TP 5 : Etude de la respiration chez le rat

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TP 5 : Etude de la respiration chez le rat"

Transcription

1 TP 5 : Etude de la respiration chez le rat I. Introduction L objectif de ce TP est d étudier 3 influences, qui ont un effet sur la rythmicité et l amplitude de la respiration. La première est le rôle du nerf pneumogastrique. La 2ème est l action des ions hydrogène. La 3ème est l action du dioxyde de carbone. Théoriquement, si l on coupe le pneumogastrique, la personne respire, mais par l activité autonome, la régulation ne se fait plus, et elle ne sera donc plus régulée, la respiration sera lente et profonde, car ces centres ont leur propre activité. Cette respiration est appelée respiration de double vagotomie, qui met en évidence le fonctionnement des centres respiratoires. On va donc mettre en évidence l action de ce nerf en comparant les respirations avant et après section de ce nerfs, ou de ces nerfs, étant donné qu ils sont au nombre de 2. De par le fait que l on doit léser les nerfs pour mettre en évidence leur action, nous commencerons par l action des ions hydrogène et du dioxyde de carbone. Nous allons de plus enregistrer l action de la stimulation de ces nerfs des deux côtés, central et périphérique, et ainsi déterminer leur action propre. En ce qui concerne les ions hydrogènes et le dioxyde de carbone, ils ne forment en fait qu une seule action. En effet, dans le sang, l oxygène est transporté de 2 façons. Une petite partie est dissoute dans le plasma, la plus grande partie étant transportée par liaison à l hémoglobine. Le gaz carbonique, quand à lui, est transporté dans le plasma sous forme d ions bicarbonate dans sa plus grande partie, alors qu une petite partie est transportée dans les érythrocytes fixés à l hémoglobine. Le transport du dioxygène et celui du dioxyde de carbone ne sont pas en concurrence, les deux molécules ne se fixant pas sur les mêmes sites de la molécule d hémoglobine. Sous la forme d ions bicarbonates, le gaz carbonique ne peut pas diffuser du sang jusqu aux alvéoles, et il doit donc changer de forme. Pour cela, il doit se fixer à des ions hydrogène (H + ), pour former l acide carbonique, qui se dissociera rapidement en eau et en gaz carbonique, ce dernier pouvant entrer dans les alvéoles. Donc les ions hydrogène et le dioxyde de carbone font partie d une même action. Un air enrichi en gaz carbonique est appelé hypercapnique, alors qu un air appauvri en oxygène est appelé hypoxique. Bien souvent, on rencontre ces deux termes dans les mêmes cas, si l air qui arrive vient d un espace confiné, enrichi en gaz carbonique et appauvri en oxygène par la respiration. C est la respiration de cet air qui provoque le phénomène d asphyxie. Il faut donc faire attention dans le cas de manipulations dans ce genre d air. N.B. : Sur les feuilles annexes, le volume de la cage thoracique est mesuré en tension, mais on fera le parallèle entre cette tension et le volume de la cage thoracique. En effet, les 2 unités étant ici directement liées. On n a cependant pas fait de calibrage, et donc on considèrera que 1 unité de volume = 1 unité de tension. 1

2 II. Expériences et interprétations A. Etude de la respiration normale 1. Observations Voir les feuilles annexes nommées : «Etude de la respiration normale Mise en évidence de la fréquence respiratoire et de la durée des phases inspiratoire et expiratoire» «Etude de la respiration normale Mise en évidence de la fréquence respiratoire et de la durée des phases inspiratoire et expiratoire Zoom sur quelques phases respiratoires» Pour mesurer la respiration normale de notre rat, nous avons placé une ceinture de pâte à modeler sur la cage thoracique de l animal, ceinture reliée à un capteur et une interface ExAO. Ce montage nous a permis de mesurer les variations du volume de la cage thoracique, et en remettant ses variations dans un graphique en fonction du temps, nous pouvons déterminer 2 choses : l amplitude et la fréquence des inspirations et des expirations. Nous avons obtenu un graphique du même type que le suivant : Volume Temps On peut à partir de ce genre de graphiques déterminer 2 phases dans la respiration, qui sont bien distinctes, et complémentaires. Volume Temps Inspiration Expiration 2

3 La phase d inspiration est la phase au cours de laquelle la chambre respiratoire augmente de volume. C est à ce moment que l air entre dans les poumons, et que l oxygène pénètre dans le corps. La phase d expiration est celle de diminution du volume de la chambre respiratoire, c est au cours de celle ci que l air est expulsé, que le dioxyde de carbone sort du corps. On peut cependant, sur notre graphique de mesure, distinguer de petites variations, la plupart étant visibles durant l expiration. Ces petites variations sont dues aux battements du cœur, le cœur étant enfermé dans la cage thoracique, frappe en dessous de notre ceinture de mesure, et entrainant des variations parasites. On a ici mesuré les amplitudes et fréquences (en inversant la période) de ces variations naturelles. On obtient les mesures suivantes : Inspiration Expiration Cycle total Amplitude (mv) 50,4 59,32 59,32 Fréquence (s 1 ) 4,1 0,9 0,76 2. Interprétations On note alors plusieurs différences. En effet, contrairement à ce qu on attendait, l amplitude de l inspiration et de l expiration diffèrent. Cette différence est cependant une variation due à la mesure expérimentale, sur sujet vivant, et donc de petites variations entre 2 cycles respiratoires peuvent apparaître. On remarque cependant que la fréquence des inspirations est beaucoup plus grande que celle des expirations, ce qui veut dire que les inspirations sont beaucoup plus rapides que les expirations. Cette différence de fréquence est due aux mécanismes de l inspiration et de l expiration. En effet, l inspiration normale est un phénomène actif, alors que l expiration normale est un phénomène passif. En effet, pour inspirer, le sujet contracte ses muscles inspiratoires, qui sont le diaphragme et les muscles intercostaux externes. En les contractants, il augmente la hauteur de la cavité thoracique (diaphragme) et le diamètre du thorax (muscles intercostaux externes). Les poumons étant solidement fixés à la cage thoracique, grâce à la tension superficielle du liquide pleural, les poumons s étirent, en même temps que la cage thoracique. L augmentation du volume de ces poumons entraine une dépression intérieure, et la différence de pression avec l extérieur fait entrer l air dans les poumons. Contrairement à l inspiration, l expiration normale ne se fait que par relâchement des muscles, et donc c est un phénomène élastique. Le relâchement étant automatique, il se fait plus lentement que 3

4 la contraction, ce qui induit la lenteur de l expiration. Cependant, ce phénomène peut être forcé par la volonté de l individu, et dans ce cas, le temps d expiration peut être réduit. B. Injection d acide chlorhydrique 1. Observations Voir la feuille annexe nommée : «Injection d acide chlorhydrique Mise en évidence de l effet de l acide chlorhydrique sur la respiration» Nous avons injecté rapidement dans la jugulaire un volume de 0,2 ml d une solution de HCl à 0,1N. Après l injection (marqueur sur la feuille annexe), nous pouvons remarquer 2 effets : l augmentation de l amplitude et l augmentation de la fréquence (la période diminue). En effet, on a obtenu les résultats présentés dans le tableau suivant : Avant injection Après injection Amplitude (mv) 44,61 55,18 Fréquence (s 1 ) 0,79 0,84 2. Interprétations La solution d HCl permet d apporter des ions H + (hydrogène) dans le sang. Comme nous l avons vu précédemment, ces ions servent à complexer les ions bicarbonate, pour en faire de l acide carbonique, et au final le dissocier en eau et en gaz carbonique. L adjonction d ions H + dans le sang permet donc d augmenter la concentration en gaz carbonique dans le sang. Ce fort taux de gaz carbonique entraine un besoin d expulsion de ce gaz en dehors du corps. Pour cela, le système respiratoire met en place une hyperventilation, pour réduire l hypercapnie, et ainsi rétablir le taux normal de CO 2 dans le sang. Ces variations du taux de CO 2 sanguin, et donc la diminution du ph stimulent les chimiorécepteurs centraux du tronc cérébral, l amplitude et la fréquence de la respiration augmentent. En plus de cela, les ions Cl participent au phénomène de Hamburger, ce qui permet un échange facilité d ions HCO 3 (bicarbonate) entre les érythrocytes et le plasma. N.B. : la diminution globale de la tension minimale de notre feuille annexe est certainement due à notre système de ceinture en pâte à modeler, qui a dû glisser au cours des manipulations. C. Augmentation de l espace mort respiratoire 1. Observations Voir feuille annexe nommée : «Augmentation de l espace mort respiratoire Mise en évidence de l effet de l augmentation de l espace mort respiratoire». L espace mort respiratoire est un espace dans lequel l air est appauvri en oxygène, et enrichi en dioxyde de carbone. Cet espace permet de diminuer le renouvellement de l air au niveau des alvéoles pulmonaires, provoquant ainsi une hypercapnie et une hypoxie. 4

5 Pour simuler l augmentation de l espace mort respiratoire, nous avons utilisé un tuyau d une longueur supérieure à la longueur normale des conduits supérieurs de la respiration, que nous avons branché directement à la trachée, par un système de canulation après trachéotomie. En branchant ce tuyau, nous observons une augmentation nette de l amplitude et de la fréquence des respirations, qui reviendront à la normale après retrait de cet espace mort respiratoire. On note de plus la présence de pics respiratoires, d amplitude largement supérieure à la normale. Avant augmentation de l espace mort Après augmentation de l espace mort Amplitude (mv) 52,99 109,02 Fréquence (s 1 ) 0,83 1,12 2. Interprétations L augmentation de l amplitude et de la fréquence des respirations est due, comme précédemment, à l augmentation du taux de CO 2 dans le sang, et donc à sa baisse de ph. Les conclusions sont donc les mêmes que précédemment. Cependant, ici, le phénomène est plus fort, puisque le manque d oxygène se fait lui aussi sentir, et donc les chimiorécepteurs sont doublement alertés, la réponse est supérieure. On peut alors faire l hypothèse que si l on avait laissé de sujet plus longtemps dans cet état, il aurait pu, après un certain temps, réussir à contenir cet effet d espace mort augmenté, en augmentant fréquence et amplitude. Cependant, on peut aussi alors se poser la question des effets de ces hyperventilations sur la durée de vie du système respiratoire. Cependant ici, nous avons retiré le tuyau au bout de quelques dizaines de minutes, pour ne pas risquer l asphyxie. Une autre hypothèse peut être présentée à la vue de nos résultats : Les pics respiratoires enregistrés peuvent être assimilés à des phénomènes de détresse respiratoire, des éléments de secours, dans le cas de manque d oxygène. On aurait pu les assimiler à l hypothèse des bâillements, qui étaient autrefois attribués au besoin d augmenter le taux sanguin d oxygène, et à la ventilation de toutes les alvéoles pulmonaires. D. Action de l air confiné 1. Observations Voir la feuille annexe nommée : «Action de l air confiné Mise en évidence de l action de l air confiné sur la respiration» Pour simuler l action de l air confiné, nous avons utilisé un ballon bien vidé de son air à la canule trachéale. Nous observons alors une augmentation de la fréquence et de l amplitude de la respiration, entre le moment où l on fixe le ballon, et celui où on l enlève. Une fois que le ballon a été enlevé, ces valeurs reviennent à leur valeur normale. Encore une fois, nous remarquons des pics au cours de la respiration. Nous regroupons les valeurs obtenues dans le tableau suivant : 5

6 Avant mise en place du ballon Après mise en place du ballon Amplitude (mv) 38,46 128,7 Fréquence (s 1 ) 0,78 0,99 2. Interprétations Encore une fois, tous ces phénomènes s expliquent de la même façon que précédemment. En effet, en plaçant le ballon comme unique point de sortie de la respiration, et donc comme unique zone d échanges avec l extérieur, le système respiratoire tourne en cycle fermé. Il n y a alors plus de renouvellement de l air, et donc encore une fois, augmentation du taux de dioxyde de carbone et diminution du taux d oxygène dans le sang. Le ph diminue encore une fois. Les chimiorécepteurs réagissent alors encore une fois, il y a de nouveau phénomène d asphyxie. Ici, on remarque que l amplitude a presque été multipliée par quatre. La fréquence augmente aussi. Encore une fois, on retrouve les pics de respiration, qui peuvent ici aussi être assimilé à des phénomènes de détresse. Ici cependant, même au bout d un certain temps, il n y aurait pas eu possibilité d adaptation de la respiration au ballon, contrairement à l augmentation de l espace mort. En effet, au bout d un certain temps, l air aurait été intégralement rempli de dioxyde de carbone et vidé d oxygène. Nous avons donc retiré le ballon encore une fois pour éviter l asphyxie. Les effets ont été ici plus rapides est plus fort, en tout cas au niveau de l amplitude. Nous étions encore une fois en hypercapnie et en hypoxie. E. Etude de la respiration après vagotomie bilatérale 1. Respiration normale La vagotomie bilatérale consiste en une section des nerfs pneumogastriques des deux côtés. Nous avons alors enregistré la respiration, après vagotomie bilatérale. Voir feuille annexe nommée : «Etude de la respiration normale après vagotomie bilatérale mis en évidence des différences de la respiration normale, avant et après vagotomie» Les résultats que nous obtenons ne sont cependant pas bons, en effet, nous aurions dû obtenir une augmentation de l amplitude et de la fréquence. Cependant ici, en comparaison aux résultats d avant vagotomie, notre amplitude de notre fréquence diminuent. Cette erreur est due au positionnement du capteur, et à la faible fiabilité de la ceinture en pâte à modeler, qui s est décrochée du capteur et a dû être replacée. Nos interprétations seront donc faites à partir des résultats que l on aurait dû obtenir. En effet, les nerfs pneumogastriques servent à ralentir la respiration. Lorsqu ils sont sectionnés, ils ne ralentissent plus la respiration, qui est alors plus ample et plus rapide. Nous allons maintenant recommencer les expériences précédentes, alors que le nerf est coupé, et ainsi déterminer si les mécanismes précédents dépendent de ce nerf ou pas. 6

7 2. Injection d acide chlorhydrique Voir la feuille annexe nommée : «Injection d acide chlorhydrique après vagotomie bilatérale Mise en évidence de l effet de l acide chlorhydrique sur la respiration après vagotomie bilatérale» Encore une fois, nous pouvons noter l effet de l acide chlorhydrique, identique à celui présenté précédemment, avant vagotomie bilatérale. En effet, nous obtenons les variations suivantes : Avant injection Après injection Amplitude (mv) 38,6 57,28 Fréquence (s 1 ) 0,61 0,64 Nous avons donc de nouveau eu une augmentation de l amplitude et de la fréquence, avec l injection d acide chlorhydrique. On peut en faire les mêmes interprétations que précédemment, et ajouter que si les effets sont les mêmes avec ou sans nerf vague, c est qu il n influence pas le trajet de l acide chlorhydrique dans le corps, et donc que ce serait plus un transport de l information par la voie humorale. 3. Augmentation de l espace mort respiratoire Voir feuille annexe nommée : «Augmentation de l espace mort respiratoire après vagotomie bilatérale Mise en évidence de l effet de l augmentation de l espace mort respiratoire après vagotomie bilatérale» Une fois encore, les résultats sont quasiment les mêmes que précédemment, l augmentation de l espace mort respiratoire entraine une augmentation de l amplitude et de la fréquence des respirations. En effet, on obtient les résultats suivants : Avant augmentation de l espace mort Après augmentation de l espace mort Amplitude (mv) 46,9 136,93 Fréquence (s 1 ) 0,59 0,61 Encore une fois, on remarque que l amplitude a fortement augmenté, triplant presque, et que de plus, ici, nous obtenons un résultat plus dans les normes à obtenir, étant donné que notre effet met quelques secondes à survenir. Les interprétations sont les mêmes que précédemment, et encore une fois, l augmentation de l espace mort, et ses effets sur le corps n influent pas par voie nerveuse, le nerf étant coupé, et l action toujours présente. On favorisera alors la voie humorale. Cependant, on ne remarque plus les pics dans la respiration, et donc ce système de secours dont on a fait l hypothèse précédemment dépend peut être de la voie nerveuse. 7

8 4. Action de l air confiné Voir la feuille annexe nommée : «Action de l air confiné après vagotomie bilatérale Mise en évidence de l action de l air confiné sur la respiration après vagotomie bilatérale» Ici encore, nos résultats ne diffèrent presque pas de ceux obtenus précédemment. En effet, l action de l air confiné se fait rapidement sentir, et l amplitude et la fréquence des respirations augmentent encore cette fois. On atteint les valeurs suivantes : Avant mise en place du ballon Après mise en place du ballon Amplitude (mv) 38,61 99,1 Fréquence (s 1 ) 0,52 0,68 On a encore une belle augmentation de l amplitude, qui est multiplié par presque 3, et une petite augmentation de la fréquence, de l ordre des 24%. Nos interprétations sont encore les mêmes qu avant la section des nerfs, et donc encore une fois que l air confiné, comme l augmentation de l espace mort, utilisent la voir humorale et non nerveuse. Encore ici, les pics de respiration ont disparu, et donc encore une fois, on pense qu ils étaient dus à la voie nerveuse. F. Stimulation du nerf vague 1. Côté périphérique Voir la feuille annexe nommée : «Stimulation du nerf vague du côté périphérique Mise en évidence des perturbations de l activité respiratoire provoquées par les modifications de l activité cardiaque» On peut observer, à partir de nos graphiques, que si l on stimule le nerf du côté périphérique (en le plaçant sur des électrodes à crochets), on obtient une déstructuration du signal, les respirations se font n importe comment, on ne peut plus déterminer de phase d inspiration, ou de phase d expiration, les 2 étant mélangées. On peut donc en conclure que la partie périphérique du nerf pneumogastrique déstabilise la respiration. Cette déstabilisation est due au contrôle de ce nerf sur la pression artérielle. En effet, le nerf vague diminue la pression artérielle, et cette baisse de la pression artérielle est la cause des perturbation, le sang n arrivant plus en flux continu et stable, il arrive par à coups, et donc déstabilise totalement l action respiratoire, le sang entrant dans les poumons irrégulièrement. 2. Côté central Voir feuille annexe nommée : «Stimulation du nerf vague du côté central Mise en évidence de l arrêt respiratoire en réponse à la stimulation des tensio récepteurs pulmonaires» 8

9 Ici, la stimulation entraine tout simplement un arrêt respiratoire, en inspiration, durant le temps où on stimule le nerf du côté central, c'est à dire en direction du cerveau. Volume Arrêt respiratoire Temps En stimulant le nerf X du côté central, on stimule le cerveau, dont une partie, le groupe respiratoire dorsal semble être le centre générateur du rythme respiratoire, et donc on l a appelé centre inspiratoire. Ce centre, par l intermédiaire de neurones, émet à fréquence progressive des influx aux nerfs phrénique et intercostaux, qui stimulent les nerfs de l inspiration. En cas de forte stimulation de ce centre, comme c est notre cas, les influx sont lancés en continu, les muscles inspiratoires restent alors contractés, la respiration est bloquée en phase d inspiration, et il y a arrêt respiratoire. III. Conclusions et discussions En conclusion, on a étudié les effets de l acide chlorhydrique, d une augmentation de l espace mort, et de l air confiné sur la respiration dans 2 cas, en cas normal et en cas de vagotomie bilatérale. Ces expériences nous ont permis d étudier les 2 systèmes de régulation de la respiration, le système humoral et le système nerveux. On a étudié l action du nerf pneumogastrique, et son rôle dans la respiration. On s est aperçu qu il avait 2 actions, l une étant de déstabiliser la respiration indirectement, et l autre étant de provoquer indirectement un arrêt respiratoire. On a de plus vu qu il servait à ralentir la respiration en général, en la rendant plus ample et plus lente. Enfin, on a pu approcher le phénomène d asphyxie, et on a obtenu quelques pistes sur les voies utilisées par le corps pour éviter cette asphyxie. Cependant, les résultats de notre TP ne sont pas absolus, notre système de mesure étant soumis aux possibles erreurs obtenues à cause d un décrochement de la pâte à modeler, ou son glissement, ou des artefacts de manipulation. 9

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Capteur à CO2 en solution

Capteur à CO2 en solution Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les

Plus en détail

Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie

Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement

Plus en détail

Séquence : La circulation sanguine

Séquence : La circulation sanguine Séquence : La circulation sanguine Objectifs généraux : Amener l élève à Comprendre le rôle du cœur dans la circulation sanguine. Connaître le rôle du sang et ses composants. Connaître l anatomie du cœur.

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

L univers vivant De la cellule à l être humain

L univers vivant De la cellule à l être humain L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Construire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions)

Construire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions) Construire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions) Ce résumé est réalisé à partir du livre de D. LECLERCQ, «La conception des questions à choix multiple», Education 2000

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.

Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités

Plus en détail

1. Les barotraumatismes

1. Les barotraumatismes Dans le cadre de votre formation niveau 3 de plongeur subaquatique, nous allons traiter les accidents de plongée. Pourquoi commencer par ce cours? Ce n est pas pour vous faire peur, mais plutôt pour vous

Plus en détail

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY

Plus en détail

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement

Plus en détail

Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)

Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée

Plus en détail

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise

Plus en détail

Or 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.

Or 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin. La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais

Plus en détail

Savoir se relaxer. en choisissant sa méthode. D r C h a r l y C u n g i S e r g e L i m o u s i n. www.editions-retz.com

Savoir se relaxer. en choisissant sa méthode. D r C h a r l y C u n g i S e r g e L i m o u s i n. www.editions-retz.com D r C h a r l y C u n g i S e r g e L i m o u s i n Savoir se relaxer en choisissant sa méthode www.editions-retz.com 9 bis, rue Abel Hovelacque 75013 Paris Nous dédions notre ouvrage à tous les «stressés»,

Plus en détail

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -

Plus en détail

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus) Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Fonctions non ventilatoires

Fonctions non ventilatoires UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales

Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales ! Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales Recommanda)ons DE LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ CIVILE relatives!!! à l initiation du grand public à la prise en charge de l

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Pro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -

Pro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6

Plus en détail

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours. 360 x 245 x 300 mm (sans moniteur) Cycle à temps et volume constant

Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours. 360 x 245 x 300 mm (sans moniteur) Cycle à temps et volume constant SIARETRON 3000 ICU Ventilateur pour soin intensif code: 960136 Rev. 1-01/01/2009 CARACTERISTIQUES PRINCIPALES Destination d usage Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours.

Plus en détail

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Ventilation mécanique à domicile

Ventilation mécanique à domicile RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE

Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant

Plus en détail

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les

Plus en détail

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.

Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -

Plus en détail

Le bien - être connecté enfin accessible à tous

Le bien - être connecté enfin accessible à tous INFORMATION PRESSE NOUVEAU Le bien - être connecté enfin accessible à tous Surveiller sa forme et son activité physique, améliorer son sommeil ou apprendre à gérer son stress sont autant de préoccupations

Plus en détail

La mécanique sous le capot

La mécanique sous le capot La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques

Plus en détail

Préparer un 10km en 50 minutes environ

Préparer un 10km en 50 minutes environ Préparer un 10km en 50 minutes environ OBJECTIF DE CET ENTRANEMENT Votre objectif est de finir un 10 km en 50 minutes. DESCRIPTION Vous courez généralement à un rythme continu, mais vous aimeriez vous

Plus en détail

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins

Plus en détail

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important

Plus en détail

Séquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI

Séquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes

L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE

LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS

UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS COllection Les rapports du 7 Les facteurs prédictifs à la désaturation nocturne chez les patients ayant une maladie pulmonaire obstructive chronique rapport UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR

DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Nettoyage et entretien de pistolets de laquage

Nettoyage et entretien de pistolets de laquage Le guide pour un entretien parfait du pistolet de laquage Nettoyage et entretien de pistolets de laquage www.sata.com Les démarches - Un nettoyage de pistolets professionnel Produits hydrodiluables Attention:

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure

CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure Introduction CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - La mesure d une résistance s effectue à l aide d un multimètre. Utilisé en mode ohmmètre, il permet une mesure directe de résistances hors

Plus en détail

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première

Plus en détail

La fibrillation auriculaire : au cœur du problème

La fibrillation auriculaire : au cœur du problème La fibrillation auriculaire : au cœur du problème Cette brochure a été spécialement conçue pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire (FA), un trouble souvent décrit comme un rythme cardiaque

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un

Plus en détail

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.

Plus en détail

DOCUMENT RESSOURCE SONDES PRESENTATION

DOCUMENT RESSOURCE SONDES PRESENTATION Documentation technique DOCUMENT RESSOURCE SONDES PRESENTATION SEP du LPo N-J Cugnot 93 Neuilly/Marne LE CALCULATEUR Il est placé dans le boîtier à calculateurs, sur le passage de roue avant droit. Les

Plus en détail

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Guide. du trachéotomisé. P i o n n i e r e t spécialiste. CREA GUIDE ANTADIR 3 Paulo.indd 1 11/09/08 15:46:10

Guide. du trachéotomisé. P i o n n i e r e t spécialiste. CREA GUIDE ANTADIR 3 Paulo.indd 1 11/09/08 15:46:10 Guide du trachéotomisé P i o n n i e r e t spécialiste CREA GUIDE ANTADIR 3 Paulo.indd 1 11/09/08 15:46:10 CREA GUIDE ANTADIR 3 Paulo.indd 2 11/09/08 15:46:12 Guide du trachéotomisé Vous est offert par

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Urgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire

Urgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire Urgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire Docteur Jean-Pierre PERTEK Chef de service d anesthésie réanimation L arrêt cardio-respiratoire est un événement

Plus en détail

La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)

La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

GASMAN II MANUEL D UTILISATION

GASMAN II MANUEL D UTILISATION ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail