PRÉFECTURE DE LA DORDOGNE
|
|
- Julien Raymond
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRÉFECTURE DE LA DORDOGNE Direction régionale de l environnement, de l aménagement et du logement Nouvelle-Aquitaine Limoges, le 31 juillet 2017 Service Risques Naturels et Hydrauliques Département ouvrages hydrauliques Site de Limoges CS , rue des pénitents blancs LIMOGES Cedex Nos réf. : SRNH/DOH d-17- Vos réf. : / Affaire suivie par : Benoit GAZET-TALVANDE Tél Fax : Courriel : benoit.gazet-talvande@developpement-durable.gouv.fr RAPPORT DE PRÉSENTATION DU PROJET D ARRÊTÉ PRÉFECTORAL PORTANT RÉVISION DU RÈGLEMENT D EAU DE LA CHUTE DE TUILIÈRES La Dordogne est une rivière reconnue pour sa population de poissons migrateurs (saumon atlantique, anguille, alose, lamproie ). De ce fait, la continuité écologique au niveau de l aménagement de Tuilières est un enjeu majeur. Les modalités d exploitation et les aménagements nécessaires pour limiter l impact sont fixés notamment dans le règlement d eau associé à la chute de Tulières, en date du 14 novembre Depuis, de multiples études et de nouveaux équipements ont été réalisés, qui permettent de préciser ces conditions. La révision du règlement d eau de la chute de Tuilières a donc été décidée pour les intégrer. Le présent rapport a pour objet de présenter cette révision. 1. Le régime des concessions hydroélectriques La notion de règlement d eau Les dispositions législatives et réglementaires spécifiques aux installations hydroélectriques sont rassemblées dans le livre V du code de l Énergie. L hydroélectricité est réglementée par l État depuis la loi du 16 octobre 1919 relative à l utilisation de l énergie hydraulique, qui stipule que «nul ne peut disposer de l énergie des marées, des lacs et des cours d eau [ ] sans une concession ou une autorisation de l État» (article L du code de l énergie). Le régime des concessions hydroélectriques (installations dont la puissance maximale brute (PMB) est supérieure à 4,5 MW) transfère la charge des investissements, de la construction et de l exploitation d une installation hydroélectrique à un tiers qui se rémunère en tirant bénéfice de l exploitation des installations pendant toute la durée de la concession. En contrepartie, le concessionnaire verse une redevance, accorde des réserves en eau et en énergie. A l issue de la concession, les biens de la concession font retour à l État qui peut alors décider de renouveler la concession. Ces différentes obligations apparaissent dans le cahier des charges de la concession, qui lie le concessionnaire à l État et sont complétées par le règlement d eau prévu par l article L du code l énergie.
2 Son contenu est notamment fixé par l article R qui précise: «Le règlement d eau [ ] ne peut contenir, [ ], que les prescriptions individuelles nécessaires à la protection des intérêts mentionnés à l article L du code de l environnement ou que des prescriptions relatives aux moyens de surveillance, aux modalités des contrôles techniques et aux moyens d intervention en cas d incident ou d accident. Le règlement d eau fixe en particulier les conditions techniques applicables à l exploitation des ouvrages hydrauliques dans toutes les hypothèses connues et prévisibles et portant sur : les débits minimaux applicables, prise d eau par prise d eau, dans le respect de la plage, ou des plages, de débit fixée (s) dans le cahier des charges ; la vie piscicole ; les moyens d analyse, de mesure, de contrôle et de suivi des effets de l ouvrage sur l eau, le milieu aquatique ainsi que sur les autres usages de l eau ; les moyens d intervention en vue d assurer la protection des tiers en cas d incident ou d accident ; la suppression des embâcles et le dégrillage ; les modalités de gestion du transit sédimentaire ; le mode de restitution des eaux prélevées et la qualité des eaux restituées, notamment son oxygénation.» Ces règlements peuvent faire l objet de modifications, sans toutefois remettre en cause l équilibre général de la concession. 2. présentation de l aménagement de Tuilières Le barrage usine de Tuilières a été mis en service en Il est situé sur la Dordogne à 20 km à l amont de Bergerac (24) sur la route départementale D660 en direction de St-Capraise de Lalinde. L aménagement de Tuilières fait partie des trois aménagements hydroélectriques concédés du Bergeracois situés sur la Dordogne (de l amont vers l aval : Mauzac, Tuilières, Bergerac).
3 Description des ouvrages Le débit emprunté par l aménagement au cours d eau sert à la production électrique, mais aussi à assurer le fonctionnement des dispositifs de franchissement piscicole. Aussi le cahier des charges de la concession fixe son maximum à 420 m³/s. L aménagement, en exploitation courante, turbine au niveau de la centrale ou évacue au niveau des vannes du barrage à tout moment le débit du cours d eau tel qu il se présente afin de maintenir une cote de retenue constante. L aménagement comporte : un barrage mobile à passes déversantes, d une longueur de 105 m et d une hauteur de 19,30 m par rapport au terrain naturel ; chaque passe est équipée d une vanne. une usine de production hydroélectrique située en rive droite de la Dordogne de 120 m de longueur. La cote de Retenue Normale (RN) est à NGF (repère NGF actualisé) avec une superficie de la retenue de 75 ha et un volume de 5 millions de m³. La puissance maximale brute de l ouvrage est de 38,9 MW. Étant donné notamment les rendements des machines et le débit moyen turbinable, la production potentielle de cet ouvrage est d environ 130 GWh/an, ce qui correspond aux besoins d une ville de habitants.
4 Situation administrative L exploitation sous le régime de la concession de la chute de Tuilières a été attribuée à EDF SA par arrêté préfectoral du 15 avril L arrêté préfectoral du 14 novembre 2002 portant règlement d eau fixe les conditions d exploitation normale des ouvrages de la chute de Tuilières et complète les dispositions contractuelles figurant au cahier des charges. L article 18 du cahier des charges prévoit notamment la mise en œuvre de dispositifs de franchissement pour les poissons migrateurs. Des objectifs de franchissement sont fixés pour la montaison (taux de mortalité inférieur à 2%, taux de disponibilité supérieur à 90%). Pour la dévalaison, le cahier des charges prévoit la réalisation d études complémentaires pour déterminer l équipement à réaliser et les objectifs de franchissement. Il est requis un dispositif de franchissement mixte, c est-à-dire convenant à la fois aux anguilles et aux smolts (juvéniles de saumon). Un comité d experts a été créé en 2003 pour évaluer les propositions d EDF et analyser les résultats des suivis environnementaux menés au niveau de l ouvrage. En 2008, deux comités, un scientifique et un de pilotage, ont été créés par arrêté préfectoral pour remplacer le premier comité. 3. Analyse des conditions d exploitation actuelle et justification de la révision du règlement d eau Analyse de la problématique du franchissement piscicole La continuité écologique au niveau de l aménagement de Tuilières constitue un enjeu majeur. La Dordogne est effectivement une rivière reconnue pour sa population de poissons migrateurs (saumon atlantique, anguille, alose, lamproie ). Le bassin Gironde Garonne Dordogne est le seul bassin en Europe où sont présentes les 8 espèces migratrices d Europe de l Ouest. Par ailleurs, la vallée de la Dordogne a été classée Réserve de Biosphère par l UNESCO en La montaison A l origine le barrage était équipé d une passe à ralentisseurs en rive gauche. Jugée inefficace, un ascenseur à poissons a été installé en 1989, en rive droite de l usine. Cet ascenseur est couplé à une passe à bassins couverte de 60 m de long. La prise d eau de cette passe se trouve dans la chambre d eau, à 40 m environ en amont des grilles de l usine. L ancienne passe rive gauche a été transformée en passe à anguilles en 1999, et a été rénovée en C est lors de cette reconstruction que le nouveau système de dévalaison (masque guideau de surface) a été installé en amont de la prise d eau. Ces dispositifs sont considérés comme fonctionnels et relativement optimisés. La dévalaison La principale difficulté au niveau de cet aménagement concerne la dévalaison des poissons, et notamment celle des anguilles et des juvéniles de saumon (smolt). Un masque de surface («masque guideau») a été construit pour les smolts en 2008, à l occasion de la rénovation de l aménagement. Il s agit d une tôle métallique de surface, partiellement immergée en position subverticale sur un bâti situé en aval des groupes; elle permet de guider les saumons vers des exutoires en les conduisant au travers du barrage..l efficacité du dispositif «masque guideau» a été évaluée sur toutes ses configurations. Ce dispositif de surface n étant pas fonctionnel pour l anguille, des arrêts des turbines durant la nuit (de 6h à 18h), pendant une partie de la période préférentielle de dévalaison de l anguille sont réalisés. Justification de la révision du règlement d eau Lors d une réunion en préfecture de Dordogne le 18 juillet 2007, la solution suivante pour la dévalaison des migrateurs a été discutée et validée par le préfet :
5 pour le smolt : une structure métallique subverticale appelée «masque guideau», positionnée en surface, sous laquelle passe l eau turbinée, mais qui guide en surface les smolts vers les clapets supérieurs des orifices de dévalaison ; pour l anguille : des arrêts ciblés de turbinage les nuits les plus propices à la dévalaison. Le masque devait être évolutif et pouvoir ainsi recevoir un dispositif mixte de dévalaison s il s avérait inefficace. Sa mise en service des dispositifs a eu lieu en Les expérimentations sur les dispositifs de dévalaison ne devaient initialement durer que 2 ou 3 ans. Les conditions hydrauliques inhomogènes de la Dordogne d une part, et des essais d optimisation d autre part, ont conduit leurs poursuites jusqu en juin Après analyse du comité scientifique, les principaux résultats obtenus sont les suivants : pour l anguille, les arrêts de turbinage ciblés durant la période d octobre à février permettent d atteindre globalement un taux d échappement de 75 %. Ceci étant, le stock d anguilles dévalant en dehors de cette période est mal connu, pour les smolts, le même taux d échappement peut être atteint, à la condition que le clapet n 2 du barrage soit ouvert pour certaines gammes de débit. Lors du comité de pilotage du 14 novembre 2016, la révision du règlement d eau a été décidée par la préfète de la Dordogne avec pour objectifs: de fixer les objectifs en termes de mortalité piscicole pour considérer qu EDF a satisfait à l obligation du cahier des charges de la concession de mettre en place des dispositifs de franchissement piscicole ; de fixer les équipements et les modalités d exploitation de l aménagement pour que les objectifs puissent être tenus ; d engager le concessionnaire à poursuivre les études et expérimentations pour optimiser le franchissement piscicole, dans le respect de l équilibre de la concession. Dans ce contexte, le règlement d eau de l aménagement de Tuilières doit être mis à jour de façon à intégrer les dispositifs et protocoles d exploitation mis en œuvre depuis Afin d associer le plus grand nombre de personnes à cette révision, la préfète de la Dordogne a décidé de soumettre ce projet de règlement d eau à la procédure d enquête publique. 4. présentation du projet de règlement d eau Travaux préparatoires Sur la base du projet proposé par l autorité concédante, deux réunions de travail se sont tenues entre janvier et mars 2017, regroupant la DREAL Nouvelle-Aquitaine, la DDT de la Dordogne et le concessionnaire EDF. Elles ont permis d aboutir au projet présenté par le service instructeur lors d une réunion de concertation, sous la présidence de Madame la Sous-Préfète de Bergerac, élargie à l Agence de l Eau Adour-Garonne, l Agence Française de la Biodiversité, EPIDOR et l association MIGADO. L ensemble de ces réunions de concertation a permis d aboutir à un consensus et d élaborer le projet actuel. Organisation et contenu du projet Pour faciliter la lecture et l application du nouveau règlement d eau, celui-ci s appuie sur une organisation en plusieurs titres techniques : conditions de débits et niveaux d eau (titre II) : précise les éléments de fonctionnement de l aménagement en situation normale d exploitation et rappelle les dispositifs de mesure et de contrôle hydrologiques de l ouvrage.
6 sécurité des tiers (titre III) : précise les dispositions particulières applicables vis-à-vis de la sécurité des tiers. protection des milieux aquatiques (titre IV) : fixe les objectifs en termes de mortalité piscicole et définit les dispositifs de franchissement piscicole, précise les conditions d entretien de ces dispositifs, demande de poursuivre les expérimentations pour améliorer le franchissement, dans le respect de l équilibre de la concession, précise le périmètre de réalisation des suivis écologiques et fixe les échéances des bilans attendus. concertation locale (titre V) : définit le rôle du comité d experts conformément au cahier des charges de la concession. mesures techniques d entretien (titre VI) : précise les conditions particulières d exploitation nécessaires à l entretien technique des aménagements. Commentaires sur le titre IV (articles 8 et 9) Les articles du titre IV permettent d inscrire dans un texte réglementaire l ensemble des dispositifs novateurs mis en œuvre depuis 2009 pour assurer le franchissement piscicole des saumons et des anguilles. Le règlement d eau fixe, dans ses articles 8 et 9, les objectifs en termes de mortalité piscicole permettant de considérer que le concessionnaire a satisfait à l obligation du cahier des charges de la concession de mettre en place des dispositifs de franchissement : «un taux de disponibilité de chaque équipement de franchissement supérieur à 90 % sur les périodes concernées (du 1er mars au 31 décembre) pour l ouvrage, excepté en période de forte hydraulicité ; un objectif de dommage admissible lié à la mortalité dans le dégrilleur aval de la passe à bassins de l ascenseur de montaison fixé à 2 %. un objectif de dommage admissible lié à la mortalité des smolts lors de la dévalaison de l ordre de 3 %, soit un taux de passage résiduel dans les turbines de 25 % et une efficacité du masque minimale de 75 %, un objectif de dommage admissible lié à la mortalité des anguilles lors de la dévalaison de l ordre de 10 %, soit un taux de passage résiduel dans les turbines de 25 % et un taux d échappement par le barrage de 75 %.» Il précise dans son article 8 les équipements et les modalités d exploitation de l aménagement permettant de tenir les objectifs définis précédemment. À échéance fin 2018, le règlement d eau définit la liste des propositions devant être formulées par le concessionnaire en ce qui concerne : les objectifs d efficacité des dispositifs de montaison en fonction des espèces cibles, les conditions permettant la dévalaison des autres espèces cibles que le saumon, les équipements permettant la dévalaison des autres espèces cibles que l anguille. Il précise les conditions de mise en œuvre des modalités d exploitations expérimentales ou des compléments d aménagements dans le souci d améliorer le franchissement piscicole. En effet, les études ou expérimentations engagées depuis plusieurs années seront poursuivies pour rechercher le meilleur compromis entre la production énergétique et la continuité écologique dans le respect de l équilibre de la concession.
7 Elles porteront notamment sur l amélioration de l efficacité du masque guideau pour la dévalaison des smolts, la connaissance de la proportion d anguilles dévalant en dehors de la période d arrêt de turbinage actuelle et l amélioration des conditions de montaison des espèces piscicoles cibles. L article 9 définit les suivis environnementaux mis en place permettant de vérifier l efficacité des dispositifs de franchissement et l atteinte des objectifs fixés incluant un bilan annuel présenté chaque année par le concessionnaire. Commentaires sur le titre V (article 10) Le cahier des charges de la concession (art. 18) prévoit explicitement l institution d un comité d experts. Le projet de règlement d eau s appuie donc sur ce point pour instituer un comité d experts, dont le rôle est d analyser les résultats du suivi environnemental et des expérimentations menés par le concessionnaire. Il donne son avis au préfet sur le programme prévisionnel des expérimentations prévues à l article (amélioration du franchissement) du projet de règlement d eau. Il est précisé que le rôle du comité d experts est technique et non gestionnaire ou décisionnel et que ses membres sont nommés en raison de leur compétence et non de leur appartenance. 5. consultations approbation du projet de révision de règlement d eau Le projet d arrêté préfectoral portant révision du règlement d eau est soumis à enquête publique sur décision de la préfète de la Dordogne. Une consultation administrative sera réalisée dans le même temps. Après prise en compte des résultats de ces consultations, il sera soumis à l avis du CODERST de la Dordogne. Avant de statuer, le concessionnaire sera consulté sur le projet de décision du préfet.
Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailHYDROELECTRICITE ARIEGEOISE
HYDROELECTRICITE ARIEGEOISE LES ENJEUX INSUFFISAMMENT CONNUS D UNE FILIERE PRESENTES PAR LA CCI LE 21 AVRIL DERNIER Parce que l histoire économique de l Ariège est étroitement liée à celle de la valorisation
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailI. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers :
Fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains établissements publics ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés à risque les plus sensibles I. Description
Plus en détailAvis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»
Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant
Plus en détailPREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE
PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailServices et immeubles d'etat Justice, Police, Administration...
Services et immeubles d'etat Justice, Police, Administration... Hôtel de Police La Rochelle (17) Construction d un hôtel de police Maître d Ouvrage: SGAP Sud Ouest Mission: Programmation (2013) Sous préfecture
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailL ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE.
L ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE. I. PRINCIPE L énergie hydroélectrique nécessite un cours d eau ou une retenue d eau. La centrale exploite l énergie potentielle créée par le dénivelé de la chute
Plus en détailACCORD SUR LE DROIT DES INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL ET DES ORGANISATIONS SYNDICALES DE LA CAISSE D EPARGNE AQUITAINE POITOU-CHARENTES
ACCORD SUR LE DROIT DES INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL ET DES ORGANISATIONS SYNDICALES DE LA CAISSE D EPARGNE AQUITAINE POITOU-CHARENTES ENTRE LES SOUSSIGNES : La Caisse d Epargne Aquitaine Poitou-Charentes,
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI
ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI PREAMBULE Pour répondre à la continuité du service que l entreprise doit assurer à ses clients, certaines activités pour certains rôles ou fonctions, recourent à
Plus en détailRecommandation sur la commercialisation des comptes à terme
Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme 2012-R-02 du 12 octobre 2012 1 Contexte Dans le cadre de son action de veille sur la publicité et les nouveaux produits, l ACP a constaté sur
Plus en détailLes mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France
Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement
Plus en détailERDF prend le virage technologique des Smart Grids
Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film
Plus en détailEOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation
EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales
Plus en détailInformation de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur
Information de l acquéreur ou du locataire Obligations du vendeur ou du bailleur Introduction La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailPROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010
PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 Les enjeux de l accession sociale PREAMBULE DANS LE CADRE DES ORIENTATIONS DEFINIES PAR LE PROTOCOLE D ACCORD D NATIONAL INTERPROFESSIONNEL ET
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailUne banque démarre son activité sans un euro de dépôt
Une banque démarre son activité sans un euro de dépôt INTRODUCTION Le cas présenté ci-après permet de comprendre le fonctionnement général d une banque mais reste un cas d école purement théorique. Imaginons
Plus en détailCHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS,
CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS, ( Le système ÉLECTRIQUE français Le nouveau groupe de production qui serait implanté à Flamanville s inscrit dans l ensemble du système électrique français dont
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailPLAN DE GESTION ANGUILLE DE LA FRANCE
PLAN DE GESTION ANGUILLE DE LA FRANCE Application du règlement R(CE) n 1100/2007 du 18 septembre2007 VOLET NATIONAL 3 février 2010 1 INTRODUCTION 5 I. PRESENTATION DES UNITES DE GESTION ANGUILLE (UGA)..
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailSYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges
SYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges Origine du projet et création du SYTEPOL Face à des difficultés d approvisionnement en eau potable constatées sur le Sud- Ouest du Département
Plus en détailAoût 2014. Résumé de l étude d impact sur l environnement
Août 2014 Aménagement hydroélectrique communautaire de la Onzième Chute de la rivière Mistassini Résumé de l étude d impact sur l environnement TABLE DES MATIÈRES 1- La Société 5 2- Description du projet
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailLES CONVENTIONS DE FINANCEMENT DES
LES CONVENTIONS DE FINANCEMENT DES MESURES FONCIERES ET DES MESURES SUPPLEMENTAIRES PRESCRITES PAR LES PLANS DE PREVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES (P.P.R.T.) GUIDE DE REDACTION MINISTERE DE L ECOLOGIE,
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Élaboration du volet «éolien» du schéma régional du climat, de l air et de l énergie DREAL Nord Pas de Calais Service ECLAT CCTP volet éolien du SRCAE page 1
Plus en détailProjet de Plan de Prévention du Bruit dans l Environnement (P.P.B.E) des infrastructures de transports terrestres nationales
PREFET DE LA LOZERE Direction Départementale des Territoires de la Lozère DEPARTEMENT DE LA LOZERE Projet de Plan de Prévention du Bruit dans l Environnement (P.P.B.E) des infrastructures de transports
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détailMANDAT DE SYNDIC (no.. )
MANDAT DE SYNDIC (no.. ) Syndicat des Copropriétaires - RESIDENCE - Contrat type prévu à l article 18-1 A de la loi n 65-557 du 10 juillet 1965 modifiée fixant le statut de la copropriété des immeubles
Plus en détailNOUVEL AMENAGEMENT HYDROELECTRIQUE ROMANCHE GAVET (38).
NOUVEL AMENAGEMENT HYDROELECTRIQUE ROMANCHE GAVET (38). Gavet : entrée de la future centrale EDF C. Huret EDF C. Huret Livet : barrage prise d eau Fenêtre des Ponants : entrée des tunneliers EDF C. Huret
Plus en détailCréation d une base de données sur les ouvrages hydrauliques à l échelle du bassin versant de la Vilaine
UNIVERSITE RENNES 2 HAUTE-BRETAGNE Département de Géographie Master 2 Géographie et Aménagement Spécialité Gestion Spécialité de Gestion l Environnement de l Environnement Création d une base de données
Plus en détailAccidents trajet et mission
A.S.P.E.49 ASRE 49, BP 31844, 49018 Angers Cedex asre.49@laposte.net, http://www.asre49.fr Accidents trajet et mission CLUB ASRE49, 21/06/2013 Date: xx/xx/2010 Issue: 1 page: 1/20 www.asre49.fr A.S.P.E.49
Plus en détailMARDI 3 JUILLET 2007 à 15 H 00. À la Salle Polyvalente de Ravières
Tonnerre, le 25 juin 2007 N/Réf. : MD/RLC/CR/DB/07-0274 Objet : Réunion du Comité Syndical Madame, Monsieur, J ai l honneur de vous demander de bien vouloir assister à la réunion du Comité Syndical qui
Plus en détailGERER SON BUDGET 1- LE BUDGET
D1 GERER SON BUDGET 1- LE BUDGET 1- Analyse de la situation. Caroline, 26 ans, a sélectionné un séjour en Espagne d un montant de 420 tout compris, pour ses vacances du 1 er au 15 aout. Elle devra régler
Plus en détailLes mesures pour relancer la construction de logements
Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailDECISIONS A L ORDRE DU JOUR :
PROCES VERBAL DE LA SEANCE DU BUREAU DE LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU 20 SEPTEMBRE 2007 Le Bureau de la Communauté d Agglomération du Haut Val-de-Marne, légalement convoqué le 14 septembre 2007, conformément
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DES PRETS POUR LE LOGEMENT LOCATIF SOCIAL AVEC PREFINANCEMENT - DUREE AJUSTABLE
www.caissedesdepots.fr DIRECTION REGIONALE UNDEFINED Fascicule LSPA 04-01 CONDITIONS GENERALES DES PRETS POUR LE LOGEMENT LOCATIF SOCIAL AVEC PREFINANCEMENT - DUREE AJUSTABLE ARTICLE 5 - DEFINITIONS La
Plus en détailMECANISME DE CAPACITE Guide pratique
MECANISME DE CAPACITE Guide pratique SOMMAIRE 1 Principes... 4 2 Les acteurs du mécanisme... 5 2.1 Les acteurs obligés... 5 2.2 Les exploitants de capacité... 5 2.3 Le Responsable de périmètre de certification...
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailL investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM
L investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM Etat des lieux de l investissement participatif en France Du simple placement individuel au portage de projet Les
Plus en détailCAHIER DES CHARGES de la formation : «Excel pour les bibliomètres»
Direction de la Valorisation Information Scientifique et Technique (DV-IST) Pôle Bibliométrie. CAHIER DES CHARGES de la formation : «Excel pour les bibliomètres» Dossier suivi par : Monique Legentil-Galan
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailSéparation, rupture. Séparation, rupture de la vie commune. Comment. ma? mapeut-elle. Bon à savoir
? Séparation, rupture Séparation, rupture de la vie commune? Comment ma? mapeut-elle banque m accompagner?? Bon à savoir 2 NOTES Édito Chère cliente, cher client, Nous nous connaissons peut-être depuis
Plus en détailSOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3
SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3 1.1 PORTEE DU PPR... 3 2. EXPLICATIONS CONCERNANT LES REGLES DE CONSTRUCTION UTILISEES DANS LE REGLEMENT... 5 2.1 FAÇADES EXPOSEES... 5 2.2 HAUTEUR PAR RAPPORT
Plus en détailautonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.
INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité du portage salarial et s applique aux personnes titulaires d un contrat de travail en
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT
STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un
Plus en détailNextStage. Un placement bloqué jusqu au 31/12/2019 (et au 31/12/2022 maximum sur décision de la société de gestion)
NextStage Un placement bloqué jusqu au 31/12/2019 (et au 31/12/2022 maximum sur décision de la société de gestion) FIP éligible à la réduction d ISF ou d IR Code ISIN : FR0011429505 NextStage soutient
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailRéserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels
Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels 2014 La Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels Initié en 2009
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR
ACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR 72, rue du Faubourg Saint - Honoré 75008 PARIS Tél : 01.46.10.43.80 Fax : 01.47.61.14.85 www.astreeavocats.com Xxx Enjeux Cahier des
Plus en détailLa filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.
La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement
Plus en détailMise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville
CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe
Plus en détailCONVENTION DE PORTAGE FONCIER AGENCE FONCIÈRE DE LOIRE-ATLANTIQUE COMMUNE / EPCI DE.
CONVENTION DE PORTAGE FONCIER AGENCE FONCIÈRE DE LOIRE-ATLANTIQUE COMMUNE / EPCI DE. 1 / 10 ENTRE : L AGENCE FONCIERE DE LOIRE-ATLANTIQUE, Etablissement Public à caractère industriel et commercial dont
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailDEMANDE D AGRÉMENT D EXPLOITATION D UN ÉTABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT, À TITRE ONÉREUX, DE LA CONDUITE DES VÉHICULES À MOTEUR ET DE LA SÉCURITE ROUTIÈRE
DIRECTION DE L ACCUEIL DU PUBLIC, DE L IMMIGRATION ET DE LA CITOYENNETE Service de la citoyenneté, de la circulation et des professions réglementées Bureau des usagers de la route PRÉFET DU VAL D OISE
Plus en détailFormation professionnelle des personnes détenues
Appel à projets 2013 Formation professionnelle des personnes détenues Fonds Social Européen Programme opérationnel «Compétitivité régionale et Emploi» 2007/2013 Axe d intervention 3.2.1 Soutenir les publics
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailCaisse de pension et propriété du logement/
Encouragement à la propriété du logement (EPL) Caisse de pension et propriété du logement/ Versement anticipé et mise en gage des avoirs issus du 2 e pilier Table des matières Mobilisation des capitaux
Plus en détailCIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE
CIRCULAIRE CDG90 11/12 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations
Plus en détailCirculaire relative à la négociation dans la fonction publique NOR : BCRF1109888C
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l Etat Circulaire relative à la négociation dans la fonction publique NOR : BCRF1109888C Le 22
Plus en détailDELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA
DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA MODIFICATION DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailNOTE 001. Le site Web EGRIAN
NOTE 001 Date : 30 janvier 2007 AGGLOMERATION DE NEVERS Hubert Couprie Tél. : 03 86 68 46 52 hubert.couprie@ville-nevers.fr MANDATAIRE DE L ÉTUDE : MINEA Alain Mausset Cécile Bouillet Téléphone : 01 42
Plus en détailAVIS. VU le code des juridictions financières, notamment ses articles L. 232-1 et R. 232-1 ;
SYNDICAT DE PROMOTION DE L INTERCOMMUNALITE SPORTIVE (Maine-et-Loire) Article L. 1612-5 du code général des collectivités territoriales Déséquilibre réel du budget 2012 Rapport n 2012-0072 Séance du 9
Plus en détailCirculaire du 15 novembre 2012 relative à la mise en application du décret n o 2012-189 du 7 février 2012 relatif aux commissions de suivi de site
Prévention des risques MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Direction générale de la prévention des risques Service des risques technologiques Sous-direction des risques chroniques
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
TEXTE ADOPTÉ n 40 «Petite loi» ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 21 novembre 2012 PROJET DE LOI relatif à la mise en œuvre du principe
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS
PROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS Le présent protocole d accord crée un Compte Epargne Temps au sein de SGS et en définit les règles de fonctionnement et de gestion. Ce dispositif s
Plus en détailDES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE
MSHP MODULE D ORIENTATION DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE Réalisé en mai 2012 avec l appui
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailDescriptif du projet
Novembre 2014 Titre du projet Projet nouveau Descriptif du projet Apprentissage en Agriculture en Aquitaine Projet récurrent Année et session concernées Janvier 2015 Organisme demandeur AREFA Association
Plus en détailLA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ
JEUX DU COMMERCE 2008 CAS COMPTABILITÉ FINANCIÈRE LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ Éric Déry, CA, MBA Département des Sciences comptables Université du Québec à Trois-Rivières 2007 Toute reproduction, en
Plus en détailCOMPTE EPARGNE-TEMPS. En application du décret n 2002-634 du 29 avril 2002 portant création du CET dans la fonction publique de l Etat 1/11
COMPTE EPARGNE-TEMPS En application du décret n 2002-634 du 29 avril 2002 portant création du CET dans la fonction publique de l Etat 1/11 PRESENTATION GENERALE DU DISPOSITIF SOMMAIRE I. CADRE GENERAL
Plus en détaildénommé ci-après le «propriétaire», dénommé ci-après le «gestionnaire», Vu l objet de la Résidence Sociale tel que défini à l annexe I ;
CONVENTION N...... CONCLUE ENTRE L ETAT, L ORGANISME PROPRIETAIRE, L ORGANISME GESTIONNAIRE EN APPLICATION DE L ARTICLE L.353.2 DU CODE DE LA CONSTRUCTION ET DE L HABITATION PORTANT SUR LES RESIDENCES
Plus en détail