Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de La Réunion (974)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de La Réunion (974)"

Transcription

1 Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de La Réunion (974)

2 RAPPORT D ACTIVITES ET FINANCIER 2011 A.N.P.A.A.974 SOMMAIRE I. Vie associative de l ANPAA A.N.P.A.A. 974 : actrice locale d une politique nationale A.N.P.A.A. 974 : actrice de proximité...9 II. L activité prévention de l A.N.P.A.A A.N.P.A.A. 974 activité prévention : les chiffres A.N.P.A.A. 974 activité prévention : les réalisations A.N.P.A.A. 974 activité prévention : démarche évaluation-qualité III. L activité de soin de l ANPAA A.N.P.A.A. 974 : activité d aide, de soins et d accompagnement thérapeutique et social A.N.P.A.A. 974 C.S.A.P.A Bilan général A.N.P.A.A. 974 activité soin : démarche évaluation-qualité IV. Ressources financières de l ANPAA A.N.P.A.A. 974 : Rapport financier A.N.P.A.A. 974 : Compte de résultat A.N.P.A.A. 974 : Bilan V. Projets 2011 de l ANPAA Vie associative Gestion des ressources humaines Activité de prévention Activité de soins ANNEXES 1. Annexe 1 Tableau des effectifs du personnel au 31/12/2011 2

3 Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie 974 A.N.P.A.A

4 I. Vie associative de l ANPAA A.N.P.A.A. 974 : actrice locale d une politique nationale Dans le prolongement de la mise en place des Agences Régionales de Santé le 1 er avril 2010, les travaux d élaboration des projets régionaux de santé ont été engagés en Ces projets se déclinent en un plan stratégique de santé, des schémas régionaux, notamment de prévention (SRP) et d organisation médico-sociale (SROMS), des programmes, dont le programme régional d accès à la prévention et aux soins des plus démunis (PRAPS) et des programmes territoriaux de santé. L A.N.P.A.A., par sa présence dans les conférences régionales de santé et de l autonomie (CRSA) et les conférences de territoires, et dans les différents groupes de travail existant, a participé, autant que possible, à l élaboration de ces plans, schémas et programmes qui seront arrêtés en En outre, 2011 a été l année de la mise en place effective des procédures d appel à projet dans le cadre de la création et de l extension d établissements médico-sociaux. Les principales dispositions législatives et réglementaires, expertises et recommandations impactant directement notre activité Evolutions législatives et réglementaires Abandon du régime de trois ans d autorisation provisoire des CSAPA et CAARUD au profit du régime de droit commun de quinze ans par la loi dite «Fourcade» du 10 août 2011 modifiant certaines dispositions de la loi n du 21 juillet 2009 portant réforme de l hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, ce que l A.N.P.A.A. réclamait depuis deux ans. Renforcement des missions des services de santé au travail avec une ouverture au champ de la prévention de la consommation d alcool et de drogue sur le lieu de travail, par la loi du 20 juillet 2011 relative à l'organisation de la médecine du travail. Instauration des CSAPA référents en milieu carcéral, avec financement d un demi poste d éducateur spécialisé, dans le cadre de l application du plan d actions stratégiques en matière de politique de santé pour les personnes sous main de justice : une cinquantaine de CSAPA de l A.N.P.A.A. ont ainsi été reconnus référents en milieu carcéral en Publications, notamment : Guide d intervention en milieu scolaire «Prévention des conduites addictives», du ministère de l éducation nationale et de la MILDT (avril 2011). Rapport du groupe de travail sur la mission «Soirées étudiantes et week-ends d intégration» dirigé par Martine Daoust (février 2011) pour lequel l AN.P.A.A. a été auditionnée. 4

5 Avis du Comité national consultatif d éthique sur les sciences de la vie et de la santé relatif à l usage de l alcool, des drogues et des toxicomanies en milieu du travail : enjeux éthiques liés à leurs risques et à leur détection (mai 2011). Guide à l usage des professionnels de la santé : «Alcool et grossesse, parlons-en» du Ministère de la santé ((juin 2011) Rapport de la mission parlementaire d information sur les toxicomanies (juin 2011), pour lequel l A.N.P.A.A. a été auditionnée. Rapport de la Cour des comptes sur la prévention sanitaire (octobre 2010) Guide pratique MILDT : «Les collectivités territoriales face aux conduites addictives (stupéfiants, alcool, tabac) (novembre 2011). Guide «Insertion sociale et par l emploi des usagers de drogues Recommandations pour un accompagnement individuel et collectif», MILDT et DGCS (décembre 2011). A.N.P.A.A. : actrice de la promotion de la santé L A.N.P.A.A. a organisé les 13 et 14 septembre 2011, pour ses salariés, un forum de la prévention : 185 professionnels de 74 A.N.P.A.A. départementales ont été présents pour échanger sur leurs pratiques, partager leurs outils et échanger avec les élus et le Siège sur une activité prévention en évolution. Cette manifestation avait pour objectif d'améliorer la connaissance, la diffusion et le transfert des démarches d intervention et des outils en interne, et de renforcer la culture commune autour de la démarche d intervention A.N.P.A.A. dans le but d inscrire les projets régionaux et départementaux dans une cohérence nationale et une démarche globale de la qualité. Afin de sensibiliser les jeunes aux conséquences de la consommation excessive d'alcool, l'a.n.p.a.a. a commandé une œuvre d'art contemporain, réalisée dans le cadre du programme «Nouveaux commanditaires» de la Fondation de France. L'inauguration de "Binge Drinking" a eu lieu en présence de l'artiste Pierrick Sorin, le 3 mai 2011, à la Cité internationale universitaire de Paris. Ce projet a été réalisé avec le soutien de la Fondation de France, de l INPES, de l'a.n.p.a.a., du Théâtre de la Cité internationale, et du Conseil régional Nord-Pas de Calais. Le producteur/médiateur était artconnexion, L œuvre a également été exposée en 2011 au Forum A.N.P.A.A. de la prévention, à la Faculté des Sciences et Techniques de l'université de Haute Alsace et au Théâtre National de Toulouse puis à l Université Lille 3 en janvier a vu se poursuivre le développement des conventions d objectifs et de moyens, notamment pluriannuelles, à l échelle des A.N.P.A.A. régionales : outil de dialogue budgétaire à travers des programmations d actions, offrant plus de stabilité dans les financements et de continuité dans les actions. En 2011, 5 régions bénéficient d une CPOM, dont 2 ont été signées en 2011, et 8 régions (dont 3 nouvelles) bénéficient d une COM. Poursuite de la structuration des pôles régionaux de compétence, soutenus financièrement par l INPES. Les comités régionaux et départementaux de l A.N.P.A.A. se sont globalement investis dans ces pôles avec la volonté d assurer à l addictologie la place nécessaire, tout en apportant les compétences spécifiques de nos équipes professionnelles. 5

6 A.N.P.A.A. : Dispositif d accompagnement et de soins L A.N.P.A.A. est gestionnaire de : 79 CSAPA sur 73 départements, dont un par transfert d autorisation en Ardèche en CAARUD, dont deux par transfert d autorisation en Ardèche en appartements de coordination thérapeutique dans l Hérault un centre thérapeutique, le «Kaléidoscope», de 8 places, dans l Hérault ouvert en octobre points d accueil et d écoute jeunes (PAEJ). une maison des adolescents dans l Indre. Des ARS ont souhaité, voire exigé, des regroupements de CSAPA au travers de la constitution de groupements de coopération médicosociaux. Compte tenu des difficultés inhérentes à la constitution de cette forme de regroupement pour des autorisations de fonctionnement (à différencier des regroupements de services communs), ces demandes ont été très largement abandonnées. Avec le soutien financier de la DGS, l A.N.P.A.A. a finalisé le développement du nouveau logiciel de gestion informatisée des activités en addictologie (GI2A), qui permet de s inscrire dans une démarche qualité, améliorer l organisation des CSAPA et CAARUD, faciliter l échange interne de données, dans le respect du cadre réglementaire en vigueur en matière de sécurité et d hébergement des données. Par rapport au logiciel précédent, des améliorations techniques ont été apportées. Un module de suivi des traitements de substitution aux opiacés à été ajouté. Conformément à la législation, la protection et la confidentialité des données sont assurées à la fois par des modalités de transmission et de stockage des données sécurisées et par l utilisation de cartes professionnelles de santé ou de certificats de la famille CPS. En 2011, les premiers établissements A.N.P.A.A. ont été installés, le déploiement sera finalisé en A.N.P.A.A. : Démarche évaluation et qualité En 2010, la démarche d évaluation-qualité en promotion de la santé comme en soin a été déployée auprès de la quasi-totalité des régions A.N.P.A.A., en s appuyant sur deux outils : Le guide d autoévaluation de la qualité des actions en promotion de la santé INPES, auquel l A.N.P.A.A. a activement contribué, diffusé en octobre 2009 auprès de toutes les équipes. Le guide d évaluation des CSAPA, dont la dernière version a été actualisée en mai 2010 et le guide d évaluation des CAARUD, diffusé en février Les démarches ont été lancées concrètement dans les départements en Enfin, en matière de promotion de la santé, l A.N.P.A.A. est, comme l an passé, soutien aux acteurs locaux du champ de la promotion de la santé, pour l appropriation de l outil et de la démarche. A.N.P.A.A. : Vie associative et institutionnelle Les travaux sur la nouvelle gouvernance associative A.N.P.A.A. se sont poursuivis, avec des orientations posées par le conseil d administration de décembre 2011 : la mise en place d un contrôle de gestion par le siège national, des délégations graduées accordées aux directeurs départementaux sous contrôle du siège national et de l échelon régional, la simplification de la 6

7 chaîne de commandement avec plus de responsabilités de gestion aux directeurs départementaux, le recentrage des administrateurs sur leurs rôles et fonctions politiques, la reconstitution d une dimension militante a vu la refonte du site internet avec une présentation modernisée, de nouvelles rubriques, des cartes, la présentation des activités dans des rubriques construites à partir des questions et des besoins d information des publics et des professionnels Poursuite des travaux des instances et groupes de travail A.N.P.A.A. : - Les questions traitées par la commission vie associative ont principalement porté sur l assistance auprès des comités, le fonctionnement des instances locales, les adhésions et la cohérence local/national, les formations de bénévoles, l organisation d élections partielles destinées à pourvoir les postes au Conseil d administration ainsi que la préparation (indicateurs statistiques d évolution) et l organisation du séminaire des présidents régionaux sur la vie associative, la réalisation de la Lettre aux adhérents. - Commission des pratiques professionnelles A.N.P.A.A. : la Commission pluridisciplinaire créée en 2010, composée de 17 membres, a pour objet la production de recommandations de bonnes pratiques et référentiels A.N.P.A.A. en matière de prévention, d accompagnement et de soins, dans le respect de la législation et de la réglementation. - Délégation à l évaluation et la recherche, avec la poursuite de l étude DESCRIPAL d analyse de l évolution de la qualité de vie d usagers et des prestations ambulatoires. - Groupe de travail prévention, qui accompagne les équipes dans l élaboration d outils de valorisation de la prévention A.N.P.A.A. et d outils pédagogiques pour leur validation en commission MILDT. - Groupe de travail sur les stages de sensibilisation aux dangers des stupéfiants : publication de recommandations à partir du cahier des charges MILDT et des pratiques A.N.P.A.A. et création d outils communs. - Groupe de partage des pratiques en CAARUD, qui organisera en 2012 un forum de deux jours. A.N.P.A.A. : Partenariats institutionnels L A.N.P.A.A. a adhéré en 2011 à l Association française de réduction des risques (AFR), et au Réseau français de réduction des risques, qui ont particulièrement travaillé sur la question des salles de consommation à moindre risque. L A.N.P.A.A. était adhérente de l Association nationale des intervenants en toxicomanie et en addictologie (ANITeA), transformée en 2011 en «Fédération addition» par fusion avec la Fédération des acteurs de l alcoologie et de l addictologie (F3A). L A.N.P.A.A. n a pas souhaité adhérer à la FA, estimant utile et préférable de construire avec elle un partenariat qui renforce l action de chacun et qui permette des initiatives communes en matière de prévention des addictions et de réduction de leurs dommages. C est dans ce même esprit partenarial que l A.N.P.A.A. poursuit son action au côté des autres acteurs associatifs et hospitaliers de l addictologie française et, en premier lieu, au sein de la Fédération Française d Addictologie. En 2011, l A.N.P.A.A. a poursuivi son implication au sein de l Alliance prévention alcool, 7

8 L A.N.P.A.A. est par ailleurs adhérente de l UNIOPSS, membre du groupe ALERTE, d EUROCARE et de la FNESAA. A.N.P.A.A. : Plaidoyer et communication politique L AN.P.A.A. a participé activement à la rédaction du «Livre blanc propositions pour réduire les dommages des addictions» de la Fédération Française d addictologie, rendu public le 09 juin Après une réflexion nationale interne, le conseil d administration de l A.N.P.A.A. a arrêté en décembre un Plaidoyer pour une réforme de la loi de 70 relative à la lutte contre la toxicomanie, défendant notamment une dépénalisation de l usage privé de l ensemble des substances psychoactives, et la mise en œuvre d une véritable politique de prévention, de réduction des risques et des dommages. L A.N.P.A.A. a été auditionnée dans le cadre des travaux suivants : mission parlementaire mixte sur les toxicomanies, bilan de l application de la loi 2010 relative à l ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d argent et de hasard, jeunes et soirées étudiantes, le futur plan MILDT. En outre, l A.N.P.A.A. a signé ou cosigné avec un certain nombre de partenaires des communiqués de presse sur la promotion de l expérimentation de salles de consommation à moindre risque pour usagers de drogues, le volet alcool de la loi Evin, la nécessité de prévention dans le cadre des soirées étudiantes, la défense d une véritable politique de réduction des risques infectieux liés à l usage de drogues en milieu carcéral, une défense de la dépénalisation du cannabis pour une vraie politique de santé publique (suite au rapport «Vaillant»), la dénonciation d incohérences, approximations et mauvaise foi du rapport de la Mission parlementaire sur la toxicomanie, la question de la taxation sur l alcool, le tabac et les produits sucrés : La santé après le budget!, la 66ème session de l OMS-Europe (12-15 : septembre 2011) et l appel d ONG aux décideurs européens pour une nouvelle stratégie européenne de prévention alcool A.N.P.A.A. : Gestion des ressources humaines La direction des ressources humaines s est attachée, en 2011, à poursuivre sa mission d accompagnement de la politique nationale de l association en matière de ressources humaines dans toutes ses dimensions : administratives, juridiques, de formation. A cet égard, ses missions se sont situées dans la continuité (mise en œuvre du plan de formation, gestion de la paie centralisée, suivi administratif et juridique des dossiers du personnel, tenue des réunions du Comité d entreprise, établissement du bilan social, accompagnement des directeurs départementaux dans tous les aspects de la gestion des ressources humaines). Il convient de signaler particulièrement : - la signature d un accord de méthode pour un état des lieux des risques pour la santé des travailleurs à l A.N.P.A.A. dans le cadre des négociations entamées en 2010 sur la prévention 8

9 des risques professionnels à l A.N.P.A.A. et, comme convenu dans cet accord de méthode, la mise en place et l organisation du groupe de travail. - le suivi, au plan administratif, juridique et financier, des saisines des salariés dans le dossier des congés trimestriels ; - l accompagnement des comités en gestion directe au cours de l année En matière de formation professionnelle continue, l A.N.P.A.A. a poursuivi ses efforts principalement sur deux axes : - Développement des compétences en addictologie tant dans le domaine du soin que de celui de la prévention et notamment avec la mise en œuvre d une nouvelle formation -«Intervenants en prévention des addictions acteurs de la promotion de la santé»- et la reconduction de l action sur «réduction des risques». - Mutualisation et optimisation de l organisation interne avec le stage sur «Droit Médicosocial» pour les directeurs départementaux et les stages de formation destinés aux utilisateurs de la solution de paie Meilleure Gestion dans le cade de la centralisation de la paie. La formation tout au long de la vie a concerné 509 salariés en 2011 (37 % de l effectif total). Europe/International L A.N.P.A.A. est engagée avec Eurocare dans une politique de réduction des dommages liés à l alcool : politique des prix, taxation, marketing, etc. et de lobbying. Dans le cadre de la stratégie européenne alcool, validée par le Parlement européen et mise en œuvre par la Commission sous la forme d un Forum Alcool/Santé, l A.N.P.A.A., comme les autres partenaires, a été invitée à développer des actions. Notre association s est positionnée sur la Loi Evin (actions judiciaires) très appréciée par nos partenaires européens. Projets de campagnes : l A.N.P.A.A. à la responsabilité, au sein d Eurocare, du partenariat avec les agences de communication européennes destiné à créer une campagne de prévention alcool. Il lui revient également de mettre en place une Initiative Citoyenne Européenne. Au plan international, l A.N.P.A.A. est membre du Dialogue Europe/USA sur les politiques alcool «jeunes/mineurs» et est partenaire de l Alliance Mondiale avec laquelle elle a travaillé sur la Déclaration sur les conflits d Intérêts» présentée lors d une session de l ONU en A.N.P.A.A. 974 : actrice de proximité Besoins départementaux en prévention et accompagnement en addictologie A l échelle de La Réunion, lutter contre les pratiques addictives est une priorité de santé publique de même qu au national. Le Schéma Régional d Addictologie , élaboré par l ARS-OI, le rappelle clairement avec trois objectifs principaux : 9

10 - favoriser la prévention des conduites à risque - initier ou renforcer une offre de soins - lutter contre les trafics illégaux des substances illicites. Comme le rappelle l ARS-OI, «le taux de fréquentation des Centres de soin est élevé pour le Département en comparaison de celui de la Métropole. On peut noter un taux de recours de 5,7 pour 1000 habitants contre 3,4 en Métropole. On constate une augmentation des consultations, avec un taux de progression de 49% entre 2005 et 2008, dont 8% de 2007 à Les consultations portent pour 85% sur une consommation de l alcool, pour 13% sur l usage du tabac et 2% celui du cannabis. On dénote pour le public d usagers que 45% d entre eux sont des polyconsommateurs (consommation d au moins deux produits dommageables).» De plus, «contrairement aux CCAA, le taux de recours aux CSST est relativement faible dans le Département : 14 recours pour habitants contre 54 en Métropole. Mais le nombre d usagers fréquentant ces structures augmente avec plus de 17% de consultants depuis 2007 et une part plus importante de nouveaux consultants». L A.N.P.A.A. 974, que ce soit par le biais des Centres d Hygiène Alimentaire et d Alccologie (C.H.A.A.), puis des Centres de Cure Ambulatoire en Alcoologie (C.C.A.A.) et des Centres d Aide et de Soins aux Toxicomanes de La Réunion (C.A.S.T.O.R., dénomination de notre C.S.S.T.), et maintenant des Centre de Soins, d Accompagnement et de Prévention en Addictologie (C.S.A.P.A.) est depuis des années le plus gros opérateur médico-social du champ addictologique de par son équipe (soignants et chargés de prévention) positionnée sur l ensemble du territoire et son volume d activités annuelles (c.f. chiffres clés en prévention et en soins mis en exergue dans le présent document). Son plein engagement dans les deux premiers objectifs précédemment cités continuera dans les nouvelles structures dont elle aura la charge, à savoir les Centres de Soins d Accompagnement et de Prévention en Addictologie (C.S.A.P.A.), qui viennent officialiser le travail transversal qu elle réalisait déjà et pour lequel elle a acquis un savoir et savoir-faire reconnu par l ensemble des acteurs de santé. Principe d action de l A.N.P.A.A. A l'égard de toute personne : respect, dignité, qualité de vie, refus de toute discrimination, absence de jugement, responsabilité et autonomie au travers de ses droits et devoirs envers elle-même, son entourage et la collectivité ; confiance et solidarité à son égard ; liberté d expression et de choix, en particulier quant aux projets de vie. Pour la société : paix, droit au logement, à la nourriture, à la santé, au travail, à la formation et à des ressources ; progrès social, économique, environnemental et individuel, qualité de vie, solidarité. Pour elle-même : indépendance par rapport à toute organisation philosophique, politique ou religieuse, réponse aux besoins et aux aspirations des personnes et de la société, amélioration des services rendus et innovation, en adaptation constante avec les évolutions sociétales et dans le respect de sa charte associative. L A.N.P.A.A. a une approche globale addictologique et inscrit son activité dans un continuum activité : promotion de la santé, prévention, réduction des risques, intervention précoce, accompagnement et soin. 10

11 Présentation de l A.N.P.A.A.974 L ANPAA de La Réunion existe depuis Emanation de l Association Nationale de Prévention d Alcoologie et Addictologie (ANPAA) dont le siège se situe 20 rue Saint-Fiacre, à Paris, sa mission est de développer une politique de prévention de l alcoolisme et des toxicomanies adaptée au contexte local. L activité s exerce actuellement dans trois directions : - activités de prévention (information et formation), - activités de soins en addictologie (C.S.A.P.A.), Vie associative de l A.N.P.A.A.974 Les membres de la commission exécutive de l ANPAA Dr Patricia WIND, présidente - M. Serge CHAPUIS, 1 er vice-président - Mme Véronique ETHEVE, trésorière - M. Isidore GUICHARD, membre élu - Dr Jean-Paul AUBIN, membre - M. Robert DUQUENNOY, membre Les commissions de l ANPAA 974 L assemblée plénière L ANPAA 974 a tenu son assemblée plénière le Vendredi 10 juin 2011 à l A.N.P.A.A.974. Ont été abordés : le rapport d activité et financier La commission exécutive La C.E. s est réunie 3 fois, selon le calendrier suivant : le 09/03/2011, le 21/09/2011 et le 29/12/2011. Les réunions de bureau Le bureau, qui se compose de la présidente, du 1er vice-président et de la trésorière, s est réuni 4 fois. La commission de recrutement Sous la responsabilité du directeur départemental, la commission de recrutement s est réunie 10 fois. Le fonctionnement de l ANPAA 974 L équipe de direction L équipe de direction composée du directeur départemental, de l attaché de direction - coordinateur des services, de l attaché de direction des services formation et prévention et de l assistante de direction, s est réunie 30 fois dans l année, ce qui représente environ 89 heures de concertation. L année 2011 est marquée par le recrutement 3 attachés de direction responsable des CSAPA Nord, Sud et Est. L ensemble des attachés de direction s est réunion 10 fois Réunions de travail L ensemble du personnel s est réuni deux fois pour faire le point sur l avancé des dossiers «CSAPA». L équipe soignante 11

12 Les équipes soignantes des centres de soins se réunissent chaque semaine en réunion d organisation du travail. Des points bilans sont également effectués les jours de consultations médicales. Plusieurs réunions par catégorie professionnelles ont eu lieu : 2 avec les infirmiers, 2 avec les secrétaires, 1 avec les travailleurs sociaux, 1 avec l ensemble des équipes soignantes. Le COSU : comité de suivi du COPIL Le COPIL, comité de pilotage chargé de la préparation du dossier de demande d autorisation de création des CSAPA, pour le CROSMS 1 est devenu COSU, suite aux accords notifiés par l ARS-OI pour la mise en place des CSAPA. Les comités se sont réunis 14 fois, ce qui représente environ 87 heures de travail collectif.. Les réunions de délégués du personnel Les réunions avec les délégués du personnel ont eu lieu chaque mois selon la réglementation en vigueur, sauf en période de vacances scolaires, en juillet, août et décembre Les réunions avec le cabinet comptable. 10 séances de travail ont été organisées avec l expert comptable. Le personnel de l A.N.P.A.A.974 Formation individuelle Titre de la formation Dates Organisme Durée heures Lieu Effectif LP MOESS cycle IRTS de La Réunion 450 La Réunion 1 Entretien motivationnel Mars 2011 ANPAA 14 Paris 1 LP des métiers de la formation, 04 Oct 2010 Université de de l'insertion et de 31 Juil 2011 La Réunion l'accompagnement 1183 Saint-Denis 1 Formation initiale ANPAA Mais 2011 ANPAA 19,5 Paris 1 5ième journée de l'albatros juin Assistance Hôpitaux de Paros 14 Paris 1 Colloque FRAR - Jeux excessif, pathologique et jeux d'argent à Avril FRAR 17 La Réunion 10 La Réunion Formation des formateurs 26, 27, 28 Septembre 2011 INPES 21 Paris 1 Forum ANPAA de la prévention et de la promotion de la santé Septembre 2011 ANPAA 28 Paris 1 VAE - BAC Pro secrétariat 27/07-19/09/2011 SARL Conjugaison 24 La Réunion 1 Evaluation des établissements médico-sociaux OCt 2011 Espace Sentein 21 La Réunion 1 Droit médico-social et droit du 22-24/ travail 14-15/12/2011 (5 jours en 2 modules) ANPAA 35 Paris 1 Parler alcool au féminin Nov 2011 REUNISAF 12 La Réunion 2 Formation à la prévention des conduites dopantes à La Réunion Nov 2011 DJSCS - Dr Gallan 14 La Réunion 10 1 Comité Régional de l'organisation Sociale et Médico-Sociale 12

13 Titre de la formation Dates Organisme Durée heures Lieu Effectif Intervenants en prévention des addictions Déc 2011 ANPAA 21 Paris fév mai 11 Abord familial et institutionnel Institut d'études 27 Juin - 01 juill 11 systémique systémiques nov La Réunion 1 17 nov 11 13

14 II. L activité prévention de l A.N.P.A.A A.N.P.A.A. 974 activité prévention : les chiffres Le nombre d interventions réalisées en 2011 s élève à : Ce qui correspond à un volume d heures, en situation d animation de : Le nombre de personnes ayant participé à une de nos actions est de : Le nombre de documents distribués est d un peu plus de Tableau récapitulatif des interventions réalisées en 2011 : Catégories Titre de l'action Nb Nb heures Effectifs Documents actions intervention touchés distribués Actions de Sensibilisation Sensibilisation addictions 747, , , ,00 Manifestations Sensibilisation addictions 22,00 136, , ,00 Enseignement Module santé 5,00 33,00 168,00 270,00 Formation Addictions : prévention et communication 8,00 171,00 74,00 538,00 Émissions médiatiques Radio et TV 4,00 3,50 22,00 - Réunions de travail Avec les partenaires et entre personnel ANPAA974 85,00 226,00 615,00 39,00 Réunions du personnel Réunion du personnel ANPAA974 ANPAA974 4,00 20,00 160,00 - Stages stupéfiants Sessions de stages 22,00 264,00 216,00 571,00 Stages stupéfiants Entretiens préalables 212,00 55,00 212,00 212,00 Jury d'examen +Tutorat 6,00 412,00 20,00 - TOTAL 1 125, , , ,00 A titre d information : Nb Nb de Volume d heures, en Nb de personnes d interventions documents situation d animation touchées réalisées distribués , , , , env , env

15 2. A.N.P.A.A. 974 activité prévention : les réalisations 2011 Les actions spécifiques Sensibilisation et information en matière d alcoologie et d addictologie à destination des élèves de CM2 des écoles élémentaires du Département de La Réunion. Financement : ARS-OI Public : Elèves de cours moyen II Lieu : Ecoles élémentaires du département de La Réunion Durée : 2 heures par classe Thème : «Alcoolisme et autres addictions» Objectif : Aider au développement des compétences permettant aux élèves de faire des choix responsables par la prise de conscience de leurs réponses possibles face aux sollicitations. Moyen : Outil «Le conte», notamment Evaluation : Questionnaire sur le degré de satisfaction et les conditions de déroulement de l action, auprès des encadrants Documentation : Permis de prévention ; Document récapitulatif à l usage du professeur des écoles ; Questionnaire d évaluation En résumé : Volume d heure en Nombre d écoles Nombre Nombre d élèves Nombre de situation touchées d intervention touchés documents d intervention Ma prévention je l affiche Financement : ARS-OI et Conseil Général, avec le soutien de l Académie de La Réunion Public : Un maximum de classes de 5 ème de l île Lieu : Un maximum de collèges du département Durée : 2 heures par classe Thème : «Le Risque Addiction avec ou sans substance» Objectifs : Faire en sorte que chaque participant s approprie les moyens d apprendre : - à résister à la pression des pairs (notion d affirmation de soi) - à connaître ses besoins et désirs (connaissances de ses limites) - à respecter les différences d opinions et de comportements des proches, - à exprimer ses sentiments (accroître ses compétences affectives) - à avoir davantage confiance en soi (estime de soi - gestion des tensions et frustrations relatives aux expériences de vie) - à faire des choix et les assumer (en valorisant le choix des comportements favorables à la santé). Moyens : Différents outils interactifs et ludiques adaptés à la tranche d âge Documentation : Brochures d information 15

16 Evaluation : Questionnaire sur les connaissances, le degré de satisfaction et les conditions de déroulement de l action En résumé : Volume d heure en Nombre de collèges Nombre Nombre d élèves Nombre de situation touchées d intervention touchés documents d intervention Stage de stupéfiants liés à l usage des dangers des stupéfiants Financement : par stagiaire et par session Public : toutes personnes orientées par les services du Tribunal de Grande Instance ou les OPJ de l île Lieu : tout le département Modalité : 1 session de 2 jours Durée : 12 heures par session Thème : Drogues : santé, législation et société Documentation : Brochures d information En résumé : Nb sessions Nb Nb heures stagiaire Intervention Documents La démarche. Elle consiste à proposer «un espace de réflexion et d action pour renforcer la protection des citoyens face aux facteurs de risques collectifs et individuels de morbidité et pour les inviter à faire des choix responsables et favorables à la santé, dans le respect de leurs libertés et de la loi.» - (ANPAA - Charte de la prévention). Les différents projets de prévention et de sensibilisation visent: une amélioration des connaissances par une information ciblée afin de faire réduire les croyances non fondées qui peuvent entraîner, à tort, des comportements à risques, une évolution des opinions par la sensibilisation et la réflexion sur les représentations individuelles et/ou collectives, grâce à l échange, une modification des comportements par le développement des compétences psychosociales de l individu, sous forme d ateliers de mises en situation où le groupe est amené à se positionner et réfléchir sur les possibles conséquences dommageables de ses futurs actes. Les moyens Derrière le terme de prévention, cinq types d interventions sont mis en œuvre : 16

17 a) Les séances d'information. Elles s'adressent à tout public. L objectif principal est d'améliorer le niveau de connaissances sur les problématiques liées à l'usage de substances psychoactives, et d addiction avec ou sans substance, et de permettre la réflexion sur le rapport entre l individu, les produits consommés et le comportement en jeu et le contexte dans lequel cela se déroule. Ces séances s'appuient sur : une présentation de la situation locale, une analyse des comportements de consommation, une information sur les bénéfices et risques éventuels, une prise en compte du point de vue des membres du groupe, une mise en perspective, une présentation du dispositif d'aide de proximité. Elles s'inscrivent dans une démarche globale d'éducation à la santé et se situent soit au début, soit à la fin du programme mis en place par l'établissement demandeur. Une telle intervention se fait en général à destination d un groupe de 20 à 30 personnes. Elle dure en moyenne 2 heures. L A.N.P.A.A. 974 bénéficie, pour ce secteur, de financements multiples provenant de divers partenaires dont les plus importants, pour 2011, sont l ARS 2, le Conseil Général, certaines municipalités, la DRJSCS 3 et la MILDT b) Les actions spécifiques. Les actions spécifiques sont mises en place pour répondre à une demande précise, émanant des institutions ou directement de représentants du public. Elles peuvent être ponctuelles ou s'inscrire dans une démarche à moyen ou long terme, comme : le projet d intervention auprès de classes de CM2 de toute l île, financé par l ARS le projet «Ma prévention, je l affiche» financé par l ARS et le Conseil Général, agréé par l Académie de La Réunion, à destination d un maximum de collégiens des classes de 5ème de La Réunion. Le stage de sensibilisation aux dangers de l usage des stupéfiants qui mobilisent de plus en plus l équipe de prévention. Ces actions menées à moyen et long terme ont l'avantage de permettre une approche communautaire associant l'ensemble des acteurs, dans le cadre scolaire ou hors scolaire, intéressés par le programme. c) La formation et l enseignement. Les actions de formation réalisées par l A.N.P.A.A. 974 ont pour objet principal de créer des personnes relais. Elles s'organisent sous forme de sessions de 5 jours, ou à la carte ou sous forme de cours dispensés dans les écoles post-bac et organismes de formation. Les actions de formation et d enseignement réalisées en 2011 représentent 204 heures. 2 Agence Régionale de Santé 3 Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale 17

18 La demande la plus importante émane du Conseil Général qui, par le biais de la formation, s est fixé comme objectif de consolider l infrastructure partenariale de ce secteur, et d autres structures sanitaires et/ou associatives. L effectif total des personnes touchées, par l action de formation et d enseignement est de 242. d) Les actions diverses. Le terme «actions diverses» regroupe les activités de prévention difficiles à classer dans les rubriques existantes, soit en raison de leur spécificité soit à cause de leur caractère encore exceptionnel et très ponctuel. e) La documentation. Le centre de ressources documentaires de l A.N.P.A.A. 974 a distribué documents en Le centre de ressources documentaires a été fréquenté par des personnes de divers horizons tels que travailleurs sociaux, infirmiers, la psychologue, élèves des lycées, collèges et écoles primaires, professionnels de la santé, personnel du Conseil Général. Outils et documents disponibles au centre documentaire, pour les adhérents : Spots vidéo sur la sécurité routière et tabagisme, DVD sur le SAF fait localement avec participation de l A.N.P.A.A. 974, 6 paires de lunettes de simulation d alcoolémie (2 diurnes et 2 nocturnes), Nouvelles affiches réalisées par l INPES pour diffusion locale 2000 nouveaux livrets «Drogues et Dépendances» édités par la Mildt, 2000 livrets «Alcool : votre corps se souvient de tout» édités par l INPES livrets «Alcool, vous en savez quoi? Concernant son financement, le secteur de la prévention reçoit d autres subventions qui entrent dans le champ du fonctionnement de l activité. Il s agit de subventions provenant de la Direction Départementale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale, dans le cadre des fonds européens. Les actions de formation et d enseignement. Les actions de formation réalisées par l association ont pour objectif principal de créer des personnes relais. Elles s'organisent soit sous forme de sessions de 5 jours, soit à la carte, soit sous forme de cours dispensés dans les organismes de formation et autres demandeurs. Ce(s) programme(s) comprend(nent) une partie théorique basée sur l acquisition de connaissances dans le domaine de la prise en charge des personnes faisant usage de substances psychoactives ou ayant une addiction sans substance et une partie pratique permettant aux stagiaires de s approprier des techniques de communication et d animation à travers divers outils pédagogiques. L ensemble du programme est étayé d exercices réalisés dans les ateliers ou sous forme de jeux. Ces exercices ont également pour but de créer une dynamique de solidarité dans le groupe. Il est important pour souligner cette dynamique que les stagiaires participent en fonction de leurs compétences. Les stagiaires de ces formations peuvent ainsi : 18

19 acquérir les bases de connaissances théoriques et pratiques nécessaires au développement d une véritable politique de prévention sur un secteur donné, acquérir une meilleure connaissance des institutions et de leur fonctionnement, afin d utiliser avec un maximum d efficacité les ressources humaines et matérielles de l infrastructure partenariale de secteur constitutive du «réseau», identifier les symptômes caractéristiques d une situation à problème chez un individu, induire par ses attitudes et comportements l approche d une relation d aide, s approprier à travers des jeux de rôles et des exercices pratiques, un savoir-faire et un savoirêtre adaptés, organiser dans un contexte de proximité, l orientation vers des partenaires spécialisés dans l accompagnement thérapeutique et social, des personnes rencontrant des difficultés avec des produits toxicomanogènes. Les sessions de formation Organisme demandeur : le département de La Réunion et autres organisations sanitaires et sociales Nb Heures Documents Nb Sessions Effectifs touchés intervention remis L enseignement supérieur Le nombre d interventions en cycle supérieur (IFSI ; IFAP ; Ecole de sages-femmes ; Ecole de puéricultrices ; Université de La Réunion) réalisées en 2011 est de : 5 Ce qui représente un volume en heures d intervention de : 33 L effectif de personnes touchées est de : A.N.P.A.A. 974 activité prévention : démarche évaluation-qualité Ce guide, coordonné par l Inpes, est le fruit d une démarche participative, impulsée à l issue des États généraux de la prévention de Il a mobilisé de nombreux acteurs associatifs (Aides, ANITeA, A.N.P.A.A., CISS/AFD, Crips Ile-de-France, Défi santé nutrition, FNES, Holisme communication, Mouvement Français pour le Planning Familial) et s appuie sur leur expérience de terrain mais aussi sur une analyse de la littérature et des outils développés dans le champ de la qualité. Spécialement conçu pour les actions en promotion de la santé menées par les associations, ce guide est adapté à la culture et à l environnement associatif. Proposant une autoévaluation de la qualité à partir des processus et des pratiques, la démarche qualité retenue dans ce guide accorde une place centrale aux valeurs qui fondent l action associative et la promotion de la santé. Dans cette perspective, son objectif est l amélioration continue de la qualité du service rendu aux personnes et aux populations concernées par les projets. La démarche qualité contribue à l efficacité des actions, à la cohésion et à la dynamique interne de l association, ainsi qu au renforcement des capacités de négociation et de plaidoyer auprès des différents partenaires. C est une démarche volontaire qui mobilise l ensemble de l association. 19

20 III. L activité de soin de l ANPAA 974. En 2010 l A.N.P.A.A.974 a déposé devant le CROSMS une demande pour que les 5 C.C.A.A. et le C.S.S.T dont elle avait la gestion soient transformés en C.S.A.P.A.. L autorisation a été accordée par l autorité sanitaire en juillet Mais pour des raisons administratives le financement des centres par l assurance maladie, s effectue encore au titre des CCAA et CCSST pour Deux rapports type d activités ont donc été adressés à l autorité sanitaire : - un pour les 5 CCAA - un pour le CSST. Afin de faciliter la lecture du rapport d activité 2011 l ANPAA974 a opté pour une présentation des résultats regroupant les informations recueillies sur les quatre territoires médico sociaux derrière l intitulé C.S.A.P.A 1. A.N.P.A.A. 974 : activité d aide, de soins et d accompagnement thérapeutique et social Le C.S.A.P.A est un lieu au service des personnes rencontrant des difficultés liées à un usage de substances psycho-actives et/ou à une addiction sans substance. Ses missions : - L accueil, l information, la sensibilisation, l évaluation médicale psychologique et sociale, l orientation de la personne concernée ou de son entourage et également l aide au repérage des usages nocifs. - La prévention de la survenue et/ou de l accumulation des dommages liés à la substance ou au comportement. - La réduction des risques liée à la consommation ou au comportement en cause. - La prise en charge et l accompagnement thérapeutique dans un contexte médico-psycho-social (bilan de santé, sevrage, soutien, psychothérapie individuelle ou familiale, groupes de parole, l accès aux droits sociaux et l aide à l insertion ou à la réinsertion). - La prescription et le suivi de traitements médicamenteux, dont le traitement de substitution aux opiacés. - L accompagnement thérapeutique et social fondé sur une collaboration avec les organismes sociaux du secteur. - La participation de l entourage dans le programme de stabilisation. L objectif principal est de tendre vers une meilleure qualité de vie. Il s agit de soins ambulatoires sans possibilité d hébergement. Le C.S.A.P.A remplace les C.C.A.A. (Centre de Cure Ambulatoire en Alcoologie) et les C.S.S.T (Centre de Soin Spécialisés pour Toxicomane) depuis le 19 juillet Les centres gérés par l A.N.P.A.A. 974 sont installés à Saint-Denis, Saint-Pierre, Saint-Benoît, Saint-Paul, et Le Port. 20

21 En plus de la dotation globale (Assurance Maladie / ARS OI) d autres partenaires apportent en soutien également leur contribution : Le CHR Félix Guyon de Bellepierre met à disposition 0,5 ETP de médecin réparti entre Saint- Benoît, Saint-Paul, Saint-Denis et Le Port. Le service d addictologie sud à St Pierre met à disposition 0,5 ETP de médecin réparti sur le C.S.A.P.A sud. La municipalité de Saint-Benoît met à disposition, un agent d entretien et les locaux. La municipalité du Port met à disposition les locaux. 2. A.N.P.A.A. 974 C.S.A.P.A Bilan général Le bilan statistique présente les informations transmises aux autorités sanitaires selon le rapport type des structures ambulatoires C.S.A.P.A. Le nombre de personnes rencontrées en 2011 s élève à : contre 3086 en Le nombre des personnes suivies en 2011 s élève à (2997 en 2010 baisse de 2.10 %). 1. Nombre de personnes vues par l équipe 4 : (tous contacts en face à face, y compris entourage, famille) dont nombre de personnes de l entourage : Nombre de patients vus au moins une fois dont nombre de patients vus une seule fois 549 dont nombre de nouveaux patients Parmi les patients vus au moins une fois au cours de l année Pour les patients suivis sans interruption, prendre en compte la dernière situation connue 6 ; pour les nouveaux patients ou les patients revus après interruption du suivi 7, prendre en compte la situation lors de la (re)prise de contact 8. Toutes les données suivantes de la partie II reposent sur des réponses exclusives ; un patient ne peut donc être pris en compte que pour une seule modalité de réponse (à l exception toutefois de la question 11, une même personne pouvant être recensée comme moins de 20 ans et comme moins de 18 ans). 3. Sexe des patients Nombre d hommes Nombre de femmes les personnes peuvent avoir été vues dans les locaux de la structure ou en dehors (visite à l hôpital, établissement pénitentiaire, etc.) 5 est considéré comme patient, toute personne en difficulté avec sa consommation de substances psychoactives qui a pu bénéficier d au moins un acte de prise en charge (médicale, psychologique, sociale ou éducative). 6 les centres veilleront à ce que les informations sur les patients soient actualisées au moins une fois par an. 7 le suivi est considéré comme interrompu en cas d absence de contact pendant six mois consécutifs, sauf situation particulière (par ex. rendez vous programmé dans plus de six mois) 8 ces choix, toujours un peu arbitraires, de date de situation à prendre en compte sont liés au souhait de compatibilité avec RECAP et les standards européens (situation au moment du contact pour les nouveaux patients) et de prise en compte de la situation la plus récente pour les patients déjà suivis. 21

22 4. Age des patients Moins de 20 ans 100 dont moins de 18 ans 68 Entre 20 et 24 ans 198 Entre 25 et 29 ans 338 Entre 30 et 39 ans 762 Entre 40 et 49 ans 918 Entre 50 et 59 ans ans et plus Origine géographique Nombre de patients originaires du département Nombre de patients originaires de la région 2 Nombre de patients en provenance d autres régions 10 Ne sait pas (ou non renseigné) 0 6. Logement Durable Provisoire (ou précaire) 170 SDF 37 Ne sait pas (ou non renseigné) 2 Pour les personnes incarcérées, situation à l entrée dans l établissement pénitentiaire. 7. Origine principale des ressources Revenus de l emploi * Assedic 476 RMI/RSA 822 AAH 79 Autres prestations sociales 29 Ressources provenant d un tiers 56 Autres ressources (y compris sans revenus) 321 Ne sait pas (ou non renseigné) 1 22

23 8. Origine de la demande de consultation 1. Initiative du patient ou des proches Médecin de ville, du travail Structure spécialisée médico-social (CSAPA / CAARUD) Structure hospitalière spécialisée en addictologie Autre hôpital / autre sanitaire Institutions et services sociaux Justice, orientation pré sentencielle Justice, orientation post sentencielle Justice, classement avec orientation Milieu scolaire/universitaire Autre Ne sait pas (ou non renseigné) 1 9. Répartition des patients suivant les produits les plus dommageables* 1 er produit le plus 2 ème produit le plus dommageable dommageable Alcool Tabac Cannabis Opiacés (hors traitements de substitution détournés de leur usage thérapeutique) 60 4 Cocaïne et crack 6 6 Amphétamines, ecstasy, 6 7 Médicaments psychotropes détournés Traitements de substitution détournés de leur usage thérapeutique 1 2 Addictions sans substances (jeux d argent et de hasard y compris jeux en ligne) 2 0 Addictions sans substances (cyberaddiction) 2 0 Autres addictions sans substance 9 2 Autres (dont autres produits) 6 7 Pas de produits consommés (pas de deuxième produit consommé) Non renseigné Total (=100% de la file active) *Produits les plus dommageables (selon le point de vue du professionnel) = : 23

24 Patients vus pour la première fois ou revus après interruption : produits consommés (dans les 30 derniers jours précédant le contact) les plus dommageables pour le patient. Patients déjà suivis : derniers produits les plus dommageables consommés connus. En l absence de consommation dans les trente derniers jours se référer au dernier produit le plus dommageable consommé. **Un premier produit le plus dommageable doit être obligatoirement mentionné pour chaque patient. Par exemple, les patients vus pour consolidation après un sevrage alcool doivent être recensés à la ligne Alcool même s ils n en ont pas consommé au cours des trente derniers jours. 10.Répartition des patients suivant les produits à l origine de la prise en charge* Produit à l origine de la prise en charge Alcool Tabac 469 Cannabis 59 Opiacés (hors traitements de substitution détournés de 28 leur usage thérapeutique) Cocaïne et crack 3 Amphétamines, ecstasy, 1 Médicaments psychotropes détournés 11 Traitements de substitution détournés de leur usage 0 thérapeutique Addictions sans substances (jeux d argent et de hasard y 1 compris jeux en ligne) Addictions sans substances (cyberaddiction) 1 Autres addictions sans substance 9 Autres (dont autres produits) 159 Non renseigné Total (=100% de la file active)

25 11. Type d usage des produits vis-à-vis du produit n 1 (hors tabac) Indiquez le nombre de patients qui, pour le produit n 1, ont une consommation classée : En abstinence 10 En usage simple 253 En usage à risque ou en usage nocif En usage avec dépendance Non évalué (suivi tabacologique) Voie Intraveineuse Nombre de patients ayant utilisé la voie intraveineuse lors du mois précédent 11 1 Nombre de patients ayant utilisé la voie intraveineuse antérieurement (pas dans le dernier mois mais auparavant) 10 Nombre de patients n ayant jamais utilisé la voie intraveineuse antérieurement 845 Ne sait pas (ou non renseigné) Les actes Nombre de consultations Nombre de patients Médecins généralistes Psychiatres Infirmiers Psychologues Assistants sociaux Educateurs spécialisés Animateurs Autres : en référence à la classification internationale des maladies 10 ème édition (CIM10) ; la notion d abus, défini dans le DSMIV peut également être utilisée 10 en référence à la classification internationale des maladies 10 ème édition (CIM10) ou du DSM IV 11 mois précédant le contact pour les patients inconnus, dernière situation connue pour les patients déjà suivis 25

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales

Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence

Plus en détail

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE

Plus en détail

Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé

Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier

Plus en détail

Etablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -

Etablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil - Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013

ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 Cocher la ou les orientations auxquelles répondent votre projet COMMUNICATION GRAND PUBLIC Travailler sur les représentations liées à l'alcool et aux drogues. Comprendre

Plus en détail

Faire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes

Faire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes Faire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes Dossier de presse Janvier 2015 CONTACT PRESSE Inpes

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

1 Travailler dans le secteur social

1 Travailler dans le secteur social 1 Travailler dans le secteur social Proposer des formations aux métiers de la solidarité. Accéder à un emploi dans un secteur porteur. Parmi les acteurs : AskOria, les métiers des solidarités Cet organisme

Plus en détail

Projet de communication

Projet de communication PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication

Plus en détail

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

Chaque unité qui compose le Centre Saint-Germain Pierre-Nicole a des modalités de

Chaque unité qui compose le Centre Saint-Germain Pierre-Nicole a des modalités de LIVRET D ACCUEIL Le Centre Saint-Germain Pierre-Nicole est un Centre Spécialisé de Soins pour Toxicomanes (CSST), géré par la Croix-Rouge française. Une équipe pluridisciplinaire est à votre disposition,

Plus en détail

Les Groupements de coopération

Les Groupements de coopération Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre

Plus en détail

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d

Plus en détail

Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions?

Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Quelques pistes de réflexions à partir de l expérience du Respadd David Michels, chargé de projets, Respadd Introduction L engagement de

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2013"

La santé des étudiants en 2013 1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin Vu les articles L.213-2 et L.421-23 II du code de l Education qui confient aux départements la compétence

Plus en détail

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE L apprentissage dans l enseignement supérieur a pour mission de faciliter l accès à des formations de haut niveau et de permettre à des étudiants de

Plus en détail

!!" # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5

!! # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5 "$ %&' ( )* ( +$ (,$- (./-- 0 1-2- $ 3- ( 4*4-5.&)* 5 Un cadre légal : Les écoles primaires, à la différence des collèges et des lycées, ne sont pas des établissements publics autonomes, et ne bénéficient

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014

FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles

Plus en détail

1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois.

1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois. 1. REGLEMENT DU STAGE OFFICINAL 1.1. Du stage et des stagiaires 1.1.1. Le stage est accompli dans une officine ouverte au public ou dans une officine hospitalière, dirigée par un pharmacien comptant au

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL. Les addictions

LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL. Les addictions LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL Les addictions Mme Gisèle Ballaloud Juin 2015 2015-19 NOR : CESL1100019X Vendredi 10 juillet 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Mandature

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne

Plus en détail

PRESENTATION DE LA CIPCA. MILDECA- colloque INSERM 1

PRESENTATION DE LA CIPCA. MILDECA- colloque INSERM 1 PRESENTATION DE LA CIPCA MILDECA- colloque INSERM 1 LA CIPCA A ÉTÉ MISE EN PLACE DANS LE CADRE DU PLAN GOUVERNEMENTAL 2013-2017 Pour que la prévention devienne une priorité des politiques de lutte contre

Plus en détail

Juillet 2011. Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1

Juillet 2011. Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1 Contribution de la Mutuelle Générale de l Education Nationale - MGEN (France) et de la Mutualité Socialiste - MS (Belgique) au livre vert sur «Le cadre de gouvernance d entreprise dans l UE» Juillet 2011

Plus en détail

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE

Plus en détail

LIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE. 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France. Contact : princeps.gdumas@orange.

LIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE. 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France. Contact : princeps.gdumas@orange. FEDERATIION FRANCAIISE D ADDIICTOLOGIIE LIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France Contact : princeps.gdumas@orange.fr LIVRE BLANC DE L

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

Comment monter un projet de sécurité routière

Comment monter un projet de sécurité routière Comment monter un projet de sécurité routière 2014 www.aisne.pref.gouv.fr Sommaire Avant-propos Les orientations générales Enjeux - orientations p3 p4 p5à7 Clarifiez votre projet p8 Comment monter votre

Plus en détail

Les stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes

Les stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes Le réseau régional d Education Pour la Santé Membre du réseau de l'institut National de Prévention et d'education pour la Santé et l Institut Rhône-Alpes de Tabacologie Les stratégies de prévention du

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Séminaire de Rennes, jeudi 21 octobre 2010

Séminaire de Rennes, jeudi 21 octobre 2010 PROJET 2010 : Pratiques en réseaux pour l insertion par l emploi des usagers de drogues Séminaire de Rennes, jeudi 21 octobre 2010 Présents : Groupe de travail : SYNTHESE DES ECHANGES Christine CALDERON

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Des questions..des réponses

Des questions..des réponses 1 Des questions..des réponses C est quoi le Foyer 150?... 3 Qui travaille au Foyer 150?... 4 Pourquoi est-on placé au Foyer 150?... 4 Comment arrive-t-on au Foyer 150?...... 5 Première étape : contact

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012

15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012 15 ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer Dossier de presse Portes Ouvertes Jeudii 24 maii 2012 Le dossier Les addictions o Définition o Les grandes tendances en termes de conduites addictives

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0 SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes

Plus en détail

Rapport d'activité. http://clasches.fr contact@clasches.fr

Rapport d'activité. http://clasches.fr contact@clasches.fr 2009 2010 Rapport d'activité http://clasches.fr contact@clasches.fr Sommaire 1. Présentation de l association...3 a. Historique...3 b. Objectifs de l association...3 c. Adhérent e s...4 d. Membres du bureau...4

Plus en détail

Alcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop

Alcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop Alcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop Dossier de presse Novembre 2013 CONTACTS PRESSE Inpes : Vanessa Lemoine Tél : 01 49 33 22 42 Email : vanessa.lemoine@inpes.sante.fr TBWA \ Corporate :

Plus en détail

PROJETS DE TRANSPORT EN COMMUN A PLAINE COMMUNE

PROJETS DE TRANSPORT EN COMMUN A PLAINE COMMUNE PROJETS DE TRANSPORT EN COMMUN A PLAINE COMMUNE (COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DE SEINE-SAINT-DENIS) Journée d échange sur les Evaluations d Impact en Santé (EIS) Inpes EHESP - CNFPT 29 janvier 2015 PLAN

Plus en détail

L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé

L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé Dr Jean Jacques ANTOINE FEMALOR 14 Juin 2012 METZ 57 1 Déclara'on d intérêts J ai actuellement ou j ai eu au cours des trois

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Dossier commun de demande de subvention au titre de la part territoriale du Centre National pour le Développement du Sport - 2013

Dossier commun de demande de subvention au titre de la part territoriale du Centre National pour le Développement du Sport - 2013 Dossier commun de demande de subvention au titre de la part territoriale du Centre National pour le Développement du Sport - 2013 ------------- C. N. D. S. ------------ Retour des dossiers des Ligues Régionales

Plus en détail

autonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.

autonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome. INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises 1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches

Plus en détail

Mutualité Française Ile-de-France

Mutualité Française Ile-de-France Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

Elaboration du plan France Numérique 2020

Elaboration du plan France Numérique 2020 Paris, le 30 septembre 2011 Elaboration du plan France Numérique 2020 Réponse de l ARPP à la consultation publique Organisme de régulation professionnelle de la publicité en France, l Autorité de Régulation

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

Règlement intérieur Ville inventive Association loi 1901

Règlement intérieur Ville inventive Association loi 1901 Règlement intérieur Ville inventive Association loi 1901 Modifié et voté en CA le 21/11/2013 Article 1er : Entrée en vigueur et modification du règlement intérieur Le présent règlement intérieur entrera

Plus en détail

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Plus en détail

L Académie des Dalons

L Académie des Dalons L L est un projet expérimental d insertion sociale et professionnelle dans un dispositif global de soutien de jeunes en difficulté. Il s adresse aux volontaires âgés de 18 à 25 ans qui, sans formation

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Bilan de la concertation 2011-2015

Bilan de la concertation 2011-2015 Bilan de la concertation 2011-2015 Dès sa création en 2011, l association de préfiguration a mis en place une méthode destinée à impliquer au maximum les acteurs locaux dans l écriture de charte (méthode

Plus en détail

Article 4 - MEMBRES. Article 5 - CONDITIONS D ADHÉSION & COTISATION. Article 5 - DÉMISSION / RADIATION

Article 4 - MEMBRES. Article 5 - CONDITIONS D ADHÉSION & COTISATION. Article 5 - DÉMISSION / RADIATION Démarche Précoce d Insertion socioprofessionnelle Direction nationale - 14, rue Colbert - 56100 Lorient Tél. 0297 350828 Fax. 0297350338 direction@cometefrance.com www.cometefrance.com STATUTS DE L ASSOCIATION

Plus en détail

Une passerelle pour votre avenir

Une passerelle pour votre avenir Une passerelle pour votre avenir Livret d accueil Jeunes de 14 à 20 ans Plusieurs structures pour des parcours individualisés Des équipes pluridisciplinaires pour un service de qualité Enfance et Adolescence

Plus en détail

1- Présentation de la structure

1- Présentation de la structure 1- Présentation de la structure Cadre L école Paul Langevin se situe sur la commune de Pontivy, les locaux des classes de maternelle et d élémentaire se rejoignent par la cantine. L école maternelle compte

Plus en détail

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch

Plus en détail

La mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1

La mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1 La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

BTS - Assistant de gestion PME-PMI

BTS - Assistant de gestion PME-PMI Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 18/08/2015. Fiche formation BTS - Assistant de gestion PME-PMI - N : 0079468 - Mise à jour : 09/07/2015 BTS - Assistant de gestion PME-PMI

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Drug Misuse and Treatment in Morocco

Drug Misuse and Treatment in Morocco Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

Tableau de bord sur les addictions en Bretagne

Tableau de bord sur les addictions en Bretagne DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail