Spectroscopie à haute résolution (spatiale) d arcs gravitationnels à z > 3 avec MUSE
|
|
- Flavie Simoneau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Spectroscopie à haute résolution (spatiale) d arcs gravitationnels à z > 3 avec MUSE Johan Richard (Durham) avec Mark Swinbank (Durham), Fabrice Lamareille (LATT) Motivation Résultats récents sur des arcs très amplifiés Science avec MUSE et les télescopes gravitationnels
2 Motivation Etude de l assemblage des galaxies à z > 3: tester la formation stellaire précoce des galaxies massives à z = 1 2 Les propriétés internes de ces galaxies, comme leur état dynamique ou la distribution des régions de formation stellaire, sont des tests importants pour les modèles de formation de galaxies. En particulier, l analyse de la dynamique des galaxies à grand z permet de distinguer des champs de vitesse chaotiques ou bien ordonnés, selon la maturité des systèmes.
3 Apport du domaine visible à z > 3 La spectroscopie visible couvre le domaine ultraviolet au repos, permettant de mesurer principalement: Les propriétés de l émission ou absorption Lyman-α, la présence d outflows La métallicité à partir des raies interstellaires comme SiII 1526 Å, FeII 1608 Å, AlII 1670 Å et SiII 1808 Å, ou de la raie stellaire CIV La dynamique de ces mêmes raies, si la galaxie est résolue spatialement La pente du continuum spectral UV (lié au rougissement et/ou à la métallicité)
4 Galaxies Lyman-Break Les instruments à optique adaptative sur les 10 m (SINFONI, OSIRIS) apportent un gain énorme en résolution spatiale (< 0.2 arcsec) échelles 1 kpc (Genzel06, Forster-Schreiber06, Law07). Les petits systèmes sont encore mal résolus... et encore moins dans le visible ( arcsec) et/ou à très grand z
5 Amplification Gravitationnelle L ajout d un amas de galaxies massif comme télescope gravitationnel va avoir un effet sur les images des sources d arrière-plan: Sources non résolues: augmente le flux total par le facteur d amplification. Permet de détecter des objets intrinsèquement plus faibles (comme les émetteurs Ly-alpha à très grand z, cf. présentation de Roser) Sources résolues: augmente la taille angulaire par le facteur d amplification (conservation de la brillance de surface) Flux total augmenté par x10-30 au centre des amas Résolution dans le plan source pc Les données peuvent être intégrées avec une résolution adaptée au rapport signal-sur-bruit
6 Historique: CB58 et nouveaux exemples CB58: première LBG très fortement amplifiée Yee et al. (1996) Depuis 2006: découverte de nouveaux systèmes: 8 o clock arc (Allam et al. 07) Sextet arc (Frye et al. 07) Cosmic Eye (Smail et al. 07)
7 RCS0224: un arc à z=5 avec VIMOS + SINFONI Swinbank et al z=4.88, amplification 16 ( 3 magnitudes), taille 15 arcsecs Mesure de la dynamique avec VIMOS (Lyα, SiII) et SINFONI ([OII]) Pas d optique adaptative. Seeing VIMOS: 0.8. Seeing SINFONI: 0.6
8 Interprétation Lyα plus étendue et décalée en vitesse de +200 ± 40 km s 1 par rapport au gaz ([OII]) raies d aborption UV décalées de -400±100 km s 1 suggère la présence de supervents liés à la formation stellaire
9 MS1358 Swinbank, Webb, Richard et al. 2009, à soumettre Comparaison de dynamique entre [OII], Lyα et SiII Célèbre arc à z=4.92 découvert par Franx et al. (1997) L* LBG, amplifiée par 12. SFR=40 M /an Observations NIFS-IFU de [OII] et spectroscopie en fente longue dans le visible. Les mesures de dynamique montrent un résultat similaire à l interprétation de RCS0224 Morphologie: montre des régions individuelles de formation stellaire
10 Echantillons actuels 1. Observation d amas lentilles connus ou susceptibles de produire une forte amplification avec HST, identification d arcs très amplifiés. 2. Mesure du redshift de ces arcs (LRIS/Keck, FORS/VLT) 3. Mesure du flux des raies en émission dans le proche infrarouge des arcs à z 2 5 ([OII], Hbeta, [OIII], Halpha), avec NIRSPEC 4. Observation des raies intenses avec SINFONI/VLT, OSIRIS/Keck 5. Reconstruction de la source sous-jacente à l aide du modèle d amplification
11 Observations complémentaires Distribution spectrale en énergie résolue: images Hubble (ACS/WFPC2 et NICMOS) multi-bandes Distribution spectrale en énergie non-résolue: images Spitzer Gaz moléculaire: détections de CO (3-2) ou CO(1-0) dans > 5 objets Spectroscopie visible profonde en fente longue: mesure de f esc et modélisation Ly-α (non résolue)
12 Distribution Spectrale en Energie
13 Situation actuelle / programmes en cours 50 amas massifs bien modélisés, utilisables pour ces programmes 20 arcs spectaculaires (étendus de 10 à 20 arcsec le long d une direction) à z> 3 Programme en cours d observations IFU en proche-infrarouge (OSIRIS et SINFONI). Préparation d un sondage d amas avec KMOS Programme WFC3 accepté pour des images complémentaires en J et H sur 10 amas (SED résolue) Programme IRAC accepté en mission non-cryogénique pour les 50 amas
14 Utilisation de MUSE sur un amas Abell 1703 (Richard et al. 2009) Champ de vue: 1 arcmin x 1 arcmin assez adapté à la région d images multiples 50% des amas ont un arc très étendu Images multiples (sources d arrièreplan): 5 à 10 systèmes à 1 < z < 7 actuellement connus pour chaque amas, réparties en 15 à 30 images Galaxies d amas: 0.2 < z < 0.6
15 MUSE sur un amas: quelle science? (1) Comparaison entre la dynamique du gaz (proche-infrarouge) et celle des raies interstellaires, pour les arcs les plus spectaculaires (très étendus) Modélisation de l émission / absorption Lyman-alpha à grand rapport signal-sur-bruit (cf. présentation d Anne) Pour les autres objets d arrière plan (arcs et images multiples, de taille plus petite), mesures de métallicité, pente du continuum UV, décalage spectral différent du proche infrarouge sur un grand nombre d objets Couverture de la ligne critique à très grand redshift: émetteurs Lyman-alpha (présentation de Roser)
16 MUSE sur un amas: quelle science? (2) Exploitation complémentaire du même champ d amas pour mesurer la distribution de masse de l amas par effet de lentille forte: Mesure directe du décalage spectral d images multiples Découverte de nouvelles images multiples à fortes raies en émission Dynamique des galaxies elliptiques d amas par les raies d absorption: mesure précise de la distribution de masse dans les sous-structures de l amas plutot que d utiliser des relations d échelle Distribution de masse: amas + galaxies d amas
17 1 Motivation 2 Apport du domaine visible à z > 3 3 Galaxies Lyman-Break 4 Amplification Gravitationnelle 5 Historique: CB58 et nouveaux exemples 6 RCS0224: un arc à z=5 avec VIMOS + SINFONI 7 Interprétation 8 MS Echantillons actuels 10 Observations complémentaires 11 Distribution Spectrale en Energie 12 Situation actuelle / programmes en cours 13 Utilisation de MUSE sur un amas 14 MUSE sur un amas: quelle science? (1) 15 MUSE sur un amas: quelle science? (2) 16 Table of Contents
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailSuivi en infrarouge-moyen avec ISO
Chapitre 6. Suivi en infrarouge-moyen avec ISO Chapitre 6 Suivi en infrarouge-moyen avec ISO 6.1 Introduction L observation des galaxies dans l infrarouge offre une opportunité unique d étudier le processus
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailUne application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies
Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailOptimisation mécanique et optique des filtres Ha Partie 1 : Filtres mica-spaced Daystar ou SolarSpectrum 1 Filtre "étalon de Fabry-Perrot" --fenêtre fenêtreoptique, optique, --BF : BF :55àà10 10AA --polarisant
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailGaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine
Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailLa magnitude des étoiles
La magnitude des étoiles 1.a. L'éclat d'une étoile L'éclat d'une étoile, noté E, est la quantité d'énergie arrivant par unité de temps et par unité de surface perpendiculaire au rayonnement. Son unité
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailIntérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale
Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,
Plus en détail[ F ] Fig.1 enregistreur indicateur HD30.1 MicroSD Card. Entrée sonde HD30.S1- HD30.S2. MiniUSB Ethernet Alimentation chargeur batterie
[ F ] [ F ] Description Le HD30.1 est un instrument fabriqué par Delta Ohm pour l analyse spectrale de la lumière dans le champ visible et ultraviolette. L instrument a été conçu en conjuguant fl exibilité
Plus en détailLa spectro, c'est facile
La spectro, c'est facile OHP Spectro Party Observatoire de Haute Provence 25-30 juillet 2014 François Cochard francois.cochard@shelyak.com La spectro, c'est facile à certaines conditions OHP Spectro Party
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailGAMME UVILINE 9100 & 9400
GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain
Plus en détailNotre galaxie, la Voie lactée
Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailSCHOTT élargit ses compétences en filtres pour l'astronomie
SCHOTT élargit ses compétences en filtres pour l'astronomie Des filtres interférentiels très complexes pour l'astronomie Mayence (Allemagne) & Clichy (France), 11 mars 2015 - SCHOTT se concentre actuellement
Plus en détailImagerie par synthèse d ouverture optique, application aux étoiles chimiquement particulières
Imagerie par synthèse d ouverture optique, application aux étoiles chimiquement particulières Jean-Baptiste LeBouquin directrices de thèse: Karine Rousselet-Perraut & Claudine Kahane Simulation des observables
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailLes objets très lointains
Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailMOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov
1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les
Plus en détailAgilent 8453 Système de spectroscopie UV-visible. Manuel de l opérateur
Agilent 8453 Système de spectroscopie UV-visible Manuel de l opérateur s1 Avertissements Agilent Technologies, Inc. 2002, 2003 Conformément aux lois nationales et internationales relatives à la propriété
Plus en détailAnticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto
Atelier 1 groupe de travail sismique franco-italo-suisse du projet Interreg Alcotra RiskNET Atelier 1 gruppo di lavoro sismico franco-italo-svizzero del progetto Interreg Alcotra RiskNET Anticiper la gestion
Plus en détailUtilisation du Cloud StratusLab dans le cadre d application astroparticule à l APC
dans le cadre d application astroparticule à l Cécile Cavet & Michèle Detournay s Centre François Arago (FACe), Laboratoire, Université Paris Diderot LabEx UnivEarthS 28 Mai 2013 Plan 1 2 3 4 s s s Origine
Plus en détailNote de cadrage du PEPI MACS Mathématiques Appliquées & Calcul Scientifique
Note de cadrage du PEPI MACS Mathématiques Appliquées & Calcul Scientifique Périmètre Le périmètre du PEPI concerne les méthodes et outils utilisés pour le traitement informatisé des données scientifiques.
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailNUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES
NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10
Plus en détailStructur 3. Brillant sans polissage. Structur 3. Composite pour la fabrication de couronnes
Composite pour la fabrication de couronnes et bridges provisoires Brillant sans polissage Les 3 pour des couronnes et bridges brillants est un composite autopolymérisant pour la fabrication de couronnes
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailMagnitudes des étoiles
Magnitudes des étoiles 24/03/15 Observatoire de Lyon 24/03/15 () Magnitudes des étoiles Observatoire de Lyon 1 / 14 Magnitude apparente d une étoile Avant la physique... Hipparque, mathématicien et astronome
Plus en détailLe monde fascinant des galaxies
Le monde fascinant des galaxies Introduction Au XVIIIe siècle, l'anglais Thomas Wright étudie la Voie lactée et montre que le Soleil se trouve à l'intérieur d'un disque plat constitué d'étoiles: c'est
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailGAMME UviLine 9100 & 9400
Agro-alimentaire/Biotechnologie/Enseignement/Recherche/Santé/Industrie GAMME UviLine 9100 & 9400 Spectrophotomètres UV & Visible Une combinaison intelligente d innovations n Excellente précision de mesure
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailProspective: Champ de gravité, méthodes spatiales
Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que
Plus en détailLes impulsions laser sont passées en quarante ans de la
Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier
Plus en détailTHEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.
THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des
Plus en détailVers le Big Data? Exemple de la gestion des données astronomiques au Centre de Données astronomiques de Strasbourg
Vers le Big Data? Exemple de la gestion des données astronomiques au Centre de Données astronomiques de Strasbourg Plan Les données astronomiques L'exemple du CDS Et plus particulièrement le travail des
Plus en détailSi la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile
Red shift or blue shift, that is the question. a) Quand une source d onde se rapproche d un observateur immobile, la longueur d onde λ perçue par l observateur est-elle plus grande ou plus petite que λo
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailP2: Perception auditive
P2: Perception auditive Daniel Pressnitzer Laboratoire des Systèmes Perceptifs, CNRS & Département d études cognitives, Ecole normale supérieure 29 rue d Ulm, 75230 Paris cedex 05 daniel.pressnitzer@ens.fr
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailPoste 4 le montage. Le montage
1/11 Le montage Conseils et astuces pour le montage de clips vidéo Situations de montage modèles Exercice pratique Information aux enseignants: logiciel de traitement vidéo 2/11 Un montage parfait! Description
Plus en détailRetour d expérience en Astrophysique : utilisation du Cloud IaaS pour le traitement de données des missions spatiales
Retour d expérience en Astrophysique : utilisation du Cloud IaaS pour le traitement de données des missions spatiales Cécile Cavet cecile.cavet at apc.univ-paris7.fr Centre François Arago (FACe), Laboratoire
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailSimulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris
Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB Zakaria Meliani Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Janvier 2007 Les grandes lignes de la présentation Les propriétés
Plus en détailLe satellite Gaia en mission d exploration
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)
Plus en détail101 Adoptée : 12 mai 1981
LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailEFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.
EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)
Plus en détailElectron S.R.L. SERIE B46 - SYSTEMES DIDACTIQUES DE TELEPHONIE
Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment SERIE B46 - SYSTEMES DIDACTIQUES DE TELEPHONIE Specifications may change without notic Page 1 of 9 File BROCHURE B46xx B4610 UNITE DIDACTIQUE
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailDes MOEMS dans les instruments astronomiques du futur
Des MOEMS dans les instruments astronomiques du futur Frederic Zamkotsian 1, Patrick Lanzoni 1, Michael Canonica 2, Wilfried Noell 2, Laurent Marchand 3 Laboratoire d Astrophysique de Marseille, France
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailCoup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones
Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones Les réseaux de neurones peuvent être utilisés pour des problèmes de prévision ou de classification. La représentation la plus populaire est le réseau multicouche
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détailNotice d emploi Sonomètre PCE-353
Notice d emploi Sonomètre PCE-353 PCE Instruments France EURL 76, Rue de la Plaine des Bouchers 67100 Strasbourg France Tel: +33 (0) 972 3537 17 Fax: +33 (0) 972 3537 18 info@pce-france.fr www.pce-france.fr
Plus en détailTangible Experience. 1. Pésentation et historique. 2. Considérations techniques et débouchés.
Tangible Experience 1. Pésentation et historique. 2. Considérations techniques et débouchés. 1. PRESENTATION Pour une première présentation générale du projet, prière de vous référer au document joint
Plus en détailSpectrophotomètres. Spectrophotomètres modèle 6700. Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques
Spectrophotomètres Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques Forte de son expérience en spectrophotométrie, la société Jenway a mis au point une série de spectrophotomètres nouvelle génération.
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailChapitre I La fonction transmission
Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés
Plus en détailDidier Pietquin. Timbre et fréquence : fondamentale et harmoniques
Didier Pietquin Timbre et fréquence : fondamentale et harmoniques Que sont les notions de fréquence fondamentale et d harmoniques? C est ce que nous allons voir dans cet article. 1. Fréquence Avant d entamer
Plus en détailDétecteur à fluorescence Agilent Infinity 1260
Détecteur à fluorescence Agilent Infinity 1260 Manuel d'utilisation Agilent Technologies Avertissements Agilent Technologies, Inc. 2010-2012, 2013 Conformément aux lois nationales et internationales relatives
Plus en détailDEMONSTRATION AMIENS
THERMOGRAPHIE INFRAROUGE DES INSTALLATIONS ELECTRIQUE SUIVANT LE DESCRIPTIF TECHNIQUE APSAD D19 DEMONSTRATION AMIENS Page 1 / 18 Rapport de contrôle Client : DEMONSTRATION Lieu d'intervention : AMIENS
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détailL'univers des étoiles massives
Université d'aix-marseille L'univers des étoiles massives Habilitation à Diriger des Recherches 12 Mars 2013 Présentée par Delphine Russeil Jury composé de: P. Amram V. Buat G. Joncas (rapporteur) E. Le
Plus en détailCommunications numériques
Communications numériques 1. Modulation numérique (a) message numérique/signal numérique (b) transmission binaire/m-aire en bande de base (c) modulation sur fréquence porteuse (d) paramètres, limite fondamentale
Plus en détailExo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation
Collège de France Chaire d Astrophysique Observationnelle Exo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation Cous à Paris les mardis de Janvier et Mars cours à Marseille le 20 Février, à Nice
Plus en détail16-700 / 16-701 / 16-702 / 16-703 Système de distribution audio A44/A88 Logiciel PC
Système de distribution audio A44/A88 Logiciel PC 1. Configuration requise 2. Installation du logiciel 3. Liaison avec le PC 4. Utilisation du logiciel en mode standard 4.1. Connexion 4.2. Adapter les
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailTechnologie de mesure professionnelle au format de poche
Technologie de mesure professionnelle au format de poche Equipements de mesure pour le chauffage, la climatisation et la ventilation testo 810 testo 610 testo 606-1/-2 testo 410-1/-2 testo 510 testo 511
Plus en détailRecommandations de bon usage. des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs. Recommandations de bon usage. www.afssaps.
Recommandations de bon usage Recommandations de bon usage des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs Juillet 2011 Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé 143-147
Plus en détail