Gabon : Les arcanes de la gestion du pétrole
|
|
- Amélie Pépin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Gabon : Les arcanes de la gestion du pétrole Par Hatem Karoui Date de parution : lundi 7 septembre LIBREVILLE, 7 septembre (Infosplusgabon) - Les récentes élections au Gabon ayant permis à Ali Bongo de remplacer son père au pouvoir ont surpris plus d un. Le plus curieux est en premier lieu de constater que jusqu à ce jour la France officielle et la masse médiatique qui continue de contester les élections en Iran, parallèlement cautionne immédiatement la régularité de l élection de Ali Bongo au Gabon. «Il y a quelque chose de pourri dans le Royaume du Danemark» comme aurait dit William Shakespeare! Ali Bongo, ajoute-t-on dans la rue gabonaise n est favori de personne ici au Gabon. Il faut que cela soit clair. Il est peut-être favori pour France24 mais pas pour les Gabonais» Nous rappellerons pour commencer l historique du système de corruption au Gabon tel que défini par l excellent article paru sur Rue 89 ( Nous présenterons ensuite un autre article sur le même sujet et enfin la situation du secteur pétrolier au Gabon retenu à partir du site Agoravox puis nous ferons un état du secteur pétrolier au Gabon. Le «protocole Guillaumat» des années 1970 Le pacte de corruption date des années 70 et s appelle le «protocole Guillaumat». Du nom de ce grand commis de l Etat, homme du renseignement, nucléocrate et surtout architecte de l empire pétrolier tricolore. Conséquence directe des chocs pétroliers qui ont vu de petits états africains devenir en quelques mois des magnats de l or noir, le système consiste à rendre opaques les revenus du pétrole pour alimenter les caisses noires du chef de l Etat. Il existe alors trois mécanismes distincts : 1. les «bonus» versés dans la phase exploratoire de la recherche pétrolière, jusqu à plusieurs dizaines de millions de dollars par an ; 2. les «abonnements», soit la part prélevée sur chaque baril de brut commercialisé, environ un dollar par baril ; 3. les «préfinancements», prêts gagés sur la production à venir, avec la caution d Elf, sur lesquels sont prélevés de 1 à 3% de commissions en jouant sur des différentiels de taux d intérêts. Un système inventé par les Saoudiens et récupéré par Bongo Précision : ce système n a été inventé ni par les Français ni par Omar Bongo, mais par le grand ministre du pétrole saoudien que fut le Sheikh Ahmed Zaki Yamani Le président du Gabon va avoir l intelligence d adapter à son petit pays ce grand système de corruption internationale. De 1987 et 1991 le président Bongo fixe pour Elf Gabon le montant de l abonnement : «Nous vous autorisons à verser à votre société de commercialisation ELF TRADING S.A. la somme de US dollar 1 par baril produit au Gabon par vos sociétés ELF GABON et SNEA. Ces versements, qui se feront sur une base trimestrielle, sont des charges déductibles (un dollar/baril).» Cet argent est ensuite reversé sur le compte personnel d Omar Bongo à la Fiba (Banque française intercontinentale), la banque partagée par la famille Bongo et Elf, ou à une Anstalt (société offshore) au Lichtenstein. Pourquoi le Lichstentein? Claude Gosselin, chargé de la comptabilité occulte d Elf, répond ainsi aux juges qui enquêtent sur le groupe pétrolier : «Parce qu il s agit d une tradition initiée de longue date, qui a donné entière satisfaction aux bénéficiaires par son opacité et ses secrets.» L argent de la corruption est défiscalisé en France Détail : l argent de la corruption est défiscalisé, tant au Gabon qu en France, -comme en témoigne une circulaire non datée- signée par Philippe Jaffré, nouveau président balladurien d Elf à partir d août Le fonctionnement de la caisse noire gabonaise est très codifié. Il concerne une poignée d hommes au sommet de la direction d Elf, où le «monsieur Afrique» André Tarallo, joue le rôle de grand argentier : «M. Tarallo reçoit les instructions des présidents du Gabon et du Congo et, pour leur exécution, adresse à M. Gosselin une note signée de lui. M. Gosselin procède alors au versement des fonds aux bénéficiaires désignés qui ne doivent en aucun cas être des résidents français.» Rien n empêche les
2 «bénéficiaires» de reverser leurs pots-de-vin à qui ils veulent... Notez qu en 1993, le président du Congo est Pascal Lissouba, le tombeur de Denis Sassou N guesso qui reviendra au pouvoir en Un système privatisé à partir de 1994 Fort de la réussite de ce système, Omar Bongo décide de «privatiser» le système en déléguant à deux hommes de confiance la responsabilité de la «gestion du compte dans lequel seront versés les frais commerciaux. Le premier est André Tarallo qui, tout en conservant la fonction de président d Elf Gabon, a quitté la direction d Elf. Le second est son conseiller personnel pour les affaires pétrolières, Samuel Dossou Aworet. Au même moment, le 13 décembre 1996, il écrit à Philippe Jaffré pour confirmer le montant des abonnements négociés : «Nous vous confirmons que les montants qu il convient de prélever pour les frais commerciaux sont d environ dix millions de dollars US par trimestre.» Enfin, dans un dernier courrier non daté mais postérieur aux deux autres le président du Gabon donne pour instructions à ces missi dominici de liquider «Elmora, Versima, Ferana», trois de ses «Anstalten» personnelles. La curiosité persistante des magistrats de l affaire Elf, en particulier celle de Renaud van Ruymbeke qui a décortiqué l audit financier du juge suisse Paul Perraudin, va les conduire à perquisitionner la Fiba, avenue Georges V. La banque est cambriolée quelques jours plus tard, puis fermée au bout d un mois. Toutes les archives ont été nettoyées. Trop de noms sur les bordereaux de compte... Un autre article publié sur Agoravox sur internet est intéressant à reproduire : «Le fils Bongo hérite du contrat de métayage de son feu père Omar Bongo A la veille de ce cirque électoral, quelques hypocrites et cyniques drapés de leurs toges de journalistes, faisant semblant d ignorer que le choix d Ali Bongo était un acquis, demandaient à leur «douce France» de rester neutre dans le processus électoral au Gabon. Certains, doublement cynique, à travers des articles clairement ambigus, faisaient semblant d appeler la France à soutenir la démocratie dans ce pays. Toutes ces proclamations et exhortations visaient à se donner bonne conscience et à clamer au moment opportun que seuls les Gabonais ont choisi de monarchiser leur pays alors que la France y a été impartiale ou qu elle y a même soutenu la démocratie. Dans le même temps, on n a cessé d écrire, de dire, images à l appui qu Ali Bongo est «le favori pour diverses raisons» de ce scrutin. Finalement il suffit de donner le plus d assurances pour que le système continue de bénéficier à la France Gabon 1 Million d Habitants électeurs votants Voilà! C est fait. Ali Ben Bongo, le fils du vieux crocodile françafricain décédé en juin dernier après 41 ans de règne, est officiellement reconnu président du Gabon. Les résultats du cirque électoral ont été proclamés hier midi et au nom du père et avec l onction de la France, le bonhomme aux cheveux défrisés l emporte avec 41,73% devant André Mba Obame et Pierre Manboundou. La monarchie est désormais établie au Gabon. En tout cas, pour le moment. Faure Gnassingbé du Togo a trouvé de la compagnie. Et le rang de ce mouvement ira en grossissant avec la maturation à l ombre de projets similaires pour d autres territoires africains avec le concours total de la France et de toutes les forces néo-impériales pour qui la «démocratie est un luxe pour l Afrique». En clair, l humiliation, le viol des Africains et le pillage de leurs terres ne doivent jamais avoir une solution de continuité. A la veille de ce cirque électoral, quelques hypocrites et cyniques drapés de leurs toges de journalistes, faisant semblant d ignorer que le choix d Ali Bongo était un acquis, demandaient à leur "douce France" de rester neutre dans le processus électoral au Gabon. Certains, doublement cyniques, à travers des articles clairement ambigus, faisaient semblant d appeler la France à soutenir la démocratie dans ce pays. Toutes ces proclamations et exhortations visaient à se donner bonne conscience et à clamer au moment opportun que seuls les Gabonais ont choisi de monarchiser leur pays alors que la France y a été impartiale ou qu elle y a même soutenu la démocratie. Dans le même temps, on n a cessé d écrire, de dire, images à l appui qu Ali Bongo est «le favori pour diverses raisons» de ce scrutin. Cette incessante affirmation qui, en réalité, était la décision définitive de l Elysée et de ses alliés multinationales, a fini par énerver Pierre Mamboundou qui dans une sorte de rugissement de tigre édenté, a assené le 19 août 2009 à Sylvain Attal de France24 que «Ali Bongo n est favori de personne ici au Gabon. Il faut que cela soit clair. Il est peut-être favori pour France24 mais pas pour les Gabonais». Jolie mise au point. Mais, Monsieur Mamboundou, les jeux étaient faits depuis longtemps à l Elysée et ailleurs sans le consentement des Gabonais,
3 d ailleurs «immatures pour la démocratie» à l instar des Congolais, des Camerounais, des Togolais, des Burkinabé, des Tchadiens... Aujourd hui, après le Congo où Sassou Nguesso est reconduit tranquillement au pouvoir, le Niger où Mamadou Tandja a défait les fragiles institutions les unes après les autres, Total, Areva et les vautours mafiafricains viennent de réaliser la succession dynastique au Gabon comme hier, au Togo. Pour arriver à leurs fins, ces vampires ont gonflé le corps électoral porté à électeurs sur une population réelle d environ 1,3 millions. Ils ont ensuite utilisé tout le pouvoir financier que leur a procuré le long règne du pion Bongo Ondimba qui a pris le soin de préparer soigneusement et patiemment sa succession. Ils ont utilisé l armée avec la complicité du 6è BIMA et de la base aérienne française pour terroriser les patriotes en agissant sur les leviers de la répression et des intimidations. Ils ont fait recours à l usuelle pratique du bourrage d urnes. Ils ont aussi et surtout utilisé les médias nationaux et internationaux pour faire l idée que quoiqu il se passe, Ali Bongo était le favori, malgré les contestations dont il est l objet dans le pays y compris jusque dans le parti de son père, le PDG (Parti démocratique Gabonais) dont le bilan est plutôt catastrophique malgré l énormité des richesses de cette partie de la terre africaine. Malgré les 41 ans de Bongo, voilà que les Gabonais en redemandent. Tout ceci pour faire passer les Noirs pour des grands enfants inconscients ou des bêtes insensibles à la douleur et qui «votent» pour leurs propres bourreaux. Dans cette conquête qui n en est pas une dans les faits, tous les réseaux ont été mobilisés pour avaliser le fils à papa au sommet du pays. Change-t-on une équipe qui fait gagner ses propriétaires et parrains? Evidemment pas! Omar Bongo Ondimba, en bon pion français a passé toute sa vie à financer les partis politiques en France de l extrême gauche à l extrême droite au point de trouver inutile voire dangereux de bâtir un centre de santé digne de ce nom pour ses propres besoins et ceux de son clan dans son pays natal. Lui, Omar qui a tout donné à la France, n avait pas supporté l ingratitude de celle-ci. Et, pour sanctionner les révélations de ses turpitudes financières et l étalage de ses biens mal acquis en France, Omar Bongo est parti mourir en Espagne. Aller mourir non pas en France, mais ailleurs était le châtiment le plus infâme qu en digne fils, le nano-président a estimé infliger à son mentor. Quel intérêt ont-ils, tous ceux-là qui ont volé, appauvri les Gabonais et financé leurs outils politiques ou se sont enrichis de rompre le cycle? Aucun! Et la meilleure façon de s assurer que les richesses de cette partie de l Afrique restent leur propriété exclusive, c est de confier le contrat de métayage du père au fils. Tous les Africains sont interpellés par la dérive monarchique en œuvre aujourd hui en Afrique. Les réactions doivent être fortes et radicales. Car, de la façon dont un peuple, dans son entièreté se comporte face aux affronts et déstabilisations qu il subit dépend leur perpétuation ou non. Le peuple noir ne peut pas et ne doit pas continuer à être l oiseau qu on plume pour couvrir les autres. A force de se laisser plumer, nous finirons tous nus. De tout temps, l Afrique a servi et nourri les autres et pas les Africains eux-mêmes. La concurrence liée aux enjeux du monde d aujourd hui va de toute évidence aggraver la situation de l Afrique. C est là que le peuple noir doit sortir de ses gongs et travailler pour mettre hors d état de nuire tous les guignols qui, au terme d incessants viols, sont faits «gouvernants» avec comme cahier de charges de continuer l œuvre coloniale de la démolition de la société africaine. Ce combat ne sera pas de tout repos. Il sera périlleux, mais c est le nécessaire et unique chemin pour le peuple noir d espérer guérir les douleurs à lui infligées par la complicité de certains de ses propres fils aliénés et kleptocrates s offrant, en plus de leur incapacité, des vacances dont les frais d hôtel uniquement vont de 655 millions CFA (Paul Biya en France) pour les uns à 750 millions CFA pour les autres (Abdoulaye Wade en Suisse et en France). Tous ceux-là qui vampirisent l Afrique veulent nous convaincre que la Gabon est en paix. Qu il y a des acquis à consolider et que pour ce faire, il ne faut pas bousculer les choses. On intime subrepticement l ordre à nos compatriotes du Gabon d accepter le «changement sans la révolution». Non, la paix est multidimensionnelle. La paix ne signifie pas seulement l absence de conflit armé. Un pays où les personnes dorment le ventre vide, où les enfants n ont pas accès aux soins et à l éducation scolaire, où les infrastructures sont absentes, où les transnationales peuvent détruire l environnement et piller les richesses du peuple, où des bases militaires stationnent depuis des décennies, où les dirigeants sont des pions soutenus mordicus contre le peuple n est pas en paix. Des pays dont l économie et la monnaie ainsi que les avoirs extérieurs sont détenus par les autres ne sont pas en paix.
4 C est là qu il faut convoquer nos prédécesseurs : les Olympio, Lumumba, Nkrumah, Sekou Touré, Steve Biko, Um Nyobè, Ouandié, Félix Moumié, Anta Diop, Thomas Sankara, Tavio Amorin... Ils doivent même nous inspirer dans nos initiatives. Car, le combat n a pas abouti ; il n est pas achevé. Depuis leur tombe, il faut leur demander la passation du flambeau. A notre génération de se montrer digne de marcher dans leur sillage afin que leur mort ne soit pas vaine et rompre définitivement avec les indépendances fictives qui servent à imposer au peuple noir des pions de la trempe de Gnassingbé et fils, de Bongo et fils et d autres encore... au travers desquels l humiliation et le saccage de l Afrique se perpétuent. Le but de la France est bien de pérenniser le système? Le Gabon et d autres pays d Afrique sont chasse gardée de la France, son pré carré. La stratégie occidentale n a pas changée d un pouce, la domination des trois quart de l humanité, en utilisant aujourd hui les«voix respectables», les outils du néo-impérialisme (onu Fmi banque mondiale)et tout le cinéma de la transparence et de la promotion de la démocratie. Répartition des rôles Selon une règle tacite, le directeur du FMI est désigné par les gouverneurs européens alors que le président de la Banque mondiale est désigné par le gouvernement américain, les États-Unis étant le principal actionnaire de la Banque mondiale. Il est élu pour un mandat de 5 ans, renouvelable, par le conseil d administration. Une belle démonstration de justice d équité et d équilibre. La France à trop d intérêts pour laisser les Gabonais prendre leur destin en main. Total Gabon un des fleurons de la France à fric doit poursuivre son activité dans de bonnes conditions, le fils du père ayant été formaté dans le même moule, c est un pantin qui conviendra parfaitement à la France. Tous les dirigeants Africains qui avaient une vision autre que la sauvegarde du diktat occidental et des intérêts des «ex puissance coloniales» qui tirent toujours les ficelles dans ces contrées lointaines ont été éliminés (Félix Moumié, Thomas Sankara, Lumumba pour ne citer que les plus illustres combattants). Nous passons enfin en revue la situation de l économie pétrolière au Gabon Situation de l économie pétrolière au Gabon : L économie gabonaise est fortement dépendante de la manne pétrolière. Au Gabon le bassin sédimentaire couvre une superficie de Km² dont 30% on shore et 70% offshore. Environ 47% de la surface attribuée est ouverte à l exploration. Depuis le début de l exploitation pétrolière au Gabon dans les années 60, la production pétrolière a atteint son pic en 1997 avec un plafond record de millions de tonnes. A partir de 1999, la production nationale enregistre des baisses et évolue en dents de scie pour atteindre en 2006 son niveau le plus bas (11,9 millions de tonnes), avant de se stabiliser à environ 12MT Le Gabon occupe à ce jour, le quatrième rang des producteurs pétroliers en Afrique Sub-saharienne après le Nigeria, l Angola et la Guinée Equatoriale. L année 2008 a été marquée par une production quasi identique à celle de 2007, malgré les fluctuations des cours mondiaux du brut et de la crise financière mondiale. Les estimations pour les années à venir font état d une stabilisation de la production à 12 / 12.5 millions de tonnes par an, quelques découvertes mineures venant compenser le déclin amorcé des champs historiques de Rabi et Gamba avec notamment la mise en production par Maurel et Prom de son champs d ONAL pour lequel l entreprise a obtenu une autorisation exclusive d exploitation en Les capacités de ce champ et de celui d Omko (distant de cinq kms) sont estimées à près de barils par jour. La production totale d Onal est estimée à environ 104 millions de barils sur une vingtaine d années d exploitation. Grâce aux prix élevés du pétrole, le Gabon a, depuis trois ans, bénéficié de recettes pétrolières exceptionnelles pour son budget (62% du total en 2008). Les Etats-Unis restent en 2008 le principal destinataire des exportations de pétrole gabonais absorbant prés de 63.5%, suivi de l Asie (21%) et de l Europe (11%). Exportations du Gabon en 2006= 6 Milliards $ Les exportations de produits pétroliers du Gabon en 2006 atteignent environ 6 Milliards de $ US en 2006 et représentent 85,6% de l ensemble (1er chapitre à l export). Au niveau mondial le Gabon se situe au 54ème rang des pays exportateurs de produits pétroliers (SH 27). Les clients du Gabon en 2006 pour les produits pétroliers sont essentiellement les Etats Unis (68%), la Chine (7,2%), Singapour (6,1%), la France (4,3%) et la Suisse (3%).
5 Caractéristiques du marché Les Sociétés présentes sur le marché gabonais Le secteur pétrolier au Gabon est composé de diverses activités : 1 Production et recherche pétrolières Le Gabon compte sept producteurs de pétrole. Total Gabon demeure le premier producteur avec une production de barils/jours suivi de Shell avec barils/jours. A eux deux, Total et Shell produisent un peu plus de 50% de l huile du Gabon. La société Perenco, dont l activité reste stable, arrive en troisième position avec barils/jour. Viennent ensuite Marathon Oil produisant barils jours, Vaalco avec barils/jours et Addax qui a débuté sa production en 2004 avec 6000 barils/jours. Parmi les nouveaux venus on compte la société française Maurel et Prom qui s est implantée au Gabon en 2004 par le rachat des actifs de la société Rockover. Sur les quatre champs repris, trois sont prometteurs et l un a même commencé à produire en novembre 2006 (1000 barils/jours). Maurel et Prom produit depuis mars 2009 sur le site d ONAL et devrait prochainement atteindre les barils par jour. Autre nouveau venu, l irlandais Tullow Oil, qui a racheté en 2005 les actifs du sud africain Energy Africa Gabon, en association avec le japonais Mitsubishi Petroleum. Enfin, Canadian National Ressources a de son côté racheté les actifs de Pionner et aurait des perspectives de production sur le champ d Olowi situé en offshore peu profond au Sud du pays. Dans le même temps, on recense la présence de 11 autres compagnies actuellement en phase d exploration. Ces sociétés sont chinoises (Sino Gabon Oil and Gas et Sinopec Overseas), sud africaines (Sasol), américaines (Forest oil,...), australiennes (Sterling Oil.), et canadiennes. En décembre 2008, de nouveaux blocs pétroliers ont été attribués au groupe ENI (société italienne). Il s agit de six contrats pétroliers d exploration et de partage de production (CEPP), portant sur des blocs d une superficie globale de plus de km2). 2 Sous-traitance pétrolière Autour des activités de production et d exploration on note plusieurs sous-traitants pétroliers qui fournissent différents services aux compagnies pétrolières (maintenanciers, assistance technique en forage, exploration sismique, ventes installations et réparations pétrolières qui occupent une place importante dans le secteur. Les principaux sous- traitants pétroliers sont Schlumberger, Foraid Gabon (Spie Oil & Gas Services), Geo Industries, Baker Hughes, Cameron Gabon, Acergy Gabon. 3 Raffinage La SOGARA (Société Gabonaise de Raffinage) est l unique société dans l activité raffinage. En 2008, près de T de brut en provenance du champ pétrolier Mandji ont été traitées. Cependant, la société est confrontée à d énormes difficultés d ordre techniques qui l ont contrainte récemment à importer du brut raffiné des pays du golfe, créant ainsi des pénuries récurrentes au niveau local. 4 Stockage, transport et distribution des produits pétroliers Il n existe qu une seule société de stockage et d entreposage de produits pétroliers : la SGEPP (Société Gabonaise d Entreposage de Produits Pétroliers), dont la capacité de stockage à Libreville est de m3 de produits blancs, 3 200m3 de fuel, 2450m3 de gaz butane et 800m3 de butane. A Moanda, la capacité de stockage de la SGEPP est de m3 de produits blancs et 300m3 de gaz. Par ailleurs, on note la présence de 4 opérateurs dans la distribution des produits pétroliers : Il s agit d Engen (entreprise Sud africaine ayant racheté en avril 2008, 60% des parts dans Shell Gabon), Total marketing, Petrogabon et Oil Lybia qui transportent et distribuent les produits pétroliers à travers leur réseau de stations services installées à Libreville et à l intérieur du pays. Fiscalité Une fiscalité conventionnelle et contractuelle La fiscalité pétrolière s articule autour de deux modèles distincts : la fiscalité classique des anciennes conventions, qui couvre encore une partie de la production pétrolière du Gabon, comporte une redevance minière proportionnelle de 10 à 20 % pour les hydrocarbures liquides selon les contrats, une redevance superficiaire calculée par km² ou par ha selon le type de permis et un impôt sur les bénéfices pétroliers de 40 à 73% suivant les conventions. les Contrats d Exploration et de Partage de Production (CEPP) conclus depuis 1997 intègrent une redevance superficiaire calculée par km² ou par ha selon la phase en question (exploration ou exploitation), une redevance minière proportionnelle représentant 4% à 20 % (souvent calculée par tranche de production en barils/jour) du pétrole vendu, le solde se répartissant entre le cost oil (part réservée à la compagnie pétrolière en cas de production pour amortir la totalité de ses dépenses, mais dont la récupération par année civile est plafonnée suivant les contrats entre 50 % et 80 % de ce solde) et le profit oil (dont la 1/2, les 2/3, 3/4 ou 4/5 iront à l Etat Gabonais comme équivalent d impôt).
6 Enfin, des accords d évaluation technique ont vu le jour afin d inciter à la prospection. Ils permettent au bénéficiaire d effectuer une phase préalable d évaluation avant même de signer un contrat d exploration et de partage de la production. En matière de TVA, les compagnies pétrolières ont connu quelques difficultés avec les autorités gabonaises en mai 1995 dans le cadre de la réforme fiscalo douanière de l UDEAC. Après de longues négociations entre l UPEGA (Union des Pétroliers Gabonais), le ministère des Mines et le ministère des Finances, les activités d exploration ont finalement été dispensées du paiement de la TVA tandis que les activités de production l acquittent avant de la récupérer ou en sont purement exonérées lorsque les opérations ont lieu entre membres de l UPEGA. Sont également exonérées les entreprises ayant un statut de sous-traitant purement pétrolier qui adhèrent à l UPEGA. A noter qu il existe deux principaux régimes fiscaux propres aux sous-traitants pétroliers : Le Régime fiscal simplifié (RFS), dont les seules bénéficiaires sont les succursales étrangères ouvertes ou Gabon ; Le régime de droit commun applicable aux sous-traitants établis au Gabon et ayant un établissement permanant (filiale ou succursale) non éligibles au RFS ; Perspectives Un avenir pétrolier en apparence peu prometteur Bien que la production pétrolière se soit stabilisée depuis 2006 grâce à la mise en production de nouveaux champs, il n en demeure pas moins que le secteur pétrolier au Gabon demeure peu prometteur à long terme. Si la baisse du prix du baril et la crise financière internationale actuelle se poursuivaient, les compagnies envisageraient, une baisse des activités de forage, un arrêt du développement des champs dits «marginaux», une révision ou annulation de contrats avec certains sous-traitants pétroliers. Selon certains analystes, il ne reste plus grand espoir de découvertes majeures sur les champs à terre (on shore). Les opportunités se situeraient en offshore profond et semi-profond, nécessitant des coûts d exploitation très élevés, secteur qui semble intéresser les sociétés américaines Compte tenu des luttes engagées au niveau international pour profiter de la manne pétrolière gabonaise il semble par conséquent que la chasse gardée de la France sur les revenus pétroliers gabonais soit sur le point d être écornée. FIN/IPG/KHM/2009 Copyright Infosplusgabon
www.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailSBM Offshore OIL & GAS* sdv.com. Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz
SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz SDV, UN SERVICE DE PROXIMITÉ ET UNE PERFORMANCE ASSURÉE La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailQuand un franc-maçon dit «Non» à Denis Sassou Nguesso
Document mensuel No 1 : Quand un franc-maçon dit «Non» à Denis Sassou Nguesso Connu au Congo et ailleurs en Afrique, ainsi qu en France, comme étant l un des rares Francs-Maçons africains qui se dévoilent,
Plus en détailCOMMITTED TO BETTERENERGY. TransparenceFinancière2015 L exempledetotalaugabon (Données2014)
COMMITTED TO BETTERENERGY TransparenceFinancière2015 L exempledetotalaugabon (Données2014) Le cadre contractuel de l activité de Total au Gabon Total est présent en exploration production au Gabon à travers
Plus en détaileni, mécène exceptionnel du musée du Louvre
eni, mécène exceptionnel du musée du Louvre Le soutien à la culture dans les pays où elle opère et le lien avec les traditions et les communautés locales sont un trait distinctif d eni : l importance du
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailParis, le 22 décembre 2008 N 39-08
Paris, le 22 décembre 2008 N 39-08 Obtention de la licence d exploitation pour le champ d Ocelote en Colombie Obtention d un nouveau permis d exploration en Colombie Dernières nouvelles sur le démarrage
Plus en détailLA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L AFRIQUE
LA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L AFRIQUE Le réel problème et le plus crucial sur lequel il faudra que l Afrique, l Afrique francophone se lève est celui de son extrême dépendance au système français.
Plus en détailPLAINTE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE. A Monsieur le Doyen Des Juges d Instruction Du Tribunal de Grande Instance de Paris. Monsieur..
PLAINTE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE A Monsieur le Doyen Des Juges d Instruction Du Tribunal de Grande Instance de Paris A LA DEMANDE DE : Monsieur.. Ayant pour Avocat : Maître Brice Nzamba Avocat
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailpays tributaires des exportations de minéraux
La viabilité de la politique budgétaire dans les pays tributaires des exportations de minéraux Kirk Hamilton Groupe de recherche sur l économie du développement Banque mondiale Séminaire de haut niveau
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailelle devrait bientôt débarquer en Belgique.
Vendue à bas prix, dès la fin de ce mois, la Way-C est la première tablette conçue sur le continent noir. Selon son concepteur congolais (Brazzaville), elle devrait bientôt débarquer en Belgique. C est
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailTaxer la finance. Toby Sanger
Taxer la finance Toby Sanger La crise financière et économique a entraîné une réévaluation du rôle, de la régle - mentation et de l imposition du secteur financier dans le monde, qui aurait dû être faite
Plus en détailTABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES
TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES Réforme globale du Code Général des Impôts Fiche technique thématique Mesures Modalités pratiques Objectif poursuivi 1 Crédit d impôt pour investissement (Impôt
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailCela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales.
1 Contribution de Jean Pierre BRARD, député apparenté communiste de Seine Saint Denis, et de Bernard VERA, sénateur communiste de l Essonne, membres du groupe de travail Assemblée nationale Sénat sur la
Plus en détailVADE MECUM DEPARTEMENTALES 2015
VADE MECUM DEPARTEMENTALES 2015 Les électeurs sont convoqués le 22 mars 2015. Le scrutin sera ouvert à 8 heures et clos à 18 heures (ces horaires pourront être élargis par arrêtés spéciaux pris par les
Plus en détailKit produits garanties publiques. Direction des garanties publiques
Kit produits garanties publiques Direction des garanties publiques 09 04 2013 Les soutiens publics à l exportation Vos besoins / Notre offre Développer votre chiffre d affaires à l international sans craindre
Plus en détailZones franches et places financières offshore au Maroc
Zones franches et places financières offshore au Maroc Actualisation au 1 mai 2002 MINEFI DREE/TRÉSOR Soucieux de consolider sa politique d ouverture commerciale, d améliorer ses capacités d exportation
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailCoface et les soutiens publics à l Exportation
Coface et les soutiens publics à l Exportation LES OPPORTUNITES D AFFAIRES AUX EMIRATS ARABES UNIS Financer sa démarche de prospection, Son projet export. 16 décembre 2014 / Saint Denis de La Réunion Les
Plus en détailKit produits «Garanties Publiques» Direction des Garanties Publiques
Kit produits «Garanties Publiques» 03 02 2011 Direction des Garanties Publiques Les soutiens publics à l exportation + nouveaux visuels 2 Vos besoins / Notre offre Développer votre chiffre d affaires à
Plus en détailDéveloppement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC
Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Novembre 2012 La FIEEC est une Fédération de l'industrie qui rassemble 29 syndicats professionnels dans les secteurs de
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailLe processus du développement économique
DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS
CET épargne salariale TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS Sommaire Compte épargne temps 3 Historique 4 Mise en place 6 Alimentation 8 Utilisation 10 Optimiser le CET 14 COMPTE ÉPAR- GNE TEMPS Le Compte
Plus en détailModes de règlement pour l International : Canada, Europe, Afrique
Modes de règlement pour l International : Canada, Europe, Afrique Notre association est implantée dans tous les pays de langue française. Tous les pays où nous sommes présents n ayant pas l Euro, voici
Plus en détailA Genève, deux comptes, crédités chacun de près de 15 millions de dollars (11,5 millions d'euros
Genève. Depuis janvier 2012, le parquet fédéral suisse enquête dans la plus grande discrétion sur des marchés pétroliers remportés, il y a trois ans, par le groupe Gunvor au Congo- Brazzaville. Cette procédure,
Plus en détailLes mesures en faveur de
Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises
Plus en détailRésultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration
Paris, le 20 février 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration Un renforcement substantiel des gains de productivité et une nette progression des résultats en 2014 par rapport
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailCOMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?
Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailSWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre
Communiqué de presse 27 mai 2003 SWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre La compagnie aérienne SWISS a réalisé un chiffre d affaires de 1 044 milliards de francs suisses au cours
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 2 SEPTEMBRE 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailINVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD
INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections
Plus en détailMULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK
MULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK MediCapital Bank Acteur de Référence en Afrique Dans un contexte économique pourtant difficile, Medi- Capital Bank (MCB) a démontré sa capacité à générer du chiffre
Plus en détailFICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12
Comité de Toulon Provence Toulon, 5 mars 2012 FICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12 Objet : Préambule -o- La dernière réunion de la Convention de Barcelone sur la protection de la Méditerranée, à Paris en février
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailConsolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL
mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite
Plus en détailContexte pétrolier 2010 et tendances
Contexte pétrolier 21 et tendances L incertitude du contexte économique, en particulier dans les pays occidentaux, est à l origine d une fluctuation marquée du prix du pétrole en 21 : minimum de 67 $/b
Plus en détailLa dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande
N o 11 626 X au catalogue N o 018 ISSN 1927-5048 ISBN 978-1-100-99873-2 Document analytique Aperçus économiques La dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande par Komal Bobal, Lydia Couture
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailCegedim : Un chiffre d affaires 2013 en léger recul en organique*
SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2013 IFRS - Information Réglementée
Plus en détailStatus de la banque des états de l Afrique Centrale
Status de la banque des états de l Afrique Centrale T I T R E I CONSTITUTION - STATUT JURIDIQUE Article premier La Banque des Etats de l Afrique Centrale (ci-après désignée la Banque) est un établissement
Plus en détailTERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE
TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Depuis la campagne 2012-2013, l Etat de Côte d Ivoire a engagé une réforme de la filière café-cacao
Plus en détailLes Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009
Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Rapport Conjoint Banque Africaine de Développement ET Global Financial Integrity Mai
Plus en détailLA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES. 11 février 2014 CGPME AIN
LA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES 11 février 2014 CGPME AIN 1 La réforme fiscale 2014 Application pratique 8 aux chefs d entreprises Jacques - Vincent PIROUX Expert -
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailDécryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence
BROCHURE TARIFAIRE 2015 AFRICA Africa Intelligence Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence L abonnement à Africa Intelligence comprend l
Plus en détailBarack Obama a gagné la bataille... sur les médias sociaux aussi!
Think... Edition Spéciale Barack Obama a gagné la bataille... sur les médias sociaux aussi! Le 4 avril 2011, Barack Obama annonçait sa candidature à l élection présidentielle américaine de 2012 sur Youtube.
Plus en détailCirculaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014. L.I.R. n 104/1
Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014 L.I.R. n 104/1 Objet : Evaluation de certains avantages accordés par l employeur à ses salariés a) Mise à la disposition à
Plus en détail«garanties publiques» Direction des garanties publiques Marie-Claire SARLIEVE
«garanties publiques» 25 05 2012 Direction des garanties publiques Marie-Claire SARLIEVE Profil de Coface Coface commercialise des solutions pour gérer les créances commerciales que les entreprises détiennent
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détail243 La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire
La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire >Luc Barbé chercheur-associé à Etopia. barbe@telenet.be Le fait que les premières bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki aient été
Plus en détailDélégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?
Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda
Plus en détailDans l évasion fiscale, jusqu au où remonte la chaine des responsabilités?
Eric Bocquet (PCF-FDG) est le rapporteur de commissions d'enquête au Sénat sur l'évasion fiscale et ses acteurs. Il est également l'auteur de nombreuses propositions et amendements visant à lutter contre
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailRÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE
RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE Le 18 décembre 2013 Les actionnaires devraient lire attentivement la notice d offre en entier avant de prendre une décision
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailFINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS
Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources
Plus en détailQu est-ce que la Zone franc?
Paris, vendredi 3 octobre 2014 Après le dernier G20 Finances (à Cairns les 20 et 21 septembre) et en amont des assemblées annuelles de la Banque Mondiale et du FMI (à Washington du 9 au 11 octobre), Michel
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailCORRECTION BREVET PONDICHERY 2014
CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailRésultats du 3 ème trimestre 2006. Chiffre d affaires de 321 M en hausse de 46 % Résultat opérationnel de 72 M soit une marge de 22%
COMPAGNIE GENERALE DE GEOPHYSIQUE Résultats du 3 ème trimestre 2006 Chiffre d affaires de 321 M en hausse de 46 % Résultat opérationnel de 72 M soit une marge de 22% Paris, le 15 novembre 2006 La Compagnie
Plus en détailPRODUITS D EXPLOITATION
RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut
Plus en détailAu second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :
11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010
Plus en détailLES NOTES D ALTAÏR. L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences.
LES NOTES D ALTAÏR L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences. Altair Think tank culture médias interpelle les parlementaires afin qu ils prennent le temps de la réflexion
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détail5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations
5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition
Plus en détailPETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS LE 31 MARS, 2009 PETRO-CANADA - 2 - RÉSULTATS CONSOLIDÉS (non vérifié) Pour les périodes terminées le 31 mars (en millions de dollars canadiens, sauf les montants
Plus en détailSolution Citi pour les comptes de paiement internationaux (IPA) Activé pour la globalisation
Solution Citi pour les comptes de paiement internationaux (IPA) Activé pour la globalisation Pour les sociétés multinationales qui opèrent dans différents marchés du monde, il est essentiel de pouvoir
Plus en détailSociété française des intérêts des auteurs de l écrit
Société française des intérêts des auteurs de l écrit Le droit de prêt La rémunération pour copie privée numérique La retraite complémentaire des écrivains et des traducteurs L action culturelle Les livres
Plus en détailguide clarté épargne www.creditmutuel.fr
guide clarté épargne UNE BANQUE QUI N A PAS D ACTIONNAIRE, ÇA CHANGE L ÉPARGNE. www.creditmutuel.fr AVEC VOTRE CONSEILLER CRÉDIT MUTUEL, ENVISAGEZ L ÉPARGNE DIFFÉREMMENT. Comme toutes les banques, le Crédit
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement
Plus en détailPrésenté par : Services financiers Elavon. Yves Delisle Vice président adjoint Ventes au secteur public. 2012 Elavon Financial Services
Payez moins cher, sauver des arbres : Comment l automatisation des paiements peut assurer la survie de votre entreprise tout en assurant celle de la planète 2010 Présenté par : Services financiers Elavon
Plus en détailPROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET
PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International
Plus en détail[avaient] [avaient] Réconciliateur a confirmé que tous les paiements significatifs ont été divulgués dans le cadre de la production des rapports. Cependant, le Validateur n a pas reçu suffisamment d informations
Plus en détailREFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE!
REFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE! L'ACTUALITE 12 février 2014 CGPME Ain Le 11 février dernier La CGPME de l'ain a organisé une réunion d'information pratique à la Chambre des Professions libérales, pour
Plus en détailRapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Fax +41 44 631 39 10 Zurich, le 13 août 2010 Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 La Banque nationale
Plus en détailLe monitoring des médias
Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l Information & de la Communication 2012 Chapitre 10 Le monitoring des médias 221 Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailRégime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions
Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Circulaire d offre Compagnie Pétrolière Impériale Ltée Aucune commission de valeurs mobilières ni organisme similaire ne s est prononcé de
Plus en détailTrading our health away. Prêts à échanger votre santé?
Trading our health away Prêts à échanger votre santé? Plan I. Est-ce grave docteur? 1. Tensiomètre : définir les concepts 2. Documentaire : une pêche d'enfer 3. Quiz : les raisons du libre-échange 4. Photo-langage
Plus en détailLA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ
JEUX DU COMMERCE 2008 CAS COMPTABILITÉ FINANCIÈRE LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ Éric Déry, CA, MBA Département des Sciences comptables Université du Québec à Trois-Rivières 2007 Toute reproduction, en
Plus en détail