Table des matières. Aspect thermodynamique des réactions rédox. S.Boukaddid Oxydo-réduction MP2
|
|
- Jonathan Henry
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Aspect thermodynamique des réactions rédox Table des matières 1 Pile électrochimique Demi-pile Réactions aux électrodes Pile électrochimique Fonctionnement générateur (pile) Fonctionnement récepteur (électrolyseur) Potentiel d électrode Relation entre la f.e.m et affinité chimique Bilan d énergie d une pile électrochimique réversible Expression de la f.e.m Formule de Nerst Potentiel d électrode Calcul d un nouvel E / 6
2 1 Pile électrochimique 1.1 Demi-pile Définition : Une demi-pile correspond à un système physico-chimique siège d une demiéquation redox. Il s agit soit d un conducteur métallique (actif) en contact avec l un de ses ions : lame de zinc en présence de Zn 2+ Zn Zn(s) soit d un conducteur métallique (inactif) plongeant dans une solution où se produit le transfert électronique entre formes Ox et Red : lame de platine en présence de H + et H 2g az 2H H 2(g ) sur Pt Electrode : L électrode correspond au conducteur métallique assurant le transfert d électrons avec le milieu extérieur. Il s agit dans les exemples au dessus : d une électrode de zinc d une électrode de platine 1.2 Réactions aux électrodes Un demi-pile a deux modes de fonctionnement : soit en sens d oxydation βred αox + n soit en sens de réduction αox + n βred Conclusion Une électrode où se produit une oxydation est une anode Une électrode où se produit une réduction est une cathode 1.3 Pile électrochimique Définition : Une pile électrochimique est l association de deux demi-piles reliées par une jonction électrolytique (paroi poreuse,pont salin). Exemples : pile Daniell Zn ZnSO 4 CuSO 4 Cu 2 / 6
3 V le voltmètre mesure la force électromotrice Zn Pont salin Cu e = V V Zn 2+ Cu 2+ ZnSO 4 CuSO Fonctionnement générateur (pile) oxydation anodique Zn Zn réduction cathodique Zn R Pont salin i Cu Cu Cu équation bilan Zn + Cu 2+ Zn 2+ + Cu Zn 2+ Cu 2+ ZnSO 4 CuSO Fonctionnement récepteur (électrolyseur) l anode du pile devient cathode pour l électrolyseur et inversement U + i l oxydation anodique Cu Cu Zn Pont salin Cu réduction cathodique Zn Zn équation bilan Cu + Zn 2+ Cu 2+ + Zn Zn 2+ Cu 2+ ZnSO 4 CuSO Potentiel d électrode Considérons un métal M plongeant dans une solution contenant ses ions M n+ M il se produit M n+ + n M(s) M n+ 3 / 6
4 Potentiel d électrode : On définit potentiel d électrode,pour un électrode M,par E(M n+ /M) = V mét al V solution Si les deux formes (Ox,Red) sont en contact avec l électrode de platine Pt Ox + n Red E(Ox/Red) = V mét al V solution pour une pile constitué de deux électrodes Ox, Red Convention de mesure e = V V = E(Ox/Red) cathod E(Ox/Red) anode Pt H 2 /H + OX,Red Pt Pt H 2 (P 0 = 1bar )/H + (C 0 = 1molL 1 OX,Red Pt e = E(OX/Red) E 0 ESH = E(OX/Red) Cas particulier : si les espèces des demi-pile d étude sont dans leurs états standard,on mesure directement le potentiel standard du couple Ox/Red noté par E 0 (OX/Red),ne dépend que de la température. Exemple n 1 Pt H 2 (1bar )/H + (1mol/l ) Cu 2+ (1mol/l ) Cu e 0 = E 0 (Cu 2+ /Cu) = 0,34V à T = 25 C Exemple n 2 Pt H 2 (1bar )/H + (1mol.l 1 ) Zn 2+ (1mol.l 1 ) Zn e 0 = E 0 (Zn 2+ /Zn) = 0,76V à T = 25 C ; E 0 ESH > E0 donc le sens conventionnel Zn 2+ /Zn ne correspond pas au sens réel Exemple n 3 Zn Zn 2+ (1mol/l) Cu 2+ (1mol/l ) Cu e 0 = E 0 Cu 2+ /Cu E0 = 0,34 ( 0,76) = 1,10V Zn 2+ /Zn Régle : Le couple OX/Red qui a le potentiel d oxydoréduction grand dans une pile représente la cathode du pile,et celui qui a le potentiel petit représente l anode. 2 Relation entre la f.e.m et affinité chimique 2.1 Bilan d énergie d une pile électrochimique réversible Considérons une pile en fonctionnement générateur 4 / 6
5 pour une quantité d électricité dq > 0 débitée du pôle vers le pôle,le générateur a donc fourni une énergie la fonction enthalpie libre du système : δw e = dq.e pile G = H TS = U + PV TS dg = du + PdV + VdP TdS SdT = δq + δw e + δw p + PdV + VdP TdS SdT Dans le cas du proche de réversibilité (courant trés faible) δw p = PdV ; δq = TdS dg = δw e + VdP SdT pour une transformation réversible isotherme et isobare dg = δw e = dq.e pile pour la réaction chimique associée : i ν i A i = 0 dn i = ν i dξ ; dg = r Gdξ = A dξ dg = dq.e pile = r Gdξ = A dξ dq = nn A edξ = nf dξ n : le nombre d électrons F = en A = 96500C : nombre de Fraday r G = A = nf e pile 2.2 Expression de la f.e.m A = A 0 RT lnq r G 0 (T) = A 0 (T) = nf e 0 (T) avec e 0 (T) la f.e.m standard de la pile e = e 0 (T) RT nf lnq = e0 (T) 2,3RT nf logq ce quiconduit en pratique Pile Daniell e = e 0 (T) 0,06 n logq Zn Zn 2+ Cu 2+ Cu l équation bilan : Zn + Cu 2+ Zn 2+ + Cu e 0 (T) = r G 0 nf = µ0 Zn + µ0 µ 0 Cu 2+ Cu µ0 Zn 2+ Q = [Zn2+ ] [Cu 2+ ] e = e 0 (T) 0,06 2 log [Zn2+ ] [Cu 2+ ] 5 / 6
6 3 Formule de Nerst 3.1 Potentiel d électrode sur l exemple ( de la pille Daniell 1 e(t) = (µ0 µ 0 Cu 2+ Cu ) + 0,06 ) ( 1 2 log[cu2+ ] (µ0 µ 0 Zn 2+ Zn ) + 0,06 ) 2 log[zn2+ ] e(t) = E(Cu/Cu 2+ ) E(Zn/Zn 2+ ) E 0 (Cu 2+ /Cu) = µ0 Cu 2+ µ 0 Cu E 0 (Zn 2+ /Zn) = µ0 Zn 2+ µ 0 Zn = r G 0 (Cu/Cu 2+ ) = r G 0 (Zn/Zn 2+ ) E(Cu 2+ /Cu) = E 0 (Cu 2+ /Cu) + 0,06 2 log[cu2+ ] E(Zn 2+ /Zn) = E 0 (Zn 2+ /Zn) + 0,06 2 log[zn2+ ] Généralisation : Pout tout couple rédox de demi-réaction : αox + n βred on l associe un enthalpie libre standard r G 0 telle que r G 0 (Ox/Red) = nf E 0 (Ox/Red) Formule de Nerst : le potentiel d électrode obéit à la loi E(Ox/Red) = E 0 (Ox/Rd) + RT nf ln aα Ox a β Red = E 0 (Ox/Rd) + 2,3RT nf aα Ox log a β Red 3.2 Calcul d un nouvel E 0 Exemple n 1 : Fe 3+ /Fe 2+ : E 0 1 = 0,77V ; Fe2+ /Fe : E 0 2 = 0,44V ; Fe3+ /Fe : E 0 3 =? (1) : Fe 3+ + Fe 2+ : r G 0 1 = 1.F E0 1 (2) : Fe Fe(s) : r G 0 2 = E0 2 (3) : Fe Fe(s) : r G 0 3 = 3F E0 3 (3) = (2) + (1) r G 0 3 = r G r G 0 1 3F E0 3 = E0 2 1.F E0 1 E 0 3 = E E0 2 3 = 0,04V Exemple n 2 : MnO 4 /Mn2+ : E 0 1 = 1,51V ; MnO 4 /MnO2 4 : E0 2 = 0,56V ; MnO2 4 /Mn2+ : E 0 3 =? (1) : MnO 4 + 8H+ 5 Mn H 2 O : r G 0 1 = 5F E0 1 (2) : MnO 4 + e MnO 2 4 : r G 0 2 = 1.F E0 2 (3) : MnO H+ 4 Mn H 2 O : r G 0 3 = 4.F E0 3 (3) = (1) (2) r G 0 3 = r G 0 1 r G F E0 3 = 5.F E0 3 +.F E0 3 E 0 3 = 5E0 1 E0 2 4 = 1,75V 6 / 6
Physique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES
Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailOptimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique
Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR
Plus en détailAccumulateurs portables
Accumulateurs portables par Georges CAILLON Ingénieur de l École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la ville de Paris (ESPCI) Ingénieur de Recherche et Développement Société SAFT 1. Principe
Plus en détailChapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES
Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre
Plus en détailLES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie
EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailMesures in situ et sur site
Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailLa voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion
Plus en détailSéquence 6. Les piles électriques et l énergie chimique. Fabriquons et utilisons une pile de Volta
Sommaire Les piles électriques et l énergie chimique Séance 1 Comment Volta a-t-il inventé la première pile électrique? Séance 2 Fabriquons et utilisons une pile de Volta 1 Fabriquons la pile 2 Utilisons
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailSartorius DocuClip & Docu-pH Meter. La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres
Sartorius DocuClip & Docu-pH Meter La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres Docu-pH Meter Une base solide pour des résultats sûrs La sécurité commence par un fonctionnement facile
Plus en détailFIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision.
SCHOTT Instruments Solutions Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. L exactitude de la mesure de ph dépend de l exactitude de l étalonnage.
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailAnodes nanostructurées pour microbatteries 3D Li-ion
Délivré par l université Toulouse III Paul Sabatier Discipline ou spécialité : Sciences et Génie des Matériaux Présentée par Laurent BAZIN Anodes nanostructurées pour microbatteries 3D Li-ion JURY F. FAVIER
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailPhysique Chimie. Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano
Physique Chimie PSI 4 heures Calculatrices autorisées Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano 2013 e piano est un instrument de musique à cordes frappées inventé par l italien Bartolomeo
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailstockage électrique, le besoin de lisser la production et la nécessité de modifier les réseaux de transport de l électricité, d où le développement
Stockage de l électricité : élément clé pour le déploiement des énergies renouvelables et du véhicule électrique Marion Perrin Marion Perrin est directrice de laboratoire à l Institut national de l énergie
Plus en détailÉlectricité au service des machines. heig-vd. Chapitre 3. Alimentations électriques, courant alternatif 3-1
heig-vd Électricité au service des machines Chapitre 3 Alimentations électriques, courant alternatif 3-1 Électricité au service des machines Alimentations électriques, courant alternatif heig-vd 3 Alimentations
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailVANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15
VANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15 CARACTERISTIQUES DE LA VANNE La vanne papillon 1100 à montage entre brides est une vanne papillon en PVC. Elle possède une étanchéité en ligne et au presse-étoupe
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailMater. Environ. Sci. 5 (S1) (2014) 2101-2106 ISSN : 2028-2508 CODEN: JMESCN MPE14
Effect of hygrothermal cycles on physicochemical behavior of a PEM (Proton Exchange Membrane) [L effet des cycles hygrothermiques sur le comportement physicochimique d une PEM (Proton Exchange Membrane)]
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailAiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie
Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie ABDELILAH EL KHADIRY ABDELHAKIM BOURENNANE MARIE BREIL DUPUY FRÉDÉRIC RICHARDEAU
Plus en détailPrécis de thermodynamique
M. Hubert N. Vandewalle Précis de thermodynamique Année académique 2013-2014 PHYS2010-1 Thermodynamique 2 Ce précis a été créé dans le but d offrir à l étudiant une base solide pour l apprentissage de
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailSéquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage
Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Problématique La séquence 5, qui comporte deux parties distinctes, mais non indépendantes, traite de la réaction
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailPILE C EST COLLECTÉ, FACE C EST RECYCLÉ
PILE C EST COLLECTÉ, FACE C EST RECYCLÉ Une pile, qu est-ce que c est, comment ça fonctionne? Définition et schéma d une pile Histoire (Dossier pédagogique 1 : Construction, observation et fonctionnement
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailEtude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.
Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté
Plus en détailHortensia! bleu! Hortensia!
Vousêtesgérantd unmagasindeplantesetfleurs(l Arcenfleur).Vousrecevezlecourrierd unclientmécontent(m Durand):ilaachetéchezvousdesgrainesd hortensiasdontlaphotod emballageprésentaitdesfleursdecouleur bleue.ilvousindiquedanscecourrierquepeud
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailSi on fabriquait une pile *?
Si on fabriquait une pile *? Situation d apprentissage sur le courant électrique Durée : 5 à 8 périodes Troisième cycle du primaire *Cette situation d apprentissage s inspire de l activité Produire du
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX
UNIVERSITE PAUL SABATIER Année Universitaire 2015 2016 Licence Professionnelle Traitement et Contrôle des Matériaux Bat. CIRIMAT 118, Route de Narbonne 31062 Toulouse cedex 04 Tél : 05 61 55 77 51 05 61
Plus en détailProduction d hydrogène par électrolyse de l eau sur membrane acide
17 Production d hydrogène par électrolyse de l eau sur membrane acide PIERRE MILLET Ingénieur de l'école nationale supérieure d'électrochimie et d'électrométallurgie de Grenoble Pour beaucoup d'entre nous,
Plus en détailEtude ab-initio des chalcogénures de métaux de transition IVBX 2 ou VBX 2 (X = S, Se ou Te)
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID - TLEMCEN FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE PHYSIQUE
Plus en détailPRODUCTION D HYDROGÈNE PAR ÉLECTROLYSE DE L EAU
Mémento de l Hydrogène FICHE 3.2.1 PRODUCTION D HYDROGÈNE PAR ÉLECTROLYSE DE L EAU Sommaire 1 Introduction 2 - Quelques rappels sur l électrolyse 3 - Les technologies en concurrence 4 - L hydrogène par
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailP7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine
P7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine Caractéristiques Modèle de démonstration d un système à vapeur représentatif d un Système d Alimentation Industriel Appareil
Plus en détailTechniques et moyens de stockage de l énergie
PSIR SEPA (2013) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) Techniques et moyens de stockage de l énergie L. Grimault, L. Pellicer, M. Rautureau, V. Salmon, M. Crochet* Groupe esaip 18 rue
Plus en détailJean-Claude GRENIER Directeur de Recherches - CNRS
Institut de Chimie de la Matière Condensée de Bordeaux ICMCB - CNRS Université de BORDEAUX Jean-Claude GRENIER Directeur de Recherches - CNRS www.icmcb-bordeaux.cnrs.fr 1 Institut de Chimie de la Matière
Plus en détail«LES ALTERNATEURS DE VOITURES»
MENUGE CECILE BELVAL FRANCOIS BRAS FRANCOIS CADART JULIEN GAIGNEUR GUILLAUME «LES ALTERNATEURS DE VOITURES» LYCEE EDOUARD BRANLY BOULOGNE SUR MER Aidés par nos professeurs : M Buridant, M Courtois, M Ducrocq
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailSolutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables
Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage
Plus en détailLe véhicule électrique
Le véhicule électrique É L E C T R I C I T É - É L E C T R O N I Q U E Sommaire Présentation page 2 La batterie de traction page 4 Le moteur électrique de traction page 10 Le confort page 16 Les interventions
Plus en détailDETECTION DE NIVEAU LA GAMME
DETECTION DE NIVEAU LA GAMME Plaisance, Le Haut May 61110 BRETONCELLES Tel: 02.37.37.25.85 Fax: 02.37.37.29.70 A PALETTE ROTATIVE LA GAMME : ERMAP propose une vaste gamme d indicateurs de niveau définie
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailEléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1
1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailSystème de gestion d une citerne de récupération des eaux de pluies
Système de gestion d une citerne de récupération Page 1/25 1. Mise en situation Le contexte L'eau distribuée en France augmente de manière forte et continue : +38% entre 1995 et 2005 et la même augmentation
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailDe la pure technologie allemande!
De la pure technologie allemande! sommaire WIELAND Dental+Technik...p. 4 L innovation, le moteur de notre croissance...p. 5 Division «Dentaire» L or, une de nos grandes spécialités...p. 7 Des céramiques
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Pour chaque partie, la grille permet d apprécier, selon quatre niveaux, les compétences développées dans le sujet par le candidat. Pour cela, elle s appuie sur des indicateurs traduisant
Plus en détailChapitre 8. Les capteurs
Chapitre 8 Les capteurs Qu est ce qu un capteur? Un capteur transforme une grandeur physique en une grandeur normée, généralement électrique, qui peut être interprétée par un dispositif de contrôle commande.
Plus en détailRéussir l efficacité énergétique du vecteur électrique : Des principes thermodynamiques à une description multi-échelles
Réussir l efficacité énergétique du vecteur électrique : Des principes thermodynamiques à une description multi-échelles Vincent Mazauric Strategy & Innovation 26 janvier 2011 Ivry s/ Seine La chaîne énergétique
Plus en détailLe Stockage d énergie. Technologies. Conversion d énergie en gaz combustible. Le Stockage d énergie - C. Bouallou (Dir.) (Dir.
Technologies Le Stockage d énergie - C. Bouallou (Dir.) Chakib Bouallou (Dir.) Le Stockage d énergie Conversion d énergie en gaz combustible Presses des Mines Chakib Bouallou (dir.), Le Stockage d énergie.
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailOFPPT ROYAUME DU MAROC RESUME THEORIQUE & GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU MODULE N : 5 ELECTROTECHNIQUE SECTEUR :
OFPPT ROYAUME DU MAROC Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION RESUME THEORIQUE & GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES MODULE N : 5 ANALYSE
Plus en détailProf. Jean-Marie Tarascon
Chaire Développement durable Environnement, Énergie et Société Chaire annuelle Année académique 2010-2011 Histoire et évolution des technologies d accumulateurs 2 Février 2011 Prof. Jean-Marie Tarascon
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailInhibition de la corrosion : évaluation gravimétrique.
Inhibition de la corrosion : évaluation gravimétrique. Latefa. Sa l 1*, Fouad. Ghomari 1, Abdelilah. Bezzar 1, Abdelhafid. Khelidj 4 1 Université Abou Bakr Belkaïd, Laboratoire eau et ouvrages dans leur
Plus en détailAppareil numérique de mesure d oxygène dissous, de conductivité, de TSD et de ph
Manuel d utilisation Appareil numérique de mesure d oxygène dissous, de conductivité, de TSD et de ph Modèle DO700 Introduction Nous vous félicitons d avoir fait l acquisition de ce mètre Extech DO700.
Plus en détailEcole d été des spectroscopies d électrons.
Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation
Plus en détailConseils en Ingénierie mécanique
Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création
Plus en détailFès. Licences Fondamentales. Filière SMC : Sciences de la Matière Chimie Coordonnateur : Pr. Mohammed KHALDI
Université Sidi Mohammed Ben Abdellah Faculté des Sciences Dhar El Mahraz Fès LICENCES FONDAMENTALES Licences Fondamentales Filière SMC : Sciences de la Matière Chimie Coordonnateur : Pr. Mohammed KHALDI
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détail