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1 COREVIH NOUVELLE AQUITAINE - 12 décembre 2016

2 Etude Inserm et Ined sur la sexualité des Français publiée(2008) 4% des femmes et 4,1 % des hommes de 18 à 69 ans déclarent avoir déjà eu des pratiques sexuelles avec un partenaire du même sexe au cours de leur vie. Mais seulement 1 % des femmes et 1,6 % des hommes déclarent avoir eu des rapports sexuels avec une personne du même sexe au cours des douze derniers mois. Homosexuels masculins = 1,2 % soit Bisexuels masculins = 0,4% soit Le nombre de couples de même sexe avoisinerait les (INSEE 1999)

3 A la question «Vous sentez-vous mieux maintenant que dans le passé?», une majorité des ans répond positivement (mieux ou beaucoup mieux). L'estime de soi des gays est globalement bonne (niveau de 5 sur 10 à partir de 25 ans). L'étude révèle que les jeunes gays sont moins attachés à l'existence de la communauté (moins de 20% pour les moins de 20 ans) que les générations plus âgées (+ 50% pour les 60 ans et plus). L estime de soi augmente avec l'âge, liée à la maturité (niveau 6/ ans, ) Au-delà de 60 ans, elle baisse pour plusieurs raisons : isolement, difficultés de plaire, vieillesse.

4 HSH ont répondu à l enquête ; 71% avaient eu au moins un partenaire occasionnel dans les 12 derniers mois. 14% n avaient jamais eu recours au test VIH Parmi les testés, 17% étaient séropositifs 69% séronégatifs et 14% séro-interrogatifs L usage systématique du préservatif lors des rapports anaux avec des partenaires occasionnels a été rapporté plus fréquemment par les répondants séronégatifs (58%) Les gays plutôt ou très satisfait de leur vie sexuelle? Séropositifs Séronégatifs Sérointerrogatifs Non testés 64,7 % 61,6 % 54,9 % 46,6 %

5 Enquête presse gay 2011 = 5767 réponses En moyenne 7 partenaires dans les 12 derniers mois (10-50) FIDELITE sexuelle ou sentimentale? Les gays ont la réputation sulfureuse de ne pas être des modèles de fidélité. Différentes études évoquent des taux assez élevés d infidélité sexuelle. Pourtant, de nombreux couples sont très solides et leur amour sans faille.

6 Le taux de suicide chez les homosexuel-le-s est cinq fois plus élevé que chez les hétérosexuelle-s (InVS/SPF) Et ce décalage est de treize fois en ce qui concerne les adolescents, selon une étude du Pr Shelly menée en 2005 avec l'association Aremedia et l'inserm. Ce constat n'a rien à voir avec la génétique comme d'aucuns voudraient le faire croire. C'est la triste conséquence de l'homophobie qui imprègne la société et qui se traduit par la violence psychologique et physique

7 Chaque année, 30% des homosexuel-le-s de moins de 25 ans tenteraient de se suicider, d après un rapport rendu au Sénat en les raisons du suicide étaient dues à 64% à la précarité et la peur de se confronter au regard des autres, ce qui revient à dire que la majorité des suicides pour raison d homosexualité sont dus au rejet familial (qu il soit subi ou volontaire) et à la honte que ressentent les jeunes homosexuel-le-s en âge de se découvrir tel-le quel-le face aux autres. Rejet, incompréhension, peur : «handicap sexuel» avec cette particularité subie malgré eux, qui les rend «différents».

8 LES POPPERS (le B.A.ba) Pas de risque de transmission du VIH ou d une IST, mais peuvent augmenter les risques d accidents cardiaques avec d autres produits, en particulier le Viagra Les autres drogues : Alcool Le SLAM : s injecter par voie intraveineuse des produits de type psychostimulant (méphédrone et dérivés). La coke : sniff ou utilisation sur les muqueuses Le GHB L ecstasy (MDMA) Crystal etc... La facilité de trouver des produits sur internet et leur mode d emploi : Forums, sites d achats en ligne...

9 - IST - Risques VHC++ - Risques psycho-sociaux - Réinfections multiples - Flyers, affiches AIDES - Brochure Respadd pour les professionnels de santé

10 Sites internet : le Web et les réseaux sociaux principaux outils utilisés pour la drague et la rencontre sexuelle Orientation sexuelle et les pratiques sexuelles recherchées Négociation du préservatif Sur certains sites possibilité d inscrire son statut sérologique et charge virale LES APPLICATIONS DE RENCONTRES GEOLOCALISEES Avec ces applications les habituels lieux de rencontres gay sont moins prisés : Baisse de la fréquentation backrooms et saunas. Etats-Unis : «Tinder» et «Grindr» accusés de favoriser la propagation des infections sexuellement transmissibles => Mais c est aussi une occasion de nouvelles interventions!!!

11 17 % de prévalence VIH (pour une population estimée à individus), 3% des HSH sont séropositifs sans le savoir (contre 0,06 % en population générale), ils représentent 40% de l épidémie cachée en France, Près de la moitié (42 %) des découvertes de séropositivité concernent des HSH, Une part grandissante des HSH les plus jeunes (moins de 25 ans) dans les chiffres de l épidémie, Un chiffre d incidence du VIH de 1% (contre 0,017 % en population générale). C est-à-dire que 1% des HSH en France deviennent séropositifs chaque année. Recours au dépistage est insuffisant, même s il est plus fréquent que dans d autres groupes exposés. Le délai entre la contamination et le diagnostic reste important, 2,8 années pour les HSH.

12 De nombreuses avancées ont eu lieu ces dernières années : mise à disposition de tests à résultats rapides (TROD), mise en vente des autotests, création des Cegidd, mise à disposition de la PrEP, émergence du paradigme «Test and Treat». Cependant, ces outils restent mal connus, les retours des acteurs de terrain et les données socio-comportementales plaident pour une amélioration de l information des HSH sur l offre de prévention.

13 Cibles : les HSH dans leur ensemble Ceci impliquant également les HSH qui ne fréquentent pas les lieux de convivialité (associations, bars, évènements festifs) ou les lieux de rencontres sexuelles communautaires (clubs, saunas, sites et applications de rencontre) Campagne Santé publique France Campagne AIDES TasP RDR 2.0 ReLOVution

14 Dépistage : fréquence des tests (1x/3 mois) PrEP Jeunes Chemsexeurs

15 Plus de consommation de drogues, de tabac, de dépression, d alcool.d IST et de VIH! Relation avec le monde médical? Un médecin a-t-il besoin de savoir que son patient est gay ou qu il a des relations sexuelles avec des hommes? AMG = Késako? Quels examens / palpation? Comment parlez-vous de la santé anale : l intérêt chez les HSH d un suivi proctologique? Quel suivi pour les IST? Hépatites A B C Vaccinations spécifiques : Méningocoque C, VHA, VHB, HPV Quel discours sur une sexualité «non protégée»? => Pouvoir parler de ses pratiques sexuelles avec les soignants

16 25 associations LGBT dont le centre LGBT de Bordeaux et l inter-lgbt Lieux commerciaux (bars, saunas), organisateurs de «sex parties», site Hornet (USA), ENIPSE Médias (Yagg, agenda Q, Garçon, ) Corevih, soignants. Interventions du Pr Y. Yazdanpanah et V. Supervie «Pourquoi une urgence chez les gays?» La «Magnet Clinic», San Francisco

17 Promouvoir (notamment sur les réseaux sociaux) la prévention diversifiée. Aller davantage vers les publics invisibilisés dans la communauté gay et prendre en compte leurs besoins spécifiques en matière de santé (trans, bisexuels, travailleurs du sexe, issus de l immigration, etc.) Construire et animer des réseaux de santé sexuelle/globale communautaire avec les partenaires.

18 Sur le chemsex, agir politiquement pour intégrer les établissements et les organisateurs de soirées dans la loi RDR, permettant la diffusion d outils dans les établissements. Développer des outils de communication innovants intégrant l ensemble des nouvelles stratégies de prévention et la lutte contre la sérophobie par le TASP - (communication papier, com 2.0, vidéo, youtubeur, facebook, etc.)

19 Pour la fin de l épidémie, il faut cibler les populations clés, dont les HSH Facteurs d exposition : prévalence, physiologie, pratiques et fréquence d activité sexuelle, discriminations (homophobie et structurelles) agissant sur l estime de soi et sur l accès aux soins La promotion de la prévention diversifiée est nécessaire (+ TasP, PrEP, dépistages, ) La santé sexuelle, avec une vision positive, doit se développer, en coordonnant les acteurs => Stratégie nationale de santé sexuelle

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