CRÉATION D UNE BASE DE DONNÉES PHYTOÉCOLOGIQUES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CRÉATION D UNE BASE DE DONNÉES PHYTOÉCOLOGIQUES"

Transcription

1 THÈME 3. ÉCOSYSTÈMES ET BIODIVERSITÉ FORESTIÈRE CRÉATION D UNE BASE DE DONNÉES PHYTOÉCOLOGIQUES POUR DÉTERMINER L AUTÉCOLOGIE DES ESPÈCES DE LA FLORE FORESTIÈRE DE FRANCE JEAN-CLAUDE GÉGOUT Il existe en France plusieurs bases de données ayant pour objectif l étude de différentes parties des écosystèmes naturels. La base de données DONESOL (Jamagne et al., 1995) est élaborée par la communauté des pédologues et permet la gestion des données édaphiques recueillies dans le cadre de la cartographie des sols de France. SOPHY est une base de données floristiques qui a pour vocation le stockage des relevés phytosociologiques réalisés sur le territoire français (de Ruffray et al., 1989). La base de données écologiques de l IFN a pour objectif de compléter les données dendrométriques des placettes forestières par des données écologiques et floristiques accessibles sur le terrain en toute saison. DONESOL et SOPHY concernent chacun un seul compartiment de l écosystème respectivement le sol et la flore. La base de données écologiques de l IFN ne comprend que des données écologiques rapidement accessibles sur le terrain et des données floristiques disponibles tout au long de l année. Ces trois sources de données sont, de fait, peu adaptées à l étude précise du comportement des espèces de laflore forestière vis-à-vis des principaux facteurs du sol et du climat. Dans ce contexte, l ENGREF a décidé d élaborer, à partir de sources variées réseaux de placettes, catalogues des stations forestières, thèses, une base de données phytoécologiques complètes afin d étudier précisément le comportement et le caractère indicateur des espèces visà-vis des facteurs climatiques et édaphiques. La base se compose de relevés floristiques et écologiques complets effectués sur un grand nombre de placettes réparties sur toute lafrance. Les variables écologiques de terrain, insuffisantes pour expliquer complètement la distribution des espèces végétales, sont complétées, pour lapartie édaphique, par des analyses de sol effectuées en laboratoire et, pour lapartie climatique, par des variables issues de données météorologiques ou mésoclimatiques spatialisées et traitées à l aide d un système d information géographique (SIG). DONNÉES DISPONIBLES Plusieurs sources de données comprenant, sur chaque placette étudiée, un relevé floristique avec l abondance des espèces, la description des conditions écologiques et des analyses chimiques réalisées au moins sur l horizon A(de surface) du sol peuvent être intégrées dans la base. Rev. For. Fr. LIII

2 J EAN-C LAUDE G ÉGOUT Les quelque relevés disponibles actuellement sont les suivants : environ placettes utilisées comme exemples types dans une centaine de catalogues de stations forestières réparties sur l ensemble de lafrance ; 540 placettes du réseau européen réparties sur l ensemble de lafrance (Badeau, 1998) ; 470 placettes utilisées dans la thèse de Gégout (1995) et situées dans le massif vosgien ; 400 placettes réalisées dans le cadre de l étude sur l autécologie du Pin laricio dans la région Centre (Gilbert et al., 1995) ; 100 placettes du réseau national de suivi àlong terme des écosystèmes forestiers (RENE- COFOR) distribuées sur la France entière (Brêthes et Ulrich, 1997 ; Dobremez et al., 1997 ; Ponette et al., 1997) ; 100 placettes du travail de thèse de Bergès (1998) distribuées dans l Est et le Centre de la France ; 50 placettes réalisées dans l Est de la France par l équipe Écosystèmes forestiers de l ENGREF. Les relevés des catalogues des stations forestières ne sont pas saisis sous forme de fichiers informatiques. Les autres données sont disponibles sous forme numérique. STRUCTURE DE LA BASE La base est structurée de manière à organiser de façon pertinente les informations relatives aux relevés. Un relevé correspond à une description de variables (floristiques, pédologiques ) sur une portion de territoire, la placette, à une période définie. Il correspond donc à une unité d espace et de temps. La base est structurée en 11 tables principales permettant le stockage et la gestion des données floristiques (3 tables), pédologiques (5 tables) et climatiques (1 table) (figure 1, p. 399) décrites dans les relevés. De plus, les informations relatives àl étude contenant les données sont stockées dans une table spécifique. Les tables ont été créées de façon àlimiter l information redondante et à dissocier les informations rencontrées avec des fréquences très différentes. Ce principe a, par exemple, conduit à dissocier la description des horizons du sol des analyses effectuées sur ces horizons. PRINCIPAUX CHAMPS DE LA BASE Quatre catégories de champs sont intégrées dans la base : les champs qui décrivent l origine et la disponibilité des données ; ceux qui permettent leur localisation dans le temps et dans l espace ; ceux qui précisent la méthodologie employée pour obtenir les données ; enfin, les champs écologiques et floristiques nécessaires àl étude du comportement des espèces. Les champs décrivant l origine d es d onnées comprennent des indications sur les auteurs et les financeurs des relevés, permettent de référencer complètement l étude dont ils sont issus et renseignent sur d éventuelles restrictions d utilisation des données. Ces champs sont contenus dans la table étude. Plusieurs champs, essentiellement stockés dans la table placette, sont utilisés pour localiser l e s r e l e v é s d a n s l e s p a c e e t d a n s l e t e m p s. Le stockage de la localisation géographique dans 398 Rev. For. Fr. LIII

3 Thème 3.Écosystèmes et biodiversité forestière figure 1 REPRÉSENTATION SIMPLIFIÉE DES TABLES ET DES CHAMPS DE LA BASE DE DONNÉES PHYTOÉCOLOGIQUES Étude Végétation Espèce Nomenclature Auteur étude Année Référence Organisme Restrictions Nb relevés Méthodes Observation Date Surface Recouvr. Formation Classement Code Tax. Strate Abondance Code Latin Français Placette Localisation Précision Altitude Topographie Température Précipitation ETP Déf. hydrique Nom de la table Nom des champs Auteur Numéro Profil Date Prof. enrac. Ap. hydr. RU Humus Ap. efferv. Mat. parental Géologie Perturbat. Horizon holorganique Recouvr. Épaisseur Horizon min. Plafond Plancher Couleur Taches Texture E. grossiers Effervesc. Structure Compacité Humidité Analyse Profil Date Laboratoire Méthodes Anal. Horizon Texture ph Ca Mg K Aluminium N total NH 4 NO 3 Phosphore plusieurs systèmes de coordonnées (Lambert local, Lambert II étendu, grades et degrés) permet de rechercher aisément la position des relevés sur des cartes topographiques et d échanger les données d une base ou d un pays àl autre. Pour chaque relevé, la précision de localisation est indiquée et pourra permettre de retrouver sur le terrain les placettes localisées précisément à l aide d un système de positionnement par satellite (GPS) pour des études dynamiques. Le croisement, dans un système d information géographique, des relevés localisés avec des variables spatialisées en tout point du territoire permet d autre part d acquérir de nouvelles données (météorologiques, ou altimétriques par exemple) qui enrichissent la base. La date de réalisation des relevés est importante pour détecter d éventuels biais liés àla période de réalisation des relevés floristiques ou pour étudier la dynamique de phénomènes pédologiques ou floristiques pendant plusieurs années. Les c h a m p s m é t h o d o l o g i q u e s sont utilisés pour indiquer le protocole de détermination des valeurs des variables. Ils concernent essentiellement la mesure des variables relatives aux relevés floristiques et aux analyses de sols. Les champs concernés sont placés dans la table décrivant l étude et dans celle consacrée aux analyses physico-chimiques communes à l ensemble des horizons d un profil (table Analyse Profil de lafigure 1, ci-dessus). Rev. For. Fr. LIII

4 J EAN-C LAUDE G ÉGOUT Les champs concernant l analyse du c omportement d es espèc es sont stockés dans toutes les tables sauf les tables Étude et Analyse Profil. Le choix des variables retenues repose essentiellement sur les principes de pertinence et de standardisation. Les variables non pertinentes pour expliquer le comportement des espèces comme les variables topographiques complexes n ont pas été retenues. Par contre, toutes les variables liées aux facteurs (lumière, température, bilan en eau, alimentation minérale, aération du sol) qui expliquent le développement des espèces ont été, autant que possible, introduites dans la base. D autre part, les variables standardisées, faciles àdécrire, issues d analyses en laboratoire, de traitements SIG, ou communes avec d autres bases de données, ont été favorisées. Ainsi, les variables et les modalités ont été définies pour être compatibles au mieux avec les bases de données existantes : DONESOL, SOPHY, Réseau européen et RENECOFOR. Les variables climatiques stockées ont trait au macroclimat (températures et précipitations moyennes annuelles, déficit hydrique), au topoclimat (pente, exposition) ou au microclimat (recouvrement des strates arborées et arbustives). Celles permettant de décrire le macroclimat sont issues de données climatiques numérisées et spatialisées par Météo France avec une précision de 1km 2 par laméthode AURELHY (Bénichou et Le Breton, 1987). Pour le topoclimat, un modèle numérique de terrain (au pas de 50 m) permet de calculer des indices de rayonnement et de déficit hydrique prenant en compte les oppositions de versant. Les variables pédologiques retenues sont celles qui permettent d évaluer : l engorgement des sols, l alimentation en eau (réserve utile, drainage latéral), la nutrition minérale en cations échangeables (calcium, magnésium et potassium), la nutrition azotée et phosphorée, enfin les phénomènes de toxicité liés aux excès d aluminium ou de calcium. UTILISATION DE LA BASE DE DONNÉES POUR L ÉTUDE DE L AUTÉCOLOGIE DES ESPÈCES Objectifs L étude formalisée du comportement et du caractère bioindicateur des espèces vis-à-vis du climat et du sol constitue lapremière utilisation de labase de données phytoécologiques. Cette analyse précise du comportement des espèces complètera les catalogues des valeurs indicatrices élaborées pour lasuisse, par Landolt (1977) et, pour l Europe centrale, par Ellenberg (Ellenberg et al., 1991). Elle sera également complémentaire de la Flore forestière française qui présente l écologie des espèces sous une forme graphique (Rameau, Mansion, Dumé, 1987 ; 1993). Elle constituera surtout la première étude du comportement des espèces, élaborée à une vaste échelle, sur les bases de l écologie quantitative. Caractérisation du comportement écologique des espèces Le comportement des espèces sera déterminé par l élaboration de courbes de réponse vis-à-vis de chaque variable étudiée (figure 2, p. 401). Ces courbes de réponse permettront d observer l évolution de lafréquence donc du taux de survie des espèces en fonction de toutes les valeurs de la variable étudiée. Les valeurs favorables seront celles pour lesquelles la fréquence de l espèce sera la plus importante. Àl inverse, les espèces seront absentes ou très peu fréquentes pour les valeurs de la variable qui leur sont défavorables. Les courbes de réponse pourront être établies à l aide de méthodes paramétriques comme la régression logistique (Ter Braak et Looman, 1986) ou de méthodes non paramétriques comme l estimation par noyau (Yee et Mitchell, 1991 ;Gégout et Pierrat, 1998). 400 Rev. For. Fr. LIII

5 Thème 3.Écosystèmes et biodiversité forestière COURBES DE RÉPONSE DE PRENANTHES PURPUREA ET PRIMULA ELATIOR VIS-À-VIS DU ph DANS LE MASSIF VOSGIEN La valeur indicatrice, égale à la valeur de ph qui correspond au mode de la courbe, est indiquée par un point sur l axe des abscisses. Prenanthes purpurea présente une large amplitude écologique vis-à-vis du ph. ÀL inverse, l amplitude écologique de Primula elatior est étroite FIGURE Fréquence 100 Fréquence Prenanthes purpurea Primula elatior ph 0 4,0 5,0 6,0 4,0 5,0 6,0 ph Deux valeurs numériques synthétiques seront calculées pour résumer le comportement de chaque espèce vis-à-vis de chaque facteur étudié (figure 2, ci-dessus) : la première, l optimum écologique, correspond à la valeur de la variable la plus favorable pour lacroissance de l espèce. Elle est utilisée comme valeur indicatrice lors de l estimation de la variable environnementale à l aide du caractère bioindicateur de la flore ; la seconde, appelée amplitude écologique, est un indice de la variété des milieux dans lesquels se développe l espèce. Cette valeur est d autant plus grande que les milieux colonisés sont différents. Résultats attendus Le principal résultat attendu est une liste exhaustive des valeurs indicatrices et amplitudes écologiques de chaque espèce vis-à-vis des principales variables affectant le comportement des espèces. Afin de faciliter les comparaisons et les synthèses au niveau européen, les principaux facteurs étudiés correspondront à ceux utilisés pour l Europe centrale et la Suisse par Ellenberg et al. (1991) et Landolt (1976) (tableau I). tableau I Paramètres pour lesquels seront calculées des valeurs indicatrices des espèces de laflore forestière de France. Les valeurs des variables édaphiques retenues seront celles mesurées sur l horizon Adu sol Facteur Variable de labase de données utilisée Équivalent Ellenberg et Landolt (Allemagne et Suisse) Aciditédu sol... ph ou S/T ou Ca échangeable R(valeurderéaction) Nutrition azotée... C/N N (valeur de nutrition azotée) Température... Tmoyenne annuelle T(valeurde température) Amplitude thermique... Amplitude thermique annuelle K(valeurdecontinentalité) Rev. For. Fr. LIII

6 J EAN-C LAUDE G ÉGOUT Outre ces résultats minimaux, deux approches développées seront diffusées si les résultats confirment leur intérêt. Il s agit de : laliste des optimums et amplitudes écologiques des espèces par rapport à uncertain nombre d autres variables édaphiques (humus, eau du sol ) ou climatiques (données thermiques ou pluviométriques mensuelles ) ; laprise en compte de l abondance des espèces si leur comportement s avère sensiblement différent pour les différents niveaux d abondance. Dans ce cas, le comportement des espèces sera différencié pour plusieurs seuils d abondance. SYNERGIE AVEC LES DONNÉES DE L INVENTAIRE FORESTIER NATIONAL Le temps et le coût alloués à la prise de données écologiques et floristiques par l IFN ne permettent pas d avoir accès aux variables issues d analyses de sol ni aux principales variables climatiques. En revanche, l IFN réalise à chaque cycle d inventaire (chaque décade) environ placettes réparties régulièrement sur toute lafrance. Les valeurs indicatrices déterminées à partir de la banque de données phytoécologiques de l ENGREF seront utilisées pour interpréter les changements de flore observés sur les placettes entre deux cycles en terme d effets de facteurs du milieu. Il sera ainsi possible de déterminer si les espèces apparues ou disparues sont par exemple plus acidiphiles que celles observées lors de précédentes missions. Les valeurs indicatrices pourront également être utilisées pour calculer l acidité des sols ainsi que la qualité de leur nutrition minérale et azotée pour chacune des placettes de l Inventaire forestier national. Des indices de bilan hydrique et de température seront également calculés sur les placettes avec le caractère bioindicateur de la flore. La prédiction d une variable écologique avec les relevés floristiques de l inventaire sera dans un premier temps réalisée en calculant la moyenne des valeurs indicatrices des espèces présentes sur chaque placette (Ellenberg et al., 1992). D autres méthodes, plus sophistiquées et mettant en œuvre l ensemble des courbes de réponse des espèces, pourront être également employées (Gégout et al.). Les résultats seront analysés en termes spa tia ux pour définir, àl échelle régionale ou nationale, les zones de faible fertilité forestière ou de sensibilité des écosystèmes aux changements globaux. D un point de vue t e m p o r e l, les estimations des paramètres environnementaux à l aide de la flore pourront être comparées d un cycle de l Inventaire au suivant (réalisé 10 à 15 ans plus tard). Cette interprétation écologique des changements de flore ouvre la voie à l utilisation des placettes de l IFN comme observatoire de l effet des changements globaux sur les écosystèmes forestiers. Par son travail àl échelle de l ensemble du territoire français et des données renouvelées sur de longues périodes, l IFN pourra donc tirer pleinement parti de la base de données phytoécologiques élaborée à l ENGREF. Jean-Claude GÉGOUT UMR Ressources Forêt-Bois Équipe Écosystèmes forestiers et Dynamique du Paysage ENGREF 14, rue Girardet CS 4216 F NANCY CEDEX (gegout@engref.fr) La réalisation de la base de données phytoécologogiques décrite dans cet article est financée par l ENGREF, le ministère de l Agriculture (Direction de l Espace rural et de laforêt) et l Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Énergie. 402 Rev. For. Fr. LIII

7 Thème 3.Écosystèmes et biodiversité forestière BIBLIOGRAPHIE BADEAU (V.). Caractérisation écologique du réseau européen de suivi des dommages forestiers bilan des opérations de terrain et premiers résultats. Les Cahiers du DSF, n 5, Paris :Ministère de l Agriculture et de lapêche DERF. 211 p. (ISSN ). BÉNICHOU (P.), LE BRETON (O.). Prise en compte de la topographie pour la cartographie des champs pluviométriques statistiques. La Météorologie, vol. 7, n 19, 1987, pp BERGÈS (L.). Variabilité individuelle et collective de la croissance et de la densité du bois de Quercus petraea (Matt.) Liebl. en relation avec les facteurs écologiques. Nancy : ENGREF, p. (Thèse de Doctorat en Sciences forestières). BRÊTHES (A.), ULRICH (E.) (coordinateurs). RENECOFOR Caractéristiques pédologiques des 102 peuplements du réseau. Fontainebleau :Office national des Forêts Département des Recherches techniques, p. (ISBN ). DOBREMEZ (J.-F.), CAMARET (S.), BOURJOT (L.), ULRICH (E.), BRÊTHES (A.), COQUILLARD (P.), DUMÉ (G.), DUPOUEY (J.-L.), FORGEARD (F.), GAUBERVILLE (C.), GUEUGNOT (J.), PICARD (J.-F.), SAVOIE (J.-M.), SCHMITT (A.), TIMBAL (J.), TOUFFET (J.), TREMOLLIÈRES (M.). RENECOFOR :Inventaire et interprétation de la composition floristique de 101 peuplements du réseau (campagne 1994/95). Fontainebleau : Office national des Forêts Département des Recherches techniques, p. (ISBN ). ELLENBERG (H.), WEBER (H.E.), DÜLL (R.), WIRTH (V.), WERNER (W.), PAULIßEN (D.). Zeigerwerte von Pflanzen in Mitteleuropa. Scripta geobotanica, 18, 1992, pp GÉGOUT (J.-C.). Étude des relations entre les ressources minérales du sol et la végétation forestière dans les Vosges. Nancy : Université de Nancy I, p.(thèse). GÉGOUT (J.-C.), PIERRAT (J.-C.). L Autécologie des espèces végétales : une approche par régression non paramétrique. Écologie, vol. 29, n 3, 1998, pp GÉGOUT (J.-C.), HERVÉ (J.-C.), HOULLIER (F.), PIERRAT (J.-C.). Using vegetation to predict ph in the forests of the Vosges Mountains. J. Veg. Sci., accepté. GILBERT (J.-M.), CHEVALIER (R.), DUMAS (Y.). Autécologie du Pin laricio de Corse dans le secteur ligérien (Pays-de-la-Loire et Centre). CEMAGREF, groupement de Nogent-sur-Vernisson, p. JAMAGNE (M.), HARDY (R.), KING (D.), BORNAND (M.). La Base de données géographique des sols de France. Étude et Gestion des Sols, 2, 3, 1995, pp LANDOLT (E.). Ökologische Zeigerwerte zur Schweizer flora. Zürich : Veröff. Geobot. Inst. ETH, PONETTE (Q.), ULRICH (E.), BRÊTHES (A.), BONNEAU (M.), LANIER (M.). RENECOFOR Chimie des sols dans les 102 peuplements du réseau. Fontainebleau : Office national des Forêts Département des Recherches techniques, p. (ISBN ). RAMEAU (J.-C.), MANSION (D.), DUMÉ (G.). Flore forestière française - guide écologique illustré tome 1: plaines et collines. Paris :Institut pour le Développement forestier, p. RAMEAU (J.-C.), MANSION (D.), DUMÉ (G.). Flore forestière française - guide écologique illustré tome 2: montagnes. Paris :Institut pour ledéveloppement forestier, p. RUFFRAY (P. de), BRISSE (H.), GRANDJOUAN (G.), HOFF (M.). SOPHY, une banque de données phytosociologiques ; son intérêt pour laconservation de lanature. Actes du colloque Plantes sauvages et menacées de France : bilan et protection, Brest, 8-10 octobre Paris : BRG, pp TER BRAAK (C.J.F.), LOOMAN (C.W.N.). Weighted averaging, logistic regression and the Gaussian response model. Vegetatio, 65, 1986, pp YEE (T.W.), MITCHELL (N.D.). Generalized additive models in plant ecology. J. Veg. Sci. 2, 1991, pp S erv eu rs W eb INVENTAIRE FORESTIER NATIONAL. Banque de données écologiques - KING (D.), SOUCHÈRE (V.). Le Système d information des sols de France :base de données DONESOL - INRA, centre d Orléans. RUFFRAY (P. de), BRISSE (H.), GRANDJOUAN (G.). Sophy :banque de données botaniques et écologiques - Association d Informatique Appliquée àla Botanique (AIAB). Rev. For. Fr. LIII

La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase

La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase Journée Bases de Données Besançon 21 mars 2013 La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase François Gillet Université de Franche-Comté CNRS UMR 6249 Chrono-environnement

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

TELA BOTANICA Le réseau des botanistes francophones. Daniel MATHIEU, président dmathieu@tela-botanica.org Montpellier, FRANCE

TELA BOTANICA Le réseau des botanistes francophones. Daniel MATHIEU, président dmathieu@tela-botanica.org Montpellier, FRANCE Daniel MATHIEU, président dmathieu@tela-botanica.org Montpellier, FRANCE Mettre les botanistes en réseau autour de projets concrêts Objectifs Collecter données et connaissances Sensibiliser et former Tela

Plus en détail

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN GIP Ecofor Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN P. Riou-Nivert (IDF) avec J.-C. Hervé (Engref/IFN), B. Piton (Engref), T. Belouard, J.-P. Renaud, C. Cluzeau, A. Colin

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ

Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres

Plus en détail

Approche quantitative de la réponse écologique des espèces végétales forestières à l échelle de la France

Approche quantitative de la réponse écologique des espèces végétales forestières à l échelle de la France Approche quantitative de la réponse écologique des espèces végétales forestières à l échelle de la France Christophe Coudun To cite this version: Christophe Coudun. Approche quantitative de la réponse

Plus en détail

LE NOUVEAU FICHIER ÉCOLOGIQUE DES ESSENCES. POURQUOI ET COMMENT?

LE NOUVEAU FICHIER ÉCOLOGIQUE DES ESSENCES. POURQUOI ET COMMENT? LE NOUVEAU FICHIER ÉCOLOGIQUE DES ESSENCES. POURQUOI ET COMMENT? HUGUES CLAESSENS* EVA BIFOLCHI STEPHEN BYTHELL SOPHIE CORDIER ADELAÏDE DE BONT ARTHUR DESJONQUÈRES SORAYA IBOUKASSENE FRANÇOIS RIDREMONT

Plus en détail

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE

Plus en détail

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES

UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES Mémoire pour l obtention de Diplôme d Etudes Approfondies (D.E.A.) en Biologie et Ecologie Végétales Option

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE

AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

Formulaire d'adhésion PEFC

Formulaire d'adhésion PEFC Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder?

Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder? Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder? H. Chevalier, M. Gosselin, Sebastian Costa, Y. Paillet, M. Bruciamacchie To cite this version: H.

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour

Plus en détail

Les Français et la nature

Les Français et la nature Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Le réseau d étude et de surveillance des écosystèmes forestiers québécois

Le réseau d étude et de surveillance des écosystèmes forestiers québécois Note de recherche forestière n 122 Le réseau d étude et de surveillance des écosystèmes forestiers québécois Catherine PÉRIÉ et Rock OUIMET F.D.C. 181.4(047.3)(714) L.C. SD 387.E58 Résumé La forêt québécoise

Plus en détail

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

LIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand

LIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand 22 09 2010 VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand Mathieu BOOGHS Guillaume COUEPEL Caroline COUFFIGNAL Aurore DESGROUX Morgane GRASSELLY Estelle PAULHIAC LIVRET D AMENAGEMENT Vulgarisation d une

Plus en détail

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées

Plus en détail

Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR

Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique

Plus en détail

Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?

Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? 11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?

Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

Synthèse du questionnaire en ligne

Synthèse du questionnaire en ligne èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8 Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a

Plus en détail

L offre de master orientée «forêt»

L offre de master orientée «forêt» L offre de master orientée «forêt» à AgroParisTech Nancy JD Bontemps, H Wernsdörfer, AgroParisTech - centre de Nancy jdbontemps.agroparistech@gmail.com Holger.wernsdorfer@agroparistech.fr CAQSIS 2014,

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

Les bases de données Les systèmes d informations

Les bases de données Les systèmes d informations 2 Les bases de données Les systèmes d informations Surface annuelle moyenne brûlée (en ha) 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 0 Part de la surface forestière brûlée (en %) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5

Plus en détail

Les bases de données en ligne

Les bases de données en ligne Les bases de données en ligne Information-documentation, 1 ère Bac pro et BTSA La liste des bases de données présentées ici n est pas exhaustive. A vous de développer votre connaissance des sites Internet

Plus en détail

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

Le nouvel inventaire forestier de l IFN

Le nouvel inventaire forestier de l IFN Le nouvel inventaire forestier de l IFN Un sondage systématique et annuel The new French forest inventory a systematic and annual sampling Bélouard, Thierry (1) ; Vidal, Claude (2) ; Hervé, Jean-Christophe

Plus en détail

Formation FORÊT Les massifs

Formation FORÊT Les massifs Formation FORÊT Les massifs Ateliers du patrimoine naturel de Picardie Rémi François Paul Janin 20/04/2014 Tour d horizon des principaux massifs picards Retz : l héritage de la futaie cathédrale Dominance

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica. Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Création et administration de SIG de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012

Plus en détail

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie»

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» «Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» Dr. Alexandru BADEA Directeur Applications Spatiales Agence Spatiale Roumaine Tél : +40(0)744506880 alexandru.badea@rosa.ro

Plus en détail

La gestion forestière et le SIG. Forum ESRI 2007 11 oct. 2007

La gestion forestière et le SIG. Forum ESRI 2007 11 oct. 2007 La gestion forestière et le SIG Forum ESRI 2007 11 oct. 2007 La gestion forestière Le terme «gestion forestière» regroupe toutes les interventions de conseils, de besoins administratifs, de travaux forestiers,

Plus en détail

Système Management Environnemental

Système Management Environnemental Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin

Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin FICHE AGRI - MIEUX août 2011 Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin Pourquoi est-il important de connaître les sols? ARAA Objectifs de ce document Ce document présente une synthèse

Plus en détail

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

ApplicaSol, la base de données des applications thématiques

ApplicaSol, la base de données des applications thématiques ApplicaSol, la base de données des applications thématiques Millet Florent, INRA US-InfoSol Séminaire de mi-parcours 18-19 oct 2012 Contexte du projet Axe 3 : Réseau Mixte Technologique «Sols et Territoires»

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE. Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Élaboration du volet «éolien» du schéma régional du climat, de l air et de l énergie DREAL Nord Pas de Calais Service ECLAT CCTP volet éolien du SRCAE page 1

Plus en détail

Environmental Research and Innovation ( ERIN )

Environmental Research and Innovation ( ERIN ) DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux

Plus en détail

16- Grand lac Shaw Portrait 2006

16- Grand lac Shaw Portrait 2006 Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude

Plus en détail

Symboles de nos cartes

Symboles de nos cartes 2011 Cartes nationales de la Suisse Symboles de nos cartes Supplément illustré de la légende des signes conventionnels des cartes nationales (CN) de la Suisse Schweizerische Eidgenossenschaft Confédération

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN

PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

A propos de notre collège

A propos de notre collège A propos de notre collège Le programme d enseignement à l École des gardes forestiers des Maritimes, au campus de Bathurst, a débuté le 9 janvier 1980. L école changea de nom pour celui de Collège de Technologie

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

REDIGER UNE BIBLIOGRAPHIE

REDIGER UNE BIBLIOGRAPHIE Service documentation 2011/2012 REDIGER UNE BIBLIOGRAPHIE 1. Présentation 2. La bibliographie 2.1 Règles de présentation pour les documents imprimés 2.2 Règles de présentation pour les documents électroniques

Plus en détail

ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT

ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un

Plus en détail

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine

Plus en détail

La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques

La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques DRAAF Bourgogne Avril 2013 La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques La directive INSPIRE INfrastructure for SPatial InfoRmation in Europe Directive européenne qui vise à fixer les

Plus en détail

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le

Plus en détail

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD

Plus en détail

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

«Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013

«Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013 «Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013 Mangroves, Sénégal Hellio-Vaningen En octobre 2013, dans le cadre d un partenariat entre la Convention de Ramsar et le Groupe Danone,

Plus en détail

Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest

Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau

Plus en détail

Le bois, la première des énergies renouvelables

Le bois, la première des énergies renouvelables Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire

Plus en détail

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE

RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

Bref rappel du contexte et des objectifs

Bref rappel du contexte et des objectifs NOTICE POUR LA MISE EN PLACE ET LA SAISIE DES DONNEES DU PROTOCOLE DE SUIVI DENDROMETRIQUE DES RESERVES FORESTIERES Bref rappel du contexte et des objectifs La survie de plus de 20% des espèces forestières

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

2. Questionnaire pour une base de données

2. Questionnaire pour une base de données 2. Questionnaire pour une base de données Merci de remplir un questionnaire pour chaque base de données (2.1) Nom de l institution : (2.2) Nom du département ou du laboratoire : Base de données : (2.3)

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail