Les auteurs d agression sexuelle : quand la stigmatisation augmente le risque de récidive

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1 Les auteurs d agression sexuelle : quand la stigmatisation augmente le risque de récidive XV e Colloque de l Association québécoise pour la réadaptation psychosociale 10 novembre 2010 Francis Laroche, M.A., sexologue Katia-Sophie Marcoux, M.A., sexologue

2 Plan de l atelier 1. Présentation de la clinique 2. Perception de la population 3. Réalité clinique 4. Facteurs de risque 5. Impacts de la stigmatisation 6. Actions pour tendre vers une déstigmatisation 7. Lettre d un pédophile 8. Discussion

3 1. Présentation de la clinique

4 1. Présentation de la clinique La Clinique d évaluation et de traitement des troubles du comportement sexuel a été fondée en 1985 Les services offerts: Évaluation multidisciplinaire du risque de récidive sexuelle Évaluation des intérêts par la pléthysmographie pénienne Évaluation psychosociale (au besoin) Traitement (sexologique, psychiatrique, psychologique et pharmacologique) L équipe est composée de : 6 sexologues 2 psychologues 1 psychiatre 1 travailleuse sociale (1/2 temps)

5 Profil de la clientèle Auteurs d infractions sexuelles 41,3 % ont commis des délits sur des enfants prépubères. 21,7 % ont commis des délits sur des adolescents (es). 12,0 % ont consommé de la pornographie juvénile. 25,0 % ont commis d autres types de délits (viol, exhibitionnisme, fétichisme, voyeurisme, sadisme, sexualité compulsive) 3,2 % sont des femmes

6 Profil de la clientèle Auteurs d infractions sexuelles Âge moyen 41 ans Statut Judiciarisé Non judiciarisé État civil Célibataire En couple

7 Profil de la clientèle Auteurs d infractions sexuelles Occupation Prestataire de la sécurité du revenu; 14,60% Sans emploi; 22,56% Retraité; 4,04% Étudiant; 3,55% Travailleur; 55,25%

8 Profil de la clientèle Les références Les Services correctionnels du Canada Le ministère de la Sécurité publique CLSC, médecins ou autres professionnels de la santé

9 2. Perception de la population

10 2. Perception de la population Quels mots vous viennent? Ça fait réagir et c est normal! Perception accentuée par les médias... Qu en est-il réellement?

11 3. Réalité clinique

12 3. Réalité clinique L expression saine de la sexualité est celle qui permet à l individu de vivre sa sexualité : De façon satisfaisante Dans la dignité Dans le respect de soi et des autres En toute sécurité En tant qu expérience positive favorable à sa croissance personnelle Cependant, certains comportements sexuels vont à l encontre d une expression saine de la sexualité

13 3. Réalité clinique Qui sont-ils? Des hommes et des femmes en souffrance De tous âges De toutes les professions De toutes les classes sociales Plus de 80% des auteurs d infractions sexuelles connaissent leurs victimes Les auteurs d infractions sexuelles tendent à minimiser, à cacher Les auteurs d infractions sexuelles tendent à garder leur secret

14 3. Réalité clinique Définition du terme paraphilie: Variations de l activité sexuelle caractérisées par des pulsions, fantasmes et comportements sexuels marqués et persistants, impliquant des objets ou des situations inappropriées et pouvant entraîner, chez la personne, de la détresse et de la difficulté à fonctionner dans différents aspects importants de sa vie.

15 3. Réalité clinique Pédophilie : Attirance sexuelle et/ou amoureuse envers un enfant, généralement âgé de moins de 14 ans, n ayant pas encore développé ses caractétistiques sexuelles secondaires. Si l enfant a des caractéristiques sexuelles secondaires, on ne doit pas émettre une impression diagnostique de pédophilie. Korophilie : Attirance sexuelle et/ou amoureuse envers une adolescente pubère âgée entre 14 et 17 ans. Kourosphilie : Attirance sexuelle et/ou amoureuse envers un adolescent pubère âgé entre 14 et 17 ans.

16 3. Réalité clinique Autres paraphilies : Exhibitionnisme Voyeurisme Fétichisme Zoophilie Urophilie Cyber-dépendance Etc.

17 3. Réalité clinique Typologie : Primaire: La fantasmatique sexuelle déviante et/ou le(s) comportement(s) sexuel(s) déviant(s) sont présents depuis généralement le début de la vie sexuelle du sujet. Secondaire: La fantasmatique sexuelle déviante et/ou le(s) comportement(s) sexuel(s) déviant(s) sont arrivés après une période de fonctionnement en apparence normale.

18 3. Réalité clinique Il n y a pas un profil type du pédophile, du violeur, de l exhibitionniste, etc., il y a plutôt une diversité de profils et d organisations mentales, une série impressionnante de causes possibles. À titre d exemples : Restaurer son sentiment de valeurs : «Quand je m exhibe, je me sens courageux, un autre homme.» Rechercher une sécurité : «Je n étais pas capable d aller vers les filles de mon âge, alors je me suis tourné vers ma petite sœur qui n allait pas me juger.» Réparer les carences du passé : «Avec cet enfant, je voulais être le père que je n ai pas eu, le père qui comble tous les désirs.»

19 4. Facteurs de risque

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21 5. Impacts de la stigmatisation

22 5. Impacts de la stigmatisation Augmentation du risque de récidive sexuel Augmentation des émotions négatives Augmentation de l isolement Diminution du réseau social

23 5. Impacts de la stigmatisation Stigmatisation Mépris Jugement Émotions négatives Rejet Colère Facteurs de risque

24 5. Impacts de la stigmatisation Extrait du film La peur du loup

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26 6. Actions pour tendre vers une déstigmatisation

27 6. Actions pour tendre vers une déstigmatisation Accueil, écoute et respect Ne pas s arrêter aux gestes Voir l individu derrière les gestes (facile à dire, mais pas facile à faire) Voir le passé de l individu comme une explication et non pas comme une justification Dépasser ce qui est écrit dans les médias qui ne présente pas un profil juste de la problématique Information et formation

28 6. Actions pour tendre vers une déstigmatisation Thérapie Améliorer la vie de l individu Risque de récidive sexuelle Nombre de victimes

29 7. Lettre d un pédophile

30 8. Discussion

31 Francis Laroche, M.A., sexologue Katia-Sophie Marcoux M.A., sexologue

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