Laboratoire d'étude des Transferts en Hydrologie et Environnement, Equipe Hybis
|
|
- Aimé Gauthier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Laboratoire d'étude des Transferts en Hydrologie et Environnement, Equipe Hybis Étude des écoulements dans le milieu hétérogène non saturé à l aide de la modélisation numérique de transfert 2D et 3D couplée avec des mesures de Résonance Magnétique Protonique. Présenté le 15/03/2012 par: Antoine Chevalier Sous la direction de : Anatoly Legtchenko (LTHE) Jean-Paul Gaudet (LTHE) Encadrement : Celine Duwig (LTHE) 1 Remerciements à: M. Descloitres (LTHE), S. Garambois (ISTerre) H. Guyard (LTHE) & C. Vincent (LGGE)
2 1. Contexte 2
3 Contexte et Objectif Objectif Hydro-géophysique (métrologique) : Fournir un moyen de : 1-caractériser la variabilitéspatiale et temporelle de l humiditédu sol 2-de façon non-intrusive 3- à différentes échelles 4- au moyen d une physique identique. 5- éviter la Calibration 3
4 Contexte et Objectif Objectif Hydro-géophysique (métrologique) : Fournir un moyen de : 1-caractériser la variabilitéspatiale et temporelle de l humiditédu sol 2-de façon non-intrusive 3- à différentes échelles 4- au moyen d une physique identique. 5- éviter la Calibration Méthodes non intrusives (en développement): Gravimétrie: haute précision (Volume) Sismique en ondes de surface : (Résolution spatiale/fiabilité) Electromagnétique: ultra-large bande (HF) (Portabilité/Résolution) Electromagnétique: Résonance Magnétique (BF : quasi-statique) (multiéchelle) 4
5 Contexte et Objectif La Résonance magnétique des protons Avantages : 1- Opérationnelle : pour la cartographie des aquifères 2- Physique identique quelle que soit l échelle Inconvénients : 1- Limitations préexistantes amplifiées ou minorées selon l échelle 5 20cm RMP laboratoire (dm 3 ) 80 m 1D MRS (10 5 m 3 ) 3D MRT (10 6 m 3 )
6 Contexte et Objectif La Résonance magnétique des protons Avantages : 1- Opérationnelle : pour la cartographie des aquifères 2- Physique identique quelle que soit l échelle Inconvénients : 1- Limitations préexistantes amplifiées ou minorées selon l échelle 6 20cm RMP laboratoire (dm 3 ) 80 m 1D MRS (10 5 m 3 ) 3D MRT (10 6 m 3 )
7 Contexte et Objectif La Résonance magnétique des protons Avantages : 1- Opérationnelle : pour la cartographie des aquifères 2- Physique identique quelle que soit l échelle Inconvénients : 1- Limitations préexistantes amplifiées ou minorées selon l échelle 1m 7 20cm RMP laboratoire (dm 3 ) RMP ZNS (m 3 ) 3D + Petite échelle 80 m 1D MRS (10 5 m 3 ) 3D MRT (10 6 m 3 )
8 Contexte et Objectif La Résonnance magnétique des protons Avantages : 1- Opérationnelle : pour la cartographie des aquifères 2- Physique identique quelle que soit l échelle Inconvénients : 1- Limitations préexistantes amplifiées ou minorées selon l échelle 1m 8 20cm RMP laboratoire (dm 3 ) RMP ZNS (m 3 ) 3D + Petite échelle 80 m 1D MRS (10 5 m 3 ) 3D MRT (10 6 m 3 )
9 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Boucle de courant Somme des Contributions Précession des protons autour d une ligne du champ géomagnétique Boucle de mesure H avec RMP une fréquence de Larmor. (~2000 Hz) Contribution de chacune des cellules Différentes cellules d eau 9
10 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Boucle de courant Intensité Somme des Contributions Précession des protons autour d une ligne du champ géomagnétique Boucle de mesure H avec RMP une fréquence de Larmor. (~2000 Hz) Contribution de chacune des cellules Différentes cellules d eau 10
11 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Excitation du proton Potentiel (nv) Mesure de bruit Relaxation Temps (ms) Somme des Contributions Contribution de chacune des cellules Boucle de mesure RMP Différentes cellules d eau 11
12 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Excitation du proton Potentiel (nv) Mesure de bruit Relaxation Temps (ms) Somme des Contributions Contribution de chacune des cellules Boucle de mesure RMP Différentes cellules d eau 12
13 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Excitation du proton Potentiel (nv) Mesure de bruit Relaxation Temps (ms) Somme des Contributions Contribution de chacune des cellules Boucle de mesure RMP Différentes cellules d eau 13
14 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Signal mesuré Contribution respectives des volumes d eau Boucle de mesure RMP 3 Volume s d eau 14
15 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Signal mesuré Contribution respectives des volumes d eau Boucle de mesure RMP 3 Volume s d eau 15
16 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Signal mesuré Contribution respectives des volumes d eau Boucle de mesure RMP 3 Volume s d eau 16
17 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Somme des contributions individuelles de chaque volume d eau Signal mesuré Contribution respectives des volumes d eau Boucle de mesure RMP 3 Volume s d eau 17
18 La Résonnance R Magnétique des Protons (RMP) Somme des contributions individuelles de chaque volume d eau Signal mesuré Contribution respectives des volumes d eau Boucle de mesure RMP 18 3 Volume s d eau Accès àla répartition spatiale de la teneur en eau du sol Sémantique : Modèle = Distribution spatialisée de teneur en eau
19 Les 3 limites actuelles de la RMP 19
20 Les 3 limites actuelles de la RMP Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure 20
21 Les 3 limites actuelles de la RMP Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure 21
22 Les 3 limites actuelles de la RMP Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure Complexité de l espace poral 1 Gradient Magnétique poraux 2 A quelle eau est-on réellement sensible? Nécessitéd une étude àpetite échelle 22
23 Les 3 limites actuelles de la RMP Non-unicitédes solutions 1 Un signal mesuré = de nombreuses solutions Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure Complexité de l espace poral 1 Gradient Magnétique poraux 2 A quelle eau est-on réellement sensible? Nécessitéd une étude àpetite échelle 23
24 Les 3 limites de la RMP Non-unicitédes solutions 1 Un signal mesuré = de nombreuses solutions Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure Complexité de l espace poral 1 Gradient Magnétique poraux 2 Méconnaissance Physique des interactions eau/surface/mr 24
25 Les 3 limites de la RMP Non-unicitédes solutions 1 Un signal mesuré = de nombreuses solutions Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure Complexité de l espace poral 1 Gradient Magnétique poraux 2 A quelle eau est-on réellement sensible? Nécessitéd une étude àpetite échelle 25
26 Les 3 limites actuelles de la RMP Non-unicitédes solutions 1 Un signal mesuré = de nombreuses solutions Bruit Electromagnétique 1 Prolonge le temps d acquisition 2 Erreur sur la mesure Complexité de l espace poral 1 Gradient Magnétique poraux 2 A quelle eau est-on réellement sensible? Nécessitéd une étude àpetite échelle 26
27 2. Tactique Le problème 3D 27
28 Le problème inverse en 3D Jeu de données synthétiques bruitées Plusieurs interprétations possibles en distribution de teneur en eau 28 Volume d eau prospecté Volume d eau imagé: Plusieurs solutions
29 PROBLEMATIQUE SOUS-OBJECTIF Comprendre la répartition des incertitudes 3D sur notre imagerie de la teneur en eau. PROBLEME Problème linéaire mais admet une quasi-infinité de solutions. (non-unicité) Non-unicitéaggravée par les bruits EM(exemple : bruit = 20% du signal) METHODE Echantilonner différents scénarios qui vont satisfaire le jeu de données 29
30 3. Méthode Recuit Simulé 30
31 Méthode de Monte-Carlo: Algorithme Perturbations du modèle précédent nouveau Création d un signal synthétique à comparer avec le jeu de donnée à inverser ( d obs G( m)) + λ 2 T L ( n) = k e (. ω + ω ) 31
32 Méthode de Monte-Carlo: Algorithme nouveau Ajustement amélioré L n L n 1 L n < L n 1 Ajustement dégradé p L L n n 1 Modèle accepté Modèle rejeté 32
33 4. Résultats 33
34 Modélisation 3D 50% teneur en eau 34
35 Moyenne : 10 6 solutions Le maximum de moyenne est de 35% de teneur en eau (VS 50%) La résolution Ouest-Est est bonne. La résolution Nord-Sud est marquée par une transition douce. La résolution en profondeur flutue sur un axe nord-sud. 35 MOYENNE DE TENEUR EN EAU
36 Moyenne : 10 6 solutions Le maximum de moyenne est de 40% de teneur en eau (VS 50%) La résolution Ouest-Est est bonne. La résolution Nord-Sud est marquée par une transition douce. La résolution en profondeur flutue sur un axe nord-sud. 36 MOYENNE DE TENEUR EN EAU
37 Moyenne : 10 6 solutions Le maximum de moyenne est de 40% de teneur en eau (VS 50%) La résolution latérale fluctue sur un axe nord-sud de 10 à 40m. La résolution en profondeur fluctue sur un axe nord-sud. Le toit est bien résolu Le fond est peu résolu. 37 MOYENNE DE TENEUR EN EAU
38 Ecart-type type : 10 6 solutions Les maxima moyens de teneur en eau ont tendance àbalayer une large gamme de valeur. 38 MOYENNE DE TENEUR EN EAU
39 Moyenne : 10 6 solutions Correlation du Signal Le maximum de moyenne est de 40% de teneur en eau (VS 50%) La résolution latérale fluctue sur un axe nord-sud de 10 à 40m. La résolution en profondeur flutue sur un axe nord-sud. 39 MOYENNE DE TENEUR EN EAU
40 Densité de Probabilité 40 MOYENNE DE TENEUR EN EAU
41 Estimation du Volume Estimation en terme de volume d eau toujours supérieure à la réalité Pour ce dispositif d acquisition et en 3D 41
42 5. Cas d étude 42
43 Glacier de Tête Rousse Glacier de Tête Rousse 43 Picture from C. Vincent
44 Glacier de Tête Rousse Glacier de Tête Rousse 44 Picture from C. Vincent
45 Glacier de Tête Rousse 45 Teneur en eau moyennée sur 10 6 scénarios
46 Estimation du volume Estimation du volume toujours supérieure à la réalité 46 Densitéde mesure trop faible
47 Conclusions et Perspectives Un code de Monte Carlo est disponible pour l étude des incertitudes 3D. Ces algorithmes seront transposés à l étude des incertitudes à petite échelle. Suite des opérations : Passage à la Petite échelle 1 ) Valider modélisation VS mesure en labo 47
48 Merci de votre attention 48
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailProspective: Champ de gravité, méthodes spatiales
Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailCompatibilité Électromagnétique
Compatibilité Électromagnétique notions générales et applications à l électronique de puissance Ir. Stéphane COETS 18 mai 2005 Journée d étude en Électronique de Puissance 1 Plan de l exposé La Compatibilité
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailNotice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker
Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailMesure de la surface spécifique
Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailCompte-rendu Réunion générale. Grenoble, le 29 juin 2011 URBASIS
URBASIS Sismologie urbaine : évaluation de la vulnérabilité et des dommages sismiques par méthodes innovantes ANR09RISK009 URBASIS Compterendu Réunion générale Grenoble, le 29 juin 2011 Participants: J.
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailLA MESURE INDUSTRIELLE
E02 LA MESURE INDUSTRIELLE 20 Heures Technicien responsable de la maintenance Approfondir les techniques de mesure; Prendre en compte l aspect métrologie. Connaître les limites et les facteurs d influences
Plus en détailEquipement. électronique
MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques
Plus en détailRecherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur
Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Fabrice Beauville Journées Jeunes Chercheurs 18/12/2003 Les Coalescences Binaires & VIRGO Système binaire d objets compacts (étoiles à neutrons,
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailOrdonnance du DFJP sur les instruments de mesure audiométriques
Ordonnance du DFJP sur les instruments de mesure audiométriques (Ordonnance sur l audiométrie) 941.216 du 9 mars 2010 (Etat le 1 er janvier 2015) Le Département fédéral de justice et police (DFJP), vu
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailDétection en environnement non-gaussien Cas du fouillis de mer et extension aux milieux
Détection en environnement non-gaussien Cas du fouillis de mer et extension aux milieux hétérogènes Laurent Déjean Thales Airborne Systems/ENST-Bretagne Le 20 novembre 2006 Laurent Déjean Détection en
Plus en détailDéveloppement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort
Développement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort Thomas Delwiche, Laurent Catoire et Michel Kinnaert Faculté des Sciences Appliquées Service d Automatique
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détailMESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE
Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailLes techniques de multiplexage
Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe
Plus en détailAMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE
AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE Le test statique est un moyen très connu pour évaluer les moteurs électriques. Cependant, si un moteur ne peut pas être arreté,
Plus en détailLES APPAREILS A DEVIATION EN COURANT CONTINU ( LES APPREILS MAGNETOELECTRIQUES)
Chapitre 3 LES APPARELS A DEVATON EN COURANT CONTNU ( LES APPRELS MAGNETOELECTRQUES) - PRNCPE DE FONCTONNEMENT : Le principe de fonctionnement d un appareil magnéto-électrique est basé sur les forces agissant
Plus en détail«Cours Statistique et logiciel R»
«Cours Statistique et logiciel R» Rémy Drouilhet (1), Adeline Leclercq-Samson (1), Frédérique Letué (1), Laurence Viry (2) (1) Laboratoire Jean Kuntzmann, Dép. Probabilites et Statistique, (2) Laboratoire
Plus en détailL Ecole et observatoire des sciences de la Terre
L Ecole et observatoire des sciences de la Terre Michel GRANET LabEx G-EAU-THERMIE PROFONDE JOURNÉE DE LANCEMENT 14 Juin 2012 Un peu d histoire des sciences de la Terre à Strasbourg Quelques dates clés
Plus en détailAnalyse de la bande passante
Analyse de la bande passante 1 Objectif... 1 2 Rappels techniques... 2 2.1 Définition de la bande passante... 2 2.2 Flux ascendants et descandants... 2 2.3 Architecture... 2 2.4 Bande passante et volumétrie...
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailLe transistor bipolaire
IUT Louis Pasteur Mesures Physiques Electronique Analogique 2ème semestre 3ème partie Damien JACOB 08-09 Le transistor bipolaire I. Description et symboles Effet transistor : effet physique découvert en
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailScanner acoustique NoiseScanner
Scanner acoustique NoiseScanner «Des yeux et des oreilles pour localiser les sources de bruit...» Scanner acoustique NoiseScanner Décibel d Or 2014 Caractéristiques générales Originalités Fruit de 20 ans
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailPROTOCOLE DE MESURE DOCUMENTATION DE REFERENCE : ANFR/DR 15-3.1
PROTOCOLE DE MESURE Visant à vérifier sur site pour les stations émettrices fixes, le respect des limitations, en termes de niveaux de référence, de l exposition du public aux champs électromagnétiques
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailIntérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale
Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailLe trading haute fréquence vu de l AMF. Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés
Le trading haute fréquence vu de l AMF Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés Introduction - Trading haute fréquence : définitions Conceptuellement, il convient de distinguer
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent
TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détail10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010
10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 Le compressed sensing pour l holographie acoustique de champ proche II: Mise en œuvre expérimentale. Antoine Peillot 1, Gilles Chardon 2, François
Plus en détailINTERPRÉTATION ET ANOMALIES DE LA PROSPECTION À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (MRS)
1 Géologie, géotechnique, risques naturels, hydrogéologie, environnement et services scientifico-techniques INTERPRÉTATION ET ANOMALIES DE LA PROSPECTION À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (MRS) INTERPRETATION DES
Plus en détailLes Champs Magnétiques
Les Champs Magnétiques Guillaume Laurent To cite this version: Guillaume Laurent. Les Champs Magnétiques. École thématique. Assistants de prévention, Paris, France. 2014, pp.31. HAL Id:
Plus en détailLES SALLES RECEVANT DU PUBLIC
7 7.1 SALLES DE RÉUNION / SALLES DE CLASSE FOCUS 1 : CIRCULATIONS, ESPACES DE ROTATION ET EMPLACEMENTS PRINCIPES GÉNÉRAUX DE L ACCESSIBILITÉ Les salles de réunion et autres salles de classe doivent être
Plus en détailNON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX
NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX Vêlayoudom MARIMOUTOU Laboratoire d Analyse et de Recherche Economiques Université de Bordeaux IV Avenue. Leon Duguit, 33608 PESSAC, France tel. 05 56 84 85 77 e-mail
Plus en détailLES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES
LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature
Plus en détailChapitre 13 Numérisation de l information
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................
Plus en détailLISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006
LISACode Un simulateur opérationnel pour LISA Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 Plan Rappel sur LISACode. Validation du simulateur. Possibilités du simulateur. Résultats obtenus. Bruit de confusion.
Plus en détailSystèmes de communications numériques 2
Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes CNRS SUPÉLEC UPS SUPÉLEC, Plateau de Moulon, 91192 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université
Plus en détailVersion MOVITRANS 04/2004. Description 1121 3027 / FR
MOVITRANS Version 04/2004 Description 1121 3027 / FR SEW-USOCOME 1 Introduction... 4 1.1 Qu est-ce-que le MOVITRANS?... 4 1.2 Domaines d utilisation du MOVITRANS... 4 1.3 Principe de fonctionnement...
Plus en détailEn face du commanditaire, on met un chef de projet qui connait le domaine (banque, administration, etc.)
Atelier «Science du projet» séance 4 8 novembre 2008 Compte rendu 1. Sébastien Larribe : la méthode AGILE, méthode de gestion de projet Sébastien Larribe part de l hypothèse que des méthodes de conception,
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailJean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale
Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement
Plus en détailLes parcours S4 traditionnels : Robotique, Radio Communication Numérique, Traitement de l information. Informatique Industrielle
Projet S 4 Présentation des Projets du S 4 Plan de la présentation 1 Thématique des projets S 4 2 Organisation, encadrement, évaluations Les sujets de projets proposés 4 Questions, constitutions des équipes
Plus en détailAXES DE RECHERCHE - DOMAINE D'INTERET MAJEUR LOGICIELS ET SYSTEMES COMPLEXES
1 AXES DE RECHERCHE - DOMAINE D'INTERET MAJEUR LOGICIELS ET SYSTEMES COMPLEXES 2 Axes de recherche L activité du DIM LSC concerne la méthodologie de la conception et le développement de systèmes à forte
Plus en détailPRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.
PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.. Donner les erreurs en position, en vitesse et en accélération d un système de transfert F BO = N(p) D(p) (transfert en boucle ouverte) bouclé par retour
Plus en détailCOMPTE RENDU DE MESURES ACOUSTIQUES. Audibilité sirène PPI Presqu'île d' AMBES
Analyse vibratoire et pulsatoire API 618 Systèmes de simulation Mesures et études acoustiques des réseaux de compresseurs et de pompes d écoulement de fluides Détermination des traitements Optimisation
Plus en détailExpérience 3 Formats de signalisation binaire
Expérience 3 Formats de signalisation binaire Introduction Procédures Effectuez les commandes suivantes: >> xhost nat >> rlogin nat >> setenv DISPLAY machine:0 >> setenv MATLABPATH /gel/usr/telecom/comm_tbx
Plus en détailE/ECE/324/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4 E/ECE/TRANS/505/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4
6 décembre 2012 Accord Concernant l adoption de prescriptions techniques uniformes applicables aux véhicules à roues, aux équipements et aux pièces susceptibles d être montés ou utilisés sur un véhicule
Plus en détailSIGNAUX NUMERIQUES ET MODULATIONS NUMERIQUES
SIGNAUX NUMERIQUES ET MODULATIONS NUMERIQUES ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- LES SIGNAUX NUMERIQUES Un signal numérique
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailMéthodologie d intégration d antennes sur systèmes complexes
Méthodologie d intégration d antennes sur systèmes complexes Exemple d utilisation de CST Microwave Studio Workshop CST Rennes 20 mars 2012 IETA Grégory Landouer Plan Présentation du contexte Démarche
Plus en détailING Turbos. Faible impact de la volatilité. Evolution simple du prix
ING Turbos Produit présentant un risque de perte en capital et à effet de levier. Les Turbos sont émis par ING Bank N.V. et sont soumis au risque de défaut de l émetteur. ING Turbos ING a lancé les Turbos
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailPRODUCTION, CONVERSION OU DISTRIBUTION DE L ÉNERGIE ÉLECTRIQUE
XXXX H02 PRODUCTION, CONVERSION OU DISTRIBUTION DE L ÉNERGIE ÉLECTRIQUE XXXX APPAREILS POUR LA TRANSFORMATION DE COURANT ALTERNATIF EN COURANT ALTERNATIF, DE COURANT ALTERNATIF EN COURANT CONTINU OU VICE
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailDe la mesure à l analyse des risques
De la mesure à l analyse des risques Séminaire FFA Jean-Paul LAURENT Professeur à l'isfa jean-paul.laurent@univ-lyon1.fr http://laurent.jeanpaul.free.fr/ 0 De la la mesure à l analyse des risques! Intégrer
Plus en détailApprentissage Automatique
Apprentissage Automatique Introduction-I jean-francois.bonastre@univ-avignon.fr www.lia.univ-avignon.fr Définition? (Wikipedia) L'apprentissage automatique (machine-learning en anglais) est un des champs
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailApplications en imagerie cérébrale (MEG/EEG)
EEG : mesure du potentiel électrique Ordre de grandeur : qq µ-volts Capteurs : électrodes MEG : mesure du champ magnétique Ordre de grandeur : 10 13 Tesla Capteurs SQUID couplés à des bobines VI. Applications
Plus en détailGestion et entretien des Installations Electriques BT
Durée : 5 jours Gestion et entretien des Installations Electriques BT Réf : (TECH.01) ² Connaître les paramètres d une installation basse tension, apprendre les bonnes méthodes de gestion et entretien
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailSystème de détection d intrusions périmétrique par câble enterré INTREPID TM
icrotrack, la dernière addition à la famille de systèmes de détection d intrusions INTREPID de Southwest Microwave, est un nouveau système de câble enterré destiné aux applications qui exigent une protection
Plus en détailManipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes
Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée
Plus en détailSolar Scintillation Monitor Manuel utilisateur
1 Solar Scintillation Monitor Manuel utilisateur Remerciements à M. Edward Joseph Seykora pour son autorisation à utiliser son design original et ses vifs encouragements, et à Jean Pierre Brahic et Christian
Plus en détailOn distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailK. Ammar, F. Bachoc, JM. Martinez. Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau
Apport des modèles de krigeage à la simulation numérique K Ammar, F Bachoc, JM Martinez CEA-Saclay, DEN, DM2S, F-91191 Gif-sur-Yvette, France Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau Apport des
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailProjet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte
J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 4, HorsSérie 2, 20 (2005) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bibj3ea:2005720 EDP Sciences, 2005 Projet
Plus en détailChapitre 5 : Flot maximal dans un graphe
Graphes et RO TELECOM Nancy A Chapitre 5 : Flot maximal dans un graphe J.-F. Scheid 1 Plan du chapitre I. Définitions 1 Graphe Graphe valué 3 Représentation d un graphe (matrice d incidence, matrice d
Plus en détailEnregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001
Enregistrement et transformation du son S. Natkin Novembre 2001 1 Éléments d acoustique 2 Dynamique de la puissance sonore 3 Acoustique géométrique: effets de diffusion et de diffraction des ondes sonores
Plus en détailDétecteur de fumée. ALIMENTATION par pile 9V Communication. Modèle Ei 605C Optique. Description du produit. Fonctionnement
Détecteur de fumée ALIMENTATION par pile 9V Communication Modèle Ei 605C Optique Haute sensibilité répond à tous les feux standards Esthétique, compact Conception novatrice et robuste de la chambre optique
Plus en détail