Résumé des modifications intervenues :
|
|
- Simon Roberge
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 1 sur 11 Objet : Préciser : - les règles de stockage des substances vénéneuses et des médicaments stupéfiants, - indiquer les modalités de détention, de mise à disposition et de transmission des clefs des lieux de stockage. Résumé des modifications intervenues : Mots clés : Armoire / Cadre de Santé / Clefs / Détention / Etiquetage / Mallette d urgence / Médicaments / Pharmacie / Stockage / Substances vénéneuses / Stupéfiants / Documents de référence : - Critère Anaes : OPC 9 a-c-d. - Arrêté du 31 mars 1999 relatif à la prescription, à la dispensation et à l administration des médicaments soumis à la réglementation des substances vénéneuses dans les établissements de santé disposant d une pharmacie à usage intérieur ; - Arrêté du 22 février 1990 relatif aux conditions de détention des susbstances et préparations classées comme stupéfiants». - Article R.5203 du Code de la Santé Publique - Article R (définition de l acte de dispensation) - Circulaire du 8 avril 1999 : mise en œuvre des ordonnances protégées - Recommandations relatives à la dispensation, à la prescription et à la gestion des antalgiques classées comme stupéfiants, Assistance Publique Hôpitaux de paris, décembre 2002 ; - Diagnostic de la sécurité réglementaire / Sécurité d utilisation des médicaments, Centre Hospitalier de Colson, Janvier Validation Rédaction : Groupe de projet n 15 Approbation : Mr LONGUEFOSSE Jean-Louis Validation : Mle BITIER Alexandra Qualiticienne Date d application : Président du Comité du Médicament et des Dispositifs Médicaux Diffusion Pour application : - Pharmacie - Direction du Service de Soins - Unités intra-hospîtalières et Hôpitaux de Jour - Centres Médico-Psychologiques, Centre de soins pour adolescents en crise - Garage Pour classement : - Direction Générale - Comité du Médicament et des Dispositifs Médicaux
2 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 2 sur 11 Liste du matériel et des consommables nécessaires : - Armoires à pharmacie dotées d un compartiment pouvant se fermer à clé, pour les unités d hospitalisation - Petits réfrigérateurs réservés au stockage des médicaments ne pouvant être conservés qu à basse température, pour l intra et l extra-hospitalier - Armoires à pharmacie disposant d un système de fermeture, pour les structures extrahospitalières, DEFINITIONS DISPENSATION Acte pharmaceutique associant à la délivrance, l analyse pharmaceutique de l ordonnance médicale, la préparation éventuelle des doses à administrer, la mise à disposition des informations et les conseils nécessaires au «bon usage du médicament. MEDICAMENTS SOUMIS A LA REGLEMENTATION DES SUBSTANCES VENENEUSES Médicaments inscrits sur la liste I et II et la liste des substances stupéfiantes. Médicament psychotrope qui provoque l accoutumance et un état de besoin pouvant conduire à une toxicomanie. LISTE I ET II Substances ou préparations vénéneuses présentant pour la santé des risques directs ou indirects et des médicaments contenant des substances dont l activité et les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale. La liste I comprend des substances ou préparations et les médicaments ou les produits présentant le risque le plus élevés pour la santé
3 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 3 sur 11 I/ LA LISTE DES PRESCRIPTEURS DANS L HOPITAL Le Directeur du Centre Hospitalier de Colson est responsable de la mise à jour de la liste des médecins habilités à prescrire. Pour éviter, les pertes, les vols et les falsifications des documents de prescription des médicaments soumis à la réglementation des substances vénéneuses (article 3 de l arrêté du 31 mars 1999), il actualise chaque année, à la mi-décembre, cette liste. Il la communique au pharmacien gérant la PUI (Pharmacie à Usage Intérieur).
4 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 4 sur 11 II / STOCKAGE DES SUBSTANCES VENENEUSES ET DES Pour sécuriser l utilisation des médicaments, certaines dispositions ont été prévues afin de permettre l isolement et la bonne conservation des substances vénéneuses et des stupéfiants, stockés à la pharmacie à usage intérieur puis dans les services cliniques de l établissement Conditions de stockage des médicaments à la pharmacie Les médicaments sont rangés dans des rayonnages placés dans une zone d accès contrôlé et limité aux personnels de la pharmacie. Les stupéfiants sont stockés dans un coffre à stupéfiant fermant à clé. La pharmacie fait l objet d un entretien régulier dont les modalités sont décrites dans la procédure «entretien des locaux». Les médicaments devant être conservés à basse température sont stockés dans le réfrigérateur. En cas de coupure électrique, l alimentation électrique est assurée par le groupe électrogène du Centre Hospitalier. Les dispositifs médicaux sont conservés dans leur emballage secondaires et placés dans des locaux sécurisés, dont l accès est contrôlé (bâtiment de l ancien service de stérilisation). Les médicaments et produits inflammables sont stockés conformément au règlement de sécurité contre l incendie dans un bâtiment extérieur à la pharmacie.
5 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 5 sur Conditions de stockage des médicaments dans les unités intra-hospitalières Dans les unités d hospitalisation, tous les médicaments régulièrement fournis par la pharmacie, à l exception des solutés massifs, sont détenus dans les armoires à pharmacie fermant à clé, placées dans les infirmeries dont l accès est limité au personnel autorisé (médecins et infirmiers). Les clés sont gardées sur les armoires à pharmacie. Ces armoires ou dispositifs de rangement ne contiennent que des médicaments (art. 9 de l arrêté du ). Les solutés massifs sont simplement conservés à l infirmerie. Dans les armoires à pharmacie, les stupéfiants sont détenus séparément dans un compartiment spécial, réservé à cet usage et lui-même fermé à clé. (art.21 de l arrêté du 31 mars 1999). La clé du compartiment est détenue par le Cadre de Santé ou le Cadre de Santé Supérieur. Pour faire face aux urgences vitales, une mallette d urgence a été mise à la disposition de chaque unité d hospitalisation. Cette mallette d urgence est rangée au niveau de l infirmerie. Le médecin de garde en détient la clé. Le double de cette clé est confié au Cadre de Santé ou au Cadre de Santé Supérieur. Les médicaments ne pouvant être stockés qu à basse température sont placés dans l armoire réfrigérante de l infirmerie. Lors d une coupure électrique de plus de 24 heures, ces médicaments devront être acheminés vers la pharmacie par le chauffeur de permanence. Le réfrigérateur est exclusivement affecté au stockage des d produits pharmaceutiques. Il ne contient ni boissons, s, ni aliments, ni gamelles ramenées par les professionnels de santé (art.. 9 de l arrêté du ). Les médicaments doivent être détenus de préférence dans leur conditionnement d origine ou à défaut dans des récipients étiquetés selon les dispositions suivantes : Stupéfiants : étiquette blanche avec large filet rouge Liste I : étiquette blanche avec large filet rouge Liste II : étiquette blanche avec large filet vert
6 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 6 sur 11 Ces étiquettes devront comporter : a) dans la partie supérieure, inscrites en lettres noires : - la dénomination de la spécialité - et le cas échéant, la dénomination commune internationale ou française du ou des principes actifs - le dosage exprimé en quantité et en concentration - la forme pharmaceutique - la voie d administration b) dans la partie inférieure, séparée du contexte par une ligne noire et inscrites en lettres noires, la mention bien lisible «Respecter les doses prescrites» c) L étiquette du conditionnement doit mentionner le numéro de lot et la date de péremption du médicament qu il contient. La notice d information du médicament doit être jointe ou à défaut l unité de soins doit disposer de la documentation nécessaire. L étiquetage est assuré par la pharmacie Conditions de stockage des médicaments au niveau des structures extra-hospi hospitalières et des hôpitaux de jour (HDJ) La dispensation de médicaments fournis par la pharmacie de l établissement est suivie par la transmission de l ordonnance correspondante au Pharmacien, afin de procéder à l analyse pharmaceutique de l ordonnance et d assurer le suivi des stocks. Les médicaments sont détenus dans des armoires à pharmacie fermées à clé, placées dans des zones d accès contrôlé : infirmerie, bureau du Cadre. La clé n est jamais laissée sur l armoire à pharmacie. Elle est détenue par le Cadre de Santé qui la confie à un professionnel de santé en son absence. L identité du nouveau détenteur de la clé, est indiquée sur le cahier de bord. Ces armoires ou dispositifs de rangement ne doivent contenir que des médicaments (art.9 de l arrêté du ).
7 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 7 sur 11 Les médicaments ne pouvant être stockés qu à basse température sont placés dans l armoire réfrigérante de l infirmerie. En cas de coupure électrique de plus de 24 heures, le Cadre de Santé préviendra la pharmacie qui prendra les dispositions nécessaires. Le réfrigérateur est exclusivement affecté au stockage des produits pharmaceutiques. Il ne contient ni boissons, ni aliments, ni gamelles ramenées par les professionnels de santé (art. 9 de l arrêté du ). Les médicaments doivent être détenus de préférence dans leur conditionnement d origine ou à défaut dans des récipients étiquetés selon les dispositions suivantes : Stupéfiants : étiquette blanche avec large filet rouge Liste I : étiquette blanche avec large filet rouge Liste II : étiquette blanche avec large filet vert Ces étiquettes devront comporter : a) dans la partie supérieure, inscrites en lettres noires : - la dénomination de la spécialité - et le cas échéant, la dénomination commune internationale ou française du ou des principes actifs - le dosage exprimé en quantité et en concentration - la forme pharmaceutique - la voie d administration b) dans la partie inférieure, séparée du contexte par une ligne noire et inscrites en lettres noires, la mention bien lisible «Respecter les doses prescrites» c) L étiquette du conditionnement doit mentionner le numéro de lot et la date de péremption du médicament qu il contient. La notice d information du médicament doit être jointe ou à défaut l unité de soins doit disposer de la documentation nécessaire. L étiquetage est assuré par la pharmacie.
8 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 8 sur 11 III / MODALITES DE DETENTION, DE MISE A DISPOSITION ET DE TRANSMISION DES CLEFS DES LIEUX DE STOCKAGE En application de l article 11 de l arrêté du 31 mars 1999, des dispositions ont été prévues afin d éviter toute perte, vol ou emprunt des clefs de ces dispositifs de rangement des substances vénéneuses et des médicaments stupéfiants Modalités de détention, de mise à disposition et de transmission des clefs des lieux de stockage, dans les unités intra-hospitalières D une manière générale, la détention des clefs des lieux de stockage des substances vénéneuses et des médicaments stupéfiants est placée sous la responsabilité des Cadres de Santé Supérieurs et par délégation des Cadres de Santé. Clés des armoires à pharmacie L une des deux clés de l armoire à pharmacie reste posée sur la serrure ; le dispositif de rangement étant lui-même placé dans une zone d accès contrôlé et limité au personnel autorisé. Le Cadre de Santé est responsable de cette première clé. Son double est conservé par le Cadre de Santé Supérieur ou le Cadre de Santé. En cas de perte, ce double est mis à disposition. Cette procédure entraîne : - un changement de serrure, - une invitation pour le personnel à une plus grande attention et vigilance. Clés des compartiments de stupéfiants La détention des clés des compartiments de stupéfiants est placée sous la responsabilité des Cadres de Santé Supérieurs ou des Cadres de Santé. Ils détiennent chacun un exemplaire, dans les lieux de rangement qu ils déterminent. En aucun cas, les clés du compartiment des stupéfiants ne doivent être laissées au niveau de l armoire à pharmacie. En son absence, le Cadre de Santé confie les clés à un professionnel responsable identifié sur le cahier de bord.
9 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 9 sur 11 La clé du compartiment à stupéfiants détenue par le Cadre de Santé Supérieur n est transmise au Cadre de proximité qu en cas de disparition, perte, vol de la clé de ce dernier. Sa disparition et transmission par le Cadre Supérieur Infirmier vers le Cadre Infirmier est signalée sur le cahier de bord et est suivie : - d une déclaration à la Direction Générale de l établissement, - d un changement de serrure, - d une invitation pour le personnel à une plus grande attention et vigilance. Clés des mallettes d urgence Chacune des mallettes d urgence mises à la disposition des unités intra-hopitalières comporte un double de clé. Cadre de Santé et médecin de garde détiennent chacun un exemplaire de cette clé Modalités de détention, de mise à disposition et de transmission des clés des lieux de stockage, dans les structures extra-hospitalières et les Hôpitaux de Jour (HDJ) D une manière générale, la détention des clés des lieux de stockage des médicaments est placée sous la responsabilité des Cadres de Santé Supérieurs Infirmiers et par délégation des Cadres de Santé. Le Cadre Infirmier transmet sa clé à l infirmier devant dispenser des médicaments à un patient. A son départ, le Cadre de Santé confie la clé à un infirmier identifié sur le cahier de bord.
10 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 10 sur 11 IV / LE TRANSPORT DES MEDICAMENTS ENTRE LA PHARMACIE ET LES SERVICES Un chauffeur est exclusivement affecté au transport des médicaments à partir de la pharmacie de l établissement vers les services extra-hospitaliers. Un chauffeur du service garage assure l acheminement des médicaments en intrahopitalier. Les médicaments sont transportés dans des mallettes fermées à clés, pour répondre aux exigences de sécurité d utilisation des médicaments. Dispensation des produits stupéfiants Le Cadre de Santé et par délégation l Infirmier désigné se rend à la pharmacie pour retirer les stupéfiants prescrits.
11 Référence : PR /PHA/001-A Page : Page 11 sur 11 ANNEXE 1 COMPOSITION OSITION DU GROUPE DE PROJET N 15 Prénom, Nom Profession Service ou Secteur Pauline CASTRIEN Cadre de Santé CMP Trinité et Robert Edouard CHEMIN Préparateur Pharmacie Sleiman DIB Cadre de Santé Supérieur Sud Caraïbe GO3 Jean-Louis LONGUEFOSSE Pharmacien Pharmacie Alfred MAISON Infirmier CMP Sainte Marie Odette TEROSIER Infirmière CMP F-de-F Est Marie-Jeanne de VASSOIGNE Infirmière Hôpital de Jour Trinité
Sécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur
Repères pour votre pratique Sécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur Mars 2012 Mise à jour en
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailTable des matières chronologique volume 1 médicaments
volume 1 médicaments vii Lois - versions consolidées Loi du 15 mai 2007 relative à la répression de la contrefaçon et de la piraterie de droits de propriété intellectuelle........... 3 Chapitre I. Disposition
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailDISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL
DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des
Plus en détailINTERMEDIAIRE D EXPERIMENTATION SUR L ENSEMBLE DU DEPARTEMENT DU VAL DE MARNE
PROTOCOLE LOCAL D ACCORD DE DEMATERIALISATION DES ORDONNANCES SUR cd-rom DISPOSITIF INTERMEDIAIRE D EXPERIMENTATION SUR L ENSEMBLE DU DEPARTEMENT DU VAL DE MARNE Vu le code de la sécurité sociale, notamment
Plus en détailSécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS. Point presse
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Point presse Suppression de la vignette pharmaceutique au 1 er juillet 2014 Mardi 20 mai DOSSIER DE PRESSE -----------------------------------------------
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailChaîne de production des médicaments
Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la
Plus en détailArticle 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25
Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détail2. Accords généraux concernant la prescription
2. Accords généraux concernant la prescription INTRODUCTIon La prescription doit permettre au pharmacien de délivrer de manière adéquate le bon médicament. La prescription doit satisfaire à un certain
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailConduite des Essais Cliniques en Pharmacie Hospitalière Organisation du circuit du médicament
Conduite des Essais Cliniques en Pharmacie Hospitalière Organisation du circuit du médicament Anne Daguenel-Nguyen Pharmacien Hôpital Saint-Antoine FARC 1 PREMIERE PARTIE: Quel est le rôle du pharmacien
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailDIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 152 : JUIN 2005 DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE Depuis quelques années, le Bureau des substances contrôlés (BSC)
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS Références juridiques : Articles L.5125-33 à L.5125-41, article L.5122-6-1 et article
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailInformation sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable
Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailUtilisation du DSQ. 2. Principales fonctions associées au DSQ
Utilisation du DSQ 1. Général Dans la phase initiale de déploiement, seuls les centres médicaux faisant partie du projet pilote auront accès au module SQIM. Les professionnels se verront attribuer une
Plus en détailLe Circuit de Distribution des Médicaments en EHPAD. «Afin que le bon médicament arrive à la bonne dose dans la bonne bouche»
Le Circuit de Distribution des Médicaments en EHPAD «Afin que le bon médicament arrive à la bonne dose dans la bonne bouche» Dr JM Vétel et Mme Robert INTRODUCTION «Le Circuit de Distribution des Médicaments
Plus en détailMinistère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale. Programme d appui au secteur de la santé- 8 ÈME FED
République du Mali Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale Programme d appui au secteur de la santé- 8 ÈME FED Mars 2006 Elaboration d un guide concernant les grossistes sur
Plus en détailApplication de l ingénierie des systèmes d information institutionnels au domaine financier dans le contexte des accords de Bâle II Abdelaziz KHADRAOUI Contact: abdelaziz.khadraoui@cui.unige.ch Forum International
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;
1/9 Avis n 22/2014 du 19 mars 2014 Objet : demande d'avis concernant un projet d'arrêté royal réglementant les traitements par les médicaments de substitution (CO-A-2014-006) La Commission de la protection
Plus en détail3 e symposium international
3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailCollaboration MRS (MRPA) - Pharmacie
Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?
Plus en détailPascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD
La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal
Plus en détailDossier de presse 2013
Dossier de presse 2013 Contact presse : Nathalie Philippe 04 70 07 67 66 06 22 69 23 89 n.philippe@cepisoft.net C EP I 1 b i s ru e G a s p a rd M o n g e - 3 7 2 7 0 M o n t l o u i s s u r L o i re -
Plus en détailmederp Logiciel complet de gestion de dossiers médicaux Version Clinique 1.4 beta Novembre 2014
mederp Logiciel complet de gestion de dossiers médicaux Version Clinique 1.4 beta Novembre 2014 2 Plan Ergonomie Menu accueil, zones fixes Ecrans applicatifs. Dossier patient Identification, recherche,
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Personne chargée du dossier : Valérie Salomon mél. : valerie.salomon@sante.gouv.fr Sous-direction
Plus en détailDakar, Sénégal 5-9 Mars 2006. Dr Joël Keravec MSH/RPM Plus - Brésil et représentant le Globa
éminaire pour les onsultants Francophones - estion des Approvisionments et des Stocks pour VIH, la TB et le Paludisme Assurance Qualité des Médicament s Dakar, Sénégal 5-9 Mars 2006 Dr Joël Keravec MSH/RPM
Plus en détailPoitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit
Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.
Plus en détailPrescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Prescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale RECOMMANDATIONS Février 2009 HAS/Service des bonnes pratiques professionnelles
Plus en détailRapport d audit interne
Rapport d audit interne Thème : Circuit du médicament Titre : Scan rapide du niveau de sécurisation du circuit du médicament dans l unité de soins. Date : Août 2010 Centre Médico-Chirurgical de Kourou
Plus en détailB. REGLEMENTS D EXECUTION
MEDICAMENTS - B. REGLEMENTS D EXECUTION 1 B. REGLEMENTS D EXECUTION Sommaire Règlement grand-ducal du 29 avril 1983 fixant la composition et le fonctionnement de la commission d experts chargée de donner
Plus en détailPharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique
Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailLa politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins
La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante
Plus en détailLoi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens
Loi 41 GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens AVIS Ce guide ne se substitue pas aux lois, aux règlements ou au jugement des professionnels de la santé. Il représente l état actuel du
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailPublication des liens
Le Leem vous informe Publication des liens entre professionnels de santé et entreprises du médicament Vous êtes médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, pharmacien, professionnel paramédical ou tout autre
Plus en détailRepères. Gestion des défibrillateurs automatisés externes
Repères Gestion des défibrillateurs automatisés externes Juin 2014 Défibrillateurs automatisés externes grand public : Recommandations à suivre Vous êtes une entreprise, une structure accueillant du public
Plus en détailPolitique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :
POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD DE DEMATERIALISATION DES ORDONNANCES SUR cd-rom DISPOSITIF INTERMEDIAIRE D EXPERIMENTATION SUR L ENSEMBLE DES DEPARTEMENTS
Version signature 14.04.2011 PROTOCOLE D ACCORD DE DEMATERIALISATION DES ORDONNANCES SUR cd-rom DISPOSITIF INTERMEDIAIRE D EXPERIMENTATION SUR L ENSEMBLE DES DEPARTEMENTS Vu le code de la sécurité sociale,
Plus en détailLe système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins.
www.inami.be www.coopami.org Le système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins. Nouakchott 3 février 2011 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Se doter d un système d
Plus en détailAVIS DE PUBLICITE GENERALITES
AVIS DE PUBLICITE Date de mise en ligne : 05/06/2014 Objet : APPEL D OFFRES OUVERT «FOURNITURE DE GAZ MEDICAUX» (VRAC-CONDITIONNES TELESURVEILLANCE) MARCHE A BON DE COMMANDE SANS MINIMUM NI MAXIMUN GENERALITES
Plus en détailLES ORDONNANCES FAITES PAR UN MÉDECIN. Guide d exercice. du Collège des médecins du Québec
LES ORDONNANCES FAITES PAR UN MÉDECIN Guide d exercice du Collège des médecins du Québec MAI 2005 Table des matières Avant-propos 5 1. Introduction 6 2. L ordonnance et la prescription 7 2.1 Définitions
Plus en détailMONITORING / SUIVI DES PATIENTS
Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou
Plus en détailContribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU)
Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU) pour un cahier des charges des bases de données des produits de santé exigeant Rappelons pour mémoire que le législateur
Plus en détailQualité OFFICINALE GUIDE D ASSURANCE FEDERATION DES SYNDICATS PHARMACEUTIQUES
GUIDE D ASSURANCE Qualité OFFICINALE FEDERATION DES SYNDICATS PHARMACEUTIQUES D E F R A N C E GUIDE D ASSURANCE Qualité OFFICINALE PAGES SOMMAIRE 1 INTRODUCTION 3 LA QUALITÉ OBJECTIF CHAMP D APPLICATION
Plus en détailAGRéMENT DES PHARMACIENS HOSPITALIERS
COMMISSION D AGRÉMENT DES PHARMACIENS HOSPITALIERS AGRéMENT DES PHARMACIENS HOSPITALIERS Pourquoi un agrément en tant que Pharmacien hospitalier? 4 introduction 5 notice explicative I. La demande d InscrIptIon
Plus en détailLE GRAND VIZIR, A ARRETE :
Arrêté viziriel du 3 février 1953 (18 joumada I 1372) pris pour l application du dahir du 20 mars 1951 (12 joumada Il 1370) portant réglementation de l exploitation et de la vente des eaux minérales naturelles
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailEdition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25
Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les
Plus en détailLes médicaments génériques
ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le
Plus en détailmodifiant la loi sur la santé (révision partielle)
Loi du 8 mai 2009 Entrée en vigueur :... modifiant la loi sur la santé (révision partielle) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu le message du Conseil d Etat du 16 décembre 2008 ; Sur la proposition
Plus en détailOrganisation du circuit du médicament en établissement de santé
Références : OPC 9 manuel d accréditation version 1 N 36 manuel d accréditation version 2 Titre de collection Fiche thématique Titre de la fiche Organisation du circuit du médicament en établissement de
Plus en détailGestion de crise en Pharmacovigilance
Cours DIU FIEC 16 octobre 2008 Véronique LAMARQUE PFIZER Senior Directeur Évaluation de Santé, Sécurité et Gestion de Risque Une définition... parmi d autres Une crise est un événement qui survient quand
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailPremiers secours. Article 36
Commentaire de l ordonnance 3 relative à la loi sur le travail Art. 36 Article 36 Premiers secours 1 Les moyens nécessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence, compte tenu des dangers
Plus en détailEstelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1
Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés
Plus en détailNOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N 2-14-841 RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE
NOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N 2-14-841 RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE HUMAIN AVEC LEURS REPONSES CORRESPONDANTES 1 Mme S.
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailBordereau de transmission accident du travail
Bordereau de transmission accident du travail A adresser au service des pensions et accidents du travail du CNRS Accompagné des pièces requises Nom. Prénom Matricule Composition du dossier Observations
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLA RéPOnSe COLLeCTive. Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat
LA RéPOnSe COLLeCTive des entreprises de SAnTé Aux POPuLATiOnS en SiTuATiOn de détresse Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat Qui sommes nous?
Plus en détailFonction Publique Territoriale
Fonction Publique Territoriale CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2EME CLASSE DES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT SPECIALITE : MAGASINAGE DES ATELIERS MERCREDI 17 SEPTEMBRE 2008 EPREUVE
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie LE PERMIS D EXPLOITATION ET LE PERMIS DE VENTE DE BOISSONS ALCOOLIQUES LA NUIT
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 26/07/2011 N : 28.11 LE PERMIS D EXPLOITATION ET LE PERMIS DE VENTE DE BOISSONS ALCOOLIQUES LA NUIT Le Décret n 2011-869 du 22 juillet
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailModule 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique
Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace Aperçu Page 2 de 28 Emballages appropriés Marquage et étiquetage Documentation exigée Exercice: emballage en présence de glace Page
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailBONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE
MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE MINISTERE DELEGUE A LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS BONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE 1 ère édition juin 2001 SOMMAIRE
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détailRESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT»
Page 1 ANNEE SCOLAIRE 2014/2015 RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Le Maire de la Commune de Labouheyre, Vu l article
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailCIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00)
Rabat, le 11 mars 2002 CIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00) RELATIVE A LA RELATION ENTRE LES SOCIETES DE BOURSE ET LEUR CLIENTELE DANS LE CADRE DE L ACTIVITE D INTERMEDIATION Aux
Plus en détail