Contans WG. La force de la nature contre le sclerotinia
|
|
- Jean Bernard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La force de la nature contre le sclerotinia
2 Biologie du sclérotinia Infection des cultures par le mycélium Les sclérotes (1) présents dans la couche superficielle du sol germent et produisent du mycélium qui parasite la plante par les racines ou les feuilles en contact avec le sol (3). Une infection des plantes par le mycélium peut avoir lieu à tous moments, dès la germination ou la plantation. Les cultures qui sont principalement infestées de cette manière sont les chicorées, les endives, les carottes, le persil et salade. Symptômes Infection causée par le mycélium Infection causée par les ascospores Résidus de récolte Sclérotes enfouis dans le sol Sclérotes Infection des cultures par les ascospores Dans la couche superficielle du sol, les sclérotes produisent des fructifications en forme de coupe (apothécies) (2). Ces apothécies produisent et libèrent des spores qui sont véhiculés par le vent et qui contaminent les parties végétales mortes ou sénescentes des plantes. Lorsque les conditions climatiques sont favorables, ces spores germent et infectent les plantes sensibles. Les cultures qui sont principalement infestées de cette manière sont les aubergines, les haricots, les pois, les courgettes, les poivrons, les tomates, les melons, les lupins, les pétunias. Quelque soit le mode d infection, un mycélium blanc et ouateux (4) se développe sur les parties contaminées des plantes et y produit de nouvels sclérotes. Avec les résidus de récolte, ceux-ci tombent au sol où ils peuvent survivre plusieurs années. Le cycle biologique du sclérotinia est ainsi bouclé.
3 Mode et site d action de Site d action des fongicides chimiques classiques Contamination mycélienne possile Projection d ascospores Site d action de 1) Après l application et l incorporation de dans le sol, les spores de Coniothyrium minitans émettent des hyphes mycéliens au contact du sclérote. 1 2) Le mycélium de Coniothyrium minitans s attaque aux éléments chimiques constitutifs du sclérote et les détruit de manière enzymatique. 3) Le sclérote parasité perd son aptitude à produire des apothécies ou à émettre des hyphes mycéliens. Sa destruction totale se poursuit en fonction des températures et de l hygrométrie. Les spores et le mycélium de Coniothyrium minitans ne cherchent pas activement les sclérotes. Ils attaquent seulement les sclérotes qui les entourent. ne sera véritablement efficace que s il est positionné le plus près possible des sclérotes, voire sur les sclérotes, ce qui nécessite une bonne incorporation dans les premiers centimètres du sol (5 à 10 cm selon les cultures). 2 3
4 dans la rotation. Surfaces très contaminées. Dans les parcelles fortement contaminées, le travail du sol ramène d anciens sclérotes en surface durant plusieurs années. Dans ce cas, il faut répéter les applications de à plusieurs reprises afin de réduire significativement le potentiel infectieux du sol. Des résultats d essais sur plusieurs années confirment une réduction des sclérotes de 50 %, dès la première année d application. Attaques sporadiques (Application après la récolte) Souvent, une attaque de Sclérotinia ne se remarque qu en cours de culture. Il est alors trop tard pour effectuer un traitement. Les nouvels sclérotes produits vont venir contaminer le sol. Dans une telle situation, doit être appliqué sur les résidus de récolte avant le travail du sol (labour, hersage). Cet apport de spores Coniothyrium minitans permet ainsi de détruire ces nouvels sclérotes et d éviter la contamination du sol et le développement futur de la maladie. Efficacité de 14 % de plantes atteintes Témoin 4 kg avant la plantation 4 kg après la plantation Fongicide 2 0 Essai sclérotinia sur laitue Batavia (Serail-Chambre Agriculture, 2002)
5 Légumes: salade, céleri, haricot, tomate, carotte En cultures maraîchères, les deux agents de Sclérotinia - Sclérotinia sclerotiorum et Sclerotinia minor - sont généralement présents. Selon la cultures, l infection a lieu par le sol (salades, carottes, endives, céleri) ou par voies aériennes au travers des ascospores (haricots, tomates, courgettes, poivrons). Les plantes contaminées commencent à flétrir ou à faner et les parties atteintes se recouvrent d un duvet ouateux ferme à l intérieur duquel se développent une multitude de sclérotes. En cultures maraîchères, est un élément stratégique pour la lutte à long terme contre le Sclérotinia. Il permet de combattre efficacement les sclérotes, et par là-même la cause de la maladie. Pour des cultures qui sont infectées principalement par voie aérienne, une combinaison avec des fongicides s avère adéquate. Emploi symptômes typiques sur haricots 4-8 kg/ha 2 kg/ha Incorporation Plantation Résidus de récolte 4-8 kg/ha, renouveler à chaque culture. Traiter les résidus de récolte (2kg/ha) en cas d infection. Plus est incorpré en profondeur et plus la durée de culture est courte, plus le dosage de doit être élevé. Anticiper l application avant plantation si possible. Pulvériser sur sol frais et humide Incorporer sur 5 à 10 cm de profondeur, toute de suite après application.
6 Grandes cultures: colza, tabac, tournesol, soja Dans les régions où ces cultures reviennent souvent dans la rotation, un fort potentiel de sclérotes peut se développer. Pour ces cultures, l infection a lieu essentiellement par voie aérienne. Les spores contaminent les fleurs et les pétales et y germent en provoquant le duvet blanc ou se développent les sclérotes. Le traitement individuel d une seule parcelle est difficile ; par contre, lors d infection avérée d une parcelle, un traitement avec Contans WG est nécessaire. Afin de réduire une infection ultérieure, le traitement des résidus de récolte est indispensable. % plantes attaquées Essai Soja Wisconsin, USA Témoin non traité 4 kg/ha 4 kg/ha + fongicide tige de tournesol avec des sclérotes Emploi 2-4 kg/ha 2 kg/ha Incorporation Semis Résidus de récolte 2-4 kg/ha dans les parcelles fortement attaquées. 1-2 kg/ha pour le traitement des résidus de récolte et pour les traitement suivants. juste avant le semis, éventuellement en même temps que l herbicide.
7 Conservation de contient des microorganismes vivants et nécessite par conséquent une manipulation et un stockage particuliers afin de conserver tout son potentiel de développement dans le sol. Stocker dans un lieu frais (maximum 15 C) et à l abri de la lumière. La durée de conservation est déterminée à partir de la date de production (voir sur l emballage) et dépend de la température: 1 an à -18 C 6 mois à 4 C 3 semaines à 15 C Eviter les chocs thermiques (congélation-décongélation). % d activité Recommandations d emploi 0 jours + 4 C + 23 C Bien nettoyer le pulvérisateur avant toute application. Ne pas mélanger avec les engrais liquides et les fongicides. Mélanges possibles avec certains désherbants. Respecter la réglementation en vigueur. Appliquer en bonnes conditions. Appliquer sur sol frais, humide et peu motteux. Incorporer rapidement à 5-10 cm (dans les 2 heures) suivant l application. 06/2009 Images et graphiques avec l aimable autorisation de Prophyta et Belchim France.
8 , l essentiel La cause est combattue attaque et détruit l agent persistant (sclérote). Ecologique n a aucun effet négatif sur les organismes du sol. Effet de longue durée diminue le potential d infection du sol sur une longue durée. Aucune phytoxicité n a aucune phytoxicité Délai d attente n a aucun délai d attente Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6 CH-6146 Grossdietwil Tel Fax sales@biocontrol.ch
FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013. Rotation. Préparation du sol. Semis
Endive FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Trois types de production sont définis en fonction des périodes de semis et d arrachage : - les semis de la 2 ème quinzaine d avril sous bâche
Plus en détailBULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailFRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE
FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE I. AGRUMES 1. Oranges - Du 1 er décembre au 31 mai Les oranges bénéficient d un contingent en exonération des droits de douane advalorem et à prix d entrée
Plus en détailEnquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides
Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Hiérarchisation des substances actives pour la surveillance des expositions alimentaires Alexandre Nougadère Direction de l Evaluation
Plus en détailBULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage
Plus en détailVivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE
POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE BIEN CONNAÎTRE LES LÉGUMES SANTÉ - Les vitamines - Les minéraux - Les fibres COMMENT RÉCOLTER DES LÉGUMES
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailCAHIER TECHNIQUE. Culture biologique de l endive. Techn ITAB. Production de racines 6 mois environ
CAHIER TECHNIQUE Techn ITAB Culture biologique de l endive L endive, premier légume d hiver, représente en France environ 220 000 à 250 000 tonnes par an commercialisées essentiellement d octobre à avril.
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailPOIS (Famille des haricots) HARICOTS (Famille des haricots)
HARICOTS (Famille des haricots) POIS (Famille des haricots) Pour semer : 9 haricots par Divisez le carré en 9 petits carrés, et puis semez un haricot dans chacun d'eux. Compagnons : Carottes ou radis.
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailContacts. Juin 2014 CONSEILS DE SAISON
Juin 2014 CONSEILS DE SAISON Les fortes chaleurs dans les abris et en sont favorables au développement des ravageurs : thrips, acariens notamment sur cucurbitacées, aubergine,etc. Les auxiliaires naturels
Plus en détailI. Définitions et exigences
I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailLUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour
Plus en détailLe rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs
Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères
Plus en détailProduire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?
Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailLCBC CABC O. HERMANN. Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique
LCBC CABC Reconnaître les maladies foliaires de la betterave au champ O. HERMANN Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique Publication réalisée
Plus en détailPlanification des superficies de légumes nécessaires
MODULE 3 CHAPITRE 3 Planification des superficies de légumes nécessaires SOMMAIRE 1. Rendements 1 1.1 Rendements moyens des légumes 2 1.2 Évaluation des rendements 4 2. Choix de l espacement entre les
Plus en détail60 produits solidaires pour les familles
60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailBulletin d information
Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailLUNDI MARDI MERCREDI JEUDI VENDREDI
Période du 1er Juin au 5 Juin 2015 CRECHE MOYEN Macédoine mayonnaise Carottes râpées "maison" Betteraves vinaigrette Concombre vinaigrette Viande de bœuf hachée au jus Escalope de dinde au jus Sauté de
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailCirrus Activ Cirrus Cirrus Ac A tiv cti
Cirrus Activ 1 Le bon semoir de toutes les situations Le semis est une étape importante pour la réussite d une culture avec des rendements stables et élevés. L efficacité et la rentabilité d un matériel
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailEn primeur chez. La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en pots. p.7
En primeur chez Semences et grains à germer disponibles en magasin à 4,99 $ le sachet. p.7 p.10 p.12 La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailInformation destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile
Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe
Plus en détailLa production de Semences potagères
La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité
Plus en détailCRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013
1/9 CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 I. EXAMEN DE LA DISTINCTION, L HOMOGENEITE ET DE LA STABILITE (D.H.S.). L examen
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailFaire son compost et pailler son jardin
Les déchets AGIR! Faire son compost et pailler son jardin Réduire ses déchets de cuisine ou de jardin tout en nourrissant le sol Édition : novembre 2013 REDUISONS VITE NOS DECHETS ÇA DÉBORDE sommaire glossaire
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailBulletin n 6 LA MALADIE DU ROND
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailRémoulade sauce mulotte
8 kg de céleri rave 1,5 kg de fromage blanc 500 g de cornichons 2 bouquets de persil sel, poivre Rémoulade sauce mulotte Laver, brosser, parer puis râper le céleri rave. Réaliser la sauce mulotte avec
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailRecettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor
Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détail12. À chacun son point de vue
12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailLeçon 10. Je quitte la maison - par où commencer? Matériel : Niveaux : Buts : Vocabulaire : Temps requis :
SECONDAIRE Leçon 10 Je quitte la maison - par où commencer? Niveaux : S1, S2 (9 e, 10 e ) Buts : Aider les élèves à se préparer lorsqu ils quittent l école pour vivre seul ou avec un locataire. Vocabulaire
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailJuillet Août 2000. Bon jardinage et bon début de récolte!
Juillet Août 2000 été est au jardin! La chaleur est enfin arrivée pour donner un bon coup de pouce à vos plants, dont quelques-uns sont déjà prêts à être récoltés, comme les délicieuses salades. En attendant
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailTrois mille exploitations produisent des légumes sur une surface de 23 300 ha. Très répandue, cette production se retrouve dans 22 % des
- N 7 - Août 2012 Agreste Numéro 7 - Août 2012 Légumes La production de légumes par les agriculteurs de la région Nord Pas-de-Calais a une importance tant historique que quantitative. Elle est spécifique
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailPour un compostage reussi. Les avantages du compostage 2 PAGE. Pour bien commencer. La recette du chef. Pratique. Economique.
suivez le guide! Les avantages du compostage Pour un compostage reussi 4 Pour bien commencer Ecologique Améliore la santé des plantes. Augmente la production du potager. Protège vos plantes des parasites.
Plus en détailMunicipalité de la paroisse de Saint-Lazare
Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION
Plus en détailHygiene. Wet-Clean L entretien des textiles pour les professionnels
Hygiene Wet-Clean L entretien des textiles pour les professionnels Wet-Clean La solution idéale pour le nettoyage au mouillé dans votre établissement > La solution tout-en-un au sein de votre établissement:
Plus en détailLombricompost. «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante»
Lombricompost 1 «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante» Table des matières 1-Définition 3 2. Les différents types d engrais utilisés par les agriculteurs 3 21. Engrais d ordure de la ville 3 22.
Plus en détailFruits et légumes frais
Fruits et légumes frais Produits en vrac Guide de poche Service alimentaire Gordon Histoire de Markon Frais. Santé. Délicieux. Depuis plus de 25 ans, Markon et nos compagnies membres offrent des fruits
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION
LE SERVICE D INFORMATION ET DE DOCUMENTATION SID, Mars 2009 DE LA FONDATION ALLIANCE FRANÇAISE FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION D UN FONDS D ARCHIVES D UNE ALLIANCE FRANÇAISE. SOMMAIRE Les objectifs...
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailPrévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp.
Prévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp. Elzbieta Czembor, Plant Breeding and Acclimatization Institute, Radzikow, Pologne; Jozef Adamczyk,
Plus en détailLES JARDINIERS DU CHEF
Propriétaires : Pierre-André Daignault et Nathalie Roy Les Jardiniers du Chef est une ferme maraîchère et serricole familiale établie depuis 1994. L acquisition d une haute réputation auprès des meilleures
Plus en détailGETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE
GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détail> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français
> ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population
Plus en détailOrateur : David Cohlmeyer, consultant en aliments durables, ancien propriétaire et dirigeant de Cookstown Greens.
Notes de l atelier sur L entreposage des légumes : Allonger la saison grâce à l entreposage Présenté au Marché des fermiers de Dieppe, le mercredi, 12 septembre 2012- Orateur : David Cohlmeyer, consultant
Plus en détailComment utilisons-nous notre argent?
Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le
Plus en détailLIVRET DE PRESENTATION
LA GENÈSE DES JARDINS DE CONTRAT 1992, Château-Renault Trois passionnés ouvrent un chantier d'espaces verts et un atelier de menuiserie. Leur but : faire partager leur savoir-faire, l association Contrat
Plus en détail1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailNos Equipes Rigoureuses et Chaleureuses sauront vous donner satisfaction à chaque étape de l Elaboration de Votre Réception
Del Forno Traiteur 227 Route de Montmerle Saint Georges de Reneins Tel : 04 74 67 61 73 Fax : 04 74 67 60 68 Madame, Monsieur Nous vous remercions de votre demande de Buffet auprès de Notre Société. Nous
Plus en détailContre les Insectes en Général
les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour
Plus en détailen glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES 100 % goût zéro compromis, my-vb.com
en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES zéro compromis, 100 % goût my-vb.com SORBETS (en grammes) Recettes réalisées par O. Christien Chef pâtissier, E. Ryon MOF
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détail