1) Rappels sur le magnétisme 2) Effets de taille 3) Approche «top-down» 4) Approche «bottom-up»
|
|
- Ghislaine Couture
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NANOMAGNÉTISME 1) Rappels sur le magnétisme 2) Effets de taille 3) Approche «top-down» 4) Approche «bottom-up» 2015/2016 Olivier Cador 1
2 Magnétisme à l échelle nanoscopique Bibliographie Magnétisme: Tome I : Fondements Magnétisme: Tome 2 : Matériaux et Applications Par Étienne du Trémolet de Lacheisserie Molecular Magnetism: Olivier Kahn Molecular Nanomagnets: Dante Gatteschi, Roberta Sessoli et Jacques Villain 2015/2016 Olivier Cador 2
3 1) Rappels sur le magnétisme Origines du magnétisme... Aucun document précis ne rend compte clairement des origines du mot «magnétisme». («aimant» provient «d aimer») -Thalès de Milet savait déjà, il y a plus de ans, qu'il existait une pierre attirant le fer «la pierre d aimant» (appelée dans l antiquité chinoise «la pierre tendre»). La magnétite (un oxyde de fer justement) doit son nom à la cité de «Magnêsia ad Sypilum». Celle-ci se trouve aujourd'hui en Anatolie Occidentale (Turquie). -Pline raconte que la pierre d'héraclée ou pierre de Lydie fut trouvée par le berger Magnès cherchant une brebis égarée sur le mont Ida : les semelles cloutées de ses chaussures s attachaient au sol. -Pour Photius, ce sont des porteurs de pierres qui s'aperçurent du maintien inexplicable de certaines parcelles contre les clous de leurs semelles. 2015/2016 Olivier Cador 3
4 Un matériau réagit à l application d un champ magnétique!!! Il est susceptible!!! H En champ: dm dh I S M N I M : Aimantation, moments magnétiques par unité de volume : Susceptibilité magnétique volumique (sans dimension) 2015/2016 Olivier Cador 4
5 Diamagnétisme : < 0 ( 10-6 ) très petit Supraconducteur : = -1 Paramagnétisme : > 0 ( 10-4, 10-2 ) Ferromagnétisme : > 0 ( 10000) très grand 2015/2016 Olivier Cador 5
6 Supraconducteur : = -1 Les matériaux supraconducteurs présentent une résistivité électrique nulle en dessous d une température dite critique. Ils associent à cette propriété de transport électrique, tout à fait étonnante et utile pour créer les champs magnétiques intenses, un très fort caractère diamagnétique. Effet Meissner 2015/2016 Olivier Cador 6
7 Diamagnétisme : < 0 ( 10-6 ) très petit 2015/2016 Olivier Cador 7
8 Paramagnétisme : > 0 ( 10-4, 10-2 ) Paramagnétisme de Pauli (conducteurs) Indépendant de la température et faible (10-6 cm 3 mol -1 ) 2015/2016 Olivier Cador 8
9 Paramagnétisme : existence du spin de l électron Rotation de l électron sur lui-même (en première approximation) Pour un électron: s = 1/2 Si on applique un champ suivant l axe Oz alors m s = 1/2 m s = +1/2 S = 1/2 H = 0 m s = -1/2 2015/2016 Olivier Cador 9
10 Un seul électron (s = ½) 2 N 2 MT g s s 1 C 3k (loi de Curie «empirique») 2 N 3k cm K mol and g = 2, T / cm 3 K mol / cm -3 mol Temperature / K Temperature / K 2015/2016 Olivier Cador 10
11 / cm 3 mol Température / K Statistique de Boltzmann 6 T = 2 K S = 7/2 S = 3 7 électrons célibataires 6 S = 5/2 5 M / N 4 S = 2 S = 3/2 g = S = x10 4 2x10 4 3x10 4 4x10 4 5x10 4 S = 1/2 1 électron célibataire H / G 2015/2016 Olivier Cador 11
12 Gadolinium (Gd): [Xe] 4f 7 5d 1 6s 2 4f 5d 6s Gd 3+ : [Xe] 4f 7 4 f 7 électrons célibataires z Formation de complexes métalliques - L 1 - L 5 - L 2 x C m+ L 4 - y - octaédrique L 3 - L /2016 Olivier Cador 12
13 Complexe métallique octaédrique d ions 3d (4d,5d,...) E d x²-y² d z² e g C m+ libre (état gazeux) - Champ Sphérique - Déstabilisation globale o d xy d yz d xz t 2g - Champ octaédrique - Levée partielle de dégénérescence - e g déstabilisé - t 2g stabilisée 2015/2016 Olivier Cador 13
14 Interaction entre les moments magnétiques de spin Loi de Curie-Weiss T M CT T ( : température de Weiss) 0.75 > 0 (ferromagnétique) 800 T / cm 3 K mol < 0 (antiferromagnétique) -1 / cm -3 mol Temperature / K = ±5 K Temperature / K 2015/2016 Olivier Cador 14
15 Energie d interaction entre les spins électroniques dans un matériau H J S S i, i j ij i j Où J ij est l intégrale d échange (ou de superéchange) : Elle représente la force du couplage entre les spins S i et S j portés par les atomes i et j. J > 0, implique un alignement parallèle de tous les spins (ferromagnétisme) J < 0, favorise un couplage antiparallèle des spins S i et S j (nonferromagnétiques) 2015/2016 Olivier Cador 15
16 H J S S A B S A S B S A J S A S B 1 S B S A S B 2015/2016 Olivier Cador 16
17 Ferromagnétisme : > 0 ( 10000) très grand Ordre ferromagnétique (aimants) Interaction entre les moments magnétiques T >> T C M S = 0 T T C M S = 0 T < T C M S /2016 Olivier Cador 17
18 Ordre ferromagnétique (aimants) Interaction entre les moments magnétiques M S M M R H C H T c T 2015/2016 Olivier Cador 18
19 Ordre antiferromagnétique MA MB T N T Ordre ferrimagnétique MA MB M S, T C, M R, H C 2015/2016 Olivier Cador 19
20 Températures de Curie ferromagnétiques ferrimagnétiques Matériau T C (K) Co 1388 Fe 1043 MnBi 630 Ni 627 MnSb 587 CrO MnAs 318 Gd 292 Matériau T C (K) FeO-Fe 2 O NiO-Fe 2 O CuO-Fe 2 O MgO-Fe 2 O MnO-Fe 2 O Y 3 Fe 5 O Dy 88 EuO /2016 Olivier Cador 20
21 => Ordre magnétique et Températures de Curie Magnétite Ferrimagnétique Spinelle inverse Fe 3+ [Fe 3+ Fe 2+ ]O 4 Dans la maille cubique 8 sites tétra (8 Fe 3+ ) + 8 sites octa (8 Fe 3+ ) + 8 sites octa (8 Fe 2+ ) 2015/2016 Olivier Cador 21
22 => Ordre magnétique et Températures de Curie Question : Pourquoi alors un matériau ferromagnétique (en l absence de champ) qui possède une aimantation spontanée ne possède t il pas un moment permanent? Tout échantillon à une taille finie Discontinuité à la surface Non compensation des pôles magnétiques à la surface (apparition d un champ démagnétisant) Le champ démagnétisant augmente l énergie libre du système. Le matériau se brise en domaine magnétiques, ce qui diminue l aimantation globale et l effet du champ démagnétisant (Pierre Weiss). 2015/2016 Olivier Cador 22
23 => Ordre magnétique et Températures de Curie Une seule direction favorable (Co : hcp, axe c) 2015/2016 Olivier Cador 23
24 => Ordre magnétique et Températures de Curie Symétrie cubique (Fe : bcc) Sous champ magnétique, les moments s alignent selon l un des trois axes quaternaires [100], [010] et [001] = six types de domaines ou six phases 2015/2016 Olivier Cador 24
25 => Ordre magnétique et Températures de Curie Domaine de Weiss Parois de Bloch 2015/2016 Olivier Cador 25
26 => Ordre magnétique et Températures de Curie Dans les systèmes en couches minces, le champ démagnétisant est très important dans la direction de la petite dimension, c est pourquoi l aimantation des domaines s oriente généralement dans le plan de la couche. Paroi de Bloch Épaisseur Paroi de Néel 2015/2016 Olivier Cador 26
27 => Ordre magnétique et Températures de Curie Le déplacement et l ancrage des parois est à la source de la coercivité 2015/2016 Olivier Cador 27
28 => Ordre magnétique et Températures de Curie Aimants durs et doux Forte coercivité Cycles d hystérésis très larges M Faible coercivité Cycles d hystérésis très étroits M M R M R H C H H C H 2015/2016 Olivier Cador 28
29 => Ordre magnétique et Températures de Curie Aimants durs et doux Matériaux durs : Nd 2 Fe 14 B H c > 1 T Matériaux durs : Alnico V H c >1 T Matériaux doux: Metglass ou supermalloy Metglass 2605S-2 (Fe 79 B 13 Si 9 ) SuperMalloy (Fer, Nickel, Molybdène,...) H c 0,006 G 2015/2016 Olivier Cador 29
30 Disquette, disque souple de Mylar enduit d'oxyde ferrique, capable de conserver une aimantation, enveloppé dans une jaquette de protection en plastique. Les données sont écrites sur une disquette par la tête de lecture-écriture de l'unité de disquette, qui modifie le sens de l'orientation des particules d'oxyde ferrique. Une orientation représente un 1 et l'orientation opposée un /2016 Olivier Cador 30
Différents types de matériaux magnétiques
Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille
Plus en détailContrôle non destructif Magnétoscopie
Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détail!!! atome = électriquement neutre. Science et technologie de l'environnement CHAPITRE 5 ÉLECTRICITÉ ET MAGNÉTISME
1 DÉFINITION DE L ÉLECTRICITÉ ET DE LA CHARGE ÉLECTRIQUE 2 LES FORCES D ATTRACTION ET DE RÉPULSION L électricité c est l ensemble des phénomènes provoqués par les charges positives et négatives qui existe
Plus en détailLA SECURITE DES CARTES A BANDE MAGNETIQUE
Benuts K1wy LA SECURITE DES CARTES A BANDE MAGNETIQUE INTRODUCTION : L information est présente partout dans la vie, et à acquis une importance capitale dans le monde actuel. Il a
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailContrôle Non Destructif C.N.D.
Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres
Plus en détailLES COMPLEXES. Description orbitalaire, Structure, Réactivité, Spectroscopie. Martin VÉROT
LES COMPLEXES Description orbitalaire, Structure, Réactivité, Spectroscopie. Martin VÉROT Prérequis Théorie des groupes (groupe irréductible, décomposition etc..) Chimie quantique /atomistique (Hamiltonien,
Plus en détailDe l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique. Pascal SIMON
De l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique Pascal SIMON Activités de recherche Etude de systèmes d électons fortement corrélés à l'échelle méso-nano Transport dans les
Plus en détailLe boulon d ancrage sert à fixer les pattes d attache des panneaux de coffrage pour murs alignés d un seul côté.
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Le coffrage une face Rédaction : Adrian Vonlanthen / Etudiant ETC 3 Date : 7 octobre 2008 Système d ancrage et de stabilisation Les systèmes
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailMagnétisme - Electromagnétisme
Magnétisme - Electromagnétisme D re Colette Boëx, PhD, Ingénieur biomédical Neurologie, HUG et Faculté de médecine Figures principalement issues de : - "Physics for scientists and engineers, with modern
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailProcédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier
Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailGroupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html
Axe principal: EDS Axes secondaires : Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html Institut des NanoSciences deparis http://www.insp.jussieu.fr/
Plus en détailUSB PEOPLE. 02 Bureau Accessoires PC
USB PEOPLE Worldwide Copyright, Design Patent: Trademark no.: 301018944 (HK) HK Design Patent No.: 0703103.8 PRC Design Patent No.: 200730287807.9 EU Design Patent No.: 000905625-0001 USA Design Registration
Plus en détailSystèmes de distributeurs Systèmes de distributeur selon la norme ISO 5599-1, taille 2, série 581. Caractéristiques techniques
ISO 5599-1, taille 2, série 581 Caractéristiques techniques 2 ISO 5599-1, taille 2, série 581 Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur, Série 581 Qn Max. = 2200 l/min Câblage individuel par enfichage
Plus en détailInformations techniques
Informations techniques Force développée par un vérin Ø du cylindre (mm) Ø de la tige (mm) 12 6 16 6 20 8 25 10 32 12 40 16 50 20 63 20 80 25 100 25 125 32 160 40 200 40 250 50 320 63 ction Surface utile
Plus en détailLes moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]
Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détailTP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT
TP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT Introduction : Certaines substances, lorsqu on les frotte, sont susceptibles de provoquer des phénomènes surprenants : attraction de petits corps légers par une règle
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailLA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité.
LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L électricité. L électricité cycle 3 - doc Ecole des Mines de Nantes 1 LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L'électricité. PROGRESSION GENERALE Séance n 1
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailSupraconducteurs à haute température critique et applications
Supraconducteurs à haute température critique et applications par Brigitte LERIDON et Jean-Pierre CONTOUR Unité mixte de physique CNRS/Thomson-CSF 1. Propriétés des matériaux supraconducteurs... E 1 110-4
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailLA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN. La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS
LA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS Zr La zircone et ses possibilités 2 La zircone et ses possibilités Qu est ce que la
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailRéussir l assemblage des meubles
Réussir l assemblage des meubles Assemblages en ligne Systèmes d accrochage de meuble LES BONS CONSEILS POUR FAIRE SOI-MÊME! 1 Les différents types d assemblage Les assemblages en angle ou en croix permettent
Plus en détailFixations pour isolants
300 Fixation DHK pour isolants... Fixation DHM pour isolants... Termofix 12 HM... Cheville à frapper DIPK... Fixation pour isolants FIF-K... Fixation pour isolants FIF-S... Disques de serrage... Attache
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailCapteur à CO2 en solution
Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailPRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240
I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation
Plus en détailDIVA DIVA. DIVA, le chant des flammes ne vous atteindra pas IGNIFUGE SUPPORTS SENSIBLES
DIVA DIVA IGNIFUGE SUPPORTS SENSIBLES NORME EUROPEENNE EN 1047-1 ECB.S EUROPEAN CERTIFICATION BOARD SECURITY SYSTEMS CLASSE DE QUALITE S 120 DIS DIVA, le chant des flammes ne vous atteindra pas DIVA ARMOIRE
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailÉlectricité. 1 Interaction électrique et modèle de l atome
4 e - AL Électricité 1 Électricité 1 Interaction électrique et modèle de l atome 1.1 Électrisation par frottement Expérience 1.1 Une baguette en matière plastique est frottée avec un chiffon de laine.
Plus en détailClaude Chappert Institut d'electronique Fondamentale
Nanomagnétisme / Electronique de spin : avancées, perspectives et impact des "Grandes Centrales" Claude Chappert Institut d'electronique Fondamentale Du (nano)magnétisme à l'electronique de spin (1) L'électron
Plus en détailEn panne des sciences
S V i v re l es s ci en ces p a r l ' ex p éri en ce usciter l éveil scientifique chez l enfant, c est l aider à mieux comprendre le fonctionnement de tout ce qui constitue le monde qui nous entoure. e
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailEcole d été des spectroscopies d électrons.
Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailIntegrated Ceramics. Une flexibilité. fascinante.
Integrated Ceramics Une flexibilité fascinante. Integrated Ceramics Les céramiques cosmétiques utilisées au laboratoire dentaire? Les matériaux d infrastructure utilisés au laboratoire Vitrocéramique alliages
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailEnova 2014. Le technorama de la REE. Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE. Le 11 septembre 20141
Enova 2014 Le technorama de la REE Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE Le 11 septembre 20141 La REE La REE (Revue de l Electricité et de l Electronique) : principale publication de la SEE 5 numéros
Plus en détailOutil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -
Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailM1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie
M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,
Plus en détailB2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction
B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.1.- Caractéristiques d absorption B2.1.1.- Coefficients d absorption de surfaces couvertes par différents éléments Maçonnerie et enduits
Plus en détailGAMME DES PNEUS 2015 DE COMPÉTITION
WORLD CHAMPIONS WRC2 Fournisseur officiel du Championnat du Monde des Rallyes de la FIA 2011-2015 GAMME DES PNEUS 2015 DE COMPÉTITION www.dmacktyres.com A propos de DMACK DMACK est un fournisseur officiel
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détail: fours-cellules : à dégourdi : 3 machines à convertir : fours-cellules à dégourdi
Département : 87 Aire d'étude Commune Adresse : Limoges centre : Limoges : Albert-Thomas (avenue) 27, 43 ; Genève (rue de) 1, 25 IM87001670 Edifice contenant : usine de porcelaine Guerry et Delinières,
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailGravure sur bois : L oiseau. à deux becs
Gravure sur bois : L oiseau à deux becs Texte de Sylvain Alzial Gravures sur bois d Olivier Philipponneau éditions MeMo date de sortie 18 avril 2013 Contact location exposition : Imagier Vagabond / 11,
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailDécouvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité. une histoire d électrøns
Découvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité une histoire d électrøns Vous trouverez au milieu du livret les pliages et les instructions à détacher pour les fabriquer. Il
Plus en détailLowara Ecocirc. Haut rendement dédié au chauffage domestique. rotor sphérique. ErP ready 2015
rp 5 circulateurs cocirc rp pour 5. Lowara cocirc Haut rendement dédié au chauffage domestique avec la technologie révolutionnaire du rotor sphérique Rendement La consommation d énergie cachée devient
Plus en détailChauffage par induction
Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailZone Industrielle. Kehlen... 1
Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailFiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie
ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailINSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente
INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente 1. RÉSUMÉ DES CONSIGNES DE SÉCURITÉ a. TRANSPORT/ARRIMAGE DE LA CARGAISON Tous les transports de nos produits doivent se faire conformément à la
Plus en détailMicro ordinateur & Périphériques Mémoire de masse Disque dur (SOLUTION)
Ressources : www.sen-bretagne.net, rubrique VANNES/Télécom&Réseaux/CI4 Traitement num./ Table des matières 1.Introduction...1 2.Constitution...1 3.Lecture et enregistrement...2 3.1.Principe du stockage
Plus en détailFiltre/Sécheurs émaillés
Filtre/Sécheurs émaillés Innovation par la compétence. La nouvelle dimension de Filtre/Sécheurs pour milieu corrosif Rosenmund est une marque leader dans le domaine de la séparation liquide/solide et du
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailPoseuse de systèmes intérieurs
Poseuse de systèmes intérieurs Le plan de formation des apprentissages (poseuse de systèmes intérieurs) Les tâches du métier de poseuse de systèmes intérieurs Tâche 1 : Tâche 2 : Tâche 3 : Tâche 4 :
Plus en détailLe sommeil, c est la vie. nordisk. sov skandinavisk med revor. * (*) Le nocturne Scandinave avec Revor
nordisk sov skandinavisk med revor. * (*) Le nocturne Scandinave avec Revor Pour ces agréables soirées d hiver #Ritueldumatin mon rituel du matin? Admirer la beauté de mon jardin. Chaque saison. God søvn,
Plus en détailMatériau S235JR - DIN EN 10025 Finition de surface. Epaisseur du matériau 1,5 mm. Désignation Filetage M Cote X Longueur L Charge de traction
Plaque de base MP Pour la pose de deux tubes avec un seul point de fixation Pour installation de 2 colliers sur un seul point de fixation Matériau S235JR - DIN EN 10025 Epaisseur du matériau 1,5 mm Les
Plus en détailTechniques de maintenance industrielle MEC-763 ÉTUDE AMDEC. Sur un ventilateur
Techniques de maintenance industrielle MEC-763 ÉTUDE AMDEC Sur un ventilateur SOMMAIRE La méthode AMDEC se veut une étude approfondie d un système afin d en déterminer les différents bris possibles, en
Plus en détailPrésentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux
Présentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux SOMMAIRE Présentation générale de notre gamme Plans des différents modules Spécifications techniques Vues
Plus en détailSLIM-Line. efficaces & durables. Solutions pour étiquettes efficaces & durables. Papier Thermo Top SLIM. Papier non couché SLIM. Papier couché SLIM
SLIM-Line efficaces & durables Solutions pour étiquettes efficaces & durables Papier Thermo Top SLIM Papier non couché SLIM Papier couché SLIM Etiquettes effic Solutions pour étiquettes SLIM-Line le nouveau
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailPrise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010
Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC
Plus en détailL électricité et le magnétisme
L électricité et le magnétisme Verdicts et diagnostics Verdict CHAPITRE 5 STE Questions 1 à 26, A à D. 1 QU EST-CE QUE L ÉLECTRICITÉ? (p. 140-144) 1. Vanessa constate qu un objet est chargé positivement.
Plus en détail