Les dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif Les zones éligibles au dispositif de la loi «Scellier»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif Les zones éligibles au dispositif de la loi «Scellier»"

Transcription

1 Service Intermodalité Aménagement Logement Mai 2010 Les dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif Les zones éligibles au dispositif de la loi «Scellier»

2 Sommaire Introduction page 2 I La limitation du bénéficie des dispositifs fiscaux en faveur de l'investissement page 3 locatif aux zones A, B1 et B2 II La révision du zonage pour l'investissement locatif par l'arrêté du 29 avril 2009 page 9 III Bilan 2009 de l'investissement locatif dans les Pays de la Loire page 16 IV Le bénéfice du Dispositif de la loi «Scellier» en zone C à titre dérogatoire page 20 Liste des principaux documents consultés page 24 1/24

3 Introduction Créé en 1984, le premier dispositif fiscal en faveur de l'investissement locatif dans le neuf, en l'occurrence le dispositif Méhaignerie, ne comportait pas de plafonds de loyer et donc de zonage fixant ces plafonds en fonction des loyers de marché. Le premier zonage pour l'investissement locatif a été créé en 1992 avec le dispositif Quilès- Méhaignerie, afin d'ajuster les différents plafonds en fonction du marché immobilier. Ce zonage distinguait l'ile-de-france et la Province. Les plafonds de loyers instaurés avec le dispositif Quilès-Méhaignerie étaient 40% plus élevés en Ile-de-France qu' hors Ile-de-France et les plafonds de ressources supérieurs de 29%. Ces plafonds de loyers se trouvaient à des niveaux sensiblement égaux à ceux du secteur intermédiaire (plafonds loyer PLI). Le zonage a ensuite été redéfini en 1999 avec le dispositif Besson en quatre zones suivant la taille des agglomérations : la zone Ibis (Paris et les communes limitrophes), la zone I (reste de l'ile de France), la zone II (agglomérations de plus de habitants) et la zone III (reste de la France). Le zonage a été remanié en 2003 avec le dispositif Robien. Un nouveau découpage en trois zones géographiques (A, B et C) a été adopté, tenant compte à la fois des notions de taille d'agglomérations et de tension du marché immobilier. Les niveaux de loyers plafonds définis selon ce zonage devaient en théorie correspondre à 90% du loyer du marché dans les zones les plus tendues. En 2006, le recentrage du dispositif de Robien et la création du dispositif Borloo populaire ont été l'occasion d'améliorer le zonage précédent par la scission de la zone B en deux souscatégories B1 et B2. Les deux nouvelles catégories doivent permettre de définir des plafonds correspondants à la tension du marché immobilier des grandes agglomérations (hors agglomération parisienne qui est située en zone A) et de regrouper dans une nouvelle catégorie les communes dont le marché est sensiblement plus faible que celui d'une grande agglomération. Les plafonds de loyer du Robien recentré ont été sensiblement abaissés en zone B2 et C par rapport au Robien classique alors que les plafonds de loyers du Borloo populaire se situent à des niveaux inférieurs de 20 % à ceux du Robien recentré, l'idée étant de les fixer à 70% des loyers de marché. 2/24

4 La loi de finances rectificative pour 2008 a créé le dispositif Scellier pour la période du 1 er janvier 2009 au 31 décembre 2012, en limitant son bénéfice aux zones A, B1 et B2. Par ailleurs, la loi du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l'exclusion a prévu une révision périodique du zonage (au moins tous les trois ans) et limité les dispositifs Robien recentré et Borloo populaire aux zones A, B1 et B2, à compter du 4 mai 2009 et jusqu'à leur extinction fin Enfin, la loi de finances pour 2010 a introduit la possibilité de demander un agrément pour bénéficier du dispositif Scellier dans les communes situées en zone C à titre dérogatoire. Le rapport a pour objet dans un premier temps de présenter les raisons qui ont conduit à limiter le bénéfice des dispositifs fiscaux en faveur de l'investissement locatif aux zones A, B1 et B2 puis de revenir sur la révision du zonage intervenue par arrêté du 29 avril Dans l'attente du décret devant préciser les modalités de délivrance de l'agrément pour bénéficier du Scellier en zone C, nous ferons ensuite un bilan de l'investissement locatif dans les Pays de la Loire en 2009 avant d'aborder la question du bénéfice du dispositif Scellier en zone C à titre dérogatoire. I La limitation du bénéfice des dispositifs fiscaux en faveur de l'investissement locatif aux zones A, B1 et B2 Cette mesure s'inscrit dans la continuité des décisions du Conseil de modernisation des politiques publiques du 4 avril 2008 visant à recentrer les aides fiscales à l'investissement privé sur les zones dans lesquelles les besoins de logement sont prioritaires et où il existe de réelles tensions sur le marché du logement locatif. Le rapport du ministère du logement et de la ville de février 2008 sur l'évaluation des dispositifs d'aide à l'investissement locatif fait état en effet, pour les logements neufs entre 1999 et 2005 en investissement locatif, d'une moins bonne corrélation de la répartition de ces logements avec le niveau de tension des aires urbaines que la répartition de l'ensemble des logements neufs : tandis que la construction est dans l'ensemble plus concentrée dans les aires urbaines tendues, ce n'est pas nécessairement le cas des logements réalisés dans un but d'investissement locatif. Par ailleurs, en 2006, une part significative des investissements a été réalisée dans des zones dont la tension du marché est faible ou intermédiaire. 3/24

5 Logements ayant bénéficié des dispositifs Robien recentré et Borloo populaire en 2006 zone Effectifs Répartition Robien recentré Borloo populaire Ensemble A % B % B % C % Ensemble % (source : estimations 2006 DHUP d'après l'observatoire du financement du logement et FILOCOM France entière) Il convient toutefois de préciser que les estimations de la fédération des promoteurs constructeurs donnaient une part plus importante de logements en zone A et B1 (22% en zone A, 35% en zone B1; 26% en zone B2, 17% en zone C). Dans un étude réalisée en 2007 pour le compte de la DRE des Pays de la Loire, la cellule économique régionale du BTP des Pays de la Loire a estimé à le nombre de logements réalisés en de Robien en région entre 2003 et 2006, à partir des données SITADEL et des fichiers transmis par un important établissement financier des Pays de la Loire. Sur ces logements, 36% étaient situés en zone B et 64% en zone C. Logements en investissement de Robien entre 2003 et 2005 Nombre total Dont en zone B Dont en zone C nombre % Nombre % Loire-Atlantique % % Maine-et-Loire % % Mayenne % % Sarthe % % Vendée % % Pays de la Loire % % (source : Le logement «de Robien» en Pays de la Loire, Cellule économique régionale du BTP des Pays de la Loire, rapport provisoire de novembre 2007 non publié) Partant du principe que les mesures d'incitation à l'investissement locatif ont pour but affiché l'augmentation de l'offre de logements locatifs et la modération des loyers, l'anil a réalisé en 2008 une enquête sur l'impact de l'investissement neuf sur les marchés locatifs. Faute de 4/24

6 données statistiques en la matière, cette enquête a consisté à consulter des professionnels susceptibles d'apporter un éclairage sur le fonctionnement des marchés et d'apprécier les évolutions récentes : agents immobiliers en premier lieu mais aussi le cas échéant, établissements financiers et promoteurs immobiliers. Les principaux constats de cette étude par rapport à l'impact de l'investissement dans le neuf suivant le degré de tension du marché local et l'importance du surplus d'offre généré par l'investissement dans le neuf sont les suivants : si l'on excepte les marchés les plus tendus (agglomérations les plus chères de la zone A) où l'incitation est inefficace compte tenu notamment d'un niveau des loyers de marché supérieur à celui des loyers plafonds et des prix de l'immobilier, l'investissement locatif a permis une augmentation significative, parfois très importante de l'offre locative et a contribué à l'amélioration de la qualité du parc locatif. Les propriétaires de logements anciens ont en effet été incité à effecteur des travaux d'amélioration pour maintenir leur logement sur le marché, les locataires préférant les logements neufs ; dans les agglomérations en forte expansion démographique comme Toulouse mais aussi Rennes, Nantes ou Bordeaux, l'accroissement de l'offre était une nécessité pour alimenter une demande en forte progression. C'est la raison pour laquelle elle n'y a pas provoqué de réelle détente du marché : les logements neufs se sont loués facilement et les loyers ont continué à augmenter à un rythme soutenu. Seuls des ralentissements ponctuels et de courte durée ont été observés dans les quartiers où d'importants volumes de logements étaient mis en service ; dans les autres grandes agglomérations de province comme Marseille, Montpellier, Nîmes, Angers ou La Rochelle, la détente se manifeste par un allongement des délais de location et par une modération de la hausse des loyers, cette détente étant souvent sélective (à Brest par exemple, elle ne concerne pas les studios et les maisons, dont les loyers continuent de progresser; à Angers, les étudiants n'hésitent plus à quitter leur logement à la fin de l'année universitaire, certains qu'ils sont de retrouver facilement une location à la rentrée) ; dans les villes petites et moyennes de la zone B2 et de la zone C, l'impact de l'investissement locatif est toujours sensible, parfois spectaculaires et dans quelques cas, préoccupant, voire alarmant. C'est en effet, surtout dans ces villes qu'ont fleuri les opérations ciblées investisseurs parfois en nombre excessif au regard de la taille du parc locatif existant et en raison du manque de diversité des biens produits. Dans des marchés relativement peu tendus, où la demande n'est pas très extensible, l'effet sur les marchés a été rapide : allongement des délais de (re)location, stabilisation, voire baisse des loyers et, dans certains cas, vacance importante. Là encore ces phénomènes ne touchent pas l'ensemble du parc : ils sont limités aux appartements de petite taille. À titre d exemple, M. Jean Dionis du Séjour, député-maire d Agen, a indiqué lors de son audition par les 5/24

7 parlementaires chargés de réaliser un rapport d'évaluation des dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif, que malgré une forte croissance démographique de la ville due à l installation de l école nationale d administration pénitentiaire et à la montée en puissance du 48ème régiment de transmissions, les nombreuses constructions locatives réalisées ces dernières années ont conduit à la fois à la multiplication des vacances de logements anciens dans le centre ville, mais aussi de logements nouvellement construits, l'investisseur perdant alors l'avantage fiscal. ou trouvant un locataire à un loyer plus bas que prévu, avec à la clef un rendement faible ou nul. En effet, ces logements étaient essentiellement des logements de petites tailles et ne correspondaient pas aux besoins et aux attentes des familles. Même si la distinction n'est pas toujours aussi claire compte tenu de l'intervention d'intermédiaire dans certains cas, il est possible de décomposer la production de logements en investissement locatif en deux groupes, comme le fait l'anil dans son étude : d'une part, des opérations de promotion «classiques», c'est à dire qui ne visent pas une clientèle particulière. Les logements, susceptibles d'être acquis aussi bien pour occupation personnelle qu'en vue de la location, sont commercialisés pour la plupart selon la méthode traditionnelle du bureau de vente. Les acheteurs sont en grande majorité des ménages résidents dans l'agglomération ; d'autre part, des opérations dédiées, c'est à dire conçues pour être vendues à des investisseurs. Composées en majorité de logements petits ou moyens (une à trois pièces), elles sont souvent de qualité moyenne, voire médiocre. Leur conception vise à minimiser les charges de copropriété (immeubles de faible hauteur pour éviter le coût d'un ascenseur). Commercialisés par des réseaux nationaux, les logements sont vendus dans leur grande majorité à des investisseurs éloignés. La vente comprend presque toujours, avec le logement, les services adaptés à un propriétaire ne résidant pas sur place : recherche des locataires, mise en location et gestion locative, le tout assorti d'une garantie de revenu locatif. Selon un représentant d'un promoteur, dans ce type d'opération, les promoteurs au moment du montage de l'opération ne regardent même pas le prix des logements anciens dans le secteur ou la situation du marché local de l'habitat. Ce qui les intéresse avant tout, c'est l'effort d'épargne mensuel qui restera à la charge de l'investisseur une fois déduit l'avantage fiscal et le montant du loyer. Si cet effort ne dépasse pas entre 50 et 100 euros, ils savent qu'ils seront en mesure d'écouler leur programme à des investisseurs éloignés, quel que soit les besoins en logements du marché local. Comme le note l'anil, les investisseurs «distants», dans leur grande majorité, achètent un produit de défiscalisation et ne s'intéressent guère au bien lui-même. Beaucoup ne voient pas et probablement, ne 6/24

8 verront jamais le logement acquis, n'ont aucune connaissance de son environnement ni du marché local. Ils sont donc entièrement tributaires des informations données par le vendeur, notamment pour ce qui concerne la demande locative et le niveau des loyers. Cette distinction renvoie à deux types de promoteur. En effet, certains promoteurs se sont spécialisés dans les opérations dédiées à l'investissement locatif. Toutefois, en 2009, les ventes à des investisseurs ont pu représenter plus de la moitié des ventes de logements dans le cadre d'opérations classiques, compte tenu du succès du dispositif Scellier qui permet une baisse significative de l'effort mensuel d'épargne par rapport aux anciens dispositifs. 7/24

9 Typologie des marchés au regard de l impact de l investissement locatif neuf 1 - Zones très chères (zone A)1 2 Grandes agglomérations (zone B1) 3 Villes moyennes/petites (zones B2 ou C) Marché locatif Parc locatif prédominant Marchés d offreurs (le bailleur choisit le locataire) Parc locatif important Délais de relocation réduits, loyers en hausse rapide dans certaines agglos Parc locatif réduit, marché étroit, demande limitée. Production Peu d opportunités de construire Dispositif fiscal moins incitatif (loyers plafonds contraignants, plafonnement du déficit imputable) Prix très élevés, petits logements (collectif) Peu d opérations dédiées à l IL : vente classique (bureau de vente) Augmentation rapide de population, gros besoins, importante production Petits logements en majorité (collectif) Une part d opérations dédiées vendue par réseaux Très importante dans certaines agglos par rapport au marché Petits/moyens logements, essentiellement en collectif. Opérations dédiées, vente à distance par réseaux Impact Négligeable Apport indispensable d offre nouvelle qui a permis soit une détente du marché, soit une modération de la hausse des loyers. Effet qualitatif : travaux d amélioration dans l ancien pour maintenir les logements «dans le marché» La difficulté de relouer des logements anciens peut inciter certains propriétaires à vendre Détente du marché, puis, dans certains cas, offre surabondante : allongement des délais de location et baisse des loyers, vacance. Effet qualitatif : l ancien doit se mettre à niveau pour soutenir la concurrence. Nécessité absolue pour les logements vétustes. Nombreuses mises en vente de logements anciens, qui alimentent le marché de l accession sociale. (source : ANIL L'impact de l'investissement en logements neufs sur les marchés locatifs -juillet 2008) 8/24

10 II La révision du zonage pour l'investissement locatif par l'arrêté du 29 avril 2009 Afin de mettre fin à ces excès et réorienter l'investissement locatif vers les zones les plus tendues, le Gouvernement a donc supprimé l'avantage fiscal en zone C parallèlement à une révision du zonage. Cette révision est intervenue par arrêté du 29 avril 2009 au terme d'un travail technique qui s'est appuyé sur les contributions de certaines DRE et sur l'analyse combinée de deux indicateurs statistiques, à l'échelle de l'unité urbaine : un indicateur synthétique de tension, qui prend notamment en compte le taux de mobilité dans le parc HLM, la part des ménages bénéficiaires des aides au logement dont le taux d'effort est supérieur à 39% et le niveau des prix des logements et des loyers ; un indicateur conjoncturel tenant compte de l'analyse du marché par les professionnels de l'immobilier. A la suite d'échanges plus approfondis avec les professionnels de l'immobilier, les aménagements suivants ont été apportés : le principe d'unité des structures intercommunales a été retenu pour éviter de classer au sein du périmètre d'un même EPCI (hors communauté de communes), des communes dans deux zones différentes, même si cette règle n'a pas été appliquée de façon systématique comme le montre l'exemple de la CA de Laval classée en zones B2 et C ; en revanche, il a été acté qu'au sein d'une agglomération où le marché du logement présente de fortes disparités, des communes pouvaient être classées dans des zones différentes. Ensuite, les associations représentant les élus locaux (Association des Maires de France, Association des maires des grandes Villes de France, Assemblées des Communautés de France, Fédération des maires des Villes Moyennes) ont été consultées et ont fait part de leurs observations. Ce processus d'élaboration a abouti à la proposition de faire changer de zone communes, 795 communes étant reclassées (dont 756 communes passant de zone C en zone B2 ou B1) et 442 communes étant déclassées (dont certaines communes passant de zone B2 en zone C). Toutefois, pour accompagner le plan de relance décidé par le président de la République dans le domaine du logement, les communes jusqu'à présent classées en zone B1 et B2 et qui auraient pu justifier d'un déclassement en zone C ont été maintenues dans leur 9/24

11 zone actuelle. Au niveau national, 170 communes ont ainsi été mises sous surveillance en raison d'une trop faible demande locative et pourraient être déclassées lors de la prochaine révision du zonage. Parmi ces villes figurent Montauban, Dijon, Le Mans, Perpignan, Mulhouse, Valence ou encore Clermont-Ferrand. Selon le secrétaire d'etat au logement, qui est intervenu le 19 mai 2010 lors d'une table ronde du Sénat sur la fiscalité en faveur de l'investissement immobilier, "ne pas déclasser certaines d'entre elles reviendrait à permettre la construction de logements en Scellier qui ne trouveraient pas preneur, ce qui conduirait à déséquilibrer le marché de l'immobilier dans ces communes". Ces déclassements devraient intervenir en principe avant la rentrée scolaire. Dans les Pays de la Loire, la révision du zonage d'avril 2009 s'est traduite par le reclassement de 66 communes, aucune commune étant déclassée : 6 communes passent de B2 à B1 (les 3 communes de l'agglomération de Cap Atlantique et 3 des 10 communes de l'agglomération de Saint-Nazaire), 6 communes passent de C à B1 (les 3 communes de l'agglomération des Sables d'olonne et 3 communes de la communauté urbaine de Nantes situées en dehors de l'agglomération de Nantes), 54 communes passent de C à B2 (20 communes de la CA d'angers, 12 communes de la CAC, 4 communes de Cap Atlantique, 5 communes de la CARENE, 3 communes de la CC côte de Lumière, 3 communes de la CC du Talmondais, la commune de Challans, 3 communes de la CC Océan Marais de Monts, 2 communes de la CU du Mans et, enfin, la commune de La Tranche-sur-Mer) 10/24

12 Zonage des aides à l'investissement locatif privé (arrêté du 29 avril 2009) Communes Superficie Population (1) nombre % ha % Nombre hab % Zone B1 39 2, , ,6 Zone B2 95 6, , ,3 Zone C , , ,0 Total région ,0 (1) population totale RP /24

13 Dans sa contribution de juillet 2008, la DRE des Pays de la Loire proposait le reclassement de 16 communes dont 7 communes de B2 à B1 (Le Croisic, Batz-sur-Mer, Le Pouliguen, La Baule- Escoublac, Pornichet, Saint Nazaire, Pornic), 5 communes de C en B1 (Les Sables d'olonne, Château d'olonne, Olonne sur Mer, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Hilaire-de-Riez) et 4 communes de C en B2 (Saint-Jean de Monts, Brétignolles sur Mer, Talmont-Saint- Hilaire et Challans). Finalement, les communes de Batz-sur-Mer, de Pornic, du Pouliguen et de Saint- Nazaire ont été maintenues en zone B2 alors que les communes de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et de Saint-Hilaire-de-Riez ont été reclassées en zone B2 et non pas en zone B1 comme demandé. Malgré cette révision du zonage et la suppression de l'avantage fiscal en zone C, tous les risques locatifs ne sont pas pour autant supprimés pour les investisseurs, comme le montre une étude du Crédit foncier de France publiée en juillet Selon cette étude, portant sur le territoire national, une soixantaine de secteurs en zones A, B1 et B2 sont considérés à risques ou mis sous surveillance. Dans un communiqué, le ministère du logement a ainsi été amené à rappeler que l'objet du dispositif fiscal est avant tout de soutenir le secteur du logement et d'accroître l'offre de logements locatifs dans les villes où la demande est forte et que chaque acquéreur potentiel est bien entendu invité à veiller à la qualité de l'emplacement du bien qui lui est proposé. Pour sa part, le Crédit foncier précise dans son étude que les marchés placés sous surveillance peuvent inclure des secteurs géographiques et/ou segments de biens collectifs porteurs ou prometteurs. A l'inverse, des marchés considérés comme dynamiques ou équilibrés peuvent comporter des secteurs géographiques et/ou segments de biens collectifs à risques. Compte tenu de ces réserves, l'étude du Crédit foncier de France offre une cartographie régionale des risques dont on peut dégager les conclusions suivantes : très majoritairement, le marché locatif du neuf est sain, l'augmentation du nombre de foyers à risques par rapport à la précédente étude étant très faible. Par ailleurs, huit marchés très majoritairement situés hors des secteurs lourdement touchés par la surproduction de Robien ne sont plus considérés à risques ; une soixantaine de secteurs sont mis sous surveillance en zones A, B1 ou B2 (90% des agglomérations sont en zones B2 et 9,8% en zones B1). En Pays de la Loire, les cinq secteurs concernés sont situés en zone B2 : Angers, Cholet, Laval, Le Mans, la Roche-sur- Yon. Les secteurs de Nantes, de Saint-Nazaire et du littoral y compris Challans font partie des secteurs considérés comme dynamiques ou prometteurs ; au palmarès des régions classées par ordre croissant en fonction du nombre et de 12/24

14 l'importance des foyers à risques, les Pays de la Loire arrivent en quinzième position sur vingt régions. Néanmoins, la région est classée en zone verte contrairement aux régions Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et Rhône Alpes en zone rouge compte tenu de l'importance des foyers à risques ; les loyers de l'offre constatée sont nettement supérieurs à ceux de la demande exprimée. Ainsi, sauf dans les Pays de la Loire, les loyers plafonds des logements familiaux (trois pièces et plus) sont plus élevés que les loyers de marché, parfois dans des proportions importantes (jusqu'à +45% à +70% en zone A dans les Alpes). Les plafonds sont généralement plus conformes à la réalité du marché pour les petites surfaces, ce qui pourrait expliquer pourquoi les investisseurs préfèrent les petits logement au-delà même du prix plus abordables de ces logements et du plafonnement des aides fiscales qui peut conduire à privilégier un petit logement afin d'optimiser l'avantage fiscal. Ces analyses sont confirmées par une étude de la société d'expertises immobilières «Immogroup Consulting», de mai 2010, qui montre que le marché du logement locatif neuf en Scellier souffre aujourd'hui de deux types de dysfonctionnement : D abord d'une suroffre qui est avérée dans plusieurs communes ou agglomérations (Nancy, Mulhouse, Vannes, Limoges, Tulle, Brive, Age, Périgueux, Bergerac, Carcassonne, Montauban, Albi, Cahors, Manosque, Salon de Provence, Thonon-les-Bains, Aix-les-Bains, Clermont-Ferrand, Vichy, Villefranche-sur-Saône, Grenoble, Valence, Bailleul ) mais qui demeure assez marginale sur le plan national ; Ensuite, de l inadéquation grandissante des loyers maxima Scellier ou proposés aux loyers de marché. Ce phénomène s est notablement aggravé depuis la mise en place du dispositif Scellier, parallèlement à l amplification de la détérioration du marché locatif. Touchant désormais toutes les régions, cette inadéquation concerne totalement ou partiellement les trois quarts des agglomérations situées en zone B2, les deux tiers de celles situées en zone B1, 40% des agglomérations situées en zone A (dont l essentiel de la seconde couronne parisienne et une partie de la première couronne). Les loyers maxima Scellier peuvent ainsi être supérieurs de 5% à plus de 50% aux loyers de marché dans certaines agglomérations, selon la situation particulière et la typologie des logements : plus le logement est grand, plus cet écart est important. Le créneau du Scellier en logement individuel diffus (il en existe un nombre significatif) s'avère, pour cette raison, particulièrement risqué, prévient Immogroup Consulting. Lors de la table ronde du Sénat sur la fiscalité en faveur de l'investissement immobilier, Benoît Apparu a reconnu que les plafonds de loyer étaient parfois trop élevés et annoncé qu'il proposerait au gouvernement "une révision des plafonds de loyers". 13/24

15 Cartographie régionale des risques de l'investissement en immobilier résidentiel neuf d'après le Crédit foncier de France - Juillet /24

16 Carte nationale des risques locatifs en immobilier résidentiel neuf selon Immogroup Consulting Mai /24

17 III Bilan 2009 de l'investissement locatif dans les Pays de la Loire En 2009, logements ont été vendus à des investisseurs privés dans les Pays de la Loire selon un estimation réalisée par la DREAL à partir des données de l'observatoire du Logement de la Métropole Atlantique (OLOMA) et de l'enquête sur la commercialisation des logements neufs destinés à la vente aux particuliers (ECLN). 76% de ces logements sont localisés dans le département de la Loire-Atlantique. Nombre de logements vendus avec le dispositif Scellier en 2009 Départements Nombre de logements vendus avec le dispositif Scellier Montant des ventes (en millions d' ) Loire-Atlantique Maine-et-Loire Mayenne Sarthe Vendée Total régional (source : estimation DREAL des Pays de la Loire) On peut raisonnablement considérer que la quasi totalité de ces logements a bénéficié du dispositif Scellier, beaucoup plus intéressant que les autres dispositifs en vigueur en 2009 (Robien et Borloo). Cette estimation peut également être considérée comme un minimum dans la mesure où les chiffres OLOMA n'intègrent pas les opérations de maisons individuelles qui ne passent pas par des promoteurs. Par ailleurs, l'enquête ECLN couvre uniquement les permis de construire de 5 logements ou plus. L'association OLOMA a été créée en juin 2007 à l'initiative de la Fédération des promoteurs et constructeurs des Pays de la Loire avec le soutien de Nantes Métropole et la participation de banques partenaires pour mettre en place un outil de suivi des différents marchés immobiliers de la métropole Nantes-Saint-Nazaire. Le périmètre d'observation de l'oloma porte sur la métropole Atlantique (Nantes métropole + Carene + Cap Atlantique + Estuaire Nord) et depuis 2009 sur la région d'angers. La présentation des chiffres Oloma pour l'année 2009 a permis mettre en évidence les points suivants : de façon générale, l'année 2009 aura été une année exceptionnelle pour la promotion immobilière dans toutes les grandes métropoles régionales comme l'a souligné le représentant du bureau d'études Adéquation, chargé de la gestion d'oloma, cette 16/24

18 dynamique étant en grande partie due à l'investissement locatif. En région parisienne et dans les villes plus petites, les résultats sont en revanche plus mitigés ; sur le territoire de la métropole Atlantique, les ventes à investisseurs privés hors ventes en bloc ont doublé par rapport à 2007 pour atteindre logements et 67% des ventes totales contre 50% en Sur la région d'angers, les ventes à investisseurs se sont élevées à 377 logements soit 56% de l'ensemble des ventes ; A l'intérieur de la métropole Atlantique, Nantes métropole a pleinement bénéficié de la reprise d'activités en concentrant 77% des ventes totales de la métropole et 81% des ventes à investisseurs. Sur la CUN, 71% des ventes concernent des investisseurs, le reste correspondant aux occupants. La CARENE avec près de 16% des ventes de la métropole Atlantique a bénéficié de la reprise mais dans une moindre mesure. Sur la CARENE, les ventes à investisseurs représentent toutefois 63% des ventes ; à l'échelle de la métropole Atlantique, les T1/T2 représentent 57% des ventes en 2009 (ventes à occupants et ventes aux investisseurs) contre seulement 40% de l'offre disponible. A l'inverse les T3 et T4 sont sur-représentés dans l'offre disponible (57% de l'offre pour 42% des ventes) (cf. tableau 3). Cette sur-représentation des petites surfaces peut s'expliquer par le poids important des ventes à investisseurs privés dans l'ensemble des ventes. 17/24

19 (source OLOMA, hors ventes en bloc) Ventes de logements neufs par territoires en 2009 (hors ventes en bloc) Ventes à occupants (en nb logts) Ventes à investisseurs Ventes totales % ventes à investisseurs Métropole Atlantique ,4% dont CUN ,9% CARENE ,4% Reste métropole Atlantique ,1% Région d'angers ,0% (source : OLOMA) Typologie des logements vendus et de l'offre, prix unitaires et surface moyenne (source : OLOMA, ensemble des ventes) 18/24

20 Les données ECLN confirment le poids important des petites surfaces dans les ventes à investisseurs. En 2009, 58% des logements réservés par des investisseurs privés dans les Pays de la Loire sont de une ou deux pièces contre seulement 46% dans l'ensemble des logements réservés d'après les résultats de l'enquête ECLN. Taille des logements réservés Logements réservés en investissement locatif Ensemble des logements réservés 2% 4% 40% 46% 58% 50% 1, 2 pièces 3, 4 pièces 5 pièces et plus (source : ECLN ministère de l'écologie) Dans un entretien accordé à Ouest-France (édition du 19 mars 2010) M. Marcel Crasnier, représentant des propriétaires du département de Maine-et-Loire, fait part d'un excès de petits logements dans l'agglomération angevine mais aussi à Cholet et Saumur depuis 18 mois. Il considère ainsi que le dispositif Scellier est à peine justifié et qu'il ne l'est surtout pas pour les petits logements. La loi de mobilisation pour le logement (loi Mlle) donne la possibilité aux communes de délimiter dans leur PLU des secteurs à l'intérieur desquels les programmes de logements devront comporter une proportion définie de logements d'une taille minimale (CU, article 123-1, 15ème). Il convient toutefois de préciser que les documents d'urbanisme n'ont pas pour vocation en principe d'introduire des dispositions relatives à la construction. En outre, le demandeur d'une autorisation d'urbanisme n'est plus tenu de produire les plans intérieurs des constructions, ce qui peut entrainer quelques difficultés de vérification au moment de la demande de permis de construire. C'est pourquoi le décret n du 22 mars 2010 prévoit de joindre à la demande de permis de construire un tableau indiquant la proportion de logements de la taille minimale imposée pour les projets situés dans les secteurs du PLU dans lesquels les programmes doivent comporter une certaine proportion de logements d'une taille minimale. Par ailleurs, ces secteurs doivent être intégrés dans les documents graphiques du PLU. La loi Mlle a également renforcé l'articulation des PLH avec les documents d'urbanisme. 19/24

21 Dans une étude de février 2010 publiée par l'anil, Guilhem Dupuy observe que les contraintes de type et de taille de logements imposées aux promoteurs excèdent très généralement le cadre écrit notamment lorsqu'il s'agit de limiter les produits destinés à l'investissement locatif. Dans ce genre de cas, les contraintes émergent lors de pratiques de concertation engagées très en amont et se rencontrent essentiellement dans les agglomérations ayant mis en place une politique volontariste du logement à travers leur PLH, comme à Nantes ou à Brest. IV Le bénéfice du dispositif Scellier en zone C à titre dérogatoire Cette possibilité de dérogation est prévue au X de l'article 199 septvicies du code général des impôts qui dispose que la réduction Scellier «est également acquise au titre des logements situés dans les communes mentionnées au premier alinéa lorsqu'elles ont fait l'objet d'un agrément délivré par le ministre chargé du logement, dans des conditions définies par décret, après avis du maire de la commune d'implantation ou du président de l'établissement public de coopération intercommunale territorialement compétent en matière d'urbanisme. La décision du ministre de délivrer ou non l'agrément doit tenir compte des besoins en logements adaptés à la population». Le projet de décret définissant les conditions dans lesquelles cet agrément pourrait être accordé est actuellement en cours d'examen par le Conseil d'etat. L'agrément portera en principe sur une seule commune. Toutefois, comme précisé dans la réponse du Gouvernement à une question parlementaire de Mme Nicole Ameline, il est prévu de permettre une procédure de demandes groupées pour l'ensemble des communes relevant d'un EPCI compétent, afin de simplifier les démarches sans que la décision perde son caractère individuel. Il convient de noter que dans le cadre des débats parlementaires sur le projet de loi de finances pour 2010, il avait été envisagé d'accorder la dérogation pour un programme en particulier comme proposé dans le rapport parlementaire d'information sur l'évaluation des dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif. Ce rapport préconisait en effet la mise en place d'un système d'agrément des projets de construction sur la base d'un contrat territorial de l'habitat. Ce contrat territorial de l'habitat, signé par les services de l'etat et les délégataires des aides à la pierre, devait déterminer les objectifs et les orientations souhaitées de la politique et servir de base à un agrément des services pour les projets de construction de logements «Borloo» et «Robien» à l'instar de ce qui existe en matière de logement locatif social. Les auteurs du rapport considéraient que cet agrément permettrait, davantage que le permis de construire d'apprécier l'opportunité de l'opération de construction et de coller au plus près à la réalité des marchés locaux, par nature beaucoup plus diverse que le découpage du territoire national en quatre zones. Si ce système permet de coller au plus près à la réalité des 20/24

22 besoins, il se révèle en revanche plus difficile à mettre en œuvre, d'où le choix d'accorder l'agrément pour l'ensemble du territoire de la commune. En outre, pour pouvoir demander un agrément, la commune devra disposer d'un programme local de l'habitat qui permet d'attester l'existence de tensions dans le secteur locatif libre ou intermédiaire et de montrer la cohérence entre la demande de dérogation et la politique globale des collectivités. En revanche, il n'est pas précisé si ce PLH devra être conforme avec les dispositions de la loi de mobilisation pour le logement du 18 février 2009 qui ont renforcé la portée opérationnelle des PLH. Désormais, le programme d'actions doit être établi par commune et, le cas échéant, par secteur géographique. Cette territorialisation s'entend : à la commune pour les communes soumises à l'article de la loi SRU et les pôles urbains comportant des enjeux forts en matière de logement ; par quartier ou arrondissement pour Paris, Lyon et Marseille, pour les PLH élaborés à l'échelle communale, pour les villes au poids démographique important situées en zone tendue ; au niveau supra-communal par exemple pour les pôles ruraux. Le programme d'actions doit décliner le nombre et les types de logements à construire. Cette typologie renvoie au mode de financement tant pour le parc public que pour le parc privé. Pour les territoires à enjeux, il peut être utile dès le porter à connaissance de se prononcer sur le statut des logements (accession, locatif privé/social) et leur taille. Les EPCI ayant adopté un PLH depuis moins de cinq an disposent d'un délai d'un an pour mettre en conformité leur PLH avec la loi Mlle, à compter de la publication de la loi. La loi Mlle a d'autre part étendu l'obligation d'élaborer un PLH aux communes de plus de habitants non membres d'un EPCI compétent en matière d'habitat et aux communautés de communes ayant pris la compétence en matière d'habitat et comptant plus de habitants avec une ville centre de habitants. Les EPCI et communes impactées par ces nouveaux seuils doivent adopter leur PLH avant le 25 mars Sont concernés dans les Pays de la Loire les communautés de communes du Castelbriantais et de Pornic en Loire- Atlantique et les communautés de communes des Sables d'olonne et du Pays de Saint-Gilles en Vendée. La loi Mlle ne prévoit pas de sanctions en cas de non respect des délais prescrits pour la mise en conformité du PLH ou l'élaboration de leur PLH. Néanmoins, les services de l'etat doivent inciter les collectivités à le faire afin de fixer ou de préciser leurs orientations en matière de 21/24

23 politique du logement. Le recours à la procédure de modification est prévu pour mettre en conformité le PLH avec les nouvelles dispositions législatives. Le projet modifié est transmis pour avis au Préfet ainsi qu'aux personnes morales associées qui ont 2 mois pour se prononcer. Cette procédure simplifiée ne prévoit pas la consultation du CRH. Au 1 er mai 2010, 20 PLH conformes à la loi du 13 août 2004 sont approuvés dans les Pays de la Loire, 3 de ces PLH étant en cours de révision, et 10 PLH sont en cours d'élaboration (cf. carte ci-jointe). Deux territoires des Pays de la Loire ont d'ores et déjà fait connaître leur intention de demander une dérogation pour bénéficier du dispositif Scellier en zone C : la canton de Saint-Philbert de Granlieu (courrier de Stéphane Beaugé, conseiller général du canton de Saint-Philbert de Grandlieu, au secrétaire général de la préfecture de la Loire- Atlantique en date du 11 janvier 2010 ) commune de Sainte-Pazanne (courrier du maire de Sainte-Pazanne au ministre du logement en date du 19 janvier 2010). Par ailleurs, les communes d'aizenay et des Herbiers en Vendée seraient également candidates. Si les communes d'aizenay et des Herbiers sont couvertes par un PLH, ce n'est pas le cas du canton de Saint-Philbert de Grandlieu et de la commune de Sainte-Pazanne. La demande pourra contenir tous les documents que le pétitionnaire jugera utile de transmettre au ministre chargé du logement en complément de ceux qui sont répertoriés dans une liste et destinés à permettre à celui-ci de prendre sa décision en tenant compte des besoins en logements adaptés. La demande devra être soumise au comité régional de l'habitat afin que celui-ci puisse donner un avis sur la compatibilité de cette demande avec l'ensemble des marchés locaux de l'habitat environnants. L'instruction de la demande sera réalisée par les services du ministère chargé du logement ; seront analysés les indicateurs statistiques de tensions du marché immobilier sur la commune, l'offre, les besoins en logement et, les cas échéant, des éléments d'expertise sur la situation du marché immobilier local. Il sera fait publicité de l'agrément, qui sera publié au Journal officiel, afin d'informer correctement et de manière transparente les contribuables. 22/24

24 Etat d'avancement des PLH dans les Pays de la Loire Situation au 1 er mai /24

25 Liste des principaux documents consultés : ANIL, L'impact de l'investissement en logements neufs sur les marchés locatifs de Jean Bosvieux, juillet 2008 ANIL, «Le maire, l'accession sociale et le promoteur», Guilhem Dupuy, février 2010 Assemblée Nationale, Rapport d'information sur l'évaluation des dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif par François Scellier et Jean-Yves Le Bouillonnec juillet 2008 Assemblée nationale, Réponse du Gouvernement à la question parlementaire n 1020 de Mme Nicole Ameline, 1ère séance du 27 avril 2010 Cellule économique régionale du BTP des Pays de la Loire, Le logement «de Robien» en Pays de la Loire, rapport provisoire de novembre 2007 Contribution de la DRE à la révision du zonage Scellier (Courrier en date du 25 juillet 2008 du chef du service logement et construction de la DRE au chef de bureau du financement à la DGALN) Crédit foncier, L'investissement en immobilier résidentiel neuf cartographie régionale des risques synthèse, juillet 2009 DGALN, «Le PLH est 10 questions», version provisoire du 24 novembre 2009 Ministère du logement et de la ville, L'évaluation des dispositifs d'aide à l'investissement locatif rapport, février 2008 OLOMA, Promotion immobilière activité du 4ème trimestre 2009, FPC Pays de la Loire Ouest-France, intervention de M. Marcel Crasnier, représentant des propriétaires pour le département de Maine-et-Loire, édition du 19 mars /24

26 Service intermodalité, aménagement, logement 34, place Viarme BP Nantes cedex 1 Tél : Fax : Courriel : sial.dreal-pay s-de-la-loire@developpement-durable.gouv.f r

INVESTISSEMENTS LOCATIFS : PLAFONDS 2014

INVESTISSEMENTS LOCATIFS : PLAFONDS 2014 Février 2014 INVESTISSEMENTS LOCATIFS : PLAFONDS 2014 FISCALITE L'administration fiscale actualise les plafonds de loyers et de ressources applicables aux dispositifs Duflot, Scellier, Robien, Borloo et

Plus en détail

Lettre d actualité de l urbanisme

Lettre d actualité de l urbanisme n 3 Février 2010 Lettre d actualité de l urbanisme de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Calvados 1- ACTUALITÉ DES DÉCISIONS DU CONSEIL D'ÉTAT Décision du conseil d'etat (CE) n

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements Paris le, Le ministre de l'intérieur, le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie et la ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 29 septembre 2009 ----------------- Rapporteur : Mme DIOURON ----------------- N 10 CONVENTION DE

Plus en détail

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier SOMMAIRE PAGE 02 SYNTHÈSE PAGE 03 L INVESTISSEMENT LOCATIF DES MÉNAGES EN FRANCE

Plus en détail

Lutte contre l étalement urbain

Lutte contre l étalement urbain Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l

Plus en détail

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse

Plus en détail

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015 DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des

Plus en détail

Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises

Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises A l occasion de l examen du projet de loi Pinel sur l artisanat, le commerce et les très

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE

Plus en détail

Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014

Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014 Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 214 par Michel MOUILLART, Professeur d'economie à l'université Paris Ouest, FRICS CLAMEUR analyse chaque année

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

Les SCPI Société Civile de Placement Immobilier. Jean François THOUVENIN - ingénieur patrimonial

Les SCPI Société Civile de Placement Immobilier. Jean François THOUVENIN - ingénieur patrimonial Les SCPI Société Civile de Placement Immobilier Jean François THOUVENIN - ingénieur patrimonial Le programme Introduction Généralités Historique Fonctionnement / Objectif Gestion / Fiscalité Les différents

Plus en détail

COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES

COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES SUPPRESSION DE L EXONÉRATION EN FAVEUR DES CRÉATIONS OU EXTENSIONS D ÉTABLISSEMENTS SITUÉS DANS LES QUARTIERS PRIORITAIRES

Plus en détail

Programme ESSEC Gestion de patrimoine

Programme ESSEC Gestion de patrimoine Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

L année immobilière 2014

L année immobilière 2014 www. creditfoncier. com L année immobilière 2014 vue par le Crédit Foncier MARS 2015 synthèse Lors de sa traditionnelle conférence annuelle Les Marchés Immobiliers le 5 février 2015, le Crédit Foncier

Plus en détail

Les SCPI. François Longin 1 www.longin.fr

Les SCPI. François Longin 1 www.longin.fr Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection

Plus en détail

Investissement immobilier: la fin des SCPI?

Investissement immobilier: la fin des SCPI? Investissement immobilier: la fin des SCPI? La SCPI figure comme le premier véhicule structuré d investissement en immobilier. A l origine de ces investissements, des sociétés civiles se sont développées

Plus en détail

Aussi dans ce numéro Les ventes de copropriétés perdent de leur élan Depuis un certain temps, la copropriété nous avait habitués à des hausses relativement soutenues des transactions MLS au Québec. Mais

Plus en détail

- Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer

- Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer - Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer L article 21 de la loi de finances pour 2014 réforme le régime de défiscalisation des investissements outre-mer des entreprises. Les conditions

Plus en détail

MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE

MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE PROJET DE LOI DE FINANCES INITIALE POUR 2008 Assemblée Nationale Commission des finances, de l'économie générale et du plan MISSION VILLE ET LOGEMENT PROGRAMME «DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Zone d Aménagement Concerté et Lotissement

Zone d Aménagement Concerté et Lotissement ZAC et Lotissement - Version 1 - Juin 2012 Zone d Aménagement Concerté et Lotissement Définition générale : Il existe deux procédures différentes permettant de réaliser une opération d aménagement : la

Plus en détail

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,

Plus en détail

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015 Marchés immobiliers en régions Marseille 9 avril 2015 Le tour de France de l immobilier par le Crédit Foncier Plan de la présentation Le baromètre Crédit Foncier/CSA sur le moral des professionnels de

Plus en détail

Investissez indirectement dans l immobi

Investissez indirectement dans l immobi SCPI PRIMO 1 Investissez indirectement dans l immobi PRIMO 1 a pour objectif de constituer un patrimoine immobilier résidentiel, permettant l accès aux avantages fiscaux du nouveau dispositif Scellier.

Plus en détail

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine 1 SOMMAIRE I. INTRODUCTION... 3 1.1 Les indicateurs de la santé financière d'une

Plus en détail

Les mesures pour relancer la construction de logements

Les mesures pour relancer la construction de logements Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave

Plus en détail

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT L investissement Pinel, un Investissement immobilier Le site est édité par un groupement de conseillers en gestion

Plus en détail

L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris

L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris La loi sur le Grand Paris, ainsi que les décisions récentes prises par les pouvoirs publics (Etat, Région), devraient permettre

Plus en détail

PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010

PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 Les enjeux de l accession sociale PREAMBULE DANS LE CADRE DES ORIENTATIONS DEFINIES PAR LE PROTOCOLE D ACCORD D NATIONAL INTERPROFESSIONNEL ET

Plus en détail

observatoire des emplois d avenir

observatoire des emplois d avenir observatoire des emplois d avenir 4 ème vague Emplois d avenir et zones urbaines sensibles (ZUS) L Association des Maires de Grandes Villes de France a activement participé à la montée en puissance des

Plus en détail

Prêt Social de Location Accession PSLA. Marché Immobilier Social. Dernière mise à jour Mars 2013. Document réservé exclusivement aux Professionnels

Prêt Social de Location Accession PSLA. Marché Immobilier Social. Dernière mise à jour Mars 2013. Document réservé exclusivement aux Professionnels Prêt Social de Location Accession PSLA Marché Immobilier Social Dernière mise à jour Mars 2013 Document réservé exclusivement aux Professionnels Tout savoir sur le Prêt Social Location Accession Les principes

Plus en détail

Guide Prêt Locatif Social (PLS)

Guide Prêt Locatif Social (PLS) Investir dans un logement destiné à la location. Qu est-ceque c est? Le prêt locatif social (PLS) s adresse à tout investisseur qui achète un logement pour le louer. Le PLS est destiné à financer des appartements

Plus en détail

Point sur la Loi Scellier BBC

Point sur la Loi Scellier BBC Point sur la Loi Scellier BBC Loi Scellier BBC : Principe général Qu'est ce que la loi Scellier BBC? La loi Scellier BBC est apparue au cours de l'année 2009, lorsque les députés ont décidé de «verdir»

Plus en détail

BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr

BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier

Plus en détail

LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS

LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE 20 LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS Les des conseils en immobilier d'entreprise et opérations en comptes propres au sein de l'agglomération de

Plus en détail

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Dossier de synthèse documentaire et bibliographique Réactualisation - novembre 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. :

Plus en détail

Emmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique

Emmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique 3 Éditorial «Le numérique est aujourd hui dans tous les usages : les transports, les entreprises, les loisirs, les objets connectés, l accès à l information, les smartphones, etc. Mais il n est pas dans

Plus en détail

Le régime des monuments historiques

Le régime des monuments historiques Cabinet Fiscal Urios André, docteur en droit, Conseil fiscal et patrimonial, conseil en investissement et transactions immobilières Le régime des monuments historiques Le régime des monuments historiques

Plus en détail

FONCTIONNEMENT DES ASSOCIATIONS

FONCTIONNEMENT DES ASSOCIATIONS FONCTIONNEMENT DES ASSOCIATIONS 1 IMPORTANT A L APPROCHE DE VOS ASSEMBLEES GENERALES PENSEZ A METTRE A JOUR VOS STATUTS OU REGLEMENT INTERIEUR SELON LE CAS Les fondateurs d'une association peuvent avoir

Plus en détail

1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING

1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING 1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING Inédit en France, MonsieurParking.com, société spécialisée dans l achat, la vente et la location de places de parking, crée le 1 er baromètre de l immobilier

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville La note d information de la SCPI URBAN PATRIMOINE 2 a reçu le visa de l AMF n 11-37 en date du 18/10/2011 ; elle peut être obtenue gratuitement auprès de la Société de Gestion par demande adressée à :

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville SCPI «Scellier BBC Intermédiaire*» L immobilier en centre ville Mise à jour - 31 janvier 2012 *Le dispositif fiscal «Scellier BBC Intermédiaire» offre au souscripteur une réduction d impôt en contrepartie

Plus en détail

L investissement en EHPAD

L investissement en EHPAD Guide Habiteo.com Mai 2015 L investissement en EHPAD Questions/Réponses SOMMAIRE I- Qu est-ce qu un EHPAD? p. 2 Encadré : Réglementation de l EHPAD p. 2 II- Pourquoi investir en EHPAD? p. 3 A- Pour répondre

Plus en détail

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques. LE PARC DE LOGEMENTS À PARIS Le parc existant La construction neuve Le marché immobilier Juillet 2007 Préfecture de Paris / DULE / Bureau de l habitat Section analyse et prospective habitat 1. INTRODUCTION

Plus en détail

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et

Plus en détail

Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage

Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage MINISTERE DES PME, DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DES PROFESSIONS LIBERALES Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage Les ventes au déballage, quelle que soit leur dénomination (vide-greniers,

Plus en détail

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME

Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME Plan du guide I- LES INVESTISSEMENTS CONCERNES a) L investissement direct dans une PME b) L investissement grâce à une société holding c) L

Plus en détail

Les EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités

Les EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités Fiche B2 juin 2013 CETE Nord Picardie Connaître les acteurs du foncier Les établissements publics fonciers locaux (EPFL) Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les EPFL sont des établissements publics dont la mission

Plus en détail

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 n 65 juin 2014 Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 Observatoire n 4 Contact : Gilles Poupard 02 97 12 06 31 Sommaire Rappel de la démarche 5 Principaux résultats 2013 7 1. Le marché des

Plus en détail

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant

Plus en détail

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales

Plus en détail

CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT

CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT PLAN DEPARTEMENTAL D'ACTIONS POUR LE LOGEMENT DES PERSONNES DEFAVORISEES DEPARTEMENT DE LA LOIRE CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT Les mesures d'accompagnement Social Lié au Logement (A.S.L.L.)

Plus en détail

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction

Plus en détail

Copropriétés en difficulté

Copropriétés en difficulté Copropriétés en difficulté Enjeux et cadre d'intervention de l'anah Soraya Daou Responsable du Service des Etudes, de la Prospective et de l'evaluation La copropriété : L'équilibre fragile de la copropriété

Plus en détail

#94 NEWS FISCALITÉ LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2014. La LFR 2014 a procédé à certains ajustements techniques :

#94 NEWS FISCALITÉ LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2014. La LFR 2014 a procédé à certains ajustements techniques : NEWS #94 FISCALITÉ JANVIER 2015 Les deuxième loi de Finances rectificative (LFR) pour 2014 et loi de Finances (LF) pour 2015 ont été publiées au Journal officiel du 30 décembre 2014. Nous présentons, dans

Plus en détail

Fiscalité du Grand Paris

Fiscalité du Grand Paris Fiscalité du Grand Paris Afin de financer le projet du métro automatique du Grand Paris Express et le plan de mobilisation pour les transports d IdF, l Etat a décidé de prélever de nouvelles recettes fiscales

Plus en détail

Avant-propos... 1. Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière. 1 L immobilier en 2008/2009... 7

Avant-propos... 1. Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière. 1 L immobilier en 2008/2009... 7 Avant-propos... 1 Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière 1 L immobilier en 2008/2009... 7 Connaître les cycles... 7 Un marché sous influence... 9 Évolution des prix sur 2008/2009...

Plus en détail

LE PASS-GRL du 1 % Logement

LE PASS-GRL du 1 % Logement LE PASS-GRL du 1 % Logement UN NOUVEL OUTIL POUR FAVORISER L ACCES AU LOGEMENT A l initiative des partenaires sociaux du 1 % Logement, le PASS-GRL est opérationnel depuis le 1er janvier 2007 Nouvel outil

Plus en détail

LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON

LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON Un vent d optimisme nouveau commence à souffler sur le marché francilien de la location de bureaux. Le volume des transactions s est

Plus en détail

Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013

Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves

Plus en détail

PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE

PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE RAPPEL DU SUJET : Vous êtes secrétaire administratif de classe exceptionnelle,

Plus en détail

Observatoire. de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011

Observatoire. de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011 Observatoire de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011 LES FAITS MARQUANTS EDITORIAL UN MARCHÉ TERTIAIRE CONCENTRÉ L agglomération angevine dépasse le seuil des 30 000 m 2 de transactions

Plus en détail

Réunion d échanges relative à l organisation des missions d instruction des autorisations d urbanisme

Réunion d échanges relative à l organisation des missions d instruction des autorisations d urbanisme Direction Départementale des Territoires du Cher Réunion d échanges relative à l organisation des missions d instruction des autorisations d urbanisme Sommaire Organisation de l application du droit des

Plus en détail

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les

Plus en détail

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES DOSSIER DE PRESSE 17 AOÛT 2015 COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES Cout de la vie étudiante selon les villes universitaires CONTACT PRESSE Pauline Collet 06 88 27 92 59 pcollet@unef.fr

Plus en détail

COULANGES LES NEVERS (58) Résidence Les Portes du Chablis. Loi SCELLIER

COULANGES LES NEVERS (58) Résidence Les Portes du Chablis. Loi SCELLIER COULANGES LES NEVERS (58) Résidence Les Portes du Chablis Loi SCELLIER IMOVELIS 29, boulevard de la Ferrage 06400 CANNES Tel : 04 93 95 39 20 Fax : 04 93 95 39 29 www.imovelis.fr contact@imovelis.fr "Résidence

Plus en détail

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril

Plus en détail

10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux

10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux Juin 2006 10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux Article publié dans le Courrier des maires, n 191 du 01 mai 2006, par Emmanuel Duru, Responsable des

Plus en détail

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

L'abonnement ou les charges de chaleur doivent correspondre à la résidence principale du foyer.

L'abonnement ou les charges de chaleur doivent correspondre à la résidence principale du foyer. Annexe 1 : détail des critères d'éligibilité aux fonds de solidarité Chauffage Urbain La première facture de chaleur (chauffage et/ou eau chaude sanitaire) ou le premier décompte de charge ne peut pas

Plus en détail

DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION

DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION La Région a inscrit dans ses priorités le soutien aux associations de Provence-Alpes-Côte d'azur. Les différents volets d'interventions

Plus en détail

LES METHODES D ESTIMATION DES VALEURS VENALES : L INCIDENCE DE LA CONJONCTURE

LES METHODES D ESTIMATION DES VALEURS VENALES : L INCIDENCE DE LA CONJONCTURE L Actualité Juridique de la Propriété Immobilière 10 Septembre 1996 LES METHODES D ESTIMATION DES VALEURS VENALES : L INCIDENCE DE LA CONJONCTURE par François ROBINE - Expert près de la Cour d appel de

Plus en détail

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012 Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT AIDE A L'AMELIORATION DE L'HABITAT DES PROPRIETAIRES OCCUPANTS Demandeur : Mme, Melle, M. :... Adresse :...... Commune :... Canton :... Téléphone de la personne à contacter

Plus en détail

LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) :

LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) : Paris, le 30 mars 2015 LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) : UN OUTIL DE FINANCEMENT DES EQUIPEMENTS PUBLICS Le projet urbain partenarial -PUP-, outil de financement des équipements publics, créé en 2009,

Plus en détail

Rendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH

Rendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH Rendez-vous de Insee «Des projections de ménages aux besoins en logement» Mardi 11 décembre 2012 Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH SOMMAIRE 1. L'évaluation des besoins en logements menée en Pays de la Loire Contexte

Plus en détail

CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION

CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION «Multiplier les points de vue pour voir la situation sous le meilleur angle». Au contact de ses clients Crédit Foncier Immobilier s est forgé la conviction que ses

Plus en détail

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif

Plus en détail

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS

Plus en détail

PREFET DU JURA. Je vous prie de trouver ci-joint une fiche relative à ce dispositif et une annexe.

PREFET DU JURA. Je vous prie de trouver ci-joint une fiche relative à ce dispositif et une annexe. PREFET DU JURA DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE LA DEMOCRATIE LOCALE Bureau des Collectivités Territoriales Affaire suivie par : Jean-Michel DORNIER Tél : 03 84 86 85 37 / 38 Mél : jean-michel.dornier@jura.gouv.fr

Plus en détail

LA GESTION DE VOTRE BIEN en toute confiance

LA GESTION DE VOTRE BIEN en toute confiance LA GESTION DE VOTRE BIEN en toute confiance gestion locative location copropriété www.pichet-adb.fr Filiale du Groupe Pichet Groupe Immobilier Intégré 25 années d expérience 7 directions régionales 700

Plus en détail

PREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître

PREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître PREFECTURE DE L OISE Direction des Relations avec les Collectivités Locales Bureau de l'urbanisme, des affaires foncières et scolaires Affaire suivie par : M. ABDELLATIF Mme LENGLIN Tel : 03 44 06 12 76/

Plus en détail

ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants

ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants SOCIÉTÉ CANADIENNE D HYPOTHÈQUES ET DE LOGEMENT ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants À titre d organisme national responsable de l

Plus en détail

RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE

RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.

Plus en détail

LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE

LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE Mars 2008 Qu'est-ce qu'un DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE? P1 S o m m a i r e Quelles opérations nécessitent un DPE? Le contenu du DPE Validité et valeur

Plus en détail

SOMMAIRE 1 - INTRODUCTION GENERALE... 7 1.1 - LES SOURCES LEGISLATIVE ET REGLEMENTAIRE :...7. 1.6.1 - Deux grandes étapes...9

SOMMAIRE 1 - INTRODUCTION GENERALE... 7 1.1 - LES SOURCES LEGISLATIVE ET REGLEMENTAIRE :...7. 1.6.1 - Deux grandes étapes...9 CONSEIL GENERAL ET DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DE LA MOSELLE PLAN DEPARTEMENTAL DE L HABITAT DE LA MOSELLE 2012-2017 SOMMAIRE 1 - INTRODUCTION GENERALE... 7 1.1 - LES SOURCES LEGISLATIVE

Plus en détail

Orientations sur la solvabilité du groupe

Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA-BoS-14/181 FR Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA Westhafen Tower, Westhafenplatz 1-60327 Frankfurt Germany - Tel. + 49 69-951119-20; Fax. + 49 69-951119-19; email: info@eiopa.europa.eu

Plus en détail