BULLETIN MENSUEL DES PRIX
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- Daniel Meloche
- il y a 6 ans
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1 BULLETIN MENSUEL DES PRIX Analyse des prix nominaux des principales denrées de bases FAITS SAILLANTS Février 212 A la faveur d une meilleure disponibilité suite aux récoltes des cultures de contre saison et des ventes subventionnées réalisées par l ONASA sur la plupart des grands centre urbains au cours de ces deux mois, depuis la fin de la soudure 211, les prix des céréales de base se sont inscrits en baisse sur la plupart des marchés céréaliers tchadiens. Cependant, cette tendance baissière globale des prix masque des disparités régionales. Dans le sahel centre (Mongo et Ati) mais également à Mao, les prix des principales céréales sont toujours en hausse témoignant, d une part, de l importance des déficits céréaliers dans ces régions et, d autre part, des difficultés d approvisionnement à partir d autres marchés. Par contre, sur les marchés d Abéché et à Sarh, les baisses ont été observées. Malgré la légère amélioration des revenus du bétail, à cause du niveau élevé du prix des céréales, les termes de l échange se sont détériorés par rapport à l année dernière au même mois mais ils sont en légère amélioration par rapport au mois précédent (janvier 212). Le prix moyen du kilogramme de mil en février sur les principaux marchés urbains était : 275 FCFA dans la bande sahélienne et 2 FCFA dans la bande soudanienne. En hausse modérée de 1,9% dans la bande sahélienne mais en baisse sensible de 6,3% dans la bande soudanienne par rapport au prix du mois de janvier 212 ; En hausse de dans la bande sahélienne et la bande soudanienne 73,8% et 37,6% respectivement par rapport au prix du mois de février 211 ; En hausse de dans la bande sahélienne et la bande soudanienne 33,8% et 2,5% respectivement par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Le prix moyen du kilogramme de sorgho en février sur les principaux marchés urbains était : 28 FCFA dans la bande sahélienne et 18 FCFA dans la bande soudanienne. Celui-ci était : En baisse de 3,2% et 13,5% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois de janvier 212 ; En hausse de 35,% et 38,1% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois de février 211 ; En hausse de 37,1% et 3,1% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport à la moyenne des cinq dernières années.
2 FCFA TENDANCE DES PRIX DES DENREES ALIMENTAIRES DE BASE L alimentation des ménages tchadiens est basée essentiellement sur la consommation de quelques produits, notamment les céréales sèches que sont le mil, le sorgho et dans une moindre mesure, le maïs et le riz. Ainsi, le suivi des prix de ces produits sur les principaux marchés céréaliers est important pour apprécier l accès alimentaire des populations concernées. 1. Mil Le prix moyen du mil a entamé, pour la première fois depuis le début des récoltes, une tendance à la baisse au cours du mois de février. On observe en effet un écart négatif de.4% entre janvier et février 212. Toutefois, sur les marchés observés, les prix sont à la fois supérieurs à leur niveau de février 211 (entre 12% à Sarh et 1% à Mao) et à la moyenne quinquennale (entre 1% à Sarh et 46% à Mongo). Compte tenu des récoltes de contre saison et renforcé par les ventes subventionnées de l ONASA en début d année (entre décembre-janvier à Moundou et février à Sarh), une baisse de 6.3% du prix du kilogramme de mil a été observée dans la partie soudanienne. Cette baisse globale des prix a permis de stabilisé les prix à N Djamena et compte tenu du rôle de transit joué par ce marché dans l approvisionnement des zones déficitaires du sahel, la hausse des prix dans ces zones est atténué. Les hausses de prix les importantes sont observées dans le sahel ouest et centre (9% à Mao, 11% à Mongo et 8% à Ati). Par ailleurs, c est aussi dans le sahel ouest et centre que s observent les prix les plus élevés en février 212 (passant de 15 FCFA à 279 FCFA le kilogramme à Moussoro, et de 16 FCFA à 32 FCFA à Mao). Les marchés du bassin ouest ont relativement mieux fonctionnés : les surplus induisant la baisse des prix au sud ont progressivement entrainé une stabilité à N Djamena ayant permis d atténuer la hausse dans le sahel ouest. Sur les marchés du bassin est par contre, les prix y ont évolué de manière très divergente (forte baisse à Abéché (-12%) et forte hausse à Mongo (+11%) et Ati (8%)). Evolution du prix à la consommation du mil à Abéché Moy. 5 ans Année 211 Année Sorgho : Probablement sous l effet des récoltes de contre saison qui sont disponibles sur les marchés en ce mois de février, en moyenne, le prix du kilogramme de sorgho a connu une baisse (5.6%) entre janvier et février 212. Cette forte baisse a permis de réduire l important écart de prix avec février 211 (passant de 6.3% à 36.7%) et à la moyenne quinquennale (passant de 39.3% à 28.5%). Le prix du sorgho a relativement peu augmenté sur les marchés locaux et d importantes baisses ont été observées sur certains marchés comme : Abéché (17.5%), Ati (9.1%) et Sarh (22.2%). La relative meilleure accessibilité aux grandes zones de production de décrue (Salamat, Batha) et les ventes subventionnées réalisées dans le sud expliqueraient cette divergence des prix. PAM/DPSA/SIMPA. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Février 212 1
3 FCFA FCFA En raison de l important déficit céréalier dans le Guera 1, Mongo (15%) fait figure d exception ; les récoltes de contre saison dans la zone ainsi que les flux du Salamat, n ont pas permis d atténuer la tension sur les marchés. Par ailleurs, le marché de Mao qui est habituellement peu alimenté par les flux du Salamat, connait une hausse des prix. Evolution du prix du kilogragramme de sorgho à Moundou Moy. 5 ans Année 211 Année Maïs Le prix moyen national du kilogramme de maïs a également connu une baisse (1.5%) entre le mois de janvier et février 212. En février 212, le prix moyen du kilogramme de maïs est à 32.4% au-dessus de la moyenne quinquennale et 38.3% supérieur à celui de février 211. Le niveau élevé de prix à Bol, zone de grande production du maïs au Tchad, où le prix au kilogramme a doublé en un an (de 9 FCFA en janvier 211, il est passé à 185 FCFA en janvier 212), n a pas permis d approvisionner normalement les autres marchés, même ceux environnants (Mao, +3%) et N Djamena (+2.9%). On note toutefois que le prix du maïs a connu une baisse à Abéché et à Moussoro. Evolution du prix à la consommation du maïs à Moussoro Moy. 5 ans Année 211 Année Le compte rendu de la réunion du Cluster Sécurité Alimentaire du 24/2/212 donnait un déficit de tonnes dans le Guera. PAM/DPSA/SIMPA. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Février 212 2
4 FCFA 4. Riz importé En février, en raison d une offre mondiale excédentaire à la demande, les cours mondiaux du riz ont maintenu leur tendance à la baisse amorcée depuis le dernier trimestre 211. Conjugué à une offre en céréales sèche en hausse en février, cela a favorisé une baisse du prix du riz importé sur les marchés tchadiens. En effet, le prix moyen du riz importé qui est resté quasiment stable (+,7%) entre décembre 211 et janvier 212 a baissé de 1.5% entre janvier et février 212, avec des hausses moindre de 4.2% entre février 211 et février 212 et de 11.2% par rapport à la moyenne quinquennale. Le faible impact de la baisse du cours mondial du riz sur les marchés tchadiens lors des précédents mois serait en partie lié à la rupture des approvisionnements des marchés nigérians depuis la fermeture des frontières entre les deux pays, mais aussi à cause d un probable report de la demande en céréales sèches dont les prix se rapproches de plus en plus de ceux du riz. La baisse des prix des autres céréales sur la plupart des marchés en février aura affaibli la demande de riz conduisant à la baisse de son prix. Evolution du prix à la consommation du riz importé à N'Djamena Moy. 5 ans Année 211 Année 212 Même si la stabilité du riz importé devrait favoriser l accès alimentaire des populations tchadiennes confrontées à une hausse soutenue des prix des céréales sèches par rapport aux années précédentes, le niveau élevé du prix du riz importé comparé au pouvoir d achat de ces populations ne lui permet pas de jouer son véritable rôle de substitut. Perspectives : avec l arrivée sur les marchés des produits de contre saison dont la disponibilité devrait être en hausse en mars sur un plus grand nombre de marchés, les marchés céréaliers devraient subir moins de tensions, on devrait voir une stabilité des prix au cours des deux prochains mois. De plus, la baisse des prix au sud, si elle continue permettra de mieux approvisionner les zones déficitaires du sahel. Toutefois, des facteurs de risque pour une reprise de la hausse existent, notamment l octroi des crédits à plusieurs associations et groupements à partir des revenus des 5% du pétrole pour la constitution des stocks céréaliers ce qui a entrainé une diminution de l offre sur les marchés des villages environnants induisant une hausse des prix au cours de ce mois. Cela pourrait se transmettre à d autres marchés et donc relancer de nouveau la hausse des prix. PAM/DPSA/SIMPA. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Février 212 3
5 Kg de mil/mouton Prix en FCFA EVOLUTION DES TERMES DE L ECHANGE MOUTON/CEREALES L analyse des termes de l échange permet d appréhender le niveau d accessibilité alimentaire des ménages éleveurs. On l exprimera en termes de quantité de céréales qu un éleveur peut obtenir en vendant un mouton ou un bovin. La campagne passée (21/211) s est caractérisée par une nette amélioration des revenus des éleveurs. En effet, les données recueillies sur les marchés ainsi que les rapports indiquent que les revenus du bétail s étaient améliorés en 211 comparés aux mêmes mois en 21. Malgré la baisse des revenus des ménages tchadiens et la fermeture des frontières suite au conflit au Nigéria qui auraient diminué la demande de bétail, la présente campagne de consommation (211/212), se caractérise par une quasi-stabilité des prix du bétail (sauf à Mongo) par rapport la campagne 21/211. Malheureusement, le maintien à la hausse des prix céréaliers après la soudure a conduit à une détérioration importante des termes de l échange bétail/céréales en un an. Cette détérioration des termes de l échange est davantage accentuée dans la bande sahélienne ouest (surtout à Mao) et centre (Mongo) en raison surtout du niveau élevé du prix des céréales. On note toutefois, une légère amélioration par rapport au mois de janvier 212 liée plutôt à la baisse du prix des céréales et non à une amélioration du prix du mouton en février. 6 Evolution du prix du mouton sur les marchés tchadiens Mao Moussoro Mongo Abéché Goré 25 Evolution des termes de l'échange mouton/mil Mao Moussoro Mongo Abeche Goré Février 211 Janvier 212 Février 212 PAM/DPSA/SIMPA. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Février 212 4
6 La crise au Nigéria réduisant les opportunités d exportation du bétail risque tout de même de créer une suroffre sur certains marchés locaux dans les prochains mois avec de fortes conséquences sur les prix et les difficultés d accès alimentaire des ménages pasteurs qui en découleraient pour les prochains mois. FLUX TRANSFRONTALIERS La différence de prix entre les marchés locaux tchadiens et les marchés frontaliers soudanais, nigérians et camerounais d une part et, d autre part, l appréciation des taux de change sont des facteurs incitatifs pour les importations et les exportations des produits alimentaires et la vente du bétail. Depuis 27, suite à des déficits céréaliers récurrents au Soudan, on assiste à une hausse du prix des céréales, notamment celui du mil sur les marchés soudanais. De plus, l appréciation progressive de la Livre Soudanaise depuis juillet 211 (8.3% entre juillet-décembre) exerce une pression importante sur les marchés tchadiens. En effet, les échanges avec les informateurs clés à l est du pays ainsi que les rapports des partenaires montrent que malgré les mesures interdisant la sortie des céréales du Tchad vers le Soudan, les sorties de céréales vers le Soudan ont toujours courts. En revanche, depuis le conflit en Libye, la part du Soudan dans l approvisionnement des marchés à l est du Tchad en produits transformés (pâtes alimentaires, sucre, riz, huile) prend des proportions de plus en plus importantes. Des échanges réguliers ont lieu entre le Tchad qui dépend du Cameroun pour sa consommation en sucre, en farine de blé, en riz importé, en l huile et même en céréales (maïs) et le pays ravitaille le Cameroun en bétail, exportation dont le volume devrait logiquement augmenter avec la fermeture de la frontière nigériane, mais aussi arachide, sésame, mil pénicillaire et l ail. CONCLUSION Le prix des céréales, sous l effet d une offre supplémentaire en céréales de contre saison et des ventes subventionnées de l ONASA, a connu, pour la première fois depuis les récoltes, une baisse réduisant l important écart qu il y a entre l année 211 et la moyenne quinquennale ; Le prix du kilogramme de mil, de sorgho, céréales de base pour la consommation des ménages tchadiens ont l un et/ou l autre baissé sur tous les marchés, sauf à Mongo où il y est resté en hausse témoignant de forte pression de la demande dans cette région qui fait face à un énorme déficit de production ; L amélioration probable des disponibilités céréalières consécutives à l offre en sorgho de décru et en riz importé devrait conduire à une stabilité des prix pour les deux prochains mois ; Les échanges de céréales entre le Tchad et le Soudan continuent malgré les interdictions de sortie de part et d autre de la frontière ; Du côté de l ouest, la fermeture de la frontière au Nigéria, réduisant les possibilités d exportation du bétail, pourrait entamer le revenu des ménages pasteurs et par conséquent leur accès alimentaire. Nous remercions tous les collègues de terrain et les partenaires pour leurs contributions à la collecte des données. Vos suggestions sont les bienvenus pour l amélioration du contenu de ce document. Ce bulletin est le fruit d'un partenariat entre le Programme Alimentaire Mondial (PAM) et le Système d Information sur les Marchés des Produits Agricoles (SIMPA) de la Direction de la Production et des Statistiques Agricoles (DPSA) du Ministère de l Agriculture et de l Irrigation (MAI). Pour Plus d information contacter: Madjioudal Allarabaye: National Consultant FSMS - Madjioudal.Allarabaye@wfp.org Wilfred Nkwambi: Programme Officer (VAM) - Wilfred.Nkwambi@wfp.org BP 678 Ndjamena Chad Tel: /69922 Fax: Ngaro Brousse : SIMPA ngarobrousse@yahoo.fr Direction de la Production et des Statistiques Agricoles : dpsa.maitchad@yahoo.fr BP 441 Ndjamena Chad Tel: / PAM/DPSA/SIMPA. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Février 212 5
7 PAM/DPSA/SIMPA. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Février 212 6
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