La chirurgie du car,lage
|
|
- Christelle Fournier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La chirurgie du car,lage Yoann BOHU, Nicolas LEFEVRE, Serge HERMAN Clinique du Sport Paris V, Paris Institut de l Appareil Locomoteur Nollet, Paris Clinique Maussins-Nollet, Paris
2 CHONDROPATHIE TRAUMATIQUE OCD ARTHROSE
3 Basic science in cartilage Le cartilage est un complexe tissulaire Propriété biomécanique : composition cellulaire MAIS incapable d initier un processus de régénération spontanée ou efficace Lors d une atteinte sous chondrale Les cellulles mésenchymateuses avec le caillot peuvent comblé le déficit et créer un tissu «like», collagéne type 2 et 1 Mais, il n y a pas d organisation structurale efficace Structure solide et souple Cellules superficielles horizontales et profondes verticales Avasculaire Nutrition par le liquide synovial ou os sous chondral
4 Reparation : pré requis 3 facteurs cruciaux pour le processus de différentiation des chondrocytes Les facteurs de croissances Les conditions d oxygénation La nature et l importance des contraintes mécaniques Thérapie génique et cellules souches pour l activation de la réparation du cartilage articulaire Extraction de cellules du patient Culture in vitro Reinjection Vecteur : virus, liposomes Synthèse tissulaire sur modèle animal Problème éthique Sélection du modèle Création de lésions : topographie, taille, type Limites Os sous chondral UNITE OS/CARTILAGE ( cf LODA) Controverse origine sous chondrale des lésions Évolution naturelle Liquide, kyste, niche, séquestre Origine de la douleur??.. INNERVATION SOUS CHONDRALE UNIQUEMENT, PAS DE NERF DANS LE CARTILAGE Traitement chirurgical : application greffe ostéo chondrale
5 Introduction L'articulation se compose de deux tissus principaux: le cartilage articulaire l'os sous-chondral. Le cartilage protège l'os sous-chondral des fortes contraintes, absorbe les chocs, répartit la charge et facilite le mouvement.
6 Introduction le cartilage = capacité très limitée de régénération l'absence de vascularisation in-situ faible capacité de prolifération des chondrocytes Synthèse = équilibre contraintes mécaniques/apports biologiques La cicatrisation spontanée = formation d un fibrocartilage propriétés biomécaniques sont nettement inférieures à celles du cartilage hyalin
7 Introduction Les lésions cartilagineuses sont d origine soit dégénérative soit traumatique situées sur des zones portantes souvent chez le sujet jeune Elles sont fréquentes Curl et al [2] 1997 ont revus arthroscopies du genou 63% des genoux avaient des lésions chondrales 20% avaient des lésions complètes, dont 5% chez des patients âgés de moins de 40 ans
8 Introduction Le diagnostic RECHERCHE CORRELATION entre LESIONS IMAGERIES et CLINIQUE L arthroscanner, l IRM et l arthro-irm permettent d apprécier plus précisément la largeur sur les coupes frontales et la longueur sur les coupes sagittales. L arthroscopie permet une évaluation de la surface vers la profondeuruniquement, pas d analyse
9 CHONDROPATHIE FOCALE TRAUMATIQUE ISOLE ASSOCIEES Lésions ligamentaires Lésions méniscales AKR 2013
10 ELIMINER UNE ARTHROSE DEFINITION Déséquilibre synthèse /dégradation cartilage / os sous chondral ETIOLOGIE Génétique, métabolique, mécanique Post traumatique MECANISME Modifications matrices cartilagineuses et cellulaire : morphologie, biochimie, moléculaire et biomécanique Ramollissement, fissuration, une ulcération et une perte du cartilage articulaire, sclérose de l'os sous-chondral avec production d'ostéophytes et de kystes souschondraux SYMPTOMES Douleur Raideur Epanchement AKR 2013
11 ELIMINER UNE ARTHROSE DIAGNOSTIC CLINIQUE Début : progressif Evolution : forme poussée unique ou multiples, progression lente BIOLOGIE AUCUN MARQUEUR IMAGERIE Radiographie Comparative / debout FACE SCHUSS PROFIL Critères radiologiques : Diminution interligne Ostéophytes Sclérose sous chondral Chondromes intra articulaires AKR 2013
12 RADIOLOGIE Classification de Ahlbäck Usure < 50% 50 à 100% Cupule < 5mm Cupule > 5 mm Plateaux coupés pour une prothèse AKR 2013
13 La déformation peut provenir du tibia et/ou du fémur mesurer l angle F et l angle T Telégoniométrie debout Angle HKA Angle F Angle T Bâillement F T AKR 2013
14 DIAGNOSTIC chondropathie focale Mécanisme Sport Association lésionnelle Examen clinique SF Imagerie AKR 2013
15 TOPOGRAPHIE LESION FEMORALE GRANDS AXES STATUT MENISCAL STATUT LIGAMENTAIRE TAILLE DE LA LESION 0-1 CM MICROFRACTURE AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE 1-2 CM MICROFRACTURE AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE > 2CM AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE ALLOGREFFE OSTEOCHONDRALE GREFFES CHONDROCYTES BIOMATRICE SYNTHETIQUE LESION TROCHLEL/PATELLA AXES STABILITE TAILLE DE LA LESION 0-2 CM REHABILITATION MICROFRACTURE GREFFES CHONDROCYTES AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE > 2CM AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE ALLOGREFFE OSTEOCHONDRALE GREFFES CHONDROCYTES BIOMATRICE SYNTHETIQUE AKR 2013
16 SCORE ICRS AKR 2013
17 STADE 0 classification arthroscopique CARTILAGE NORMAL BLANC NACRE LISSE FERME AKR 2013
18 STADE I CHONDROMALACIE LISSE CONSISTANCE ANORMALE RAMOLLISSEMENT OEDEME CARTILAGINEUX FURONCLE MALACIQUE AKR 2013
19 STADE II FISSURES ET EROSIONS SUPERFICIELLES CHONDROPATHIE OUVERTE ASPECT CHEVELU VELOUR COUP D ONGLE AKR 2013
20 STADE III FISSURE PROFONDE OS SOUS CHONDRAL CLAPET CARTILAGINEUX CHAIR DE CRABE ULCERATION ISOLEE AKR 2013
21 STADE IV OS SOUS CHONDRAL A NU LISSE RAILS AKR 2013
22 Introduction Le diagnostic est évoqué cliniquement et sur un bilan radiographique standard. L arthroscanner, l IRM et l arthro-irm permettent d apprécier plus précisément la largeur sur les coupes frontales et la longueur sur les coupes sagittales. L arthroscopie permet une évaluation de la profondeur des lésions
23 Options thérapeutiques MULTIPLES MAIS efficacité. Le choix du traitement dépend de plusieurs facteurs, niveau d activités âge du patient étiologie type de la lésion Topographie de la lésion
24 Options thérapeutiques Traitement conservateur Lavage arthroscopique et débridement Techniques de stimulation sous-chondrale Autogreffes ostéochondrales par mosaïcplastie Allogreffes ostéochondrales Greffes de chondrocytes autologues
25 Traitement conservateur TABAC Le but de ce traitement est la réduction des symptômes et non pas la cicatrisation des lésions. perte de poids une réduction des activités sportives le port de semelles orthopédiques la mise en décharge partielle du membre la prescription d antalgiques et d anti-inflammatoires, Supplémentation en calcium injections intra-articulaires de stéroïdes une viscosupplémentation par acide Hyaluronique REEDUCATION ADAPTATION DE LA CHARGE VISCO SUPPLEMENTATION PRP
26 Lavage arthroscopique et débridement Ce traitement vise à réduire la douleur et l inflammation. Le lavage articulaire permet de retirer les cellules inflammatoires, les médiateurs de l inflammation les fragments du cartilage.
27
28 Lavage arthroscopique et débridement Le débridement permet ablation des corps étrangers libres une synovectomie limitée une régularisation de la surface articulaire.
29 Techniques de stimulation sous-chondrale Différentes techniques de stimulation sous-chondrale ont été proposées. Elles consistent à mobiliser les cellules mésenchymateuses de l os sous-chondral susceptibles de se différencier en fibrochondrocytes
30 Perforations de Pridie Décrite par Pridie en 1959 Multiples perforations de la plaque sous-chondrale à l aide de fines mèches. Risque de nécrose thermique locale par le méchage motorisé
31 Abrasion Technique décrite par Johnson dans les années 80 Aviver l os sous-chondral pour obtenir un saignement. Abrasion aux fraises motorisées sur un shaver. Les études ont montré que les résultats initialement bons se sont dégradés avec le temps. Cette technique a été abandonnée.
32 Microfractures Décrite par Steadman 1997 Technique est réalisée sous arthroscopie avec une instrumentation spécifique Il s agit de la technique de référence.
33 Microfractures Débridement des berges lésionnelles Perforations de 3 mm de profondeur tous les 3 mm Un saignement doit être constaté à travers ces micro-perforations. si la lésion est en surface portante, l appui est interdit pendant 6 à 8 semaines
34
35
36
37
38 Microfractures: résultats cliniques: Patients nettement améliorés dans les premiers 18 mois Puis une dégradation progressive Fibrocartilage = propriétés biomécaniques nettement inférieures à celle du cartilage hyalin Série symposium SFA 24 patients : 17 juvenile OCD et 8 adult OCD, FU 12 ans 12/17 juvenile et 4/8 adult : bon/très bon résultats Radiologie Juvenile OCD : 14 évolutions favorables, 3 défavorables Adult OCD : 2 aggravations, pas d arthrose Critères pronostics : âge, Bedouelle et volume
39 AKR 2013
40 Refixation Fragment pédiculé médial Avivement du fond de la niche, perforation, reposition avec greffe spongieuse compactée pour améliorer la congruence Synthèse par 1 ou 2 vis canulées enfouies, ajout possible de plot ostéchondraux Pas d appui 6 semaines, reprise sport à 6 mois Série symposium SFA 13 juvenile OCD, 30 adult OCD, FU 5,5 ans (1-20) Bon/très bons résultats : 10/13 et 14/30 Résultats : stabilité de lé fixation, cartilage, taille de fragment et état du cartilage de croissance AKR 2013
41 Greffes ostéchondrales Autogreffe ou allogreffe cryoconservées Prélèvement à la tréphine, 2 à 4 carottes ostéochondrales de 5-10 mm de diamètre, 15 mm de long Site receveur : avivement fond et bord Greffe : implantation perpendiculaire AKR 2013
42 Autogreffes ostéochondrales par mosaicoplastie Technique réalisée sous arthroscopie ou à ciel ouvert Prélever des greffes ostéochondrales cylindrique Transférer dans des puits receveurs de zones portantes percés au niveau de la zone à greffer
43 Autogreffes ostéochondrales par mosaicoplastie Technique réalisée sous arthroscopie ou à ciel ouvert Prélever des greffes ostéochondrales cylindrique Transférer dans des puits receveurs de zones portantes percés au niveau de la zone à greffer
44 Allogreffes ostéochondrales Ce sont des greffes habituellement massives. Les allogreffes ne sont peu utilisées en France.
45 Cultures de chondrocytes autologues 1 er temps de prélèvement arthroscopique 2 ème temps d implantation par arthrotomie Lambeaux périostés Série SFA 58 patients, FU 5,8 ans 90% de bons résultats cliniques 20/22 arthro de contrôle : aspect macro normal 30% arthrose AKR 2013
46 Greffes de chondrocytes autologues La technique est réalisée en trois temps : Biopsie Culture des chondrocytes Implantation.
47 AKR 2013
48 ANALYSE SYMPTOMES?? Douleur Gonflement LESION Topographie Grade Etat sous chondral AXE MECANIQUE RADIO En charge Pangonogramme IRM Arthroscanner CARTILAGE MENISQUE AKR 2013
49 ARBRE DECISIONNEL STRATEGIE MECANIQUE ET BIOLOGIQUE LESION FEMORALE GRANDS AXES STATUT MENISCAL STATUT LIGAMENTAIRE TAILLE DE LA LESION 0-1 CM MICROFRACTURE AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE 1-2 CM MICROFRACTURE AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE > 2CM AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE ALLOGREFFE OSTEOCHONDRALE GREFFES CHONDROCYTES AUTOLOGUE (ACI) BIOMATRICE SYNTHETIQUE LESION TROCHLEE/PATELLA AXES STABILITE TAILLE DE LA LESION 0-2 CM REHABILITATION MICROFRACTURE GREFFES CHONDROCYTES AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE > 2CM AUTOGREFFE OSTEOCHONDRALE ALLOGREFFE OSTEOCHONDRALE GREFFES CHONDROCYTES BIOMATRICE SYNTHETIQUE AKR 2013
50 ET SI ECHEC POIDS TABAC INTABILITE DESAXATION Maladies associées : diabete, thyroide OS SOUS CHONDRAL PAS D URGENCE AKR 2013
51 Recommandations Haute Autorité de Santé Entre 1 et 3 cm² : Les microfractures, l autogreffe ostéochondrale, ou la greffe chondrocytaire autologue Entre 3 et 8 cm² : L autogreffe ostéochondrale, ou la greffe chondrocytaire autologue Au-delà de 8 cm2 la greffe de chondrocytes n est pas recommandée.
52 Mise au point SFA 2010 Lésions symptomatiques et profondes (ICRS III et IV) Arthrose est une contre-indication absolue. La mosaicoplastie est la technique de référence Les microfractures sont indiquées chez les patients dont la demande fonctionnelle est faible. Les greffes de chondrocytes autologues sont à réserver aux pertes supérieure à 2 cm 2
53 Lésion chondrale stade III/IV du condyle et trochlée < 1cm2 1< lésion< 3 cm2 3< lésion< 8 cm2 > 8 cm2 Traitement conservateur Débridement simple Microfracture Microfracture Mosaicoplas@e Chondrocyte Mosaicoplas@e Chondrocyte?
54 Merci pour votre attention Congrès de la Société Française d Arthroscopie DIU Pathologie 5 au 7 Décembre du sport 2013 Bichat - Bordeaux
55 La chirurgie du car,lage Yoann BOHU, Nicolas LEFEVRE, Serge HERMAN Clinique du Sport Paris V, Paris Institut de l Appareil Locomoteur Nollet, Paris Clinique Maussins-Nollet, Paris
56 Cas cliniques Yoann Bohu, Nicolas Lefevre, Serge Herman Clinique du Sport Paris V, Paris, France Institut de l Appareil Locomoteur Nollet, Paris, France AKR 2013
57 14 a AKR 2013
58 11 a AKR 2013
59 23 a AKR 2013
L arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailChirurgie de la gonarthrose
.. 14-326-A-10 Chirurgie de la gonarthrose G. Bellier, P. Djian Le traitement de la gonarthrose n est pas univoque. Il nécessite une prise en charge globale du patient et doit tenir compte des demandes
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailL utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées
L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées Mohamed Ahmed Samir Kassem Chef de clinique assistant Hôpitaux Universitaires d Alexandrie, Egypte INTRODUCTION La
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailCHAPITRE VI : L ARTHROSE
CHAPITRE VI : L ARTHROSE I- Introduction II- Définition III- Epidémiologie descriptive A- Prévalence B- Incidence C-Les facteurs de risque D- Facteurs de risque de progression structurale IV- Retentissement
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailDossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches
Dossier thématique de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE I Qu est ce que la thérapie cellulaire A - Approche de définition B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailProthèse Totale de Genou
Hôpital de Martigny Prothèse Totale de Genou Informations patients 2 Impressum Editeur: Hôpital du Valais (RSV), Direction générale, Communication, 1950 Sion Auteur: Hôpital de Martigny, Service d orthopédie
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailmythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet
mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailD.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016)
D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016) 1 er Séminaire : UE 1 : Les maladies parodontales : étiopathogénie, diagnostic et plan de traitement. UE 2 : La phase étiologique de la thérapeutique
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailUNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE. 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE
UNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE Dr M.ZAGHEZ Polycopie de Parodontologie http://zaghez.net76.net/ 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailFeedbacksystem Monitoring de la marche en appui partiel avec cannes anglaises
Feedbacksystem Monitoring de la marche en appui partiel avec cannes anglaises L APPUI PARTIEL MESURER AU LIEU D ÉVALUER Après chirurgie orthopédique ou d urgence, l indication médicale est souvent ordonnée
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailSOFARTHRO.com. Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective
Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective Boyer P, Bouthors C, Ben Hamida F, Mylle G, Massin P service d orthopédie, Hôpital Bichat
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailAppareil Thérapeutique pour le Soin du Dos
Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos des instruments ayant une très faible efficacité. Le Nubax Trio est maintenant soutenu par de nombreux brevets et distributeurs à travers le monde. Cet appareil
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPlan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES
Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES PRINCIPE DE BASE POUR LE COU On travaille sur environ 6 pouces qui retient la boîte crânienne et son contenu De
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailF. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX
F. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX Excès s de croissance des cotes et des cartilages causant soit une dépression d (PECTUS EXCAVATUM) soit une protrusion (PECTUS CARINATUM)
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détail2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A
DJO France S.A.S Centre Européen de Fret 3 rue de Béthar 64990 Mouguerre FRANCE Tel: +33 (0)5 59 52 80 88 Fax: +33 (0)5 59 52 62 99 Email: physio@djoglobal.com www.djoglobal.fr a brand 2010 DJO - 00-0936-FR
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Service Orthopédie www.cliniquesdeleurope.be Site St-Michel 2 COMPRENDRE L ARTHROSE ET L ARTHROPLASTIE DE GENOU L arthrose est le reflet d un déséquilibre entre la surcharge mécanique et la tolérance de
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailSommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18
Sommaire Introduction 5 I. Des rappels anatomiques et physiologiques 6 A. Les cellules du tissu osseux 7 1. Les ostéoblastes 8 2. Les ostéocytes 8 3. Les cellules bordantes 9 4. Les ostéoclastes 9 B. La
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailChirurgie du pied. réponses à vos questions. Vous allez être opéré(e) d un hallux valgus. collection
Chirurgie du pied Vous allez être opéré(e) d un hallux valgus réponses à vos questions Avec la collaboration du Dr Olivier BONIFACE Chirurgie du pied et de la cheville collection Réalisé avec le soutien
Plus en détailIl faut avant de détailler ces différentes. Lésions. infra osseuses. Stratégie de traitement. Parodontologie. Gepi. Gepi
Gepi Gepi 3w 2w 2 * 1 2 * 1 3 Lésions infra osseuses 1. Lésion infra osseuses à 3 et 2 parois. Stratégie de traitement Catherine Mattout Rubrique Gepi Une meilleure compréhension des mécanismes de la cicatrisation
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailbiocer - système d implant dentaire
i n f o r m a t i o n s p r o d u i t s biocer - - implants dentaires combinés et concepts de butées en matériaux biologiquement fiables. Le dispositif exceptionnel des surfaces cerid - sont la conception
Plus en détailINSUFFISANCE HÉPATIQUE
INSUFFISANCE HÉPATIQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE HÉPATIQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance hépatique ne soit approuvé
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détail