Résumé de Méthodes Qualitatives en Sciences de Gestion Version 1.0 G3 1/30

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Résumé de Méthodes Qualitatives en Sciences de Gestion Version 1.0 G3 1/30"

Transcription

1 Résumé de Méthodes Qualitatives en Sciences de Gestion Version 1.0 G3 1/30

2 MQSG 1 Introduction 1.1 Recherche quantitative et qualitative 1.2 Syllogisme, déduction, induction et abduction. 2 Les principes épistémologiques des approches qualitatives en sciences de gestion 2.1 Ontologie 2.2 Epistémologie 2.3 Positivisme 2.4 Phénoménologie 2.5 Constructivisme 2.6 Interprétativisme 3 Etapes du processus de recherche 4 Les principales méthodes d acquisition de données qualitatives (non numériques) 4.1 Les documents 4.2 Les entretiens/interviews 4.3 L'observation 4.4 L'expérimentation 5 Les méthodes d analyse de données qualitatives 5.1 L'analyse de contenu 6 Fiabilité et Validité de la recherche 6.1 La validité de construit 6.2 La validité interne 6.3 La validité externe 6.4 La fiabilité de la recherche G3 2/30

3 1 Introduction 1.1 Recherche quantitative et qualitative (. ) la méthode scientifique consiste, en gros, dans l application de principes rigoureux de mathématique et de logique et dans la déduction de solides conclusions à partir d un ensemble de postulats. ( ) En ce qui concerne la Science et pour les autres domaines de l activité humaine, les postulats de base sont inconnus mais il faut les découvrir par une voie qui s appelle l induction. La première étape de la méthode scientifique consiste à trouver quelques faits grâce à l observation et à l expérience. (..) L étape suivante consiste à classer et à relier beaucoup de faits dans une seule expression générale qu on appelle alors une loi, quelque fois une loi naturelle. Chimie générale, introduction à la chimie descriptive et à la chimie théorique moderne - Linus Pauling- Dunod 1963 Recherche quantitative Expliquer les phénomènes CORRELER POUR EXPLIQUER Matière première = les chiffres Relation entre variables Contacts indirects avec les phénomènes DEDUCTION Tester Rigidité Vitesse Objectif Mathématiques Statistiques Recherche Qualitative Ontologie & Epistémologie Observer, écouter, échanger, lire, expérimenter et interpréter Comprendre les phénomènes SUIVRE POUR COMPRENDRE Matière premières = les mots et les images. Relation entre concepts Contacts directs avec les phénomènes INDUCTION Découvrir Flexibilité Lourdeur Subjectif Contextuel Psychologie : sentiments, émotions, processus d'apprentissage,... Sociologie-Anthropologie : dynamiques de groupes,... G3 3/30

4 Recherche fondamentale vs Recherche appliquée En sciences des organisations, on trouve les deux : Ex: Recherche fondamentale structuralisme et organisation modèles mentaux et sciences cognitives Ex: Recherche appliquée comportements sur le lieu du travail (profil de recrutement) diagnostic organisationnel et performance comportements du consomateur Recherche quantitative et qualitative : «qualitatives» : approches dont les base ontologiques et épistémologiques sont multiples et dont la collecte et l'analyse de données sont autres que numériques. La recherche qualitative mobilisent les «façons naturelles d'apprendre, en amenant le chercheur à observer, à écouter, à échanger, à lire, ( à expérimenter ), à interpréter et enfin à mieux comprendre par un contact presque direct avec les phénomènes» w. Mais si la connaissance de tous les jours, la doxa, peut rester implicite, la recherche scientifique par contre cherche trouver des connaissances ou des interprétations explicites. Pour que ces connaissances ou interprétations soient crédibles scientifiquement, il faut systématiser. La systématisation doit porter sur : conception de la recherche, la collecte et l'analyse de l'information : d'avoir donc des éléments de «méthode». La recherche quantitative : objectiver la réalité en utilisant le comptage et la mesure afin d identifier les lois qui expliquent les phénomènes matière première: les chiffres CORRELER POUR EXPLIQUER La recherche qualitative : tente de se rapprocher de la façon naturelle d apprendre des êtres humains en observant, écoutant et parlant de phénomènes pour mieux les comprendre et rendre cette compréhension explicite matière première : mots, images, objets. SUIVRE POUR COMPRENDRE La recherche quantitative Favorise les théories de variance ( relations entre variables ) et les données transversales Choisit une tranche de la réalité comprise suivant un cadre préalable ( sélectif ). Contact indirect via des traceurs abstraits. G3 4/30

5 La recherche qualitative Favorise les théories de processus ( évolution, dynamique ) et les données processuelles Ouvert à toute la réalité comprise entre les termes qui correspondent au terrain A l intérieur des phénomènes. Langley, A., «Strategies for theorizing from process data», Academy of Management Review, 24(4), 1999, ( ) 1.2 Syllogisme, déduction, induction et abduction. Déduction : Signifie que dans un raisonnement, si les hypothèses formulées initialement ( prémisses ) sont vraies, alors la conclusion doit nécessairement être vraie, il fonde le raisonnement hypothético déductif ( démarche d établissement d hypothèses que l on confronte ensuite à la réalité ), passage du général au particulier ( w ) Induction : Est une inférence conjecturale qui conclut de la régularité observée de certains fait à leur constance et de la constatation de certains faits à l existence d autres faits non donnés, mais qui ont été liés régulièrement aux premiers dans l expérience antérieure ( Morfaux, 1980 ), passage du particulier au général Abduction : Elle est un travail de l esprit qui permet d échapper à la perception chaotique qu on a du monde par un essai de conjecture sur les relations que les choses entretiennent entre elles, l abduction c est tirer des conjecture qu il faudra tester et discuter ( Koenig 1993 ) Syllogisme : En logique, le syllogisme est un raisonnement logique à deux prémisses menant à une conclusion. Exemple, Tous les hommes sont mortels, or les Grecs sont des hommes, donc les Grecs sont mortels est un syllogisme ; les deux prémisses sont des propositions données et supposées vraies permettant de vérifier la véracité formelle de la conclusion ( w ). G3 5/30

6 Les sciences de l organisation : sur quoi, porte les questions Exemples : Le contenu ( étude du ) Processus ( analyse ) Décrire ( situation d apprentissage organisationnel ) Expliquer Prédire les déterminants d une stratégie Comprendre les mécanismes Construire une théorie Tester des propositions Classer Diagnostiquer G3 6/30

7 2 Les principes épistémologiques des approches qualitatives en sciences de gestion 2.1 Ontologie Ontologie : étude de l'être et des propriétés générales de ce qui existe. En philosophie, l'ontologie (du grec oν, oντος, participe présent du verbe être) est l'étude de l'être en tant qu'être, c'est-à-dire l'étude des propriétés générales de tout ce qui est. 2.2 Epistémologie Epistémologie : du grec épistèmê («connaissance», «science») et logos («discours»). L'épistémologie : réflexion sur la science, partie de la philosophie portant sur le discours rationnel à propos de la connaissance scientifique. La philosophie des sciences étudie la connaissance scientifique d'un point de vue critique. Dans le monde anglo-saxon l epistemology représente la théorie de la connaissance. Qu'est-ce que le savoir? Comment l'acquérir? Comment s'en servir? L'induction : Passer de cas singuliers à une proposition générale. Pouvons nous prédire un fait d'après nos théories. Soit que nous avons observé que le soleil, se lève le matin du moins jusqu à présent. Mais rien ne peut justifier notre croyance au fait qu'il se lèvera encore demain. Ce problème a été jugé insoluble le philosophe Hume (notre croyance relève de l'habitude). 2.3 Positivisme Courant philosophique qui affirme que l'esprit scientifique va, «par une loi inexorable du progrès de l'esprit humain, remplacer les croyances théologiques ou les explications métaphysiques». Le positivisme scientifique d'auguste Comte affirme que l'esprit scientifique va, par une loi inexorable du progrès de l'esprit humain, appelée loi des trois états, remplacer les croyances théologiques ou les explications métaphysiques. Le positivisme scientifique correspond au Cours de philosophie positive, écrit de 1830 à 1842, avec la loi des trois états. En devenant «positif», l'esprit renoncerait à la question «pourquoi?», c'est-à-dire à chercher les causes premières des choses. Il se limiterait au «comment», c'est-à-dire à la formulation des lois de la nature, exprimées en langage mathématique, en dégageant, par le moyen d'observations et d'expériences répétées, les relations constantes qui unissent les phénomènes, et permettent d'expliquer la réalité des faits. G3 7/30

8 La loi des trois états L'état théologique ou féodal L'état théologique ou féodal correspond au Moyen Âge et à l'ancien régime. Les relations sociales y sont analysées comme le résultat de l'idée surnaturelle de droit divin. "Elle [l'analyse] explique, écrit Comte, les changements politiques successifs de l'espèce humaine par une direction surnaturelle immédiate, exercée d'une manière continue depuis le premier homme jusqu'à présent." Source : Plan des travaux scientifiques nécessaires pour réorganiser la société L'état métaphysique ou abstrait L'état métaphysique désigne le siècle des Lumières et notamment les encyclopédistes. Auguste Comte leur reproche de raisonner à partir de la supposition abstraite et métaphysique d'un contrat social primitif comme le fait notamment Jean-Jacques Rousseau et de raisonner à partir des droits individuels communs à tous les hommes, aboutissant aux idées de liberté et de souveraineté du peuple. Source : Plan des travaux scientifiques nécessaires pour réorganiser la société L'état scientifique ou positif L'esprit humain comprend qu'on ne peut comprendre ni l'origine, ni la destination de l'univers. Il renonce à la question du " pourquoi? " et recherche par l'usage unique du raisonnement et de l'observation les lois effectives de la nature " c est-à-dire leurs relations véritables de succession et de similitude " Cette loi des trois états est la loi générale du développement de la pensée. Auguste Comte procède aussi à une classification des sciences. Les sciences accédant à l'état positif les unes après les autres, on peut selon leur degré d'avancement procéder à leur classification. On aura dans l'ordre : les mathématiques, l'astronomie, la physique, la chimie, la biologie et enfin la sociologie. L'ordre va des sciences dont l'objet est le plus général à celles dont il est le moins général, du plus simple au plus complexe, du plus abstrait au plus vivant pour se rapprocher de l'homme. Si la sociologie est la dernière née, elle est pourtant la plus importante. À l'âge de la science doit en effet correspondre une politique fondée sur une organisation rationnelle de la société. Enfin, Comte préconise une religion de l'humanité. Cette religion est une religion sans Dieu. L'homme doit adorer l'humanité elle-même, c est-à-dire l'ensemble «des êtres passés, futurs et présents qui concourent librement à perfectionner l'ordre universel». Les grands hommes ont une immortalité subjective. Elle consiste à être honoré après sa mort et éventuellement à être l'objet d'un culte. Le nom des grands hommes sera inscrit au calendrier positiviste. «L'humanité se compose de plus de morts que de vivants», Comte annonçait la paix et l'harmonie parfaite pour le XXe siècle, G3 8/30

9 grâce à l'avènement de la religion positiviste. 2.4 Phénoménologie La phénoménologie est la science des phénomènes, c'est-à-dire la science des vécus, elle s oppose en cela à une science des objets du monde extérieur à nous, Edmund Husserl ( ). La phénoménologie husserlienne se veut également dans sa phénoménologie transcendantale une science philosophique universelle. ( w ) 2.5 Constructivisme Pour Schütz, " les objets de pensée construits par les chercheurs en sciences sociales se fondent sur les objets de pensée construits par la pensée courante de l'homme menant sa vie quotidienne parmi ses semblables et s'y référant. Ainsi, les constructions utilisées par le chercheurs en sciences sociales sont des constructions au 2 ième degré, notamment des constructions de constructions édifiées par les acteurs sur la scène sociale dont l'homme de science observe le comportement et essaie de l'expliquer tout en respectant les règles de procédure de sa science. " A la base de la connaissance savante du monde social, il y a donc sa connaissance ordinaire : "toute interprétation de ce monde est basée sur une réserve d'expériences préalables, les nôtres propres ou celles que nous ont transmises nos parents ou nos professeurs : ces expériences, sous forme de 'connaissances disponibles', fonctionnent comme shèmes de référence" au sein d'un stock de connaissances disponibles. ( w ) Cette connaissance commune se manifeste par sa typicalité : "ce qui est expérimenté dans la perception actuelle d'un objet est transféré [...] sur tout autre objet similaire, perçu seulement quant à son type". Les acteurs se livrent donc, notamment à travers le langage qu'ils ont hérité des générations antérieures, à une activité de typification du monde social (" lorsque je glisse une lettre dans la boîte, je m'attends à ce que des gens inconnus, appelés employés postaux, agissent de manière typique, qui m'échappe d'ailleurs en partie, obtenant comme résultat que ma lettre va atteindre le destinataire dans un temps typique raisonnable"). Le monde qui vise la connaissance quotidienne est d'emblée un monde intersubjectifs et culturel qu'il n'est pas seulement le mien mais celui d'autres hommes, dont ceux qui m'ont précédé, et qu'il est constitué de significations qui se sont sédimentées à travers l'histoire des sociétés humaines. Source pp Schütz, Alfred,, The Phenomenology for the Social World, trad. George Walsh et Frederick Lehnert, Evanston, Nothwestern University Press, Réalisme : position qui consiste à considérer que les phénomènes existent en soi indépendamment de l observateur. G3 9/30

10 Idéalisme : position qui consiste à considérer que les phénomènes ne sont que des constructions de l esprit, deux positions possibles : une réalité existe mais elle ne peut pas être observée indépendamment de l'esprit de l'observateur la réalité n'existe pas et est donc toujours dépendante de l'esprit de l'observateur 2.6 Interprétativisme Epistémologie (réaliste) ONTOLOGIE (réaliste) Réalité existe Observable Indépendante de l'esprit de l'observateur Epistémologie (idéaliste) Réalité existe Non observable Dépendante de l'esprit de l'observateur ONTOLOGIE (idéaliste) Impossible Réalité n'existe pas, donc toutes les observations sont dépendantes de l'esprit de l'observateur. G3 10/30

11 3 Etapes théoriques du processus de recherche Définition de l objet et la question de recherche - analyse de la littérature, état de l art, entretiens exploratoires Formulation de la problématique et du questionnement ébauche d un cadre théorique, axe( s ) de recherche Observation empirique collecte de donnés Traitement des données / interprétation analyse des données, lien avec le cadre théorique Conclusion / diffusion communications / débat scientifique Concevoir épistémologie, objet de la recherche, explorer tester, quelles données, contenu ou processus Mettre en oeuvre design, lier concepts et données, collecte,validité et fiabilité Analyser causalité, structure, réseaux sociaux,longitudinales, représentations et discours 3 critères d une bonne question : 1. Clarté (univoque, précise, concise) 2. Faisabilité (caractère réaliste) 3. Pertinence (cherchera à expliquer, prédire, comprendre, pas à juger) Notre cadre théorique (inscription du cadre conceptuel dans un champs théorique), choisi est : «celle des structures dans lesquelles prennent place les jeux des acteurs, celle des relations entre acteurs qui mettent en action ces structures contribuant par leurs jeux à les faire évoluer vers de nouvelles donnes organisationnelles. Cette dimension prend également en compte les principes de légitimité par lesquels les acteurs justifient leurs jeux et les ordres construits.». J-M. Jacques, C. Lobet, A. Rousseau, 2004, «La modernisation de l'hôpital : kaléidoscopie du changement», Ed. Presses Universitaires de Namur 4 Les principales méthodes d acquisition de données qualitatives (non numériques) La collecte de données peut avoir les buts suivants : comprendre un phénomène décrire un phénomène ou une situation explorer un domaine ou un problème G3 11/30

12 proposer ou vérifier une hypothèse évaluer les performances ou les acquis d une personne évaluer un projet ou une action analyser des besoins etc. En vue de : prendre une décision ou produire de la connaissance Définition de la collecte de données : La collecte de données est un «processus organisé mis en oeuvre pour collecter des données auprès de sources multiples, en vue de passer d un niveau de connaissance ou de représentation d une situation donnée à un autre niveau de connaissance ou de représentation de la même situation, dans le cadre d une action délibérée dont les OBJECTIFS ont été clairement DEFINIS, et qui donne des garanties suffisantes de VALIDITE». Cité par Berrewaerts, source inconnue. Caractéristiques de la collecte de données : 1. Démarche délibérée : orienté vers une action précise. 2. Caractère multilatéral : on collecte à partir de plusieurs sources. 3. Caractère organisé : mettre en place un dispositif de recueil réfléchi et structuré. 4. Caractère de validité : garanties de validité au niveau de la collecte, du traitement et de l analyse des données. Cité par Berrewaerts, source inconnue. De façon générale, on peut dire qu on est amené à collecter des données lorsqu on désire approcher de plus près un phénomène ou une situation donnée, pour : détecter des besoins prendre une décision améliorer un fonctionnement, des performances former résoudre un problème cerner un phénomène tester des hypothèses scientifiques G3 12/30

13 Méthodes principales de collecte : 1. Etude de documents 2. Les interviews 3. L observation 4. L'expérimentation 4.1 Les documents Définition de document : Trace existante de l activité humaine, sonore, visuelle ou informatique. L étude de documents peut prendre diverses formes suivant : la nature des documents à analyser. la quantité des documents à analyser. le but de l'étude. l objet de l étude. 2 grands types d analyse de documents : 1. Revue de littérature 2. Dépouillement d'archives - Méthodes d analyse rigoureuse des documents (analyse de contenu) analyse quantitative : on va réduire le matériel à quelques catégories pour produire des analyses de fréquence, etc., pour réaliser en quelque sorte ses comptages analyse qualitative : on interprète le matériel en décrivant les particularité de quelques catégories analytiques 4.2 Les entretiens/interviews Définition de l'entretien/interview : L interview (ou «entretien») est une technique très répandue durant laquelle une ou plusieurs personnes posent des questions à un ou plusieurs sujets afin de collecter de l information et des connaissances sur un phénomène ou problème particulier. G3 13/30

14 3 types d'entretiens en méthode qualitative : 1. L entretien structuré consiste à interroger plusieurs sujets à l'aide du même protocole et de la même liste de questions, déterminée à l avance. Il convient de respecter l ordre et le libellé des questions. Cette démarche se rapproche du questionnaire. La forme interactive de l entretien permet de saisir finesses dans les réponses ou de préciser le sens d une question. 2. L entretien semi-structuré : combinaison de quelques questions qui conduisent l entretien et d une série de questions secondaires, que l on choisira de poser ou non en fonction de l évolution de l'entretien. L interviewer dispose de plus de latitude pour s'adapter au contexte (environnement, personnalité du sujet, etc.). Cette forme d entretien est très utilisée permet la prise de position personnelle tout en donnant un certain nombre d éléments comparables voire quantifiables. 3. L entretien non-structuré ou libre, utilisé lorsque l on veut étudier certains thèmes en profondeur ou analyser les motivations profondes de l interviewer en l incitant à s exprimer en profondeur. Réaliser des interviews ou des entretiens demande : 1. Des ressources matérielles limitées 2. Une préparation soignée. 3. Il faut tenir compte du temps nécessaire pour l analyse (la retranscription) des interviews. Au niveau matériel, il faut rassembler les ressources suivantes : 1. Un local calme et agréable pour l entretien. 2. Un guide d entretien reprenant la liste de questions sur les informations que l on cherche à collecter, etc.). 3. Le matériel pour prendre des notes (carnet de notes, bloc-notes, feuillets pré remplis) 4. Le matériel pour enregistrer l entretien (dictaphone, enregistreur audio, caméra video). CONSEILS : Le guide d entretien Tester le guide d'entretien auprès de trois personnes Introduction remerciements présentation des enquêteurs mise en garde par rapport à l enregistrement Auto-présentation des participants Entretien G3 14/30

15 présentation large du thème de l entretien questions (principe de l entonnoir) : ce que l individu dit qu il fait ce que l individu fait et pourquoi il le fait Conclusion remerciements autorisation d exploitation des enregistrements, rémunération Les relances acquiescer Oui, je vois, tout à fait, hum-hum, ah bon reprendre les propos de l'interviewé beaucoup apprécié? demander des approfondissements c est-à-dire?, et alors? reformuler les propos de l'interviewé si je vous comprends bien, vous... rappeler les propos de l'interviewé et pourtant, vous disiez que... Pour limiter le leader de monopoliser le débat interpeller directement les individus qui s expriment moins Pierre, qu en pensezvous? clore les interventions je vous remercie. Pour inciter les timides à prendre la parole acquiescer Oui, je vois, tout à fait, hum-hum, ah bon reprendre les propos de l'interviewé beaucoup apprécié? demander des approfondissements c est-à-dire?, et alors? reformuler les propos de l'interviewé si je vous comprends bien, vous... rappeler les propos de l'interviewé et pourtant, vous disiez que... La conduite de l entretien Ce qui est autorisé Montrer que l'on écoute Reformuler le dernier mot, la dernière phrase Approfondir un point abordé précédemment Ce qui est interdit Donner son avis et porter des jugements de valeur Couper la parole Proposer des thèmes de réflexion extérieurs au discours de l'interviewé Induire les réponses 4.3 L'observation On trouve ( ) l histoire de deux aveugles qui voulaient qu on leur explique les couleurs. A l un d eux on répondit: le blanc c est la couleur de la neige. L aveugle pris une poignée de neige et conclu que le blanc était froid. A l autre on raconta que le blanc était la couleur des cygnes, et il écouta le bruissement des ailes d un cygne qui volait, pour conclure que le blanc faisait frou frou. Matthieu Ricard in Allan Wallace (p. 11, 1989) G3 15/30

16 L objectif d une l observation directe est de capter les situations, les comportements au moment où ils se produisent et sans cela intermédiaires ou véhicule (tel que parole ou autre matériel discursif). Permettre de recueillir des informations par rapport : suivies). à des situations ou à des processus ; au profil des individus ; aux caractéristiques du groupe ; au contexte (environnement physique, ambiance, espace social et temporel) ; à l utilisation des ressources ; au comportement des individus (actions réalisées, propos échangés, procédures L observation permet donc d approfondir la connaissance par exemple que l on a du travail quotidien d un acteur, d une tache particulière ou d un processus défini. En outre, l observation est aussi très utile pour vérifier et valider l information récoltée par d autres modes de collecte, tel les interviews ou des questionnaires, etc.). L'observation met en présence un ou plusieurs observateurs avec un ou plusieurs utilisateurs dans leur environnement habituel (interactions avec d autres personnes, locaux, matériel, procédures etc.). CONSEILS : - Idéalement il est utile pour les observateurs de repérer les lieux à l'avance, avant l observation, en effet il ne faut pas sous estimer le temps nécessaire aux observateurs pour se les approprier. - Déontologiquement il faut prévenir les participants à l exercice de la présence d observateurs - Les organisateurs devraient préparer le matériel pour les observateurs (voir cidessous) - Il est recommandé de toujours placer deux observateurs minimum par site - Etablir une grille d observation - Etablir les consignes d observation Le jour des observations, il ne faut pas oublier : la liste des consignes à rappeler avant le début de l exercice les grilles d observation carnet de note montre bic de deux couleurs enregistreur à cassette (à négocier a l avance - pas pour enregistrer les échanges mais pour enregistrer des commentaires personnels difficile a utiliser en G3 16/30

17 parallèle avec le crayon mais utile pour pré analyse entre les observateurs) L observation demande : 1. Une bonne mémoire 2. Un souci du détail, car même quand la prise de notes est possible, elle ne saurait rendre compte de tout. 3. De la cohérence 4. De la compréhension 5. De l'interprétation 6. Une faculté d étonnement. Si l observateur est issu du terrain à observer, il dispose d une connaissance a priori qui lui permet d entrer plus rapidement dans la démarche d observation. Mais, en contrepartie, il risque d être plus difficile pour lui de prendre du recul par rapport à ses pratiques et de ne pas déceler des éléments apparemment routiniers, «automatiques» ou anodins dans les comportements de ses collègues. De même les personnes observées tenteront plus facilement d entrer en contact avec lui et de lui poser des questions qu à un observateur externe au service car l observateur participe aux relations et aux tâches du groupe tout en effectuant ses observations). Par ailleurs, le rôle d observateur peut modifier les relations au sein du groupe, surtout si les objectifs de l observation sont mal connus et interprétés comme un contrôle du travail commandé par la hiérarchie. La première démarche à effectuer est d identifier les objectifs et les exigences auxquels doivent satisfaire les informations collectées. Souhaite-t-on obtenir des informations sur l étendue (le nombre d utilisateurs réels) ou en profondeur (les différents types d utilisation tant qualitativement que quantitativement)? Ces éléments ne sont pas seulement nécessaires pour organiser les observations sur le terrain mais également pour traiter les informations collectées. Une connaissance minimale du terrain grâce à une recherche documentaire préalable (données administratives, archives, etc..), un repérage des lieux ou des interviews avec des personnes ressources permet à l observateur un accès et une adaptation plus aisés sur le terrain (compréhension du jargon utilisé, les personnes clés à suivre, les étapes formelles des procédures à suivre etc..). La définition du plan général d observation comporte un calendrier des observations et leur répartition entre les observateurs. Elle prévoit parfois une partie plus exploratoire au départ pour permettre de prendre connaissance du terrain et d être accepté par les personnes observées (instauration d un climat de confiance). Les grilles pour l observation sont construites à partir des objectifs identifiés et reprennent de manière très sélective les différentes catégories de comportements à observer et les éléments à repérer par rapport à ceux-ci (fréquence, délai, durée, objet, enchaînements, etc.). G3 17/30

18 L observateur peut également consigner des notes dans un carnet de manière moins organisée mais selon quelques thématiques définies. Les consignes aux observateurs reprennent les éléments concernant leur présentation aux personnes sur le terrain (présenter les objectifs de la recherche, le respect de l anonymat etc..), la manière de se comporter sur le terrain (retrait, ne pas déranger les utilisateurs, ne pas répondre aux demandes d aide par rapport aux applications étudiées, etc..). Le jour des observations, il ne faut pas oublier : la liste des consignes à rappeler avant le début du test ; les grilles ; un carnet pour noter les observations diverses ; l équipement pour filmer ou enregistrer (si nécessaire et si négocié au préalable). Lors des observations, certains principes doivent être respectés : 1. être sur place ; 2. s adapter au milieu (instaurer et maintenir un climat de confiance entre observateur et observés) ; 3. essayer d interférer le moins possible (adopter une attitude neutre lors des questions et des conversations) ; 4. observer le déroulement ordinaire des événements ; 5. enregistrer les données. Tant l observateur que les personnes observées peuvent se sentir mal à l aise lors de la phase d observation. Il est donc important d arriver à établir et à maintenir un climat de confiance et des relations naturelles. Un premier élément dans ce sens est d expliquer les raisons de la présence de l observateur afin qu elle ne soit pas perçue négativement (contrôle du travail), la manière dont cela va se dérouler et les retours qui seront disponibles à l issue de ce travail d observation. Il est important pour l observateur d expliciter les liens avec les commanditaires de l étude, de certifier le respect de l anonymat et de donner des gages de neutralité par rapport aux intérêts sociaux en présence. Cet exercice est particulièrement difficile car il faut à la fois être suffisamment précis pour montrer le sérieux de l étude et suffisamment vague pour que des réorientations soient possibles. Cette phase de présentation doit souvent être répétée au contact des personnes successives rencontrées lors des observations et doit parfois être modulée en fonction des interlocuteurs. Interférer le moins possible dans le déroulement des événements. Maintenir une neutralité par rapport aux situations rencontrées (pas de prise de position, etc.), sauf dans le cadre d une observation participante. Refuser par ex. de répondre aux demandes d aide d utilisateurs en cours d observation (mais pourra transmettre des informations en fin G3 18/30

19 d observation). Poser des questions à caractère informatif est une façon simple d économiser du temps d investigation et d obtenir des commentaires des acteurs sur leurs pratiques (ce qui est en train de se passer ou va se produire). A l inverse de l interview, les questions sont spontanées et liées aux comportements et aux circonstances observés, ce qui facilite la formulation des réponses par la personne observée qui peut illustrer ses propos par ses actes. C est pourquoi on utilise le terme «conversation» plutôt que ceux d entretien ou d interview. Cependant, l observateur doit veiller à ne pas interrompre les personnes à tout moment. Il notera les diverses remarques et questions qui lui viennent à l esprit et en discutera avec la ou les personnes concernées au moment opportun (pause, fin d observation etc.). L observateur va concentrer son observation sur différents éléments de manière plus ou moins approfondie selon les objectifs définis : les dimensions normatives du contexte dans lequel s effectuent les pratiques observées (règles formelles et règlement, conventions, rituels et habitudes, etc.) ; l examen détaillé des situations, par la décomposition d événements singuliers, par le repérage d enchaînements d actions amenant les acteurs à utiliser des objets ou à entrer en relation avec d autres acteurs ; l espace-temps dans lequel se déroulent ces situations ; les mots, attitudes, sentiments, commentaires, intonations qui peuvent éclairer sur le sens que les acteurs donnent à leurs pratiques. Le dilemme de l observateur se situe entre la volonté d observer tout avec attention et l envie de tout noter. Des choix sont à faire avant l entrée sur le terrain. L enregistrement des données peut prendre des formes multiples et variées, de la prise de notes non structurées aux grilles d observation systématiquement définie. la description détaillée des éléments de la situation, des vêtements, des locaux, des objets manipulés, des interactions, des enchaînements d actions, des gestes, des arguments utilisés, etc. ; les comptages, où il s agit de dénombrer des faits, des gestes, de comparer des postes de travail, de mettre en évidence des variations ; les chroniques d activité et les cartes de déambulation objectivent l occupation du temps (répartition des types d activité) et de l espace (usages différenciés) ; les fiches biographiques reprennent des éléments d informations sur les acteurs (âge, sexe, etc.), G3 19/30

20 les ressources dont ils disposent (statut, etc.) et leur provenance ; le lexique recueille les expressions originales (jargon) et les images mobilisées par les acteurs ; les conversations enregistrées dans la situation observée ; les grilles d observation reprennent de manière très sélective les différentes catégories de comportements à observer et les éléments à repérer par rapport à ceux-ci. Une observation ne doit pas être limitée à un temps trop court afin de pouvoir observer le déroulement de procédures de travail en entier et de permettre à l observateur de se fondre dans la situation. Une heure semble un minimum, une demi-journée est une durée optimale (plus est parfois éprouvant pour l observateur lui-même, car l observation exige une concentration importante, et peut être ressenti comme trop envahissant par les personnes). 4.4 L'expérimentation 5 Les méthodes d analyse de données qualitatives 5.1 L'analyse de contenu Laurence Bardin (1977) donne une définition (actuelle) de l analyse de contenu : «Un ensemble de techniques d analyses des communications visant, par des procédures systématiques et objectives de description du contenu des messages, à obtenir des indicateurs (quantitatifs ou qualitatifs ) permettant l inférence de connaissances relatives aux conditions de production/réception (variables inférées) de ces messages. Comprendre & Interpréter Dans les méthodes qualitatives, la collecte, l analyse et l interprétation sont souvent concomitantes! L analyse : processus créatif et dynamique Profondeur de l analyse : description directe description analytique élaboration théorique Description directe : implique relation directe du phénomène ( le contenu manifeste ) G3 20/30

21 Résumé : résumé complet des informations collectées en se basant sur les thèmes couvert par les thèmes présent dans le guide d interview. Objectif : identifier idées forces, aspects du problème, attitudes, relations, Analyse de contenu : 1. description objective : plusieurs chercheurs sur base d un code rigoureux et strict 2. description systématiques :analyse scientifique de toutes les données, limitée au manifesté 3. description quantitative ( ex : fréquences, tel avis est apparu autant de fois ) Analyse thématique : synthèse thématique de données : 1. description objective limitée au manifesté 2. description moins systématique que l Analyse de Contenu ( système de catégorie prédéfini ) 3. guide d entretien servant à la construction du système de catégorie Elaboration théorique : établir des liens entre les concepts pour fournir une interprétation du phénomène étudié (interprétation du contenu manifeste et latent) - Interprétation du sens à partir du materiel collectés : Sémiologie : décrire et construire les sens à partir du texte et des signes dans ce texte Grounded theory : Construction d une théorie conclusive inductive / logique à partir des données collectées et analysées de manière systématique. Construction d'une théorie par le chercheur à partir des éléments qu'il collecte et analyse, il va donc par son vécu, sa sensibilité essayer de construire une théorie. (d'où le lien avec la phénoménologie) Trois types de méthodes d analyse de contenu (selon Muccielli) : 1. logico-esthétiques : recherchent la structure d un texte pour en découvrir le style, le vocabulaire, les figures de rhétoriques. 2. sémantiques et sémantico-structurales : recherche des significations et du sens du discours. 3. logico-sémantiques : classement logique des contenus suite à une explicitation de la valeurs sémantiques de ces contenus. Comment faire? 1. La lecture préliminaire flottante G3 21/30

22 1. Lire quelques fois le texte pour : 1. Se donner une vue d ensemble du texte 2. Repérer certaines particularités (idées forces, aspects surprenants) 2. Le choix des unités de sens 1. Découper le texte en énoncés plus restreints ayant un sens complet : 1. Une ou plusieurs phrases dans lesquelles le locuteur parle de la même chose ou exprime la même idée 2. Veiller à l exhaustivité du choix (les unités sélectionnées couvrent-elles bien tout ce que le sujet nous dit de...?) 3. Les unités présentent elles une unité sémantique? 3. La catégorisation 1. Définition d une catégorie : 1. Rubriques ou classes définies qui rassemblent un groupe d éléments sous un titre générique. 2. Trois démarches possibles : 1. Catégories induites 2. Catégories pré-déterminées 3. Modèle mixte Principes de base : La retranscription Lire, relire et relire encore Repérer thèmes, pressentis, interprétation et idées (les noter) Rechercher les thèmes émergents Ecouter objectivement les données Restituer le contexte : technique utilisée pour la collecte, caractéristiques informants, des enquêteurs, des commanditaires. Comparer idées et interpréter : données étudiées par différents chercheurs 1. Catégories induites Création de catégories préliminaires Regrouper les feuilles ou les fiches reprenant des énoncés similaires Réduction du nombre de catégories par élimination des catégories redondantes Revoir chaque catégorie : les énoncés présents sont-ils bien classés? Faut-il ouvrir une nouvelle catégorie? Faut-il en supprimer? Définition des catégories constituant la grille finale Classification finale de tous les énoncés et vérification de la qualité des catégories 2. Modèle mixte G3 22/30

23 Premier regroupement dans des catégories préexistantes et dans de nouvelles catégories préliminaires Réduction du nombre de catégories par élimination catégories redondantes Définition des catégories constituant le grille finale Classification finale de tous les énoncés à partir de la grille d analyse 8 QUALITES des catégories : Exhaustives : épuiser la totalité du texte. En nombre limité Cohérentes : cohérence des énoncés classés dans une même catégorie, cohérence entre les énoncés et le titre de la catégorie, cohérences entre les catégories (définition claire de celles-ci) Homogènes : les énoncés placés dans une même catégorie doivent se ressembler (analogie de sens) Pertinentes : en rapport direct avec le contenu et les objectifs de l analyse Clairement définies : éviter toute confusion (différences inter-juges), préciser les principales caractéristiques, donner des indicateurs, donner des exemples Productives : riches en indices d inférences, d hypothèses nouvelles de données fiables Exclusives : aucun énoncé ne peut apparaître dans des catégories différentes ANALYSER : faire ressortir les caractéristiques qui apparaissent mettre en évidence les relations et les différences entre catégories INTERPRETER : Mettre en relation avec les éléments du cadre conceptuel Mettre en relation avec les faits d observation Mettre en relation avec un autre point de vue Suggérer des hypothèses GROUNDED THEORY : Définitions : Technique analytique interprétative du contenu manifeste et latent. Construction d une théorie conclusive inductive / logique à partir des données collectées et analysées de manière systématique. G3 23/30

24 Technique et procédure : 1. collecte et analyse en parallèle 2. le chercheur doit faire preuve de sensibilité théorique pour faire parler les données et leur donner sens. Penser simultanément la catégorisation et la construction théorique, ils évoluent constamment au fur et a mesure que du nouveau matériel est collecté et analysé 3. remettre en question / comparer en permanence les données, les catégories, concepts pour obtenir des conclusions rigoureuses 4. codage systématique des données à plusieurs niveau d abstraction et de synthèse 5. rédaction de mémos et de diagrammes Technique analytique interprétative contenu manifeste et latent : Données -----concepts Concepts -----relation entre concepts Données relation entre concepts ----théorie Grounded theory : principes de base : 1. Construire plutôt que tester la théorie 2. Donner rigueur au processus de recherche pour s assurer la scientificité de la théorie construite 3. Aider l analyste à débusquer biais et hypothèses 4. Fournir des bases théoriques solides 5. Considérer à la fois le manifeste (contenu) et le latent (discours) Grounded theory : outils d analyse : codage : consiste à découper les données pour développer de manière systématique leur interprétation choix d'une unité de découpage partir d une liste de codes pré établie ou construire cette liste au fur et à mesure de l analyse trier les codes les mettre en relation G3 24/30

25 LES LOGICIELS : ATLAS Ti & EVOQ Les logiciels s inscrivent pour la plupart dans des vision du monde ( architecture de pensée ) Atlas s inscrit dans une architecture de pensée basée sur le connexionnisme ( un monde ou le langage est représenté sous forme de concepts et de liens entre ces concepts ) La lecture «flottante» du materiel le point de départ de l analyse des énoncés, c est par ce contact «intuitif» avec le matériel empirique à analyser que les premières pistes d analyse. Les documents à considérer : Déterminer sur quels types de document l analyse va porter (thèmes, phrases, mots, images, discours ) La délimitation du corpus : Déterminer les documents qui seront analysés en respectant les règles d exhaustivité ( dans un corpus ), de représentativité et d homogénéité. La formulation des hypothèses. Elles peuvent ou pas être posées, il est en effet possible sur le plan méthodologique de se lancer dans l analyse dans avoir posé des hypothèses. L exploitation du matériel consiste en l application des certaines techniques sur le corpus sélectionné : coder, compter, classer Atlas s inscrit dans une architecture de pensée basée sur le connexionnisme ( un monde ou le langage est représenté sous forme de concepts et de liens entre ces concepts ) Il existe d autres architectures de pensée pour analyser le langage, ex: evoq ancré la phénoménologie et le post structuralisme et reposant sur l analyse structurale QU EST-CE QU EVOQ? Un logiciel d analyse de contenu qui trace les champs sémantiques dans lesquels se meut le G3 25/30

26 locuteur. Le projet EVOQ consiste à créer un logiciel d analyse du contenu, inspiré des principes de l analyse poststructuraliste et phénoménologique. Concrètement, le logiciel transforme un texte en «paysages sémantiques». Ces champs sémantiques constituent le réseau des évocations qui gravitent autour des mots. Ils structurent la manière dont les locuteurs perçoivent le réel. La particularité du logiciel est précisément qu il permet de saisir ce «niveau», rarement analysé en tant que tel. Lorsque je dis «blanc», je ne dis pas seulement la couleur (dénotation), mais également tout le registre des évocations : pur, neige, immaculé, neutre, livide, etc. Au départ d un corpus de texte donné (interviews, présentations, réunions, articles de presse) le logiciel identifie ces évocations et les représente sous forme de paysages sémantiques. Ces champs sémantiques sont importants car ils colorent le sens visé par le locuteur et ce, indépendamment parfois de son intention. Ils constituent le terrain dans lequel un énoncé prend sens, s énonce et s entend. (ref. Wallemacq, Jacques, Bruyninckx) Quand je dis «blanc» et que je vise la couleur, sont appelées inéluctablement, ses évocations. Celles-ci, qui sont en quelque sorte le «sillage du mot» n ont en fait pas grand-chose à voir avec la dénotation (le sens visé) : la couleur en tant que telle. EN QUELQUES MOTS : ORIGINALITÉ D EVOQ : Univoque / Plurivoque Dénotation / Evocation Syntaxique / Sémantique Fréquence / Structure Langage formel / Langage naturel Universel / Contextuel Le traitement et l interprétation des informations passées à la moulinette peut se faire aussi à l aide d outils statistiques afin d apporter une validité aux résultats Elaborer des diagrammes pour classer, illustrer, conceptualiser ou encore pour réaliser des synthèse des données analysées Se servir de grilles ou de matrices d analyse G3 26/30

27 ETAPES : Partant du matériel empirique collecté (entretien, observation, document), en utilisant les outils de codage, il faut analyser le contenu de ce matériel et l inscrire dans le cadre théorique choisi (pour nous le cadre conceptuel (théorique) présenté au début du cours : voir ci-joint dessous). Cela peut se réaliser en croisant dans un tableau les dimensions retenues (voir tableau ci-joint). Ce cadre conceptuel consiste rappelez vous, à considérer que dans notre recherche nous envisageons que l organisation de la sécurité est inscrite dans des structures organisationnelles où le travail à été diviser (pour se repartir les taches) et que c est dans ces structures que des individus pour réaliser ces taches entrent en relation et produisent du sens à leur action. La seconde dimension est alors celle que nous avons retenue (centre / périphérie auquel il me semble faire sens de rajouter bridge / communication Le croisement de ces dimensions, donne alors un tableau voir slide ci-dessous) et qui peut servir de grille d analyse. Il suffit alors (! ) de rechercher, (en les codant) dans le matériel empirique (entretien, observation, document) les éléments qui soutiennent le cadre théorique. Suite à cela le travail interprétatif peut se poursuivre. G3 27/30

28 6 Fiabilité et Validité de la recherche validité = vérité une recherche représente, explique, comprend, etc., le phénomène étudié (la certitude n'existe pas) Erreurs fréquentes : on favorise les données qui favorisent une (pré) conception donnée d'un phénomène on favorise l exotique par rapport au normal on "oublie" des données on s'arrête trop sur l'aspect "génération de théories" on se perd dans les sources et observations Références multiples La fiabilité ("reliability") dans une analyse qualitative Les règles d'or: Méthode l observation Utilisez une convention pour noter des observations utilisation d'un «cahier de labo». codage à deux et comparaison collection de suffisamment de données (temps, répondants, situations) triangulation des méthodes d'observation textes (analyse de)entretiens utilisation de questions standardisées réponses fixes (...) "tester" l'entretien Transcripts ou Formule pour calculer la fiabilité du codage Méthodes de conclusion Qui va avec quoi? reconnaissance de structures (patterns) et thèmes plausibilités agrégations, typologies (clustering) Résumés simples métaphores compter Comparaison et différentiation contrastes et comparaisons G3 28/30

29 partition de variables (différentiation) Abstractions intégration du particulier dans le général factorisation relations entre variables recherche de variables intervenantes Assemblage théorique chaînes d'évidence abstractions théoriques ("nommer" et résumer une construction) La validité d'une théorie se juge par la validité de ses composantes empiriques. Utilité scientifique ( utilité, cohérence ) / qualité scientifique ( fiabilité / validité ) La validité est un indice de la valeur scientifique d'une recherche empirique. Plus une recherche est valide, plus ses conclusions seront fiables. La validité générale d'une recherche dépend de la puissance de la méthode utilisée pour mener cette recherche. 6.1 La validité de construit Capacité d un instrument de mesure ou d un indicateur de produire une mesure ou indication liée à différentes variables en accord avec les liens théoriques devant exister entre les concepts (construits) mesurés. 6.2 La validité interne => Un indicateur (caractéristiques) qui correspondent au concept. La validité interne découle du design de recherche tester si les causes postulées dans le modèle sont les vraies causes et qu il n'existe pas d'autres déterminants des variables à expliquer. vérifier que les causes postulées sont bien les vraies et qu'il n'en existent pas d'autres. 6.3 La validité externe => Un indicateur qui renseigne adéquatement sur l univers de la problématique. La validité externe... savoir si on peut généraliser difficile à la contrôler. 6.4 La fiabilité de la recherche G3 29/30

30 => Un indicateur : sa constance dans le temps G3 30/30

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

L ENTRETIEN de Recherche

L ENTRETIEN de Recherche L ENTRETIEN de Recherche I. UTILISATION DE L ENTRETIEN DE RECHERCHE I.1. L entretien Exploratoire I.1.A. Caractéristiques Techniques Des Entretiens Exploratoires I.1.B. Fonctions De L entretien Exploratoire

Plus en détail

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e) OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel

Plus en détail

ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?

ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes

Plus en détail

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE GÉNÉRALE MONOLOGUE SUIVI : décrire l'expérience MONOLOGUE SUIVI : argumenter

Plus en détail

Méthode du commentaire de document en Histoire

Méthode du commentaire de document en Histoire Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

Méthode universitaire du commentaire de texte

Méthode universitaire du commentaire de texte Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent

Plus en détail

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet

Plus en détail

LES ETAPES D UNE RECHERCHE

LES ETAPES D UNE RECHERCHE LES ETAPES D UNE RECHERCHE D après Jean-Paul Jeannin - www.sosreseau.com Vue d ensemble 1) Poser les constats issus d observations empiriques et d un centre d intérêt 2) Choisir un objet d'étude 2 bis)

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE MONOLOGUE SUIVI

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Structure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV

Structure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Structure typique d un protocole de recherche Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Introduction Planification et développement d une proposition de recherche Étape

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE 1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème

Plus en détail

APPROCHE PAR COMPÉTENCES

APPROCHE PAR COMPÉTENCES APPROCHE PAR COMPÉTENCES GUIDE D ÉLABORATION DES ACTIVITÉS D APPRENTISSAGE Phase I Élaboration du programme d études local Louise Savard Conseillère pédagogique Hiver 2004 Table des matières 1. PROCÉDURE

Plus en détail

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié

Plus en détail

Guide du mémoire de fin d études

Guide du mémoire de fin d études Guide du mémoire de fin d études à destination des enseignants et des étudiants Septembre 2011 AVERTISSEMENT Ce document rassemble les dispositions réglementaires d une part, le cadre des dispositions

Plus en détail

2 Quels usages peut-on faire du focus group? Encadré 1 L utilisation du focus group en évaluation. Explicitation Restitution. Usages du focus group

2 Quels usages peut-on faire du focus group? Encadré 1 L utilisation du focus group en évaluation. Explicitation Restitution. Usages du focus group LE FOCUS GROUP 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? Un focus group est un type d entretien de groupe composé de personnes concernées par une politique de développement ou une intervention. Il est

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

L élaboration de la fiche de poste

L élaboration de la fiche de poste L élaboration de la fiche de poste 1 Guide pratique pour l élaboration de la fiche de poste Christine SCHMELTZ-OSCABY 40 Allée Ikinoak - 64210 Guethary tél.: 06 07 51 95 97 E-mail :chrischmeltz@yahoo.fr

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel

- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel Planifier le projet > Identifier les étapes > Organiser le projet > Identifier les étapes - Le Diagramme de Gantt > Organiser le projet - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction

Plus en détail

Rédiger et administrer un questionnaire

Rédiger et administrer un questionnaire Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),

Plus en détail

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit

Plus en détail

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue

Plus en détail

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.

Plus en détail

MASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie

MASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie S3 Spécialité : Recherches en psychologie UE OBLIGATOIRES UE 1 : Epistémologie et méthodes de recherche en psychologie Ce séminaire aborde plusieurs aspects de la recherche en psychologie. Il présente

Plus en détail

b) Fiche élève - Qu est-ce qu une narration de recherche 2?

b) Fiche élève - Qu est-ce qu une narration de recherche 2? Une tâche complexe peut-être traitée : Gestion d une tâche complexe A la maison : notamment les problèmes ouverts dont les connaissances ne sont pas forcément liées au programme du niveau de classe concerné

Plus en détail

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,

Plus en détail

Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur

Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Déroulement des deux journées Mardi 26 Matin : Intervention des IEN Jeudi 29 Matin : Production en binôme. Après-midi

Plus en détail

L ENTRETIEN INDIVIDUEL

L ENTRETIEN INDIVIDUEL L ENTRETIEN INDIVIDUEL 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L entretien individuel est une technique de recueil de l information qui se déroule dans une relation de face-à-face entre l évaluateur

Plus en détail

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress Formation Développement personnel M2S formation La confiance en soi Gestion du stress Gestion du temps et gestion du stress Gestion des tensions et des conflits Gestion des conflits et de l agressivité

Plus en détail

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

LES REPRESENTATIONS DES NOMBRES

LES REPRESENTATIONS DES NOMBRES LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes

Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la

Plus en détail

Contenu disciplinaire (CK)

Contenu disciplinaire (CK) Compilation des suggestions apportées par les participants aux ateliers du Rendez-vous des conseillers pédagogiques Colloque de l AQPC 2013 Application technologique Trouver les causes, la biologie derrière

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Commerce International. à référentiel commun européen

Commerce International. à référentiel commun européen Brevet de technicien supérieur Commerce International à référentiel commun européen Référentiel de formation SEPTEMBRE 2011 RÉFÉRENTIEL DE FORMATION Unités de formation UF1 Culture Générale et Expression

Plus en détail

Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction.

Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction. Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction. Etudes et traitements statistiques des données : le cas illustratif de la démarche par sondage INTRODUCTION

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Stratégies favorisant ma réussite au cégep

Stratégies favorisant ma réussite au cégep Source de l image :daphneestmagnifique.blogspot.ca Stratégies favorisant ma réussite au cégep par Services adaptés du Cégep de Sainte-Foy Table des matières UN GUIDE POUR TOI!... 2 STRATÉGIES DE GESTION

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

Ce que doit inclure un projet de mémoire ou de thèse

Ce que doit inclure un projet de mémoire ou de thèse Rachad ANTONIUS Sociologue, professeur, Département de sociologie, UQÀM (2007) Ce que doit inclure un projet de mémoire ou de thèse VERSION DU 26 JUILLET 2007 Un document produit en version numérique par

Plus en détail

Organiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu :

Organiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu : Organiser l espace dans une classe de maternelle : I - Les textes officiels : Quelques idées «L aménagement des salles de classe doit offrir de multiples occasions d expériences sensorielles et motrices.

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

LA DEMARCHE D UNE RECHERCHE EN SCIENCES HUMAINES DEPELTEAU FRANCOIS

LA DEMARCHE D UNE RECHERCHE EN SCIENCES HUMAINES DEPELTEAU FRANCOIS LA DEMARCHE D UNE RECHERCHE EN SCIENCES HUMAINES DEPELTEAU FRANCOIS Introduction générale Le sujet de ce manuel est la méthodologie des sciences humaines (SH). La définition du terme science: «C est une

Plus en détail

LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS

LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS A. Armand IGEN lettres avril 2009-1 LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS Cette présentation du programme de français pour les classes de seconde, première, et terminale du

Plus en détail

Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction

Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Dans ce guide, vous trouverez 4 étapes qui vous permettront de réaliser, pas à pas, votre enquête de satisfaction. Ce guide : Contient

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

Plan de cours. Comportement organisationnel

Plan de cours. Comportement organisationnel ÉCOLE NATIONALE D ADMINISTRATION PUBLIQUE Plan de cours ENP 7106 Comportement organisationnel Hanoi Avril 2011 Joanne Greene, M. Ps. joanne.greene@enap.ca Ce cours permet à l étudiant d approfondir sa

Plus en détail

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du

Plus en détail

Formation PME Etude de marché

Formation PME Etude de marché Formation PME Etude de marché Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les business-tools, aller sous www.banquecoop.ch/business L étude de marché ou étude marketing

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

COMPETENCE DE NIVEAU N1

COMPETENCE DE NIVEAU N1 GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance

Plus en détail

Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale

Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Dossiers de suivi de stage - Rapport intermédiaire de Mission A rendre courant février (date précisée sur le site et sur

Plus en détail

Techniques d accueil clients

Techniques d accueil clients Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit

Plus en détail

Document d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables

Document d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables Document d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables A - Compétences générales et transversales liées à l exercice des métiers

Plus en détail

L'identité de l'entreprise

L'identité de l'entreprise L'identité de l'entreprise ACT Formation 181 à 203 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon Tél. 33 00/4 72 73 48 79 Fax 33 00/4 72 73 11 20 email : info@actformation.fr www.actformation.fr ACT Formation SA 1 route

Plus en détail

Cours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation

Cours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation Cours Informatique de base INF-B101-2 Alphabétisation Présentation du cours Informatique de base «La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'amérique.» José Maria Eça

Plus en détail

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Université de Bangui. Modélisons en UML

Université de Bangui. Modélisons en UML Université de Bangui CRM Modélisons en UML Ce cours a été possible grâce à l initiative d Apollinaire MOLAYE qui m a contacté pour vous faire bénéficier de mes connaissances en nouvelles technologies et

Plus en détail

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

TABLE DES MATIERES 521

TABLE DES MATIERES 521 TABLE DES MATIERES 521 Claude GAUTIER Sandra LAUGIER... Présentation...5 I - LES LIEUX DU SENS COMMUN...25 Vincent DESCOMBES... Réflexions sur la pluralité des sens communs...27 Comment définir le sens

Plus en détail

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS? Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont

Plus en détail

Introduction à la relativité générale

Introduction à la relativité générale Introduction à la relativité générale Bartolomé Coll Systèmes de référence relativistes SYRTE - CNRS Observatoire de Paris Introduction à la Relativité Générale Préliminaires Caractère théorique (formation)

Plus en détail

MASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008

MASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008 Année 2007/2008 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER RECHERCHE Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS DES SCIENCES Spécialité Histoire et Philosophie des Sciences Unités de Formation et de

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

N 334 - SIMON Anne-Catherine

N 334 - SIMON Anne-Catherine N 334 - SIMON Anne-Catherine RÉALISATION D UN CDROM/DVD CONTENANT DES DONNÉES DU LANGAGE ORAL ORGANISÉES EN PARCOURS DIDACTIQUES D INITIATION LINGUISTIQUE A PARTIR DES BASES DE DONNÉES VALIBEL Introduction

Plus en détail

IAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.

IAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes. sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr

Plus en détail

Des cartes pour comprendre un monde complexe

Des cartes pour comprendre un monde complexe Des cartes pour comprendre un monde complexe Propositions de séquences en TES/L et en TS sur le cours introductif de géographie par Damien LOQUAY, EEMCP2 en Tunisie Ce que disent les programmes Terminale

Plus en détail