Physiologie végétale
|
|
- Paul Larose
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Physiologie végétale
2 Définition La physiologie végétale, ou phytobiologie, est la science qui étudie le fonctionnement des organes et des tissus végétaux et cherche à préciser la nature des mécanismes grâce auxquels les organes remplissent leurs fonctions. Elle cherche en somme à percer les secrets de la vie chez les plantes.
3 Les domaines d'étude de la physiologie végétale sont très diversifiés et concernent notamment : la nutrition, en particulier l'absorption des éléments minéraux et les fonctions de synthèse ; la respiration et les échanges gazeux chez les plantes ; la transpiration est affectée par la chaleur et par une circulation d'air sec et chaud, donc perte de H2O chez les plantes ;
4 Les relations des végétaux avec leur environnement; la croissance et le développement ; la reproduction, végétative ou sexuée.
5 Chapitre I : LA NUTRITION MINÉRALE
6 Le sol
7
8 Texture et structure du sol
9 L eau dans le sol L eau est présente dans le sol sous quatre états particuliers: L eau hygroscopique : provient de l humidité atmosphérique et forme une mince pellicule autour des particules du sol. Elle est retenue très énergiquement et ne peut être utilisée par les organismes vivants. L eau capillaire non absorbable : occupe les pores d un diamètre inférieur à 0,2 mm. Elle est également retenue trop énergiquement pour être utilisée par les organismes vivants. Seuls certains organismes très adaptés peuvent l utiliser. L eau capillaire absorbable : située dans les pores dont les dimensions sont comprises entre 0,2 et 0,8mm. Elle est absorbée par les végétaux et elle permet l activité des bactéries et des petits Protozoaires comme les flagellés. L eau de gravité : occupe de façon temporaire les plus grands pores du sol. Cette eau s écoule sous l action de la pesanteur.
10 L absorption de l eau
11 Localisation de l absorption
12
13
14 2. Les mécanismes de l absorption Existe-t-il un mécanisme particulier d absorption au niveau des poils absorbants? Non, la structure des membranes des poils absorbants n est pas différente des membranes des autres organes.
15 L absorption de l eau au niveau des poils absorbants est possible grâce à deux transports passifs : La diffusion Les aquaporines
16 1. La diffusion simple La diffusion simple repose sur le principe suivant : Une molécule diffuse depuis la zone où elle est la plus concentrée vers la zone où elle est moins concentrée Ce principe de diffusion simple nécessite que les molécules puissent traverser la membrane sans aide (canaux, transporteurs) Les molécules traversent directement le long de leur gradient de concentration jusqu à atteindre un équilibre de part et d autre de la membrane L eau peut traverser la membrane en utilisant le principe de diffusion mais la membrane reste trop peu perméable à l eau pour faire de la diffusion le mécanisme majoritaire de ce transport.
17 Structure de la membrane plasmique
18 Les aquaporines
19 2. LES IONS NUTRITIFS ET LEURS FONCTIONS Un des premiers objectifs des physiologistes de la nutrition minérale des plantes a été de préciser le statut, essentiel ou non, des éléments identifiés par l analyse chimique dans les tissus végétaux.
20 2.1 Éléments essentiels, macro- et microéléments Un élément est essentiel si, en son absence, la plante ne peut pas réaliser un cycle de développement complet, de la graine à la graine. Il est non essentiel dans le cas contraire. La mise au point de techniques de culture en hydroponie (culture où les racines baignent directement dans la solution nutritive, sans substratum solide) a permis d identifier progressivement dix huit éléments essentiels classés en deux catégories, macro-éléments et micro-éléments selon leur abondance relative
21
22 Les macroéléments (dont la concentration est sup à 10 mmol kg -1 ). Les microéléments ou oligoéléments (dont la concentration est inf à 10 mmol kg -1 )
23 Rôle des nutriments et symptômes de carence
24
25 L azote L azote représente environ 2% de la matière sèche des végétaux Entre dans la composition des protéines, acides nucléiques, coenzymes, phytohormones, métabolites secondaires L azote représente l élément minéral le plus abondant (quantitativement) dans les plantes
26
27 Sa carence provoque la diminution marquée de la chlorophylle, d'où chlorose (jaunissement) d'abord des vieilles feuilles puis des jeunes, suivie du ralentissement et de l'arrêt de la photosynthèse. Cela explique l'importance de la nutrition azotée en nutrition végétale. Il peut paraître curieux que des végétaux souffrent d'une carence en azote, alors que cet élément est très abondant dans l'air. En effet, l'azote représente 78 % de l'atmosphère terrestre où il constitue une formidable source de fertilisants estimée à tonnes, mais sous sa forme gazeuse N2, il ne peut pas être utilisé directement par les plantes qui ne peuvent, à l'exception de certains micro-organismes (bactéries et algues notamment), l'assimiler que sous forme minérale, ammoniacale (NH4)
28
29
30 Les différentes formes de l azote et leur disponibilité pour les plantes
31 Formes azote organique Les acides aminés Toutes les autre molécules carbonées contenant de l azote
32
33
34
35 Les différentes formes de l azote et leur disponibilité pour les plantes L azote peut être disponible sous 3 formes : Organique : AA Inorganique : Minéral (N03- et NH4+) et Gazeux N2 Chaque forme va être assimilée a différents degrés en fonction des espèces Chaque forme a son propre mécanisme d absorption
36 Absorption de l azote organique Acides aminés Source d azote organique. Leurs coefficients de diffusion est très variable en fonction de l AA considéré, mais reste très faible par rapport à celui du nitrate Les AA sont généralement assimilés par les microorganismes du sol plutôt que transportés à travers les membranes des poils absorbants des racines.
37 Il semblerait, que dans la plupart des cas, les AA ne soient pas assimilés par les plantes Demontré (Hodge et al., 2000). Utilisation d acides aminés marqués au 13 C et 15 N. Mesure du 13 C et 15 N retrouvés dans les tissus de la plante: très faible.
38 Certaines espèces forestières (Deschampsia flexuosa, Picea abies, Vaccinium myrtillus) sont capables, in situ, d absorber de grandes quantité d AA marqués 13 C et 15 N. Persson et al., 2003.
39 Absorption de l azote inorganique
40
41 L absorption l azote inorganique, N2 Symbiose Plantes/bactéries fixatrices d azote De nombreuses bactéries possèdent la capacité de fixer l azote atmosphérique et de le transformer en ammonium :
42 1. Symbiose Rhizobium-légumineuse Les rhizobium (proteo bactéries) peuvent s associer symbiotiquement avec les racines des légumineuses (Fabaceae) au sein d une structure particulière, le nodule.
43 2. Symbiose actinorhizienne Les bactéries actinomycètes du genre Frankia peuvent aussi s associer en symbiose avec des angiospermes
44 3. Association avec des cyano-bactéries Cyano-bactéries trouvées en association avec de nombreuses plantes supérieures et inférieures ainsi qu avec des champignons et des algues.
45
46
47
48
49
50 Le Phosphore
51
52
53 Le Soufre
54
55
56
57
58
59
60
61 Métabolisme des plantes
62 Les différents types de photosynthèse : plantes en C3, C4 ou CAM (Crassulacean acid metabolism)
63 A la différence des animaux, la plupart des végétaux possèdent des plastes. Il existe quelques exceptions : les champignons ou mycomycètes en sont dépourvus. Les plastes sont distincts des mitochondries par leurs tailles, leurs structures et leurs fonctions. On distingue les leucoplastes non pigmentés, les chromoplastes riches en caroténoïdes, et les chloroplastes.
64 leucoplastes
65 ils ne sont pas pigmentés. N'ayant pas de pigments, les leucoplastes ne sont pas verts, ce qui suggère une localisation dans les racines et dans les tissus non photosynthétiques. Ils peuvent se spécialiser pour stocker des réserves d'amidon, de lipides ou de protéines, ils sont alors respectivement appelés amyloplastes, oléoplastes, ou protéinoplastes.
66 Chromoplastes
67 Un chromoplaste est un organite observé dans les cellules des organes végétaux colorés de jaune à orange (par exemple les cellules de pétales de fleurs). Ces organites peuvent dériver des chloroplastes et sont riches en pigments non chlorophylliens, comme les xanthophylles, les carotènes, etc. Le changement de couleur lors du mûrissement des fruits de tomates et de poivrons résulte d'une transformation des chloroplastes en chromoplastes dans les cellules du péricarpe du fruit.
68 Chloroplastes
69
70 Définition de la photosynthèse La photosynthèse est un processus complexe au cours du quel les plantes contenant de la chlorophylle synthétisent de la matière organique à partir de gaz carbonique et d eau. Dans ce processus, il se forme en règle générale de l oxygène moléculaire. Parmi les phénomènes qui dépendent de la lumière, la photosynthèse occupe une place privilégiée dans la mesure où l énergie de rayonnement absorbée est utilisée à la synthèse de composés organiques à haute teneur en énergie à partir de produits minéraux simples. Il s agit d un processus endergonique, qui est lié à une augmentation d énergie libre. Si on tient compte de cet aspect énergétique, l ensemble de la photosynthèse peut être représenté par l équation suivante :
71
72
73
74
75 Pigments des chloroplastes La molécule d une chlorophylle comprend un groupe tétrapyrrolique hydrophile lié à un atome de magnésium. Les chlorophylles Les végétaux verts possèdent deux chlorophylles, la chlorophylle a et la chlorophylle b, qui se distinguent par une courte chaîne latérale portée par l anneau pyrrolique.
76
77 Les chlorophylles a et b absorbent diverses radiations lumineuses, avec des pics dans le rouge (environ 650 nm) et le bleu (vers 450 nm)
78 Les caroténoïdes Les caroténoïdes comprennent des pigments rouges orangés, hydrophobes. Les carotènes (C 40 H 56 ) sont des carbures d hydrogène non saturés, précurseurs de la vitamine A. Les xanthophylles, de même type, possèdent plusieurs fonctions alcool ou cétone. Les radiations absorbées par les carotènes et les xanthophylles sont dans la bande bleue verte (max. 480 à 500 nm).
79 Comme les carottes, les courges, notamment la citrouille, sont riches en carotène.
80 Le lycopène est un carotène rouge, qui donne notamment sa couleur à la tomate.
81 La coloration rose du pamplemousse, due au lycopène, un carotène.
82 La zéaxanthine est une xanthophylle qui donne sa couleur au maïs.
83 Le jaune d'œuf doit sa couleur à la lutéine, une xanthophylle.
84
85 Pigments actifs et pigments accessoires La chlorophylle a est un pigment actif, avec une configuration électronique spéciale. Elle est liée étroitement à d autres pigments, les uns donneurs, les autres accepteurs d électrons. Parmi eux, la phéophytine a une composition et une structure moléculaire très voisines de celles de la chlorophylle. Ces pigments sont des molécules prosthétiques combinées à des protéines particulières. L ensemble forme le centre réactionnel d un photosystème. D autres molécules (plusieurs centaines) de chlorophylles a et b associées sont des pigments accessoires, groupés en une antenne collectrice autour du centre réactionnel. L énergie absorbée par les divers pigments accessoires est transmise par résonnance aux pigments actifs. L ensemble du centre réactionnel et de l antenne collectrice compose une unité photosynthétique. Les autres pigments accessoires (caroténoïdes) transfèrent également l énergie reçue vers le centre actif, avec des rendements moindres que les précédents.
86 Les photosystèmes Le rapport entre l effet de la photosynthèse et l absorption d énergie lumineuse est accru dans des algues vertes, éclairées simultanément avec deux radiations déterminées de longueurs d onde différentes. Ces expériences ont amené la découverte de deux photosystèmes différents, capables d effectuer des réactions photochimiques
87
88 Le photosystème II (PS II) Le photosystème est un ensemble chlorophylles-protéines renfermant en particulier le complexe des pigments actifs (chlorophylle a, phéophytine, P 680 ) et ceux des pigments accessoires.(chlorophylle a, chlorophylle b, phycobilines, caroténoïdes). Le potentiel d'oxydoréduction est de +0,9 V. Grâce à l énergie captée, il recevrait les électrons de l eau, et les transfèrerait à la plastoquinone
89
90 Le photosystème I (PSI) Le photosystème I (PSI) est un autre ensemble, composé de pigments avec leurs protéines respectives, comprenant un complexe de chlorophylle a (P 700 ) active, et d autres complexes, avec des pigments accessoires (chlorophylles, caroténoïdes). Le potentiel redox s élève à +0,43 V. Le photosystème capterait des électrons de la plastocyanine pour les céder à la ferrédoxine, et provoquer ainsi la réduction du NADP +
91
92 Autres complexes D autres complexes interviennent dans les réactions de la photosynthèse.
93 -1 Les complexes collecteurs de lumière Ces complexes n exercent pas d activité photochimique, bien qu ils soient composés aussi de pigments liés à des protéines. Ils possèdent près de la moitié des chlorophylles du chloroplaste, comprenant presque autant de chlorophylles b que de a. A la différence des photosystèmes, ils sont dépourvus de centres réactionnels. L énergie captée est transférée au photosystème associé, selon le cas PS II, ou PS I.
94 2 Le complexe cytochromique Ce complexe renferme principalement divers cytochromes (f, b 6 ) et d autres composants (fer non hémique, phospholipides, caroténoïdes). Ce complexe assure le passage des électrons de la plastoquinone vers la plastocyanine et le photosystème I.
95 3 Le complexe de la NADP réductase Il permet grâce aux électrons à haute énergie provenant du PS I et transmis par la ferrédoxine, la réduction du NADP + en NADPH.
96 4) Le complexe de l ATP synthétase Il est analogue à celui des mitochondries, avec une partie intra-membranaire hydrophobe et une autre, en saillie dans le stroma. Il existe aussi un facteur de couplage, sur la face externe de la membrane du thylakoïde, essentiellement dans les régions intergranaires. Le complexe assure également le passage transmembranaire des protons.
97 La phase lumineuse de la photosynthèse 1- Réaction photochimique primaire Des chloroplastes isolés et éclairés, en présence d un oxydant (benzoquinone), transforment de l hémoglobine en oxyhémoglobine. L oxygène produit provient de l eau, comme le montre l emploi d eau marquée à l oxygène lourd H 218 O, selon une réaction du type :
98 Le transfert des électrons à partir de l eau s effectue contre un gradient électrochimique grâce à l énergie apportée par le photosystème II (P680) qui permet la production d oxygène. Les électrons seraient transférés à un accepteur terminal, le NADP +, au moyen de l intervention du photosystème I (P 700 ). Ce photosystème prendrait le relais du précédent. Entre les deux, les électrons perdraient une partie de leur énergie, au cours du passage par une série de transporteurs, comprenant la plastoquinone, plusieurs cytochromes (b 6, b 559, f), et la plastocyanine. En résumé, les électrons seraient transférés de l eau au NADP grâce à un apport d énergie considérable, d origine solaire.
99
100
101
102
103
104
105
106
107
108 La photorespiration L utilisation de l O 2 par la RubisCO mène à la formation du phosphoglycolate (C2), qui ne peut pas être utilisé dans le cycle de Calvin.
109 Pas de fixation de carbone, pas de production de sucres
110 L utilisation de l O 2 par la RubisCO mène à la formation du phosphoglycolate (C2), qui ne peut pas être utilisé dans le cycle de Calvin.
111 Pas de fixation de carbone, pas de production de sucres. Très couteux en énergie (ATP, NADPH) La photorespiration peut diminuer le rendement de la photosynthèse de près de 50%
112 Adaptation des plantes à la photorespiration Photosynthèse plantes en C4 18 familles d angiospermes, comprenant ~600 espèces Graminées, comme le maïs, la canne à sucre et le sorgho Photosynthèse plantes en CAM 20 familles, cas du cactus, des orchidées, de l ananas, Le CO 2 se combine à un composé à C4, l oxaloacétate Adaptation des plantes à la photorespiration
113 Photosynthèse plantes en C4
114 Deux enzymes de fixation du CO 2 chez les C4 cellules de la gaine fasciculaire : Rubisco + enzymes du cycle de Calvin cellules du mésophylle : PEPase, pas d enzymes du cycle de Calvin
115 La phosphoenolpyruvate carboxylase (PEPase) enzyme à très forte affinité pour le CO 2 qui, au contraire de la RuBP carboxylase (RubisCO), ne peut utiliser l oxygène.
116
117
118
119
120 Photosynthèse plantes en CAM CAM = Crassulacean Acid Metabolism Métabolisme découvert chez des plantes appartenant à la famille des Crassulaceae; présent chez de nombreuses autres familles de plantes, principalement les plantes grasses (désert, milieux riches en sels) fonctionnement de type C4 les plantes CAM possèdent la RubisCO et la PEPase; le CO 2 se combine à l oxaloacétate ensuite réduit en malate structure anatomique de type C3 la photosynthèse se déroule entièrement dans les cellules du mésophylle capacité de fixation de CO 2 à l obscurité
121
122
123
124
125 Croissance et développement La Croissance Est Un Phénomène Quantitatif. Le Développement Est Un Phénomène Qualitatif. Ils Sont Très Lies Et Se Déroulent En Même Temps. On Parle Donc De Croissance. Chez Les Végétaux La Croissance Est Indéfinie Et Localisée. Indéfinie : Elle Manifeste Des Phénomènes De Croissance Tant Qu'elle Vit. On Parle D embryogénese Indéfinie. Localisée : Centres Générateurs De La Croissance ( Les Méristèmes Localises Aux Extrémités).
126 Les Méristèmes Sont Localises Aux Extrémités Des Tiges Et Des Racines. Constitues De Cellules Méristématiques Ils Contribuent A L apparition D organes : Tiges ; Racines ; Feuilles.
127
128
129
130
131
132
133
134
135
136
137
138
139
140
141
142
143
144
145
Les plantes et la lumière
Les plantes et la lumière Première partie : la lumière comme source d énergie Pierre.carol@upmc.fr http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/photosynthese-cours/index.htm 1. Introduction La lumière est la source
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailRôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez les plantes alpines Etude d écotypes alpins chez Arabidopsis thaliana
Rapport de stage 1 ère année de Master Environnement Spécialité Ecologie, Biodiversité, Evolution (EBE) Valérie GUITTET Soutenance : 7-8 juin 2010 Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailVARIATIONS PHOTO-INDUITES DE LA FLUORESCENCE DU NADPH CHLOROPLASTIQUE
THESE de DOCTORAT de l'universite PIERRE et MARIE CURIE (PARIS VI) Spécialité : Biophysique Moléculaire présentée par Gwendal LATOUCHE pour obtenir le grade de DOCTEUR de l'universite PIERRE et MARIE CURIE
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détail*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.
WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détail1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.
RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert
Plus en détailNous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle
Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle 2009 NADICO Ltd. Germany www.nadico.de Le revêtement Titan Effect TE1022 améliorer la rentabilité des installations solaires
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailTEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS. Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante :
TEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS Question 1 Les caroténoïdes : Ce sont des pigments végétaux Hydrophile contenant une chaîne centrale hautement polyinsaturée pouvant comporter une structure
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION
LE SERVICE D INFORMATION ET DE DOCUMENTATION SID, Mars 2009 DE LA FONDATION ALLIANCE FRANÇAISE FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION D UN FONDS D ARCHIVES D UNE ALLIANCE FRANÇAISE. SOMMAIRE Les objectifs...
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailTS 31 ATTAQUE DE FOURMIS!
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! Type d'activité ECE Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences exigibles du programme de Terminale S TYPE ECE Evaluation
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailUtilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :
ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détail«Lumière sur les pigments»
«Lumière sur les pigments» Pourquoi les feuilles des plantes sont-elles vertes en été et rouges en automne? Comment un caméléon fait-il pour changer de couleur? Que voit un daltonien? Pourquoi les cheveux
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailgrande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665,
Cours de Biologie Cellulaire Présentés par Mr CHELLI A. FSNV 2012/ /2013 CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA BIOLOGIE CELLULAIRE A- Introduction et définitionn de la biologie cellulaire : Il était difficile
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détail