RÉSUMÉ. d un pays que pour la vie sociale de ses citoyens. Ainsi que dans les autres pays

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1 RÉSUMÉ Le chômage a des conséquences graves tant pour la santé économique d un pays que pour la vie sociale de ses citoyens. Ainsi que dans les autres pays européens, ce problème s est aggravé en France après les crises pétrolières (1973 et 1979). Pour la France, l augmentation du chômage était liée à deux facteurs principaux. Le premier facteur concerne l expansion rapide de la population active. Ce phénomène était le résultat de : a) l importation de la main-d œuvre étrangère à cause de l insuffisance de la main-d œuvre française dans la période de reconstruction du pays après la Seconde Guerre mondiale ( ), b) l entrée sur le marché du travail de ceux qui sont nés pendant la période du baby-boom ( ) et c) l ouverture du marché du travail aux femmes à la suite du mouvement féministe dans les années En conséquence, la population active en France a progressé de façon forte et continue : d individus en 1965, en 1975, en 1985 et en Les travailleurs étrangers, les jeunes et les femmes étaient nombreux sur le marché du travail, mais ils ont été touchés par le chômage plus gravement que les autres à cause du manque de qualifications et de diplômes. Le deuxième facteur est le ralentissement économique causé par les crises pétrolières. Le taux annuel du P.I.B (le produit intérieur brut) a chuté. Le différenciel négatif avec d autres pays a conduit à la dépréciation du franc et au déficit commercial. Beaucoup d entreprises ont fait faillite et devaient ajuster leurs masses salariales aux besoins de la production. Elles sont devenues moins créatrices d emplois. (1)

2 Les informations ci-dessus indiquent la fragilité de la situation de l emploi en France au cours des années 1970 et Le taux de chômage a fortement grimpé : 2,5% en 1970, 4,0% en 1975, 6,3% en 1980, 10,2% en 1985, 9,0% en 1990 et 11,6% en Au cours des années 1990, tous les gouvernements français successifs essaient de lutter contre le chômage. Deux politiques ont été lancées : la création d activités et le partage du travail. Ces politiques se sont centrées sur la création d emploi et l aide des personnes en difficulté - notamment les jeunes dont le taux de chômage a continué de croître - pour trouver une place sur le marché du travail. La première politique a visé à créer les nouvelles entreprises (en 1994 pendant le gouvernement d Édouard Balladur ( )) et à embaucher les jeunes avec les contrats aidés comme le programme <<nouveaux services-emplois-jeunes>> (en 1997 pendant le gouvernement de Lionel Jospin ( )) alors que la deuxième politique, fondée sur le partage du travail, a développé le travail à temps partiel (sous les gouvernements de Pierre Bérégovoy ( ) et d Édouard Balladur). Même si ces politiques ont connu un certain succès, il était nécessaire d aller plus loin pour enrichir la croissance en emploi. C est pourquoi le processus de la réduction du temps de travail à 35 heures hebdomadaires était important durant cette période. Cette réduction du temps de travail, appellée aussi le partage du travail, n a pas seulement été adoptée en France, mais aussi dans plusieurs pays européens tels les Pays-Bas, l Allemagne, l Autriche et l Italie. Pour la France, cette politique a été menée en deux périodes sous la première présidence de Jacques Chirac ( ) : en 1996 pendant le gouvernement de droite d Alain Juppé et en 1997 pendant le gouvernement de gauche de Lionel Jospin. Elle poursuivait un triple objectif pour trois bénéficiaires (l État, les employeurs et les employés). Le premier objectif était de (2)

3 diminuer le chômage en créant d emplois. D après l État, cette réduction du temps de travail a été envisagée comme une occasion de répartir le temps de travail sur un plus grand nombre de salariés. Le deuxième objectif concernait la flexibilité de l organisation du travail dans l entreprise. Cette réduction du temps de travail a permis aux employeurs de remplacer leurs mains-d œuvre par les équipements, d allonger la durée d utilisation de ces équipements pour augmenter la production, de recourir à la modulation des horaires pour adapter le rythme de travail des salariés à celui de l activité, et d éviter les heures supplémentaires, le chômage partiel et les temps improductifs [...]. Le troisième objectif concernait la réponse aux attentes des employés. Cette réduction du temps de travail pouvait leur amener l augmentation du temps libre, et une amélioration de leur vie personnelle et professionnelle. La durée du travail moins longue leur a permis d avoir davantage du temps libre. Donc, les tensions ou stress existant entre le travail et la vie familiale se sont abaissés. Le remplacement progressif de nombreuses tâches difficiles et fatigants par les machines leur a également permis de travailler moins dur, et a protégé leurs corps des dangers survenant du travail. Ils vivaient de meilleures conditions de travail. En 1998, le temps maximal de travail français a été fixé à 35 heures par semaine. Quatre lois ont été promulguées : la loi <<n du 13 juin 1998 d orientation et d incitation relative à la réduction du temps de travail>> ou <<la loi Aubry I>>, la loi <<n du 19 janvier 2000 relative à la réduction négociée du temps de travail>> ou <<la loi Aubry II>>, la loi <<n du 17 janvier 2003 relative aux salaires, au temps de travail et au développement de l emploi >> ou <<la loi Fillon>>, et la loi <<n du 31 mars 2005 portant réforme de l organisation du temps de travail dans l entreprise>>. Les deux premières lois, sous (3)

4 une majorité de gauche, cherchaient à imposer le passage aux 35 heures. Les deux dernières cherchaient à corriger ce nouveau cadre légal dans le sens voulu par la majorité de droite et le patronat, c est-à-dire vers plus de flexibilité du travail. La semaine des 35 heures a été appliquée comme la durée légale du travail française à compter du 1 er janvier 2000 pour les entreprises de plus de 20 salariés et à compter du 1 er janvier 2002 pour les entreprises de 20 salariés ou moins. Cette démarche en deux étapes avait pour but de ménager les plus petites entreprises, qui se sont trouvées confrontées à des problèmes spécifiques d organisation du travail, un délai de deux ans de mise en œuvre leur permettant de rechercher les modalités d organisation les plus adaptées et les plus créatrices d emploi. Les conséquences de la réduction du temps de travail à 35 heures par semaine ont été moins satisfaisantes que prévues. Aux yeux du gouvernement de gauche, elle a pu créer de nouveaux emplois ( emplois entre 1997 et 2002) et faire baisser le chômage (12,0% en 1998, 10,1% en 2000 et 9,0% en 2002). Mais, dans la même période, l État a dépensé en aides financières plus de 15 milliards d euros, et plus de euros par an et par emploi créé. Pour beaucoupd employeurs, cette réduction du temps de travail n a pas permis de réorganiser le travail de façon plus productive. Pour les salariés, cette réduction du temps de travail n a pas pu répondre à tous les attentes. Elle a pu augmenter leur temps libre et améliorer leurs conditions de vie quotidienne, mais elle n a pas pu améliorer les conditions de travail. La baisse du temps de travail a rendu leur temps passé au travail plus fatiguant et stressant. (4)

5 Même si la France connaît la politique de la réduction du temps de travail à 35 heures hebdomadaires depuis 1998, des débats sur ses effets et son efficacité persistent. Elle devient un des sujets auquels Nicolas Sarkozy, nouveau président de la République française, s intéresse. Il vise à réformer les lois sur les 35 heures sur le slogan << Travailler plus pour gagner plus >>. (5)

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