SEMINAIRE ASLOG SECURITE SURETE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SEMINAIRE ASLOG SECURITE SURETE"

Transcription

1 SEMINAIRE ASLOG SECURITE SURETE Table ronde n 2 Retours d expérience sur les outils de sécurisation des flux internationaux Animée par Laurent Radisson, responsable du service Éditions Transport et Logistique chez LAMY, cette table ronde consacrée au statut de l Opérateur Économique Agréé, aux systèmes d informations, à la traçabilité, a réuni Alban Gruzon, PDG de Conex et Yves Mengin, responsable du Pôle d Actions économiques à la Direction Générale des Douanes de Lyon. Le règlement n 648/2005 (amendement sécurité) du Parlement européen et du Conseil en date du 13 avril 2005 (Journal officiel de l Union Européenne L117 [JOUE] du 4 mai 2005) a amendé le code des douanes communautaire en y insérant, notamment à des fins de sûreté ou de sécurité, des dispositions relatives à la transmission électronique anticipée de la déclaration sommaire, en détail ou simplifiée, à l'importation et à l'exportation. Le règlement CE n 450/2008 du Parlement Européen et du Conseil instituant le nouveau code des douanes communautaires est paru le 4 juin dernier au Journal officiel de l Union Européenne [JOUE]. Ce code des douanes modernisées vient remplacer la précédente version datant de Cette mise à jour a pour principaux objectifs de simplifier la législation et les procédures douanières, de les moderniser en ayant recours aux nouveaux moyens de communication tout en garantissant la protection de l espace communautaire. Il définit notamment le statut d Opérateur Economique Agréé délivré à celles des entreprises qui satisfont aux critères sécuritaires et économiques communs à l Union Européenne définis en Il y est dit aussi que les opérateurs économiques respectueux des règles et dignes de confiance devraient, en tant qu opérateurs économiques agréés, pouvoir profiter 1

2 au maximum du recours généralisé à la simplification et, en tenant compte des aspects relatifs à la sécurité et à la sûreté, bénéficier d un allégement des contrôles douaniers. Attention! Surtout ne pas confondre ce statut très organisé, et celui de l entrepôt sous douane qui permet, grâce à une décision d un bureau de douane, de disposer de marchandises en transit. Dans un environnement international marqué par la recrudescence du risque terroriste, les États membres de la Communauté Européenne ont souhaité renforcer la sécurisation de la chaîne logistique internationale. Dès juillet 2009, les opérateurs du commerce international seront soumis à l'obligation de transmettre de manière anticipée une déclaration sommaire d'entrée et de sortie comprenant des données jugées nécessaires à l'établissement d'une analyse de risque "sécuritaire". Toutefois, pour ne pas pénaliser le commerce légitime, l'amendement sécurité a introduit le concept d'opérateur Economique Agréé (OEA), entré en vigueur le 1er janvier Ce statut d'oea sera valable dans l'ensemble de l'union européenne et permettra de distinguer les opérateurs communautaires les plus fiables, dans une logique de labellisation qualité. Les États membres peuvent accorder ce statut d'opérateur Economique Agréé à tout opérateur économique établi au sein de l'union européenne qui remplit, notamment, les critères suivants : - Respect des législations douanière et fiscale ; - Solvabilité financière satisfaisante ; - Disponibilité d un système efficace de gestion des écritures commerciales et, le cas échéant, des écritures de transport, permettant d'effectuer des contrôles douaniers appropriés. Formellement, le statut d'oea donnera lieu, selon l'option choisie par le demandeur, à la délivrance de trois certificats distincts (l'acronyme anglais AEO a été retenu pour la dénomination des certificats) : certificat AEO simplifications douanières ; certificat AEO sécurité/sûreté ; ainsi que le certificat AEO simplifications douanières et sécurité/sûreté qui cumule les caractéristiques et les avantages des deux précédents certificats. 2

3 Ce statut s inscrit dans le cadre de normes SAFE de l Organisation Mondiale des Douanes. Pour en parler, deux experts des douanes ont été réunis autour de la table ronde animée par Laurent Radisson : un représentant de l Administration des douanes en la personne d Yves Mengin, et un éditeur expert de formalités douanières, Alban Gruzon, PDG de la société Conex. Il va être question du "pourquoi?" de ce nouveau statut et des avantages associés, puis de l intérêt de ce statut pour les opérateurs amenés à intervenir à l international. Comment obtenir ce statut? Quelles sont les démarches à effectuer? o Laurent Radisson (LAMY) Sans plus tarder, Yves Mengin va nous restituer les fondements du statut de l Opérateur Économique Agréé. Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) Ce statut d Opérateur Économique Agréé correspond à une réponse donnée aux événements du 11 septembre 2001, qui ont conduit les États Unis à établir de nouvelles procédures douanières en matière de sécurité en rapport avec un programme volontaire de lutte contre le terrorisme, et l accréditation C TPAT, (Custom Trade Partnership Against Terrorism). Celle ci implique, pour les entreprises exportatrices vers les États Unis, la mise en œuvre d un plan de sécurisation de tous les maillons de la chaîne d approvisionnement, avec le contrôle intégral de toutes les marchandises entrantes, notamment en conteneurs. Le principal avantage d être certifié C TPAT est le maintien de la circulation fluide des marchandises à la frontière. Le second avantage est l image corporative que la certification rehausse. Dans ce même contexte, Washington a mis en place la réglementation CSI (Container Security Initiative) visant à inspecter des envois sensibles au port d embarquement, ou l ICS (International Container Security) proposant de scanner 100 % des conteneurs avant embarquement à l horizon 2012 L Europe a réagi avec le statut d OEA qui est assis sur la base de deux règlements communautaires. Lorsqu il sera en place dans la Communauté, on pourra envisager de proposer aux Américains une reconnaissance équivalente, mais les premiers échos qui nous parviennent ne sont pas d un enthousiasme excessif. Par contre, vis à vis de nos autres partenaires internationaux, nous bénéficierons d un avantage, car nous aurons un 3

4 système alternatif à leur proposer pour garantir la sécurité et la sûreté d une chaîne logistique, en nous appuyant sur la douane, qui est le passage obligé. Laurent Radisson (LAMY) Pour l heure, en France, l Administration des Douanes n a délivré aucune certification OEA. Nous avons toutefois bien compris que, dès lors qu un opérateur manifeste son intérêt pour le statut d OEA, il doit au préalable parfaitement connaître le fonctionnement de son entreprise. Il lui est demandé de remplir un questionnaire d auto évaluation extrêmement détaillé, suivi par l audit effectué par l Administration des Douanes. Dans ce contexte, sur quels aspects, les opérateurs peuvent ils buter? Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) Il y a aujourd hui 51 dossiers déposés ou en instance : essentiellement des logisticiens et transporteurs, mais aussi des entreprises amenées à pratiquer des opérations d import et d export. Notre service à Lyon va les récupérer : c est le Pôle d Action Économique qui regroupe à la fois quatre agents traitant de la réglementation, un agent se chargeant de la cellule de conseil aux entreprises, et un service régional d audit. Quatre personnes ont été formées pendant trois mois et demi à l École Nationale des Douanes de Tourcoing où elles ont reçu une formation totalement nouvelle pour les douaniers (comptabilité, logistique ) de façon à pouvoir réaliser des audits tous azimuts en matière douanière (pas exclusivement dédiés à l OEA). Comment y accède t on? Au travers du Portail Douanes (wwww.gouv.fr) et du sous site Prodouane ( au service des professionnels qui pourront y trouver le questionnaire d auto évaluation visant à l octroi du statut d Opérateur Economique Agréé. Laurent Radisson (LAMY) Ce nombre de dossiers est encore relativement faible. Faut il considérer que les entreprises ne sont pas suffisamment informées ou sensibilisées? N ont elles pas mesuré le risque de ne pas être reconnu comme Opérateur Économique Agréé? 4

5 Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) En fin de l année dernière, la douane a envoyé à un certain nombre d entreprises, sous forme d un questionnaire, une demande d intérêt qui a reçu un nombre relativement important (300 à 400) de réponses. Manifestement, les entreprises sont intéressées. Le décalage observé avec le nombre de dossiers effectivement déposé s explique : les entreprises sont probablement en train de se préparer. Alban Gruzon (Conex) De notre côté, le 27 mai dernier, nous avions organisé à Paris La Défense une journée d information sur l Opérateur Économique Agréé. Elle a réuni quelque 150 entreprises. Elles n ont pas toutes déposé de déclaration d intérêt, ce qui ne signifie pas pour autant qu elles ne sont pas en train d étudier actuellement la démarche. Les entreprises, tout au moins celles d une certaine taille, se disent manifestement que la démarche est incontournable. Laurent Radisson (LAMY) Et où en est la France par rapport aux autres pays? Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) Face aux initiatives américaines, la Communauté européenne a essayé de réagir et de se fédérer pour proposer une alternative et servir le cas échéant de modèle, ultérieurement. Nous allons nous autovérifier au sein de la Communauté, afin de vérifier que la démarche est exactement la même dans tous les pays. Par contre, il n y a pas pour l heure de vision mondiale Alban Gruzon (Conex) Le monde entier est en train de mettre en place la certification douanière, chacun à sa façon. Mais qu en sera t il de la reconnaissance des uns par rapport aux autres? Au sein de la Communauté européenne, un diagramme a été présenté qui place la France en 6 e position. L Allemagne et la Hollande arrivent quant à elles en tête de ce classement. Laurent Radisson (LAMY) Qu en est il des trois certificats distincts? 5

6 Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) Le certificat AEO "simplifications douanières" pourra être obtenu par les sociétés souhaitant bénéficier de facilités douanières, à condition qu elles répondent aux exigences suivantes : - absence de condamnations pour infraction pénale grave liée à l'activité du demandeur ou des personnes chargées du dédouanement et de la logistique; - antécédents satisfaisants en matière de respect des exigences douanières; - accessibilité aux écritures douanières et de transport répondant aux exigences de l'administration des douanes; - solvabilité financière assurée au cours des 3 dernières années. Le certificat AEO "sécurité/sûreté" pourra quant à lui être délivré, sur demande, aux opérateurs qui satisfont notamment, en plus de celles requises pour le certificat AEO "simplifications douanières", aux exigences spécifiques suivantes : - respect de normes strictes en matière de protection contre les intrusions des bâtiments et des zones logistiques ; - engagement de l'opérateur à "fiabiliser" ses partenaires afin de mieux sécuriser la chaîne logistique internationale ; - dans le respect des dispositions légales de chaque État membre, contrôle des antécédents d'employés appelés à occuper des postes sensibles au plan de la sécurité ; - existence d'un programme de sensibilisation des collaborateurs à la sécurité. Enfin, le troisième certificat associe simplifications douanières et sécurité/sûreté. Le certificat AEO est reconnu dans toute la Communauté européenne. Alban Gruzon (Conex) En analysant le dispositif de sécurité/sûreté, force est de constater que chaque site est en lui même un cas particulier, de sorte que la sécurité/sûreté ne peut être généralisée dans toute l entreprise. Il est difficile de penser qu il y aura ici un statut unique couvrant tous les sites. 6

7 La demande doit être déposée par chaque entité juridique disposant de la personnalité morale, ce qui exclut, par exemple, une demande émanant d une maison mère pour une ou plusieurs de ses filiales. Toutefois cette demande doit couvrir l ensemble des établissements ou sites concernés par la chaîne logistique internationale. Lorsque le statut est sollicité par une société dont les activités sont exercées dans un ou plusieurs États membres (par exemple, existence d un entrepôt et opérations de mise en libre pratique effectuées par une tierce personne, un commissionnaire en douane ou une filiale), la demande doit être déposée dans l État membre où la comptabilité principale est tenue ou, selon les termes des autorisations douanières délivrées précédemment, dans celui où elle est accessible. Il convient également de préciser que la demande ne pourra être recevable par l État membre où se situe la comptabilité principale que si une partie au moins des opérations destinées à être couvertes par le statut y sont effectuées. (Source : Prodouane) Laurent Radisson (LAMY) A priori, les entreprises désireuses d acquérir ce statut peuvent s appuyer sur des certifications existantes, des systèmes de management de la qualité qu elles ont déjà mis en place préalablement à la demande. Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) Exactement! Dans certains cas, nous irons vérifier l existence de certifications préexistantes propres à chaque métier. Il est clair que les certificats relatifs au statut d OEA ne vont pas les remplacer, mais constitueront une valeur ajoutée. Laurent Radisson (LAMY) Alors, est il plus facile d obtenir le statut d opérateur économique agréé maintenant, ou plus tard? N y aura t il pas plus tard un risque d embouteillage? Yves Mengin (Direction Générale des Douanes) Oui, le risque d embouteillage existe. Mais nous nous y préparons : nous allons dimensionner nos services d audit en respect des demandes. (Propos recueillis par Jean Claude Festinger) 7

8 Encadré 1 8

9 Encadré 1 OEA : aspects informatiques et sécurité Spécialisé en douane et informatique, Conex (CA 2007 : 7,2 M ) se veut être la principale référence dans le domaine de l informatique douanière, mais aussi de la formation, de l audit et du conseil associés. L objectif étant de sécuriser les échanges internationaux, la douane, au travers du statut d OEA reporte la charge chez l opérateur. Ce dernier a une incitation permanente à se comporter comme un opérateur correct et à justifier la sécurité et la sûreté mise en place sur l ensemble des flux. A contrario, l Administration a davantage de moyens pour se consacrer au grand banditisme, au terrorisme, à la drogue, à la contrefaçon Les OEA sont des opérateurs à qui l Administration va pouvoir accorder sa confiance car ils auront mis en place des processus de sécurisation de leurs flux de marchandises externes, mais aussi de leurs flux de marchandises internes. Bien entendu, cette confiance repose sur des données informatisées qui doivent être structurées, organisées, disponibles pour que l Administration puisse en disposer. L organisation des douanes a mis en place un questionnaire qui est le reflet du questionnaire européen, parfois de lecture difficile. Pour pouvoir sécuriser les flux douaniers, l entreprise qui prétend acquérir le statut d OEA se doit de : - sécuriser le savoir métier (connaissance de la réglementation), au travers de la formation qualifiante de son personnel, et de l existence d une documentation interne, et de procédures de mise à jour portant sur le classement tarifaire des marchandises, les mesures de préférences tarifaires, les mesures de surveillance, les mesures de prohibition, les mesures antidumping, le calcul de la valeur en douane. La gestion des mesures implique, à l import, de s assurer de la conformité aux règles d application, et à l export, de sécuriser la procédure d élaboration des certificats. - maîtriser et sécuriser la pratique au quotidien : comment se déroule le processus de dédouanement, comment est il fiabilisé, possibilité de délégation à un prestataire, etc. Dans le cadre des activités douanières, il faut nécessairement recourir à un plan de suivi des écritures comptables, commerciales, logistiques et douanières. Tout ceci repose sur un système et des données informatiques qu il va falloir aussi sécuriser : - assurer la protection des données présentes dans le Système d Information, - ce rôle est généralement dévolu au Directeur des Systèmes d information, - différents moyens techniques peuvent être mis en œuvre à cet effet : pare feu, protection antivirus, onduleurs, disques RAID - ces moyens doivent être mis à l épreuve au travers d audits de sécurité et de tests antiintrusion. - Il y a lieu également de définir un PRA (Plan de Reprise d Activité) et un PCA (Plan de Continuité d Activité) - L autorisation d accès aux données passe par une politique de gestion des utilisateurs en lien avec la Direction des Ressources Humaines. - Il est essentiel de définir le temps de disponibilité des données en ligne, et - d assurer une gestion pure et dure des archives : modalités de conservation (lieu de stockage, sécurisation des accès), durée de conservation, nature du support physique, nature du logiciel de sauvegarde (essentiel en cas de compression ou d encryptage) et des tests de restauration, enfin techniques de préservation des moyens d accès aux données (moyens matériels : lecteurs, ordinateurs, systèmes d exploitation, logiciels ) - Il faut aussi connaître la configuration générale du système d information, et en particulier du système d exploitation, et les outils logiciels mis en œuvre (ERP, comptabilité, gestion logistique, et bien entendu, logiciel de dédouanement), 9

10 - Enfin, dissocie t on les environnements de développement, de test et d exploitation? - Il faut enfin assurer la préservation des documents par leur conservation physique et leur conservation numérique. À cet égard, la réponse de Conex a pour nom : ED éditions qui couvre tout à la fois le tarif douanier, une veille réglementaire, la publication (papier ou électronique) de la réglementation, la formation et l accompagnement. Dans le cadre de la nouvelle procédure de dédouanement DELTA, sa solution DELTApass est l outil de dédouanement électronique qui permet aux entreprises de pré élaborer leurs déclarations, et ce, bien souvent, en liaison avec leur système interne (ERP, système de gestion logistique) et avec leur comptabilité. Un lien existe bien entendu entre le tarif douanier et DELTApass qui permet d éviter les erreurs. Par ailleurs, DELTApass communique avec la passerelle (PASS COM) servant à la communication avec l administration des douanes, ainsi qu avec une plate forme de traçabilité et d archivage (PFA) permettant de délester DELTApass et PASS COM, et de créer un environnement de stockage consultable à la fois par l opérateur et le cas échéant pas l Administration des douanes. 10

OPERATEUR ECONOMIQUE AGREE (OEA)

OPERATEUR ECONOMIQUE AGREE (OEA) OPERATEUR ECONOMIQUE AGREE (OEA) 04/02/2013 Le statut d opérateur économique agréé (OEA) François Schaff Associé gérant Ancien élève de l Ecole Nationale des Douanes en collaboration avec Maitre Alain

Plus en détail

L'opérateur Économique Agréé

L'opérateur Économique Agréé file:///c:/documents%20and%20settings/mbull/bureau/aeo_final%20cs.jpg file:///d:/abartala/monbureau/présentation/aeo_final%20cs.jpg L'opérateur Économique Agréé 1 CLUB DE L'INTERNATIONAL D'AUVERGNE Nouveau

Plus en détail

GUIDE OEA. Guide OEA. opérateur

GUIDE OEA. Guide OEA. opérateur Guide > > Fiche 1 : Pourquoi être certifié? > > Fiche 2 : Les trois types de certificats et leurs critères > > Fiche 3 : La préparation de votre projet > > Fiche 4 : Le questionnaire d auto-évaluation

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D AUTO-EVALUATION RELATIF AUX OPERATEURS ECONOMIQUES AGREES (OEA)

QUESTIONNAIRE D AUTO-EVALUATION RELATIF AUX OPERATEURS ECONOMIQUES AGREES (OEA) QUESTIONNAIRE D AUTO-EVALUATION RELATIF AUX OPERATEURS ECONOMIQUES AGREES (OEA) La finalité première de ce questionnaire est de vous assurer de votre aptitude à remplir les critères exigés pour l octroi

Plus en détail

AEO: CONFIANCE ET EFFICIENCE

AEO: CONFIANCE ET EFFICIENCE L UNION FAIT LA FORCE AEO: CONFIANCE ET EFFICIENCE Confiance mutuelle, meilleurs processus douaniers, optimalisation du contrôle interne, avantage concurrentiel sont des mots qui sonnent bien? Alors lisez

Plus en détail

Circulaire du 07/01/2015

Circulaire du 07/01/2015 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des Finances et des Comptes publics BUDGET Circulaire du 07/01/2015 Modalités de mise en œuvre de l'article 1695 II du code général des impôts relatif à l'autoliquidation

Plus en détail

Direction Régionale des Douanes et Droits Indirects de Midi-Pyrénées CCI du Lot

Direction Régionale des Douanes et Droits Indirects de Midi-Pyrénées CCI du Lot Direction Régionale des Douanes et Droits Indirects de Midi-Pyrénées CCI du Lot Vendredi 12 Avril 2013 EORI Principe : Le règlement (CE) n 312/2009 du 16 avril 2009 a prévu l'attribution d'un numéro unique

Plus en détail

ANNEXE II NOTICE EXPLICATIVE RELATIVE AU QUESTIONNAIRE D AUTO-EVALUATION SUR LES OEA

ANNEXE II NOTICE EXPLICATIVE RELATIVE AU QUESTIONNAIRE D AUTO-EVALUATION SUR LES OEA ANNEXE II NOTICE EXPLICATIVE RELATIVE AU QUESTIONNAIRE D AUTO-EVALUATION SUR LES OEA Cette notice explicative a pour but de vous aider à évaluer le niveau de conformité de votre entreprise au regard des

Plus en détail

Commerce International Douanes Transport - Logistique. Sommaire

Commerce International Douanes Transport - Logistique. Sommaire Commerce International Douanes Transport - Logistique Sommaire La Douane : notions de base... 3 Comment déclarer en douane... 4 Déterminer la Valeur en Douane... 5 Déterminer l Espèce en Douane... 6 Déterminer

Plus en détail

Le statut Exportateur agréé. Origine Préférentielle

Le statut Exportateur agréé. Origine Préférentielle Le statut Exportateur agréé Origine Préférentielle Audit l Conseil l Contentieux l Opérateur Economique Agréé l Dédouanement l Régimes douaniers l Accises l Exportateur Agréé l Entrepôt sous douane Pourquoi

Plus en détail

Menaces, risques et solutions possibles

Menaces, risques et solutions possibles Menaces, risques et solutions possibles Annexe 2 Le présent document fournit une liste des risques les plus importants liés à l agrément OEA ainsi qu à la procédure de contrôle et, parallèlement, une liste

Plus en détail

AUTOLIQUIDATION DE LA TVA DUE A L IMPORTATION. SITL, mercredi 1 er avril 2015

AUTOLIQUIDATION DE LA TVA DUE A L IMPORTATION. SITL, mercredi 1 er avril 2015 AUTOLIQUIDATION DE LA TVA DUE A L IMPORTATION SITL, mercredi 1 er avril 2015 I - Les grands principes de la nouvelle mesure d'autoliquidation de la TVA due à l'importation. A/ Pourquoi instaurer l'autoliquidation

Plus en détail

QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA)

QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Questions Quand un exportateur doit-il prendre le statut d'exportateur agréé? QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Réponses

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE OPÉRATEUR ÉCONOMIQUE AGRÉÉ A DESTINATION DES P.M.E

GUIDE PRATIQUE OPÉRATEUR ÉCONOMIQUE AGRÉÉ A DESTINATION DES P.M.E GUIDE PRATIQUE OPÉRATEUR ÉCONOMIQUE AGRÉÉ A DESTINATION DES P.M.E GROUPE D'EXPERTS REGLEMENTATION DOUANIERE ET PROCEDURES DU COMMERCE INTERNATIONAL DU C.N.C.C.E.F. Président : Philippe Guibert Rédacteur

Plus en détail

Service Public Fédéral FINANCES Administration générale des douanes et accises NOTICE EXPLICATIVE RELATIVE A LA DEMANDE DE CERTIFICATION AEO

Service Public Fédéral FINANCES Administration générale des douanes et accises NOTICE EXPLICATIVE RELATIVE A LA DEMANDE DE CERTIFICATION AEO ANNEXE I bis COMMUNAUTE EUROPEENNE Service Public Fédéral FINANCES Administration générale des douanes et accises NOTICE EXPLICATIVE RELATIVE A LA DEMANDE DE CERTIFICATION AEO Cette notice a été élaborée

Plus en détail

Les régimes douaniers économiques LES AVANTAGES DES REGIMES ECONOMIQUES

Les régimes douaniers économiques LES AVANTAGES DES REGIMES ECONOMIQUES Les régimes douaniers économiques LES AVANTAGES DES REGIMES ECONOMIQUES Définition Un régime douanier correspond à la situation douanière d'une marchandise tierce ou communautaire et doit être distingué

Plus en détail

L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU)

L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU) L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU) Audit l Conseil l Contentieux l Opérateur Economique Agréé l Dédouanement l Régimes douaniers l Accises l Exportateur Agréé l Entrepôt

Plus en détail

L application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.

L application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés

Plus en détail

Les régimes douaniers

Les régimes douaniers 12 Le régime douanier est un statut juridique donné à la marchandise à l issue de son dédouanement. Il détermine si les droits et taxes seront acquittés ou non, si les contrôles du commerce extérieur seront

Plus en détail

FEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R

FEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R INTRODUCTION La certification GOST R a été instaurée par le gouvernement russe en 1993 avec l objectif principal d assurer la sécurité et de protéger la santé et l environnement de la population russe.

Plus en détail

Organisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES INCOTERMS

Organisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES INCOTERMS LES INCOTERMS Avertissement! Cet article fait référence aux incoterms, version 2000. Voir : les innovations de la version 2010 des incoterms sur Logistiqueconseil.org Les INCOTERMS (International Commercial

Plus en détail

I. L'importation de marchandises originaires de pays tiers à l'union européenne

I. L'importation de marchandises originaires de pays tiers à l'union européenne I. L'importation de marchandises originaires de pays tiers à l'union européenne Le régime d'importation applicable au sein des États membres aux produits tiers est fonction à la fois de la nature de la

Plus en détail

MODERNISATION DE LA DOUANE ET GUICHET UNIQUE AU SENEGAL

MODERNISATION DE LA DOUANE ET GUICHET UNIQUE AU SENEGAL MODERNISATION DE LA DOUANE ET GUICHET UNIQUE AU SENEGAL SOMMAIRE INTRODUCTION MODERNISATION DOUANIERE AU SENEGAL LE GUICHET UNIQUE AU SENEGAL INTRODUCTION GAINDE lance un programme de coopération internationale

Plus en détail

L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR

L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR INTRODUCTION A la suite de grands scandales financiers qui ont ébranlés le monde des affaires, les instances législatives et réglementaires des Etats Unis ont remis

Plus en détail

Analyse des Gaps techniques et juridiques. relatifs aux échanges électroniques

Analyse des Gaps techniques et juridiques. relatifs aux échanges électroniques UNECA Analyse des Gaps techniques et juridiques relatifs aux échanges électroniques entre les douanes de deux pays (C2C Transit) Lotfi AYADI Noureddine SELLAMI Décembre 2014 Plan Résumé Méthodologie Cadre

Plus en détail

ANALYSE DES GAPS TECHNIQUES ET JURIDIQUES RELATIFS AUX ÉCHANGES ÉLECTRONIQUES ENTRE LES DOUANES DE DEUX PAYS (C2C TRANSIT)

ANALYSE DES GAPS TECHNIQUES ET JURIDIQUES RELATIFS AUX ÉCHANGES ÉLECTRONIQUES ENTRE LES DOUANES DE DEUX PAYS (C2C TRANSIT) UNESCWA ANALYSE DES GAPS TECHNIQUES ET JURIDIQUES RELATIFS AUX ÉCHANGES ÉLECTRONIQUES ENTRE LES DOUANES DE DEUX PAYS (C2C TRANSIT) AYADI Lotfi SELLLAMI Noureddine Décembre 2014 PLAN Résumé Méthodologie

Plus en détail

T R A N S F R O N TA L I E R S

T R A N S F R O N TA L I E R S GLOSSAIRE DES TERMES T R A N S F R O N TA L I E R S ACRONYMES CSXT Intermodal fournit aux expéditeurs de précieux outils pour mieux comprendre et naviguer dans le monde des expéditions transfrontalières.

Plus en détail

Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER. Le guide. Deuxième édition. Éditions d Organisation, 2002, 2004 ISBN : 2-7081-3168-0

Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER. Le guide. Deuxième édition. Éditions d Organisation, 2002, 2004 ISBN : 2-7081-3168-0 Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER Le guide Deuxième édition, 2002, 2004 ISBN : 2-7081-3168-0 Sommaire Introduction...1 Première partie LA PLACE DE L IMPORT DANS LES ÉCHANGES INTERNATIONAUX Chapitre 1. Enjeux

Plus en détail

Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER. Le guide. Troisième édition. Groupe Eyrolles, 2002, 2004, 2007 ISBN 10 : 2-7081-3740-9 ISBN 13 : 978-2-7081-3740-0

Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER. Le guide. Troisième édition. Groupe Eyrolles, 2002, 2004, 2007 ISBN 10 : 2-7081-3740-9 ISBN 13 : 978-2-7081-3740-0 Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER Le guide Troisième édition, 2002, 2004, 2007 ISBN 10 : 2-7081-3740-9 ISBN 13 : 978-2-7081-3740-0 3 La Méthodologie Import à retenir Pas d importation sans une bonne méthodologie.

Plus en détail

LA BOITE A OUTILS DE L EXPORT OU COMMENT ABORDER L EXPORT CONDITIONS

LA BOITE A OUTILS DE L EXPORT OU COMMENT ABORDER L EXPORT CONDITIONS LA BOITE A OUTILS DE L EXPORT OU COMMENT ABORDER L EXPORT DANS LES MEILLEURES CONDITIONS POURQUOI EXPORTER? Trouver de nouveaux débouchés après avoir maîtrisé le marché national Accélérer la croissance

Plus en détail

Circulaire du 23 juillet 2010

Circulaire du 23 juillet 2010 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l Etat NOR : BCRD 1021134 C Circulaire du 23 juillet 2010 Les procédures simplifiées de dédouanement Incidences du règlement

Plus en détail

A N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21

A N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21 A N N E X E 1 Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7 Référentiel de certification page 21 - Compétences professionnelles page 21 - Connaissances associées page 55 - Unités constitutives

Plus en détail

Proposition de DÉCISION DU CONSEIL

Proposition de DÉCISION DU CONSEIL COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.5.2015 COM(2015) 194 final 2015/0101 (NLE) Proposition de DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion, au nom de l'union européenne, du protocole pour éliminer le

Plus en détail

LA DOUANE IMPORT / EXPORT

LA DOUANE IMPORT / EXPORT LA DOUANE IMPORT / EXPORT Les techniques import/export évoluent constamment : il est donc judicieux de valoriser les compétences des opérationnels des services concernés des entreprises de toutes tailles

Plus en détail

En souscrivant. au contrat de distribution des solutions AKANEA, vous êtes triplement gagnant :

En souscrivant. au contrat de distribution des solutions AKANEA, vous êtes triplement gagnant : Editeur de progiciels de gestion experts pour les professionnels : Agroalimentaire Transport Douane Entreposage En souscrivant au contrat de distribution des solutions AKANEA, vous êtes triplement gagnant

Plus en détail

RÉGIONAL/NATIONAL/INTERNATIONAL/RÉGIONAL/NATIONAL

RÉGIONAL/NATIONAL/INTERNATIONAL/RÉGIONAL/NATIONAL RÉGIONAL/NATIONAL/INTERNATIONAL/RÉGIONAL/NATIONAL Consultez notre site en flashant ce code : TRANSPORTS-LELEU.FR TRACING > LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE 1953 > Création de l entreprise 1993 > Flotte entièrement

Plus en détail

EXAMEN PROFESSIONNEL DE VERIFICATION D APTITUDE AUX FONCTIONS D ANALYSTE-DEVELOPPEUR SESSION 2009

EXAMEN PROFESSIONNEL DE VERIFICATION D APTITUDE AUX FONCTIONS D ANALYSTE-DEVELOPPEUR SESSION 2009 EXAMEN PROFESSIONNEL DE VERIFICATION D APTITUDE AUX FONCTIONS D ANALYSTE-DEVELOPPEUR SESSION 2009 EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE DU 14 MAI 2009 ETUDE D UN CAS D AUTOMATISATION PERMETTANT D APPRECIER LA

Plus en détail

Document complémentaire au PPN du DUT Gestion logistique et transport

Document complémentaire au PPN du DUT Gestion logistique et transport CPN GLT Document complémentaire au PPN du DUT Gestion logistique et transport Description des parcours de modules complémentaires destinés à la poursuite d étude S'appuyant sur l'arrêté du 3 août 2005,

Plus en détail

Lignes directrices concernant les contrôles à l importation dans le domaine de la sécurité et de la conformité des produits

Lignes directrices concernant les contrôles à l importation dans le domaine de la sécurité et de la conformité des produits COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE FISCALITÉ ET UNION DOUANIÈRE Sécurité et sûreté, facilitation des échanges et coordination internationale Protection des citoyens et application des DPI Lignes

Plus en détail

Sommaire. Message du Président 3. Les 7 enjeux du développement durable 5. Notre Politique, nos actions. Partager une même éthique des affaires 6

Sommaire. Message du Président 3. Les 7 enjeux du développement durable 5. Notre Politique, nos actions. Partager une même éthique des affaires 6 Sommaire Message du Président 3 Les 7 enjeux du développement durable 5 Notre Politique, nos actions Partager une même éthique des affaires 6 Garantir et toujours renforcer la sécurité des collaborateurs,

Plus en détail

PARTENAIRES EN PROTECTION (PEP) PROCESSUS DE PEP

PARTENAIRES EN PROTECTION (PEP) PROCESSUS DE PEP PARTENAIRES EN PROTECTION (PEP) PROCESSUS DE PEP ACCEPTATION / REJET o Les demandes sont reçues et révisées pour évaluer l admissibilité (voir l annexe A) et s assurer que les exigences minimales en matière

Plus en détail

JE SUIS OU JE SOUHAITE DEVENIR TRANSPORTEUR PUBLIC ROUTIER DE MARCHANDISES OU DE VOYAGEURS OU COMMISSIONNAIRE DE TRANSPORT:

JE SUIS OU JE SOUHAITE DEVENIR TRANSPORTEUR PUBLIC ROUTIER DE MARCHANDISES OU DE VOYAGEURS OU COMMISSIONNAIRE DE TRANSPORT: JE SUIS OU JE SOUHAITE DEVENIR TRANSPORTEUR PUBLIC ROUTIER DE MARCHANDISES OU DE VOYAGEURS OU COMMISSIONNAIRE DE TRANSPORT: Quelles sont les procédures à suivre et les obligations qui m incombent? LES

Plus en détail

Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables

Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables Réunion du Comité consultatif sur les activités commerciales à la frontière (CCACF) Le 1 février 2011 Ottawa 1 Introduction Les programmes

Plus en détail

CHAPITRE VI PROCEDURE DE DEDOUANEMENT. Section 1. Généralités.

CHAPITRE VI PROCEDURE DE DEDOUANEMENT. Section 1. Généralités. CHAPITRE VI PROCEDURE DE DEDOUANEMENT. Section 1. Généralités. Art. 75 : - Toutes les marchandises importées, réimportées, destinées à être exportées ou réexportées doivent faire l'objet d'une déclaration

Plus en détail

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant : Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations

Plus en détail

LA SUPPLY CHAIN DE LA

LA SUPPLY CHAIN DE LA LA SUPPLY CHAIN DE LA COSMETIQUE EN EUROPE European Market (Colipa source 2008) European Market (Colipa source 2008) FRANCE : POINT STRATEGIQUE 23 000 entreprises étrangères FRANCE De récentes études comparatives

Plus en détail

07/2013 - La dématérialisation de factures, un pari réussi pour T.T.O.M. et son partenaire Conex

07/2013 - La dématérialisation de factures, un pari réussi pour T.T.O.M. et son partenaire Conex There are no translations available. Le dernier chantier informatique en date chez T.T.O.M. traite donc de la dématérialisation de factures clients. Un dossier qui a été une belle occasion de mettre en

Plus en détail

Mini guide des documents à l'export Douanes Certificat d origine Carnet ATA Visa Édition 2013-2014

Mini guide des documents à l'export Douanes Certificat d origine Carnet ATA Visa Édition 2013-2014 Mini guide des documents à l'export Douanes Certificat d origine Carnet ATA Visa Édition 2013-2014 Mini guide des documents à l export - 01 Mini guide des documents à l export Sommaire Introduction 1.

Plus en détail

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice Evaluation de l impact des indicateurs du Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice Janvier 205 TABLE DE MATIERES I. Introduction... II. La Méthodologie... 3 III. Analyse Empirique...

Plus en détail

La carte d achat, c est quoi ça?

La carte d achat, c est quoi ça? La, c est quoi ça? C est un outil mis à disposition des structures publiques et privées qui modifie et simplifie l acte d approvisionnement : C est une carte bancaire nominative et sécurisée qui permet

Plus en détail

SPF FIN. Patris Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale. Version 1.1

SPF FIN. Patris Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale. Version 1.1 SPF FIN Patris Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale Version 1.1 Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale Date: 17/06/2004 Historique

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

Traçabilité Du besoin à la mise en oeuvre

Traçabilité Du besoin à la mise en oeuvre 20/09/2007 Traçabilité Du besoin à la mise en oeuvre Joseph FELFELI, PDG Groupe ACTEOS 1 PRESENTATION ACTEOS Éditeur de progiciels et intégrateur de technologies avancées pour la synchronisation et l optimisation

Plus en détail

A cet égard, ImportExport.fr se positionne comme le facilitateur du commerce international!

A cet égard, ImportExport.fr se positionne comme le facilitateur du commerce international! Offre de lancement : Edition 2015 2015 Réussir à l import ou à l export, c est avant tout une affaire de réseaux et de partenaires capables de répondre rapidement et efficacement aux besoins divers des

Plus en détail

Healthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé

Healthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé Healthcare * sdv.com Logistique. Imagination. *Santé SDV, un service de proximité et une performance assurée La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un service de proximité

Plus en détail

NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES. (05 mars 2014)

NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES. (05 mars 2014) Direction du Protocole P1.1 NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES (05 mars 2014) Le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement

Plus en détail

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux référentiels dont le plus connu et le

Plus en détail

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Lorraine Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux

Plus en détail

Cyberclasse L'interface web pas à pas

Cyberclasse L'interface web pas à pas Cyberclasse L'interface web pas à pas Version 1.4.18 Janvier 2008 Remarque préliminaire : les fonctionnalités décrites dans ce guide sont celles testées dans les écoles pilotes du projet Cyberclasse; il

Plus en détail

Au sens des dispositions de l article 2, du règlement n 07 01, sont considérées comme :

Au sens des dispositions de l article 2, du règlement n 07 01, sont considérées comme : Le règlement N 07 01 du 09/01/2007, relatif aux règles applicables aux transactions courantes avec l étranger et aux comptes devises a modifié et remplacé les règlements n 91 12 relatif à la domiciliation

Plus en détail

A : FedEx Express Belgique CE 300/2008 A retourner par fax au : 02 752 76 20

A : FedEx Express Belgique CE 300/2008 A retourner par fax au : 02 752 76 20 Numéro(s) de compte FedEx Express : Veuillez compléter l annexe A si la société dispose de plusieurs numéros de compte et/ou implantations. A : FedEx Express Belgique CE 300/2008 A retourner par fax au

Plus en détail

CHARTE INFORMATIQUE LGL

CHARTE INFORMATIQUE LGL CHARTE INFORMATIQUE LGL Selon la réglementation indiquée dans la charte informatique du CNRS, tout accès aux ressources informatiques du LGLTPE nécessite une authentification des personnels. Cette authentification

Plus en détail

Archivage électronique - Règle technique d exigences et de mesures pour la certification des PSDC

Archivage électronique - Règle technique d exigences et de mesures pour la certification des PSDC Archivage électronique - Règle technique d exigences et de mesures pour la certification des PSDC Sommaire Description du modèle de surveillance Définitions Objectifs de la surveillance des PSDC Présentation

Plus en détail

Recueil des Programmes d Opérateurs économiques agréés. Édition 2012

Recueil des Programmes d Opérateurs économiques agréés. Édition 2012 Document de recherche de l OMD n 25 Recueil des Programmes d Opérateurs économiques agréés Édition 2012 Mariya Polner Résumé L'édition de juin 2012 du Recueil des Programmes d Opérateurs économiques agréés

Plus en détail

LA SÉCURITÉ ÉCONOMIQUE, UN ENJEU-CLÉ POUR LES ENTREPRISES

LA SÉCURITÉ ÉCONOMIQUE, UN ENJEU-CLÉ POUR LES ENTREPRISES LA SÉCURITÉ ÉCONOMIQUE, UN ENJEU-CLÉ POUR LES ENTREPRISES DÉFINIR UNE POLITIQUE INTERNE DE SÉCURITÉ RELATIVE À L INFORMATION STRATÉGIQUE DE VOTRE ENTREPRISE Vous n avez pas effectué de diagnostic interne

Plus en détail

FedEx Ship Manager. Guide de l utilisateur. Solutions de surface FedEx International DirectDistribution. FedEx Transborder Distribution

FedEx Ship Manager. Guide de l utilisateur. Solutions de surface FedEx International DirectDistribution. FedEx Transborder Distribution FedEx Ship Manager MC FedEx Transborder Distribution MD Solutions de surface FedEx International DirectDistribution MD Guide de l utilisateur Table des matières FedEx Transborder Distribution MD Solutions

Plus en détail

Pocket Guide. Les enjeux de la matière douanière en entreprise

Pocket Guide. Les enjeux de la matière douanière en entreprise Pocket Guide Les enjeux de la matière douanière en entreprise Pocket Guide Les enjeux de la matière douanière en entreprise Pocket Guide rédigé par Landwell & Associés, société d avocats Bertrand RABO

Plus en détail

TMS EYEFREIGHT B.V. 7 e ÉDITION. Eyefreight. Pour vos appels d offre. SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort

TMS EYEFREIGHT B.V. 7 e ÉDITION. Eyefreight. Pour vos appels d offre. SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort Pour vos appels d offre Juillet-Août 2014 TMS 7 e ÉDITION EYEFREIGHT B.V. Eyefreight SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. NOM de l'éditeur Eyefreight B.V. 2. Appartenance

Plus en détail

FAIRE FACE A UN SINISTRE INFORMATIQUE

FAIRE FACE A UN SINISTRE INFORMATIQUE FAIRE FACE A UN SINISTRE INFORMATIQUE Lorraine Protéger son système d information 1 avec des solutions techniques ne suffit pas toujours pour faire face à un sinistre. En cas de perte, de vol ou de dégradation

Plus en détail

(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier

(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier Loi n 13-89 relative au commerce extérieur promulguée par le dahir n 1-91-261 du 13 joumada I 1413 (9 novembre 1992), telle quelle a été modifiée et complétée par la loi n 37-93 promulguée par le dahir

Plus en détail

Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité

Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions. ERP reflex-erp.com

Plus en détail

SAP FRANCE. 5 e ÉDITION. SAP Transportation Management. Pour vos appels d offre. SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort

SAP FRANCE. 5 e ÉDITION. SAP Transportation Management. Pour vos appels d offre. SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort Pour vos appels d offre Juillet-Août 2011 TMS 5 e ÉDITI SAP FRACE SAP Transportation Management SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. M de l'éditeur SAP France 2. Appartenance

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION. «Expert en automobile indépendant» (convention complète)

CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION. «Expert en automobile indépendant» (convention complète) CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION «Expert en automobile indépendant» (convention complète) Les parties à la convention - Le Ministre de l intérieur représenté par M. Jean-Benoît ALBERTINI, Préfet

Plus en détail

FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES

FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES 30/01/2014 La délivrance d'une facture est obligatoire entre professionnels sous peine de sanctions pénales et fiscales. Si le format du document, sa couleur, le fait qu'il

Plus en détail

Auditer une infrastructure Microsoft

Auditer une infrastructure Microsoft Auditer une infrastructure Microsoft I. INTRODUCTION :... 3 A. OU TROUVER CE DOCUMENT :... 3 B. OBJECTIFS DU DOCUMENT :... 3 II. AUDIT DE L INFRASTRUCTURE INFORMATIQUE :... 4 A. AUDIT DU RESEAU:... 4 B.

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28 Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions

Plus en détail

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge Rabat, le 16/11/2011 ans le cadre des missions d études prévues dans le jumelage entre l Office des Changes et les institutions françaises partenaires, une visite d étude a été effectuée en Belgique du

Plus en détail

Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222

Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222 Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222 OBJET : - Entrée en vigueur de l'accord de Libre Echange conclu entre le Royaume du Maroc et la République de Turquie. REFER : - Correspondance n 18094/003008

Plus en détail

RENFORCEZ DURABLEMENT VOS COMPETENCES A L INTERNATIONAL

RENFORCEZ DURABLEMENT VOS COMPETENCES A L INTERNATIONAL RENFORCEZ DURABLEMENT VOS COMPETENCES A L INTERNATIONAL FORMATIONS TECHNIQUES & MANAGERIALES P R O G R A M M E 2014 ANGLAIS EN FRANCE ET À L'ÉTRANGER NOTRE PROFIL & NOTRE PRESENCE INTERNATIONALE Acte international

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. RESTREINTE Document de séance No. 6 (2006) 27 janvier 2006 COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS Groupe de travail des

Plus en détail

SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 )

SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 ) SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 ) PRESENTATION DE LA PRODUCTION DES STATISTIQUES DOUANIERES GUINEE Conakry I -

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES D ENREGISTREMENT ET DE GESTION D UN NOM DE DOMAINE NFRANCE CONSEIL

CONDITIONS GENERALES D ENREGISTREMENT ET DE GESTION D UN NOM DE DOMAINE NFRANCE CONSEIL CONDITIONS GENERALES D ENREGISTREMENT ET DE GESTION D UN NOM DE DOMAINE NFRANCE CONSEIL ARTICLE 1 - DEFINITIONS Nom de domaine : Nom unique désignant un ou plusieurs sites ou services sur Internet Adresse

Plus en détail

SYSTEME D INFORMATION L OFFRE SAGE :: 2010 / 2011 ::

SYSTEME D INFORMATION L OFFRE SAGE :: 2010 / 2011 :: SYSTEME D INFORMATION L OFFRE SAGE :: 2010 / 2011 :: Sommaire Introduction Présentation du groupe SAGE Missions et objectifs Approche modulaire de L offre SAGE1000 Approche modulaire de L offre SAGE X3

Plus en détail

CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME

CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME MAI 2006 LES ARTICLES > ARTICLE 1 ER périmètre et objectifs page 2 > ARTICLE 2 soutien de l esprit d entreprise en favorisant la création ou la reprise d entreprises

Plus en détail

RESPONSABLE D UNE UNITE DE TRANSPORT ET LOGISTIQUE (Enseignement week-end) (ACMS23)

RESPONSABLE D UNE UNITE DE TRANSPORT ET LOGISTIQUE (Enseignement week-end) (ACMS23) RESPONSABLE D UNE UNITE DE TRANSPORT ET LOGISTIQUE (Enseignement week-end) (ACMS23) PUBLIC & PREREQUIS Personnes désirant acquérir, maintenir ou approfondir leurs connaissances sur le fonctionnement d

Plus en détail

CARTE HEURISTIQUE...1 LA DÉMATÉRIALISATION DES INFORMATIONS...2

CARTE HEURISTIQUE...1 LA DÉMATÉRIALISATION DES INFORMATIONS...2 Table des matières CARTE HEURISTIQUE...1 LA DÉMATÉRIALISATION DES INFORMATIONS...2 LES ENJEUX DE LA DÉMATÉRIALISATION...2 LES AVANTAGES DE LA DÉMATÉRIALISATION...3 LES OBLIGATIONS... 3 LES TECHNOLOGIES

Plus en détail

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement

Plus en détail

SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES

SPECIFICATION E DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice

Plus en détail

DOSSIER PREFECTURE ET CNIL MOINS DE 8 CAMERAS ET NE FILMANT PAS LA VOIE PUBLIQUE

DOSSIER PREFECTURE ET CNIL MOINS DE 8 CAMERAS ET NE FILMANT PAS LA VOIE PUBLIQUE DOSSIER PREFECTURE ET CNIL MOINS DE 8 CAMERAS ET NE FILMANT PAS LA VOIE PUBLIQUE 1 attestation de remise des documents Je soussigné, Mr de la société.. atteste avoir reçu ce jour de la société ADS FRANCE,

Plus en détail

NRC : N KG/2985/M www.mecreco.cd e-mail : info@mecreco.cd, mecrecocoocec@yahoo.fr

NRC : N KG/2985/M www.mecreco.cd e-mail : info@mecreco.cd, mecrecocoocec@yahoo.fr Annexe 1 TERMES DE REFERENCE POUR L ACQUISITION D UN LOGICIEL DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES. I. Contexte. Dans le cadre des activités de Professionnalisation et d encadrement des COOPEC affiliées

Plus en détail

CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION. «société d assurance indépendante» (Convention complète)

CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION. «société d assurance indépendante» (Convention complète) CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION «société d assurance indépendante» (Convention complète) Les parties à la convention - Le Ministre de l intérieur représenté par le Préfet de - Raison sociale : numéro

Plus en détail

Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique

Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique Sommaire Fondements d une politique de sécurité Les 9 axes parallèles d une politique

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION POUR L EXERCICE DES ACTIVITES DE ROUTAGE, DE COMPENSATION ET DE REGLEMENT DES TRANSACTIONS MONETIQUES

DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION POUR L EXERCICE DES ACTIVITES DE ROUTAGE, DE COMPENSATION ET DE REGLEMENT DES TRANSACTIONS MONETIQUES DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION POUR L EXERCICE DES ACTIVITES DE ROUTAGE, DE COMPENSATION ET DE REGLEMENT DES TRANSACTIONS MONETIQUES Ce document est à adresser à la Direction des Opérations Monétaires

Plus en détail

Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel.

Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Alain BONTEMPS, Directeur du CEFRI -NOMBRE DE TRAVAILLEURS EXPOSES (Nucléaire): Total: 60

Plus en détail

Revue d actualité juridique de la sécurité du Système d information

Revue d actualité juridique de la sécurité du Système d information Revue d actualité juridique de la sécurité du Système d information Me Raphaël PEUCHOT, avocat associé FOURMANN & PEUCHOT 16 mars 2011 THÈMES ABORDÉS : 1. Cloud computing : les limites juridiques de l

Plus en détail

CHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe

CHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe Déclaré conforme à la loi Informatique et Libertés par la CNIL, le 30 mars 2005, suivant procédure prévue par l article 11-3 de la loi du 6 janvier 1978. CHARTE DE L E-MAILING Code relatif à l utilisation

Plus en détail

PORTNET Guichet Unique Marocain du Commerce Extérieur

PORTNET Guichet Unique Marocain du Commerce Extérieur Multi-year Expert Meeting on Transport, Trade Logistics and Trade Facilitation Second Session Trade facilitation rules as a trade enabler: options and requirements Geneva, 1 3 July 2014 PORTNET Guichet

Plus en détail