Réhabiliter en accessibilité les logements existants pour favoriser le maintien à domicile des personnes âgées ou en difficulté Conclusions
|
|
- Adrien Jobin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réhabiliter en accessibilité les logements existants pour favoriser le maintien à domicile des personnes âgées ou en difficulté Conclusions L engagement des professionnels Février
2 Préliminaire Le débat national sur la dépendance, en France (février-juillet 2011), a été l occasion de remettre en lumière les prévisions démographiques à moyen et long terme qui laissent attendre une augmentation forte de la proportion et - plus forte encore - du nombre de personnes âgées, évolution observable dans tous les pays développés : remplacement des classes creuses de l entredeux-guerres par celles des «baby boomers» (enfants nés entre 1945 et 1974), beaucoup plus nombreuses, et élévation continuelle de l espérance de vie. Le maintien à domicile le plus longtemps possible des personnes âgées répond à la fois au choix quasi-unanime de la population et au vœu des Pouvoirs Publics qui n envisagent pas la création de nouveaux lieux d accueil collectifs (maisons de retraite ou foyers d accueil) considérés comme plus coûteux. Le champ d application de la loi du 11 février 2005 «pour l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées», précisée par la circulaire interministérielle du 30 Novembre 2007, qui impose l accessibilité pour tous, se limite aux établissements recevant du public (E.R.P.) et à la construction neuve. S agissant des logements existants, seules les rénovations de grande ampleur du secteur collectif sont concernées. L habitat diffus qui correspond à plus de 80% des logements et où réside la plus grande part des personnes âgées, vieillissantes ou handicapées n est pas touché par la réglementation. Or les chutes des personnes âgées à leur domicile sont une cause de décès fréquente et au minimum un facteur de perte d autonomie souvent suivi d un placement en établissement pour une grande partie de celles qui en réchappent. Pour permettre aux personnes âgées de continuer à vivre à leur domicile, dans la sécurité et le confort, leur logement doit être adapté à la perte progressive de leurs capacités visuelles, auditives, psychiques, de préhension et d équilibre. Le Club de l Amélioration de l Habitat, association sans but lucratif créée en 1992 à l initiative de l Anah, de plusieurs fédérations professionnelles du secteur de la construction, d architectes d industriels et de distributeurs, a fait réaliser en 2011 une recherche documentaire et une observation des pratiques des professionnels de la réhabilitation en accessibilité en France et dans quelques pays comparables pour tenter d appréhender l importance et les tendances du marché de la réhabilitation en accessibilité, dans le but du maintien à domicile des personnes âgées et en difficulté. Les résultats de ces recherches montrent que ce marché ne parvient pas à éclore malgré les nombreux efforts d organisation, de formation et de communication des professionnels concernés du Bâtiment et du monde médico-social et qu il se limite à une faible réponse «curative» à la suite de chutes ou d accidents de santé. Le principal obstacle à son développement est clairement psychologique chez les personnes vieillissantes (refus d envisager la perte d autonomie et la fin de vie) et requiert une action vigoureuse, spécifique et durable de communication des Pouvoirs Publics et des professionnels pour lever cette résistance et amener ces personnes à faire réaliser les travaux d adaptation indispensables à leur sécurité et leur confort. Ces aspects psychologiques priment de loin l aspect financier qui constitue cependant, en dépit des aides sociales et fiscales existantes, un frein supplémentaire pour les personnes les moins fortunées. 2
3 Conclusions Des efforts significatifs des professionnels encore peu couronnés de succès Les fédérations d artisans et d entreprises du Bâtiment (FFB 1 et CAPEB 2 ) sensibilisent leurs adhérents depuis la loi de 2005 au thème de l accessibilité des logements : séances d information, séminaires de formation, création de labels et de marques («Handibat» pour CAPEB et «Les Pros de l Accessibilité» pour FFB). Les Pouvoirs Publics, au travers de la publication de guides et de la mise à disposition de plaquettes ainsi que des aides financières de l Anah 3, agissent de leur côté à la fois en direction des personnes âgées et des professionnels. Les institutions de retraite fournissent également à leurs pensionnés des informations régulières sur les travaux à réaliser pour rendre les logements accessibles et leur proposent également des aides. L exemple de la Région Limousin l une des régions les plus âgées d Europe, où une coordination étroite des milieux médico-sociaux du handicap et de la gériatrie avec le secteur de la construction a été entreprise, est intéressante à observer. La Chambre Régionale des Métiers et de l Artisanat a créé un service spécialisé, le CNISAM 4, qui a pour vocation d informer et de former les artisans de différentes disciplines (Bâtiment, Taxis, ) pour favoriser l autonomie des personnes âgées et leur maintien à domicile. Le CNISAM est en lien avec le service de gériatrie du CHRU 5 de Limoges qui a créé de son côté l UPSAV 6, unité qui se rend au domicile d un échantillon de personnes âgées volontaires pour apprécier leurs conditions de vie et leurs besoins d aide et qui réalise un suivi individuel dans le temps. Ces organismes régionaux sont également à l origine de la création à Limoges de l association Autonom lab, pôle d innovation en santé et autonomie des personnes. Mais qu il s agisse des actions des fédérations nationales relayées dans chaque département, de celles de l Anah ou de l action d organismes régionaux dans le Limousin, force est de constater qu elles rencontrent peu d écho, tant en termes de proportion de professionnels formés qu en termes de demandes de travaux par les particuliers. Tout au plus les professionnels signalent-ils un mince filet d actions «curatives», notamment à la suite d une hospitalisation. S il existe bien, compte tenu de l état du parc de logements en France, un besoin important de réhabilitation pour les rendre plus accessibles, plus sûrs et plus confortables pour des personnes à l autonomie et aux capacités déclinantes, la demande «préventive» ne parvient pas à s exprimer. Des études psychosociologiques concordantes sur le refus d anticiper la perte d autonomie La recherche documentaire effectuée pour le CAH a permis de recenser plus d une centaine de documents, de rapports, de guides et d études psychosociologiques ou de sondages réalisés à la demande des Pouvoirs Publics ou des acteurs du logement social au cours des 5 dernières années. Les contributions au débat sur la dépendance n ont fait qu enrichir encore ce corpus. 1 FFB : Fédération Française du Bâtiment 2 CAPEB : Confédération de l Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment 3 Anah : Agence Nationale de l Habitat 4 CNISAM : Centre National d Innovation Santé Autonomie et Métiers 5 CHRU : Centre Hospitalier Régional Universitaire 6 UPSAV : Unité de Prévention, d Analyse et de Suivi du Vieillissement 3
4 Les conclusions de ces documents et études sont concordantes : quels que soient l âge et la catégorie sociale des personnes âgées ou vieillissantes, mais encore relativement autonomes, toutes refusent d anticiper la perte de leur autonomie et repoussent une décision éventuelle à un âge ultérieur plus avancé ou à la survenue d un accident qu elles ne veulent même pas envisager. Les freins psychologiques sont plus forts que les arguments techniques ou financiers Les personnes âgées s adaptent à la perte progressive de leur autonomie et à l inadaptation de leur logement en s appuyant - ou pas - sur leur conjoint s il vit encore - ou sur les aidants familiaux ou professionnels. L épisode dramatique de la canicule de 2003 a montré que beaucoup de personnes âgées vivaient recluses dans leur domicile sans aucun contact, pas même avec leur voisinage. Le manque de ressources est bien évidemment un obstacle supplémentaire pour engager des travaux. Mais les études du CREDOC montrent que malgré des ressources souvent modestes, le taux d épargne moyen des personnes âgées en France est le plus élevé qui soit (28%) et la plupart d entre elles disposeraient des moyens financiers nécessaires à la réalisation des travaux indispensables qui ne représentent souvent que quelques milliers d euros. L Anah et les institutions de retraite proposent des aides qui sont très peu utilisées. L intérêt d engager des travaux n est pas perçu et les solutions proposées ne sont pas appréciées Les personnes âgées se déclarent très majoritairement satisfaites de leur logement quelles qu en soient les conditions de confort et de sécurité, dans le secteur social comme dans le secteur privé. La plupart en sont propriétaires (70%), y habitent depuis de nombreuses années et n envisagent absolument plus de le quitter. Engager des travaux de confort ou de sécurité apparaît donc comme un luxe superflu et une dépense inutile. Sans compter l inquiétude de laisser pénétrer des personnes inconnues qui risqueraient d apporter, même momentanément, bruit, saleté et désordre dans un logement inchangé depuis des années, ordonné, propre, voué au calme et au repos. Seul l accident effectivement survenu (la chute) ou la maladie (l AVC) peuvent contraindre une personne ou son entourage à convenir qu un aménagement de son cadre de vie est nécessaire pour demeurer à son domicile. Encore faut-il l en convaincre avec l autorité du médecin ou le tact de l ergothérapeute ou de l assistante sociale. La «baignoire à porte» (décriée par les professionnels et le monde du bâtiment) ou la «douche à l italienne» (le «must» en matière de sécurité) ne rencontrent donc qu un intérêt spontané minime chez les personnes âgées encore autonomes. Comment changer l attitude de refus des personnes âgées? Même s agissant de leur santé, qui est pourtant leur souci principal, il est très difficile de convaincre les personnes âgées d agir en prévention 7. Face aux campagnes publicitaires de prévention, elles restent insensibles et incrédules. Les conclusions de l INPES sont de communiquer hors des formats publicitaires habituels, plutôt par de l information écrite et des émissions TV informatives. En Wallonie, l intention des organismes concernés par l adaptation des logements est de faire témoigner des personnes ayant fait réaliser des travaux sous forme de «success stories». 7 cf étude INPES 2005 «Préférences et attentes des personnes âgées en matière d information sur la santé et la prévention» 4
5 En tout état de cause, on ne parviendra à lever les freins des personnes âgées qu au terme d un vigoureux effort de communication de longue durée, particulièrement «travaillé» et testé pour être efficace, concerté entre les Pouvoirs Publics, les professionnels du bâtiment, le monde médico-social au contact de ces personnes et les grands médias. C est pourquoi le Club de l Amélioration de l Habitat préconise l organisation d une conférence préparatoire au cours de laquelle seront sollicités les organismes déjà engagés dans des réalisations concrètes : Anah, FFB, CAPEB, CRMA-CNISAM, CHRU Limoges -UPSAV, Autonom Lab, ADERE (ergothérapeutes), USH, Paris Habitat, LEGRAND, Saint-Gobain-CEDEO, GEOXIA-Maisons Phénix, Reunica Domicile ( ) rencontrés au cours de l étude conduite par le CAH en ainsi que les nombreux autres organismes non cités ici. Le Club attend de ces rencontres la décision d une action de communication de moyen terme, par exemple sur 5 ans ( ), partagée entre Pouvoirs Publics et organisations professionnelles, avec la création d un observatoire de l adaptation des logements à la perte d autonomie, mission qui pourrait être confiée au CAH, à condition que celui-ci puisse se doter d instruments de suivi. Le Club de l Amélioration de l Habitat Février
Financer les travaux d adaptation des logements
1ère Journée de l accessibilité des bâtiments et de leurs abords Maison de l Artisanat Financer les travaux d adaptation des logements 1 1er journée de l accessibilité des bâtiments et de leurs abords
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes
Plus en détail«Séniors et adaptation du logement»
«Séniors et adaptation du logement» APPROCHE QUALITATIVE & BENCH MARK Etude réalisée en dpt 37 et 71 SYNTHESE DE L ETUDE POUR LA PRESSE MARS 2015 15 rue de Bellefond, 75009 Paris // www.adjuvance.fr //
Plus en détailBien vivre votre retraite
Retraités SEPTEMBRE 2014 Bien vivre votre retraite les contacts près de chez vous Pour vous aider chez vous Le plan d actions personnalise Une offre de prise en charge globale de vos besoins pour améliorer
Plus en détailLa Mutualité en chiffres Édition 2011
La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française
Plus en détailDossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013
Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes
Plus en détailAssistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile. www.pact-habitat.org
Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile 1 LES CHAMPS D INTERVENTION DU PACT DE L YONNE L appui à la réhabilitation et à l adaptation du
Plus en détailLes seniors, une cible délaissée
Les seniors, une cible délaissée Pascale HEBEL, Franck LEHUEDE Aujourd hui, plus d un tiers de la population française a plus de 50. Depuis dix, la croissance de la part des seniors d la population s est
Plus en détailLes Français, l épargne et la retraite Enquête 2011
Les Français, l épargne et la retraite Enquête 2011 Le Cercle des Epargnants, partenaire du Groupe Generali A la demande du Cercle des Epargnants et de Generali, le Centre d Etudes et de Connaissances
Plus en détailDécembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte
Décembre 2009 Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Sommaire Introduction La loi handicap Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Résultats de l enquête nationale Recrutement, sous-traitance,
Plus en détailSeniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel.
2015 Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS Parce que les vacances, c est essentiel. Un outil innovant au service de vos politiques sociales Ce programme déployé par l ANCV depuis 2007 a
Plus en détailLa Mutualité en chiffres
La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations
Plus en détailLes Français et le handicap visuel
Janvier 015 Enquête TNS Sofres pour la Fédération des Aveugles de France Rapport de résultats 48UA53 Rappel méthodologique Echantillon Enquête réalisée par téléphone auprès d un échantillon de 1005 personnes
Plus en détailDes aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie
Action Sociale I janvier 2013 I Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie Plan d actions personnalisé Aides d urgence : ARDH et ASIR Logement et cadre de vie Secours exceptionnels Le
Plus en détailRetours d expériences ATELIER EQUILIBRE. Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes
Retours d expériences ATELIER EQUILIBRE Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes Soirée- Débat Sport-Santé - DRJSCS Poitou-Charentes 23/02/2012 viviane.granseigne@gmail.com
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailAdapter le parc de logements à l âge et au handicap
Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Jeudi 15 novembre 2007 Landivisiau Participants : CAROFF Marie-Françoise Délégué PLH Adjointe à Plounévez-Lochrist GUERNIC Françoise Armorique Habitat
Plus en détailSanté Travail Lille 2014
Santé Travail Lille 2014 Premier carrefour d échanges entre les professionnels de santé au travail et le monde des entreprises Du 3 au 6 juin 2014 Lille Grand Palais Lille Grand Palais -1 Bd des Cités
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailAide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées
Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact
Plus en détailBIEN VIEILLIR MODE D EMPLOI DOSSIER DE PRESSE. NOVEMBRE 2014 CONTACT PRESSE : Vanessa Lemoine, vanessa.lemoine@inpes.sante.fr / 01 49 33 22 42
BIEN VIEILLIR MODE D EMPLOI DOSSIER DE PRESSE NOVEMBRE 2014 CONTACT PRESSE : Vanessa Lemoine, vanessa.lemoine@inpes.sante.fr / 01 49 33 22 42 SOMMAIRE Vieillir et alors? p. 3 Un important dispositif donne
Plus en détailL Association Française des AIDANTS et le Groupe PRO BTP, partenaires pour soutenir les aidants
DOSSIER DE PRESSE L Association Française des AIDANTS et le Groupe PRO BTP, partenaires pour soutenir les aidants PARIS Mercredi 29 février 2012 Communiqué de presse p.2 L Association Française des AIDANTS
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailL ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI
L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI Les ERP «ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC» Le nouveau dispositif réglementaire Première partie CONTEXTE ET POLITIQUES PUBLIQUES Le contexte Le point de départ L accessibilité
Plus en détailBien vieillir à domicile : accompagner les seniors
Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays. Afin d élaborer des
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailLES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%
n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin
Plus en détailSecteur géographique des actions Pays du Centre Bretagne
FICHE ACTION 1 : Mise en accessibilité des locaux recevant du public dans les entreprises artisanales et commerciales Descriptif et méthodologie de mise en œuvre 1 ère phase : Sensibilisation collective
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. FESTIBAT 2010 22 Octobre 2010 10h00 à minuit Cité des Sciences & l Industrie à La Villette
DOSSIER DE PRESSE FESTIBAT 2010 22 Octobre 2010 10h00 à minuit Cité des Sciences & l Industrie à La Villette Contact Presse MNRA : Elisabeth MARZAT Tél. : 01 53 21 12 44 06 65 59 61 69 Mail : emarzat@mnra.fr
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailAssurance Arrêt de Travail
Solutions Assurances Agriculteurs Arrêt de Travail Assurance Arrêt de Travail des Agriculteurs Pour vous aider à ajuster vos garanties à votre situation et à votre type d activité, n hésitez pas à faire
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailLépine Providence DOSSIER DE PRESSE
Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense
Plus en détailCette rencontre a été organisée par le CAH à l initiative du groupe de travail «Santé
Le point sur mai 2013 LA MUTATION DÉMOGRAPHIQUE : UN ENJEU DE SOCIÉTÉ ET UN MARCHÉ POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT 19 À partir de la rencontre du CAH du mardi 9 avril 2013 Cette rencontre a été organisée
Plus en détailPour un habitat sûr. Assurer la sécurité de son installation électrique, c est simple quand on nous guide!
Pour un habitat sûr Assurer la sécurité de son installation électrique, c est simple quand on nous guide! Bien connaître la réglementation Votre installation électrique doit être à la norme Qu est-ce qu
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailLa politique marseillaise en faveur des Seniors
La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailLe projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement
Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à
Plus en détailen parle débats en magasin bien vieillir chez soi : cela se prépare! PARIS-BEAUBOURG 07 septembre 2006
MAISon en parle débats en magasin bien vieillir chez soi : cela se prépare! MAISon PARIS-BEAUBOURG 07 septembre 2006 Leroy Merlin Source réunit des chercheurs, des enseignants et des profession- en parle
Plus en détailPAR THEMATIQUE. N THEME Présentation
PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailSommaire. Sommaire. 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel
Sommaire Sommaire 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel 2. La réglementation 2.1 Quelles sont mes obligations en tant qu hôtelier?
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailZoom sur p4. Sommaire. L APPARTEMENT TÉMOIN MADONAH Un projet au carrefour de la construction et des nouvelles technologies. Éditorial.
n 78 - Mars 2014 Sommaire Éditorial p2 Actualités p3 Rencontre avec p5-6 Générations Mouvement Le Pôle séniors Vierzon-Sologne Le saviez-vous? p7 Agenda p8 Zoom sur p4 L APPARTEMENT TÉMOIN MADONAH Un projet
Plus en détailTraitement et analyse des Questionnaires «citoyens agents»
Traitement et analyse des Questionnaires «citoyens agents» Document émis par :, Anastasia MARY, étudiante stagiaire, Licence Professionnelle Gestion et Pilotage de Projets. Travaux suivi par Aurélie COURZADET,
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailBien vieillir à domicile : Enjeux d habitat, enjeux de territoires
Bien vieillir à domicile : Enjeux d habitat, enjeux de territoires Rapport remis à Monsieur Benoist APPARU Secrétaire d'etat au Logement et à l Urbanisme Muriel BOULMIER Directrice Générale du Groupe CILIOPÉE
Plus en détailSources. évolution et nouvelles technologies. au sommaire. un document de la CHAMBRE régionale DE MÉTIERS et de l artisanat DU LIMOUSIN
Sources évolution et nouvelles technologies 1 «Focal INSEE Limousin n 21» décembre 2005 2 «Repère le Mémento Habitat Logement et Construction en Limousin édition 2007» DRE Limousin 3 «Repère le Mémento
Plus en détailB2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors
DOSSIER DE PRESSE B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors Sommaire Page 2 : Le Prix B2V en quelques dates Page 3 : Un prix destiné à encourager l innovation sociale en matière d accompagnement du
Plus en détailBaromètre BVA Santé. Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH
Baromètre BVA Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH en partenariat avec le Figaro avec le concours scientifique de la Chaire de Sciences Po Fiche technique Recueil
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailDEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT
DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT AIDE A L'AMELIORATION DE L'HABITAT DES PROPRIETAIRES OCCUPANTS Demandeur : Mme, Melle, M. :... Adresse :...... Commune :... Canton :... Téléphone de la personne à contacter
Plus en détail«Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016)
Programme d Intérêt Général Communauté de communes du pays de Bourgueil «Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016) PRESENTATION DU DISPOSITIF:
Plus en détailLES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE
LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE 1 Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique JeanPierre THOMAS Président du Cercle de l'epargne Philippe CREVEL Directeur
Plus en détailQui contacter en Limousin pour un projet accessible?
Qui contacter en Limousin pour un projet accessible? Ce guide a pour vocation de rappeler les grandes lignes de la loi n 2005-102 du 11 février 2005 sur l égalité des droits et des chances pour tous, de
Plus en détailau service de chacun!
Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem
6 ème séance plénière lundi 14 avril 2014 DOSSIER DE PRESSE La commission départementale de la démographie médicale : l instance incontournable en Lot-et-Garonne pour mettre en place un nouvel exercice
Plus en détailUne famille, deux pensions
famille, deux pensions Susan Poulin Au cours du dernier quart de siècle, la proportion de familles composées de deux conjoints mariés ayant tous deux un emploi a augmenté de façon phénoménale. En 1994,
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailPRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN
PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,
Plus en détailAvenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication
Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Alors que les concertations sur la réforme des retraites sont actuellement en cours, l Assurance retraite, premier
Plus en détailLa santé des jeunes Rhônalpins en insertion
La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012
Plus en détailAvis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la
Plus en détailMARCHE A PROCEDURE ADAPTEE
MARCHE A PROCEDURE ADAPE Pouvoir adjudicateur : Centre Hospitalier de Béziers 2 rue Valentin Haüy BP 740 34525 BEZIERS Libellé de la consultation* : Elaboration et dépôt de l agenda d accessibilité programmée
Plus en détailSynthèse de la CNCH du 19 juin 2008
ACTIONS EN MATIÈRE D'INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008 LE CONTEXTE La Commission nationale Culture-Handicap La
Plus en détailCompte-rendu du Bureau Exécutif du 12 février 2015
Compte-rendu du Bureau Exécutif du 12 février 2015 Amiens, 16h00. Etaient présents Julia Pomerol, Catherine Leclercq, Patrice Boquillion, Marie Edith Voog, Didier Casado, Claude Lerosey, Harry Coupel,
Plus en détailCaisse (de pension) autonome Caisse autogérée (institution possédant sa propre organisation et sa propre administration).
Glossaire Âge LPP L année civile moins l année de naissance donne l âge LPP. Autorité de surveillance L autorité de surveillance est prévue par la LPP. Il doit s agir d une instance cantonale centrale
Plus en détailObjectifs, réalisations, perspectives. Mai 2013
OPAH-RR Pays Montmoriillllonnaiis 2007-2012 Objectifs, réalisations, perspectives Mai 2013 L année 2012 Préambule page 2 Les chiffres clefs 2012 page 3 PROPRIETAIRES OCCUPANTS Tableaux financiers Propriétaires
Plus en détailAudit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION. Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété
Audit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété Socotec en quelques mots 3 valeurs d engagement + 5 métiers structurants + 7 aes stratégiques
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailSéminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014
Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailChez soi avant tout : De l hôpital à la maison
Chez soi avant tout : De l hôpital à la maison Après un séjour à l hôpital, vous pouvez continuer de vous rétablir dans le confort et la sécurité de votre propre domicile si vous recevez des services améliorés
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailRÉGIME DE PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE
CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES BUREAUX D ÉTUDES TECHNIQUES CABINETS D INGÉNIEURS CONSEILS SOCIÉTÉS DE CONSEILS RÉGIME DE PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE DES SALARIÉS MALAKOFF MÉDÉRIC, VOTRE PARTENAIRE POUR
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailLES SOLUTIONS D AG2R LA MONDIALE
DOSSIER DE PRESSE Paris, 20 mai 2015 NOUVELLE DONNE EN COMPLÉMENTAIRE SANTÉ : LES SOLUTIONS D AG2R LA MONDIALE - Un marché de la santé bousculé, plus particulièrement par l ANI Santé 2 - AG2R LA MONDIALE
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailProgramme d Intérêt Général. Amélioration de l Habitat Bilan 01 juillet 2012 31 Décembre 2013
Programme d Intérêt Général Amélioration de l Habitat Bilan 01 juillet 2012 31 Décembre 2013 Rappels: Les cibles du Programme d Intérêt Général Amélioration de la qualité thermique des logements Adaptation
Plus en détailDevenir un employeur de choix. Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments
Devenir un employeur de choix Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments Les propriétaires de petites et moyennes entreprises ont tout intérêt à mettre
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailAllianz Santé Prévoyance Collectives La couverture Santé et Prévoyance sur mesure pour protéger au mieux ses salariés.
Choisissez des solutions durables pour la couverture sociale de vos salariés. Allianz Santé Prévoyance Collectives La couverture Santé et Prévoyance sur mesure pour protéger au mieux ses salariés. Assurances
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 GUIDE PRATIQUE / FAIRE FACE À LA PERTE D AUTONOMIE
GUIDE PRATIQUE Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 03 AVANT-PROPOS 1 La perte d autonomie touche de plus en plus de personnes, en raison principalement du vieillissement
Plus en détailAppel à projet. Bourse Charles Foix édition 2014. 2014- Silver Valley - tous droits réservés
Appel à projet Bourse Charles Foix édition 2014 2014- Silver Valley - tous droits réservés APPEL À PROJET - LA BOURSE CHARLES FOIX Clôture le vendredi 1 août 2014 à minuit Silver Valley lance, en partenariat
Plus en détailL EXTRA-SITTING Baby-sitting pour enfant handicapé Service proposé par l ASBL «Soleil Espoir»
asbl Soleil-Espoir Rue Outrewe, 21 4671 Housse www.soleil-espoir.be L EXTRA-SITTING Baby-sitting pour enfant handicapé Service proposé par l ASBL «Soleil Espoir» Ce document présente le service d extra-sitting
Plus en détailCHARTE DÉPARTEMENTALE
LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES CHARTE DÉPARTEMENTALE DE L ACCESSIBILITÉ DU BAS-RHIN 2012-2014 TRAVAILLER ENSEMBLE POUR UNE ACCESSIBILITÉ INTELLIGENTE DANS L HABITAT La Charte Départementale
Plus en détailLes aides pour l adaptation du véhicule au handicap
Fiche technique n 96 créée en avril 2013 Les aides pour l adaptation du véhicule au handicap La conduite d un véhicule n est pas incompatible avec le handicap. Cependant, des aménagements sont parfois
Plus en détailPASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE
École nationale supérieure d architecture Montpellier PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE
Plus en détail