Bactéries Hautement Résistantes aux Antibiotiques BHR. Karine ASTRUC ARLIN Bourgogne
|
|
- Alfred Rochette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bactéries Hautement Résistantes aux Antibiotiques BHR Karine ASTRUC ARLIN Bourgogne
2 A. BMR / BHR Introduction Depuis l utilisation des ATB=> émergence des résistance BMR : Résistance à plusieurs familles parmi les ATB majeurs BHR : résistance à plusieurs familles d ATB majeurs dont les ATB de derniers recours Les BMR/BHR n ont en général pas de facteurs de virulence particuliers, problème=thérapeutique Contexte actuel : - Peu de perspectives de nouveaux antibiotiques - Mondialisation : diffusion rapide des résistances => Danger = Augmentation des situations d impasse thérapeutique. (= sans ATB efficace)
3 Evolution des résistances bactériennes
4 CARACTERE NATUREL OU ACQUIS DE LA RESISTANCE Résistance naturelle Caractéristique ristique d une d espèce bactérienne Phénotype normal «sauvage» Définit le spectre d activit d activité des ATB Espèces habituellement sensibles, I ou R Résistance acquise Comportement «anormal» de certaines souches d une d espèce R évolutives, fréquence variable Phénotype résistantr Modifications génétiquesg par mutations Ou acquisition de gènes étrangers Gènes intégr grés s au chromosome Éléments mobiles (plasmides, transposons, intégrons grons)
5 Campaign to Prevent Antimicrobial Resistance in Healthcare Settings Emergence des résistances Bactéries résistantes Bactérie sensible Mutations XX Transfert de gènes de résistance Nouvelle souche de bactérie résistante
6 Campaign to Prevent Antimicrobial Resistance in Healthcare Settings Sélection des souches résistantes xx Rares souches résistantes xx xx xx Exposition aux antibiotiques x x xx Prédominence des souches résistantes
7 2. BMR
8 BMR
9 Consommation ATB en médecine humaine
10 Evolution consommation ATB en villes 90%
11 10%
12
13 ENP 2012, Volet Antibiotiques : Résultats Prévalence des patients traités par antiinfectieux - Prévalence des patients traités par ATB - 1 molécule N= (71,3%) - 2 molécules N= (24,4%) - 3 molécules et plus N=2 145 (4,3%) - Prévalence des patients traités par antifongiques Prévalence des traitements antiinfectieux N % , , , ,0 - Prévalence des traitements ATB ,2 - Prévalence des traitements antifongiques ,8
14 ENP 2012 : Prévalences des patients traités par antibiotiques, par ES Médiane : 13,3% ES ayant inclus au moins 20 patients (N=1 821) 0 ES (N) 0 ]0-1] ]1-2] ]2-3] ]3-4] ]4-5] ]5-6] ]6-7] ]7-8] ]8-9] ]9-10] ]10-11] ]11-12] ]12-13] ]13-14] ]14-15] ]15-16] ]16-17] ]17-18] ]18-19] ]19-20] ]20-21] ]21-22] ]22-23] ]23-24] ]24-25] ]25-26] ]26-27] ]27-28] ]28-29] ]29-30] ]30-31] ]31-32] ]32-33] ]33-34] ]34-35] ]35-36] ]36-37] ]37-38] ]38-39] ]39-40] ]40-41] ]41-42] ]42-43] ]43-44] ]44-45] ]45-46] ]46-47] ]47-48] ]48-49] ]49-] Prévalence des patients traités par antibiotiques (%)
15 B. BMR Problème actuel principal Augmentation incidence des entérobactéries BLSE à l hôpital mais aussi en ville
16 1. Epidémiologie : émergence de E coli BLSE CTXM BLSE : enzyme inactivant la plus part des betalactamines (sauf carbapénèmes et Céphamycines) Support Plasmidique Résistance croisée (aminoside, FQ) Emergence dans les années 80 (utilisation des C3G) Augmentation dans les années 90 avec les caractéristiques suivantes I Nosocomiale Réanimation +++ Epidémies nosocomiales ( Klebsielle, E aerogenes) Gene TEM et SHV +++ Fin des années 90 émergence de nouveau gènes CTX- M => installation
17
18
19 Enquête RAISIN BMR 1181 ES en 2012 Tendances évolutives
20 Enquête RAISIN BMR Répartition géographique
21 E coli BLSE Acquisition communautairenosocomiale?
22 2. Acquisition communautaire? Acquisition nosocomiale et communautaire? Portage à l admission en réanimation Portage à l entrée Transmission intra-familiale Espagne : portage en population générale 0.7% à 5.5% entre 2002 et 2007
23 2. Acquisition communautaire? Acquisition nosocomiale et communautaire? Portage à l admission en réanimation Portage à l entrée Transmission intra-familiale Espagne : portage en population générale 0.7% à 5.5% entre 2002 et 2007 Rôle de l environnement, BLSE retrouvées chez l animal (élevage), dans les effluents.
24 Acquisition communautaire? Résultats de la surveillance réalisée dans un CH de Saône et Loire Au total, 132 BLSE positifs (soit 15%) pour 904 patients dépistés MCO 11% de positifs (86 /783) 6% de positifs (23/414) dépistés à l entrée (dans les 3 jours suivant l admission) sans notion d hospitalisation antérieure au C.H. dans les 6 mois EHPAD 40% de positifs (37 /92) SSR 31% de positifs (9 /29)
25 Acquisition communautaire? CONCLUSION : Acquisition nosocomiale communautaire Révélation souvent nosocomiale (ATB transmission croisée)
26 BMR Prévention (côté médecine humaine) Lutter contre la sélection => bon usage des ATB Lutter contre la dissémination Mesures d hygiène Dans les ES Précautions standard Précautions complémentaires (CONTACT) +/- dépistage des patients à risque Secteur à risque Situation épidémique
27 BHR Résistantes à plusieurs familles d antibiotiques dont les ATB de dernier recours Gram + ; glycopeptides SA résistant aux glycopeptides (GISA VISA) ERG => risque de transfert au S Aureus Gram - : Penem Entérobactéries résistantes aux carbapenems P. Aeruginosa totor Acinetobacter baumannii Hautement résistant (carbapénèmes) (ABRI)
28 BHR dont BHRe Parmi ces BHR, celles qui ont un haut potentiel épidémique à l Hôpital ou en ville un mécanisme de résistance transférable un mode de diffusion sporadique ou épidémique limité en France Commensales du tube digestif => BHRe
29 BMR et Espèces commensales Lorsque la MR touche des espèces commensales, 1. le risque de diffusion (nosocomiale et communautaire) Eléments favorisants Concentration importante (ex : Entérobactéries) => Excrétion importante, risque de transmission et de contamination de l environnement Durée de portage longue (pas de contre-sélection) Il existe des résistances croisées et donc des «sélections croisées» 2. Les infections ne sont que la partie émergeante de l iceberg (porteur sains)
30 Flore bactérienne du TD
31 BHR dont BHRe BHRe Parmi les BGN : Entérobactéries sécrétrices de carbapenemase (EPC) Parmi les Gram+ : Enterococcus feacium résistant aux glycopeptides (ERG ou ERV) Mesures spécifiques Les autres BHR (P aeuginosa et A.baumannii) ne présentent pas le même potentiel de diffusion mais exposent les patients au risque de l impasse thérapeutiques. Attention : épidémies dans les secteurs à risques (Réa, hémato) => Mesures spécifiques dans ces secteurs.
32 ERG en quelques mots Espèce commensale, assez peu pathogène Résistance : genes Van A(++) à G=> transposons 1 ère souches Vanco R dans les années 80 Situation endémique aux USA (USI) avec des s. nosocomiales En France, portage élevé dans les années 90 en population générale, peu d infections, pas d épidémies nosocomiales avec actuellement une évolution favorable (élevage : Avoparcine) Politiques ATB différentes (homme et élevage), souches différentes => epidémiologie très différente Mais depuis les années 2000, rares épidémies nosocomiales en France, Dont Epidémie de grande envergure en Lorraine
33 ERG en quelques mots Enjeux Quelques cas observé de transfert de la résistance de l entérocoque vers Staphylococcus aureus => redouté +++ car S aureus plus pathogène. Si la résistance touche des clones plus pathogènes => augmentation de la morbi-mortalité En France : peu de cas actuellement Politique agressive, objectif= «extinction» Si cas => dépistage, cohorting
34 1. ERV En France : Prévalence faible et stable mais Epidémies loco-régionales
35 2. Entérobactéries sécrétrices de carbapénémases Caractéristiques générales
36 ENP 2012 : Principaux micro-organismes isolés d IN (N=12 581)
37 ENP 2012 : Résistance aux antibiotiques Micro-organisme Isolé Patients Testés IN associées s infectés (%) (N) N % N % S. aureus ,2 Méti-R ,1 0, ,2 Méti-R et vanco-i 27 1,5 <0,1 27 <0,1 P. aeruginosa ,3 Ceftazidime -R ,0 0, ,1 Carba-R ,6 0, ,1 Entérobactéries ,9 C3G-R ,0 0, ,4 C3G-R et BLSE ,6 0, ,2 Carba-R 74 1,5 <0,1 73 <0,1 E. coli ,3 C3G-R ,6 0, ,2 C3G-R et BLSE ,0 0, ,1 Carba-R 40 1,4 <0,1 39 <0,1 K. pneumoniae ,1 C3G-R ,7 0, ,1 C3G-R et BLSE ,6 0, ,1 Carba-R 12 2,3 <0,1 12 <0,1
38 Zone d endémie pour EPC
39
40
41 Episodes d EPC, France, , par mois de signalement Bilan au 04 septembre 2014 (N= 1210 épisodes) 1210 épisodes au total 2009 : 10, 2010 : 28, 2011 : 113, 2012 : 233, 2013 : 405, 2014 : 412
42 Proportion des épisodes d EPC sans lien avec un pays étranger*, France, , Bilan au 04 septembre épisodes sans lien du cas index avec l'étranger rapporté (49%) (pas de lien retrouvé ou pas de lien signalé) Exclusions des épisodes signalés uniquement par le CNR ou les laboratoires de bactériologie et pour lesquels la notion d hospitalisation ou de voyage du cas index n est quasiment jamais rapportée Analyse sur : 1003 épisodes (435 sans lien du cas index avec l'étranger) Proportion des épisodes d EPC sans lien du cas index avec l étranger estimée à : 43%. Proportion en augmentation : 2010 : 32% 2011 : 29% 2012 : 44% 2013 : 45% 2014 : 48% * Lien avec l étranger : hospitalisation ou voyage sans hospitalisation du cas index à l étranger
43 Episodes d EPC, France, , par bactéries Bilan au 04 septembre 2014 (N= 1210 épisodes) * 2 entérobactéries ou plus avec le même mécanisme de résistance impliquées dans 165 épisodes ** Total supérieur à 100% car plusieurs bactéries associées dans 165 épisodes
44 Episodes d EPC, France, , par mécanisme Bilan au 04 septembre 2014 (N= 1210 épisodes) * 2 mécanismes de résistance associés dans 36 épisodes ** Total supérieur à 100% car deux mécanismes de résistance associés dans 36 épisodes
45 Episodes d EPC, France, , lien avec un pays étranger**, bilan au (N= 622 épisodes) 622 épisodes * 3 épisodes pour lesquels le contexte n a pas été décrit ** Hospitalisation ou voyage sans hospitalisation du cas index à l étranger
46 Episodes d EPC, France, , sans lien avec un pays étranger* et type de carbapénémases, par année de signalement Bilan au (N= 588 épisodes) * Lien avec l étranger : hospitalisation ou voyage sans hospitalisation du cas index à l étranger
47 BHR en Bourgogne 2014, ARLIN CHU => 8 cas : 5EPC+ 3ERV, 5 patients à haut risque, 3 patients sans fdr retrouvés. 1 Cas EPC Yonne=> Patient index = épidémie Etablissement parisien => 1 Cas secondaire (CH) 1 Cas ERV Yonne => hémodialyse, patient connu Etablissement parisien (CH) 1 Cas EPC Saône et Loire => sans fdr retrouvé, pas de cas secondaire (Clinique MCO) 1 Cas EPC Saône et Loire => Patient contact d un cas dans un ES Hérault (SSR privé) Nièvre : 1 cas EPC (Contexte?)
48 BHR: Principales Recommandations / Réglementations
49 Mesures mises en œuvre Bon usage des ATB => sélection Diffusion au sein des ES Mesures barrières = Précautions standard / Complémentaire Dépistage des patients à haut risque Gestion des patients Contacts => mesures barrières + Dépistage Mise en œuvre du plan local de gestion d une épidémie
50
51
52
53
54
55
56 RETEX BHRe au CHU
57 Etat des lieux pour 2014 Dépistage des patients à haut risque 15 patients dépistés hospitalisé à l étranger ou contact d un cas dans d autres ES (dont 13 à partir d avril 2014) 3 positifs : 2 à entérobactéries sécrétrices de carbapenemase 1 positif à ERV + Dépistage de patients CONTACT de cas (nombreux au 2 ème trimestre) => aucun positifs
58 Etat des lieux pour 2014 En dehors du dépistage 2 cas chez des patients hospitalisés récemment à l étranger non dépistés 1 EPC +/- «1 ERV» 3 cas sporadiques chez des patients non classés à haut risque 2 EPC 1 ERV
59 Politique de dépistage des contacts Large si les PC ne sont pas mises en place lors de l admission + restreinte si PC mises en place dès le début Pb = patients sortis à domicile => observation dans le dossier Aucun cas secondaire identifié lors de ces épisodes
60 Cas importé au CHU Hospitalisation 1 10 au 14/03 : urgences puis hospitalisation dans un service de médecine Bronchopneumopathie chez un patient présentant un cancer broncho pulmonaire récent - Retour d un voyage en Inde où brève hospitalisation - Alerte le 14/03 K pneumoniae R aux carbapenèmes dans les urines - Sortie le 14/03 à domicile
61
62 CAT Repérage des patients CONTACT Hospitalisés =>Précautions contact, Dépistés, 3 dépistage si possible Retour Domicile => information Dxc@re Transférés=> Information établissement d aval Observation dans les dossiers Dossier : hospitalisation en Inde notée dés l admission aux urgences mais les mesures appropriées ne sont pas mises en place
63 Réhospitalisation 02/04 Urgences, UHCD Mesures non mises en place pourtant l infirmière d accueil note qu elle a lu dans le dossier patient, protocole BHR Appel le 03/04 de l UHCD : que faut-il faire? Puis hospitalisation en pneumologie ou mesures barrières mises en place La CAT a été la même + dépistage en pneumo pdt l hospitalisation du patient
64 Mesures Dossier patient Formation-Information Message rappel 1/mois Protocole refait Courrier d information patient (Cas-Contact)
65 Plus d info
66 Mesures prises
67
68
69 BHR Conclusion SELECTION Bon usage des ATB TRANSMISSION Précaution standards Repérer les patients à risque => dépistage Précautions complémentaires Suivi des contact
Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N.
Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Marty Lecture critique Monica Attinger - Unité HPCI Forum HH 10 mars 2015 Article
Plus en détailCollection Avis et Rapports
Maîtrise de la diffusion des bactéries multirésistantes aux antibiotiques importées en France par des patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Collection Avis et Rapports
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailPrévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe)
Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Collection Documents Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailBulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest.
Bulletin N 47 Octobre 2008 - Trimestriel AU SOMMAIRE Bloc-Notes p. 1 Erratum p. 1 C.CLIN Ouest BLOC-NOTES Nouveautés du site http://www.cclinouest.com - Les résultats de la surveillance des Bactéries Muti-Résistantes
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTÉ DE MÉDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR BOYER CHAMMARD Timothée Antoine Philippe Né le 4 avril 1983 à Paris 15 ème Présentée
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailExiste t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?
Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailPrévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007
Maladies infectieuses Prévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007 MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE,
Plus en détailLa découverte et l utilisation
GRAND ANGLE TC 151 Antibiorésistance et conséquences en santé au travail pour les soignants en résumé AUTEURS : R. Vincent, C. Le Bâcle, département Études et assistance médicales, INRS Le développement
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailBILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY
Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailNouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires
Actualités du CCLIN EST et de ses 5 antennes régionales Décembre 2013 Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Dans le prolongement de l audit précautions standard, le Groupe
Plus en détailCONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE
CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE C. Chaplain, Service d'hygiène-bactériologie, Hôpital Delafontaine, 93205 Saint- Denis. INTRODUCTION L'accroissement du nombre des infections provoquées
Plus en détailINFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne
INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailTransfert international de patients, diffusion des BMR, et leur contrôle
Transfert international de patients, diffusion des BMR, et leur contrôle Dr Bruno Coignard Institut de veille sanitaire (InVS), Saint-Maurice XX ème Journée Annuelle Sud-Est de Lutte contre les Infections
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailDétermination de la sensibilité aux antibiotiques. Méthode EUCAST de diffusion en gélose
Détermination de la sensibilité aux antibiotiques Méthode EUCAST de diffusion en gélose Version Sommaire Page Modifications des documents Abréviations et terminologie 1 Introduction 4 2 Préparation des
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailMise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine
Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides
Plus en détailBulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité
Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Yves CLAPOT Avocat, cabinet CLAPOT-LETTAT, Lyon Tribunal administratif de Paris,
Plus en détailL audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation
L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation Jean-Paul Klein a, *, Pierre-Olivier Bazin b RÉSUMÉ L audit est un outil de progrès et d aide à la décision au service de l entreprise et
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailSURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES
SURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES Guide de l utilisateur du système d information pour la surveillance provinciale des infections nosocomiales (SI-SPIN) INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailRapport d expertise. Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques»
Rapport d expertise Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques» Diffusé en novembre 2013 S o m m a i r e Abréviations I- OBJECTIF DE CE TRAVAIL II-ELEMENTS DE REFLEXION SUR LES REFERENTIELS
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailPRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES. Plan d action 2010-2015 État d avancement des travaux Bilan et faits saillants
PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES État d avancement des travaux Bilan et faits saillants Août 2013 Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailHygiène personnelle du collaborateur de bloc opératoire et infections nosocomiales
Hygiène personnelle du collaborateur de bloc opératoire et infections nosocomiales Frank Van Laer Infirmier-hygiéniste hospitalier Hôpital Universitaire d Anvers La peau comme source de bactéries Diffusion
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailPrécautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?
5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS
SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détail: Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en. réanimation (adulte et pédiatrique)
Anesth Reanim. 2015; //: /// en ligne sur / on line on www.em-consulte.com/revue/anrea www.sciencedirect.com Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en réanimation (adulte
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailDOCUMENTATION TECHNIQUE
DOCUMENTATION TECHNIQUE ETUDE DE LA SENSIBILITE AUX ANTIMICROBIENS Lycée des métiers du tertiaire, de la santé et du social - Louise Michel - Grenoble ANTIBIOGRAMME EN MILIEU GELOSE COMITE DE L ANTIBIOGRAMME
Plus en détailSurveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies
Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Philippe Vanhems Service Hygiène Hospitalière, Epidémiologie et Prévention Pôle Santé, Recherche, Risques et Vigilances
Plus en détailrecommandations Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Recommandations nationales
recommandations Recommandations nationales Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Consensus formalisé d experts Avril 2009 2009 - Volume XVII - n 2 - ISSN 1249-0075
Plus en détailNote informative. Table des matières SOMMAIRE. Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé
VERSION PRÉLIMINAIRE Note informative Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé Évaluation du rapport coûts/bénéfices de la prévention et du contrôle des infections nosocomiales
Plus en détailNeutropénies fébriles
Neutropénies fébriles Dr Florence ADER SMIT Hôpital de la Croix-Rousse HCL Inserm 1111 Centre de Recherche en Infectiologie (CIRI) UCBL1 DUCIV LYON 2014-2015 florence.ader@chu-lyon.fr Neutropénie Grade
Plus en détailMESURES DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE DES INFECTIONS À STAPHYLOCOCCUS AUREUS RÉSISTANT
GUIDE DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE À L INTENTION DES ÉTABLISSEMENTS DE SOINS MESURES DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE DES INFECTIONS À STAPHYLOCOCCUS AUREUS RÉSISTANT À LA MÉTHICILLINE (SARM) AU QUÉBEC 2 E
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailENTENTE INTERDEPARTEMENTALE
ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailFAIRE FAIRE DES ECONOMIES A VOTRE ETABLISSEMENT:
FAIRE FAIRE DES ECONOMIES A VOTRE ETABLISSEMENT: supprimer l inutile, valoriser les actions, chiffrer, négocier.. Dr O. BELLON Centre hospitalier de Brignoles Centre gérontologique g départemental d de
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détail«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?
«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailFICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :..
FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :.. Nom et adresse des parents ou du représentant légal :... N et adresse du centre de sécurité
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailLa campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections
La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections Annie Laberge, CSSS Drummond et INSPQ Lise-Andrée Galarneau, CSSSTR présidente du CINQ Congrès annuel de l OIIQ,
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailIndicateurs d'activité CClin-Est Année 2013 A. ORGANISATION CClin EST
Responsable Responsable Adjoint Indicateurs d'activité CClin-Est Année 2013 A. ORGANISATION CClin EST B. MOYENS RABAUD Christian SIMON Loïc Description des équipes ETP Médecins (PH/ PHC / PA) 1,1 Pharmaciens
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détail