Surveillance des pathologies saisonnières Bilan de la saison précédente et situation actuelle
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- Ariane Lefèvre
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1 Surveillance des pathologies saisonnières Bilan de la saison précédente et situation actuelle Guadeloupe Saint-Martin Saint-Barthélémy CIRE ANTILLES GUYANE GUADELOUPE N 10/2016 Ce point épidémiologique présente la situation épidémiologique des pathologies saisonnières (syndrome grippaux, bronchiolite, varicelle et gastro-entérites) en Guadeloupe en ce début de saison. Ce point est l occasion de présenter également les bilans de la saison épidémique précédente et de rappeler les bonnes pratiques en matière de prévention et d hygiène ainsi que les recommandations vaccinales en vigueur. Situation épidémiologique en ce début de saison La saison grippale n a pas encore débuté. Aucun test rapide de grippe n est revenu positif lors des analyses faites en milieu hospitalier depuis le mois de juin les indicateurs sont cependant en hausse depuis plusieurs semaines tout en restant inférieurs des seuils épidémiques. L activité liée aux gastro-entérites reste faible. Les indicateurs de surveillance sont en hausse ces dernières semaines mais restent largement inférieurs aux valeurs maximales attendues pour la saison. La saison de la bronchiolite approche. La semaine dernière, les niveaux des indicateurs de surveillance restaient encore inférieurs aux valeurs maximales attendues pour la saison. Des valeurs proches de ces seuils ont cependant été observées en ville ou aux urgences. Du VRS a été isolé la semaine dernière. La situation est à suivre avec attention durant les prochaines semaines. Les indicateurs épidémiologiques de la varicelle sont à leur niveau de base. SYNDROMES GRIPPAUX Consultations en médecine de ville : Le nombre hebdomadaire estimé de syndromes grippaux vus en médecine de ville augmente depuis plusieurs semaines mais reste largement inférieur aux valeurs maximales attendues pour la saison. Le nombre de consultations en S (n=120) est comparable à celui observé l année dernière durant la même semaine (n=115) (Figure1). Passages aux urgences : Le nombre de passages aux urgences pour syndrome grippal est au-dessous des valeurs maximales attendues pour la saison (Figure 2). Figure 1 Consultations chez les médecins généralistes Nombre de consultations estimé chez les médecins généralistes pour syndrome grippal, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Figure 2 Passages aux urgences Nombre de passages aux urgences du CHU et du CHBT pour syndrome grippal, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Surveillance virologique : aucun test rapide de grippe n est revenu positif lors des analyses faites en milieu hospitalier depuis le mois de juin Par ailleurs, la saison grippale n ayant pas encore débuté, aucun prélèvement naso-pharyngé n est encore réalisé en ville notamment par le réseau des médecins sentinelles lors des consultations pour syndrome grippal. Bilan de l épidémie grippale 2016 En Guadeloupe, l épidémie a démarré tardivement et s est déroulée globalement sur le premier semestre de l année (étendue de 13 semaines, S à S ) avec une circulation prédominante de virus A(H1N1)pdm09. Son ampleur a été modérée en médecine de ville avec cas estimés au cours de l épidémie, nombre largement inférieur à celui des années antérieures (Figure 3). Par contre la sévérité de l épidémie a été particulièrement marquée avec un nombre de passages aux urgences plus important que la saison précédente, 14 cas graves hospitalisés en réanimation et 3 décès. Les patients hospitalisées en réanimation étaient majoritairement des adultes (âge médian > 55 ans) avec des facteurs de risque (>87%), non vaccinés (>80%) et infectés par un virus A(H1N1)pdm09 (>60%). La faible circulation du virus A(H1N1)pdm09 ces dernières saisons pourrait expliquer sa recrudescence en ce début d année 2016 et le nombre élevé d admissions en réanimation. Le point épidémio CIRE ANTILLES GUYANE N octobre 2016 page 1
2 Figure 3 Historique du nombre estimé de consultations en ville pour syndrome grippal, Guadeloupe; GASTRO-ENTERITES Consultations en médecine de ville : Le nombre hebdomadaire estimé de gastro-entérites vus en médecine de ville augmente depuis le mois d août (S ) mais reste largement inférieur aux valeurs maximales attendues pour la saison. Le nombre de consultations estimé en S (n=230) est comparable à celui observé la semaine précédente et comparable à ceux observés l année dernière durant les semaines S à 45 (Figure 4). Passages aux urgences : Le nombre hebdomadaire des passages aux urgences était proche du seuil des valeurs maximales attendues au cours du mois d août (S et 34, n=11 passages) puis est revenu à des valeurs inférieures au seuil lors des 4 dernières semaines (n< 10 passages) (Figure 5). Durant ces 4 dernières semaines, la majorité des passages aux urgences concerne le CHBT (n=20 contre 3 pour le CHU) Figure 4 Consultations chez les médecins généralistes Nombre de consultations pour gastro-entérite, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Figure 5 Passages aux urgences Nombre de passages aux urgences du CHU et du CHBT pour gastro-entérite, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Bilan de l épidémie de gastro-entérites En Guadeloupe, l épidémie s est déroulée du mois de novembre au mois d avril (étendue de 25 semaines, S à S ) et son ampleur a été relativement modérée en médecine de ville avec cas estimés (contre lors de l épidémie de ). (Figure 6). En termes de sévérité, 315 passages aux urgences ont été observés durant l épidémie de contre 550 lors de l épidémie de Par ailleurs, le nombre d hospitalisations était relativement faible lors de la dernière épidémie (n=17 hospitalisations en contre 41 en ). Figure 6 Historique du nombre estimé de consultations en ville pour gastro-entérite, Guadeloupe; Page 4 N octobre 2016 CIRE ANTILLES GUYANE Le point épidémio
3 BRONCHIOLITE Consultations en milieu libéral : Des fluctuations du nombre de consultations pour bronchiolite sont observées en cette période interépidémique. Après cinq semaines d absence de cas déclarés durant cet été (S à 36) par le réseau des médecins sentinelles, le nombre de consultations a dépassé les valeurs maximales attendues à la mi-septembre (S ). Cette hausse de consultations pour bronchiolite se concentraient uniquement sur la commune des Abymes. La situation en médecine de ville a été calme la semaine dernière (S106-39) avec un nombre de consultations à nouveau inférieur aux valeurs maximales attendues (Figure 7). Compte-tenu de la période à risque épidémique actuelle, le nombre de consultations est à suivre avec attention les prochaines semaines. Passages aux urgences : Le nombre de passages est en légère hausse ces deux dernières semaines (n=12 et 9 passages aux urgences respectivement en semaine S et 39) oscillant avec les valeurs maximales saisonnières attendues (Figure 8). Surveillance virologique : Du virus respiratoire syncitial (VRS) a été isolé par le laboratoire du CHU chez deux patients au cours de la semaine dernière (S ) Figure 7 Consultations chez les médecins généralistes Figure 8 Passages aux urgences Nombre hebdomadaire de consultations chez les médecins généralistes pour bronchiolite, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Nombre hebdomadaire de passages aux urgences du CHU et du CHBT pour bronchiolite, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Bilan de l épidémie de bronchiolite En Guadeloupe, l épidémie s est déroulée du mois de novembre au mois de février d après les données du réseau de médecins sentinelles (étendue de 13 semaines, S à S ) avec une ampleur relativement modérée (1100 cas estimés sur l ensemble des consultations en ville) comparable à l épidémie observée en (étendue de 9 semaines avec 1100 cas estimés) (Figure 9). En termes de sévérité, l épidémie de est comparable à l épidémie précédente. Au total, 500 passages aux urgences ont été observés lors de l épidémie dont 54 suivis d hospitalisation (étendue de 18 semaines) contre 470 passages aux urgences lors de l épidémie de dont 58 suivis d hospitalisation (étendue de 18 semaines). Figure 9 Historique du nombre estimé de consultations en ville pour bronchiolite, Guadeloupe; CIRE ANTILLES GUYANE Le point épidémio N octobre 2016 Page 3
4 VARICELLE Consultations chez les médecins généralistes : Le nombre hebdomadaire estimé de consultations pour varicelle sont largement au-dessous des valeurs maximales attendues ces dernières semaines (Figure 10). Passages aux urgences : La situation est identique à celle de l indicateur précédent avec un faible nombre hebdomadaire de passages (inférieur à 4), largement inférieur aux valeurs attendues pour la saison. (Figure 11). Figure 10 Consultations chez les médecins généralistes Nombre hebdomadaire de consultations chez les médecins généralistes pour varicelle, Guadeloupe, septembre 2015 à septembre Figure 11 Passages aux urgences Nombre hebdomadaire de passages aux urgences pour varicelle au CHU et au CHBT, Guadeloupe, décembre septembre 2015 à septembre Bilan de la recrudescence saisonnière de la varicelle En Guadeloupe, une recrudescence de la varicelle a été observée ce début d année sans atteindre les seuils épidémiques. Cela fait trois années consécutives qu on observe une recrudescence saisonnière de la varicelle avec un nombre hebdomadaire de consultations en médecine de ville modéré, sans épidémie généralisée dans la population guadeloupéenne. La dernière épidémie de varicelle remonte à 2013 (Figure 12). Figure 12 Historique du nombre estimé de consultations en ville pour varicelle, Guadeloupe; Page 4 N octobre 2016 CIRE ANTILLES GUYANE Le point épidémio
5 Points clés RECOMMANDATIONS VACCINALES Le coup d'envoi de la campagne nationale de vaccination contre la grippe a été donné le 07 octobre 2016; les vaccins sont pris en charge par l'assurance Maladie uniquement pour les bénéficiaires de la campagne anti grippe et pendant la durée de celle-ci (du 07 octobre 2016 au 31 janvier 2017) à savoir : les personnes âgées de 65 ans et plus ; les femmes enceintes quel que soit le trimestre de grossesse ; les personnes atteintes de certaines affections chroniques* ; les personnes obèses (IMC> 30) ; l entourage familial de nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave* ; les personnes séjournant dans un établissement de soins de suite ainsi que dans un établissement médico-social d hébergement quel que soit l âge ; certains professionnels de santé en contact régulier et prolonge avec des personnes a risque de grippe sévère *consultez le calendrier vaccinal disponible sur le site du Ministère des Affaires sociales et de la Santé, ou demandez conseil à votre médecin traitant. Trois vaccins grippaux inactivés sont commercialisés en 2016 : Influvac, Immugrip et Vaxigrip. Ces vaccins inactivés peuvent être utilisés dès l'âge de 6 mois et chez la femme enceinte à tout stade de la grossesse. La vaccination généralisée contre la varicelle des enfants à partir de l âge de 12 mois n est pas recommandée dans une perspective de santé publique. Cette vaccination est par ailleurs contre-indiquée pendant la grossesse. Toute grossesse doit être évitée le mois suivant la vaccination. La vaccination contre la varicelle est en revanche recommandée pour : les adolescents âges de 12 a 18 ans n ayant pas d antécédent clinique de varicelle ou dont l histoire est douteuse ; les femmes en âge de procréer, notamment celles ayant un projet de grossesse, et sans antécédent clinique de varicelle ; dans les suites d une première grossesse, les femmes n ayant pas d antécédent clinique de varicelle ; dans les trois jours suivant l exposition à un patient avec éruption, les adolescents a partir de 12 ans et les adultes exposés a la varicelle, immunocompétents sans antécédent de varicelle ou dont l histoire est douteuse (le contrôle de la sérologie étant facultatif),. toute personne en contact étroit avec des personnes immunodéprimées, sans antécédent de varicelle (ou dont l histoire est douteuse) et dont la sérologie est négative, ; les enfants candidats receveurs, dans les six mois précédant une greffe d organe solide, sans antécédents de varicelle (ou dont l histoire est douteuse) et dont la sérologie est négative (avec deux doses a au moins un mois d intervalle, et en pratiquant une surveillance du taux d anticorps âpres la greffe). MESURES DE PREVENTION Il est recommandé aux personnes malades, dès le début des symptômes, de limiter les contacts, de se laver régulièrement les mains à l eau et au savon, ou les désinfecter par friction avec une solution hydro-alcoolique, de se couvrir la bouche et le nez à chaque fois qu elles toussent ou de porter un masque chirurgical, de se moucher dans des mouchoirs en papier à usage unique et de les jeter dans une poubelle recouverte d un couvercle, suivi d'un lavage de mains. Il est recommandé aux personnes de l entourage du malade, ainsi qu aux professionnels de santé, d éviter autant que possible, les contacts rapprochés avec le malade, de se laver régulièrement les mains et particulièrement après tout contact avec le malade ou le matériel utilisé par le malade et de nettoyer les objets couramment utilisés par celui-ci. Remerciements à nos partenaires Aux cellules de veille et d alertes de l Agence de Santé de Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy, aux réseaux de médecins généralistes sentinelles, aux services hospitaliers (urgences, laboratoires, services d'hospitalisation), aux LABM ainsi qu à l ensemble des professionnels de santé qui participent à la surveillance épidémiologique. N octobre 2016 Page 5 Le point épidémio CIRE ANTILLES GUYANE Lancement de la campagne nationale de vaccination antigrippale le 7 octobre 2016 En Guadeloupe La saison de la bronchiolite approche. L e s a u t r e s é pi d ém ie s saisonnières n ont pas encore débuté A Saint-Barthélemy Indicateurs de la varicelle audessus du seuil épidémique depuis deux semaines A Saint-Martin Indicateurs de la grippe en hausse En Martinique Pas d épidémie en cours mais hausse des indicateurs saisonniers En Guyane Epidémie de grippe en cours: Virus grippal circulant : A/H3N2 et A En Savoir plus? Calendrier vaccinal 2016 : calendrier_vaccinal_2016.pdf Santé Publi que France : Directeur de la publication François Bourdillon Santé publique France Rédacteur en chef Martine Ledrans, responsable scientifique de la Cire AG Maquettiste Claudine Suivant Comité de rédaction Lydéric AUBERT Marie BARRAU Dr Sylvie CASSADOU Diffusion Cire Antilles Guyane Centre d Affaires AGORA Pointe des Grives CS Fort-de-France Cedex Tél. : 596 (0) Fax : 596 (0) Retrouvez-nous également sur :
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