Présenté par Martin Imbleau Vice-Président, Développement de l entreprise et énergies renouvelables 23 novembre 2016
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- Jonathan Bédard
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1 L avenir énergétique dans l industrie minière Présenté par Martin Imbleau Vice-Président, Développement de l entreprise et énergies renouvelables 23 novembre 2016
2 2 OCTOBRE 2015 CIBLES DE REDUCTION D ÉMISSION DE GES POST
3 Édition du 1 novembre 2015, section DÉBATS, écran 2 Paul Journet / La Presse C est un dur temps pour l optimisme. Il reste un mois avant le sommet de la dernière chance à Paris, et le mur approche. 20 à plus de 50 pages. «Nous n avons pas tellement négocié, nous avons clarifié les options», s est désolée la négociatrice française. Malgré le marathon de plusieurs années, il reste encore un long sprint final. Même si chacun En prévision du sommet sur le climat de Paris, chaque pays devait déposer ses engagements. Près de 150 d entre eux l ont fait, notamment les États- Unis, respectait la Chine et le Canada. ses Dans l ensemble, ces pays représentent 90 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. promesses, ce serait insuffisant. Leurs engagements mèneraient à un Et alors? Même si chacun respectait ses promesses, ce serait encore insuffisant. Leurs engagements mèneraient à un réchauffement de 2,7 oc. Soit plus que le seuil critique à ne pas dépasser, 2 oc. La planète s est déjà réchauffée de 0,8 oc depuis l ère industrielle. On a déjà calculé le maximum de carbone qui peut encore être brûlé pour ne pas dépasser 2 oc. Même avec les nouveaux engagements réchauffement des pays, ce «budget carbone de» aura déjà été consommé aux trois quarts en ,7 o C...plus que le La marge de manœuvre diminue ainsi rapidement. Mais lors des récentes rencontres entre négociateurs, les seuil pays sont à entendus ne pour pas dire qu ils ne s entendaient pas Une récente rencontre à Bonn devait dépasser, servir à terminer le texte 2 o qui C. servira de base aux négociations. On espérait réduire le nombre de pages, et donc d enjeux à régler. Mais c est plutôt le contraire qui s est produit. Le document est passé de Heureusement, plus de 80 chefs d État, dont MM. Obama et Xi Jinping, ont annoncé qu ils se rendraient finalement à Paris pour dénouer l impasse. *** L échec de Copenhague a démontré qu il faut changer d approche. Négocier une cible de réduction des GES à moyen et long terme ne suffit pas. Même si les pays se dotent de cibles exigeantes, rien ne garantit qu ils les respecteront. La volonté politique est un bien mince espoir auquel s accrocher. Cet obstacle peut être surmonté, en resserrant les échéanciers et en faisant payer la pollution. Agir sur le long terme ne suffit plus. Pour éviter la fuite vers l avant, il faut rappeler que les menaces existent déjà. Par exemple, l assureur Lloyds a calculé que la montée du niveau de la mer a fait grimper les réclamations de 30 % à New York après l ouragan Sandy, ce qui équivaut à plusieurs milliards. Et il faut aussi se doter de cibles intermédiaires pour resserrer le suivi, afin d ajuster le tir avant qu il ne soit trop tard. Cela devrait s accompagner d une révision automatique des cibles, par exemple à chaque cinq ans, comme le propose entre autres la France. Mais il faudra aussi tarifier le carbone. C est l élément le plus important, selon le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC). À l heure actuelle, il n y a que 12 % des émissions mondiales qui sont ainsi tarifiées. Il est absurde de vouloir tourner le dos aux énergies fossiles tout en les subventionnant indirectement. Pour changer les comportements, il faut changer les choix offerts. [ ] 3
4 Cop21 vs. 2 o C ÉMISSIONS DE GES - CUMULATIF GLOBAL Pre-COP21 pledges INDC trajectory Historique 2 C Bloomberg New Energy Finance Climate Action Tracker
5 Engagements insuffisants Cependant, un rapport du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) publié jeudi dernier... on se dirige plutôt vers une augmentation des températures entre 2,9 C et 3,4 C. 5
6 6
7 Le PMB et les émissions de carbone ne font plus bon ménage Source : L International Energy Agency et la Banque mondiale. Remarque : Les émissions de carbone découlent de la génération d énergie. 7
8 Émissions de carbone mondiales attribuables aux combustibles fossiles (GIGATONNES DE CO 2 /ANNÉE) Croissance du produit mondial brut (réel) Remarque : Inclut le GNL et le gain au raffinage, mais exclut les biocarburants Source : IEA; CDIAC; BP; Bloomberg New Energy Finance Source : BNEF Sommet de BNEF, New York, 5 avril
9 Les émissions mondiales de GES sont stables, mais néanmoins trop élevées Ces émissions n'ont augmenté que de 0,7 % en 2014, sont demeurées stables en 2015, et ne devraient augmenter que de 0,2 % en Une situation sans précédent en période de forte croissance économique.
10 Objectifs de réduction des émissions de GES au Québec Année de référence : 1990 Réduction de 20 % Réduction de 37,5 % Réduction de 80 %
11 Politique énergétique 2030 L énergie des QUÉBÉCOIS source de croissance Objectifs : Privilégier une économie faible en carbone ; Mettre en valeur de façon optimale nos ressources énergétiques ; Favoriser une consommation responsable ; Tirer pleinement parti du potentiel de l efficacité énergétique ; Stimuler la chaîne de l innovation technologique et sociale. 11
12 Politique énergétique 2030 L énergie des QUÉBÉCOIS source de croissance Objectifs : Privilégier une économie faible en carbone ; Mettre en valeur de façon optimale nos ressources énergétiques ; Favoriser une consommation responsable ; Tirer pleinement parti du potentiel de l efficacité énergétique ; Stimuler la chaîne de l innovation technologique et sociale. Cibles : AMÉLIORER de 15 % l efficacité avec laquelle l énergie est utilisée ; RÉDUIRE de 40 % la quantité de produits pétroliers consommés ; ÉLIMINER l utilisation du charbon thermique ; AUGMENTER de 25 % la production totale d énergies renouvelables ; AUGMENTER de 50 % la production de bioénergie. 12
13 Bilan énergétique du Québec Une grande part à l électricité, un choix énergétique gagnant au Québec Une grande consommation de produits pétroliers, grands émetteurs de GES et de particules fines Électricité 37,3 % Produits pétroliers 39,7 % Gaz naturel 14,9 % Transport 78,5 % Biomasse 7,4 % Charbon 0,7 % 13
14 Bilan des émissions de GES du Québec Dans notre radar: Transport : 43 % des émissions, dont 78 % provenant du transport routier + 31 % vs 1990 Industrie : 30,8% des émissions - 21,8 % vs Source : données 2013 du MDDELCC 14
15
16 L approche de Gaz Métro 1. Augmenter nos efforts en matière d efficacité énergétique 2. Augmenter la part des énergies renouvelables 3. Substituer le gaz naturel aux produits pétroliers là où c est souhaitable
17 Gaz naturel liquéfié 101 Devient liquide lorsqu il est refroidi à C (- 260 F) Volume : prend 600 fois moins d espace Incolore, inodore et non odorisé (le mercaptan se cristalliserait). Des détecteurs de méthane doivent donc être utilisés Non toxique et non corrosif Projet d agrandissement à l usine de liquéfaction, stockage et regazéification (LSR) de Montréal pour accroitre la capacité de liquéfaction La production passera de 3 à près de 10 Bcf par année 17
18 Desservir en GNL le Québec et le Nord-Est des États-Unis Monts Otish Baie-Comeau Matane C A N A D A Tadoussac Bécancour Lévis Cornwall MAINE Mississauga VERMONT CONNECTICUT MASSACHUSETTS RHODE ISLAND 18
19 Approvisionner les mines et les industries éloignées du réseau gazier Stornoway Arcelor Mittal CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT EN GNL 19
20 $US/Baril Dégringolade des prix du pétrole 110 $ 100 $ Prix du WTI 90 $ 80 $ 70 $ 60 $ 50 $ 40 $ 30 $ 20 $
21 janv.-14 févr.-14 mars-14 avr.-14 mai-14 juin-14 juil.-14 août-14 sept.-14 oct.-14 nov.-14 déc.-14 janv.-15 févr.-15 mars-15 avr.-15 mai-15 juin-15 juil.-15 août-15 sept.-15 oct.-15 nov.-15 déc.-15 janv.-16 févr.-16 mars-16 avr.-16 mai-16 juin-16 juil.-16 août-16 sept.-16 Prix du diésel versus le prix du GNL 30,00 Prix comparatif Diesel vs GNL 28,00 26,00 24,00 22,00 20,00 18,00 16,00 14,00 Hiver : 2,05$ 12,00 10,00 Diesel GNL 21
22 Mine Renard de Stornoway LA PREMIÈRE MINE DU NORD QUÉBÉCOIS À ÊTRE APPROVISIONNÉE EN GNL Le GNL en remplacement du diésel Réduction des GES : jusqu à 42 % avec procédé de récupération de chaleur Réduction significative de NOx et de SOx Réduction de 8 à 10 M$ des coûts annuels d opération Prix Reconnaissance de l'association de la Construction du Québec pour le chantier d importance en
23 Mine Renard de Stornoway Une solution prouvée, flexible et sécuritaire Approvisionnement à partir de l usine LSR par camions-citernes Distance de Montréal jusqu au site : km Réservoir cryogénique pour stocker le GNL Autonomie jusqu à 10 jours d opérations Construction de 7 unités électrogènes de 2.1MW Suffisant pour réponde aux besoins de fonctionnement évalués à 9,5 MW 23
24 ArcelorMittal Conversion du mazout lourd vers le GNL (gaz naturel liquéfié) ( ) projet-pilote : diminution des coûts de production de 10% et des émissions de gaz à effet de serre de plus de 30%. 24
25 Projet pilote à l usine de bouletage d ArcelorMittal UN PAS DE PLUS VERS LA DESSERTE SUR LA CÔTE-NORD Projet pilote d une durée d un an Conversion du mazout vers le GNL Première usine au Québec à utiliser cette technologie Source: ArcelorMittal Réduction des émissions de GES : Plus de tonnes éq. CO2 / année
26 Mine Raglan de Glencore ÉOLIEN, STOCKAGE D ÉNERGIE ET COUPLAGE La plus grande éolienne du grand nord québécois En fonction depuis l été 2015 Puissance de 3 MW Spécialement adaptée pour affronter les climats extrêmes Exposée au givre, soumise à des froids de -40 c et à des vents de 120 km/h Représente une réussite sans précédent sur le plan technologique. 26
27 Mine Raglan de Glencore ÉOLIEN, STOCKAGE D ÉNERGIE ET COUPLAGE Réduction de tonnes de GES 1 Réduction de 4 millions de litres de diesel 1 1 En date du mois d août
28 Édition du 11 avril 2015, section ACTUALITÉS, écran 14 MARTIN CROTEAU ÉMISSIONS DE GES DES PROGRÈS AMOINDRIS PAR LE SECTEUR DU DU TRANSPORT, CONCLUT UNE UNE ÉTUDE ÉTUDE QUÉBEC Les progrès réalisés par les industries québécoises en matière de lutte contre les changements climatiques ces dernières années ont été plombés par la hausse du nombre de véhicules sur nos routes, confirment des données rendues publiques par Québec hier. Selon l Inventaire québécois des émissions de gaz à effet de serre, que le gouvernement Couillard a dévoilé hier, la province a atteint et même dépassé la cible qu elle s était fixée dans le cadre du protocole de Kyoto. Ses émissions ont reculé de 8 % en 2012 par rapport au niveau de grande partie des avancées annulées le transport, dont Les progrès les plus importants ont été réalisés dans les les industries émissions (- 21 % par rapport à 1990), ont dans crû le chauffage de des bâtiments (- 31 %) et dans la gestion des matières résiduelles (- 25,7% 40,9 %). Mais une grande partie de ces avancées ont été annulées par le secteur du transport, dont les émissions ont crû de 25,7 % depuis Bien que les émissions totales des voitures et camions aient très légèrement reculé au cours des dernières années, le secteur est maintenant responsable de 44 % des rejets de GES de la province. Le rapport montre du doigt l augmentation importante du nombre de camions légers (180 % depuis 1990) et de camions lourds (31 %), ce qui explique la hausse des émissions dans le secteur du transport, pourtant marqué par des avancées importantes des constructeurs automobiles en matière d économie de carburant, précise le rapport. En outre, les distances parcourues par les automobilistes s allongent. «Il faut noter que la meilleure performance sur le plan énergétique des moteurs des véhicules ne se traduit pas nécessairement par une diminution des émissions de GES, car cet avantage potentiel est diminué, voire annulé, par l augmentation de la puissance, du poids et des accessoires des véhicules ainsi que du kilométrage parcouru.» Extrait du rapport sur les émissions de gaz à effet de serre en 2012 et leur évolution depuis 1990 Patrick Bonin, porte-parole de Greenpeace, estime que Québec devra engager des sommes importantes pour poursuivre le développement des transports collectifs s il veut infléchir la courbe des émissions des véhicules. ( ) 28
29 Cibler les grands consommateurs de carburant Répartition des GES en transport - Québec Ferroviaire 3% Aérien 8% Hors route 4% Maritime 6% Routier - véhicules lourds 27% Transport lourd Routier - véhicules légers 52% Transport lourd (routier, maritime, ferroviaire et hors route) = près de la moitié des GES Sources: Ressources Naturelles Canada et Office de l'efficacité Énergétique,
30 Une mine américaine convertit ses camions Caterpillar au GNL GFS Corp Announces New, Natural Gas Conversion Systems for Caterpillar 785 Haul Trucks and Caterpillar 992 Wheel Loaders. Une commande pour convertir une flotte de Caterpillar 785 Les camions devraient fonctionner au GNL d'ici la fin janvier
31 Conversion des camions de mines Alpha Coal (Wyoming, USA) a converti son parc de véhicules Le choix du GNL en remplacement du diesel : Consommation d un camion: 1 million de litres de diesel Réduction avec le GNL : tonnes de CO 2 Véhicules spécialisés: camions qui fonctionnent 24/7 31
32 L accord de Paris sur le climat entre en vigueur vendredi 4 novembre «un jour historique pour la planète», parce qu il marque l entrée en vigueur de l accord de Paris sur le climat (COP21)
33 Deux ans avant de concrétiser l'accord de Paris sur le climat pour mettre au point d'ici décembre 2018 les règles d'application de l'accord sur le climat conclu l'an dernier à Paris.
34 Martin Imbleau Vice-Président, Développement de l entreprise et énergies renouvelables
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