Inégalités, pauvreté et choix alimentaires en France
|
|
- Claude Lepage
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Inégalités, pauvreté et choix alimentaires en France France CAILLAVET -ALISS/INRA Economie de l Alimentation dans les pays industrialisés Académie d Agriculture - 14 février 2007
2 Enjeux Aggravation des inégalités nutritionnelles? Que révèlent les «choix alimentaires» des populations pauvres? Que peuvent les outils d intervention économique pour les populations défavorisées?
3 Evolution des disparités des apports énergétiques selon le revenu (Nichèle et al. 2005) Figure 16 : Apports Energétiques Sans Alcool des achats de produits alimentaires par niveau de revenu 20% 15% Pourcentage de déviation par rapport à la moyenne 10% 5% 0% -5% -10% -15% er quartile de revenu 2ème quartile de revenu 3ème quartile de revenu 4ème quartile de revenu -20% Sources: Enquête alimentaire INSEE et Panels de consommateurs SECODIP
4 Evolution des disparités des apports énergétiques selon l éducation (Nichèle et al. 2005) Figure 17 : Apports Energétiques Sans Alcool des achats de produits alimentaires par niveau d'éducation 20% 15% Pourcentage de déviation par rapport à la moyenne 10% 5% 0% -5% -10% -15% n.d Etudes primaires Etudes secondaires BAC Etudes > BAC -20% Sources: Enquête alimentaire INSEE et Panels de consommateurs SECODIP
5 Apports en Beta-carotène et Vitamine C selon le revenu - Adultes (Andrieu et Caillavet 2005, INCA 1999) Apports en Vitamine C (mg/2000 Kcal) des adultes en fonction du sexe et du revenu familial/uc Apports en Béta-carotène (µg/2000 Kcal) des adultes en fonction du sexe et du revenu familial/uc 100, ,00 90, ,00 80,00 A p p o r t s e n V i t a m i n e C ( m g / k c a l ) 70,00 60,00 50,00 40,00 30,00 20,00 Féminin Masculin A p p o r t s e n B é t a - c a r o t è n e ( µ g / K c a l ) 2500, , , ,00 Masculin Féminin 500,00 10,00 0,00 [ F] [ F] [ F] 0,00 [ F] [ F] [ F] moy/sexe Revenu familial/uc (F/mois) Revenu familial/uc (F/mois)
6 Plan I- Une approche des inégalités par les budgets alimentaires : 3 marqueurs sociaux de la consommation Quantités consommées Structure de l approvisionnement Prix moyen d achat II- Coût de l alimentation et recommandations nutritionnelles Dépenses alimentaires moyennes Coût minimum de couverture des besoins nutritionnels Rapport qualité nutritionnelle/prix des aliments III- Peut-on cibler les plus défavorisés avec des politiques nutritionnelles? Revenu Prix: Taxation/subvention Information Ciblage
7 1- Quantités consommées et revenu Groupes d aliments kg/personne/an (Caillavet, Combris, Perchard 2002) Lait, produits laitiers Fruits Légumes Viande, charcuterie, volailles Sucre, corps gras F/personne/mois
8 Principal marqueur: les FL frais Les achats de légumes kg/personne/an Légumes frais Conserves, surgelés F/personne/mois
9 et surtout les fruits frais kg/personne/an Les achats de fruits Fruits frais Agrumes, fruits exotiques Fruits transformés F/personne/mois
10 mais aussi la viande de boucherie Les achats de viande Viande de boucherie kg/personne/an Volailles Porc frais F/personne/mois
11 Approvisionnement alimentaire et niveau de revenu (Caillavet et Momic 2004; Budgets de Famille ) 7,7% 1,6% 15,4% 80% % consommation totale ménages 60% 40% 20% 30,2% Autoconsommation Repas extérieurs Achats 0% D1 D2 D3 D4 D5 D6 D7 D8 D9 D10 Déciles de revenus par unité de consommation Plus faible consommation hors domicile
12 Des prix moyens d achat toujours inférieurs Calcul de la valeur unitaire : /kg Dépenses / quantités par groupe de produits Reflet des différences au niveau des stratégies d approvisionnement - Qualité des produits : type de morceau, teneur nutritionnelle, - Degré de préparation des aliments : frais, conserves, surgelés - Conditionnement - Achats en promotion - Lieu d approvisionnement : supermarché, petit détaillant
13 Dépenses alimentaires des ménages pauvres (Budget de Familles ) Une part budgétaire importante de l alimentation - En dessous du seuil de pauvreté: 23,5% (moy: 17%) Faiblesse de la dépense par tête - En dessous du seuil de pauvreté: 4 /jour (moy: 6,3) (dont consommation à domicile 3,7 /jour) - Bénéficiaires d aide alimentaire (ABENA): 2,6 /jour
14 Dépenses alimentaires et niveau de revenu (Caillavet-Darmon, Budgets de Famille ) 25 22,5 /ménage/jour 20 17, ,5 Part budgétaire 10 7,5 5 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e 9e 10e Déciles de revenu des ménages
15 Coût minimal du respect de l ensemble des recommandations nutritionnelles (Darmon, Ferguson, Briend, 2005) 5,0 5,0 Ration moyenne observée en population /j 4,0 3,0 2,0 1,0 3,3 2,5 Coût minimal pour respecter les ANC, estimé par programmation linéaire Dépenses personnes en situation de précarité 0,0
16 Hiérarchie énergie/coût des groupes d aliments (Darmon & Briend, NAFAS, 2003; Drewnowski & Darmon, Am J Clin Nutr, 2005) 45 % Coût Calories Pdts carnés Fruits & légumes Pdts laitiers Féculents Pdts sucrés MG ajoutées
17 Outils d intervention économique à destination des plus défavorisés Réduire les inégalités nutritionnelles - Politique de revenu - Politique de prix - Politique d information - Intervention sur l offre alimentaire Peut-on cibler les populations défavorisées?
18 Politique de revenu Réduire les inégalités nutritionnelles Assurer un surcroît de consommation alim et le diriger vers les produits les plus sains - Minimum social destiné à l alimentation (contrôle des dépenses par produits?) - Bons en nature (ex: coupons fruits et légumes) - Aide alimentaire directe = politique sociale Pb de qualité nutritionnelle de l aide alimentaire (Rambeloson 2006)
19 Impact d une augmentation de revenu ménages au-dessous du seuil de pauvreté / total (Caillavet et Momic 2004, BDF ) Elasticités revenu de l'alimentation 1 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0,1 0 Produits céréaliers Fruits Produits laitiers Corps gras Boissons Poissons Viandes Produits sucrés Légumes Seuil de pauvreté Ensemble de la population
20 MAIS pour des ménages très contraints pas d effet revenu (segmentation de la demande de FL, Bertail et Caillavet 2003, Secodip 1997) Elasticités revenu de la dépense totale en fruits et légumes 0,500 0,450 0,400 K1 0,350 K2 0,300 K3 0,250 0,200 K4 0,150 K5 0,100 0,050 K6 0,000 K1 K2 K3 K4 K5 K6
21 Une politique de prix n est pas socialement neutre Modifier les coûts relatifs des aliments selon leur intérêt nutritionnel (aliments malsains plus coûteux, aliments sains moins chers) Taxation (ex: corps gras) - Effet régressif: Renchérissement du budget alimentaire des ménages pauvres - Effets de substitution : difficile d apprécier l impact final d une variation du prix sur la consommation : Multiples impacts des prix Subvention (ex: fruits et légumes) - Impact différent selon les catégories sociales Réserves: - certains aliments ont à la fois des bonnes et mauvaises qualités nutritionnelles (ex: lait) - Intervenir sur les aliments ou les nutriments? - Relation alimentation et maladie? (besoins énergétiques, activité physique )
22 Taxer les CORPS GRAS (Caillavet, Food Economics 2005) Beurre Huile d'olive Huiles de mélange Huile de Tournesol Autres Huiles Margarine Crème complémentarité substituabilité Huiles de mélange Huile de Tournesol Beurre Margarine Autres Huiles Huile d'olive Crème complémentarité substitution Multiplicité des connexions (Total/ Pauvres, Educ faible) Quel impact final? Difficile d apprécier tous les effets d une augmentation du prix (taxation) sur la consommation
23 Impact d une d diminution de prix sur les achats de FRUITS (Caillavet 2002) 1,600 1,400 1,200 1,000 0,800 p au vres non pauvres 0,600 0,400 0,200 0,000 Fruits frais Fruits transformés Jus de fruit La ré-allocation du budget des ménages pauvres se fait en priorité vers les FL transformés Une diminution (subvention, baisse TVA) du prix des FL frais bénéficie davantage aux ménages aisés
24 Politique d information et d éducation Endogénéité de l information - Qui la reçoit? Qui l assimile? - Universalité de l information? (adéquation individuelle de messages généralistes) Lien connaissance nutritionnelle comportement alimentaire et de santé? Rôle des anticipations Impact des produits avec allégations nutritionnelles sur la consommation des pop. défavorisées - Signalisation nutritionnelle des produits: attention portée à l étiquetage et aux allégations?
25 Intervention sur l offre alimentaire Accessibilité à des produits bénéfiques pour la santé à un coût acceptable Qualité des produits 1ers prix Contrôle de la qualité nutritionnelle : Rapport qualité nutritionnelle/prix satisfaisant : en GB, on peut conseiller les produits 1 er prix (GB: Cooper et Nelson J Hum Nutr Dietet 2003)
26 17 plats préparés en France (Joly, Maillot, Caillavet, Darmon 2006) Moyennes marginales estimées (et intervalles de confiance) du prix, de la densité énergétique, et du score de qualité des ingrédients (après ajustement pour la catégorie du produit) Les différences sont significativement différentes entre marques pour le prix et le score mais pas pour la DE DE (kcal/g) Qualité ingrédients Prix ( /kg) erPrix D HD MDD MN
27 Cibler les populations défavorisées? Mesures ciblées - Politique de prix dans les circuits de consommation hors domicile : s appuyer sur le milieu socio-professionnel et la ségrégation résidentielle (restauration d entreprise et scolaire) - Politique de revenu sur l alimentation : coupons - Politique d information/éducation: ciblage par groupes de population en adaptant les messages aux habitudes alimentaires (cultures diverses, migrants) Ciblage = stigmatisation? - Acceptabilité de coupons? - Politique éducative vers tous les enfants (information, ateliers)
28 Conclusions Les inégalités nutritionnelles sont encore fortes aux extrêmes de l échelle des revenus Des stratégies de consommation adaptées à la faiblesse du budget Les contraintes budgétaires orientent vers une alimentation défavorable à la santé Au-dessus d un certain seuil de budget: combinaison de politiques Ciblage = stigmatisation?
29 Qualité nutritionnelle des produits 1 er prix (Cooper, J Hum Nutr Diet, 2003) Rapport qualité nutritionnelle/prix des aliments "de marque" vs "1 ers prix" Classement selon la quantité de nutriments/pence Aliments de marque Econ. Line Tesco Econ. Line Sainsbury Econ. Line Kwiksave Econ. Line Asda Au sein d une d même gamme d aliments, d il ne faut pas hésiter h à conseiller les 1er 1 prix
Développement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailNutrition et santé : suivez le guide
Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques
Plus en détailCARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ
CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ Etude des produits transformés disponibles sur le marché français entre 2008 et 2011 ÉDITION 2015 2015 Etude du secteur des glaces
Plus en détailLES POPULATIONS MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE?
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES POPULATIO MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE? Fanette RECOURS Pascale HEBEL Avec la collaboration de Cécile CHAMARET
Plus en détailDéfinition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008
Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008 1/85 Coordination scientifique Monsieur Jean-Christophe Boclé, Mademoiselle
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailGT lipides CHOCOLAT. 19 février 2008
1 GT lipides CHOCOLAT 19 février 2008 2 Sommaire Marché français du chocolat Consommation de chocolat en France Fabrication et ingrédients du chocolat Les matières grasses utilisées Compositions lipidiques
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao
Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao du 23 novembre 2005 Le Département fédéral de l intérieur (DFI), vu les art. 4, al. 2, 26, al. 2 et 5,
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détail2.1. L'évolution de l alimentation en France
2. CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET ETAT NUTRITIONNEL DE LA POPULATION VIVANT EN FRANCE 2.1. L'évolution de l alimentation en France En France, comme dans l ensemble des pays industrialisés, les habitudes alimentaires
Plus en détailRéseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents
Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailListe des auteurs et remerciements
Comparaison de deux enquêtes nationales de consommation alimentaire auprès des adolescents et des adultes Baromètre santé nutrition (22) et INCA (1998-99) : éléments de méthode et résultats - Juin 24 -
Plus en détailL influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse. Contexte.
L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse Contexte Ce document est la synthèse d un avis réalisé par Catherine Gervais de l Institut national
Plus en détailLes stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL
Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?
Plus en détailL alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel 1
L alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel 1 France Caillavet (Corela-Inra), Nicole Darmon (Uren-Istna - Cnam),
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailLe secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur
Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailTeneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011
Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailLes aliments de l intelligence
www.swissmilk.ch NEWS ER Conseils alimentation: L alimentation saine à l adolescence, 3 e partie Octobre 2010 Les aliments de l intelligence Des performances intellectuelles au top Des repas intelligents
Plus en détailRestauration collective
Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09
Plus en détailSécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires
Sécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Sécurité et insécurité alimentaire
Plus en détail> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français
> ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détail5 repas. e r. www.produits-casino.fr. arce qu un repas est un moment de plaisir, de partage et qu il construit notre santé,
Rapides_economiques_v03.qxd:Mise en page 1 11/03/08 10:03 Page 12 es Repas Bonheur Ca commence aujourd hui! DISTRIBUTION CASINO FRANCE SAS au capital de 45 742 906 Euros Siège social : 1 Esplanade de France
Plus en détailEnquête industrie Agroalimentaire
[Texte] Enquête industrie Agroalimentaire La CCI de la Vendée a mené, courant 2013, une enquête auprès des entreprises industrielles vendéennes afin d analyser la structuration et l organisation de ces
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailQue manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?
Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailComment utilisons-nous notre argent?
Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le
Plus en détailLe logo «Fait maison»
Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire
Plus en détailENQUETE DE SATISFACTION
ENQUETE DE SATISFACTION RESTAURATION SCOLAIRE Chers parents, Nous souhaitons connaître votre avis sur la restauration scolaire de vos enfants. Cette enquête a pour but d évaluer votre degré de satisfaction
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.
Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Personnes présentes : M. le Maire, Guillaume MATHELIER, M. Quentin MAYERAT, Adjoint à l'éducation et à la
Plus en détailMercredi 12 janvier 2011
NUMÉRO DE LA COPIE :.. EXAMEN PROFESSIONNEL D ACCES AU GRADE D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL DE 1 ère CLASSE SPECIALITE «RESTAURATION» Session 2011 Mercredi 12 janvier 2011 EPREUVE : Epreuve écrite à caractère
Plus en détailLes produits solidaires, 100 jours pour convaincre!
Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détail60 produits solidaires pour les familles
60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers
Plus en détailDes portions adaptées à vos besoins. Nous changeons nos besoins aussi! Senior
À chacun sa portion Nous changeons nos besoins aussi! Des portions adaptées à vos besoins,, adulte ou senior, nos besoins alimentaires évoluent au fil de nos vies. Ils diffèrent également entre les femmes
Plus en détailUn outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner!
Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre des petits chefs : un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre
Plus en détailL information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments
L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments Présenté par Micheline Séguin Bernier Le 19 mars 2007 Tiré et adapté du document de Santé Canada Le tableau de la valeur nutritive : plus facile
Plus en détailConseils nutritionnels après la greffe
Hôpital Royal Victoria Centre Universitaire Santé McGill Conseils nutritionnels après la greffe À suivre durant la période de la prise de médicament(s) immunosuppresseur! Nom : Diététiste: Date: Téléphone
Plus en détailPar Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé
CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailConsultation publique
Consultation publique PROJET DE REDÉVELOPPEMENT DU SITE DES ANCIENS ATELIERS DU CN Mémoire déposé par le Club populaire des consommateurs de Pointe-Saint-Charles dans le cadre des consultations publique
Plus en détailLa Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -
La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé
Plus en détailMise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums
MÉTHODOLOGIE DE LA FAO POUR MESURER LA PRÉVALENCE DE LA SOUS- ALIMENTATION Mise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums Division des Statistiques de la FAO Rome,
Plus en détailL AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS
FOCUS AGROALIMENTAIRE BROME-MISSISQUOI 2011 L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES UN CHIFFRE D AFFAIRE ANNUEL DE PRÈS DE 67MILLIONS PLUS DE 1000 EMPLOIS La transformation agroalimentaire
Plus en détailAspartame ou stévia: le duel
Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailConseil national de l information statistique
Conseil national de l information statistique Commission Système financier et financement de l économie Accessibilité et inclusion bancaire 25 septembre 2014 1 Pourquoi la Croix-Rouge française s occupe-t-elle
Plus en détailANNEE SCOLAIRE EN COURS
La rédaction de cette circulaire de Rentrée relative au service de Restauration a été assurée par l Association des Parents d Élèves, section française (APE). Elle a été val idée par la direction du Lycée
Plus en détailLes graisses dans l alimentation infantile
FAMIPED Familias, Pediatras y Adolescentes en la Red. Mejores padres, mejores hijos. Les graisses dans l alimentation infantile Autor/es: Ana Martínez Rubio. Pediatra de Atención Primaria. Centro de Salud
Plus en détailRECOMMANDATION NUTRITION
RECOMMANDATION NUTRITION GROUPE D ETUDE DES MARCHES DE RESTAURATION COLLECTIVE ET NUTRITION GEM-RCN Version 1.3 - Août 2013 1 LE PILOTAGE DES GROUPES D ÉTUDE DES MARCHÉS EST ASSURÉ PAR LE SERVICE DES ACHATS
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailpour filles indigènes et rurales au Guatemala Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés. Résultat social du projet
Système communautaire pour filles indigènes et rurales au Guatemala "Les femmes portent la moitié du ciel" "Une éducation pour la transformation sociale" Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés.
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détail[EN FINIR AVEC LE REFLUX GASTRIQUE]
2 P age Sommaire Qu Est-Ce Que Le Reflux Gastrique?... 2 Les Aliments Responsables Du Reflux Gastrique... 5 Comment Prévenir Le Reflux Gastrique... 7 Des Remèdes Simples Pour Traiter Le Reflux Gastrique...
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailMARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailCintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015
Cintech 360 Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Centre collégial de transfert technologique Cégep de Saint-Hyacinthe Mission: Accroître l innovation et à la compétitivité
Plus en détailDemande de Soumission - Transformateur
Demande de Soumission - Transformateur Nom de l entreprise : Prénom : Nom : Titre : Adresse : Ville : Code postal : Région : Téléphone : Télécopieur : Courriel : Site Web : Domaine d activités : *** possibilité
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailRØsumØ 2007. Direction
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'économie et de la santé Service de la consommation et des affaires vétérinaires Direction RØsumØ 2007 En 2007, les campagnes intercantonales organisøes avec
Plus en détailCentre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire
Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Observatoire de la Microfinance Novembre 2011 Hay Chabab, Rue Baamrani Ain Sebaa Casablanca-Maroc Tel +212 522 739 089/ +212 522 739 124 Fax +212
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailFactsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détailBien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste
Bien manger pour mieux vieillir Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Manger «Manger c est l acte social par excellence» «Non seulement nous sommes ce que nous mangeons, mais ce que nous avons mangé» (Richard
Plus en détailVENDREDI 11 MARS 2011. Bienvenue. à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1
VENDREDI 11 MARS 2011 Bienvenue à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1 PRESENTATION DE LA CUISINE CENTRALE 2 Direction Générale des Services Jean-Pierre
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailPanorama de la grande distribution alimentaire en France
N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire
Plus en détailSommaire. Introduction... 1
Sommaire Introduction... 1 I. Analyse de l existant... 2 I.1. Les produits... 2 I.1.1. A chaque âge son alimentation... 2 I.1.2. Les dépenses consacrées aux enfants... 3 I.2. Forces en présence et distribution...
Plus en détailUne vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...
Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données
Plus en détailManuel de l éducateur
Guide alimentaire du Nunavut Choisissez la nourriture traditionnelle et des aliments sains à l épicerie pour un corps en santé Guide alimentaire du Nunavut Manuel de l éducateur À PROPOS DE CE MANUEL Ce
Plus en détailAlimentation du nourrisson et de l enfant en bas âge. Réalisation pratique
1 Alimentation du nourrisson et de l enfant en bas âge. Réalisation pratique Comité de Nutrition de la Société Française de Pédiatrie A.Bocquet*, J.L.Bresson, A.Briend, J.P.Chouraqui, D.Darmaun, C.Dupont,
Plus en détailAGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.
Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire
Plus en détailLe programme pour réduire votre cholestérol en 3 semaines
Le programme pour réduire votre cholestérol en 3 semaines Découvrez des astuces de professionnels, des conseils sportifs et des idées recettes Introduction Le cholestérol joue un rôle dans le fonctionnement
Plus en détailJUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,
JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008 INFO RÉGLEMENTATION info L étiquetage des denrées alimentaires L information des consommateurs, focus sur le règlement européen INCO L e règlement européen n 1169/2011 (ci-après
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailDIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ
1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale
Plus en détail