Plan de sécurité civile Services préhospitaliers d urgence

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1 Plan de sécurité civile Services préhospitaliers d urgence Février 2008

2 Ce document a été élaboré par Rédaction Sébastien Légaré Révision médicale Dave Ross Collaborateurs Mathieu Allaire Martine Bernard Claude Bordeleau Éric Bouchard Gabriel Bourdon Jean-Marc Breton Éric Bruneau Benoît Delage Louis Goyer Stéphane Martin Patrick Mercier Guy Noiseux Louis Poirier Marco Viel Secrétariat Lorraine Simard Karine Vanasse Technicien à l assurance qualité, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile, ASSSM Directeur médical régional, Services préhospitaliers d urgence, ASSSM Responsable de mission de sécurité civile, ASSSM Technicienne à l assurance qualité, ASSSM Technicien ambulancier/paramédic instructeur, ASSSM Technicien ambulancier/paramédic, CETAM Technicien ambulancier/paramédic instructeur, ASSSM Coordonnateur, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile Technicien à l assurance qualité, ASSSM Technicien ambulancier/paramédic, CETAM Technicien ambulancier/paramédic, CETAM Technicien ambulancier/paramédic instructeur, ASSSM Technicien ambulancier/paramédic, CETAM & pompier au SIM Technicien ambulancier/paramédic réviseur, ASSSM Directeur des opérations, CETAM Technicien ambulancier/paramédic, Ambulances Richelieu inc. Agente administrative, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile, ASSSM Agente administrative, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile, ASSSM AVIS : La reproduction en partie ou en totalité de ce document est autorisée à des fins opérationnelles et pédagogiques. L auteur et l Agence doivent cependant être cités à titre de référence. De plus, le genre masculin est utilisé sans discrimination et uniquement dans le but d alléger le texte. Première édition : Février 2008

3 LISTE DE DIFFUSION # Cartable Organisme Fonction responsable Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie 07 Ministère de la Santé et des Services sociaux 08 Ministère de la Santé et des Services sociaux Centre de communication santé (Groupe Alerte Santé) Centre de communication santé (Groupe Alerte Santé) Coordonnateur, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile Directeur médical régional des services préhospitaliers d urgence Technicien à l assurance qualité, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile Technicien à l assurance qualité, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile Responsable de mission, Services préhospitaliers d urgence et sécurité civile Centre de coordination des mesures d urgence Directeur exécutif et médical, Direction adjointe du préhospitalier Directeur, Direction des activités de sécurité civile Directeur des opérations Chef d équipe en devoir 11 Ambulances Bedford inc. Détenteur de permis 12 Dessercom inc. (Ambulances Saint-Hyacinthe) Détenteur de permis 13 Dessercom inc. (Ambulances Acton Vale) Détenteur de permis 14 Dessercom inc. (Ambulances Granby) Détenteur de permis Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie (CETAM) Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis Détenteur de permis 25 Ambulance Cowansville inc. Détenteur de permis 26 Ambulances Demers inc. Détenteur de permis 3

4 # Cartable Organisme Fonction responsable 27 Ambulances Demers inc. (Boucherville) Détenteur de permis 28 Ambulances Demers inc. (Lacolle-Hemmingford) Détenteur de permis 29 Ambulances Demers inc. (Saint-Jean) Détenteur de permis 30 Le Service ambulancier Farnham inc. Détenteur de permis 31 Ambulance Rodrigue Montpetit et Fils inc. Détenteur de permis 32 Ambulance Richelieu inc. Détenteur de permis 33 Ambulance Waterloo Détenteur de permis

5 REGISTRE DES MISES À JOUR Mise à jour 01 Date Description

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7 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION...9 PHASE 1 : ALERTE ET MISE EN TENSION...13 PHASE 2 : AFFECTATION, MOBILISATION DES RESSOURCES ET PRISE EN CHARGE INITIALE DE L INTERVENTION...19 PHASE 3 : GESTION DE L INTERVENTION...25 ANNEXE A : DÉFINITION DES NIVEAUX D AMPLEUR DES ÉVÉNEMENTS... A ANNEXE B : DÉFINITION DU SYSTÈME DE GESTION DE L INTERVENTION (SGI) ET AMÉNAGEMENT DU SITE... B ANNEXE C : PLANS D INTERVENTION SPÉCIFIQUE (PIS)... C ANNEXE D : DÉCONTAMINATION... D ANNEXE E : TRIAGE... E ANNEXE F : COMMUNICATIONS...F ANNEXE G : INTERVENTION D UNE ÉQUIPE MÉDICALISÉE OU D UN MÉDECIN SUR LE SITE D INTERVENTION... G ANNEXE H : ÉVALUATION DES INTERVENANTS SPÉCIALISÉS... H ANNEXE I : FORMULAIRES D INTERVENTION...I ANNEXE J : MATÉRIEL D INTERVENTION SUGGÉRÉ (SGI)... J ANNEXE K : BOTTIN DES RESSOURCES... K ANNEXE L : RÉPONDANTS PLAN DE MOBILISATION ET DE CONTINGENCE INTERNE...L ANNEXE M : LISTE DES ÉQUIPES DE RAPPEL...M ANNEXE N : CACHE DE MATÉRIEL DE SOINS... N 7

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9 INTRODUCTION L Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie (ASSS de la Montérégie) s est dotée d un Plan d organisation régionale de sécurité civile mission «Santé» (PORSC-MS). Ce document a pour but de doter le réseau de la santé de la Montérégie d un plan d urgence général et stratégique relatif à toute menace (tel que définie dans la Loi sur la sécurité civile). Le Plan d organisation régionale de sécurité civile mission «Santé» précise l organisation et la coordination des interventions en situation de sinistre de même que les rôles des professionnels interpellés. Le PORSC-MS s inscrit notamment en lien avec le Plan régional de sécurité civile de la Montérégie. Il couvre la mission «Santé» de ce dernier. Basé sur une approche populationnelle, le PORSC-MS a comme objectif principal d identifier les situations mettant en danger la santé de la population et voir à la mise en place des mesures nécessaires à la protection de la population. La figure suivante représente graphiquement le lien entre ces différents plans. Loi de la sécurité civile LÉGENDE DES ABRÉVIATIONS PNSC PRSC Mission «Santé» PORSC-MS (ASSS) PNSC : Plan national de sécurité civile PRSC : Plan régional de sécurité civile PORSC-MS : Plan d organisation régionale de sécurité civile mission «Santé» ASSS : Agence de la santé et des services sociaux PSC : Plan de sécurité civile CSSS : Centre de santé et de services sociaux SPU : Services préhospitaliers d urgence ÉVR : Établissement à vocation régionale PSC ASSS PSC SPU PSC CSSS PSC ÉVR Constituée de quatre volets (Maintien des activités, Santé physique, Santé publique et Psychosocial), la mission «Santé» définit les responsabilités dévolues au réseau de la santé et des services sociaux. De plus, une activité de soutien aux communications est inscrite dans la mission «Santé». 9

10 La mission «Santé» peut s illustrer comme suit : COORDINATION DE SÉCURITÉ CIVILE Communications Maintien des activités Santé physique Santé publique Psychosocial Les services préhospitaliers d urgence (SPU) sont représentés par un «secteur» dans le volet «Santé physique». La figure qui suit donne une représentation graphique du volet «Santé physique» : OBJECTIFS : Réduire la morbidité chez les victimes Maintenir l accès à des services de santé à la population 10

11 Voici le détail du secteur préhospitalier tel que présenté dans la mission «Santé» : Volet Santé physique Secteur préhospitalier Triage Services ambulanciers 1 En zone sécuritaire, séparer le plus rapidement possible les blessés nécessitant des soins immédiats de ceux pouvant attendre. Stabiliser et emmener le plus rapidement possible les blessés vers les lieux de traitement appropriés. Soutien : La mission «Évacuation massive, réintégration et sécurité» peut être mise en œuvre afin d établir et de sécuriser des couloirs de circulation prioritaires; La mission «Transport» peut être mise en œuvre afin de mobiliser, de façon complémentaire, les véhicules pour transporter les blessés. Évacuation aérienne Déplacer les blessés vers les lieux de traitement appropriés en ayant recours à des avions ou des hélicoptères. Soutien : La mission «Transport» peut être mise en œuvre afin de mobiliser les aéronefs pour transporter les blessés; La mission «Évacuation massive, réintégration et sécurité» peut être mise en œuvre afin d établir et de sécuriser des aires d'accès et de transbordement prioritaires nécessaires à l'évacuation aérienne. Finalement, le PORSC-MS devra être complété par des plans stratégiques au niveau de chacun des volets de la mission ainsi que par des plans d interventions spécifiques afin de raffiner le degré de préparation du réseau sociosanitaire montérégien. Le présent plan vise à remplir cette obligation pour les services préhospitaliers d urgence en Montérégie. Approche et philosophie du présent plan Ce plan, en plus de conformer les SPU à la Loi sur la sécurité civile, a comme principal objectif, d outiller les techniciens ambulanciers/paramédics dans le cadre de leur fonction afin de gérer, de façon optimale, des situations problématiques dites de sinistre ou de blessés multiples, qui se traduiront, nous l espérons, en une diminution de la mortalité et de la morbidité dans certaines situations. Le présent plan repose sur un principe fondamental qui se nomme le Système de gestion de l intervention (SGI). Depuis les huit dernières années, suite à la venue du Système de gestion tactique dans les services de sécurité incendie, une nouvelle approche philosophique dans l application des mesures d urgence a fait son apparition dans les services préhospitaliers d urgence. Ce nouveau système est appelé «Incident management system» 2 ou Système de gestion de l intervention (SGI). C est ce système qui sera appliqué en Montérégie dans la gestion des interventions préhospitalières courantes et extraordinaires. Cette approche vous est présentée en détail à l annexe B. Pour appliquer les procédures et les plans d interventions spécifiques, le technicien ambulancier/paramédic doit comprendre et être en mesure d appliquer le SGI. 1 Par Services ambulanciers, on entend les acteurs de la chaîne préhospitalière suivants : RMU, PR, TA/P. 2 En fonction de la littérature consultée, on peut l appeler «Incident command system». 11

12 Le Système de gestion de l intervention (SGI) Dans le système de gestion de l intervention, deux centres de décisions sont identifiés afin d appuyer les intervenants affectés à l événement. L ouverture de ces centres de décisions et la composition des répondants à ces centres dépendent des besoins des intervenants terrain, de l ampleur de l événement et de la capacité de gestion. Mais aussi du niveau décisionnel requis quand les automatismes établis ne suffisent plus. Le premier de ces centres de coordination se nomme le Poste de commandement santé (PC Santé). Dans la plupart des situations, seul le PC Santé sera nécessaire. Cependant, en présence d un sinistre de grande ampleur, par exemple, un centre de coordination des opérations (CCO) sera nécessaire pour appuyer le PC Santé. L annexe B présente en détail le SGI ainsi que les rôles et responsabilités de chaque maillon. Dès qu une intervention nécessite plusieurs ambulances ou implique plusieurs victimes, le SGI doit être appliqué. Les principaux intervenants concernés sont les techniciens ambulanciers/paramédics qui, en règle générale, sont les premières ressources préhospitalières affectées à la gestion de l événement. Par la suite, vient le rôle des officiers terrain. Les premiers répondants, dans le cadre du SGI, seront utilisés comme ressources pouvant administrer des soins sur le site ou même, dans certains cas, selon leurs champs de compétences procéder au sauvetage ou à la désincarcération. Au niveau de la gestion de l événement, pour la plupart des interventions, «le SGI de base» sera suffisant pour gérer de façon optimale l intervention. La figure suivante présente le SGI de base qui peut être, entre autres, appliqué par quatre techniciens ambulanciers/paramédics. Pour appliquer adéquatement le SGI, plusieurs phases d intervention doivent être appliquées de manière automatique par les divers acteurs ciblés (CCS, techniciens ambulanciers/paramédics et officiers de garde). Lorsqu un événement d envergure se produit et qu il implique nos services, l issue de la situation et la façon dont sera gérée l intervention sont souvent directement reliées à l organisation des 2 premières ressources arrivées sur les lieux du sinistre ou de l événement. Cela peut faire la différence entre une intervention chaotique (aucune application du SGI) et une intervention optimale (application du SGI), entre plus de vies sauvées ou plus de morts. Les pages qui suivent expliquent de manière explicite les niveaux d interventions, les rôles et responsabilités de chacun des intervenants en fonction de la situation rencontrée. 12

13 PHASE 1 ALERTE ET MISE EN TENSION 13

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15 PHASE 1 : ALERTE ET MISE EN TENSION Note : Le terme «officier» désigne toute personne responsable nommée comme telle par son entité. Le terme «ressource ambulancière» désigne tout intervenant ambulancier (technicien ambulancier/paramédic en soins primaires, en soins avancés ou de supervision) qui est appelé à intervenir sur la scène. Objectif : Se préparer à intervenir lors d une situation hors du commun. Dès que le répartiteur médical d urgence (RMU) identifie un critère d application, il déclenche la phase 2 et il avise l officier au CCS de la situation. Critères d application : Pour le CCS, selon le déterminant MPDS TM (1) : 4-D-5 Agression/Agression sexuelle Victimes multiples; 7-D-1 Brûlures/Explosion Victimes multiples; 7-C-1 Brûlures/Explosion Feu de bâtiment avec indication de personnes à l intérieur; 8-D-5 Monoxyde de carbone/inhalation/produits dangereux Victimes multiples; 20-D-2 Exposition à la chaleur/au froid Victimes multiples (avec symptômes prioritaires); 22-D-2 Incident inaccessible/personne coincée (non véhiculaire) Effondrement de fossé; 22-D-3 Incident inaccessible/personne coincée (non véhiculaire) Effondrement de structure; 22-D-5 Incident inaccessible/personne coincée (non véhiculaire) Situation de terrain inaccessible; 22-D-6 Incident inaccessible/personne coincée (non véhiculaire) Glissement de terrain/avalanche; 27-D-5 Arme blanche/arme à feu/trauma pénétrant Victimes multiples; 29-D-1 Accidents de la route/transport Incident majeur : Aéronef; Autobus; Métro; Train; Bateau. 29-B-2 Accidents de la route/transport Victimes multiples (une unité d intervention); 29-B-3 Accidents de la route/transport Victimes multiples (unités d intervention supplémentaires); 10-90, 10-91, 10-92, (voir annexe A); Tout déterminant ou incident avec victimes multiples. (1) Medical Priority Dispatch System 15

16 Le CCS avise la Coordination régionale de sécurité civile (Agence) en fonction de l algorithme décisionnel suivant : Appel entrant au CCS. ARRÊT NON Est-ce une situation potentielle? NON Interventions répétitives dans un même lieu? (court délai) NON Véhicule transmet de l information supplémentaire? OUI OUI OUI Avis au chef d équipe. Est-ce un ÉDO? OUI Le chef d équipe du CCS demande un état de situation. L état de situation est-il confirmé? NON NON OUI Y a-t-il un impact sur la mission «Santé»? OUI Le chef d équipe CCS met sous tension la CRSC (ASSS de la Montérégie) NON ARRÊT 16

17 Définition des termes de l algorithme pour l avis à la Coordination régionale de sécurité civile (CRSC) Mission de la Coordination régionale de sécurité civile (CRSC) La CRSC supporte les organisations dans le processus de planification des mesures d'urgence. De plus, lors d'un sinistre, la CRSC apporte un supportconseil à l'organisation victime d'un sinistre et, dans certaines occasions, assure une coordination des activités dans le réseau de la santé. Description d un sinistre Un sinistre est un événement dû à un phénomène naturel, à une défaillance technologique ou à un accident découlant ou non de l'intervention humaine, qui cause de graves préjudices aux personnes ou d'importants dommages aux biens et exige de la collectivité touchée des mesures inhabituelles. Voici quelques points de repère permettant d identifier un sinistre : L événement est hors de l ordinaire, le danger est important, une incertitude scientifique ou technique existe, la durée sera longue ou indéterminée. L intervention exige une action urgente ainsi que des tâches et des procédures inhabituelles. La maîtrise de la situation se fait difficilement. La mobilisation de ressources supplémentaires est nécessaire puisque les ressources sur place ne suffisent pas. De plus, plusieurs ressources humaines ayant des champs d expertise différents et provenant de plusieurs ministères et organismes sont impliquées dans la gestion de la réponse au sinistre. Description des termes utilisés dans l algorithme décisionnel Situation potentielle : On entend par situation potentielle toute situation qui s apparente à un sinistre selon les informations reçues lors de la prise d appel. Plus spécifiquement, certaines situations cliniques (déterminants) doivent être considérées comme situation potentielle de sinistre. Voici une liste non exhaustive de ces situations cliniques : 7-D-1 Brûlures/Explosion Victimes multiples 8-D-3 Monoxyde de carbone/inhalation/produits dangereux Produits dangereux 8-D-5 Monoxyde de carbone/inhalation/produits dangereux Victimes multiples 27-D-5 Arme blanche/arme à feu/trauma pénétrant Victimes multiples 29-D-3 Accidents de la route/transport Produits dangereux 17

18 ÉDO Événement à déclaration obligatoire : On entend par événement à déclaration obligatoire à la CRSC les événements suivants, lorsque ceux-ci sont confirmés par les autorités, peu importe les conséquences sur le réseau de la santé : Même s il est de la responsabilité du CCS d aviser la CRSC, il est du devoir de l entreprise ambulancière, via ses officiers et TA/P, de s assurer que la CRSC est avisée, puisque le CCS n est pas sur la scène. Il est de la responsabilité du CCS d aviser la Coordination régionale de sécurité civile (CRSC) via le Évacuation (potentielle ou réelle); Confinement (potentiel ou réel); Implication de matières dangereuses (avec ou sans blessé avec ou sans équipe d intervention spécialisée (hazmat)); Acte antisocial (criminel) avec bombe explosive, chimique ou biologique; Événement dont le nombre de blessés dépasse grandement la capacité de réponse de nos ressources ambulancières; Intoxication d un grand nombre de personnes; Rassemblement, manifestation publique avec violence ou émeute; Panne importante du système informatique, téléphonique ou électrique (incluant rupture du 911); Tuerie (plusieurs victimes, familles décimées, etc.). Impact sur la mission «Santé» : On entend par impact sur la mission «Santé» un événement qui a un impact sur une ou plusieurs activités de la mission telles que définies dans le Plan national de sécurité civile (PNSC). Voici la liste de ces activités par volet : Volet Maintien des activités Maintien des activités des établissements du réseau Volet Santé physique secteur Préhospitalier Triage Services ambulanciers Évacuation aérienne Volet Santé physique secteur Hospitalier Réception massive d usagers et de blessés Volet Santé physique secteur Santé de première ligne Soins infirmiers Consultations médicales Services de pharmacie Volet Santé publique Santé environnementale Maladies infectieuses Avis de santé publique Volet Psychosocial Services psychosociaux 18

19 PHASE 2 AFFECTATION, MOBILISATION DES RESSOURCES ET PRISE EN CHARGE INITIALE DE L INTERVENTION 19

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21 PHASE 2 : AFFECTATION, MOBILISATION DES RESSOURCES ET PRISE EN CHARGE INITIALE DE L INTERVENTION Note : Le terme «coordonnateur de site» fait référence à la personne responsable de l événement (exemple : Directeur des opérations). Le terme «officier» désigne toute personne responsable nommée comme telle par son entité. Le terme «ressource ambulancière» désigne tout intervenant ambulancier (technicien ambulancier/paramédic en soins primaires, en soins avancés ou de supervision) qui est appelé à intervenir sur la scène. Objectif : Affecter un nombre de ressources suffisantes pour commencer la prise en charge initiale de la scène et obtenir les informations pertinentes à la gestion éventuelle de l événement. Responsabilités du CCS La seule situation où le CCS n affecte pas 2 ambulances en STAT, est lors d une demande de disponibilité spéciale (10-90). Le CCS doit rapprocher immédiatement 2 ambulances en conduite non urgente à moins de 5 km de la scène après l affectation initiale des deux premières ressources. À cette étape, les ambulances ne doivent pas se rendre sur la scène, elles sont en attente. En tout temps, la sécurité des intervenants doit être la priorité. 1. Affecter 2 ambulances STAT nonobstant le nombre d ambulances demandées par l appelant. 2. Aviser l officier de l entreprise ambulancière et lui transmettre les informations suivantes : La ville; Le déterminant (état de la situation); Le nombre de victimes réelles ou potentielles; Les 2 ambulances affectées. 3. Effectuer un redéploiement dynamique de la flotte ambulancière pour répondre à l événement (rapprocher 2 ambulances à moins de 5 km de la scène en mode non urgent). 4. Déployer dynamiquement le reste de la flotte adéquatement sur le territoire et planifier l envoi potentiel d autres ressources. 5. Transmettre les informations pertinentes aux équipes ambulancières. Responsabilités des techniciens ambulanciers/paramédics : Dans le cas d un événement majeur, à risque élevé pour la sécurité des intervenants (fusillade, explosion, etc.), les ressources ambulancières doivent se rassembler à un point précis, hors de tout risque, s organiser et attendre l arrivée des blessés par les équipes de sauvetage (policiers, pompiers) ou les consignes de leur officier avant d intervenir. La première ressource arrivée sur les lieux (1 re ambulance) doit : 1. Se rapporter arrivée sur les lieux (10-17), s annoncer PC Santé et donner le nom de famille du chef trieur. 2. Stationner son véhicule de façon sécuritaire, stratégique et allumer les feux de scène du véhicule (identification comme PC Santé). 3. Évaluer brièvement la situation. 4. Se référer au guide CANUTEC, au besoin (Guide 111, si en présence d un produit toxique, mais non immédiatement identifiable). 21

22 5. Revêtir les dossards de CHEF TRIEUR et de TRIEUR. 6. Le chef trieur doit se rapporter au coordonnateur de site, le cas échéant. 7. Le chef trieur doit transmettre, dès que possible, les informations suivantes au CCS : Annoncer le 10-90, 10-91, 10-92, (voir annexe A); Donner une brève description de l incident; Donner le nombre de victimes potentielles et réelles; Confirmer l endroit exact de l incident, indiquer le chemin d entrée sur la scène et l aire de rassemblement; Confirmer la nécessité de la deuxième ambulance et des autres ressources spécialisées nécessaires à l intervention (ambulances, pompiers, policiers, etc.); Limiter ou augmenter le nombre de ressources ambulancières en direction des lieux; Demander la priorisation d une fréquence radio pour la gestion de l événement (10-60); Aviser le CCS de la nécessité d informer la Coordination régionale de sécurité civile, le cas échéant; Confirmer à nouveau au CCS, qu il est le PC Santé, chef trieur «nom de famille» et sa position exacte (rue, points de repère); 8. Le chef trieur doit prendre la décision de traiter et d évacuer les cas plus graves (ROUGE) immédiatement, si la situation le permet (1). 9. Le trieur désigne l Unité de triage (Triage) et commence le triage; La deuxième ressource sur les lieux (2 e ambulance) doit : 1. Se rapporter arrivée sur les lieux (10-17). 2. Stationner son véhicule de façon sécuritaire et stratégique (selon les recommandations du chef trieur) de façon à pouvoir quitter la scène rapidement. 3. Évaluer brièvement la situation. 4. Les 2 équipiers doivent se rapporter immédiatement au chef trieur avec leur «trousse de mesures d urgence» et l équipement approprié. 5. En fonction de la situation, le chef trieur leur assigne l un des rôles suivants : Organiser les aires pour le traitement et le transport des victimes : o TA/P1 : Revêtir le dossard «TRAITEMENT» (organisation de l aire/unité Traitement/Rassemblement des blessés); o TA/P2 : Revêtir le dossard «TRANSPORT» (organisation de l aire/unité et réception des ressources Transport/Rassemblement); Amorcer le transport des victimes par ordre de priorité. (1) En fonction de la situation, du nombre de victimes, de leur état, de la capacité à extraire les victimes de la scène et du temps de réponse des ressources supplémentaires. 22

23 Responsabilités de l officier de l entreprise ambulancière : 1. Prendre connaissance de l information. 2. Suivre les événements via radio et demander aux ressources ambulancières, le cas échéant, de se rassembler à un point précis (événements à risque élevé pour la sécurité des intervenants : fusillade, explosion, etc.). 3. Communiquer via appel téléphonique (10-11) avec le CCS (officier responsable au CCS) pour confirmer l événement et l état de la situation. Au besoin, il demande qu on avise la CRSC de l Agence, si ce n est déjà fait. 4. Communiquer via avec la CRSC ou l officier du CCO (2), le cas échéant, et transmettre l information pertinente s il y a lieu. 5. Se mettre en direction de l événement en fonction de la situation. (2) L officier du centre de coordination des opérations (CCO) est désigné par la CRSC. 23

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25 PHASE 3 GESTION DE L INTERVENTION 25

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27 PHASE 3 : GESTION DE L INTERVENTION Responsabilités du CCS 1. Déterminer la fréquence radio priorisée pour la gestion de l intervention et aviser les ressources ambulancières (10-19 pour un 10-60), si demandé par le chef trieur. 2. Informer les ressources ambulancières de tout changement et répondre à leurs demandes. 3. Relier les consignes de l officier de l entreprise ambulancière aux ressources ambulancières, le cas échéant. 4. Après confirmation officielle de l événement par le chef trieur, en fonction des critères, le CCS doit communiquer les informations suivantes à la CRSC (Agence) via le : Le type d intervention (10-90, 10-91, ou 10-93); L état de la situation; Le lieu de l intervention (adresse, ville, etc.); Le nombre de victimes réelles et potentielles; Le nombre de ressources ambulancières/premiers répondants envoyées; Le nom du chef trieur et de l officier de l entreprise ambulancière qui ont été informés ou qui sont responsables de l intervention. 5. Maintenir la communication avec le chef trieur. 6. S assurer du déploiement dynamique des ressources sur l ensemble du territoire afin de maintenir le niveau de service. 7. Le CCS doit communiquer et transmettre l information à l officier de l entreprise ambulancière et à la personne ressource de la CRSC de l Agence (circulation de l information). 8. Évaluer les besoins et communiquer avec les services ambulanciers des régions voisines afin d assurer un nombre de ressources ambulancières suffisantes pour gérer l événement et maintenir les services à la population. 9. Effectuer un préavis (mise en tension) aux hôpitaux locaux qui seraient probablement touchés par l événement (réf. : réception massive de blessés) et les aviser que le chef trieur va communiquer directement avec eux pour leur faire un état de situation. Responsabilités du chef trieur : En tout temps, les techniciens ambulanciers/paramédics doivent intervenir en «zone froide» (réf. zone sécuritaire du périmètre d opération). Toutes communications entre le site d opération et le CCS doivent être faites par le chef trieur. 1. Établir le PC Santé et gérer les activités santé en coopération avec le coordonnateur de site. 2. Demander aux équipes présentes sur les lieux de passer sur la fréquence prioritaire qui a été déterminée par le CCS. 3. Transmettre les informations pertinentes supplémentaires au CCS (ex. : l endroit exact où le PC Santé est situé : adresse, rue, etc.). 4. Orienter les équipes subséquentes sur le site d opération, au besoin. 5. Maintenir la circulation de l information avec le CCS. 27

28 Le triage JumpSTART s applique en pédiatrie. 6. Communiquer directement avec le ou les hôpitaux désignés pour les mettre en tension et préparer la réception des blessés. Transmettre l information suivante aux salles d urgence concernées : Une brève description de l incident; Le nombre de victimes potentielles et leur état, si disponible (START/JumpSTART voir annexe E); L estimation du temps d arrivée (10-22) des premières victimes à l hôpital. Responsabilités du trieur : *Si une décontamination est nécessaire, faire décontaminer les victimes avant le triage de ces dernières. *Si l équipe spécialisée qui intervient en zone dangereuse est habilitée au triage, faire effectuer le triage initial par cette dernière, à même la zone dangereuse. Les victimes prioritaires doivent par la suite être décontaminées en premier et retriées après décontamination par le trieur. 1. Déterminer la stratégie initiale de triage des victimes : Triage directement sur le lieu de l incident («on site») Triagebrancardage-traitement; Triage dans une aire destinée au triage des victimes Brancardagetriage-traitement. 2. Appliquer les cartons de triage au cou/poignet des victimes, selon la méthode START/JumpSTART (voir annexe E). 3. Appliquer les premiers soins de base lors du 1 er triage (ouverture manuelle des voies respiratoires et contrôle d hémorragie de base). 4. Demander l aide des témoins dans l accomplissement des premiers soins de base, le cas échéant. Lorsque l officier de l entreprise ambulancière arrive sur les lieux, il se rapporte au chef trieur et prend son rapport. Par la suite, il supporte le chef trieur. Dans cette situation, il voit à appliquer ses responsabilités comme officier. Cette décision appartient à l entreprise ambulancière puisqu elle est contractuellement responsable du secteur préhospitalier «volet santé physique» lors d une mesure d urgence sur son territoire. Responsabilités des équipes ambulancières subséquentes qui arrivent sur les lieux : 1. Se rapporter arrivées sur les lieux (10-17). 2. Stationner leur véhicule de façon sécuritaire et stratégique (selon les recommandations du chef trieur ou du responsable au transport/rassemblement) de façon à pouvoir quitter les lieux rapidement, à moins d avis contraire. 3. Évaluer brièvement la situation et assurer leur propre sécurité. 4. Les 2 équipiers doivent se rapporter immédiatement au chef trieur ou à la personne désignée par celui-ci avec leur «trousse de mesures d urgence» et l équipement approprié. 5. En fonction de la situation et de l ampleur de l événement, le chef trieur leur assigne le rôle suivant : Commencer le traitement et le transport des victimes OU Organiser le site selon le SGI (1) (voir annexe B). (1) Système de gestion de l intervention 28

29 Séquence de l officier de garde de l entreprise ambulancière : 1. Se rapporter arrivé sur les lieux (10-17). 2. Stationner son véhicule de façon sécuritaire et stratégique (selon les recommandations du chef trieur). 3. Évaluer brièvement la situation et assurer sa propre sécurité. 4. Se rapporter au chef trieur et prendre son rapport de la situation. 5. Supporter le chef trieur : Assurer la gestion et la coordination des opérations préhospitalières lors de l intervention; Maintenir la communication avec le CCS; Maintenir la communication avec le ou les hôpitaux appropriés. 6. Voir à ce que le responsable aux médias de l entreprise ambulancière (si applicable) soit informé de la situation et mobilisé, au besoin. 7. Communiquer, au besoin, avec la personne responsable des SPU de l Agence. 8. Assurer le maintien des activités de l entreprise ambulancière. Responsabilités de l officier du Centre de coordination des opérations préhospitalières (CCO) désigné par la CRSC : *Le CCO fait son ouverture lorsque l ampleur de l intervention est telle, qu une gestion élaborée sera nécessaire (ex. : événement sur plusieurs jours) ou implique la coordination de plusieurs volets de la mission «Santé». 1. Ouvrir les lieux physiques du CCO au CCS (sauf indication contraire). 2. Faire un état de la situation avec l officier responsable au CCS et l officier de garde de l entreprise ambulancière. 3. Superviser la répartition des ressources ambulancières pour le secteur donné où l événement a lieu. 4. Voir à la continuité des services en répondant aux appels usuels. 5. Soutenir et répondre aux demandes terrain dans la gestion de l intervention. 6. Effectuer la planification, en fonction de l ampleur de l intervention et des besoins. 7. S assurer de répondre à tous les volets du préhospitalier. 29

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31 ANNEXE A : DÉFINITION DES NIVEAUX D AMPLEUR DES ÉVÉNEMENTS Les niveaux d ampleur des événements ont pour but d éclairer et d uniformiser le langage des intervenants du préhospitalier. Ils ont été déterminés en fonction des caractéristiques présentées lors de l événement et ne constituent pas une gradation ou une détérioration de la situation en fonction du code radio utilisé (disponibilité spéciale) Le est un soutien logistique à un autre service d urgence. Même si c est une situation qui est dite «statique» pour l instant, l événement peut progresser vers un niveau plus élevé (ex. : «point d'attente» sur un incendie; le bâtiment s écroule soudainement sur 10 pompiers). Exemples : «Stand-by» sur un incendie; «Stand-by» pour colis suspect; «Stand-by» surveillance médicale des équipes d intervention spécialisées (hazmat) (Situation d urgence - niveau 1) Le est déclenché lorsqu il y a un nombre déterminé de victimes et que l incident reste «statique», c est-à-dire qu il ne se développera pas dans le temps. Dans ce genre d incident, les faits nous permettent de croire que les probabilités d aggravation sont réduites. Exemples : Accident d auto comptant 4 victimes confirmées; Accident d autobus; Fusillade dans un endroit déterminé; Incendie dans un bâtiment avec victimes dénombrées (Sinistre - niveau 2) Le est déclenché lorsqu il y a plusieurs victimes, mais que l incident est dit «dynamique», c est-à-dire qu il se développera dans le temps. Ce ne sont pas toutes les victimes qui sont dénombrées et il y a possibilité d aggravation de la situation et du nombre de victimes. Par contre, l intervention est prise en charge et devrait être limitée dans le temps. Il y a possibilité, en fonction de la situation, que les patients nous soient remis ou se dénombrent au «compte-gouttes». Exemples : Incendie dans un bâtiment de grande hauteur n ayant pas été évacué; Incident impliquant des matières dangereuses; Émeute; Fusillade à plusieurs endroits (Sinistre majeur - niveau 3) Le est déclenché lorsqu il y a un nombre inconnu de victimes qui s étalera sur une période indéterminée. Lorsque ce niveau est déclenché, c est parce qu il a un impact direct sur les opérations courantes. Ce niveau implique l intervention de plusieurs ressources et peut nécessiter des interventions sur plusieurs sites ainsi que la mise en place d une équipe de soutien plus élaborée. Parfois, il peut exiger un niveau d intervention sur plusieurs heures, jours ou semaines. Exemples : Attaque terroriste; Problèmes environnementaux (tornade, verglas, etc.). Annexe A - 1

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33 ANNEXE B : DÉFINITION DU SYSTÈME DE GESTION DE L INTERVENTION (SGI) ET AMÉNAGEMENT DU SITE TABLE DES MATIÈRES 1. SGI de base Centre de communication santé (CCS) Poste de commandement santé «Chef trieur» (PC Santé) Unité de triage «Triage» Unité de traitement «Traitement» Unité de transport - «Transport/Rassemblement» SGI élaboré Sectorisation des unités Équipe multidisciplinaire Centre de coordination des opérations (CCO) Aménagement du site Définition des périmètres de sécurité Positionnement des véhicules et accès aux périmètres...8 Annexe B - 1

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35 ANNEXE B : DÉFINITION DU SYSTÈME DE GESTION DE L INTERVENTION (SGI) ET AMÉNAGEMENT DU SITE Note : Le terme «officier» désigne toute personne responsable nommée comme telle par son entité. 1. SGI de base Le SGI de base devrait être en mesure de répondre aux interventions courantes et usuelles des SPU. En général, dans la plupart des événements usuels, le chef trieur et le trieur, en tant que gestionnaires des interventions santé, répondront aux besoins de l intervention. Dans cette situation, ils assument alors tous les maillons du SGI de base, c est-à-dire qu ils devront assumer tous les rôles (chef trieur, trieur, traitement et transport/rassemblement) en même temps. Cependant, lors d un événement plus complexe où le nombre de victimes est plus important, le SGI élaboré doit s appliquer. Voici le rôle de chacun des maillons. *Le responsable aux médias n est pas présent au niveau du SGI de base, cependant il doit, en tout temps, être avisé et être au fait de la situation (si applicable). 1.1 Centre de communication santé (CCS) Le Centre de communication santé affecte les premières ressources ambulancières (RA) (Phase 1), répond aux besoins des ressources terrain et gère les communications radio. Il est un agent de liaison entre les opérations et les partenaires (incluant les premiers répondants). 1.2 Poste de commandement santé «Chef trieur» (PC Santé) Le chef trieur est le seul gestionnaire des interventions préhospitalières sur le site et en assume toutes les responsabilités. Il assure avant tout la sécurité des intervenants préhospitaliers sur la scène. Il coordonne les interventions préhospitalières sur le site et travaille de pair avec le coordonnateur de site, selon le cas, et avec les autres intervenants. Il est le seul à relier les communications du terrain (sur le site) avec le CCS à moins d avoir délégué cette tâche à un autre intervenant (Communication - SGI élaboré). Annexe B - 3

36 Le rôle de chef trieur devrait revenir au technicien ambulancier/paramédic le plus expérimenté de la première équipe arrivée sur les lieux de l intervention, à moins que ce dernier préfère transférer cette responsabilité à son équipier. À défaut d entente explicite entre les équipiers, c est le technicien ambulancier/paramédic #2 (TA/P2) qui assume la responsabilité de chef trieur. 1.3 Unité de triage «Triage» La personne responsable de l unité de triage est sous la responsabilité du chef trieur. Elle décide de la stratégie à appliquer en fonction de la situation. Elle organise une aire de triage, si nécessaire, ou effectue le triage directement sur le site de l incident. De plus, elle effectue le triage des victimes avec les cartons de triage, selon le principe de START/JumpSTART (pédiatrie). En fonction de l ampleur des interventions, elle délègue le triage à des intervenants compétents et assure le bon déroulement de cette intervention. Le rôle de trieur (triage) devrait revenir au technicien ambulancier/paramédic qui est le plus à l'aise avec le principe de triage START/JumpSTART de la première équipe arrivée sur les lieux de l intervention. Cependant, il faut prendre note que le technicien ambulancier/paramédic le plus expérimenté devrait jouer le rôle de chef trieur. À défaut d entente explicite entre les équipiers, c est le technicien ambulancier/paramédic #1 (TA/P1) qui assume la responsabilité de trieur. 1.4 Unité de traitement «Traitement» La personne responsable de l unité de traitement est sous la responsabilité du chef trieur. Elle organise une aire de traitement si nécessaire et administre des soins de stabilisation selon les priorités de triage. Elle est désignée par le chef trieur parmi les deux techniciens ambulanciers/paramédics de la deuxième ressource arrivée sur le site d'intervention. En fonction de l ampleur des interventions, elle délègue les soins et le traitement des blessés à des intervenants appropriés et assure le bon déroulement de cette intervention. 1.5 Unité de transport - «Transport/Rassemblement» La personne responsable de l unité de transport est sous la responsabilité du chef trieur. Elle organise une aire de réception des véhicules ambulanciers et oriente les équipes sur le site. Elle assigne les blessés prioritaires aux véhicules ambulanciers, en coopération avec l Unité de traitement, et complète le registre des transports. Elle est choisie par le chef trieur qui la désigne parmi les deux techniciens ambulanciers/paramédics de la deuxième ressource arrivée sur le site d'intervention. Annexe B - 4

37 2. SGI élaboré Le SGI élaboré est mis en place ou déclenché par l officier de garde de l entreprise ambulancière qui répond à l événement. En tout temps, avant même son arrivée, via radio ou par téléphone, il pourra déclencher la mise en place du SGI élaboré. Le SGI élaboré a pour but de gérer un événement extraordinaire qui implique plusieurs victimes et un déploiement de ressources anormalement élevées pour la capacité de l organisation à répondre, soigner les victimes et assurer les services usuels. (La page suivante illustre le SGI élaboré. Veuillez vous y référer avant de continuer.) Lors de l application du SGI élaboré, certains principes doivent être appliqués : 2.1 Sectorisation des unités En fonction des besoins de chaque maillon (unité), on peut, au besoin, sectoriser des unités pour augmenter leur efficacité. Exemple : Unité de traitement Secteur des ROUGES avec équipe soignante Secteur des JAUNES avec équipe soignante Secteur des VERTS avec équipe soignante 2.2 Équipe multidisciplinaire En fonction de la situation, il est possible de jumeler un pompier ou un policier à un technicien ambulancier/paramédic, ou de former des équipes d intervention spécialisées pour intervenir auprès des victimes. Exemple : Le conducteur de l ambulance est un policier/pompier. Cela permet de laisser un TA/P sur les lieux pour soigner les victimes. 2.3 Centre de coordination des opérations (CCO) Les services préhospitaliers d urgence (SPU) de l Agence ouvrent le CCO à la demande de l officier terrain responsable de l entreprise ambulancière ou du CCS. Le CCO devrait être physiquement au CCS ou à l Agence au Centre de coordination des mesures d urgence (CCMU). La personne responsable du CCO est désignée par les SPU de l Agence. Elle a la responsabilité de faire un état de la situation avec l officier de quart du CCS et l officier de garde de l entreprise ambulancière. Elle doit superviser la répartition des ressources ambulancières pour le secteur où se produit l événement. Elle voit à la continuité des services (réponse aux appels usuels), soutient et répond aux demandes terrain dans la gestion de l événement et effectue la planification, en fonction de l ampleur de l intervention, des besoins du service et des ressources terrain. Elle voit aussi aux besoins de réhabilitation des ressources terrain (repos, subsistance, etc.) avec l entreprise ambulancière. Annexe B - 5

38 SYSTÈME DE GESTION DE L INTERVENTION ÉLABORÉ (SGI ÉLABORÉ) Centre des opérations régionales (COR) Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie (SPU et sécurité civile - mission «Santé») En soutien aux opérations SPU Centre de coordination des opérations (CCO) Centre de coordination municipal Centre de santé et de services sociaux Centre de communication santé (CCS) RESPONSABILITÉS : - Répond aux demande du PC Santé - Gère les opérations usuelles reliées à la flotte ambulancière et aux SPU (maintien du service) Unité de gestion du stress post-traumatique Centre des opérations d urgence sur le site (COUS) Poste de commandement santé (PC Santé) Appellation : Chef trieur RESPONSABILITÉS : - Observe et intervient auprès des équipes soignantes - Effectue un suivi postévénement Unité de Triage Appellation : Triage Unité de traitement Appellation : Traitement Unité de transport/rassemblement des ressources Appellation : Transport/ Rassemblement Unité d approvisionnement/ réhabilitation Appellation : Approvisionnement Unité de sécurité des lieux Appellation : Sécurité Relations publiques Appellation : Médias RESPONSABILITÉS : - Gestion de l aire de triage : - Rassemblement des blessés - Unité de trieurs - Décès et morgue temporaire (NOIR) RESPONSABILITÉS : - Gestion des secteurs de traitement : -Secteur ROUGE - Secteur JAUNE - Secteur VERT - Priorisation des soins et des patients - Gestion des équipes de soins et du personnel médical RESPONSABILITÉS : - Gestion des véhicules ambulanciers : - Arrivées/départs - Priorisation des patients à transporter - Communication avec les hôpitaux et orientation des victimes - Suivi et registre des victimes RESPONSABILITÉS : - Gestion de l approvisionnement : - Équipement de soins - Subsistance - Hygiène personnel et repos RESPONSABILITÉS : - Observation des équipes de travail (SPU et autres intervenants) : - Assure leur sécurité - Droit de véto sur les interventions pouvant potentiellement menacer la vie des intervenants RESPONSABILITÉS : - Gestion de l information à diffuser aux médias : - Transmettent l information pertinente sur l événement - Points de presse et communiqués Note : Certains maillons peuvent être présents ou absents en fonction de la situation Annexe B - 6

39 3. Aménagement du site 3.1 Définition des périmètres de sécurité Selon le ministère de Sécurité publique (MSP), lorsque les pompiers et les policiers doivent utiliser des rubans de couleur pour délimiter les périmètres de sécurité, la charte des couleurs suivante doit être respectée : Ruban orange brûlé Périmètre de police Ce périmètre interdit l accès au site à toute personne non autorisée. Les services de police assurent le respect de ce périmètre, dont les limites sont établies par les premiers intervenants et sont ajustées par le coordonnateur de site. Ruban jaune Périmètre d opération Ce périmètre est réservé au personnel des opérations revêtu de la tenue intégrale exigée en fonction de la situation ainsi qu aux personnes autorisées par le coordonnateur de site. Il est déterminé par les intervenants d urgence et peut être ajusté par le coordonnateur de site. Le PC et le Centre des opérations d urgence sur le site (COUS) y sont présents. Ruban rouge Périmètre d accès interdit Ce périmètre correspond aux lieux, aux bâtiments ou aux parties de bâtiment jugés dangereux. L accès y est limité aux intervenants autorisés et pourvus d équipements de protection individuelle appropriés au danger. Ce périmètre est établi par les premiers intervenants d urgence et peut être ajusté, au besoin, par le coordonnateur de site. Le périmètre d accès interdit constitue la zone chaude. Une zone tiède, située en périphérie de la zone chaude, peut être établie. Elle sert à rapprocher les équipements nécessaires à l intervention. Dans le cas d interventions en présence de matières dangereuses, c est dans cette zone que sera l aire de décontamination. Son accès est limité aux intervenants d urgence autorisés compte tenu des risques d exposition aux dangers. Elle sera clairement identifiée au moyen d un système distinct de celui délimitant le périmètre d opération. La zone froide est située en périphérie de la zone tiède dans le périmètre d opération. L utilisation des rubans de couleur est uniformisée afin que tous les services d urgence comprennent la signification de chacune des couleurs et puissent définir rapidement les limites des différents périmètres. La sécurité de la population et de tous les intervenants présents sur les lieux d une intervention pourra ainsi être mieux assurée. La figure à la page suivante illustre l aménagement du site. Annexe B - 7

40 3.2 Positionnement des véhicules et accès aux périmètres Source : Cadre de coordination de site de sinistre au Québec Version 1,0 Les TA/P doivent respecter ces périmètres en tout temps. Lors de l arrivée sur les lieux, les TA/P doivent positionner leur véhicule dans le périmètre d opération (ruban jaune). Les véhicules ambulanciers ne devraient jamais se retrouver à l intérieur d un ruban rouge. Le PC Santé devrait également être positionné à l intérieur du périmètre d opération (ruban jaune) et près du COUS. Le chef trieur doit se rapporter au coordonnateur de site se situant au COUS à l intérieur du périmètre d opération (ruban jaune). En tout temps, aucun TA/P ne doit passer un ruban rouge (périmètre d accès interdit). Annexe B - 8

41 ANNEXE C : PLANS D INTERVENTION SPÉCIFIQUE (PIS) Note : Tous les plans d intervention spécifique peuvent être jumelés à un ou plusieurs autres plans d intervention spécifique. Ex. : GAZ et INCENDIE DANS UN DOMICILE/LOGEMENT Ex. : PRODUITS DANGEREUX et SURVEILLANCE DES ÉQUIPES D INTERVENTION SPÉCIALISÉES EN MATIÈRES DANGEREUSES Ex. : EXPLOSION et ACTE DE TERRORISME SECTION INCENDIE TABLE DES MATIÈRES GAZ...5 FUITE DE GAZ...5 EXPLOSION DE GAZ...5 INCENDIE DE GAZ...5 PRODUITS DANGEREUX...7 USINE AVEC PRODUITS DANGEREUX...7 LOCAUX AVEC PRODUITS DANGEREUX...7 EXPLOSION DE PRODUITS DANGEREUX...7 INCENDIE DANS UN DOMICILE/LOGEMENT...9 INCENDIE DANS UN DOMICILE...9 INCENDIE DANS UN LOGEMENT...9 INCENDIE DANS UN DOMICILE AVEC LOGEMENTS MULTIPLES...9 ÉVACUATION D UN DOMICILE OU DE LOGEMENTS MULTIPLES...9 DÉVERSEMENT, EXPLOSION, INCENDIE DANS UNE CITERNE, UN TRANSPORTEUR, UN TRAIN...11 DÉVERSEMENT, FUITE, EXPLOSION OU INCENDIE DE MATIÈRES DANGEREUSES PROVENANT :...11 o D UNE CITERNE...11 o D UN TRANSPORTEUR...11 o D UN TRAIN...11 CONTAMINATION DE VICTIMES...11 SURVEILLANCE DES ÉQUIPES D INTERVENTION SPÉCIALISÉES EN MATIÈRES DANGEREUSES...13 DÉVERSEMENT, FUITE, EXPLOSION OU INCENDIE DE MATIÈRES DANGEREUSES PROVENANT :...13 o D UNE CITERNE...13 o D UN TRANSPORTEUR...13 o D UN TRAIN...13 CONTAMINATION DE VICTIMES...13 SECTION LIEUX SPÉCIFIQUES AÉRONEF, INTERVENTION DANS UN AÉROPORT...15 ATTERRISSAGE D UN AVION/AÉRONEF EN DÉTRESSE...15 ÉCRASEMENT D AVION DANS UN AÉROPORT...15 INTERVENTION SUR LES LIEUX D UN AÉROPORT...15 Annexe C - 1

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