«L avantage HLM» dans un modèle prélèvements-prestations

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "«L avantage HLM» dans un modèle prélèvements-prestations"

Transcription

1 «L avantage HLM» dans un modèle prélèvements-prestations Marie-Cécile Cazenave, Patrick Domingues et Augustin Vicard DREES modèle Ines Travaux très préliminaires 5/28/2013 1

2 Plan A. «L avantage HLM» : définition et description B. Méthode d imputation dans Ines C. Premiers résultats 5/28/2013 2

3 «L avantage HLM» Si les locataires HLM n occupaient pas un logement social, ils devraient se loger dans le parc privé et payer un loyer supérieur L avantage HLM perçu par le ménage logé dans le parc social correspond à la différence entre : le loyer modéré - qu il acquitte et le loyer de marché qu il acquitterait s il était logé dans le parc privé 5/28/2013 3

4 L avantage HLM en chiffres En 2011, avantages HLM = 12,6 milliards d'euros à comparer aux 16,4 milliards d'euros des aides personnelles au logement (comptes du logement, Soes) A caractéristiques comparables, loyers du parc social 40 % plus faibles que dans le privé (entre 1984 et 2006, comptes du logement, Soes) 5/28/2013 4

5 Avantage HLM : Littérature et Contribution étudié dans la littérature (Trevien, 2012 / Soes, 2012) mais rarement intégré aux modèles de microsimulation prélèvementsprestations (exception : Beffy et al., 2010) Contribution : l intégration au modèle Ines permet de : Faire des variantes en intégrant l avantage HLM dans le niveau de vie des ménages concernés Comparer son rôle solvabilisateur et redistributif à celui des aides personnelles au logement Micro-simuler des modifications de la politique de fixation des loyers dans le parc social (ex : surloyers) 5/28/2013 5

6 Module logement d Ines Plus largement : intégration d un module logement dans le modèle Ines : Locataires du parc privé : loyers nets, charges locatives Locataires du parc social : loyers nets, charges, avantage HLM Propriétaires accédants : loyers fictifs, charges, intérêts d emprunt, taxe foncière Propriétaires non-accédants : Loyers fictifs, charges, taxe foncière 5/28/2013 6

7 Plan A. «L avantage HLM» : définition et description B. Méthode d imputation dans Ines C. Premiers résultats 5/28/2013 7

8 Méthode d imputation 1 Choix de l enquête source : SRCV 2009 vs. enquête logement (ENL) Imputation d un loyer de marché aux locataires du social dans l enquête source (SRCV 2009) 3 Pseudo-appariement de l enquête source et de ERFS 2009 / Ines 2011, pour trouver un ménage donneur pour chaque ménage d Ines 5/28/2013 8

9 Étape 1. Choix de l enquête : SRCV 2009 vs. ENL 2006 SRCV ENL Données annuelles oui non Nombre d'observations (base ménage) Proximité avec ERFS Richesse des informations sur le logement /28/2013 9

10 Étape 2 : Imputation d un loyer de marché aux locataires du social dans SRCV Locataires du parc privé Centiles de loyers prédits Donneurs Imputation de loyers de marché Locataires du parc social Centiles de loyers prédits Receveurs 5/28/

11 Étape 2.a : régression de loyer Variable expliquée : loyer net (en log) Tableau. Variables explicatives Caractéristiques du logement Caractéristiques des ménages occupant Surface (en log), nb de pièce, typo Tabard, taille de l'unité urbaine, zone urbaine sensible, ZEAT de résidence, date d'achèvement Ancienneté d occupation, revenu total, type de ménage Note : une équation de loyers est estimée séparément pour chaque type d habitation : maisons et appartements 5/28/

12 Étape 2.a : régression de loyer Regression Appartements Maisons R² 0,51 0,53 nb obs les R² issus de nos régressions sont légèrement inférieurs à ceux trouvés dans la littérature utilisant l ENL (compris entre 0,56 et 0,61) 5/28/

13 Étape 2.b : construction loyers prédits Densité Parc privé Parc Social Densité Parc privé Parc Social Fitted values Fitted values Comparaison des loyers prédits (en log) (sur l échantillon des appartements) Comparaison des loyers prédits (en log) (sur l échantillon des maisons) 5/28/

14 Étape 2.c : imputation des loyers Hot-deck par strates Strate : centile de la distribution des loyers prédits Tirage aléatoire au sein de chaque strate d un donneur (parmi les locataires du privé) pour chaque locataire du social Le locataire du social reçoit son loyer du donneur Donc : un loyer de marché pour chaque locataire du social 5/28/

15 Étape 2.c : imputation des loyers Si le loyer de marché est plus faible que le loyer du social (17% des observations), on modifie le loyer de marché Distribution des loyers imputés finaux en fonction des sources utilisées Provenance de l'information loyer imputé final loyer modéré actuellement acquitté 9 % loyer de marché prédit (sans résidu) 8 % loyer imputé initial 83 % Total 100 % 5/28/

16 Distribution de l avantage HLM Avantage HLM par tranche de 50 euros % /28/

17 Avantage HLM : comparaison avec la littérature Montant mensuel Avantage HLM moyen 206 Avantage HLM moyen (Trevien, 2012) 261 Avantage HLM pour un logement de 70m² (Soes, 2012) 204 Avantage HLM (Beffy et al., 2010) 150 5/28/

18 Plan 1 Choix de l enquête source : SRCV 2009 vs. enquête logement (ENL) Imputation d un loyer de marché aux locataires du social dans l enquête source: SRCV Pseudo-appariement de l enquête source et de ERFS 2009 / Ines 2011, pour trouver un ménage donneur pour chaque ménage d Ines 5/28/

19 Étape 3 : Pseudo-appariement de SRCV et Ines pour trouver un ménage donneur pour chaque ménage d Ines Locataires base SRCV Centiles de loyers prédits Donneurs Imputation de loyers de marché, charges, [avantage HLM] Locataires base ERFS/Ines Centiles de loyers prédits Receveurs 5/28/

20 Comparaison des loyers mensuels Ines / SRCV Densité INES SRCV Densité INES SRCV Loyer mensuel Loyer mensuel Parc privé Parc social 5/28/

21 Comparaison de l avantage HLM Ines / SRCV Densité INES SRCV Loyer mensuel 5/28/

22 Loyers et ZUS Loyers et statut d activité Non ZUS Actif occupé Chômeur Etudiant ZUS Autre Loyer moyen mensuel Loyer moyen mensuel Comparaison des loyers moyens mensuel imputés entre Zones Urba Sensibles et autres Zones Comparaison des loyers moyens mensuel imputés selon le statut de la personne de référence 5/28/

23 Plan A. «L avantage HLM» : définition et description B. Méthode d imputation dans Ines C. Premiers résultats 5/28/

24 Nombre de ménages locataires par décile de niveau de vie (en milliers) 5/28/

25 Répartition de la masse versée au titre des deux avantages par décile de niveau de vie (en %) 5/28/

26 Masse totale versée par décile de niveau de vie (en Mds ) 5/28/

27 Prolongements envisagés Tenir compte de la «surconsommation» de logement liée à l occupation d un logement social Imputation multiple pour mesurer la sensibilité de nos résultats à la procédure d imputation Hot-deck par plus proche voisin 23/05/

28 MERCI DE VOTRE ATTENTION 5/28/

29 ANNEXES 5/28/

30 PRÉCISIONS SUR LA MÉTHODE DE PSEUDO- APPARIEMENT ENTRE SRCV ET INES 5/28/

31 Étape 3.a : régression de loyer Seuls les Xi communs entre SRCV et ERFS/Ines sont sélectionnés Note : on estime séparément une équation de loyers, pour : locataires privé / appartement locataires privé / maison locataires social / appartement locataires social / maison 5/28/

32 Étape 3.b : construction loyers prédits Density Density Fitted values Density: INES Density: SRCV Fitted values Density: INES Density: SRCV Loyer prédit appartement (parc privé) Loyer prédit maison (parc privé) 5/28/

33 Étape 3.b : construction loyers prédits Density Density Fitted values Density: INES Density: SRCV Fitted values Density: INES Density: SRCV Loyer prédit appartement (parc social) Loyer prédit maison (parc social) 5/28/

34 Étape 3.c : imputation des loyers Hot-deck par strates Strate : centile de la distribution des loyers prédits Tirage aléatoire au sein de chaque strate d un donneur (parmi les locataires de SRCV) pour chaque locataire d ERFS/Ines Le locataire d ERFS/Ines reçoit de son donneur: - loyer mensuel net, loyer mensuel y.c. charges au sens large - avantage HLM calculé en Etape 1.d (pour les locataires du social) 5/28/

35 GRAPHIQUES DE COMPARAISON SRCV/INES : LIENS ENTRE LOYER ET AUTRES CARACTÉRISTIQUES 5/28/

36 Loyers et âge 16/35 36/45 46/55 56/65 66/ Loyer moyen mensuel Comparaison des loyers moyens mensuel imputés par tranche d âge de la personne de référence 5/28/

37 Loyer et type de logement Appartement Maison Loyer moyen mensuel Comparaison des loyers moyens mensuel imputés entre appartements et maisons 5/28/

38 Loyer et nb pers. du logement 1 pers. 2 pers. 3 pers. 4+ pers Loyer moyen mensuel 5/28/

39 Loyer et nationalité Français UE Autre Loyer moyen mensuel 5/28/

40 Loyer et tranche urbaine Rural < Paris Loyer moyen mensuel 5/28/

41 Loyer et configuration familiale Célib. Fam. monop. Couples ss enf. Couples avec enf. Complexe Loyer moyen mensuel 5/28/

42 RÉSULTATS COMPLÉMENTAIRES SUR L AVANTAGE HLM 5/28/

43 Masse totale versée par décile de niveau de vie aux locataires du parc social (en M ) 5/28/

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de

Plus en détail

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,

Plus en détail

Définitions. Définitions sur le logement

Définitions. Définitions sur le logement Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons

Plus en détail

La prise en compte des revenus du patrimoine dans la mesure des inégalités

La prise en compte des revenus du patrimoine dans la mesure des inégalités REVENUS / NIVEAUX DE VIE La prise en compte des revenus du patrimoine dans la mesure des inégalités Alexandre Baclet* et Émilie Raynaud** En France, la mesure de référence des inégalités de revenus s appuie

Plus en détail

Revenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)

Revenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%) Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité

Plus en détail

LE REGIME FISCAL DES LOCATIONS MEUBLEES

LE REGIME FISCAL DES LOCATIONS MEUBLEES LA FISCALITÉ DES LOCATIONS EN MEUBLES Article juridique publié le 21/03/2013, vu 10039 fois, Auteur : ASCENCIO Jacques LE REGIME FISCAL DES LOCATIONS MEUBLEES I - L IMPOT SUR LE REVENU A la différence

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION

NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui

Plus en détail

Evaluation des politiques sociales et fiscales. Modèles de micro simulation: un outil d aide daide à la décision et d évaluation ex ante

Evaluation des politiques sociales et fiscales. Modèles de micro simulation: un outil d aide daide à la décision et d évaluation ex ante Modèles de micro simulation: un outil d aide daide à la décision et d évaluation ex ante Le cauchemar du décideur (économique, politique) Problématique Politiques économiques, sociales, fiscale est un

Plus en détail

Fiche pratique : demi-part fiscale & APL

Fiche pratique : demi-part fiscale & APL Paris, le mercredi 25 août 2010 Fiche pratique : demi-part fiscale & APL Délégation générale représentation representation@pde.fr 06 64 69 67 73 1 1. Demi part fiscale et impôt sur le revenu La notion

Plus en détail

Les actifs financiers les plus couramment

Les actifs financiers les plus couramment 2.1 Performance des placements à rendements réglementés Les actifs financiers les plus couramment détenus par les ménages sont les comptes ou livrets d épargne dont les revenus sont exonérés d impôt et

Plus en détail

Le Prêt Social de Location Accession PSLA

Le Prêt Social de Location Accession PSLA Le Prêt Social de Location Accession PSLA LES OBJECTIFS Favoriser l accession sociale à la propriété Faciliter le parcours résidentiel Permettre aux ménages à revenus modestes de devenir propriétaires

Plus en détail

de formation des prix

de formation des prix Le mécanisme m de formation des prix 1 URBANiS 24 janvier 2011 DEUX MARCHES FONCIERS URBAINS Zone AU «stricte» le droit des sols n est pas défini, il est négocié Zone AU indicée et zone U le droit des

Plus en détail

TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites

TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les

Plus en détail

Le modèle de micro-simulation TAXIPP Version 0.0

Le modèle de micro-simulation TAXIPP Version 0.0 GUIDE METHODOLOGIQUE IPP JANVIER 2011 Le modèle de micro-simulation TAXIPP Version 0.0 Camille Landais Thomas Piketty Emmanuel Saez L Institut des politiques publiques (IPP) est développé dans le cadre

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

Programme ESSEC Gestion de patrimoine

Programme ESSEC Gestion de patrimoine Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement

Plus en détail

Loyers et revenus depuis les années 1970

Loyers et revenus depuis les années 1970 J. Friggit CGEDD Juin 2013 1 Loyers et revenus depuis les années 1970 1 Cette note reprend une présentation effectuée devant le Collège Logement du CGEDD le 11 juillet 2012. Résumé Depuis les années 1970,

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

la Contribution Climat Energie

la Contribution Climat Energie Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble

Plus en détail

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER : 1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS

GUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS GUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS Les présentes mises à jour concernent le quatrième tirage 2000. PACS ( Pacte civil de solidarité ) - Page 6 Le régime applicable entre

Plus en détail

DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011

DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 Février 2011 1 LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 1. L EVOLUTION DU BUDGET DE FONCTIONNEMENT 2. L ENDETTEMENT 3. LES PERSPECTIVES POUR LES ANNEES A VENIR 4.

Plus en détail

la fiscalité des valeurs mobilières en 2015

la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 loi de finances 2015 loi n 2014-1654 du 29 décembre 2014 web conference - 10-02-2015 1 les lois de finances 2013 et 2014 régime des plus values simplification

Plus en détail

Un outil pour l étude des dépenses de santé et des «restes à charge» des ménages : le modèle Omar

Un outil pour l étude des dépenses de santé et des «restes à charge» des ménages : le modèle Omar SANTÉ Un outil pour l étude des dépenses de santé et des «restes à charge» des ménages : le modèle Omar Rémi Lardellier, Renaud Legal, Denis Raynaud et Guillaume Vidal* Les «restes à charge» des ménages

Plus en détail

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web

Plus en détail

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009 Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en

Plus en détail

Simulateur «Révolution fiscale» Annexes techniques C. Landais, T. Piketty & E. Saez www.revolution-fiscale.fr (version 0.

Simulateur «Révolution fiscale» Annexes techniques C. Landais, T. Piketty & E. Saez www.revolution-fiscale.fr (version 0. 1 Simulateur «Révolution fiscale» Annexes techniques C. Landais, T. Piketty & E. Saez www.revolution-fiscale.fr (version 0.0 : 19/01/2011) Annexe A : Organisation générale du simulateur p.3 Annexe B. Fichiers

Plus en détail

Journées d économie de Lyon

Journées d économie de Lyon Journées d économie de Lyon Mercredi 9 novembre 2011 Clément Schaff, Mahdi Ben Jelloul www.openfisca.fr 1 Plan Présentation générale Présentation du logiciel Exemple de réformes: Bourguignon Muet Sterdyniack

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Les jeudis du patrimoine

Les jeudis du patrimoine Les jeudis du patrimoine Quelles solutions pouvez-vous envisager pour réduire votre impôt sur le revenu? Le 29 novembre 2012 19h30 07/12/2012 1 Présentation des héros du jour Couple : Sophie et Marc, 2

Plus en détail

A quoi sert une banque?

A quoi sert une banque? 1 Le micro trottoir : «A quoi sert une banque?» Micro trottoir sur le rôle d'une banque Constitution de groupes de 5 élèves Enquête dans la rue (micro trottoir) sur «A quoi sert une banque?». Interroger

Plus en détail

Prêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES RÉSUMÉ MÉTHODOLOGIQUE

Prêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES RÉSUMÉ MÉTHODOLOGIQUE Prêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES Statistiques voisines Périodicité Ponctualité Propriété Ce fichier reprend les informations concernant les prêts hypothécaires accordés par la SWCS aux personnes

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

L accessibilité financière des soins : comment la mesurer? Avis.

L accessibilité financière des soins : comment la mesurer? Avis. L accessibilité financière des soins : comment la mesurer? Avis. I. La démarche et sa première application. Le HCAAM entend proposer un ensemble d indicateurs d évaluation de l assurance maladie, sous

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

PRESENTATION DU LOGICIEL

PRESENTATION DU LOGICIEL PRESENTATION DU LOGICIEL Le logiciel permet de réaliser des études précises, claires, accompagnées d un rapport détaillé à remettre à votre client dans les domaines suivants : Choix du statut social du

Plus en détail

Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Autorité de régulation des jeux en ligne Données T2 2013

Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Autorité de régulation des jeux en ligne Données T2 2013 1 Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France 2 ème trimestre 2013 2 Synthèse des données d activité Les éléments suivants ont été constitués sur la base des données transmises par les

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge

Plus en détail

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les

Plus en détail

Plateforme d observation sociale et médico-sociale

Plateforme d observation sociale et médico-sociale Plateforme d observation sociale et médico-sociale Recherche-actions pour réduire le non-recours aux prestations sociales Nantes, le 19 novembre 2013 1 Le Secrétariat général pour la modernisation de l

Plus en détail

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

Diversifier son patrimoine tout en réduisant ses impôts

Diversifier son patrimoine tout en réduisant ses impôts Diversifier son patrimoine tout en réduisant ses impôts 1 Diversifier son patrimoine. Problématiques liées au développement du patrimoine Minorer les risques Optimiser la fiscalité Développer son patrimoine

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

Chapitre 3 : INFERENCE

Chapitre 3 : INFERENCE Chapitre 3 : INFERENCE 3.1 L ÉCHANTILLONNAGE 3.1.1 Introduction 3.1.2 L échantillonnage aléatoire 3.1.3 Estimation ponctuelle 3.1.4 Distributions d échantillonnage 3.1.5 Intervalles de probabilité L échantillonnage

Plus en détail

Copyright Serge Brocteur Tous droits réservés Tarif mai jiun 2009 Hors TVA

Copyright Serge Brocteur Tous droits réservés Tarif mai jiun 2009 Hors TVA Pourquoi un réseau social? Fédérer une profession ou un groupe de gens Communiquer vers votre cible (commerces) et vers vos membres (associations) Articles, Evénements, Petites annonces, Forums, Sondages,

Plus en détail

Conseil national de l information statistique

Conseil national de l information statistique Conseil national de l information statistique Commission Système financier et financement de l économie Accessibilité et inclusion bancaire 25 septembre 2014 1 Pourquoi la Croix-Rouge française s occupe-t-elle

Plus en détail

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33 F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect? 92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire

Plus en détail

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle

Plus en détail

Evaluation des politiques sociales et fiscales. Modèles de micro simulation: un outil d aide à la décision et d évaluation ex ante

Evaluation des politiques sociales et fiscales. Modèles de micro simulation: un outil d aide à la décision et d évaluation ex ante Modèles de micro simulation: un outil d aide à la décision et d évaluation ex ante Schéma institutionel Problématique Politiques sociales dans un cadre démocratique est un processus interactif: Besoins

Plus en détail

Revenus fonciers : comment déclarer votre feuille d imposition en 2013

Revenus fonciers : comment déclarer votre feuille d imposition en 2013 Revenus fonciers : comment déclarer votre feuille d imposition en 2013 Vous devez remplir la déclaration N 2044 en plus de votre déclaration sur le revenu si : - Vos revenus fonciers bruts perçus en 2012

Plus en détail

jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\==

jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\== = = ëééíéãäêé=omnm= Fiche n MQ= jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\== = = L Enquête Nationale Trports et Déplacements (ENTD) réalisée en 27- est l occasion de faire le point

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets

Plus en détail

Amélioration du contrat Prévoyance

Amélioration du contrat Prévoyance Amélioration du contrat Prévoyance Communication aux salariés 13 janvier 2014 Introduction Améliorations des garanties «décès» Nouvelle garantie «Dépendance» Vue générale des garanties du régime Prévoyance

Plus en détail

FLASH Projet de loi de finances rectificative pour 2011 Conseil des Ministres du 11/ 05/2011

FLASH Projet de loi de finances rectificative pour 2011 Conseil des Ministres du 11/ 05/2011 FLASH Projet de loi de finances rectificative pour 2011 Conseil des Ministres du 11/ 05/2011 Actualisation du flash sur les dispositions présentées à la presse le 12/04/2011 Le PLFR 2011 sera examiné par

Plus en détail

Produits laitiers de ferme

Produits laitiers de ferme Produits laitiers de ferme Produits laitiers de ferme CRIOC, novembre 2008 Agenda 1. Objectifs 2. Méthodologie 3. Consommation de produits laitiers de ferme 4. Perception des produits laitiers de ferme

Plus en détail

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Quantiles En statistique, pour toute série numérique de données à valeurs dans un intervalle I, on définit la fonction quantile Q, de [,1] dans

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

SPP, ou plan d achat d actions

SPP, ou plan d achat d actions SPP, ou plan d achat d actions destiné aux salariés permanents du groupe Randstad France Au sein du Groupe Randstad, nous avons la conviction que notre personnel est notre atout le plus précieux. C est

Plus en détail

Diane Patrimoine. L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération. Diane Patrimoine 1

Diane Patrimoine. L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération. Diane Patrimoine 1 Diane Patrimoine L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération Diane Patrimoine 1 Sommaire : Les dispositifs d épargne salariale et leurs principaux avantages Une

Plus en détail

LE PERP retraite et protection

LE PERP retraite et protection LE PERP retraite et protection Benoit Rama http://www.imaf.fr Le PERP (Plan d Épargne Retraite Populaire) est une mesure d encouragement à la préparation de la retraite destinée aux salariés. Il copie

Plus en détail

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

La mesure du pouvoir d'achat et sa perception par les ménages

La mesure du pouvoir d'achat et sa perception par les ménages La mesure du pouvoir d'achat et sa perception par les ménages Jérôme Accardo, Pascal Chevalier, Gérard Forgeot, Adrien Friez, Dominique Guédès, Fabrice Lenglart, Vladimir Passeron * Sujet de préoccupation

Plus en détail

Consolidation de jeux de données pour la prospective : la génération d une population synthétique pour les communes de Belgique

Consolidation de jeux de données pour la prospective : la génération d une population synthétique pour les communes de Belgique Consolidation de jeux de données pour la prospective : la génération d une population synthétique pour les communes de Belgique Philippe Toint (with J. Barthélemy) Centre de Recherche en Systèmes Complexes

Plus en détail

REGLEMENT DU REGIME COMPLEMENTAIRE DES AVOCATS ETABLI PAR LA CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANÇAIS

REGLEMENT DU REGIME COMPLEMENTAIRE DES AVOCATS ETABLI PAR LA CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANÇAIS CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANCAIS REGLEMENT DU REGIME COMPLEMENTAIRE DES AVOCATS ETABLI PAR LA CAISSE NATIONALE DES BARREAUX FRANÇAIS Arrêté du 30 décembre 2005 J.O. du 25 janvier 2006 Arrêté du 31

Plus en détail

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité www.ades-grenoble.org www.lesverts38.org www.alternatifs.org/38 Conférence de presse du mercredi 10 décembre 2008 Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la

Plus en détail

Loi de finances pour 2011. Loi de finances rectificative pour 2010. Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011

Loi de finances pour 2011. Loi de finances rectificative pour 2010. Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011 Lois budgétaires pour 2011 Loi de finances pour 2011 Loi de finances rectificative pour 2010 Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011 1 Qui sommes nous? Service d ingénierie patrimoniale au

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015.

L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015. L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015 intervenante: Karine SALVAT CONSEILLER en INVESTISSEMENT FINANCIER 1 Objectif

Plus en détail

Qu est-ce que le C.I.C.E.?

Qu est-ce que le C.I.C.E.? Qu est-ce que le C.I.C.E.? L article 66 de la loi de finances rectificative pour 2012 n 2012-1510 du 29 décembre 2012, met en place le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E.). Le C.I.C.E. a pour objectif

Plus en détail

Internet et les médias sociaux

Internet et les médias sociaux Internet et les médias sociaux Chiffres et tendances 2014 2,5 milliards d internautes à travers le monde Dont 1,9 milliard sur les réseaux sociaux > Soit 74% des internautes 68% des français sont sur les

Plus en détail

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Plus en détail

L endettement privé des ménages début 2010

L endettement privé des ménages début 2010 Dossier L endettement privé des ménages début 2010 Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Début 2010, 46 % des ménages sont endettés pour un motif privé, c est-à-dire sans lien avec l activité professionnelle,

Plus en détail

Journée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique

Journée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique Monitorint spatio-temporel intégré de la mobilité urbaine Monitoring spatio-temporel de l ADN urbain Une réponse aux défis, problèmes, enjeux et risques des milieux urbains Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR

Plus en détail

Avant-propos... 1. Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière. 1 L immobilier en 2008/2009... 7

Avant-propos... 1. Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière. 1 L immobilier en 2008/2009... 7 Avant-propos... 1 Partie 1 L état du marché et la défiscalisation immobilière 1 L immobilier en 2008/2009... 7 Connaître les cycles... 7 Un marché sous influence... 9 Évolution des prix sur 2008/2009...

Plus en détail

Assurer un complément de revenu dans un environnement fiscal hostile à l aide de l immobilier

Assurer un complément de revenu dans un environnement fiscal hostile à l aide de l immobilier Assurer un complément de revenu dans un environnement fiscal hostile à l aide de l immobilier Animé par : Franck JOSELIN, rédacteur en chef adjoint - L AGEFI ACTIFS Intervenants : Jean-Louis LE BOULC H

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R

013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R 2013 LUXEMBOURG : FISCALITé des personnes physiques F R Classe d impôts sans enfant Avec enfant(s) à charge Âgé d au moins 64 ans au 1 er janvier Célibataire 1 1a 1a Marié/ Partenaire 2 2 2 Séparé 1 1a

Plus en détail

L approche de régression par discontinuité. Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011

L approche de régression par discontinuité. Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011 L approche de régression par discontinuité Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011 Plan de la présentation L approche de régression par discontinuité (RD) Historique

Plus en détail

AVOCATS : Préparation à l installation en libéral. Ecole des Avocats de Lyon mercredi 26 septembre 212

AVOCATS : Préparation à l installation en libéral. Ecole des Avocats de Lyon mercredi 26 septembre 212 Introduction : Vue d ensemble du paysage fiscal & social français o L Entreprise o La Société o Les Professions Libérales et les revenus libéraux o Définition AVOCATS fiscale : : Préparation oà Exercice

Plus en détail

Modèles transport-urbanisme Fiches synthétiques SIMBAD. Modèle de dynamique urbaine désagrégé

Modèles transport-urbanisme Fiches synthétiques SIMBAD. Modèle de dynamique urbaine désagrégé Modèles transport-urbanisme Fiches synthétiques SIMBAD Identité du modèle : Nature Voyageurs / Marchandises Sur quoi porte le modèle d'urbanisme? Modes de transports Modèle agrégé/désagrégé? Modèle d'occupation

Plus en détail

STA108 Enquêtes et sondages. Sondages àplusieurs degrés et par grappes

STA108 Enquêtes et sondages. Sondages àplusieurs degrés et par grappes STA108 Enquêtes et sondages Sondages àplusieurs degrés et par grappes Philippe Périé, novembre 2011 Sondages àplusieurs degrés et par grappes Introduction Sondages à plusieurs degrés Tirage des unités

Plus en détail

Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère. Comité de pilotage du 02/10/2014

Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère. Comité de pilotage du 02/10/2014 Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère Comité de pilotage du 02/10/2014 423 logements doivent être améliorés durant les 4 années de l OPAH d Arlysère (objectif

Plus en détail

E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat. Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012

E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat. Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012 P A Y S H A U T L A N G U E D O C E T V I G N O B L E S E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012 1 SOMMAIRE Partie 1 : rappel des

Plus en détail

Resolution limit in community detection

Resolution limit in community detection Introduction Plan 2006 Introduction Plan Introduction Introduction Plan Introduction Point de départ : un graphe et des sous-graphes. But : quantifier le fait que les sous-graphes choisis sont des modules.

Plus en détail

Qui épargne? Qui désépargne?

Qui épargne? Qui désépargne? Dossier Qui épargne? Qui désépargne? Bertrand Garbinti et Pierre Lamarche* En 2009, la moitié des ménages français ont épargné plus de 13 % de leurs revenus. Les comportements d épargne sont cependant

Plus en détail

XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm. Cahier 4. La sécurisation Hlm

XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm. Cahier 4. La sécurisation Hlm XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm Cahier 4 La sécurisation Hlm La sécurisation Hlm en bref Extrait du «guide de la sécurisation Hlm», A.RE.COOP., mars 2008 FONCTIONNEMENT

Plus en détail

Pourquoi les ménages à bas revenus paient-ils des loyers de plus en plus élevés?

Pourquoi les ménages à bas revenus paient-ils des loyers de plus en plus élevés? LOGEMENT Pourquoi les ménages à bas revenus paient-ils des loyers de plus en plus élevés? L incidence des aides au logement en France (1973-2002) Gabrielle Fack* Depuis la fin des années 1970, les aides

Plus en détail

Modèle de troncature gauche : Comparaison par simulation sur données indépendantes et dépendantes

Modèle de troncature gauche : Comparaison par simulation sur données indépendantes et dépendantes de troncature gauche : Comparaison par simulation sur données indépendantes et dépendantes Zohra Guessoum 1 & Farida Hamrani 2 1 Lab. MSTD, Faculté de mathématique, USTHB, BP n 32, El Alia, Alger, Algérie,zguessoum@usthb.dz

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires des EPCI à fiscalité propre

Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires des EPCI à fiscalité propre Département Intercommunalité et territoires 18 mars 2014 Département Administration et gestion communale Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires

Plus en détail