Objectifs de la formation. Vous initier à la dimension éthique de votre responsabilité professionnelle. Objectifs spécifiques

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1 Dimension Éthique de l'activité professionnelle Regroupement des Centres jeunesse emploi du Québec Ste-Adèle le 30 janvier 2014 Robert Roy Ph. D. Philosophie et éthique appliquée Professeur associé FLSH-Université de Sherbrooke Objectifs de la formation Objectif général Vous initier à la dimension éthique de votre responsabilité professionnelle. Objectifs spécifiques Distinguer les différentes conceptions de l éthique. Repérer les enjeux de valeurs associés à une décision de gestion ayant des répercussions sur l environnement. Robert Roy 1

2 1. Conceptions éthiques Atelier Dans votre CJE, quelques absences sont jugées «normales» dans le cadre du parcours d un jeune. Julie, une nouvelle intervenante provenant d un autre CJE, a mis fin aux services rendus à Luc après sa deuxième absence. Quelle est la position éthique? A) Elle a mal agi. Le jeune a besoin de soutien. B) Le contrat signé exige l assiduité. On ne peut rien lui reprocher C) J aurais besoin de connaître les motifs et le contexte de sa décision pour me prononcer 1. Conceptions éthiques A) La conception morale Adhésion à un ensemble de valeurs et de principes qui servent de fondement aux décisions à prendre Dans mon vocabulaire, nous sommes en présence d un jugement moral. Robert Roy 2

3 1. Conceptions éthiques B) La conception déontologique respect des normes (légales, administratives, professionnelles, organisationnelles) qui engendrent autant de devoirs de se conformer. Dans mon vocabulaire, nous sommes en présence d un jugement déontologique. 1. Conceptions éthiques C) La conception réflexive : référence processus de réflexion critique qui vise à : mettre en lumière les enjeux de normes et de valeurs présents dans une situation. décider en accordant la priorité aux valeurs susceptibles d être jugées légitimes par le plus grand nombre d acteurs. Robert Roy 3

4 2. Éthique de référence Éducation familliale Scolarisation Formation professionnelle Code de déonto Réflexion Éthique Valeurs et normes Morale et mœurs Louis Valeurs et normes Québec Lois Règlements morales et mœurs Morale et mœurs Équipe de travail 2. Éthique de référence Pas normative ou axiologique poser des constats (science) BUT émettre des prescriptions (droit) = faire des évaluations Robert Roy 4

5 2. Éthique de référence Quand faisons-nous des évaluations? L humain est libre, conscient des gestes qu il pose et du temps qui passe 1 À chaque geste, il peut se demander : Est-ce mieux de perpétuer ou de modifier le passé? Les conséquences de mes actes sont-elles souhaitables? 2. Éthique de référence Qu est-ce qu une situation éthique? Avoir un impact, positif ou négatif sur autrui Décision Action Inaction qui peut Avoir un impact, positif ou négatif sur l environnement Modifier notre évaluation de nous-mêmes, de nos actes passés ou à venir Robert Roy 5

6 2. Éthique de référence Qu est-ce qu un dilemme éthique? Décision d un acteur Le dilemme est proportionnel à l écart Sa morale et ses mœurs Ce qui est jugé légitime par autrui Processus d action en éthique Représentation de la situation Équipe de décision Décideur Évaluation + subjectif Valeurs Agir? Quoi faire? Situation Action Moyens? Robert Roy 6

7 F a c t e u r s q u i Qu est-ce qu une situation? Situation Passé Présent Avenir g é n è r e n t Acteur 2 Acteur 3 Acteur 1 Temps Acteur 4 DÉCIDEUR CONTRAINTES $ Ressources Matérielles Normatives Acteur 5 Acteur nb X Chartes Morales Lois Mœurs Règ. et pol. Contrats Court Moyen Long Terme Émotives C o n s é q u e n c e s Dilemme émotif Incertitudes Éléments marquants Choix disponibles L analyse Dilemme d action Position spontanée Acteurs Conséquences Normes Émotions Pondérer gravité Pondérer l éventualité Retenir les éléments marquants pour chaque option de l alternative La situation Dilemme de valeurs D É C Identifier I les valeurs S en conflit I O N A R G U M E N A T I O N Tests : impartialité, réciprocité et exemplarité Robert Roy 7

8 Représentations personnelles Membre 2 Membre 3 Décision colletive SITUATION ACTION COMMUNE Membre 1 Membre,,, nb X Dialogue sur l analyse REPRÉSENTATION COMMUNE AGIR OU PAS? QUOI FAIRE? QUELS MOYENS? ÉVALUATION COMMUNE Grille (G.A. Legault) PHASE 1 : prendre conscience de la situation Étape 1 : inventorier les éléments marquants Étape 2 : formuler le dilemme d action Étape 3 : résumer la prise de décision spontanée Étape 4 : Analyser la situation des parties Étape 5 : Analyser la dimension normative Robert Roy 8

9 Grille (G.A. Legault) PHASE 2 : clarifier les valeurs conflictuelles de la situation Étape 6 : Identifier les émotions dominantes Étape 2 : formuler le dilemme d action Étape 7 : Identifier les éléments marquants et les valeurs agissantes Étape 8 : Identifier le principal conflit de valeurs Grille (G.A. Legault) PHASE 3 : Prendre une décision éthique sur une base raisonnable Étape 9 : identifier la valeur qui a préséance Étape 10 : identifier l argument principal justifiant cette préséance Étape 11 : préciser les modalités d action Robert Roy 9

10 Grille (G.A. Legault) PHASE 4 : Établir un dialogue réel entre les personnes impliquées Étape 12 : faire une réflexion critique sur le caractère universalisable des raisons d agir Étape 13 : formuler et présenter une argumentation complète justifiant la décision Notes 1. Cette position s inspire de celle de Jean Ladrière qui affirme que «l éthique est une dimension de l existence», dans Ladrière, J. (1997), L éthique dans l univers de la rationalité, Montréal, Artel-Fidès, p. 24. Robert Roy 10

11 Bibliographie 1. Dewey, J. (2011), «Théorie de la valuation» dans La formation des valeurs, La Découverte, pp Inialement publié sous le titre «Theory of Valuation» dans International Encyclopedia of Unified Science, Chicago Press, 1939, pp Ladrière, J. (1997), L éthique dans l univers de la rationalité, Montréal, Artel-Fidès. Bibliographie 3. Legault, Georges A. (1999). Professionnalisme et délibération éthique. PUQ. 4. Létourneau, Alain, «Les significations majeures du mot éthique dans les journaux québécois, », Communication, (vol. 24, no 1), automne 2005, pp Robert Roy 11

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