Enquête Nationale sur le Secteur Informel Principaux résultats

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Enquête Nationale sur le Secteur Informel Principaux résultats"

Transcription

1 Enquête Nationale sur le Secteur Informel Principaux résultats 12 octobre

2 Plan Aspects méthodologiques Présentation des unités de production informelles (UPI) Relations du secteur informel avec les autres composantes de l économie nationale Poids économique du secteur informel dans l économie nationale Caractéristiques de l emploi dans le secteur informel Perception des conditions d exercice dans le secteur informel 2

3 Aspects méthodologiques 3

4 Objectifs de l enquête sur le secteur informel Saisir les caractéristiques et le fonctionnement des unités de production informelles (UPI) ; Saisir le mode d insertion des UPI dans l économie nationale et leurs relations avec les autres secteurs ; Mesurer la contribution du secteur informel à la création de la richesse et de l'emploi; Fournir les informations nécessaires à la bonne appréhension du secteur informel dans les comptes nationaux; Appréhender la perception des dirigeants des UPI sur leur propre activité et sur son avenir. 4

5 Aspects méthodologiques Champ couvert les unités de production non agricoles qui ne disposent pas de la comptabilité selon les normes en vigueur au Maroc. les activités illicites ou illégales ne font pas partie du champ de l enquête. Période de référence Une année entière,de juin 2013 à mai 2014 Echantillonnage : une approche mixte combinant les ménages et les producteurs informels - La première phase : identifier l échantillon des unités de production informelles à partir de l'enquête nationale sur l emploi - La deuxième phase : enquêter les unités de production informelles identifiées lors de la première phase Un échantillon représentatif de unités de production informelles. Moyens humains mobilisés : 160 cadres 5

6 Présentation des unités de production informelles (UPI) 6

7 Evolution de la structure sectorielle des UPI 54,9 50,6 17,2 16,2 5,4 8,8 22,4 24, Industrie BTP Commerce Services En l espace de 6 ans et demi, le nombre d UPI est passé de 1,55 millions à 1,68 millions, soit en moyenne nouvelles unités par an (contre unités par an entre 1999 et 2007) Le secteur du commerce continue à dominer le secteur informel avec une part de 50,6%, en baisse de 4,3 points par rapport à

8 Répartition des UPI selon le type de local 87,6 56,9 52,0 47,2 58,5 39,0 51,4 43,7 A domicile 23,6 19,5 12,0 0,4 0,8 2,5 4,9 Sans local Local fixe Industrie BTP Commerce Services Total Plus de la moitié des UPI sont non localisées. L industrie abrite la plus grande proportion d unités ayant un local professionnel (56,9%) et des unités travaillant à domicile (23,6%)

9 Evolution de l'enregistrement des UPI à la taxe professionnelle selon le type de local 39,9% 39,2% 18,6% 18,1% ,3% 0,4% 2,1% 1,9% A domicile Sans local Avec local Total 18,1% des UPI disposent de la taxe professionnelle au lieu de 23,3% en ,2% pour les UPI informelles avec local et 1,9% pour les UPI sans local.

10 Evolution du niveau scolaire des chefs d UPI entre 2007 et ,5 34,4 33,6 30,4 21,1 28, ,0 3,3 Sans niveau primaire secondaire superieur Très faible niveau d instruction des chefs des UPI malgré son amélioration depuis 2007 Plus des deux tiers des chefs d UPI ont un niveau primaire ou moins

11 Evolution de la présence féminine dans la direction des UPI entre 2007 et ,8% 22,3% ,5% 5,7% 9,0% 9,9% 8,9% 8,8% ,0% 0,7% Industrie BTP Commerce Services Total Présence féminine faible : 8,8% des dirigeants des UPI sont des femmes. 57,1% dans les UPI travaillant à domicile, 8,6% dans les UPI localisées et 4,5% dans les UPI non localisées. Il est le plus élevé (22,3%) dans l industrie, le plus faible (0,7%) dans le BTP.

12 69,5% Type d'activité des chefs d'upi avant la création de leur unité 77,3% 74,8% 78,8% 75,1% 12,8% 16,0% 12,0% 9,5% 11,9% 8,6% 8,0% 5,8% 8,9% 7,7% 8,3% 0% 2,6% 2,2% 3,1% Actif occupé Chômeur Elève ou étudiant Femme au foyer Industrie BTP Commerce Services Total Les trois quarts des chefs d UPI exerçaient déjà une activité Les élèves et étudiants s orientent beaucoup plus vers le BTP ( 16%) Les femmes au foyer se dirigent beaucoup plus vers l industrie (8%)

13 Statut professionnel des chefs d UPI avant la création de leur unité 67,3% 2,6% 19,6% 3,2% 7,1% 0,3% Les deux tiers étaient salariés Un chef d UPI sur cinq était indépendant

14 Secteur d'activité des chefs d UPI avant la création de leur unité 86,7% 3,0% 6,5% 3,9% Secteur public Secteur formel Secteur informel Autre La majorité des chefs d UPI proviennent du secteur informel

15 Evolution du CA moyen entre 2007 et 2013 Secteur d'activité Industrie BTP Commerce Services Total CA moyen Le SI reste constitué en quasi-totalité de petites et micro-entreprises Avec un CA moyen de près de 245 mille DH par unité en 2013, son maximum dans le commerce (337 mille DH) et son minimum dans les services (90 mille DH) 15

16 Evolution de la structure du CA du secteur informel par secteur d'activité 76,9% 69,8% 11,5% 13,1% 4,4% 8,1% 7,2% 9,0% Industrie BTP Commerce Services En 2013, le CA du SI est de 410 milliards de DH en accroissement annuel moyen de 6,5% depuis Le commerce, malgré le reflux de son poids, reste prépondérant Les autres secteurs se sont appréciés, notamment le BTP dont le poids a presque doublé 16

17 Relations du secteur informel avec les autres composantes de l économie nationale 17

18 Structure de la Production informelle par secteur d'activité 27,2% 28,6% 37,5% 34,7% 18,6% 18,1% 16,8% 18,1% Industrie BTP Commerce Services Avec 185 milliards de DH en 2013, la production du SI enregistre une progression annuelle moyenne de 7,9% par rapport à La contribution des activités de type commercial est en baisse: elles représentent près de 34,7%, au lieu de 37,5% en

19 Evolution de la structure des approvisionnements du secteur informel selon leur origine entre 1999 et 2013 Origine Secteur public 1 1,4 Secteur formel 17,4 18,2 Secteur informel 68,8 70,9 Ménages 11,2 7 Importations directes 1,2 0,2 Autre 0 2,3 Total Le SI assure son approvisionnement par le secteur informel lui-même à hauteur de 71%, par le secteur formel à concurrence de 18,2%, par les ménages pour 7% et par le secteur public pour 1,4%. 19

20 Evolution de la structure des ventes du secteur informel selon leur destination entre 1999 et 2013 Destination Secteur public 0,4 0,2 Secteur formel 1,4 0,5 Secteur informel 21,8 21,3 Ménages 74,8 77,8 Exportations directes 0 0,2 Autre 0,1 0 Total Les ménages continuent à constituer le principal marché de la production du SI (77,8%) 21,3% aux entreprises informelles et 0,5% aux entreprises formelles La moitié des ventes des UPI opérant dans l industrie est destinée aux autres unités informelle et l autre moitié aux ménages 20

21 Poids économique du secteur informel dans l économie nationale 21

22 Evolution de l investissement du secteur informel par secteur d activité entre 2007 et Secteurs d'activité économique Secteurs d'activité économique Indicateur BTP Commerce Industrie Services Total BTP Commerce Industrie Services Total Montant de l'investissement (en millions de DH) % 1,6 33,5 17,3 47, ,3 33,3 12,2 49, L investissement total réalisé par les UPI s élève à 3, 366 milliards de DH en accroissement annuel moyen de 3,2% depuis La moitié provient des UPI des services et le tiers des UPI du commerce Les UPI ont participé pour 1,1% de la formation brute du capital au niveau national en 2013 au lieu de 1,2 % en

23 Evolution du volume de l emploi dans le secteur informel entre 2007 et 2013 Années Secteurs Volume de l'emploi dans le secteur informel en effectif Volume de l'emploi dans l'informel en % Part de l'emploi de l'informel dans l'emploi non agricole total (en%) BTP ,4 17,0 Commerce ,9 81,1 Industrie ,5 34,5 Services ,2 18,6 Total ,3 BTP ,0 21,7 Commerce ,9 68,4 Industrie ,1 37,2 Services ,1 21,5 Total ,0 36,3. Création annuelle de 24,6 mille postes entre 2007 et 2013, contre 42 mille postes entre 1999 et 2007 Presque la moitié de l emploi du secteur informel est concentrée dans le secteur du commerce (47%), en baisse de 3,9 points par rapport à 2007 Dans le commerce, près de 7 emplois sur dix proviennent du SI, au lieu de 8 emplois sur dix en

24 Evolution de la contribution de la production informelle à la production nationale Secteur d'activité Industrie 8,3% 9,6% BTP 23,8% 26,9% Commerce 47,6% 56,8% Services 6,1% 7,9% Total 10,9% 12,2%. Amélioration de la participation du SI à la production nationale au niveau global et par secteur 24

25 Evolution de la Valeur ajoutée informelle par secteur d'activités 49,0% 43,1% 12,9% 14,3% 22,8% 20,1% 18,0% 19,9% BTP Commerce Industrie Services Avec 103, 346 milliards de DH en 2013, la VA du SI s est accrue en moyenne de l ordre 6,5% par an depuis 2007 Le poids du commerce régresse sensiblement au profit des autres secteurs 11% de la VA globale du SI est distribuée sous forme de salaires et 1,6% sous forme d impôts et taxes 25

26 Evolution de la contribution de la VA informelle à la VA nationale Secteur d'activité Industrie BTP Commerce Services Total 12,4% 13,3% 25,4% 29,3% 58,3% 60,1% 5,2% 6,4% 12,3% 12,6%. Tous les secteurs ont enregistré une amélioration de la contribution de la VA informelle à la VA nationale, notamment pour le BTP, en hausse de 4 points 26

27 Contribution du secteur informel à l économie nationale Année Part dans l emploi non agricole globale Part dans le PIB ,3% 11% ,3% 11,5% 27

28 Caractéristiques de l emploi dans le secteur informel 28

29 Evolution du taux de salariat dans le secteur informel par secteur 30,5% 33,3% 25,0% 23,8% 9,7% 11,0% 15,6% 15,8% 15,8% 17,2% Industrie BTP Commerce Services Total Les salariés représentent en ,2% de l emploi du SI, en hausse par rapport à 2007 (15,8%) 17,2 % dans le SI contre 64,4% dans l emploi non-agricole global

30 Evolution de la part des femmes dans l'emploi du secteur informel 24,3% 20,1% ,7% 10,8% 10,8% 10,5% 6,5% 6,7% 0,1%,6% Industrie BTP Commerce Services Total Le taux de féminisation de l emploi informel s est établi en 2013 à 10,5%, contre 17,4% pour l ensemble de l emploi non-agricole global. Les femmes occupent un emploi sur 5 dans l industrie, tandis qu elles sont quasiment absentes dans le BTP.

31 Une faible productivité du travail dans le secteur informel Secteur d'activité Productivité par actif occupé ( en DH) Productivité horaire (en DH) BTP Commerce Industrie Services Total Un actif occupé du SI crée, en moyenne, une valeur ajoutée annuelle de DH largement en dessous de la moyenne nationale ( DH en 2013) Une heure de travail effectuée dans le SI génère près de 19 DH de valeur ajoutée, soit près de la moitié de la productivité générée par une heure de travail au niveau national 31

32 Perception des conditions d exercice dans le secteur informel Quelques résultats 32

33 Perception de l exercice d une activité informelle L indépendance : Principal avantage de l exercice d une activité informelle L avenir incertain de leurs activités résume les principales inquiétudes des chefs d UPI Faible souhait de transmission de l activité à un membre de la famille La majorité des dirigeants des UPI estime que l exercice de leurs activités se fait dans un climat hautement concurrentiel Cette concurrence est avant tout interne au secteur informel lui-même 33

34 Perception des conditions d exercice dans le secteur informel Pour financer de nouvelles créations, 82,2% des patrons ont eu recours à l autofinancement, 9,6% à l emprunt bancaire. Près de 9% des chefs d UPI déclarent avoir eu recours aux crédits bancaires (11% dans l industrie et 5,9% dans le BTP) pour le financement de leurs activités actuelles. 58,3% des demandeurs de crédit ont pu l obtenir. Dans l exercice de leurs activités, le manque de liquidité (44,5%), l exiguïté de leur marché (25%) sont les principaux obstacles rencontrés par les chefs d UPI.. 34

35 Perception des conditions d exercice dans le secteur informel Un chef d UPI sur dix déclare avoir eu des problèmes avec les agents de l'administration, une proportion portée à 13,5% pour les UPI non localisées et à 3,3% pour les UPI localisées. Pour les UPI commerciales, les conflits sont dus pour 37,6% à l occupation de l espace public et pour 26% à l encombrement de la chaussée. L activité jugée illégale (37,6%) et l abus de certains agents de l Etat (26,4%) sont avancés comme premières raisons des litiges pour les UPI du secteur des services. 35

36 Perception des conditions d exercice dans le secteur informel Plus de 90% des chefs des unités commerciales non localisées ont formulé leur désir de pouvoir bénéficier des marchés pilotes. Ces derniers mettent en avant " la proximité des clients " (47,3%) et "un coût d installation abordable" (34,1%) comme principales conditions lors de la mise en place de tels marchés. 36

37 Perception des conditions d exercice dans le secteur informel Moins de la moitié (44%) des chefs d UPI considère que les UPI semblables aux leurs sont capables de se développer. Pour 51,7% de ces derniers, le principal moyen de se développer est l augmentation du capital investi, pour 18,4% c est le choix d un emplacement stratégique et pour 12,7% c est plutôt l amélioration de la qualité de leur production. 37

38 Merci de votre attention 38

Phase 2 : Enquête sur le secteur informel

Phase 2 : Enquête sur le secteur informel REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix Travail Patrie --------------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE REPUBLIC OF CAMEROON Peace Work Fatherland ------------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS 1 DEUXIEME ENQUETE

Plus en détail

Union Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% &

Union Economique et monétaire Ouest Africaine!#$ $% & Union Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% & '( L enquête 1-2-3 dans les Etats membres de l UEMOA Le Programme régional d'appui statistique à la surveillance multilatérale des pays de l'uemoa

Plus en détail

Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire

Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Observatoire de la Microfinance Novembre 2011 Hay Chabab, Rue Baamrani Ain Sebaa Casablanca-Maroc Tel +212 522 739 089/ +212 522 739 124 Fax +212

Plus en détail

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013 Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans

Plus en détail

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

Aujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»!

Aujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»! 1 Aujourd hui vous franchissez un grand pas : vous êtes décidé, «vous créez votre entreprise»! La démarche rationnelle qui vise à élaborer un projet de création ou de reprise d entreprise doit se traduire

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Evolution des dépenses de fonctionnement en par habitant

Evolution des dépenses de fonctionnement en par habitant Evolution des dépenses de fonctionnement en par habitant R1 Autres Intérêts Personnel 239 +8% 259 +130% 104 +157% 202 +6% 213 95 7 +90% 5 4 +509% 30 9% +28% 8 38 Depuis 2004, le conseil régional a considérablement

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques 1. Contexte et enjeux de l enquête L état des lieux des collectifs d agriculteurs en PACA (Trame / FRGEDA PACA - 2010) Intérêt grandissant

Plus en détail

Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie

Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n

Plus en détail

INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE

INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015

DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques 3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

Mémoire du Congrès du travail du Canada. présenté à la

Mémoire du Congrès du travail du Canada. présenté à la Mémoire du présenté à la ministre du Travail et ministre de la Condition féminine sur l examen quinquennal de la Loi sur le programme de protection des Août 2014 Examen quinquennal de la Loi sur le programme

Plus en détail

Titre Cesu La Banque Postale

Titre Cesu La Banque Postale Titre Cesu La Banque Postale Les deux déclinaisons du Cesu Titre de Travail Simplifié (TTS) permet de rémunérer et de déclarer un salarié employé à domicile, s adresse aux entreprises, ainsi qu aux particuliers

Plus en détail

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-

Plus en détail

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3 Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs

Plus en détail

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du

Plus en détail

Diagnostic financier - Corrigé

Diagnostic financier - Corrigé Diagnostic financier - Corrigé Nous effectuerons ce diagnostic financier en présentant d abord une étude de rentabilité et de profitabilité du groupe Nestor, ensuite une étude de la structure financière

Plus en détail

Impact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar. Florence Arestoff Baptiste Venet

Impact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar. Florence Arestoff Baptiste Venet Impact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar Florence Arestoff Baptiste Venet 1 Introduction : contexte du contrat de recherche Ce contrat de recherche fait suite

Plus en détail

Encouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde

Encouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde Encouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde Marwan Berrada Chef du Service des études et de l action économique Ministère Chargé des Marocains Résidant à l Etranger

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES VILLETTE D ANTHON MARCHE EN PROCEDURE ADAPTEE ET A BONS DE COMMANDE ACTE D ENGAGEMENT

MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES VILLETTE D ANTHON MARCHE EN PROCEDURE ADAPTEE ET A BONS DE COMMANDE ACTE D ENGAGEMENT RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DÉPARTEMENT DE L ISÈRE VILLETTE D ANTHON MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES TRANSPORTS SCOLAIRES DES ECOLES ET DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT (C.L.S.H.) DE LA COMMUNE

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

Micro-crédit et lien social en Hinisie. La solidarité instituée

Micro-crédit et lien social en Hinisie. La solidarité instituée Micro-crédit et lien social en Hinisie La solidarité instituée Table des matières Introduction - 11 L Le système d'acteurs et le cadre socio-territorial 23 { CHAPITRE I Le cadrctconceptuel en matière de

Plus en détail

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,

Plus en détail

La séquence des comptes

La séquence des comptes La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

document de travail La formation professionnelle en secteur informel Rapport sur l enquête terrain au SENEGAL

document de travail La formation professionnelle en secteur informel Rapport sur l enquête terrain au SENEGAL Agence Française de Développement document de travail Juillet 2006 21 La formation professionnelle en secteur informel Rapport sur l enquête terrain au SENEGAL Version provisoire Richard Walther, Consultant

Plus en détail

L EMPLOYABILITE DES JEUNES AU MAROC

L EMPLOYABILITE DES JEUNES AU MAROC L EMPLOYABILITE DES JEUNES AU MAROC Remerciements : Je tiens, tout d abord, à remercier l Université de Barcelone et tous les Organisateurs et les Organisatrices de cette Conférence LINKING-MED-GULF de

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

COMPRENDRE LA BOURSE

COMPRENDRE LA BOURSE COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.

Plus en détail

Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux

Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes...

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes... TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 La valeur et le temps... 15 I. De la difficulté d estimer la valeur d un bien... 15 A. La valeur est une rente... 16 B. La valeur est un retour sur investissement... 18 II.

Plus en détail

RAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009

RAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009 RAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009 I. Environnement économique 2009 SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti) 31 625 Taux de croissance de l'économie 3,00% II. Environnement Institutionnel

Plus en détail

Les critères d identification des pays les moins avancés

Les critères d identification des pays les moins avancés Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml

Plus en détail

NOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014

NOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014 DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en

Plus en détail

MESURES INCITATIVES À L INVESTISSEMENT 1

MESURES INCITATIVES À L INVESTISSEMENT 1 1/9 1. Fonds de promotion de l investissement «FPI» 2 Investissement égal ou supérieur à 200 Millions Dh Création d au moins 250 emplois stables Installation dans une des provinces ou préfectures «prioritaires»

Plus en détail

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,

Plus en détail

Les opérations et autres flux

Les opérations et autres flux Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL

Plus en détail

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés BIM n - 19 février 2008 Ce BIM est réalisé en partenariat avec le Portail francophone de la microfinance : www.lamicrofinance.org.

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

Les banques en ligne et les services bancaires par internet modèle économique et évolution des plaintes de consommateurs de 2008 à 2012

Les banques en ligne et les services bancaires par internet modèle économique et évolution des plaintes de consommateurs de 2008 à 2012 N 15 Juin 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Les banques en ligne et les services bancaires

Plus en détail

13. LES CHARGES DE PERSONNEL

13. LES CHARGES DE PERSONNEL 13. LES CHARGES DE PERSONNEL 13.1. LES NOTIONS FONDAMENTALES Pour pouvoir produire des biens et services, toute entreprise doit utiliser des facteurs de production, et parmi ceux-ci le facteur travail.

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective

Plus en détail

Le compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis

Le compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés

Plus en détail

Particulier. employeur. Juin 2012. Tout. savoir. sur le. Cesu. [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! www.cesu.urssaf.

Particulier. employeur. Juin 2012. Tout. savoir. sur le. Cesu. [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! www.cesu.urssaf. Particulier employeur Juin 2012 Tout savoir sur le Cesu [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! Le Chèque emploi service universel (Cesu) L essayer, c est l adopter! Qui n a pas

Plus en détail

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO

Plus en détail

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau

Plus en détail

Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts de rémunérations en France

Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts de rémunérations en France Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts de rémunérations en France Rapport au Président de la République Mission présidée par Jean-Philippe Cotis, Directeur général de l Insee 13 mai

Plus en détail

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA)

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Mixité des sources de financement, diversité des régimes de couverture maladie : l impératif de cohérence 2 ème Conférence nationale

Plus en détail

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de

Plus en détail

Projet de création / reprise d entreprises

Projet de création / reprise d entreprises Projet de création / reprise d entreprises Repère méthodologique pour élaborer votre plan d affaires Cet outil est destiné à vous aider dans l élaboration de votre plan d affaires. Il est scindé en 2 parties

Plus en détail

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014

Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014 Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014 Généralités Les crédits à l exportation assurés par la SERV doivent être conformes aux règles de l'arrangement

Plus en détail

Présentation Opportunités de coopération à la Réunion Club Export Réunion

Présentation Opportunités de coopération à la Réunion Club Export Réunion Présentation Opportunités de coopération à la Réunion Club Export Réunion Sommaire I. Présentation du Club Export Réunion II. Présentation générale de l économie réunionnaise III. Boites à outils I. Présentation

Plus en détail

Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment?

Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment? Les allocations familiales après 18 ans : pour qui et comment? chapitre 1 Dix-huit ans! âge de la majorité, de l autonomisation, des premiers pas dans la vie adulte. Mais aussi de toute une série de droits

Plus en détail

Consommation et investissement : une étude économétrique

Consommation et investissement : une étude économétrique Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte

Plus en détail

FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION

FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION N à compléter Mise à jour : le 13/09/2007 FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION AIDE A L EQUIPEMENT DES ENTREPRISES DE MOBILISATION DES PRODUITS FORESTIERS (DISPOSITIF 123B DU PLAN DE DEVELOPPEMENT RURAL

Plus en détail

PAUVRETE ET SOURCES DE FINANCEMENT DANS LE SECTEUR INFORMEL URBAIN AU BENIN

PAUVRETE ET SOURCES DE FINANCEMENT DANS LE SECTEUR INFORMEL URBAIN AU BENIN MIMAP-Bénin PAUVRETE ET SOURCES DE FINANCEMENT DANS LE SECTEUR INFORMEL URBAIN AU BENIN Par : Djima M. MOUSTAPHA 1 Cotonou, mars 2003 1 Statisticien-Economiste, Chargé de cours à l Ecole Nationale d Economie

Plus en détail

ORIENTATIONS POUR LA CLASSE DE TROISIÈME

ORIENTATIONS POUR LA CLASSE DE TROISIÈME 51 Le B.O. N 1 du 13 Février 1997 - Hors Série - page 173 PROGRAMMES DU CYCLE CENTRAL 5 e ET 4 e TECHNOLOGIE En continuité avec le programme de la classe de sixième, celui du cycle central du collège est

Plus en détail

Mobilité des demandeurs d emploi en région du Centre. Projet : «Promotion de la mobilité en région du Centre»

Mobilité des demandeurs d emploi en région du Centre. Projet : «Promotion de la mobilité en région du Centre» Mobilité des demandeurs d emploi en région du Centre Projet : «Promotion de la mobilité en région du Centre» 1 Constats - diagnostic Etude du CSEF sur la mobilité des demandeurs d emploi (2011) et données

Plus en détail

Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE

Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE DE FRANCE A Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE 1- Objet de la demande : O Allocation de solidarité O Allocation à durée déterminée O Allocation adulte ou enfant handicapé

Plus en détail

Statistiques Exercice 2011

Statistiques Exercice 2011 Statistiques Exercice 2011 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations consignées dans ce fascicule sont communiquées à titre indicatif et ne peuvent être considérées,

Plus en détail

étude sur l incidence économique et sur la croissance d un secteur à forte valeur au Nouveau-Brunswick : les assurances

étude sur l incidence économique et sur la croissance d un secteur à forte valeur au Nouveau-Brunswick : les assurances RAPPORT SOMMAIRE étude sur l incidence économique et sur la croissance d un secteur à forte valeur au Nouveau-Brunswick : les assurances plus de 340 compagnies croissance de l emploi de 49 % au cours des

Plus en détail

PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP

PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP DOSSIER N :. PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP Emprunteur Co-emprunteur Mr Mme Mr Mme Nom d usage (en majuscules) :..... Nom de famille (nom de jeune fille) :.. Prénoms :.. Nom d usage (en majuscules)

Plus en détail

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Enquête globale transport

Enquête globale transport Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les

Plus en détail

Conseils pour l'élaboration du plan d affaires "business plan"

Conseils pour l'élaboration du plan d affaires business plan Conseils pour l'élaboration du plan d affaires "business plan" Appelé également «étude de faisabilité» ou «business plan», le plan d affaires est un document qui reprend les éléments fondamentaux d un

Plus en détail