions d actions. Comité Persévérance Scolaire Les Moulins. L affaire de toute une communauté!

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1 Plan de priorités locales et propositions d actions Comité Persévérance Scolaire Les Moulins L affaire de toute une communauté!

2 2 Table des matières 1. Présentation CPSLM Mission et vision 3 2. Portrait de la communauté Territoire Démographie Immigration Minorités visibles Statistiques relatives à l emploi Mobilité des travailleurs Revenu moyen Scolarité Compositions des ménages Quantité et type d écoles au sein de la MRC Tau de diplomation Tau de décrochage scolaire annuel au sein de la MRC Données statistiques présentées par système Approche écosystémique L approche écosystémique et la réussite éducative des élèves L utilité de l approche Au niveau de l analyse Au niveau de l intervention Facteurs de risque associés au décrochage scolaire Déterminants à surveiller de la naissance à l obtention du diplôme secondaire Facteurs de protection Constats proposés à l ensemble des organisations de la MRC Offre de services dans la MRC Objectifs, transformations et actions à mettre en place.35 Bibliographie 40 Annee A...42 Annee B..43 Annee C. 46

3 3 1. Présentation du CPSLM 1.1 Mission et vision Le CPSLM travaille à renforcer la concertation moulinoise autour de la question de la persévérance scolaire en mobilisant les différents acteurs de la réussite éducative des jeunes et vise des actions concrètes dans la MRC les Moulins. De façon plus précise, le CPSLM a pour mission de : 1) valoriser l éducation et reconnaître l importance de celle-ci dans le développement de la personne; 2)contribuer sans cesse à l'amélioration de la qualification des jeunes Moulinois en assurant une mobilisation des actions adaptés au différents milieu; et 3) soutenir le leadership de ses membres en matière de valorisation de l éducation et de prévention du décrochage scolaire et d encourager l'atteinte de l'ecellence dans l'eercice de la qualification de la main-d œuvre. Tableau 1 Liste des membres du CPSLM 1 Organismes CJE des Moulins CSSS du Sud de Lanaudière Commission scolaire des Affluents UNIATOX Avenue Justice Alternative Collège St-Sacrement Commission scolaire des Affluents CPE Bourgeons-Soleil Jeunes Actifs Les Moulins Mathieu Traversy, député de Terrebonne CREVALE Ressources/Soutien CSSS du Sud de Lanaudière Agente de recherche et de concertation Professeure UQAM Assistant de recherche Parcours Noms du représentant Mélissa Moffette Julie Gravel Annie Grignon-Labine Manon Massé Joane Vandal Marie-Josée Veilleu Sylvaine Lefebvre Louise Lachapelle Frédéric Maltais Aude-Élisabeth Saint-Pierre Johanne Mc Millan Stéphanie Fournier Marie-Eve Couturier Danielle Desmarais François-Xavier Charlebois 1 Vous trouverez en Annee A, la liste de tous les partenaires ayant participé au démarches du CPSLM

4 4 2. Portrait de la communauté de la MRC 2.1 Territoire La municipalité régionale de comté (MRC) Les Moulins est située au sud de la grande région administrative de Lanaudière. À l ouest, elle est bordée par la MRC de Thérèse de Blainville, au nord, par la MRC de Montcalm, à l est, par la MRC de l Assomption et au sud, par la MRC de Laval (Tourisme des Moulins, 2012). Figure 1 Source : Institut de la statistique du Québec Ainsi, plusieurs voies rapides permettent d accéder à la MRC soit les autoroutes 640, 25 et 40. Sur le plan du transport en commun, des travau sont actuellement en cours afin d établir une liaison ferroviaire entre la MRC et la grande région de Montréal. La MRC dispose également d un service d autobus. Plus d une trentaine de circuits sont offerts et permettent au résidants de circuler à l intérieur de la MRC et vers des stations de métro situées à Montréal et Laval. La MRC Les Moulins se compose des municipalités de Terrebonne et Mascouche. Sa superficie est de 261,38 km 2, ce qui fait d elle le deuième plus petit territoire de la Lanaudière, après la

5 5 MRC de l Assomption (Statistique Canada, 2012). LA MRC Les Moulins est par contre la MRC la plus densément peuplée de Lanaudière avec ces 569 habitants/km 2. Au sein de la ville de Terrebonne, il est possible de distinguer trois secteurs, soient ceu de La Plaine, Lachenaie et Terrebonne (centre). Ces secteurs ont été fusionnés en 2001 afin de former la grande ville de Terrebonne actuelle. En ce qui concerne les villes de la MRC Les Moulins, il est à noter que la superficie et la densité de la ville de Terrebonne (respectivement 154,74 km2 et 687,10 habitants/km2) sont supérieures à celles de Mascouche (respectivement 106,64 km2 et 398,45 habitants/km2). 2.2 Démographie Selon les données du dernier recensement (2011), habitants résidaient au sein de la MRC en Entre 2006 et 2011, la population a cru de 15,8% sur le territoire de la MRC. Comparativement au autres MRC de Lanaudière, la MRC Les Moulins affiche le tau de croissance démographique le plus élevé. La ville de Mascouche affiche toutefois une plus forte croissance démographique que la ville de Terrebonne, soit une croissance de 25,8% entre 2006 et 2011 (voir tableau 2). Les 0-17 ans représentent 23.7% de la population de la MRC Les Moulins en 2010 comparativement à 19.3% pour le Québec.

6 6 Tableau 2 Données Démographiques, MRC de Lanaudière, Lanaudière et au Québec, 2006 et 2001 Nom géographique Population 2006 Population 2011 Population, variation en % Québec ,7 Source : Statistique Canada, recensements 2006 et Superficie des terres en km 2, 2011 Densité de la population au km 2, 2011 Rang provincial/ territorial de la population, 2011 D'Autray , ,55 33,39 42 L'Assomption ,3 255,71 468,66 14 Joliette ,9 418,43 151,88 24 Matawinie , ,58 5,20 32 Montcalm ,7 711,59 67,99 35 Les Moulins ,8 261,38 569,33 11 Mascouche ,8 106,64 398,45 25 Terrebonne ,3 154,74 687,10 10 Lanaudière , , ,02 5, Immigration Les données du dernier recensement disponible (2006) indiquent que 3,8 % de la population de la MRC Les Moulins est immigrante. Ces proportions étaient de 2,3% et 2,5% en 1996 et C est donc dire que le nombre d immigrants est à la hausse depuis plusieurs années au sein de la MRC. C est également sur le territoire de la MRC les Moulins que l on retrouve la plus forte proportion de population immigrante dans Lanaudière en 2006, comme le démontre le tableau 3.

7 7 Tableau 3 Immigration dans les MRC de Lanaudière, Lanaudière et au Québec 1996, 2001, 2006 Total des immigrants N % N % N % D'Autray L'Assomption Joliette Matawinie Montcalm Les Moulins Lanaudière Québec Sources : Statistique Canada, recensements de 1996, 2001 et de Minorités visibles Selon Statistique Canada, une des caractéristiques des immigrants de la MRC les Moulins est qu ils sont issus de minorités visibles (figure 2). C est dans la MRC les Moulins que l on retrouve la plus forte proportion de personnes immigrantes d origine Haïtienne par rapport au autres MRC de Lanaudière. Figure Proportion de la population immigrante provenant de minorités visibles dans la MRC Les Moulins, Population immigrante 2006 Population «minorités visibles» 2006 Source : Statistique Canada, recensement 2006.

8 8 D après les données du recensement 2006 de Statistique Canada, 41% des personnes qui immigrent dans la MRC les Moulins parlent la langue française sans nécessairement bien la maîtriser. Alors que, 22% connaissent l anglais et le français, et 29% ne parlent ni le français, ni l anglais. AMINATE, organisme d accueil et d intégration pour les nouveau arrivants de Terrebonne et les environs, a mené un sondage auprès 72 immigrants et nouveau arrivants de la MRC les Moulins. Ce sondage révèle que les besoins les plus souvent rencontrés tournent essentiellement autour de la langue (francisation), l employabilité, le scolaire (aide au devoirs pour les enfants, formation pour les adultes), l intégration, la référence, le support et le soutien. 2.4 Statistiques relatives à l emploi Le marché du travail au sein de la MRC Les Moulins se porte plutôt bien. Les tau d activité et d emploi de la MRC Les Moulins ont varié positivement. La MRC obtient les plus hauts tau parmi toutes les MRC de la région. Tableau 4 Évolution des indicateurs du marché du travail, MRC Les Moulins, Lanaudière et Québec, 2001 et 2006 Les Moulins Lanaudière Québec Variation % Variation % Variation % Population 15 ans et % % % Population active % % % Personnes en emploi % % % Chômeurs % % % Tau d activité Tau d emploi Tau de chômage Source : Statistique Canada, recensements 2001 et 2006.

9 9 «Les tau d activité et d emploi les plus bas se retrouvent chez les 15 à 24 ans et chez les 55 ans et plus. Cela s eplique par le fait que plusieurs personnes de 15 à 24 ans sont encore au études tandis qu une proportion importante des personnes âgées de 55 ans et plus sont à la retraite.» (Le Marché du travail de la MRC Des Moulins, 2009) Le tau de chômage de la MRC Les Moulins a diminué sur la période étudiée. En effet, le tau de chômage est passé sous la barre des 5 % en 2006, soit le plus faible tau des MRC de la région de Lanaudière et un tau nettement inférieur à celui de l ensemble du Québec (7 %). «Le tau de chômage si bas dans la MRC conjugué à des tau d activité et d emploi qui demeurent à de hauts niveau fait en sorte que le bassin de main-d oeuvre disponible est de plus en plus restreint. Sans parler de pénurie, les entreprises doivent davantage faire des efforts pour recruter et conserver leur main-d oeuvre dans la MRC.» (Le Marché du travail de la MRC Des Moulins, 2009) Mobilité des travailleurs L analyse des données de Statistique Canada sur les personnes occupées selon le lieu de résidence et le lieu de travail permet de connaître l ampleur des déplacements de la maind oeuvre locale. Selon les données de 2006, près de 32 % des personnes occupées (22 440) de la MRC des Moulins résident et travaillent sur le territoire de la MRC. De plus, environ 4 % des personnes occupées de la MRC des Moulins travaillent dans les autres MRC de la région, ce qui porte la part des personnes occupées de la MRC travaillant dans la région de Lanaudière à environ 35 %.

10 10 Tableau 5 Navettage dans la MRC Les Moulins, 2006 Lieu de résidence, Les Moulins N % Lieu de travail Les Moulins % Lanaudière % Montréal % Laval % Laurentides % Montérégie % Ailleurs au Québec % Lieu de travail en dehors du Québec (incluant en dehors du Canada et sans adresse fie de travail % Source : Statistique Canada, recensements 2001 et Compilation spéciale Emploi-Québec Lanaudière. En 2006, près de 54 % des personnes occupées résidant dans la MRC Les Moulins travaillaient à l etérieur de la région de Lanaudière. Une majorité d entre elles travaillaient dans la région de Montréal. Les personnes occupées restantes travaillaient soit dans la région de Laval, des Laurentides, de la Montérégie, ou encore ailleurs au Québec. Près de 11 % des personnes occupées dans la MRC des Moulins font partie de la catégorie «Lieu de travail en dehors du Québec» qui comprend non seulement les personnes travaillant en dehors du pays, mais aussi celles sans adresse fie de travail. Parmi celles-ci, les travailleurs autonomes, sont particulièrement nombreu. Nous pouvons supposer qu une grande partie de ces personnes sans adresse fie de travail ont soit leur bureau à domicile, soit travaillent près de leur lieu de résidence. 2.5 Revenu moyen Selon les données de 2009, le revenu total médian des familles de la MRC (75 070$) est nettement supérieur à celui des familles de Lanaudière (65 857$) et de l ensemble du Québec (64 226$). De 2008 à 2009 le revenu médian des familles de la MRC est passé de $ à $, une augmentation de 0.5%.

11 11 Les Moulins Lanaudière Tableau 6 Revenu total médian des familles de recensement, MRC Les Moulin, Lanaudière et Québec, 2008 et Variation en % $ $ 0.5% $ $ 0.3% $ $ 0.3% Québec Source : Statistique Canada; Compilation : Institut de la statistique du Québec En 2009, la proportion des familles en situation de faible revenu est moins élevée dans la MRC (5.6%) que dans Lanaudière (8.1%) et l ensemble du Québec (9.8%). De 2005 à 2009, le tau de familles à faible revenu a augmenté pour les trois territoires. Le tau varie beaucoup selon le type de famille et habituellement, ce sont les familles monoparentales qui sont les plus touchées. Tableau 7 Pourcentage de familles sous le faible revenu, MRC Les Moulin, Lanaudière et Québec, 2005 et Les Moulins Lanaudière Québec 5.3% 5.6% 7.3% 8.1% 9.6% 9.8% Source : Statistique Canada; Compilation : Institut de la statistique du Québec 2.6 Scolarité «La population de la MRC Les Moulins est plus scolarisée que celle de Lanaudière, et similaire à celle de l ensemble du Québec. En 2006, 25 % de la population de 15 ans et plus de la MRC ne détient aucun grade, certificat ou diplôme; ce tau monte à 29 % pour l ensemble de la région de Lanaudière. Pour ce qui est de la part des autres niveau d études dans l ensemble de la population de 15 ans et plus, celle de la MRC est, dans chacun des cas, soit légèrement supérieure ou similaire à celle de Lanaudière.

12 12 Figure Population de 15 ans et plus selon le plus haut certificat, diplôme ou grade obtenu et le groupe d'âge, MRC Les Moulins, ans ans ans 65 ans et Aucun certificat, diplôme ou grade Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent Certificat ou Certificat ou diplôme d'apprenti diplôme d'un ou d'une école des collège, d'un cégep métiers ou d'un autre établissement d'enseignement non universitaire Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat Certificat ou grade universitaire Source : Statistique Canada, recensement Le niveau de scolarité de la population de la MRC Les Moulins et de Lanaudière tend à augmenter avec les années. Entre 2001 et 2006, le nombre de diplômés dans la catégorie «Certificat ou diplôme de métiers, d un collège et inférieur au baccalauréat» a augmenté de façon considérable, tandis que le nombre de personnes ne détenant aucun certificat ou diplôme a diminué. Dans la MRC, 13 % des personnes âgées entre 25 et 44 ans n ont aucun diplôme, certificat ou grade, alors que 42% des jeunes de 15 à 24 ans n ont aucun certificat, diplôme ou grade. Par contre, il importe de préciser qu une partie des jeunes de 15 à 24 ans sont toujours sur les bancs d écoles. D ailleurs, les 15 à 19 ans, dont certains n ont toujours pas l âge d avoir terminé leurs études secondaires, représentent une nette majorité (58 %) de l ensemble des jeunes. Si l on considère seulement les 20 à 24 ans, la part des sans grade diminue à 18 % dans la MRC.

13 13 Certaines tendances peuvent être dégagées lorsque l on analyse les indicateurs du marché du travail selon la scolarité. Tel qu illustré sur la figure 4, l une d entre elles, démontre que le tau de chômage est habituellement plus faible chez la main-d œuvre ayant une scolarité plus élevée. Figure 4 10 Tau de chômage selon le plus haut certificat, diplôme ou grade. MRC Les Moulins, Aucun certificat, diplôme ou grade Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent Certificat ou Certificat ou diplôme d'apprenti diplôme d'un ou d'une école de collège, d'un cégep métiers ou d'un autre établissement d'enseignement non universitaire Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat Certificat ou grade universitaire Source : Statistique Canada, recensement Une autre de ces tendances tend à démontrer que les tau d activité et d emploi de la population de 15 ans et plus sont habituellement plus élevés lorsque la main-d oeuvre est scolarisée, certifiée ou diplômée. «Cette tendance est encore plus forte chez la main-d oeuvre âgée entre 25 et 54 ans. Selon les données du recensement de 2006, les personnes de ce groupe d âge, ayant au moins un diplôme d études secondaires, ont un tau d activité généralement supérieur à 86 %, dans la MRC des Moulins.»

14 Composition des ménages En 2011, la MRC Les Moulins compte familles. À titre indicatif, une famille de correspond, selon les critères privilégiés par Statistique Canada, à un couple marié (avec ou sans enfants des deu conjoints ou d un seul des deu), un couple vivant en union libre (avec ou sans enfants des deu conjoints ou d un seul des deu) ou un parent seul (qu importe son état matrimonial) vivant avec au moins un enfant. Depuis le recensement canadien de 2001, un couple en union libre peut être de see opposé ou de même see. Tableau 8 Composition des familles, MRC Les Moulins, 2006, 2011 Source : Statistique Canada, recensements 2006 et N % N % Nombre total de familles Nombre de familles comptant un couple marié , ,9 Nombre de familles comptant un couple en union libre , ,4 Familles comprenant un couple marié ou vivant en union libre avec enfant(s) , ,4 Nombre de familles monoparentales , ,7 Parent de see féminin , ,9 Parent de see masculin , ,1 Le nombre de familles comptant un couple marié est en déclin depuis quelques années. En 2011, ils représentent 45.9% des familles dans la MRC. À l inverse, le nombre de couples vivant en union libre est à la hausse, ils représentent 38.4% des familles de la MRC en La proportion des couples mariés ou vivant en union libre avec enfant(s) a légèrement diminué au cours des dernières années, passant de 60.3% à 58.4% des familles de la MRC. La proportion de familles monoparentales s est quant à elle légèrement accentuée. En 2011, la MRC compte familles monoparentales. De ce nombre, familles sont soutenues par un parent de see féminin.

15 Quantité et type d écoles au sein de la MRC La MRC Les Moulins compte trente-sept écoles en plus d un CÉGEP sur son territoire. Parmi ces écoles, trois sont desservies par le réseau privé et 35 par le réseau public de l éducation. La majorité de ces écoles (33) font partie de la Commission Scolaire des Affluents. Les commissions scolaires de la Seigneurie-des-Mille-Iles et Sir Wilfrid-Laurier sont aussi présentes au sein de la MRC et chapeautent chacune deu écoles de niveau préscolaire et primaire. Le tableau 9 présente le nombre d écoles en fonction du niveau d enseignement et de leur emplacement au sein de la MRC Les Moulins. Tableau 9 Nombre d écoles du réseau public et privé en fonction du niveau d enseignement et de l emplacement Niveau d enseignement Mascouche Terrebonne MRC Les Moulins Nombre écoles privées Préscolaire, primaire Secondaire Nombre d écoles publiques Préscolaire, primaire Primaire Secondaire Adaptation scolaire au secondaire Cégep Grand total Source : Système Lanaudois d Information et d Analyse (SYLIA, 2012). Les écoles de niveau préscolaire et primaire sont les plus répandues dans la MRC. Lorsque ces niveau sont confondus, on en compte 27 (incluant les écoles privées). Neuf de ces écoles sont situées à Mascouche et 18 à Terrebonne. Huit écoles secondaires se retrouvent dans la MRC, dont le Collège privé St-Sacrement. Enfin, deu écoles spécialisées en adaptation scolaire sont situées sur le territoire. De façon générale, le nombre d écoles retrouvées dans la ville de Terrebonne est supérieur à celui trouvé au sein de la ville de Mascouche.

16 Tau de diplomation La figure 5 présente le tau de diplomation au secondaire après sept ans, en fonction des MRC de Lanaudière. Il s agit d un indicateur important de la persévérance scolaire. Comme le démontre la figure, le tau de diplomation dans la MRC des Moulins a augmenté au cours des dernières années. En effet, entre 1999 et 2001, il était à son plus bas soit à 65%. Entre , il est passé à 68,5%, soit une augmentation de 3,5% du nombre de diplômés sur le territoire. Les données les plus récentes indiquent que ce tau a légèrement augmenté entre 2006 et 2008, ce chiffrant à 68,9%. Figure 5 71 Tau de diplomation au secondaire après sept ans, sees réunis selon la MRC, Lanaudière et Québec (%) Les Moulins Lanaudière Québec Source : MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. Banque de cheminement scolaire, Direction de la recherche, des statistiques et des indicateurs, 2005 et Ainsi, entre 2006 et 2008, la MRC des Moulins a un tau de diplomation qui est légèrement supérieur à celui observé pour la région de Lanaudière (67,0 %) et légèrement inférieur à celui observé pour l ensemble de la province (70,5%). Parmi les MRC qui composent Lanaudière, et pour les années 2006 à 2008, le tau de diplomation le plus élevé se trouve dans L Assomption (73,7%), suivi de la MRC des Moulins (68,9%). Notons toutefois que la MRC des Moulins est la

17 17 seule MRC de Lanaudière qui affiche une tendance à la hausse dans le temps en ce qui concerne le tau de diplomation après 7 ans. Ceci est d autant plus important étant donné que dans Lanaudière, le tau de diplomation a légèrement fléchit, oscillant entre 69 % et 67% entre 1999 et Enfin, en ce qui concerne l ensemble de la province, le tau de diplomation est demeuré relativement stable. Des différences notables sont observées en fonction du see. En effet, les filles sont plus nombreuses que les garçons à obtenir leur diplôme d études secondaires, bien que les tendances soient à la hausse pour les deu sees. Lors des trois périodes, le tau de diplomation des filles moulinoises a augmenté de 74,9% à 77,0%, pour ensuite atteindre un sommet de 77,4% en Chez les garçons, les tau observés sont de 55,8% pour les années , 60,4% en et 60,6% entre 2006 et L écart entre les filles et les garçons persiste, mais tend à s amenuiser avec le temps. Figure 6 90 Évolution du tau de diplomation après sept ans dans la MRC Les Moulins, en fonction du see Filles Garçons Sees réunis Source : MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. Banque de cheminement scolaire, Direction de la recherche, des statistiques et des indicateurs, 2005 et 2008.

18 Tau de décrochage scolaire annuel au sein de la MRC Afin de dresser un portrait juste et réaliste de la MRC Les Moulins en matière de persévérance scolaire, il est important de s attarder au tau de décrochage scolaire annuel. Ce tau est une mesure indicative du nombre d élèves sortant sans diplôme ni qualification divisé par le nombre total d élèves sortant en formation générale chez les jeunes pour une année donnée. Il est important de noter que ce tau eclut le tau de décrochage des écoles privées et celui des élèves inscrits en formation professionnelle. Il faut donc demeurer prudent dans l interprétation de ces données. Figure 7 Tau de décrochage annuel au secondaire, sees réunis, Les Moulins, Lanaudière, Québec, Les Moulins Lanaudière Québec Source : Ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport, système Charlemagne, novembre L analyse des données de la figure X met en évidence une diminution du tau de décrochage pour l ensemble de la province et de la région de Lanaudière. La MRC Les moulins compte une plus faible proportion de décrocheurs (15.7 %) même si ce tau s est stabilisé de 2008 à 2010.

19 19 3. Données statistiques présentées par système Vous trouverez en Annee B plusieurs données statistiques de la MRC Les Moulins classées selon les systèmes École, Jeune, Communauté et Famille. 4. L approche écosystémique La présente section vous présente brièvement les assises théoriques de notre démarche. La réussite éducative et la persévérance sont des responsabilités collectives. Nous avons tous un rôle à jouer et le pouvoir d agir. C est pourquoi le comité de travail a fait le choi de l approche écosystémique. Travailler avec cette approche met l accent sur la nature interactive des différentes composantes d un système. Ainsi, toute personne se développe au sein d un réseau de relations dynamiques. La personne influence ce réseau et est à son tour influencée par celui-ci. On dit donc que le développement d une personne est le résultat des interactions continuelles et réciproques entre ce dernier et son environnement. 4.1 L approche écosystémique et la réussite éducative des élèves L enfant se construit et se développe grâce à ses interactions continuelles et réciproques avec son environnement (école, famille, communauté). Tous les systèmes qui gravitent de près ou de loin autour de l'enfant peuvent avoir une incidence sur le développement de celui-ci. La réussite éducative des élèves est influencée par le résultat dynamique des interrelations entre l enfant (élève) et son environnement (école, famille, communauté). 4.2 Utilité de l approche écosystémique Au niveau de l analyse Permet de comprendre la nature des interrelations qui relient l enfant et son environnement (Bronfenbrenner, 1979; Eccles & Roeser, 1999; Richard, 1996);

20 Au niveau de l intervention Propose d agir sur plusieurs systèmes à la fois pour que les actions se renforcent mutuellement et soient complémentaires. On assure ainsi une cohérence et une continuité des messages et des actions. Ce modèle favorise la mobilisation des différents acteurs concernés de la communauté. Il est fondé sur la capacité d agir des acteurs. Ce modèle situe l individu comme un acteur important de son développement.. Source : Chantier Persévérance scolaire de L Assomption

21 21 5. Facteurs de risque associés au décrochage scolaire Retards d apprentissage, faible rendement scolaire, échecs Problèmes de développement sur le plan du langage, de la psychomotricité, de l apprentissage, etc. Perception négative de ses habiletés Epérience scolaire peu satisfaisante Faible lecteur (compétence et désir de lire) Faibles habiletés sociales, rejet par les pairs (isolement) Faible estime de soi Détresse psychologique (dépression) Faible sentiment d appartenance à l école Violence et intimidation Jeune Famille École Communauté Relations conflictuelles (troubles de comportement) Association à des pairs déviants Absence de motivation et d intérêts personnels Faibles aspirations scolaires et professionnelles (indécision) Mal-être à l école (suspension, absentéisme, désir d abandonner l école) Mauvaises habitudes de vie (drogues, alcool, etc.) Difficultés à concilier études et travail rémunéré Peu de temps consacré au études à la maison Faible investissement dans des activités scolaires ou parascolaires Peu d implication des parents dans la stimulation, le suivi et l encadrement de l enfant Mauvaises habitudes de vie (sommeil, alimentation, activité physique) Problème de santé mentale chez les parents: dépression, dépendance, difficultés d adaptation, violence Faible scolarité des parents (particulièrement de la mère) Attitudes parentales défavorables envers l école (peu de valeur, réaction dévalorisante, méfiance, etc.) Pauvreté ou dépendance économique Instabilité de la cellule familiale (incluant déménagements fréquents) Méconnaissance des services sociocommunautaires et culturels Faible valorisation de la réussite éducative et de la formation Climat de classe et relation maîtreélève problématiques Activités scolaires et parascolaires peu adaptées ou ineistantes Grande mobilité du personnel Manque de collaboration entre les divers intervenants, les familles et la communauté Manque de soutien pour les élèves en difficulté Manque de soutien et de valorisation des enseignants Croyance faible en la capacité de réussir des élèves Faible participation du personnel à la vie scolaire Leadership et gestion de changement peu développés Pratiques pédagogiques et éducatives peu adaptées Pauvreté économique Pauvreté sociale Peu de services sociau et communautaires Peu de services de loisirs et culturels (bibliothèque) Logement inadéquat Difficultés de transport et de déplacement Isolement géographique Présence de groupes criminalisés ou de pairs déviants Absence de valorisation de l éducation

22 22 6. Déterminants à surveiller de la naissance à l obtention du diplôme secondaire 7. Facteurs de protection Opposés au facteurs de risque, les facteurs de protection sont des outils pouvant favoriser la persévérance et la réussite scolaires. Plus un jeune est entouré de facteurs de protection, plus il a de chances de persévérer et de réussir à l école. Plusieurs de ces facteurs peuvent être stimulés dès la petite enfance. Quelques eemples de facteurs de protection : La valorisation de l éducation et du diplôme L encouragement des enfants dans leurs études La valorisation de l effort chez les enfants L encouragement à la lecture et au désir d apprendre L encadrement des enfants dans leurs périodes de devoirs et leçons La présence de personnes significatives (amis, membres de la famille, corps enseignant, etc.) dans l entourage du jeune La participation des jeunes à des activités parascolaires L estime et la confiance en soi développées chez les jeunes

23 23 Le soutien émotif offert au jeunes vivant des périodes difficiles Un suivi et un soutien dans les études, assurés par les écoles Des situations et des moyens d apprentissage variés offerts au élèves L engagement des parents dans les études de leurs enfants Des programmes, mesures, politiques et initiatives concertés et mis de l avant par le milieu (scolaire, communautaire, institutionnel, etc.) pour favoriser la réussite et la persévérance scolaires Des instruments de dépistage pour les décrocheurs potentiels Des employeurs sensibilisés à la réussite et à la persévérance scolaires qui facilitent la conciliation travail-études Source : CREVALE 8. Constats proposés à l ensemble des organisations de la MRC Suite à l analyse des données du portrait de la MRC Les Moulins, le Comité Persévérance Scolaire Les Moulins a proposé certains constats à l ensemble des organisations de la MRC. C est lors d une lors d une journée de mobilisation qui a eu lieu le 6 novembre, que nous avions convié plusieurs organisations de la région afin que nous puissions choisir ensemble quels allaient être les constats prioritaires sur lesquels la collectivité de la MRC Les Moulins allait travailler en matière de persévérance scolaire. La section qui suit vous présente les données appuyant les constats sélectionnés pour chacun des systèmes.

24 24 SYSTÈME JEUNE Constat Problèmes de comportements dans différents milieu de vie (manque de civisme, conflits, eclusion, etc) Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Les comportements impulsifs/dérangeants (manque de respect, insubordination, désorganisation) et les comportements à risque (alcool, drogues et gang de rue) sont les principales causes de suspension et/ou epulsion; o Manifestation plus importante des comportements problématiques (consommation, plan d intervention, etc) chez les jeunes du premier cycle du secondaire; o La compleité des problématiques requiert une plus grande intensité des services; o Nombre important de jeunes ayant un diagnostic de Trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) et/ou de Trouble envahissant du développement (TED) (propension à l impulsivité); o Augmentation du nombre de plan d interventions et plans d aide pour les jeunes; o Nécessité de développement de services spécialisés par la Commission scolaire dans les dernières années pour répondre à ces problématiques. o Les principau motifs d epulsion des services de garde éducatifs sont liés au comportement de l enfant; Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Les directions d école, les enseignants, les jeunes, les parents ainsi que les intervenants du milieu communautaire s entendent pour dire que le «mal-être à l école» (suspension, absentéisme, désir d abandonner l école) est un des plus importants facteurs de risque associés au décrochage; Une majorité de jeunes mentionnent que la violence et l intimidation est un important facteur de risque associé au décrochage scolaire; Les mauvaises habitudes de vie (alcool, drogues, etc) sont également perçues comme étant un facteur de risque important par la majorité des acteurs.

25 25 SYSTÈME JEUNE Constat Problèmes et retards de langage et de lecture affectant les apprentissages et les relations interpersonnelles Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Dans Lanaudière, depuis 2004, augmentation de 101% des problèmes de langage (epression, compréhension, écriture, lecture, etc.); o 69 % des jeunes de Lanaudière ayant des problèmes langagiers sont des garçons; o Les problèmes langagiers ont une grande influence sur les apprentissages, sur le comportement et sur la compréhension, le langage est la pierre angulaire du développement et des apprentissages; o La majorité des élèves au sein des groupes en difficulté d apprentissage à l école ont des problèmes de langage (légers à sévères). Note : les jeunes avec des problèmes de langage légers ne sont pas admissibles au services spécialisés mais la somme des problèmes qu ils ont nécessite un accompagnement; o Dans les dernières années, beaucoup de dépistage mais pénurie d orthophonistes au Québec : inadéquation entre le dépistage et les services d intervention; O Tau de réussite en lecture qui chute à l entrée au secondaire et écart constant entre les gars et les filles de tous les niveau (entre 2 et 15 points d écart). Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Les directions d école, les enseignants, les jeunes ainsi que les intervenants du milieu communautaire perçoivent le manque de soutien pour les élèves en difficulté comme étant le facteur de risque le plus en lien avec le décrochage scolaire; Nécessité d agir en amont auprès de tous les jeunes (prévention, dépistage, etc.); Les jeunes manque d intérêt pour la lecture.

26 26 SYSTÈME JEUNE Constat Augmentation des difficultés de santé socio émotionnelle (problématiques complees de santé mentale) Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Augmentation des cas d évitement scolaire (aniété qui mène à l absentéisme et les retards de parcours scolaire); o Nombre important de jeunes ayant un diagnostic de Trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) (de 5 à 8% chez les 0-17 ans = jeunes dans Lanaudière dont 60% sont des garçons); o 3% des jeunes lanaudois âgés de 12 ans et plus présentent un trouble anieu diagnostiqué; o Augmentation de la pression à la performance : augmentation de la détresse psychologique chez les jeunes des classes des programmes éducatifs particuliers (Programme d éducation internationale (PEI), concentration linguistique, etc.); o Dans Lanaudière, augmentation de 235 % des Troubles envahissants du développement (TED) dans les 8 dernières années; o 1 lanaudois sur 5 âgé de 12 à 24 ans présente un niveau élevé à l échelle de détresse psychologique; o Nombre important de jeunes victimes d intimidation, 17 à 25% des canadiens ont été victimes d intimidation au moins 1-2 fois entre la 6 e année et le secondaire 4; o Le suicide représente le quart des décès chez les jeunes lanaudois âgés de 15 à 24 ans et la moitié des décès chez les jeunes lanaudoises de 10 à 14 ans; o La proportion de garçon lanaudois de 3 à 14 ans au prises avec des difficultés émotionnelles modérées ou sévères est plus élevée (21%) que ceu du reste du Québec (12%); o 47% des enfants lanaudois de 3 à 14 ans ont des difficultés socio émotionnelles de niveau modéré à sévère. Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Difficultés grandissantes chez les jeunes à tisser des liens avec des individus significatifs et à entretenir des relations saines; Déficit de soutien psychosocial auprès des jeunes.

27 27 SYSTÈME FAMILLE Constat Difficultés pour les parents d accompagner leur enfant dans un contete : - de conciliation travail/famille; - de faible scolarisation des parents; - de problématique chez le parent (santé, dépendance, détresse psychologique) Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Mobilité des travailleurs : plus de 50 % des résidants de la MRC Les Moulins travaillent à l etérieur de la MRC (32.9% travaillent à Montréal, le reste travaillent soit à Laval, dans les Laurentides, en Montérégie ou ailleurs au Québec), en moyenne : 10h par jour à l etérieur de la maison; o Au Québec, 42% des parents se retrouvent au moins 3 fois par semaine à ne pas savoir quoi manger à 17h30 (incidence sur la saine alimentation); o Dans la MRC en 2006, 7 femmes sur 10 occupent un emploi à temps plein; o Proportion des familles monoparentales en 2011 : 15.7% dans la MRC Les Moulins; o Au Québec, 41% des parents partagent avec leurs enfants un repas en famille par jour; o Le coût du logement est égal ou supérieur à 30% du revenu familial chez 31% des locataires et 14.4% des propriétaires; o L environnement familial est marqué par : pression financière (les deu parents travaillent, un tau d endettement élevé, coût élevé qui s apparente à Montréal), rendement social (rythme de vie effréné, absence prolongée de la maison, etc.); o Pression sur les couples québécois se soldant par 52% de divorce ou de séparation; o Congé parental et perception sociale du rôle du père à améliorer; o En 2006 sur le territoire de la CSA, la proportion des familles où la mère n a aucun diplôme est de 13.3% et la proportion des familles où aucun des deu parents n est diplômé est de 7.8%; o Plus de 17% de la population de 25 ans et plus de Lanaudière Sud ont un niveau élevé de détresse psychologique; o La prévalence des maladies chroniques (arthrite, rhumatisme, asthme, hypertension, diabète mau de dos et migraine) chez la population lanaudoise âgée de 12 ans et plus varie de 5.5% à 18,6%.

28 28 Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Selon les directions d école, les enseignants, les jeunes, les parents et les intervenants, le fait qu un parent s implique peu dans la stimulation, le suivi et l encadrement de son enfant est fortement lié à un risque de décrochage scolaire; Des parents engagés dans les études de leur jeunes est considéré par tous les acteurs comme étant un important facteur de protection lié au décrochage scolaire; L horaire de l école et du transport scolaire sont parfois difficilement conciliable avec l horaire des parents qui occupent un emploi; L adoption de saines habitudes de vie (sommeil, alimentation, activité physique, etc.) est de plus en plus difficile.

29 29 SYSTÈME FAMILLE Constat Changements dans les pratiques éducatives et dans la façon d assumer le rôle de parent Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Changement dans les rôles familiau : dans Lanaudière, on remarque une augmentation de l implication des pères auprès des enfants, plus pro-actifs au sein de la famille; o 41% des parents partagent avec leurs enfants un repas en famille par jour; o Au souper, la télé est présente pour 52% des enfants; o Émergence de nouvelles valeurs et pratiques éducatives, entre autre, avec l augmentation de l immigration; o Variétés de perceptions parentales concernant qui est responsable de quoi par rapport à l enfant (les attentes des parents sont parfois élevées face au différentes organisations); o Difficulté de certains parents à accepter et reconnaître les problématiques de leur jeune. Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Les directions d école et les enseignants ont majoritairement déclaré vouloir améliorer la communication et la collaboration entre l école et les parents. Une attitude parentale défavorable envers l école (peu de valeur, réaction dévalorisante, méfiance, etc.) est perçue par les enseignants, les jeunes et les parents comme l un des importants facteurs de risque associés au décrochage scolaire; De façon générale, les jeunes ont mentionné souhaiter recevoir un meilleur soutien ou un meilleur encadrement de la part de leur parent; Certains services offerts au enfants et au familles ne favorisent pas l autonomie et la responsabilisation (on fait les choses à leur place); Diminution de la valorisation de l éducation dans les familles; Importance de reconnaître le parent comme premier éducateur.

30 30 SYSTÈME ÉCOLE Constat Parcours scolaires diversifiés, disponibles mais peu connus et peu valorisés Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Couverture médiatique négative ayant causé la dévalorisation des parcours de formation aés sur l emploi au yeu des parents et des employeurs; o Parcours méconnus et peu valorisés par les parents et la communauté (le Diplôme d études secondaires est encore très valorisé comparativement au autres parcours comme celui de la formation professionnelle); o Difficulté à maintenir les jeunes dans le parcours de Formation préparatoire au travail (FPT), donc faible tau de qualification; o Résistance des parents face au parcours de formation au métiers semi-spécialisés (refus de classement, refus face au stages) ou face à l inscription de leur jeune en formation professionnelle; o Approche orientante en cours d implantation (approche visant la connaissance de soi, le développement des dimensions de l identité ainsi que l information scolaire et professionnelle, ciblant ainsi un projet de vie, une vision de soi dans l avenir). Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Une majorité d enseignants souhaiteraient que l école offre davantage de services en orientation scolaire et professionnelle afin que les jeunes aient une meilleure connaissance de ce qui s offre à eu. Les enseignants souhaiteraient également que la communauté valorise davantage les différents parcours scolaires qui s offrent au étudiants.

31 31 SYSTÈME ÉCOLE Constat Plus faible réussite chez les garçons Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Les garçons et les filles n apprennent pas de la même façon; o 2 fois plus de garçons que de filles sont des jeunes en difficulté; o Écart entre le tau de réussite des filles et celui des garçons est plus important au secondaire (entre 1.2 et 15.8 points de %) qu au primaire (entre 1 et 11.7 points de %); o Tau de diplomation moins élevé chez les garçons ( 74.9% filles, 60.4% garçons); o Dans Lanaudière, 2 à 3 fois plus de garçons que de filles sont des élèves à besoins particuliers; o 60% des jeunes lanaudois ayant un diagnostic de Trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) sont des garçons; o 69% des jeunes lanaudois qui ont un problème ou un retard de langage sont des garçons. Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Peu d enseignants masculins; Bien que cela ne représente pas un facteur de risque ou de protection important pour l ensemble des jeunes, une plus grande proportion de garçons que de filles disent que ce qu ils préfèrent à l école ce sont les activités parascolaires et sportives; Les garçons sont également plus nombreu que les filles à dire ne pas connaître les différentes possibilités de formations qui s offrent à eu.

32 32 SYSTÈME ÉCOLE Constat Défi de communication parent/école Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Défis de communication présents avec les clientèles diversifiées (analphabètes, immigrants, parents séparés, etc.); o Tau élevé d analphabétisme (32% de la population est considéré soit analphabète complet ou fonctionnel); o Tau de non diplômés sur le territoire de la Commission scolaire des Affluents : 13.3% des familles avec une mère non diplômée et 7.8% des familles avec les 2 parents non diplômés; o Utilisation par la Commission scolaire des Affluents des différents outils de communication tels que courriels et plate-forme Internet en développement; o Attentes des parents et de l école parfois différentes face à la collaboration et au communications; o Les parents que souhaitent rencontrer les enseignants sont souvent absents lors des rencontres parents/enseignants et à l inverse, les enseignants sont parfois difficilement rejoignables; o Beaucoup de plans d intervention et de plans d aide (19% des élèves au primaire et 25% des élèves au secondaire) nécessitant une communication particulière avec les parents. Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Les directions d école et les enseignants ont majoritairement déclaré vouloir améliorer la communication et la collaboration entre l école et les parents; Difficulté à avoir de l information de l école par le jeune (il «filtre» les informations).

33 33 SYSTÈME COMMUNAUTÉ Constat Défi d arrimage entre les organisations* afin de maimiser l accessibilité et la référence au services de soutien au jeunes et à leur famille *du milieu économique, politique et communautaire Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Financement des organisations ne suit pas la croissance démographique importante (iniquité des régions administratives), donc les ressources sont limitées; o Plusieurs ressources du milieu orientées vers les 0-5 ans; o Offre de services au familles principalement orientée sur les loisirs et moins sur le soutien et les compétences parentales; o Dans les dernières années, beaucoup de dépistage mais pénurie d orthophonistes au Québec : inadéquation entre le dépistage et les services d intervention; Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Les enseignants et les jeunes ont dit souhaiter voir s améliorer l offre de services dans la région pour les jeunes; Les enseignants souhaiteraient également que l on offre davantage de ressources au parents afin qu ils puissent mieu soutenir leur enfant; Défis complees d arrimage et d accessibilité pour améliorer les différents services.

34 34 SYSTÈME COMMUNAUTÉ Constat Défis dans l adhésion et dans la collaboration École Famille Communauté autour de la qualification et de la diplomation Principales données quantitatives et qualitatives appuyant ce constat o Roulement de personnel dans différentes instances qui engendre une difficulté de collaboration durable. o Plusieurs éléments contraignants occasionnent des difficultés de collaboration entre les organisations : nouvelles pratiques, commandes et programmes ministériels, lourdeur administrative, choc de cultures organisationnelles, etc.; o Attentes des parents, de l école et des organisations parfois différentes face à la collaboration et au communications; o Baisse du tau de parents bénévoles au secondaire; o Faible ouverture de certains employeurs face au congés parentau, particulièrement pour les pères; o Manque de cohérence dans certains messages véhiculés par l école, la famille et la communauté (faible consensus social); o Problématiques et difficultés des élèves trop lourdes pour être portées seulement par l école. Epérience terrain : Éléments issus des questionnaires et entrevues Les directions et les enseignants ont mentionné qu ils souhaiteraient voir s améliorer la collaboration entre l école, la famille et la communauté; Les parents et les intervenants ont perçu le manque de collaboration entre les divers intervenants, les familles et la communauté comme un important facteur de risque lié au décrochage scolaire; Certains employeurs embauchent à temps complet des étudiants avant l obtention d un diplôme.

35 35 9. Offre de services dans la MRC Un recensement de l ensemble des activités et stratégies d action en lien avec la réussite éducative et la persévérance scolaire sur le territoire moulinois (Annee C) a été effectué afin de s assurer de ne pas dédoubler des services déjà eistants. Les activités ou stratégies en lien avec les priorités de La MRC ont été surlignées. 10. Objectifs, transformations et actions à mettre en place Suite à la priorisation des constats, les organisations de la région nous ont proposé des objectifs à atteindre pour chacun des constats ainsi que des transformations qu ils souhaiteraient observés pour chacun des systèmes. Nous avons recueilli toutes ces propositions et en sommes arrivé à proposer un objectif par constat ainsi qu une à deu transformations par système pour chaque constat (voir tableau 10). Finalement, lors d une deuième rencontre de mobilisation avec les organisations de la région, nous leur avons demandé de réfléchir au actions qui pourraient être mises en place dans le but d atteindre nos objectifs et nous en avons fait le bilan. Le niveau d importance accordé à chaque priorité sera 25%.

36 36 CONSTAT Tableau 10 SYSTÈME JEUNE Augmentation des difficultés de santé socio émotionnelle (problématiques complees de santé mentale). OBJECTIF JEUNE ÉCOLE Optimiser l'utilisation et l'accessibilité des services de soutien s'adressant au jeunes. Systèmes Transformations souhaitées Indicateurs possibles Pistes d actions - projets Organisations intéressées (Représentants) FAMILLE COMMUNAUTÉ Le jeune est en mesure de verbaliser ses besoins et de cibler les ressources qui pourront l'aider. Le jeune est impliqué dans son cheminement. Les intervenants scolaires font régulièrement la promotion des ressources disponibles auprès des jeunes et de leur famille. Les parents sont impliqués et engagés dans le cheminement de leur jeune. Les ressources collaborent et arriment leurs services afin de permettre une offre de services variée et complémentaire. - Augmentation des demandes de services provenant des jeunes. - Augmentation du nombre de jeunes qui consultent des professionnels. - Augmentation des comportements sains et sécuritaires. - Degré de participation des jeunes dans le suivi de leur problématique. - Augmentation du nombre de jeunes référés. - Tau d acceptation des offres de service par les parents (Plan d intervention, CSSS, DPJ, organismes communautaires, etc.). - Présence des parents lors des rencontres de suivi. - Tau d implication des familles dans le Plan d intervention. - Augmentation des messages et information sur la santé mentale. - Augmentation des ateliers-conférence sur la thématique. - Nombre de participants au ateliers-conférence sur la thématique. - Nombre de publications sur les problématiques de santé mentale. - Augmentation de la co-intervention. Salon des ressources - Kiosques pour présenter les ressources du milieu au enseignants, au intervenants, au parents et au jeunes Ateliers de gestion de la colère Financement nécessaire - Poursuivre et bonifier les ateliers de gestion de la colère dans la MRC Les Moulins - CJE (Promoteur) (Mélissa Moffette) - Maison des jeunes de Mascouche, de Terrebonne et de La Plaine (Stéphanie Barbeau, Jinny Sanon, Jessica Hernandez, Pier-Luc Papineau) - C.S.A. (Sylvaine Lefebvre) - École du Vieu-Chêne (Élyse Marcheterre) - Collège St-Sacrement (François Villeneuve) - CREVALE (Johanne Mc Millan) - Parenfants (Manon Ferland) - MOMS (Pauline Gascon) - Uniato (Manon Massé) - C.S.S.S. (Julie Gravel) - Avenue Justice Alternative (Anne -Julie Gagnon) À contacter : Tous les organismes offrant des services au jeunes - Avenue Justice Alternative (Promoteur) (Joane Vandal) - Maison des jeunes de Terrebonne (Jessica Hernandez) - MOMS(Pauline Gascon) - Parenfants(Manon Ferland) - CJE (Anne Boris-Daniel) - Uniato (Manon Massé) - C.S.S.S. (Julie Gravel) À contacter : - PANDA - CAHO (volet pères) Projet d été Jeunes ans Financement nécessaire - Activités durant l été avec différents jeunes présentant divers facteurs de risque - Uniato (Promoteur) (Manon Massé) - Avenue Justice Alternative (Anne -Julie Gagnon) - Maison des jeunes de Terrebonne (Jessica Hernandez) - CJE (Anne Boris-Daniel) - Jeunes Actifs Les Moulins (Frédéric Maltais) - C.S.S.S. (Julie Gravel, Natacha Condo-Dinucci) À contacter : - DPJ, - C.S.A.

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