Prise en charge des douleurs chroniques et en soins palliatifs. Madame F. 52 ans. Madame F. Madame F. 52ans. Madame F.
|
|
- Gauthier Charpentier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Prise en charge des douleurs chroniques et en soins palliatifs Dr Isabelle Gagnon, Md Mise à jour mars 2015 Si je ne peux vous garantir que je vais réussir à vous soulager; je peux cependant vous promettre que jamais je ne cesserai d essayer. Médecin de soins palliatifs 2 Madame F. 52 ans Madame F. 17 mai 2006 : Douleur dorsale a/n omoplate D depuis fin avril, augmenté si couchée. Ne peut décrire davantage Soulagée par co. q 4h prn Dorsalgie mécanique Empracet 15mg 1/2 à 1 co q 4h prn Senokot prn Rx dos + poumons Madame F. 52ans Madame F. 52ans 8 juin 2006 Lombalgie persiste Soulagée partiellement et pour 2h seulement avec empracet 15 mg A prit Meslon 15mg (restant d un post-op) et très bien soulagée RX poumons: N, Rx dos: N Dorsalgie 2e DIM cervical Empracet 30mg 1 à 2 co q 4h prn Physio hôpital (refuse en privée) Avisée de ne pas prendre Rx non prescrit 14 juin SRV Ne tolère pas Empracet (intolérance digestive et soulage +/-) Veut de la morphine A prit morphine 15mg (encore une fois!) d une amie et fût très bien soulagée Dorsalgie non soulagée 1
2 Questions Questions Avez-vous des inquiétudes quant au potentiel de toxicomanie de cette patiente? 1) Oui 2) Non Questions Quelle serait votre prochaine prescription médicamenteuse pour Madame F.? 1) Morphine 15 mg po q 4h prn 2) Tramacet 1 à 2 co po q 6h prn 3) Morphine 5 mg à 7.5 mg po q 4 h prn 4) Dilaudid 2 mg po q 4h prn 5) Morphine 5 mg po q 4h rég 6) Naprosyn 500 mg po BID Questions Laquelle est fausse? 1) Fentanyl 25ug/h transdermique = Morphine 50 mg/jour po 2) Empracet 30 mg = Morphine 3mg po 3) HydromorpheContin 6 mg po BID = Meslon 20 mg po BID 4) Dilaudid 5 mg/jour po = Fentanyl 12ug/h transdermique Objectifs Définir la douleur chronique et les situations nécessitant un traitement prolongé Identifier les obstacles aux traitements adéquats des patients avec douleurs chroniques Revoir les différentes options thérapeutiques Se familiariser avec les outils d aide et la coanalgésie Adapter les stratégies de soulagement selon la présence d une condition palliative moyen terme ou non Plan Définition La douleur chronique vue d ensemble Types de douleurs et les implications thérapeutiques Concept de Douleur totale Évaluation de la douleur et les principes de base des traitements La coanalgésie Les narcotiques Retour sur le cas de Madame F. 2
3 Définir de la douleur chronique Douleur qui persiste au delà du temps usuellement nécessaire pour que le corps guérisse et que la douleur disparaisse Douleur d une durée de 6 mois et plus Douleur aïgue ou sub-aïgue persistante et non soulagée Cause de la douleur chronique dans l étude Canadian Chronic Pain Study II L étude Canadian Chronic Pain Study II Les patients souffrant de douleur chronique ont 2.5 fois plus susceptible d avoir une atteinte fonctionnelle sévère que ceux qui n en souffre pas. Les pathologies musculo-squelettiques sont la 2ème cause de productivité perdue après les maladies cardiovasculaires. Les sites de douleur les plus fréquents: dos, genoux, nuque, tête, épaules. Et chez nos voisins Coûts reliés à la douleur chronique aux USA estimés entre 15000$ à 24000$/an/patient. Types de douleur Douleur nociceptive Somatique (peau, muscle, os, articulation) Bien localisée Augmentée à la pression de la structure en cause, par la mobilisation ou par la mise en charge Viscérale Localisation moins précise, ± référée, constante Vs crampiforme Types de douleur Douleur neuropathique Constante ou intermittente Décrite comme une brûlure Vs picotements Vs fourmillements Vs chocs électriques ± associée atteinte neurologique sensitive et/ou motrice 3
4 Implications thérapeutiques Implications thérapeutiques Douleur nociceptive somatique Répond bien aux analgésiques opiacés et aux non-opiacés (acétaminophène, AINS, coxibs) Coanalgésiques peuvent aussi être utiles Douleur nociceptive viscérale Aigue Généralement sensible aux opiacés ± coanalgésiques Chronique Opiacés peuvent être utiles Coanalgésiques utiles ++ Douleur neuropathique Moins sensible aux opiacés Répond très peu aux AINS Associer d emblée un coanalgésique ou même débuter avec la coanalgésie Répond bien tramadol, tapentadol, méthadone Exemples: Névralgie post herpétique Polyneuropathie diabètique Concept de douleur totale Concept de douleur totale Douleur Émotionnelle Isolement Peur, Colère Tristesse Anxiété Douleur Sociale Argent Famille Travail Douleur Spirituelle Culpabilité Regrets Crainte du handicap et de la mort Douleur Physique Maladies Traitements Douleur émotionnelle Douleur physique Douleur sociale Douleur spirituelle Comment évaluer l efficacité de notre traitement Les 4 A Analgesia Échelle d évaluation de la douleur Activities of daily living Adverse effects Aberrant drug-related behaviors Évaluation de l intensité de la douleur Échelle de douleur 0 à 10/10 Échelle visuelle Échelle fonctionnelle Observer le non-verbal Membres crispés, sourcils froncés, gémissements, agitation Cependant il ne faut pas présumer que le patient ment s il ne semble pas souffrant 4
5 Évaluation de l intensité de la douleur Attention il faut de prime abord croire le patient La très grande majorité des patients souffrant de douleur chronique ne sont pas des narcomanes. La douleur totale peut cependant colorée l attitude des patients Exagération des symptômes pour qu on les croit Désir de nous dire quoi faire ou quoi prescrire Tendance à règler toute leur vie autour de la douleur Tendance à s auto-médiquer Tendance à ne pas toujours respecter les posologies Signes de Waddell Table 2. Waddell signs for identifying nonorganic causes of back pain* Sign Superficial tenderness Nonanatomic tenderness Axial loading Simulated rotation Distracted straight-leg raise Regional sensory change Regional weakness Overreaction *The predictive value is greatly improved when three or more positive signs are present. Adapted from Waddell et al (3) and Main and Waddell (4). Signes de Waddell Ce qu implique des signes de Waddell positifs Votre patient est en détresse Il se sent obligé d en mettre pour que vous le croyiez Votre patient ne vous ment pas nécessairement volontairement pour obtenir des bénéfices secondaires. Principes de base à respecter Pensez approche multidisciplinaire Physiothérapie Ergothérapie Suivi psychologique Avis psychiatrique Clinique de la douleur Principes de base à respecter Comorbidité psychiatrique Soulager rapidement les douleurs aïgues et sub-aïgue pour éviter qu elles ne se chronicisent Soyez agressif et pro-actif Votre patient doit dormir! Maintenir les activitées fonctionnelles Éduquez votre patient Explorer la modifications de certaines habitudes de vie Fixez vous des objectifs réalistes Les situations de fin de vie impliquent une urgence relative à soulager Une étude prospective a démontré que les patients avec un diagnostic psychiatrique ont 2 fois plus de chance de se faire prescrire des opiacés dans les 3 années subséquentes que ceux qui n ont pas de diagnostic psychiatrique. Par ailleurs, plusieurs patients avec douleur chronique vont aussi développer de la dépression et de l anxiété. L anxiété rend parfois les patients réfractaires à la médication analgésique 5
6 Classes et leurs indications en traitement de la douleur La coanalgésie Acétaminophène Traitement de 1ère ligne Très utile chez les patients âgés et fragiles Doit être prit de façon régulière avant de le déclarer innefficace Peut être conserver comme coanalgésique mais à réévaluer si dose importante d opiacés Doses max 4g\jour en aïgue (<10jours), pt en santé, bien nourris 3,2g\jour, usage longue durée chez pts en santé 2,6g\jour, usage longue durée chez pts à risque Classes et leurs indications en traitement de la douleur A.I.N.S Douleur osseuse A.I.N.S classique Naproxen, Vimovo, ibuprofène, Coxibs Celecoxib, Mobicox Classes et leurs indications en traitement de la douleur Antidépresseurs Douleur neuropathique type brûlure Tricycliques NNT: 2,3 Amitriptyline (Elavil) 10-25mg (50-150mg/j) Nortriptyline (Aventyl) 10-25mg (50-150mg/j) Désipramine (Norpramin) mg (50-200mg/j) I.S.R.S Venlafaxine, Wellbutrin NNT:4 Paxil,Celexa NNT:7 Classes et leurs indications en traitement de la douleur Anticonvulsivants Douleur neuropathique de type coup de poignard Neurontin NNT: 3,8 dose min efficace 1800mg/j, dose moy 2400mg\j Lyrica NNT: 4,2 dose min efficace 150mg/j, vise dose 300mg\j, dose max 600mg/j si on veut mettre prn Effet rapide, effet en prn, aucune intéraction Rx Autres anticonvulsivants (2ème ligne) Carbamazépine (Tegretol), Topiramate (Topamax), Lévétiracétam (Keppra) Classes et leurs indications en traitement de la douleur Crème topique lidocaïne 10% 10 g de lidocaïne dans 90g de Glaxal Base 1ère ligne en présence d allodynie zone d application max feuille 8.5 x 11 Cannabinoïdes 3ème ligne en douleur neuropathique Kétamine 4% à 12% en crème topique 6
7 Classes et leurs indications en traitement de la douleur Antispasmodiques Crampes ou spasmes d origine musculosquelettique Baclofène Diazepam Biphosphonates efficaces??? Probablement pas «cost-effective» pour la douleur Les narcotiques Les narcotiques réguliers et prn PRN Pour débuter et titrer Pour les entre-doses Pour douleur très légère Régulier Meilleur contrôle de la douleur Dès que possible; convertir en longue action Les narcotiques: courte ou longue action Courte action Pour débuter et pour titrer Beaucoup prise/jour Augmente le risque de dépendance car effet de pic d action Très prisé dans la rue Les narcotiques: courte ou longue action Longue action À privilégier Compliance augmenté Améliore la qualité de vie Améliore la qualité du sommeil À favoriser si patient à risque de narcodépendance ½ vie beaucoup plus longue Davantage problématique si surdosage Attention si insuffisance rénale ou hépatique Les entre-doses 10% de la dose totale/jour ou ½ de la dose régulière aux 1 à 4 heures avec maximum par jour 50% des ED ainsi calculée ne seront pas assez élevés; à réévaluer Fréquence q 1 ou 2 h selon le contexte Journal de bord du patient pour les entre-doses Si plus de 3 ou 4 entre-doses par jour, ajuster la dose régulière Mais certains patients prendront toujours beaucoup de prn 7
8 Les narcotiques Effets secondaires des narcotiques Constipation Nausée Vomissement Somnolence Confusion Dépression respiratoire Tolérance Paliers sécuritaires d augmentation des doses d opiacés; patient ambulatoire Ne doivent pas dépasser 25 % de la dose quotidienne pour une douleur légère à modérée ou si insuffisance rénale Ne doivent pas dépasser 50 % de la dose quotidienne pour une douleur intense chez un patient déjà sous opiacés depuis plusieurs semaine Attendre au moins 48h entre les ajustements si insuffisance rénale ou hépatique Enseigner les signes de toxicité aux opiacés et de la nécessité d un sevrage si désir de cesser au patient et à ses proches Les narcotiques: lequel choisir Codeine (Codeine Contin) Potentiel d intéractions médicamenteuses + (cytochrome P450) Efficacité très variable 10% de non-répondeur Effet de plafond entre 400 et 600 mg Effet 2e multiples et importants Pas un 1er choix Mais parfois la seule possibilité si besoin d une très petite dose Les narcotiques: lequel choisir Tramadol (Ultram) NNT:3,9 Activité sur récepteurs Mu, inhibe recapture de la sérotonine et de la noradrénaline Moins de risque de dépendance Meilleur profil d effets secondaires Pas de dépression respiratoire Effet 2e similaire à codéine Interactions Rx IMAO > ISRS (risque convulsions) Aurait une activité sur la douleur neuropathique 1 revue de littérature démontre une amélioration du contrôle de la douleur et du fonctionnement des patients fibromyalgiques sous Tramadol Dose max recommandée 400mg\24h (300mg si pt âgé) Les narcotiques: lequel choisir Tramacet 50mg tramadol court action La dose d acétaminophène limite le dosage. 1 à 2 co q 4h prn (max 8 co\j donc 400mg) Zytram XL Tramadol à libération prolongée Action 24h Débuter avec 150mg, augmenter q 1sem prn 75mg,150mg, 200mg, 300mg et 400mg Max 400mg Risque de convulsions, dose dépendant, augmenté si ATCD abus R-OH, d ACV, IR, IH, IMAO et trauma crânien Les narcotiques: lequel choisir Tridural Tramadol à libération prolongée Action 24h Pic d action rapide puis tardif 100mg, 200mg, 300mg Max 300mg Ralivia Tramadol à libération prolongée Action 24h 100mg, 200mg, 300mg Max 300mg 48 8
9 Les narcotiques: lequel choisir Les narcotiques: lequel choisir Durela Tramadol à libération prolongée Action 24h 100mg, 200mg, 300mg Max 300mg Serait le moins cher disponible, nouveau x avril 2012 Morphine (Meslon, MSContin) Peu dispendieux Nausée et vomissements + Constipation + Métabolites actifs + Hydromorphone (Hydromorphe Contin) Nausées/vomissements Constipation + Métabolite actifs + Oxycodone (Oxycontin) Plus addictif??? Pas autre voie que po 49 Les narcotiques: lequel choisir Fentanyl transdermique Nausée/vomissements Constipation Métabolites actifs - théoriquement mais Nécessite entre-dose de morphine ou hydromorphone lors du titrage Moins attrayant pour les narcomanes Les narcotiques: les nouveautés Jurnista Targin Bustrans Oxyneo Nucynta CR Nouveau donc pas couvert par assurance RAMQ 52 Jurnista; Hydromorphone OROS Targin; oxycodone/naloxone Hydromorpone à libération prolongée Action 24h Pas d effet fin de dose Améliore la qualité du sommeil Coût 1$/mg Disponible en 4mg, 8mg, 16mg, 32mg Ratio 2:1 (10 mg oxycodone avec 5mg naloxone) But: réduire la constipation Le défaut: très dispendieux
10 Bustrans; Buprénorphine Oxyneo; Oxycodone LA Patch 7 j Effet max en 72h Semi-synthétique Indication douleur modérée avec problèmes de compliances aux pilules 5mcg, 10mcg, 20mcg Débuter avec 5mcg Ajustement de dose aux 7 jours Non sécable ou écrasable 10mg, 15mg, 20mg, 30mg, 40mg, 60mg, 80mg Remplace Oxycodone Contin qui n est plus disponible Nucynta CR; Tapentadol Nucynta CR; Tapentadol Soulagement douleur modérée à modérément sévère Effet sur récepteur mu (comme méthadone) Métabolite inactif Aucune interaction avec P450 Contre-indication Insuff.rénale grave Insuff.hépatique grave; si modéré petite dose q 24h Plus efficace et meilleur profil effets 2e que tramadol Effet comparable à oxycodone 50mg, 100mg,150mg,200mg,250mg q 12h Débuter avec 50mg BID si naif Rapport 5:1 avec oxycodone ED acétaminophène, ibuprofène, tramadol Effet synergique avec prégabaline Peu de tolérance; dose stable dans le temps Peu intéressant pour narcomane Les narcotiques: lequel ne pas choisir Mépéridine (Demerol) Pas d indication en douleur chronique sauf exception Allergie (questionner = souvent intolérance) Spasme du sphintère d Oddi (mythe?) Très apprécié des narcomanes Absorption erratique en per os Neurotoxique Métabolite: Normépéridine Myoclonies, hallucinations, confusions, convulsions, coma Toxicité documentée +++même avec usage de courte durée chez jeunes patients en parfaite santé La méthadone Un traitement de 3ème ligne Excellent résultat avec les douleurs neuropathiques Malheureusement, problème d accessibilité 10
11 Équivalences approximatives Codéine 100mg Morphine 10mg Hydromorphone 2mg Oxycodone 5mg Fentanyl trandermique 5µg/h Concept de tolérance croisée incomplète Lors d une rotation d opiacés on doit toujours diminuer la dose équivalente de la nouvelle molécule de 25% pour éviter un surdosage Diminuer de 30 à 40 % si patient âgés, si insuffisance rénale ou si insuffisance hépatique grave. Hyperalgésie aux narcotiques Phénomène illogique où plus on augmente la dose d opiacé plus la douleur augmente. Crée un cercle vicieux Si cas léger: rotation narco classique Si phénomène bien installé: ajout kétamine po ou s/c (IV) selon urgence Rotation méthadone (difficile++) Calculateur de dose PEPID Mais rien ne vaut votre tête Facteurs de risque de dépendance aux opiacés Histoire familiale ou personnelle d abus de substance ATCD psychiatrique de toute nature Âge (plus jeune plus à risque) Tabagisme actif ATCD d abus sexuel avant adolescence Madame F. 11
12 17 mai 2006 : Douleur dorsale a/n omoplate D depuis fin avril, augmenté si couchée. Ne peut décrire davantage Soulagée par co. q 4h prn Dorsalgie mécanique Empracet 15mg 1/2 à 1 co q 4h prn Senokot prn Rx dos + poumons 8 juin 2006 Lombalgie persiste Soulagée partiellement et pour 2h seulement avec empracet 15 mg A prit Meslon 15mg (restant d un post-op) et très bien soulagée RX poumons: N, Rx dos: arthrose cervicale + lombaire Dorsalgie 2e DIM cervical Empracet 30mg 1 à 2 co q 4h prn Physio hôpital (refuse en privée) Avisée de ne pas prendre Rx non prescrit 14 juin SRV Ne tolère pas Empracet (intolérance digestive et soulage +/-) Veut de la morphine A prit morphine 15mg (encore une fois!) de sa fille et fût très bien soulagée Dorsalgie non soulagée Questions Avez-vous des inquiétudes quant au potentiel de toxicomanie de cette patiente? 1) Oui 2) Non Questions Quelle serait votre prochaine prescription médicamenteuse pour Madame F.? 1) Morphine 15 mg po q 4h prn 2) Tramacet 1 à 2 co po q 6h prn 3) Morphine 5 mg à 7.5 mg po q 4 h prn 4) Dilaudid 2 mg po q 4h prn 5) Morphine 5 mg po q 4h rég 6) Naprosyn 500 mg po BID 14 juin SRV Ne tolère pas Empracet (intolérance digestive et soulage +/-) Veut de la morphine A prit morphine 15mg de sa fille et très bien soulagée Dorsalgie non soulagée Tramacet 30mg 1 à 2 co q 6h 12
13 27 juin 2006 Dorsalgie ss forme de brûlure +++ a\n de tout 1/2 thorax postérieur D Tramacet non efficace Toujours pas vue en physio (hôpital) Examen Pincé-roulé +++ D>>>G Dorsalgie avec douleur neuropathique Morphine 5 à 7.5mg po q 4h prn Élavil 10 mg po HS Calendrier des doses prises Physio en privée (refuse) 12 juillet 2006 Va mieux Brûlure + serrement a/n thorax, pas de choc électrique Prend Morphine 7.5mg q 4h rég mais souvent voudrait en prendre davantage Toujours pas vue en physio Douleur neuropathique mieux avec narco mais contrôle demeure sous-optimal Meslon 25mg po BID (dose actuelle + 10%) ED Morphine 5mg po q 4h prn Elavil 25 mg po HS Physio en privée (refuse toujours) 2 août 2006 Mieux soulagée avec Meslon mais apparition de somnolence Prend 1 à 2 ED/jour maximum M affirme n avoir jamais prit Elavil même si la pharmacie m assure l avoir servie??? Évaluée en physio; exercices par elle-même Somnolence augmenté 2e Meslon? Vs Elavil? (prit?) Réduire Meslon 20mg po BID ED Morphine 5mg po q 4h prn Cesser Elavil Aventyl 10 mg po die RX poumons de contrôle 31 août 2006 Bien soulagée mais douleur persistante Somnolence résolue Prend 0 à 3 ED/jour maximum Tolère bien Aventyl Fait physio par elle-même, TENS, acupuncture RX poumons: Doute a/n D9 Dorsalgie avec douleur neuropathique soulagement acceptable Augmenté Aventyl 25 mg po die Si encore sx ds 1 mois; scan + scinti os RX D9 21 septembre 2006 Va mieux mais a encore besoin de Rx régulier Prend 0 à 2 ED/jour maximum Légère réduction de la brûlure x dernier RV Aucune somnolence Aucun suivi en physio Dorsalgie avec douleur neuropathique soulagement acceptable avec morphine + Aventyl Physio en privée (accepte enfin!!!) Scinti osseuse Scan thorax selon résultat RX 16 octobre 2006 Va mieux; diminution de la douleur au dos, la sent davantage en antérieur Mais se trouve somnolente x 2 à 3 sem Prend 2 ED/jour maximum, toujours sous Meslon 20mg Bid A débuté physio x 2 sem RX dorsale N Dorsalgie améliorée avec physio Somnolence 2e narco dans contexte de douleur diminuée Réduire Meslon à 10 mg po BID ED morphine 2.5mg à 5 mg po q 4h prn Scinti osseuse à venir 13
14 24 novembre 2006 Va beaucoup mieux Persistance de brûlure occasionnelle Prend Meslon 10mg 1 x/jour prn Prend 2 ED/jour maximum DIM cervical améliorée +++ Augmenter Aventyl 50mg po die Cesser Meslon ED morphine 2.5mg à 5 mg po q 4h prn 24 janvier 2007 Va beaucoup mieux A prit 3 à 4 ED dans le dernier mois A cessé Aventyl d elle-même Scinti osseuse: arthrose, aucune lésion suspecte Dorsalgie benigne musculo-squelettique résolue avec physio Je n ai plus jamais entendu parler de cette douleur depuis! Réflexions On peut commencer à traiter même si l investigation n est pas entièrement complété! (Être pro-actif devant la douleur) Les médicaments ne peuvent pas toujours agir seuls! (Approche multidisciplinaire) Cette douleur avait un haut potentiel de chronicisation. Vous ne devez pas abandonner! Avons-nous des préjugés liés à l âge? Comportements douteux pour abus du substance Vs détresse 2e douleur non soulagée! Réponses Laquelle est fausse? 1) Fentanyl 25ug/h transdermique = Morphine 50 mg/jour po 2) Empracet 30 mg = Morphine 3mg po 3) HydromorpheContin 6 mg po BID = Meslon 20 mg po BID 4) Dilaudid 5 mg/jour po = Fentanyl 12ug/h transdermique Discussion Comment travailler (et rester zen) avec un patient souffrant de douleurs chronicisées Discussion Comment travailler (et rester zen) avec un patient souffrant de douleurs chronicisées Valider la présence de douleur et la détresse vécue Nommer la difficulté de soulager ce problème Évaluer objectivement l intensité de la douleur pour comparaison ultérieur Fixer des objectifs réalistes Mettre l accent sur le concept de douleur totale Remettre du contrôle au patients (hygiène de vie, prn) Souligner les petites victoires Choisir ses batailles
15 Bibliographie Nicholson B, Passik, S. Management of chronic Noncancer Pain in primary Care Setting, Southern Medical journal oct.2007 Dion, Dominique. Deschènes, Geneviève. Évaluation d une douleur, Le médecin du Québec, déc. 2002, p Deschènes, Geneviève. Traitement sécuritaire et efficace avec des opiacés, Le médecin du Québec, déc. 2002, p APES. Guide pratique des soins palliatifs. 3ème édition, Nguyen, Anh. Présentation Douleur neuropathiques nouvelle mise à jour Mars 2006 Boulanger A, Clark Aj, Squire P, Cui E, Borbay GLA. Chronic pain in Canada: Have we improved our management of chronic noncancer pain. Pain Research and management, 2007; 12(1); Ngo-Minh, Cuong. Présentation L évolution de l analgésie multinodale dans le traitement de la douleur chronique Mai
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailProphylaxie et migraine chronique
Dr Élizabeth Leroux, MD, FRCPC CHUM, Clinique des céphalées Prophylaxie et migraine chronique Prise en charge de la migraine par le pharmacien Cet événement est rendu possible grâce à Objectifs Céphalée
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailCéphalées en soins primaires Docteur, j ai mal à la tête. Dr Donald Rivest Neurologue MD FRCPC
Céphalées en soins primaires Docteur, j ai mal à la tête Dr Donald Rivest Neurologue MD FRCPC Après cette présentation, les participants seront en mesure de: 1- Réviser la physiopathologie de la migraine
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailDOULEUR AIGUË. La prise en charge de la douleur aigue commence par une écoute attentive, une évaluation détaillée
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEUR AIGUË S. Pautex¹, V. Piguet² Service de médecine de premier recours¹, HUG Service
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MIGRAINE. programme aux résidents de neurologie
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE programme aux résidents de neurologie LA MIGRAINE Classification I.H.S. 1.1 Migraine sans aura 1.2 Migraine avec aura 1.2.1 Migraine avec aura typique 1.2.2 Migraine avec aura
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailSPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE Dr Cécile BESSET Equipe Mobile de Soins Palliatifs CHRU Besançon 23/01/2015 DÉFINITION, GÉNÉRALITÉS «Expérience sensorielle et émotionnelle
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailPrise en charge des patients adultes souffrant de douleur chronique
Guide pratique à l usage des infirmier(ère)s à domicile et des médecins généralistes Prise en charge des patients adultes souffrant de douleur chronique Table des matières Introduction 1 Classification
Plus en détailSoulager la douleur lorsqu on a le cancer Guide pratique
Soulager la douleur lorsqu on a le cancer Guide pratique Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Avoir le cancer ne signifie pas forcément vivre dans la douleur. Cette publication a
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailTraiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir
Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Ce pamphlet contient des informations générales que vous devriez connaître avant de traiter une fausse couche avec du misoprostol. Quand
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailPROGRAMME DE TRAITEMENT PAR ÉTAPES
PROGRAMME DE TRAITEMENT PAR ÉTAPES Programme de traitement par étapes Certains médicaments sur ordonnance doivent faire l objet d un processus d évaluation plus rigoureux afin d assurer qu ils représentent
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailInformation sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable
Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus
Plus en détailDIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 152 : JUIN 2005 DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE Depuis quelques années, le Bureau des substances contrôlés (BSC)
Plus en détailSUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault
ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailPatchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine. Réponses aux questions les plus fréquentes
Patchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine Réponses aux questions les plus fréquentes Introduction Quel objectif? Ce document constitue une aide dans la gestion au quotidien de votre douleur.
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailVignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA :
Vignette clinique 1 Femme, 26 ans; caissière RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Depuis 6 mois, douleurs dorsales à caractère inflammatoire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailQuand il fait CHAUD POUR. Prudence!
Quand il fait CHAUD POUR MOURIR Prudence! Comment la chaleur affecte-t-elle la santé? L été, le soleil et le beau temps sont sources de nombreux plaisirs Par contre, lorsque la chaleur est trop intense,
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLa politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :
Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailDouleurs et Neuropathies
Douleurs et Neuropathies J-Y SALLE Service de médecine physique et de réadaptation P VERGNE-SALLE Service de Rhumatologie et consultations de la douleur CHU Limoges Selon l IASP: douleur neuropathique
Plus en détailLa détresse psychologique
Fiche 3.4.4 La détresse psychologique L importance de ne pas rester seule avec sa souffrance Saviez-vous que... «Les gens qui font régulièrement de l exercice physique tirent plus de plaisir des petites
Plus en détailUne étude randomisée contrôlée
L application d une anesthésie locale topique au triage permet de réduire le temps de traitement d une lacération chez les enfants Une étude randomisée contrôlée L application d une anesthésie locale topique
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailLoi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens
Loi 41 GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens AVIS Ce guide ne se substitue pas aux lois, aux règlements ou au jugement des professionnels de la santé. Il représente l état actuel du
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détail