L'expérience algérienne en matière d'informatique dans le cadre de l'agriculture
|
|
- Robert Doré
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L'expérience algérienne en matière d'informatique dans cadre l'agriculture Karsenty J.C. Agriculture informatique Paris : CIHEAM Options Méditerranéennes; n pages 8092 Artic avaib on line / Artic disponib en ligne l adresse : To cite this artic / Pour citer c artic Karsenty J.C. L' expérience algérienne en matière d' informatique dans cadre l' agriculture. Agriculture informatique. Paris : CIHEAM, p (Options Méditerranéennes; n. 1)
2 CIHEAM Options Mediterraneennes J. C. Comptabilité du Financement L'expérience algérienne en matière d'informatique dans cadre I'agricnrlture 1. LA COMPTABILITÉ FINANCIÈRE DE L'AGRICULTURE AUTOGÉRÉE L'existence d' co constitué 2 O00 exploitations a tôt dans pays, l'adoption solutions fondées mécano ce, domaine comptabilité. tentée l'&poque l'office Nationa années I , été nouvel bases en 1967 a du systèmequi dans lo A) LES 1963, comptabilité s do l'absence a difficultés fait nécessité d'e solution difs méthos cssiques. A ce sta, comptabilité ne pouvait plus tenue au niveau s domaines système nécessité 2 O00 comptab capab mais cel documents fìn Compte d'exploitation 1964, décidait donc e comptabilité, ses données installé 1401). années fonc tionnement ne put documents dignes exploitab. foi C essai fut e assez l'inutilité quand mation sont insuffisamment développées. (SAP.) fois du l'autogestion ainsi que comptabilité
3 CIHEAM Options Mediterraneennes.~ Photo Roger Violl ~ chaque domaine, ou se b sont incapachaque mouvement. La au l'absence efficace ce pn, manque comptabilité au niveau du afin plus f du luimême ont néant tous tentés cte Les conséquences cte tentative ont été néfastes ont : l'absence complète comptabilité l'autogestion jusqu' campagne incluse ; l'impossibilité s tats domaine, au niveau plus élébénéfice ou déficit donc l'impossibilité aux 1 La tant s points fondamentaux du système l'autogestion sa non tion a e désaffection visvis l'autogestion elmême. Toute analyse économique fondée au niveau a donc été ment exclue cte Enfin ou plutôt << >> a c échec, e méfiance, a puis nouveau La situation en 1966 nécessitése faisait donc ou d'aban Les éléments décisions étaient suivants : cadre. 1,es 3 effectuées avaient été cel commis comptab stinés aux ex était évint que cte catén'était en auc cas apte, comptabilité s exploitations ne pouvait plus consicomme La situation ce pn était donc sensibment analogue cel s années b) ne disposaient compétent en cte étaient plus, ils tel que vaux façon, s (0.A. c... système était donc ex nouvel vaient 81
4 CIHEAM Options Mediterraneennes c) L'importance s informations recueillir. La comptabilité 2 O ha, moyen 500 O00 quels volume estd'envi 6 O00 O00 an, pose s blèmes en décentota. Sans distances tantes exploitations plus lointaines capita, il était impossib au niveau e masse données. plus, l'absence comptab, déj signalée, obligeait imputations qu' ce niveau. il est manifestement e patechnique, s imputations venant tout fait hypothétique vu l'éloignement mation. LES situation, choix qui alit luiméme. La s'imposait même que tota, étaient exclues dans conditions l'époque. L'option a donc été e semisolution qui avait Savantage ux absolus : ; palliatif l'absence ; cte dans l'immédiat. comptab 1" Les Comptabilité. a) Structure jzlridique. La choisie ne pouvait en auc cas existant : l'ae nouvelje tâche compxe toutes cel dont ils étaient pas e nce d'e activité signalées, étaient même était donc toutes pièces nouvel Le ayant ce pn l'avantage d'e soupse fonctionnement, l'absence dait mieux l'idée vice dans assistance au domaine. Celuici, faute luimême sa comptabilité, en confiait ponsabilité il est msmlxe, dont il peut l'activité, qu'il b) pce s structures formution. décision statut ConlptEbilité son application dut en Les faisaient en eff défaut campagne , comptab : 50 aiscomptab : 150 en 3 stages successifs. * s commis comptab, : 1 CO. cte Caisse Algé du avait du ainsi que l'individualisation s comptes chaque exploitation. El fut ment tout e comptabilité en simp même el fut désignée du comptabilité, technique, qu'el assuma jusqu'en août 1968 mise en pce cffective s Comptabilite, était dans c) Organisation s Coopératives Agrico Comptabilité. C'est ainsi que 48 Comptabilité ont été installées dans toute est en sement), champ étant plutôt commandé 50 El sont composées d' 2 3 aiscomptab 1 ou 2 commis comptab, suivant tail El sont complétées l'agent statisticien puisque, comme nous 1.e suite, été choisie comme lieu l'ensemb sstatistiques du au d) Le système comptab. Le niveau détail ne pouvaient comptabilité en simp. La ique, a donc été choisie, système décalque ayant son coût. été en était posé l'exploitation. n'étant, en eff, pas en ses
5 CIHEAM Options Mediterraneennes piècesjustificatives achats ventes qu'el ne ment pas. types financement existent en eff : d'e toutes tes quel on dispose donc son niveau d'e pièce justificative d' avis ment domaine toutes fac faib fonds caisse qui lui est quel commis comptab l'exploitation tient caisse duplicata pièces justificatives. Comptabilité pn s mouve l'exploitation ( visant dépouilnt chaque fin mois caisse). éléments, tels que stocks, investissements, cooest obligée successivement soit aux domaines soit aux tion ou l'autogestion, afin L'époque étant achevée, tout quasitotalité facilitant ainsi tâche e) pn comptab. La base du pn comptab est cel du pn comp tab 47/57. a cependant été pn techniques but plus possib schémas comptab avec situation l'autogestion. Les modifications inté l'adaptation du pn comptab aux techniques d'analyses gestion utilisées dans nos ou nt ainsi facilite fois du financement s en en fin campagne.
6 CIHEAM Options Mediterraneennes Les Unions tives d'e Comptabilité Gestion l'utilisation s La comptabilité a donc sous été tenue au manuel, temps été La mise en pce d' système comptabilité analytique au niveau d' comptabilité analytique ne se qu' avait l'utilité du phique, étant égament Les Comptabilité étaient donc toutes désignées en cte nouvel activité. Cependant, auce el ne pouvait maté La en 3 afin été dès activité liaison L'Union en main ce fut 360/20 ( ce tests mécanisation comptabilité donnent toute satisfaction système manuel est 6 suite. Lesbances fin Coo Comptabilité enété en fin campagne afin comptes d'exploitation l'échel nationa. Techniques méthos mécano comptabilisation. mois domaines l'o mécanisation était effective. 580 domaines l'est el en a> Les doclrmerzts prise d'irzfornza Cion. Les techniques ques bment l'ensembdocuments tenus comptab. L'ancien système : l'ensemb..., qui tait mant e attention soutenue, a été pcé ique document dénommé Q >>. est établi chaque mois d' document domaine suivantes : intification l'exploitation ; ; date ; compte débité ; libellés semicodés zones exploitab man : ou s quantité obj ité quantification ; somme ; 3 colonnes ; comptes ; codification d'incompatibilité vo C ique document suffit l'établissement d'e bance mensuel. Le étant celui état stock est établi chaque campagne même document, en colavec exploitations. b) Le,traitenzent documents sortie. Chaque Union tée son 360/20 bans disques (4 bans 2 disques) pnifie l'ensemb ses activités mensuel. En ce comptabilité du auen fin mois au plus moissuivanc. 7 8 chaque mois en sont en 2 en ce qui (exploitation Comptabilité) 6 en ce bances. 20 aux domaines Les bances mensuel plussdonnées du mois en éléments mois l'année Le domaine peut seul coup d'œil sa situation l'ancienne campagne. même, SUT bances chaque montants s du pn financement, s dé Les éléments quantitatifs tements effectués aux possession. Ce en application que puis peu toutes conséquences qui doivent logiquement en ne sont effectives. c) Les récapitutions. Ces documents individuels au niveau s 3 Unions font l'obj pitutions bances, comptes d'exploitation bin aux échelons : Wilya
7 CIHEAM Options Mediterraneennes National. qu'el essentiels au sab locaux l'analyse globa plus spéciament qui zones homogènes, mené pendant campagne individuels tions sont YA Wilya l'agence Nationa Financement. Comptabilité l'a d) utilisations. Cte comptabilité a début campagne 6768,analysesgloba. En eff, l'étu s comptabilités poste, s éléments s chaque exploitation. sous. ses ux aspects,en mis en quantité, a intiques spécution dont causes ont dû élucidées. même l'étu s paux postes mes en possession ont s quant aux déficits ou bénéfices insuffisants. s comptes d'exploitation avecpns lisés tous niveaux déj signalés.l'analyse en est donc facilitée, tels que : efficience s capitaux ; spécution ; du ; taux d'intensification; ; ; c... comptes d'exploitation. tel ment) d'annaba, c... s anaont été menées, ces éléments, cssification en queue. II. L'INFORMATIQUE ET L'ANALYSE DE que lisée, l'analyse uti comptabilité globa a vite ses limites en ment dans exploitations en polycul A) LA ma L'analyse comptabilité finana fait, ' domaines dépendamment du fait déjjh que plus taux d'efficience s capitaux étaient domaines en dans. l'analysegloba dans domaines (en moyenne 6 8 spécutions) ne que s qu'il bien. spécutions, plus ou moins complète l'autogestion, l'absence quasitota cadnes s mations conduite s ( techniciens étant infésystématique), développement d'e comptabilité type analytique s'imposait. Les objectifs cte comptabilité étaient 10 Les objectifs comptabilité analytique Cte comptabilité vait tout d'aavant coût, s pa effectuées chaque spécution. Lesnotions coût étaient ntement que pouvait tutel maximum ux fidè toutes taient en Cte comptabilité vait donc tout G >> l'exploitation techniciens conduite s quantités fuutilisées, façons effectuées c... est cte était l'établissement d' schéma d'activité. exploitation cssique, géou systèmes, ses activités. nisationnel plus moins uti s 85
8 CIHEAM Options Mediterraneennes exploitations où n'atteignant niveau ques d' agent techniest s spécutions compxes délicates (tel qui coiffe dans cas 50 exploitations doit paltes déficiences du pn technique l'ai d'e ce type. est évint que c ensemb données débouche éga notion coût. A du moment où totalité s actions spécution est notamment quantités ment, n'empêche e ul coût s spécution. L'aspect économique donc étudié avec l'aspect technique il va tes spécution, complément indispensab l'analyse globa. Les ux objectifs visés ce type comptabilité ne doivent donc jamais vue. La déj faite) consiste faci ( documents utilisés C'est vue vite que, s'il est simp obtention s coûts ne justifie peut pas c ensemb, possession pn technique s activités l'exploitation est indispensab s in pas conduite technique s spécutions exploitation. 20 La L'absence comptab nécessimplicité du système excluaient melment tout comptabilité analytique cssique (utilisation comptes nent en été L'option a donc comptabilité analytique afin données plus simpl'es possib ; ces 2 types comptabilité en fin campagne. Le bas niveau compétence du gé gestion (tenant lieu domaine) ne tenuedi cssique fiche a donc été postes main ce activités tient document simp 86 quel il données nécessai Celci sont suivantes : : poin sa qualification, son taux d'avance spécution type effectué. pointages sont faits l'ité étant, ; : indépendamment l'intification l'engin, spécution faite, type l'engin ou La consommation du est obtenue pins effectués ; l'intification du quantités utilisées, chace s spécution. activités mentionnéescissus, dates sont Cesdocumentstenus sous simp chef moto sont commis comptab qui cont mations ainsi mentionnées. compatibilité l'ensemb s ventitions, est valo Ce suivants : 6 chaque mois : l'état s avances du colctif s en ce qui saisonavec bullins individuels, ventition l'utilisation en spécution type ; 10 chaque mois : d'utilisation s cution type spé ( valone s'effectuant qu'en fin campagne) ainsi que l'utilisation s engins quantités chac sionnements utilisés spécution avec ces états évid'utilisation. spécutions types l'ensemb s domaines tenus en analytique chaque fin systématique (tous 3 mois en fin campagne). Cte ment l'exploitation d' tâches cia aux impôts c... comme déc SO
9 CIHEAM Options Mediterraneennes n I l l æ l I
10 CIHEAM Options Mediterraneennes 40 L'analyse C ensemb tâches est confié Unions Comptabilité, analyse gestion. l'absence données obtenues, décision a été ensemb d'éléments en vue du conseil gestion elmêmes. Le l'autogestion n'est pas en cause, vient avec lui l'analyse gestion. La comptabilité analytique ux utilisations bien : a) L'apport comptabilité analytique en vue l'obtention s normes. phase s Comptabilité Gestion, el s'est limitée l'obtention d'e nes, l'obtention L'absence quasitota d'in ce type pèse en eff analyses gestion analyses dans s est s éléments déj pliaine humi, vigne pine a zones i 800 zones 500 mm c..:). Ce n'est évimment qu' ses débuts puisqu'il s'agit l d'e tâche, continue que mes doit vie compte tenu Le handicap plus gênant dans l'absence tête, ainsi que dans établies s exploitations modè dans s conditions se chant plus possib cel l'al du b) L'Analyse fin campagne OU fin spécution s'établit du coût spécu1,ation s obtenus. El est complétée éléments d'explication que constitue fiche spécution >>. Cte s documents constitue compl l'ensemb effectués ainsi que vail, quantités spécution n'est donc pas l'ique donnée en consi L'ensemb s éléments ayant con du coût même que données sont instab, peuvent Enfin, l'étu du coût s tes ainsi que cel du physique tel possibilités. système cssique du choix s spécutions du pn doit aménagé. est donc dans sta système actuel. Cte option discutab est fait que ces domaines quels s'applique ce type d'analyse ont S.A.U. La modification du système duction vient donc objectif long l'essentiel s s choses, dans Les conditions actuel l'absence qu'on ne pouvait se limiétait analyses en fin campagne. vaalnt jusqu' s conclusions en même si est e déj commise. c type d'analyse d'idée, a été fin s types Faute mes au niveau décision a été dans l'immédiat tion, dès type l'exploitaachevé, techniques es domaines spécution. L'idéal même été discussion dans domaines euxmêmes tats. Le pit ces qualifiés nous dans s cas. AU fonctionnement, Unions Comptabilité en qu'el Le conseil gestion se l'envoi avant chaque type tations données 11 n'y a l au sta développement s Unions qu'e ébauche d' pn La métho s budgs pnning ont été tés': utilisés afin tes campagnesuivantes. 50 C ensemb d'actions pouvait s cte l'exploitation ne qualité section ana lyse. Au sein l'union tâches Analyse sont divisées en 2 sections : section ;
11 CIHEAM Options Mediterraneennes La section cipa a aptes : com chefs au codage ces données documentsspéciaux. s'effec en dien. quoti La explique aux du domaine, section analyse. Cte activité est en El qualité l'inimpact doit l'analyse son l'exploitation. Au sta actuel Comptabilité Gestion, l'activité qu' ses débuts. actions ponctuel tel : vendange, ou Conseils s points chaque spécution ont été menées bien. Roger Violl 6" Champs d'action comptabilite analytique A actuel 130 domaines sont ainsi suivis en tique. comptabilité dite analy : Vigne HAUT Vigne : Vigne ANNABA : Vigne : ha 5 00'0 ha ha ha 1500 ha 4300 ha ha 2981 ha ha 679 ha ha ha ha ha ha 403 ha 1416 ha ha 865 ha ha ha 5599 ha ha 997 ha ha 975 ha ha ha Soit total : Vigne ha ha ha 4486 ha. ha Total : ha Les méthos choix ces domaines ont été suivant qu'il s'agit s Unions Chéliff), d'annaba. échantillon sentatif l'ensemb (pine a été natuché. ont donc été définis : choix dans du Chéliff a été simp.l'ensemb s domaines a été même d'annaba sont tous dans. cité ment plus domaines sa zone. Cte au niveau s est nécesvu l'état question d'économie Nous avons ment d'activité afin d'en quitte dans s'il qu'e icité plus 8
12 CIHEAM Options Mediterraneennes 2 EN : a) Organisation atelier. chaque mois suivi tabau quotidiennement ce tabau système fiches ; comptabilité analytique avec fac (en mise en pce) ; 3 équipes chace ai ; b) (ex : janvier Total machine : soit soit s opé : 1,51 évé cause multiplicité s applications). c) Temps d'utilisation par travaux. Comptabilité (y comptes d'exploitation inaux 120 h00 comptabilité analytique main : 51 h O0 : 18 h 30 comptabilité com : 7 h O0 comptabilité aliment du bétail : 3 h O0 tests d'étu (nouveaux : 35 h s 58 h OO. : 38 h O0 d) Bandothèque d'exéczltion (chaines opérationnel). comptes d'exploitation 3 chaînes Analyse 1 chaîne financement domaines 1 chaîne Comptabilité domaines 2 chaînes bénéfice 1 chaîne 12 Comptabilité analytique 3 chaînes 1 chaîne S 1 chaîne 10 comptabilité analytique 3 chaînes 14 fin d'année 1 chaîne 3 chaînes 21 statistique popution = 1 chaîne 6 Calcul s cssement domaine 2 chaînes ll Comptabilité Tabacoop 1 chaîne 13 Comptabilité : Coop aliment bétail 2 chaînes 12 1 chaîne 14 légumes 21 chaînes 68 Soit : 49 chaînes d'e diminution considu juill 1970 avec possib du ngage Cobol avec mise en pce 360/25).
13 CIHEAM Options Mediterraneennes LES Un s tique nal. diffici ce type matique a cation tion elmême. 10 Cssement s domaines positifs possibilitédifféau niveau natio a longtemps e pnifi cte pnifica La cisification était indispensab, sans cssement en types l'occupation s sols, l'utilisation tels : efficience s capitaux, c... combinés s données tel que : tail s exploitations ; l'occupation au sol) ; ; c... Ces cssements e plus complète financement financement du sec ceux du l'exécution ce financement se sont Le mé s pns qui sont base l'évaluation s besoins, quota non seument globaux, mais en 3 données comptabilité : main ; mécanisation ; Ce type documents, m du financement, est qu'il constitue base dr s documents type moins géné plus adaptés aux spécifications chaque domaine plus compls qui sont Ce pn financement constitue en document essentiel fonctionnement Le pn financement déj appliqué constitue début pnification soup. pas moins, que fonc tionnement du domaine ainsi que ses difactivités doivent l'obj d' document dans l'état actuel du pensab fois comme gui indisl'exploitation elmême, comme tutel. Ce pn fonctionnement ne constitue pas au sens du pnification. constitue plutôt pn d'actions est essentielment document gestion. culqui constitue, lui, mination s objectifs qui pé s données consommation s potentialités s ités l'activité l'exploitation sous ses aspects : façons chaque spécution avec mention ( indicatif) ; temps Ces temps ne s'appliquent pas spécution mais calculés pn du domaine ; quantités d'apspécution. chaque Enfin, pn financement analogue celui cte campagne c ensemb. pn d'équipement fondé calculs besoins en ou moisson battage c... disponibilités existant égament calculé Ces documents ne doivent pas analysés dans l'état nos 1 connaissances comme absolue. comman e utilisation indicatif consistant essentielment en Ce luimême, adaptation. son affinement, dans bases d'e pnification C gestion s'effaçant avec compétents. sé techniques nous a tabilité cssique s activités, d'éléments statistiques indispensab ainsi qu'e connaissance s comp e l'au s el constitue l' s objectifs immédiats nismes déj avancés comptabilité l'aspect e 91
14 CIHEAM Options Mediterraneennes donc été ment ganismes ainsi que données. En sation égament calcul dans ce cas. a ces afin d'étaces ux difféest indispensab s 111. LACOMPTABILITÉDESORGA NISMES AGRICOLES DE SER VICES s spécialisés pose s mes actions que nous venons dans où faisait défaut. ces données complément indispensab même sont e s 6léments nécessaitant 'comptabilité s qu'aux analyses déj mentionnées. La décision a donc été l'action déj au niveau s exploitations s cofits s ou homogénéisés) a été possib. Enfin, e d'activités annexes tel : comptabilité s embalges ; aux clients ; appels cotisation ; s stocks ; automatique quotidien s caisses ; c... complète c ensemb, où comptabilité qu'e A actuel l'en sation s légumes est en voie même 'vitico, tabacoop, d'aliments du bétail c... La s eaux l'état 1,a spécution déj effectués, compte du Génie étendus l'ensemb du Sont enfin au sta tion : ; s légumes ; 92 Enfin cialisation étus Une fois cte l'ensemb du l'obj s achevée, s Les in sées e base soli IV. IMPLANTATION DU RÉSEAU INFORMATIQUE La elmême du inpose dans sa plusjuste sation. s tâches assignées cte technique, a donc dû soigneusement étudié. Une s instaltions nous stas distingués dans développement du système matique : phase test ; phase exécution ; phase développement. La phase test a été 360/20 étu s volumes, s s en ce sens qu'il intédéj été Les 360/20 4 bans 2 disques ité 16 ont donc été installés Annaba. étaient afin que locaux, conditionnement c... puissent aux dé Cte secon phase (3 s'explique fait qu'en l'état nos possibilités d'analyse mation, même que d'utilisation s documents plus s capacités gaspilge. L'objectif actuel est donc pin1 ces capacités avant phase 3 déj, s l'adjonction 360/25 2 disques 32 côté s 20 existants est fin d'annaba, en svolumesmoins son 20 en L'étape peut donc dé suivante : e synthèse au qui pn global s 3 (360/ 30) ; 3 (360/20 plus l'échelon individuel. Le choix 2 pite puissance plutôt qu' s'explique s applications. En ce l'étape actuel consiste en pas échappé pouvant solution Nous ne nous ayant e l'dgé La est que système développé va. disposer d'e série données indispensab. L'utilisation ces données au niveau comptab, statistique, pnification, gestion, économique, tout tement où condamne cloisonnements conduit e utilisation en fonction chivés dont synthese est au niveau La secon est qu'il sera compl. A (2 années l'application auto même que totalité bant ainsi toutes données au Ces décisions quel point développement en ce point avec dans l'absence ficultés d'enquête modifie situation. dif
La conception d'une architecture et d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen
La conception d'une architecture d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen Milieu vie, mo vie Paris : CIHEAM Options Méditerranéennes; n. 13 1972 pages 94-102 Artic avaib on line / Artic disponib
Plus en détailCOMPOSANT JOOMA_TIPI Une extension Joomla pour le paiement en ligne des factures de services publics locaux. Page n 1/24
COMPOSANT JOOMA_TIPI Une extension Joom factures de services publics locaux à Joom_Tipi Page n 1/24 30/03/2010 Page n 1/7 A PROPOS DE TIPI Qu'est-ce-que TIPI? TIPI est un service proposé par DGFIP (Direction
Plus en détailCloud. Personnel. Tout sur le. Travaillez, stockez, jouez et échangez dans le nuage
Cloud Tout sur le Personnel Travaillez, stockez, jouez et échangez dans le nuage Couverture : Rachid Maraï Dunod, Paris, 2013 ISBN 978-2-100-59009-4 Sommaire Avant- propos...vii 1. Qu est- ce que le Cloud?...1
Plus en détailLe BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA)
BTS Le BTS Sciences et Technologies s Aliments (STA) Qu est ce que l agroalimentaire? Définition: L'agroalimentaire désigne l'ensemble s activités transformation s produits l'agriculture stinés à l'alimentation
Plus en détailRÈGLEMENT 13 AFFAIRES ADMINISTRATIVES
NOTE : Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqar. La version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration. RÈGLEMENT
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailAgreement regarding monitoring of the stratosphere. Signed at Paris on 5 May 1976
No. 15500 FRANCE, UNITED STATES OF AMERICA and UNITED KINGDOM OF GREAT BRITAIN AND NORTHERN IRELAND Agreement regarding monitoring of the stratosphere. Signed at Paris on 5 May 1976 Authentic texts: French
Plus en détailNuméro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1
hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,
Plus en détailLe pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.
NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente
Plus en détailLe pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.
NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailDahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole.
Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. LOUANGE A DIEU SEUL! (Grand Sceau de Sa Majesté Mohammed
Plus en détailChapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION
Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o
Plus en détailN 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3
Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailÉtudes de cas d entreprises avec corrigés détaillés
MANAGEMENT SUP MARKETING - COMMUNICATION Études de cas d entreprises avec corrigés détaillés Claire Garcia Jean-Louis Martinez Dunod, Paris, 2013 ISBN 978-2-10-058816-9 Sommaire Avant-propos V Cas 1 MPO
Plus en détail* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani.
* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani. MINISTERE DE L'AGRICULTURE Par décret n 2013-4505 du 6 novembre 2013. Messieurs Ahmed Dhaoui et Khaled Gannouni,
Plus en détailSommaire Votre Compte Oligo........................... 4-5 Votre compte de dépôt au quotidien....... 6-9
Sommaire Page Votre Compte Oligo........................... 4-5 La rémunération des liquidités du Compte Oligo Les avantages du Compte Oligo Les prestations incluses dans le Compte Oligo La cotisation
Plus en détailComité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014
Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relatif à l obligation d audit énergétique Yann MENAGER
Plus en détail1 La société GIR. 2 La solution proposée
Gestion de la restauration scolaire, de l'accueil périscolaire, et des structures petite enfance. Gamme Sabine : Bornes «SabiProx» Tablettes «SabiTouch» Logiciel «SabiWeb» www.gir.fr 1 La société GIR La
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIÈRES
1 CONDITIONS PARTICULIÈRES DE PARTICIPATION AU PROGRAMME BONUS SURPRIZE just for you 2 3 1. Termes est un programme bonus développé par Viseca Card Services SA qui offre de nombreux avantages. Il est ainsi
Plus en détailwww.iwbank.fr Tél. : 00800.99.11.8888
COPIE POUR LA BANQUE p. 1/3 Je demande/nous demandons par la présente l'ouverture d'un -titres avec adjonction d'un courant. J'établis/nous établissons de ce fait une relation commercia avec IW Bank S.p.A.,
Plus en détailOuvrir dossier D appel
Ouvrir dossier D appel Table des matières 1. TRAITER UN APPEL... 3 1.1. ORGANISATION GENERALE D'UN SERVICE DESK... 3 1.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT... 4 2. PRISE EN CHARGE DE L'UTILISATEUR ET DE SON APPEL...
Plus en détailSystèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables
Caractérisation morphobiologique écologique d'une espèce pastorale de Tunisie présaharienne (Periploca angustifolia Labill.). Implications pour l'amélioration pastorale Ferchichi A. Systèmes sylvopastoraux.
Plus en détailDUT. Informatique, orientation Imagerie Numérique. Domaine : Sciences, Technologies, Santé. Mention : Informatique
DUT Informatique, orientation Imagerie Numérique Domaine : Sciences, Technologies, Santé Mention : Informatique Organisation : Institut Universitaire de Technologie Lieu de formation : Le Puy en Velay
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailETUDE SUR LES RESEAUX DE DISTRIBUTION DE CARBURANTS EN FRANCE MARS 2015
ETUDE SUR LES RESEAUX DE DISTRIBUTION DE CARBURANTS EN FRANCE MARS 2015 1 Caractéristiques de l étude et principaux résultats A la fin de chaque année, l UFIP réalise une étude sur les réseaux de distribution
Plus en détail- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE
- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.
Plus en détailExecutive MBA PRESS REVIEW. Bien plus que des savoirs
MBA PRESS REVIEW B E YO N D K N O W LE D G E Bien plus que s savoirs THE EXECUTIVE MBA 1365%) Montpellier (335%) Nice (24%) ou Rennes (21%) se distinguent ega ment EXECUTIVE MBA Former s ars positifs main
Plus en détailLes obligations de l'exploitant
Guide technique : Sécurité > Les obligations de l'exploitant > Les obligations de l'exploitant Les obligations de l'exploitant L exploitant assiste aux visites de la commission de sécurité, ou s y fait
Plus en détailUDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE
UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16
Plus en détailP h i l h a r m o n i s
Adoptez un nouveau rythme pour vos placements P h i l h a r m o n i s NOTE D INFO R M ATI O N C o n t rat Collectif d assurance sur la vie à adhésion facultative L e s c a r a c t é r i s t i q u e s d
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL. durable.
N 6240 l8 joumada l 14135 (2ï)-3 20i4} 2496 Dahir n 1-14-09 du 4 joumada l 1435 (6 mars 2014) portant promulgation loi cadre n 99-12 portant charte nationale l environnement du développement renforcer
Plus en détailAccueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!
Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry
Plus en détailSophie Calli es François Laurent
Sophie Calli es François Laurent Dunod, Paris, 2013 ISBN 978-2-10-060007-6 Pré face Le mar ke ting digi tal et le CRM, une vraie oppor tunité pour les TPE/PME Pour une petite ou moyenne entre prise, il
Plus en détailINFO MSA. Pour l'année 2013, le montant annuel de cette cotisation est fixé à 20 par exploitant.
Octobre 2013 INFO MSA Cotisant Solidaire : Les nouveautés législatives 2013 Comment est calculé votre cotisation? Les modes de paiement Régler vos cotisations par internet Les nouveautés législatives 2013
Plus en détailInstallation et Réinstallation de Windows XP
Installation et Réinstallation de Windows XP Vous trouvez que votre PC n'est plus très stable ou n'est plus aussi rapide qu'avant? Un virus a tellement mis la pagaille dans votre système d'exploitation
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailLes partenaires du projet EJE, qui réunit les organisations représentatives de la profession
Commentaires sur la Proposition de règlement du Parlement européen et du Conseil portant création d'une ordonnance européenne de saisie conservatoire des comptes bancaires, destinée à faciliter le recouvrement
Plus en détailCONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO
Stéphane GUILLET Né le 24/09/1973 Nationalité : FR 62219 LONGUENESSE FRANCE stephane.guillet@hotmail.fr tel : +33 (0)6 83 73 62 50 CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO Membre de l ISAP Nord : http://www.federation-isap.com
Plus en détailPROGRAMMES D INFORMATIQUE Cycle préparatoire de l enseignement de base
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTÈRE DE L ÉDUCATION & DE LA FORMATION DIRECTION GÉNÉRALE DES PROGRAMMES & DE LA FORMATION CONTINUE Direction des Programmes & des Manuels scolaires PROGRAMMES D INFORMATIQUE
Plus en détailNotre métier : Vous accompagner dans votre Projet
Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet Formation initiale en alternance (scolaire ou apprentissage) Formation continue FORMATION INITIALE > Bac Pro Bio Industries de Transformation Accéder x
Plus en détailBernard HAMM, Évelyne LAVOISIER
92 MAÎTRISE DE PROGICIELS DE GESTION DE BASES DE DONNÉES ET DE TRAITEMENT DE TEXTE Compte rendu d'un stage à l'usage des professeurs de sciences sociales. Ce stage a été programmé A la demande et avec
Plus en détailDéclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995)
Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995) Légende: Première déclaration d'assurance relative aux activités relevant du budget général. Depuis l'entrée en
Plus en détailCHAPITRE VII : CONTROLE ET SUPERVISION BANCAIRE
CHAPITRE VII : CONTROLE ET SUPERVISION BANCAIRE Pour assurer l'intégrité et la solidité du système bancaire, un contrôle permanent des banques et établissements financiers, notamment de leurs procédures
Plus en détailLe contrat d apprentissage
Mai 2009 contrats et mesures Le contrat d apprentissage Vous recrutez un jeune tout en bénéficiant d avantages financiers. Vous le préparez à un métier de votre entreprise et à une qualification professionnelle
Plus en détailProduits d'épargne et d'investissement. (Mars 2013) Dispositions Spécifiques au livret Épargne Orange
Conditions Générales Produits d'épargne et d'investissement (Mars 2013) SOMMAIRE Dispositions Communes 2 Dispositions Spécifiques au livret Épargne Orange 4 Dispositions Spécifiques au Compte à Terme 5
Plus en détailListe des Paramètres 2FC4...-1ST 2FC4...-1PB 2FC4...-1PN 2FC4...-1SC 2FC4...-1CB
Édi 07.2014 610.00260.50.650 Instrucs service d'origine Français Liste s Paramètres 2FC4...-1ST 2FC4...-1PB 2FC4...-1PN 2FC4...-1SC 2FC4...-1CB 1Liste s 1 Liste s Descrip s s 1.020 Fréquence minimale 1.021
Plus en détailCOMOS Operations. Exploitation efficace de sites industriels par une gestion intégrée. www.siemens.com/comos
Operations Exploitation efficace sites industriels par une gestion intégrée www.siemens.com/comos From integrated Engineering... to integrated Operations Intégration l ingénierie et l exploitation l usine
Plus en détailARRÊTÉ N 03320140128624. Vu la loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires ;
RÊTÉ N 0330128624 Le Présint du Centre Gestion la Giron, Vu la loi n 83-634 du 13 juilt 1983 modifiée portant droits et obligations s fonctionnaires ; Vu la loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant
Plus en détailSommaire. Le RSA, c est quoi? 4. Qui peut en bénéficier? 5. Mes droits. Mes obligations et engagements. La commission RSA 10
mode Notes Sommaire Le RSA, c est quoi? 4 Qui peut en bénéficier? 5 Mes droits l L allocation RSA l L accompagnement Mes obligations et engagements l Mes démarches d insertion l Mes démarches administratives
Plus en détailLoi fédérale sur la responsabilité civile des entreprises de chemins de fer et de bateaux à vapeur et de La Poste Suisse 1
Loi fédérale sur la responsabilité civile des entreprises de chemins de fer et de bateaux à vapeur et de La Poste Suisse 1 221.112.742 du 28 mars 1905 (Etat le 3 octobre 2000) L'Assemblée fédérale de la
Plus en détailQ. A quels produits s adresse ce document?
Licences F O R U M A U X Q U E S T I O N S Adobe Q. A quels produits s adresse ce document? Adobe Acrobat Adobe Font Folio Adobe Acrobat Distiller Server Adobe PageMaker Adobe After Effects Adobe Illustrator
Plus en détailResponsable marketing
l a b o î t e à o u t i l s du Responsable marketing Nathalie VAN LAETHEM Yvelise LEBON Béatrice Durand-MÉGRET Les QR codes et liens hypertexte permettant d accéder aux sites Internet proposés dans cet
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailProduits d'épargne et d'investissement. (14 avril 2015) Dispositions Spécifiques au livret Épargne Orange
Conditions Générales Produits d'épargne et d'investissement (14 avril 2015) SOMMAIRE Dispositions Communes 2 Dispositions Spécifiques au livret Épargne Orange 4 Dispositions Spécifiques au Compte à Terme
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen
Plus en détailCONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO
Stéphane GUILLET Né le 24/09/1973 Nationalité : FR 62219 LONGUENESSE FRANCE stephane.guillet@hotmail.fr tel : +33 (0)6 83 73 62 50 CONSULTANT FONCTIONNEL SENIOR SAP FI-CO Membre de l ISAP Nord : http://www.federation-isap.com
Plus en détailNOTE DE SERVICE DIRECTON GENEMLE ADJOINTE CHARGEE DES ENGAGEMENTS
NATURE DU TEXTE STRUCTURE EMETTRICE NO D'ORDRE DATE D'EMISSION NOTE DE SERVICE DIRECTON GENEMLE ADJOINTE CHARGEE DES ENGAGEMENTS A REPERTOIRE OBJET FINANCEMENT DE IA MISE EN VALEUR DES TERRES : CREATON
Plus en détailLA COMPTABILITE PATRIMONIALE. des milieux naturels et culturels : des différences mais une logique de base
LA COMPTABILITE PATRIMONIALE des milieu naturels et culturels : des différences mais une logique de base Des travau s'engagent, depuis quelques années, pour élaborer des comptabilités patrimoniales et,
Plus en détailpartenariat fructueux entre la pratique et le
01.01.2007 Seite 1 / 5 vise l excellence Officiellement ouvert le 1er janvier 2006 et opérationnel à 100 puisqu il accueille déjà des étudiants le Swiss Finance Institute SFI vise l excellence en matière
Plus en détailVers une cui si ne améliorée. Une étu de sur les cui si nes et les fo yers dans le ca dre du pro jet UNSO fo yers amé lio rés au Bur ki na Faso
Vers une cui si ne améliorée Une étu de sur les cui si nes et les fo yers dans le ca dre du pro jet UNSO fo yers amé lio rés au Bur ki na Faso Vers une cui sine améliorée Memorandum 1 Pu bli ca tion of
Plus en détailTITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT. CHAPITRE Ier Dispositions générales
Code du travail nouveau : TITRE III - PREVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT TITRE III PRÉVENTION DES RISQUES D'EXPOSITION AU BRUIT CHAPITRE Ier Dispositions générales SECTION 1 Définitions Art.
Plus en détailS T A T U T S. de l association D A N C E W I T H M E. : Nom et siège
S T A T U T S de l association D A N C E W I T H M E I : NOM - SIÈGE - BU T - COTISAT IONS Articl e 1 e r : Nom et siège Sous le nom de D a n c e w i t h m e il est constitué, pour une durée illimitée,
Plus en détailDigne de confiance. Règlement. Art. I. Dispositions générales Objet 1 Base 2 Formes particulières d assurance 3
Digne de confiance Édition 2012 Assurance obligatoire des soins Règlement Art. I. Dispositions générales Objet 1 Base 2 Formes particulières d assurance 3 II. III. IV. Rapport d assurance Personnes assurées,
Plus en détailRemboursement des frais de voyage officiel
Web EDH est disponible à: http://edh.cern.ch The Electronic Document Handling System Remboursement des frais de voyage officiel Version Web Quick Reference Guide Copies disponibles à http://edh.cern.ch/doc/
Plus en détailCâblage des prises... 122. Projets de câblage... 128. Plans de circuits... 138. TECHNIQUES ÉLÉMENTAIRES DE RÉNOVATION Revêtements de sol...
Tables des matières Le guide complet pour rénover sa maison Introduction.............. 7 PRINCIPES GÉNÉRAUX DE LA RÉNOVATION Apprendre à connaître sa maison.... 10 Codes du bâtiment et permis de construction...................
Plus en détailUNION INTERNATIONALE DES TELECOMMUNICATIONS BUREAU DE DEVELOPPEMENT DES TELECOMMUNICATIONS
UNION INTERNATIONALE DES TELECOMMUNICATIONS BUREAU DE DEVELOPPEMENT DES TELECOMMUNICATIONS CONFÉRENCE MONDIALE DE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS (CMDT-98) La Valette, Malte, 23 mars - 1 avril 1998
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailCor rigé. 1) Réalisez un diagnostic interne de l entre prise. La Grande Récré Cas 6. Matrice SWOT
La Grande Récré Cas 6 Cor rigé 1) Réalisez un diagnostic interne de l entre prise. Forces Matrice SWOT Fai blesses Posi tion ne ment : La Grande Récré a mis en place un réseau de conseillers dans les maga
Plus en détailManuel d utilisation JeResilieMonContrat.com. pour l agent
Manuel d utilisation JeResilieMonContrat.com pour l agent Version : V1.1 Référence : MU_JRMC_Agent Date : 02/03/2015 Sommaire 1 Introduction... 3 2 Inscription... 4 2.1 Vérification... 5 3 Authentification...
Plus en détailL'archivage à l'aurba. Guide mode d'emploi
L'archivage à l'aurba Guide mode d'emploi Sommaire : Le projet Archives de l'aurba Qu'est-ce que les archives Pourquoi archiver Quand archiver Que faut-il archiver A qui demander conseil Comment trier
Plus en détailUn exemple d étude de cas
Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui
Plus en détailLE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques
Plus en détailAvis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html
Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final
Plus en détailDECRET N 98-203 DU 11 MAI 1998 LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L'ETAT, CHEF DU GOUVERNEMENT,
AH.-. REPUBLIQUE DU BENIN PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE DECRET N 98-203 DU 11 MAI 1998 Portant statuts particuliers des corps des personnels des assurances. LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L'ETAT,
Plus en détailL'expérience acquise par la Corée dans la mise en œuvre de son programme d'équipement nucléo-énergétique
L'expérience acquise par la Corée dans la mise en œuvre de son programme d'équipement nucléo-énergétique par M. Byoung Whie Lee, Directeur, Bureau de l'énergie atomique. Ministère des sciences et de la
Plus en détailAides à Domicile. Projet de prévention pour les. 10 juin 2010. Journée de la Santé au Travail Agen
Comité Interentreprises pour la Santé au Travail de Lot-et-Garonne Projet de prévention pour les Aides à Domicile 10 juin 2010 Journée de la Santé au Travail Agen 1 Plan de l'exposé Avant-propos sur cette
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLe projet Chorus a été conçu pour doter. Chorus : résultats et perspectives
Danièle LAJOUMARD Inspecteur Général des Finances Chorus : résultats et perspectives Le projet Chorus destiné à permettre la mise en œuvre intégrale de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF)
Plus en détailDirectives sur les relations avec les gouvernements de fait
Directives sur les relations avec les gouvernements de fait Lors de sa 100ième session (septembre 2010), le Conseil d'administration, conformément à l'article 52 des Principes et critères en matière de
Plus en détailDCG 12. Anglais appliqué aux affaires
DCG 12 Anglais appliqué aux affaires en 17 fiches Françoise Cazenave Professeur en BTS et DCG avec la collaboration de Paul Larreya Collection «Express Expertise comptable» DCG J.-F. Bocquillon, M. Mariage,
Plus en détailRETRAITE AGRICOLE. Rencontre du 16 Janvier 2014 Hotel Hans am Weinberg, St MARTIN
RETRAITE AGRICOLE Rencontre du 16 Janvier 2014 Hotel Hans am Weinberg, St MARTIN Référent : Michael TRAUTH Social, Bauern und Winzerverband Rheinland Pfalz Süd Délégation 67 : Paul SCHIELLEIN Président
Plus en détailACTE D ENGAGEMENT LOT N 1
PREFET DU TERRITOIRE DE BELFORT CTE D ENGGEMENT LOT N 1 Il est passé un marché Référence de consultation : Site Internet des Services de l'etat dans Territoire de Belfort Entre la Préfecture du Territoire
Plus en détailles Moyens et coûts de l éducation Principes, méthodes et résultats pour les années 1999 à 2009 dossiers Le Compte de l éducation 199 [mai 2011]
les dossiers Moyens coûts de l éducation Le Compte de l éducation Principes, méthodes résultats pour les années 1999 à 2009 199 [mai 2011] les dossiers Ministère de l éducation nationale, de la jeunesse
Plus en détailRÈGLEMENT 52-109 SUR L'ATTESTATION DE L'INFORMATION PRÉSENTÉE DANS LES DOCUMENTS ANNUELS ET INTERMÉDIAIRES DES SOCIÉTÉS
RÈGLEMENT 52-109 SUR L'ATTESTATION DE L'INFORMATION PRÉSENTÉE DANS LES DOCUMENTS ANNUELS ET INTERMÉDIAIRES DES SOCIÉTÉS PARTIE 1 DÉFINITIONS, CHAMP D'APPLICATION ET DISPOSITION TRANSITOIRE 1.1 Définitions
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailCe document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE
MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d
Plus en détailRAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS INTERMEDIAIRES ARRETES AU 30 JUIN 2015
TUNIS, le 28 Août 2015 MESSIEURS LES ACTIONNAIRES DE LA SOCIETE GENERALE INDUSTRIELLE DE FILTRATION «GIF FILTER» SA Route de Sousse KM 35 GROMBALIA 8030 RAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS
Plus en détailRÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3
RÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3 Pour construire un graphique : On lance l assistant graphique à l aide du menu Insérer è Diagramme en ayant sélectionné au préalable une cellule vide dans
Plus en détailExigences internationales harmonisées pour la certification d un lot
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 Exigences internationales harmonisées pour la certification d un
Plus en détailCertificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»
Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27
Plus en détailMENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES
MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES Les spécialités : MASTER PROFESSIONNEL 00 Management des activités tertiaires () Management public : métiers de l administration territoriale ()
Plus en détail2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel
2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel Bernard ESPINASSE Professeur à l'université d'aix-marseille Plan Les Activités du GL Analyse des besoins Spécification globale Conceptions architecturale
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailPrésentation de l'entreprise
Présentation de l'entreprise Il n y a pas de bon port pour celui qui ne sait où il va! Présentation de JLS.ppt Présentation de l'entreprise Page : 1 Objectif et sommaire de la formation OBJECTIF : Comprendre
Plus en détailDestinataires d'exécution
Information Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises Service Gouvernance et gestion de la PAC Sous-direction Gestion des aides de la PAC Bureau des Soutiens Directs
Plus en détail