Dynamiques, réseaux urbains et mondialisation dans le système des réunions et des congrès internationaux
|
|
- Gaspard Barbeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Networks and Communication Studies NETCOM, vol. 17, n 1-2, 2003 p Dynamiques, réseaux urbains et mondialisation dans le système des réunions et des congrès internationaux Sylvie Christofle 1 Résumé. Dans un contexte de mondialisation, le tourisme de réunions et de congrès internationaux se révèle un biais peu exploré mais intéressant pour aborder l étude de réseaux complexes de la métropolisation. L analyse de la dynamique des réunions, sa relation avec l essor des transports rapides est couplée avec celle d un réseau urbain spécifique dont l élargissement est récent (depuis les années 1990). Mots-clés. Mondialisation - Métropolisation - Réseau urbain - Réseau de villes - Tourisme international de réunions et de congrès Abstract. Within a context of globalisation, international conference tourism is not a very known but interesting way to study some of the complex networks of metropolisation. The analysis of conferences dynamics let us to explore the recent extension of this urban network (1990). Keywords. Globalisation - Metropolisation - Urban network - Cities network - International conference tourism La mondialisation accroît considérablement les échanges et les flux humains, financiers, commerciaux et informationnels. Dans ce contexte, le nombre de réunions et de congrès internationaux 2 s élève constamment, malgré de nouveaux moyens de transmission de l image et du son. Ce service avancé nécessite des équipements et des savoir-faire de haut niveau et trouve place dans 1. Maître de conférences, Université de Nice, UMR ESPACE 6012, 98 bd Edouard Herriot - BP NICE Cedex. Tél./Fax : Sylvie.Christofle@free.fr 2. Définitions. La réunion (terme générique) est une technique de communication qui vise, par une rencontre entre différentes personnes, trois objectifs principaux : l échange d informations et de connaissances, la formation, l établissement ou la gestion de politiques communes (G.C. Fighiera, 1987) ; ses synonymes relativement imparfaits mais utiles pour éviter la lourdeur de répétitions multiples dans un texte sont notamment «meeting» et «rencontre». Le congrès est une forme spécifique de réunion ; c est une assemblée regroupant un nombre important de participants d une même fédération, corporation, association qui se réunissent autour d un thème d intérêt commun lié à leurs préoccupations ou activités ou pour délibérer sur un ou des sujets donnés.
2 72 NETCOM, vol. 17, n 1-2, 2003 des espaces privilégiés. Certains, nœuds au sommet de réseaux économiques, scientifiques et communicationnels, accueillent des meetings transnationaux depuis des décennies. De nouveaux territoires revendiquent simultanément une place dans ce système longtemps hermétique. La concurrence fait donc rage à l échelle mondiale entre des pays et des cités de dimension et de rayonnement fort différents. Où se localisent majoritairement les réunions internationales? Pourquoi? Quels effets cette activité particulière peut-elle avoir quant à la mesure de l insertion d un espace dans la mondialisation? Telles sont les questions auxquelles nous allons à présent répondre. I. DYNAMIQUE DES RÉUNIONS INTERNATIONALES ET RÉSEAU DES VILLES MONDIALES D ACCUEIL 1.1 L évolution des réunions internationales Le nombre total de réunions internationales et assimilées (c est-à-dire des rencontres nationales avec 40 % au moins de participants étrangers), répertoriées par l Union des Associations Internationales (UAI), a considérablement augmenté en cinq décennies. L élévation générale du nombre de réunions internationales et assimilées 3 se révèle une tendance lourde du marché. L essor des transports joue un rôle important dans cette évolution, notamment la vélocité accrue des moyens de déplacement et, plus particulièrement, les bouleversements qu a connus le transport aérien. En effet, ce dernier est le mode de transport national et international le plus utilisé pour les grandes distances, reconnu comme «élément crucial de la facilitation de l activité économique» (ICC International Chamber of Commerce, 2000). La croissance quasi ininterrompue du trafic, la multiplication des dessertes, associées à une baisse considérable des tarifs, favorisent par conséquence la tenue de réunions internationales. De façon concomitante, la construction et l expansion des infrastructures améliorent l accessibilité relative de nombreuses destinations de congrès, 3. L UAI établit chaque année un inventaire des réunions internationales ; la définition des réunions est stricte car sont uniquement prises en compte les rencontres obéissant aux critères suivants : la réunion doit être organisée ou au moins patronnée par les associations internationales reprises dans «l annuaire des Organisations Nationales» et dans «The international Congress Calendar», assemblées générales, assises, symposiums, colloques et congrès des OING ou certaines réunions nationales à large participation internationale, organisées par les branches nationales des OING avec un minimum de 300 participants, 40 % d étrangers, 5 nationalités et trois jours de durée. Sont exclues des statistiques toutes les autres réunions nationales ainsi que les manifestations, même internationales, à caractère politique, religieux, didactique, commercial, sportif ainsi que les rencontres limitées en matière de participation ou spécifiques (sessions régulières de comités, groupes d experts ) nombreuses à l échelle intergouvernementale.il est généralement admis par les professionnels du tourisme de réunion et de congrès que la définition de l UAI est très restrictive et ne donne pas une représentation exhaustive des manifestations internationales. Nous allons néanmoins utiliser cette source, unique quant à ses qualités de rigueur et de répétitivité.
3 DYNAMIQUES, RÉSEAUX URBAINS ET MONDIALISATION Figure 1. Évolution du nombre de réunions internationales Source U.A.I. Nombre de réunions Sylvie Christofle principalement dans les pays les plus avancés, aux premiers rangs mondiaux en matière d économie et de tourisme, pays de la Triade, voire Australie. Les places majeures de congrès se localisent donc dans des zones de forte densité aéroportuaire, souvent desservies par plusieurs aéroports internationaux. À titre d exemple, nous pouvons citer Londres (LHR), Tokyo (HND), Paris (ADP), Amsterdam (AMS) dont les aéroports principaux se situent dans les 10 premiers rangs mondiaux en matière de trafic de passagers en 2001 (ACI Airports Council International Traffic Data, 2001) et qui sont de manière corollaire dans les premiers rangs des villes mondiales d accueil de réunions internationales. Les réseaux de transport, leur amélioration tant technique que quantitative accompagnent et renforcent subséquemment l augmentation des rencontres internationales. Un deuxième élément entre en jeu: la progression très relative des réseaux de télé 4 et vidéo 5 conférence. Dans les années 1970, ces nouveaux moyens de transmission du son et de l image paraissaient promis à un avenir radieux. Ils étaient perçus comme devant se substituer, du moins en partie, aux rencontres, et réduire parallèlement les déplacements dans les pays développés disposant de réseaux de télécommunications performants. Gain de temps et d argent étaient, semble-t-il, assurés pour 4. Définition : conférence à laquelle prennent part plusieurs personnes se trouvant dans des endroits séparés, reliées entre elles par des moyens de télécommunication. Le terme téléconférence est un terme générique qui englobe toutes les formes de conférence par télécommunication [Office de la langue française, 1999]. La téléconférence peut être assistée par ordinateur, audiographique, documentaire, informatisée, multimedia 5. Définition : téléconférence qui permet à ses participants de pouvoir se voir réciproquement, grâce à l utilisation de caméras et d écrans qu on installe pour la transmission des images. En anglais, les termes videophone conference, videoconferencing call et videoconference call sont surtout employés lorsque la communication est établie à partir d appareils reliés à des systèmes téléphoniques. En français, on utilise rarement les termes conférence visiophonique et conférence vidéophonique [Office de la langue française, 2001]. Les vidéoconférences peuvent être à à images animées, à images fixes, de groupe, en mode de transfert asynchrone, par Internet, sur PC, sur réseau local
4 74 NETCOM, vol. 17, n 1-2, 2003 les entreprises et organismes qui utiliseraient cette innovation technique. L absence ou la mauvaise qualité des réseaux de transports, des liaisons aériennes problématiques et les avantages tarifaires de la téléconférence tendraient à favoriser la propagation de cette dernière. Par ailleurs, comme le font remarquer R. Schulte et I. Sachs (1996), l utilisation de la téléconférence s accroît quand une entreprise se trouve dans une phase d expansion ou de diversification territoriale. Des relations aériennes optimales réduisent a contrario l attrait de la téléconférence. En fait, comme pour d autres découvertes liées aux télécommunications, le principe de substitution n a pas véritablement joué et s est plutôt mis en place le principe de complémentarité. Ponctuellement, notamment lors de crises internationales graves (guerre du Golfe en 1991, événements du 21 septembre 2001 ), les téléconférences reprennent de la vigueur et sont utilisées de manière plus fréquente, essentiellement aux États-Unis et dans les pays neufs. Néanmoins, les rencontres internationales dans un premier temps annulées sont assez souvent replanifiées, relocalisées dans des espaces jugés plus «sûrs», de préférence à l emploi exclusif de téléconférences voire de meetings «on-line» (15 % des associations internationales déclarent avoir recours à ces procédés) 6. Les réseaux de télécommunications ne sont pas pour autant négligés. En effet, même si, pour la rencontre proprement dite, le contact, le face-à-face, la convivialité, l enrichissement des relations sociales et l échange direct priment sur la simple transmission d information et demeurent des notions clés, les techniques récentes sont de plus en plus utilisées pour l organisation, la promotion, l évaluation de la réunion. Internet apparaît à ce propos comme le vecteur majeur des changements depuis 5 ans. En près de 40 % des associations, 10 % des organisateurs de congrès, 7 % des centres de réunions utilisent systématiquement Internet, via la création de sites ou de pages Web, pour valoriser la manifestation. Internet se révèle particulièrement mis en œuvre pour la promotion de l événement (79 %), l enregistrement des participants (69 %), la soumission de communication (60 %), plus irrégulièrement pour les actes (48,5 %), l évaluation de la réunion (34 %) et le paiement des frais inhérents à la rencontre (26,5 %) 8. Après cette étude de l évolution des réunions internationales, nous pouvons nous intéresser à la répartition spatiale de ces dernières et analyser les changements qui affectent les villes mondiales d accueil. 6. UIA (Union des Associations Internationales) G. de Coninck et Tomas J. Fulopp, International Meetings Survey p Idem, p Ibidem, p. 21
5 Nombre de réunions internationales et assimilées DYNAMIQUES, RÉSEAUX URBAINS ET MONDIALISATION 75 Les principaux pays d'accueil de réunions internationales en Figure 2. Les principaux pays d accueil de réunions internationales en Source: U.A.I. États-Unis France Royaume-Uni Allemagne Italie Australie Pays-Bas Pays Espagne Belgique Suisse Canada Autriche Japon Sylvie Christofle, La distribution géographique des réunions internationales Les meetings internationaux se distribuent selon le schéma mondial de localisation des grands ensembles touristiques : l Europe (60 %), l Amérique (20 %), l Asie (12-14 %), l Afrique (4-5 %) et enfin l Océanie (2-3 %). Les deux premiers demeurent au plus haut niveau grâce à leur développement touristique, culturel, politique, social, économique, financier et scientifique. La concentration de sièges d organisations gouvernementales et non gouvernementales, générateurs de réunions, et le phasage entre pays émetteurs et récepteurs sont également des paramètres favorables à l accueil de réunions internationales. Enfin, savoir-faire, équipements, facteurs humains et techniques associés à l habitude et à la confiance des organisateurs sont également des éléments déterminants de l excellente fréquentation congressuelle 9 des aires européenne et nord-américaine. En Asie, seul le Japon, lui-même émetteur de forts contingents de délégués, bénéficie conjointement de la même image, des mêmes équipements, des mêmes qualifications, des mêmes types de réseaux (Christofle, 1997). L augmentation du nombre total de réunions internationales a permis à certains pays majeurs d accueillir encore plus de rencontres 10. Néanmoins, le groupe de tête, pris en son ensemble, a tendance à faiblir, perdant 11 % de parts de marché entre 1988 (76 %) et 2000 (65 %). Cette baisse s effectue au profit d États mineurs aux premiers rangs desquels se trouvent la Chine, la Norvège, le Brésil, la république Tchèque et l Inde. Ces derniers, a priori moins richement dotés, comptent sur leur dynamisme. Leurs efforts, ainsi que ceux de pays actuellement en forte progression (Russie, Portugal, Grèce, Pologne, Mexique et Afrique 9. L adjectif «congressuel» est un néologisme fondé sur les textes de G.C. Fighiera, spécialiste mondial de l étude des congrès et réunions, traduction de l italien «congressuale», et signifie «ayant trait à l activité de congrès et réunions». 10. Par exemple, les États-Unis sont passés de 700 meetings accueillis en 1985 à en 2000.
6 76 NETCOM, vol. 17, n 1-2, 2003 du Sud) portent particulièrement sur l amélioration, d une part, des principaux réseaux techniques et de services : palais et centres de congrès, accessibilité (transports, communications), capacité d hébergement et, d autre part, des réseaux sociaux (avec la mise en place de groupes de pression) et la communication, éléments qui influent sur la sélection des lieux de congrès. L élargissement est donc essentiellement lié à une conjoncture favorable et à l intégration de nations s impliquant activement dans les processus du tourisme international Le réseau des villes mondiales de réunions internationales Les rencontres internationales sont géographiquement polarisées : près de la moitié (environ 40 %) des réunions internationales et assimilées répertoriées par l UAI trouve place dans le réseau des villes de congrès majeures 11 (fig. 3). Les premières villes mondiales de congrès sont, par ordre décroissant, Paris, Bruxelles, Londres, Vienne, Singapour, Sydney, Berlin, Amsterdam, Genève, Copenhague, Washington, New York Ces espaces congressuels «traditionnels» que sont les capitales politiques, les grandes métropoles de pays développés et Singapour se maintiennent au meilleur niveau. En effet, le tourisme de réunion et de congrès international 12, comme tout service supérieur lié à l information, à la communication et à l innovation, possède un rôle stratégique et s insère entièrement dans les fonctions de haut niveau des villes-centres de commandement de l économie, de la science, de la culture. Cette forme touristique spécifique est à sa place dans les métropoles et dans les villes dites «globales», au sommet de la hiérarchie mondiale. Être capitale politique ou administrative n est pas un élément indispensable; d ailleurs, les parts de marché de cette catégorie de cités baisse depuis dix ans, passant de 73 % (jusqu aux années 1990) à 59 % de nos jours. Cependant, la concentration de l appareil d État et d activités économiques et culturelles internationales reste un bonus pour l accueil de rencontres. Ainsi, les premières villes d accueil de réunions internationales sont des capitales essentiellement européennes, bien intégrées dans les réseaux de la mondialisation et, de surcroît, destinations touristiques majeures. Non capitales, Genève, New York, Barcelone, Hong Kong et Strasbourg sont également des lieux phares d accueil de rencontres internationales. Localisées dans des espaces fortement mondialisés, ces agglomérations bénéficient 11. Pour apparaître dans les statistiques de l UAI les villes doivent recevoir au minimum 30 réunions internationales par an. 12. La participation à des réunions et des congrès impliquant un déplacement de 24 heures minimum hors de chez soi est répertoriée par l Organisation Mondiale du Tourisme comme une des six motivations majeures de déplacement touristique (loisirs, détente et vacances / visites à des parents et amis / santé: thermalisme, thalassothérapie affaires et motifs professionnels / réunions, congrès et assimilés: séminaires, colloques, symposiums / autres: pèlerinages, manifestations sportives, voyages scolaires ).
7 DYNAMIQUES, RÉSEAUX URBAINS ET MONDIALISATION 77 Nombre de réunions internationales (en 2000) Sylvie Christofle, UMR 6012 ESPACE, 2002 Source : Union des Associations Internationales Figure 3. Répartition des réunions internationales en 2000 par ville de tous les paramètres influant positivement sur l accueil de réunions: elles hébergent de nombreuses entreprises, organisations et institutions économiques, scientifiques et culturelles (inter)continentales. Elles sont, en outre, équipées en centres spécialisés de grande capacité et de haute technologie tout en bénéficiant d une image de prestige. Ce sont, corrélativement, de grandes villes touristiques 13, qui reçoivent plusieurs millions de visiteurs par an. À une échelle moindre, mais présentant des caractères semblables de positionnement privilégié, de renommée et de savoir-faire élevés, se situent des capitales comme Budapest, Madrid, Rome, Buenos Aires, Séoul ou Prague, ainsi que de nombreuses métropoles internationales incomplètes. Parmi ces dernières, les mieux classées sont Melbourne, Munich, Montréal, Maastricht, Édimbourg, Chicago, suivies de San Diego et San Francisco Enfin, apparaissent des agglomérations de portée fonctionnelle et démographique variée et à la répartition géographique plus large, qui forment la base du réseau des villes de congrès internationaux 14. Ces localités sont fort disparates, 13. Notamment New York et Hong Kong, présentes dans les cinq villes majeures du tourisme international (source : Organisation Mondiale du Tourisme). 14. Par exemple Bangkok, Oslo, Nice, Florence, Pékin-Beijing, Jérusalem, Boston, Athènes, Dublin, Istanbul, Glasgow, La Nouvelle-Orléans, Adélaïde, etc.
8 78 NETCOM, vol. 17, n 1-2, 2003 mais deux points communs fondamentaux les distinguent. D une part, elles se révèlent fragiles, en raison de leur poids relativement faible dans le système des réunions internationales. D autre part, la majorité d entre elles a une apparition récente (moins de 10 ans) dans le «Top cités» de l UAI et donc peu d expérience. Se trouvent d abord des villes de grande taille, qui profitent de leur masse pour enclencher des interactions favorables à l accueil de réunions de haut niveau. Sont également répertoriées des cités dynamiques, en Europe, mais aussi en Asie et en Océanie, qui entrent dans le système des rencontres internationales grâce à des politiques volontaristes de développement de leurs compétences techniques, relationnelles et médiatiques. In fine, malgré l augmentation du nombre total de réunions, l élargissement considérable du nombre des agglomérations présentes dans le «Top Cités» se caractérise, d une part, par la décroissance du nombre moyen de meetings accueillis et, d autre part, par une fréquence d apparition globalement précarisée. «La position qu une ville occupe ( ) dépend de la position que le pays, la région et la métropole occupent dans des réseaux complexes» (Kostinskiy, 1997). De ce fait, même si les cités majeures conservent leur position et continuent de cumuler une part essentielle des flux de délégués, d autres localités intègrent, plus ou moins difficilement, le système des rassemblements transnationaux. Dans ce cas, apparaissent en premier lieu des capitales de pays moins bien insérés dans la mondialisation que les précédents et des métropoles de pays riches. Ces centres «secondaires» (par exemple Manille, Prague, Montréal, Munich ) ont un potentiel politique, diplomatique, économique, scientifique, de recherche relativement étroit et moins de sièges d organisations internationales que les cités leaders. Ensuite, nous notons les villes «nouvelles venues». Souvent de taille et de fonctions moins développées encore que les agglomérations antérieurement citées, ces espaces se différencient par des politiques volontaires de mise à niveau en termes d équipements et de compétences urbaines et touristiques ainsi que d efforts notables en matière d image et de médiatisation (par exemple Lyon, Séville ou Brisbane ). II. TOURISME DE RÉUNION ET DE CONGRÈS INTERNATIONAL ET MONDIALISATION Ce réseau urbain à plusieurs «vitesses» se caractérise par des interrelations faibles dans l ensemble, les cités présentant peu d intentions de rapprochement. Les agglomérations se sentent en compétition pour accueillir les réunions internationales, riches en retombées économiques, communicationnelles et de prestige. Pourtant, nombre de villes sont complémentaires. Effectivement, le système des réunions internationales a besoin de territoires variés pour se renouveler voire prendre de l ampleur. Il ne peut se contenter d un réseau limité. La construction de
9 DYNAMIQUES, RÉSEAUX URBAINS ET MONDIALISATION 79 réseaux de villes paraît de ce fait un outil intéressant. Des réseaux de villes existent, fédérant classiquement des localités souvent issues de la même aire géographique. Nous pouvons citer à ce propos la «British Association of Conference Towns» regroupant huit cités britanniques 15 ou la mise en réseau récente de Belfort, Mulhouse, Colmar et Héricourt, associées pour offrir de nouveaux services aux clientèles d affaires. Des initiatives plus originales ont également lieu. C est le cas du groupement «Best cities 16» (Grand Boston, Copenhague, Édimbourg, Melbourne et Vancouver), œuvrant pour une véritable coopération et travail en réseau avec l étranger. Le principe est simple. Pour attirer les organisateurs de congrès, ces agglomérations se sont entendues pour offrir des prestations de qualité équivalente et un panel géographique varié (villes d Europe, d Amérique du Nord, d Australie), ce qui permet d échanger et de proposer des alternatives territoriales aux congrès tournants 17. Le système des réunions internationales se déploie donc dans des lieux qui offriraient les meilleurs rapports qualité/prix/image. L adéquation réunion-lieu se révèle un effet de l interconnexion entre des réseaux d interaction coopérative d acteurs, des réseaux de relations immatérielles, fonctionnelles et sociales, des réseaux de communications physiques (infrastructures) et des territoires, appartenant à des échelles différentes. Le point focal reste le «caractère agrégatif» de l interconnexion, qui «favorise le développement de relations d échanges entre objets et acteurs» (Moretti, 1999). Des rapports s établissent ainsi entre les acteurs, individus (responsable de laboratoire-collaborateur de centre de congrès, par exemple) et organisations (Organisation Internationale Non Gouvernementale-Ville de congrès via la mairie, le bureau des congrès, l office du tourisme ). De ces relations interpersonnelles et interorganisationnelles, directes et indirectes, jaillit la confiance; cette dernière, basée sur des réseaux tant sociaux que techniques 18 est le facteur clé de sélection d un espace. En effet, ces derniers sont valorisés par des éléments variés et «dans ce contexte, la circulation de l information, la disponibilité en équipements ainsi que l accès à des infrastructures et des réseaux interviennent puissamment» (Bakis, 1993). Le tourisme de réunion et de congrès international se concentre ainsi dans certains pays, dans certaines agglomérations, qui ont pour points communs de conjuguer savoir-faire et faire-savoir, c est-à-dire compétences, équipements et facilité de médiatisation. L activité congressuelle d échelon élevé a pour conséquence 15. Bournemouth, Brighton, Harrogate, Eastbourne, Scarborough, Sheffield, South Glamorgan, Torquay. 16. Cf. http :// (site internet du réseau). 17. Les réunions, sauf cas exceptionnels, ne se localisent pas dans la même cité d une fois à l autre, elles «tournent» géographiquement. 18. Au sens large de l acception du terme.
10 80 NETCOM, vol. 17, n 1-2, 2003 d accroître le terreau innovateur de la localité de réception de manifestations, notamment des villes qui dépassent le strict cadre d accueil touristique pour intégrer ce service dans le réseau des fonctions urbaines supérieures (Christofle, 2002). En effet, l intérêt stratégique de l information «neuve», qui circule dans les congrès transnationaux, augmente la base des services avancés présents dans la cité et participe à l extension de la connaissance et du savoir, tant scientifique qu opérationnel, tout en développant l aptitude des espaces à la créativité (Lung, Rallet, Torre, 1999). L activité congressuelle naît et s auto-développe dans des lieux favorables qui cumulent qualités scientifiques et économiques (recherche-développement, laboratoires, universités, grandes entreprises), relationnelles (réseaux sociaux et communicationnels, échanges et interactions) et spatiales (patrimoine, réseaux territoriaux). L agrégation de fonctions stratégiques caractérise les villes dites mondiales ou «globales» (Sassen, 1996) comme Paris ou New York, présentes au «Top 10» des lieux d accueil des réunions internationales. À un niveau plus faible, nous trouvons des cités comme Montréal, La Haye ou Vancouver et, surtout, à un troisième niveau, Melbourne, Lyon, voire Montpellier. Ces dernières se différencient par le rôle moteur joué par les acteurs publics et privés (locaux essentiellement). Ceux-ci valorisent leur espace, augmentent l accessibilité et les communications, favorisent les contacts, interviennent sur la qualité de vie, l image, en créant ou activant tous les réseaux possibles et en saisissant les opportunités politiques, culturelles ou sportives. En effet, de nos jours, les espaces dynamiques se reconnaissent dans leur capacité à s adapter à la conjoncture, à «surfer» sur des créneaux porteurs. L activité congressuelle n est donc pas perçue dans ces «espaces en devenir» comme un secteur traditionnel mais comme un domaine qui possède sa propre valeur et qui ancre la ville dans la mondialisation. À partir de leur territoire, ces petites ou très petites métropoles internationales s appuient sur des réseaux multiples, formels et informels, pour inventer une dynamique globale et attirer des réunions internationales, signe de leur intégration dans le réseau urbain mondial. BIBLIOGRAPHIE BAKIS Henry (1993), Les Réseaux et leurs enjeux sociaux, Paris, Presses Universitaires de France, collection «Que sais-je?» n 2801, 125 p. CHRISTOFLE Sylvie (1997), Tourisme de réunions et politiques urbaines, Doctorat de géographie, Université Montpellier III, 747 p. CHRISTOFLE Sylvie (2002), «Recompositions territoriales : réseaux de villes/tourisme de réunions et de congrès», Mosella, Actes du Colloque «Réseaux et territoires », tome 26, n 3/4. DEGENNE A., FORSÉ M. (2001), Les Réseaux sociaux, A. Colin, collection U, réédition, 280 p. DIRECTION GÉNÉRALE DE L AVIATION CIVILE (2002), Le Trafic aérien en 2001, Les dossiers DNA, supplément à la Lettre de la navigation aérienne, mars, 4 p.
11 DYNAMIQUES, RÉSEAUX URBAINS ET MONDIALISATION 81 DOLLFUS Olivier (1997), La Mondialisation, Paris, Presses de Sciences po. ICC (International Chamber of Commerce) (2000), Nécessité d une libéralisation accrue du transport aérien international, Commission des transports par air, doc. n 310/504 Rev.3. FIGHIERA Gian Carlo (1987), Harmonization of studies and statistics on conferences, CHET Cahiers du Tourisme n C24. KOSTINKIY Grigoriy (1997), «Globalisation de l économie et notions urbanistiques», Métropolisation et politique, sous la direction de P. Claval et A.L. Sanguin, collection «Géographie et cultures», L Harmattan, p LUNG Yannick, Rallet Alain et Torre André (1999), «Connaissance et proximité géographique dans le processus de l innovation», Géographie, Économie, Société, 1/2. MORETTI Anna (1999), «L interconnexion : regards et politiques entre lignes, territoires et acteurs», Flux, n 38, p SACHS Ignacy, dir. (1996), Vidéoconférence et recours entrepreneurial à l avion, PUF, 523 p. SASSEN Saskia (1996), La Ville globale : New York, Londres, Tokyo, Paris, Descartes et Cie. VIARD Jean (1994) La Société d archipel ou les territoires du village global, La Tour d Aigues, Éditions de l Aube, 124 p. UIA (Union des Associations Internationales), G. de Coninck et Tomas J. Fulopp, (2002), International Meetings Survey , 25 p. ( amtg_survey2002_files.htm)
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailOptimiser le. succès. de vos nominations grâce à une solution. fiable, indépendante et globale
Optimiser le succès de vos nominations grâce à une solution fiable, indépendante et globale Recrutements Sélection en vue de nominations (horizon court terme) Transformations impliquant des décisions sur
Plus en détailHay Group Spectrum. La nouvelle génération de solutions en RH
Hay Group Spectrum La nouvelle génération de solutions en RH De nos jours, une approche intégrée aux RH s impose. Une approche qui alimente de données concrètes votre processus décisionnel stratégique.
Plus en détailDéfinition du tourisme d affaires
Décembre 2007 Définition du tourisme d affaires Activité économique générée par les congrès, séminaires, conventions, salons. Ces événements ne relèvent pas du tourisme mais contribuent puissamment à l
Plus en détailLouvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS
Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailLes concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»
Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches
Plus en détailClick to edit Master title style
Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur
Plus en détailObservatoire des Investissements Internationaux dans les
Observatoire des Investissements Internationaux dans les 2014 Principales Métropoles M Mondiales 2011 Présentation à la Presse 14 avril L édition 2014 de l Observatoire L Edition 2014 est la 5ème édition
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailles étudiants d assas au service des professionnels
les étudiants d assas au service des professionnels 2 3 Présentation Générale Les avantages de l Association Pour les professionnels QUI SOMMES-NOUS? Assas Junior Conseil est une association à caractère
Plus en détail2013 Principales Métropoles
Observatoire des Investissements Internationaux dans les 2013 Principales Métropoles Mondiales 2011 Présentation à la Presse 14 avril L édition 2013 de l Observatoire L Edition 2013 est la 4ème édition
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailLa BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière
La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède
Plus en détailBILAN DU SECTEUR DU TOURISME : LES TENDANCES DU VOYAGE AERIEN EN 2015
BILAN DU SECTEUR DU TOURISME : LES TENDANCES DU VOYAGE AERIEN EN 2015 Un bilan de mi- année des données sur les voyages aériens et une analyse des conséquences pour les voyageurs Introduction L industrie
Plus en détailL année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.
L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées
Plus en détailLes conférences de l ISTHIA ISTHIA s conferences
U N I V E R S I T É T O U L O U S E - J E A N J A U R È S LICENCES / MASTERS / FORMATION CONTINUE / VAE Les conférences de l ISTHIA ISTHIA s conferences Tourisme de réunions et de congrès et stratégies
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailPanorama des Smart Cities et des villes du futur
Panorama des Smart Cities et des villes du futur Université d été du GFII Vendredi 12 septembre 2014 Contact BAUDOUIN Philippe IDATE p.baudouin@idate.org +33 4 67 14 44 27 / +33 6 70 70 85 80 La ville
Plus en détailObservatoire des Investissements Internationaux dans les 2015 Principales Métropoles Mondiales 2011
Observatoire des Investissements Internationaux dans les 2015 Principales Métropoles Mondiales 2011 Présentation à la Presse 14 avril L édition 2015 de l Observatoire L Edition 2015 est la 6ème édition
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailÀ destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires
ME MEN TO À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires ÉDITO Luc Doublet, Président Christine Batteux, Vice-Présidente du Conseil Régional, Chargée du Tourisme Avec 5,8 milliards
Plus en détailLE CONSEIL EN STRATÉGIE
Grow Further. APRÈS LE DOCTORAT Le BCG recrute des candidats talentueux provenant d horizons variés. Par leur curiosité intellectuelle, leur rigueur et leurs compétences en matière de résolution de problèmes,
Plus en détailChapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :
I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,
Plus en détailProgramme «Lecteurs Formateurs»
[Objectifs : Programme «Lecteurs Formateurs» Promotion de la langue française par l internationalisation des jeunes Jeunes diplômés en philologie romane, en traduction, en philologie classique ou autres
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailLe défi numérique et les enjeux du e-learning Comment renforcer la compétitivité?
Le défi numérique et les enjeux du e-learning Comment renforcer la compétitivité? Rhena TIC DAYS Mulhouse 2011 Le défi numérique : Le développement des téléphones mobiles, d Internet et des technologies
Plus en détailÉtude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire
Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Les États-Unis sont le marché touristique international le plus important pour le Canada et l Ontario. Par conséquent, on déploie des efforts importants
Plus en détailAccueil COMMISSION MARKETING/COMMUNICATION TOURISME D AFFAIRES AXES DE DÉVELOPPEMENT 2010
Accueil COMMISSION MARKETING/COMMUNICATION TOURISME D AFFAIRES AXES DE DÉVELOPPEMENT 2010 LE CONVENTION BUREAU : RAPPEL DES MISSIONS QUATRE PERSONNES DONT DEUX CHEFS DE MARCHÉS 1. Promouvoir La destination
Plus en détailNom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.
Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailLes marchés de l immobilier à l international. Évolutions, structures et performances
Les marchés de l immobilier à l international Évolutions, structures et performances Séminaire d actualité 22 mai 2015 Montants investis en immobilier d entreprise milliards d euros 50 45 40 35 30 Données
Plus en détailMONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE
MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE 2015 Résumé Le niveau et la dynamique de développement du transport aérien suisse sont analysés et évalués dans le cadre d un vaste monitoring
Plus en détailLatham & Watkins Département Tax. des investisseurs
Numéro 360 14 Janvier 2004 Client Alert Latham & Watkins Département Tax La loi de finances pour 2004 ainsi que la loi pour l Initiative Economique votée l été dernier prévoient de nombreuses mesures en
Plus en détailCommerce électronique et tourisme: Guide pratique pour les destinations et les entreprises
Commerce électronique et tourisme: Guide pratique pour les destinations et les entreprises Septembre 2001 Commerce éléctronique et tourisme AVANT-PROPOS Pour toute destination touristique ou tout fournisseur
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailSolutions. Une expertise au service de vos besoins logiciels.
Solutions Une expertise au service de vos besoins logiciels. SIX Financial Information Solutions offre une combinaison parfaite des données, des process et du logiciel pour développer des produits sur
Plus en détailFISCALITÉ COMPARÉE : LA TRANSMISSION D ENTREPRISE. Master 223 Droit du patrimoine professionnel Université Paris Dauphine
FISCALITÉ COMPARÉE : LA TRANSMISSION D ENTREPRISE Master 223 Droit du patrimoine professionnel Université Paris Dauphine Clément DORNIER Caroline FERTÉ Audrey LEGRAND Marie-Anne MILAN 1 UN ÉVENTAIL DE
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailLa gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises
La gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises Les plates-formes aéroportuaires fournissent l exemple de réseaux d entreprises concentrées sur un site avec
Plus en détailKOMPAS Groupe international
KOMPAS Groupe international Présentation MICE Marjan Gostič Réseau international Kompas Présentation du réseau international La société KOMPAS a été créée en 1951 Kompas est une entreprise internationale
Plus en détailTarif des principales opérations sur titres
Tarif des principales opérations sur titres 01 janvier 2015 Ordres Euronext... 2 Bourse étrangère... 3 Euro-obligations... 4 Fonds de placement KBC (1)... 4 Produits d investissement KBC émis par KBC AM...
Plus en détailFonds de secours des employés Demande de bourse
Fonds de secours des employés Demande de bourse Le fonds de secours des employés de MeadWestvaco a été établi pour répondre aux besoins immédiats des employés éligibles pendant les premières semaines cruciales
Plus en détailBACHELOR. HES-SO Valais-Wallis rte de la Plaine 2 3960 Sierre +41 27 606 89 11 info@hevs.ch www.hevs.ch
BACHELOR HES-SO Valais-Wallis rte de la Plaine 2 3960 Sierre +41 27 606 89 11 info@hevs.ch www.hevs.ch «PERSPECTIVES PROFESSIONNELLES» TÉMOIGNAGES Gilles DIND Suisse Tourisme, directeur des marchés d Europe
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailRelumina. L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure
L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure Qu'est-ce que la législation ErP? Pourquoi choisir? La législation relative aux produits liés à l'énergie (ErP, Energy related Product) a été
Plus en détailLe commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.
Plus en détailEric BARGET, MCF à la Faculté des sports de Poitiers CEREGE (Centre de Recherche en Gestion), IAE de Poitiers
Journée d étude sur «la métalogistique des événements sportifs» CRO3S / UFR STAPS d Orléans / 2 mai 2006 Eric BARGET, MCF à la Faculté des sports de Poitiers CEREGE (Centre de Recherche en Gestion), IAE
Plus en détailBILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011
BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011 En Tourisme de Loisirs comme en Affaires, de nombreux démarchages ont eu lieu, au cours du 2 ème trimestre, en France ainsi que sur les marchés
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain
www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain Objectif de la formation Ce master propose une formation de haut niveau en histoire moderne et contemporaine. Il a pour objectif
Plus en détailPrésentation Altran. Octobre 2008
Présentation Altran Octobre 2008 Le Groupe Altran: identité Pionnier du conseil en innovation technologique Leader en Europe Créé en 1982, soit plus de 25 années d expertise dans le domaine du conseil
Plus en détailECOLE DES MINES DE NANCY
Emploi ECOLE DES MINES DE NANCY FORMATION INGÉNIEUR CIVIL DES MINES ENQUÊTE D INSERTION de la PROMOTION 2005 DIPLÔMÉE en 2008. Cette analyse est issue des résultats collectés par l Ecole des Mines de Nancy
Plus en détailBIEN-ÊTRE @ TRAVAIL ÉTUDE IPSOS LOYALTY / STEELCASE SUR LE BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL
Communiqué de presse Septembre 2014 UNE ÉTUDE STEELCASE EN COLLABORATION AVEC IPSOS BIEN-ÊTRE @ TRAVAIL Contact presse pour informations, photos, interviews : BENJAMIN GIRARD Agence Design Project Tél
Plus en détailProposition de partenariat promotionnel / Table nature. Proposition de partenariat promotionnel carte tarifaire 1
Proposition de partenariat promotionnel / Table nature Proposition de partenariat promotionnel carte tarifaire 1 Partenariat promotionnel Québec Nature Le Québec a fait de la promotion du tourisme une
Plus en détailAméliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi
Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi
Plus en détailContent & Document Management IDC Conference 2007
Content & Document Management IDC Conference 2007 L enjeu de l information non structurée pour l entreprise Cas SCOR : L Intelligence Economique, levier de compétitivité Régis Delayat SCOR, DSI Groupe
Plus en détailLa place bancaire de Zurich. Faits et chiffres Edition 2015/2016
La place bancaire de Zurich Faits et chiffres Edition 2015/2016 Avant-propos Pour la région zurichoise, la place bancaire de Zurich revêt une importance décisive. Elle apporte une contribution significative
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailLogement aux frais du membre du personnel 3,82 EUR 19,22 EUR 43,78 EUR 23,04 EUR
boulevard du Souverain 280-1160 Bruxelles - Belgique T +32 2 761 46 00 F +32 2 761 47 00 info@claeysengels.be Avocats Date : Août 2015 Sujet : Les frais de séjour (missions) en Belgique et à l étranger
Plus en détailLa recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS
La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS CAAMI Service Relations internationales (iri.enquete@caami.be) www.caami.be Introduction La Caisse Auxiliaire d Assurance Maladie-Invalidité
Plus en détailLE MOCI. Offre Publicitaire multi-média. GPS BUSINESS à l international VOUS AVEZ UN DOMAINE DE COMPÉTENCE? NOUS AVONS LA SOLUTION DE COMMUNICATION.
LE MOCI GPS BUSINESS à l international Offre Publicitaire multi-média (Print-Web-Vidéo-Evénements-Marketing Direct-Appli smartphones) VOUS AVEZ UN DOMAINE DE COMPÉTENCE? NOUS AVONS LA SOLUTION DE COMMUNICATION.
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détail8 COUTS DES ENTREPRISES. 8.1 Coût du capital. 8.2 L immobilier non résidentiel à Genève. 8.3 L immobilier non résidentiel en Europe
8 COUTS DES ENTREPRISES 8.1 Coût du capital 8.2 L immobilier non résidentiel à Genève 8.3 L immobilier non résidentiel en Europe 8.4 Tarifs hôteliers COMPARAISONS INTERNATIONALES 13 ème EDITION 8.1 COUT
Plus en détailAux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014
Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014 Groupe Crédit Agricole Une Banque Universelle de Proximité à votre service Métiers
Plus en détailLE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE >>>
>>> LE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE SERVICE COMMUN UNIVERSITAIRE D INSERTION ET D ORIENTATION Campus centre-ville Site Ste Marthe 74 rue Louis Pasteur 84029 AVIGNON CEDEX 1 Tél. + 33 (0)4
Plus en détailDélégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?
Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION
REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs
Plus en détailNos avocats présents sur le salon FISCAP. 30 et 31 mars 2010 Palais des Congrès de Paris
Nos avocats présents sur le salon FISCAP 30 et 31 mars 2010 Palais des Congrès de Paris Pierre Dedieu Avocat associé, département Fiscal. En matière de fiscalité patrimoniale, il intervient plus particulièrement
Plus en détailHighQ accélère les performances des applications Cloud dynamiques jusqu à 2 000%, en améliorant la collaboration mondiale des consommateurs
TÉMOIGNAGE CLIENT HighQ accélère les performances des applications Cloud dynamiques jusqu à 2 000%, en améliorant la collaboration mondiale des consommateurs Synthèse Société HighQ Siège Londres, Royaume-Uni
Plus en détailEtude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)
Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport
Plus en détailNOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)
NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailLa traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains
La traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains Alexandre Bertin NOTE STRATEGIQUE Note stratégique réalisée par
Plus en détailPlan de partenariat. nouveautés 2015. Salon. 17 au 19 mars 2015. Salon international des technologies environnementales. anniversaire. americana.
lan de partenariat 17 au 19 mars 2015 alais des congrès de Montréal, Canada Salon international des technologies environnementales e nouveautés 2015 Carrefour de l innovation Visibilité pour tous les budgets
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailThème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire
FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailDISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016
DISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016 OBJECTIFS - Soutenir la mobilité internationale des étudiants lorrains au sein des cursus universitaires
Plus en détailMovida Séduisant, simple et astucieux
Séduisant, simple et astucieux Concept & design : Rethinking Group www.rethinkinggroup.com Conception produit : Steelcase Séduisant, simple et astucieux Almaty. Amsterdam. Athens. Baku. Bangkok. Beijing.
Plus en détailCommuniqué de presse Mardi 12 décembre 2006
Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006 RESULTATS ANNUELS 2006 Chiffre d affaires en hausse de 5,6% : première année de croissance depuis 4 ans Résultat net positif à 5 M vs 3 M en 2005 2006 : une
Plus en détail0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures
Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailCONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence
Strasbourg, 19 février 2007 T- FLOR (2007) 12 CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence CONFERENCE DU CONSEIL DE L EUROPE SUR «LA CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE» Conseil de l Europe Palais
Plus en détailINTEGRATED TEST SUITE
INTEGRATED TEST SUITE PRÉSENTATION UNE TECHNOLOGIE HAUTES PERFORMANCES POUR DES APPLICATIONS D ESSAI PLUS FLEXIBLES ET PLUS CONVIVIALES WHAT MOVES YOUR WORLD CONÇU POUR RÉPONDRE À VOS BESOINS D AUJOURD
Plus en détailEuronext simplifié (dérivés: level 1, actions: level 2) Pays-bas, France, Belgique 2,00 EUR 59,00 EUR
Cours en temps réel - Europe Euronext simplifié (dérivés: level 1, actions: level 2) -bas, France, Belgique 2,00 EUR 59,00 EUR Euronext total (dérivés: level 2, actions: level 2) -bas, France, Belgique
Plus en détailLes stratégies métropolitaines Du «hard» au «soft»
11 e rencontres franco-suisses des Urbanistes Divonne les bains, 4 juillet 2014 Les stratégies métropolitaines Du «hard» au «soft» 1 Jean Haëntjens, Urbatopie j.haentjens@wanadoo.fr www.jeanhaentjens.com
Plus en détailLa Marque de sécurité UL-EU. La nouvelle marque de certification paneuropéenne mondialement reconnue
La Marque de sécurité UL-EU La nouvelle marque de certification paneuropéenne mondialement reconnue Services d essais et de certification mondlaux La Marque UL confirme que des échantillons représentatifs
Plus en détailGMC Inspire HybridMail
GMC Inspire HybridMail Gérez vos courriers d un simple clic depuis le bureau Réalisez immédiatement 60 % d économies 2 3 Supprimez les coûts cachés Alors que la plupart des entreprises doivent faire face
Plus en détail