Incontinence urinaire de la femme âgée
|
|
- Gabriel Beausoleil
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Incontinence urinaire de la femme âgée Généralités Anatomie Épidémiologie Vieillissement et IU Étiologies Évaluation médicale m de l IU l et traitement 2 cas particuliers: Rétention - Troubles cognitifs Protocole prise en charge pluridisciplinaire Conclusion 1
2 Incontinence urinaire: pb fréquent et sous-estim estimé - L incontinence est une fuite d urinesd - Sur 3 millions de personnes incontinentes en France, 70 % sont des personnes âgées - Considérée e comme une fatalité : cach recherchée e par les médecinsm cachée e par patients, non - Coût t considérable en matière de santé publique - coût t direct: palliatif 300 millions d euros/an, d soins 268 millions d euros/and - coût t indirect: 1,5 milliards d euros/and - L incontinence urinaire provoque des perturbations favorisant une perte d autonomie d (infection, escarres, dépression, isolement social ) 2
3 Anatomie de la femme La base de la prise en charge des troubles urinaires est de connaitre l anatomie l et la physiologie de la miction. 3
4 Les muscles du périnp rinée (d apr après s Kamina.P) 1- aponévrose superficielle 3- aponévrose moyenne 4- muscle gluteus maximus 6- clitoris 7- muscle ischio-caverneux caverneux 8- muscle bulbo-caverneux 9- bulbe vestibulaire 10- glande vestibulaire majeure 11- muscle transverse superficiel 12- centre tendineux 13- sphincter externe de l anusl 14- muscle levator ani 15- coccyx Hamac soumis aux pressions (pesanteur, poussées..) 4
5 Épidémiologie de l incontinence l urinaire (1) La prévalence est difficile à évaluer (24 à 47%) 5
6 Épidémiologie de l incontinence l urinaire (2) Mais la prévalence varie avec l âge, l le sexe et le lieu de vie (10 à 57%) La fréquence augmente avec l'âge avec la perte d autonomied selon le lieu de vie (25 % vivent à domicile, 65 % en institution) en cas de détérioration d psycho intellectuelle L IU par impériosit riosité et mixte de la femme est corrélée : - au fait de vivre en institution (RR 13.55) - à l incontinence fécale f (RR 7.84) - à la diminution des activités s quotidiennes (RR 3.55) - à la dépression d (RR 2.69) - aux co-morbidit morbidités s (RR 1.94) Au total plus d 1 d 1 résident r sur 2 a des troubles mictionnels mais grande variabilité entre les différentes structures et différents pays (+ japon, Québec, Canada et-- pour la France!.) 6
7 Épidémiologie de l incontinence l urinaire (3) Les types de l IU l de la femme de plus de 70 ans sont : - d effort - par impériosit riosité (urgenturie) - mixte ++ 7
8 Vieillissement et incontinence urinaire Le vieillissement seul NE PROVOQUE PAS D INCONTINENCE D URINAIRE. Les changements physiologiques liés à l age: - diminution de la capacité de la vessie - augmentation du résidur - contractions vésicales v involontaires + fréquentes - carence oestrogénique - relâchement des structures du plancher pelvien. Des modifications pathologiques plus fréquentes avec l age: l - les troubles de la mobilité,, l alitementl - les dysfonctionnements du SNC (SEP, AVC), démence d pression - les affections générales g modifiant la diurèse (diabète, (perte de la sensation de besoin), dépression ICardiaque) - les médicaments. m 8
9 Liste des médicaments m favorisant l incontinence l urinaire Effets Classe de médicaments Molécule et spécialité La rapidité d augmentation de la diurèse aggrave les symptômes Favorise la rétention urinaire et l incontinence par regorgement (NB: rare chez la femme sauf en cas d obstacle sousuréthral) Diminue le tonus uéthral Effet sédatif aggrave les symptômes. Diurétiques Anticholinergiques antispasmodiques Antidépresseursimipraminiques Non imipraminiques Antipsychotiques (Neuroleptiques) Antiparkinsoniens Antiémétiques Antidiarrhéiques AntihistaminiquesH1 (actuellement, le seul sans effets anticholinergiques est l Oxatomide (Tinset*)) Analgésiques centraux Anticholinestérasiques Alpha-sympathomimétiques Anxiolytiques/ Hypnotiques Inhibiteurs calciques α bloquants Antipsychotiques, antihistaminiques, et analgésiques morphiniques Hypnotiques Anxiolytiques Furosémide (Lasilix*) Atropine Viscéralgine*, Scopolamine*, Spasmodex* Anafranil*, Prothiadem*, Tofranil*, Laroxyl*, Elavil*, Quitaxon*, Défanyl*, Surmontil*, Ludiomil* Ixel*, Phénothiazines: Largactil*, Nozinan*, Tercian*, Neuleptil*, Moditen*, Piportil* Thioxanthènes: Fluanxol*, Clopixol* Dibenzodiasépines: Zyprexa*, Leponex* Artane*, Lepticur*, Akineton*, Artane*, Parkinane* Vogalène* Nautamine*, Nausicalm*, Scopoderm* Diarsed* Virlix*, Zyrtec*, Xyzall*, Clarytine*, Aerius*,Primalan*, Telfast*, Mizollen*, Kestin*, Phénergan*, Théralène*, Dimégan*, Polaramine*, Agyrax*(zantivertigineux). Non morphiniques Idarac*, Acupan* Morphiniques Mestinon*, Mytélase*, Néostigmine, Aricept*,Exelon*, Reminyl* Pseudoephédrine(y compris certains décongestionnants nasaux vendus sans ordonnance): Sudafed*,Rhinadvil*, Actifed*Aturgyl*, Derinox*, Deturgylone*, Rhinofluimucil* Atarax* / Donormyl*, Nopron*, Théralène, Mépronizine*, Noctran* Tous Xatral*, Zoxan*, Josir*, Omix*, Dysalfa*, Hytrine*, Terazosine* Antihypertenseurs : Eupressyl*, Médiatensyl*, Minipress*, Alpress*. Ceux déjà cités plus haut Tous. Toutes les Benzodiazépines. 9
10 Étiologies de l incontinence l urinaire (1) Différents types d IU de la femme Revue du Praticien vol 61 sept
11 Etiologies de l incontinence l urinaire (2) Causes en fonction du type d incontinence d : - IUE (Insuffisance Sphinctérienne): Faiblesse et laxité de la musculature du plancher pelvien Traumatismes obstétricaux; tricaux; Augmentation pression intra abdominale - IU par impériosit riosité (Hyperactivité du détrusor) d : Neurologique; Pathologie vésicale; v Psychogène - IU par regorgement (obstacle): Organique; Fonctionnelle; Iatrogène Causes potentiellement réversibles r (DRIP) : fécalome. D = delirium, démence d ou état confusionnel R = réduction r de mobilité ou rétention r d urines. d I = inflammation : atrophie vaginale, infection urinaire, P = polyurie ou pharmaceutique. 11
12 Arbre décisionnel d de prise en charge médicale m de l IU l de la femme âgée Histoire EP BU RPM Causes identifiables retrouvées Pas de causes identifiables Mesures thérapeutiques Présomption diagnostique Identification du mécanisme Pas de diagnostic ni d identification d un mécanisme Patient satisfait Patient non satisfait Traitement d épreuve BUD et avis spécialisé Poursuite du traitement et réévaluation régulière Patient satisfait Patient non satisfait 12
13 13
14 Organigramme des mesures thérapeutiques (TTT) en fonction des causes identifiables Causes identifiables et mesures TTT Interrogatoire EP BU RPM Médicaments: ou des doses Fécalome: Désobstruction, TTTconstipation marchepied aux WC Infection urinaire : ATB, BU > 48 H RPM > 50 cc BiologieTTTαbloquant Avis uro,néphro Mobilité Aide des soignants à heures fixes Vaginite atrophique: E2 locaux Glycosurie : recherche diabète Delirium Traiter et réévaluer la fonction urinaire. Prolapsus : avis chir (gynécologue) ou palliatif (change, pessaire) Hématurie, protéinurie: Avis uro, néphro Anomalies ex neurologique: avis neurologue 14
15 Arbre décisionnel d des TTT d éd épreuve en fonctions des mécanismes Quelque soit le mécanisme identifié, traitement par E2 local : Gydrel*, Trophigil* avec applicateur vaginal: 1 le soir pendant 3 mois puis 1 à 2 fois/semaine à vie IU d effort Rééducation périnéale IU par impériosité Rééducation périnéale IU par rétention (RPM >50 cc à 100 cc)) Refaire un nouveau sondage AR Réaliser un bilan biologique (iono, créat) Si échec de ces mesures Si échec de ces mesures Chirurgie (Bandelette TVT) avec avis gynécologue ou urologue Traitement anticholinergique PAS d oxybutinine (ou Ditropan), préférer nouveau antichol type chlorure de trospium (Ceris* cp à 20 mg 1 à 2 fois/jour) Traitement α bloquants contreversé (Xatral*, Josir*..) 1 cp par jour 2 à 3 semaines A continuer si disparition du RPM?. Si échec de ce traitement Si échec de ce traitement Palliatif Avis urologue ou gynécologue Protections, pessaire (cube++) Avis urologue ou gynécologue 15
16 2 cas particuliers La rétention RPM sup à 100 ml chez le SA voire +!!! fréquente 10 % SA, Hypocontractilité vésicale +/- pathologies (obstacle: prostate chez l homme, tumeurs) +/- iatrogénie +/- immobilisation, alitement + hyperactivité vésicale => incontinence début aigu, diagnostic clinique difficile insidieux masqué: confusion mentale, échographie portable (bladder scann) urgence vitale en aigu, retard diagnostic= vessie«claquée», infection, I rénale Ne pas TTT par ATB sur un ECBU positif SANS SYMPTOMES TTT: Draîner : sondage intermittent++ si possible éducation de la patiente, sonde à demeure. KT sus-pubien chez l homme. Lever obstacle: RTUP, chir de prolapsus ou pessaire chez la femme médicaments? alpha -bloquants bof, hypota, peu efficace parfois tolérer un résidu en fonction de la tolérance 16
17 Troubles cognitifs (troubles cognitifs même léger) = données d interrogatoire d incertaine => difficulté diagnostique justifie un calendrier mictionnel et l observation l d une d miction++ = importance des soignants en institution MAIS aussi à domicile = démarche réér ééducative des soignants (conseils++, respect de la physiologie de la miction, tournée «pipi» à horaires réguliers) r 17
18 Prise en charge pluridisciplinaire de l IUl Pathologie sous-estim estimée, e, fréquente Relation entre IU et institution Démarche diagnostique simple Prévention efficace Coût t important Solutions apportées par les soignants: dépistage, conseils, mise en place d actions d correctives pistage, évaluation, La prise en charge pluridisciplinaire de l IU l est simple, peu consommatrice de temps et d examens d complémentaires, mentaires, améliore l autonomie l des patientes. 18
19 Arbre décisionnel d du dépistage d de l IU. l Femme âgée 65 A Entrant en structure Ou à 3, 6, 12 mois de l entrée. Par soignants (AS) Questionnaire et BU BU + BU Questionnaire positif BU - Questionnaire ECBU et transmission au médecin Protocole infirmier de prise en charge de l IU Archiver les résultats dans le dossier patient Réévaluer à 1 mois: Questionnaire et BU 19
20 Questionnaire d éd évaluation de la fonction urinaire A/ SI PATIENTE INTERROGEABLE 1. Etes-vous gênée e par des fuites urinaires? 2. Etes-vous gênée e par envies pressantes d urinerd? 3. Urinez-vous souvent la nuit? 4. Urinez-vous souvent le jour? 5. Etes-vous gênée e par des pertes d urines lors d effortsd? 6. Portez-vous des protections? 7. Devez-vous vous pousser pour uriner ou déféquer? B/ Si patiente in interrogeable : 1. Le lit est-t-il souillé? 2. Le linge est-t-il souillé? 3. Y a t-il t des odeurs d urines d dans la chambre? 4. La patiente demande souvent de l emmener aux toilettes C/ RESULTAT : questionnaire positif si au moins 1 oui aux questions. Si négatif, n arrêter le questionnaire et archiver. Si positif, poser les questions suivantes : Evaluation du retentissement sur la vie quotidienne. Evaluation de facteurs de risque. 20
21 Arbre décisionnel d de prise en charge de l IU. l BU = bandelette urinaire RPM = résidu post-mictionnel AR = aller-retour Dépistage par les soignants Questionnaire d évaluation positif Plainte de la patiente Fuites urinaires Troubles mictionnels + IDE Faire une BU BU (leuco et nitrites -) BU + (leuco + et/ou nitrites +) Recherche de causes simples ECBU + transmission au médecin Causes simples trouvées Actions correctives par les soignants Persistance des troubles urinaires Sondage AR RPM dans dossier Pas de causes simples Transmettre au médecin Refus du sondage par la patiente Réévaluer la fonction urinaire à 1 mois Persistance des troubles Disparition des troubles urinaires Disparition des troubles urinaires noter dans le dossier patient 21
22 Exemple de Grille de causes simples Nom et prénom : Chambre : Date : Identification des causes Oui Non Pourquoi? Erreur hygiéno-diététiques : eau hydratation Café Tabac OH Constipation Mobilité réduite Peur de déranger 22
23 Causes simples recherchées es par les IDE L IDE pourra apporter des actions correctives simples: -erreurs hygiéno no-diététiques tiques: : limiter des apports hydriques excessifs (max 2 l/j) ; diminuer la consommation d alcool, d tabac, café. -la constipation : veiller : veiller à apporter des fibres au régime r alimentaire, favoriser une hydratation correcte (1,5 l /jour) mais non excessive. Si les WC SONT SURELEVES, mettre un marchepied pour que la patiente, une fois assise sur les WC, puisse relever les jambes. accès s aux WC est satisfaisant -vérifier si l acc est satisfaisant pour la patiente: éclairage. Si patiente à mobilité réduite, veiller à ce que l équipe soignante l aml amène à heures fixes aux toilettes toutes les 2H- 2H30. Pour les patients mobiles, agenda mictionnel+++ 23
24 Actions correctives Hygiéno-diététiques : Limiter le café Limiter le tabac Limiter OH Hydratation quotidienne 1,5l/j sauf si patient en RH Limiter les apports hydriques après 17h Constipation : Application du protocole constipation Faire marcher Accès aux WC Sonnette hors de portée Dégager l accès aux WC Chaussures Inciter la patiente à aller aux WC régulièrement Constat de mauvaise posture Eclairage défectueux Mobilité réduite Mise en place d un plan de soin AS marche Demande de prescription kiné aux médecins Peur de déranger : Rassurer le patient Préconisées en équipe Transmises au patient OUI NON OUI NON Observations 24
25 CONCLUSION (1) L IU est mixte, plurifactorielle, avec causes réversibles r (DRIP), c est c une problématique gériatrique. g Que faire devant des troubles urinaires? Expliquer l anatomie l et la physiologie de la miction à tous Apprendre à respecter la physiologie (hygiène, diététique, tique, horaires) Favoriser l autonomie l des patients (accès, position) Expliquer la prise en charge= symptômes ont plusieurs causes (complexes) et qu il faut traiter l ensemble l de ses facteurs pour l améliorer (pas de médicament m d embld emblée) e) Rétention d urine d est une urgence, toujours à éliminer au mieux par échographie (Bladder scan=> réduction r morbimortalité et cout de DM et temps IDE) 25
26 CONCLUSION (2) Quelles pistes d amd amélioration? Éducation des femmes et jeune fille = pr = prévention primaire, précautions lors des sports «violents» (step, aérobic..) a Former les soignants au d au dépistage, ne pas aggraver des troubles urinaires (IU provoquée e par l hospitalisation, l la changement de lieu de vie..) Former les médecinsm decins= = savoir qu 1 1 prise en charge existe et améliore la qualité de vie et l autonomie l des patients, évite les complications de l IUl Développer consultation gériatrique g spécialis cialisée dans l IUl Dr Aude Théaudin audin-bourhis (frederic.theaudin@wanadoo.fr) 26
INCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailIncontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste
Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailFuites d urine des femmes
mai 2006 Dr Jean-François Hermieu Dr Emmanuel Cuzin et le Comité d urologie et de périnéologie de la femme Fuites d urine des femmes En parler pour se soigner Si vous avez des fuites d urine n ayez pas
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailIncontinence urinaire de la femme
1 Incontinence urinaire de la femme un problème de santé publique Docteur Jean-Louis GARIN Médecine Physique et RéadaptationR Centre Hospitalier Général G de Longjumeau 2 Trois périodes p critiques Le
Plus en détailAprès un an d enquête, 1176 femmes travaillant au C.H.U avaient répondu à notre questionnaire.
Prévalence de l incontinence urinaire d effort selon le traumatisme obstétrical et la catégorie socio-. G. Philippe (1), I. Clément (2), I. Thaon (3) (1) Service d urologie C.H.U St jacques, Besançon (2)
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailRÉSUMÉ DES RECOMMANDATIONS
NOUVELLE PROPOSITION DE RECOMMANDATIONS POUR L INCONTINENCE URINAIRE Le comité des recommandations de l AUC a travaillé à l établissement de nouvelles recommandations et à la mise à jour des précédentes.
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L INCONTINENCE URINAIRE DE LA FEMME EN MÉDECINE GÉNÉRALE
PRISE EN CHARGE DE L INCONTINENCE URINAIRE DE LA FEMME EN MÉDECINE GÉNÉRALE Mai 2003 Service des recommandations professionnelles Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés,
Plus en détailRAPPORT SUR LE THEME DE L INCONTINENCE URINAIRE
RAPPORT SUR LE THEME DE L INCONTINENCE URINAIRE Ministère de la Santé et des Solidarités Avril 2007 Rapport remis à Monsieur Philippe BAS Pr François HAAB Université Paris VI, Hôpital Tenon, Paris SOMMAIRE
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailE x t rait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétri q u e
CNGOF_MAJ_TITRES.qxp 17/12/09 17:26 Page 1 (1,1) COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur J. L a n s a c E x t rait des Mises à jour en Gynécologie
Plus en détailLa vessie neurogène (VN)
La vessie neurogène (VN) Dr. Eugenia Luca, Service de Paraplégie CRR Sion, le 26.03.2015 Introduction Les troubles urinaires associés aux maladies neurologiques sont fréquentes et d expression polymorphe.
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailRééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats. Guy Valancogne
Rééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats Guy Valancogne Depuis la fin des années 90 : études pour le cas spécifique de l incontinence masculine, - certaines d entre
Plus en détailLe rééducation Périnéale
Alexandre JETTE Lauriane VASSEUR 62 7 020282 001 30 1 26 62 7 035744 001 30 1 26 Cabinet de Masso-Kinésithérapie 9 rue Edmond de Palézieux - 62224 Equihen-Plage 03.21.91.11.64-06.85.12.01.18 - kine@ajette.fr
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailFUITES URINAIRES CHEZ LA FEMME
FUITES URINAIRES CHEZ LA FEMME Informations et traitement Pour vous, pour la vie Conscience du problème Beaucoup de femmes souffrent d incontinence urinaire sans en parler, même lors de leur visite en
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailPage 1/15 - L incontinence urinaire en détail
02/01/2013 L incontinence urinaire en détail En France, 3 millions de personnes souffrent d'incontinence, qu'elle soit urinaire ou fécale. Ce dossier présente les causes de cette affection, les divers
Plus en détailDOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT
Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement
Plus en détailL incontinence au féminin : des conseils pour chacune
L incontinence au féminin : des conseils pour chacune L incontinence, problème de femme O n parle d incontinence dès que l on laisse involontairement passer quelques gouttes d urine. Cela peut arriver
Plus en détailREEDUCATION DU POST-PARTUM
Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailMémoire pour l'obtention du Diplôme de Médecine Agricole
Mémoire pour l'obtention du Diplôme de Médecine Agricole «A propos de l impact socio-professionnel de l incontinence urinaire et anale chez la femme en milieu agricole» Présenté par le Dr Anne Sophie CHATELIER
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLe traitement médical de l incontinence urinaire féminine. Pr A.PIGNE C.E.E.G 75005 PARIS France
Le traitement médical de l incontinence urinaire féminine Pr A.PIGNE C.E.E.G 75005 PARIS France QUALIFIER l incontinence urinaire d effort (IUE) fuites involontaires, non précédée du besoin d uriner, à
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailRééducation périnéologique dans les troubles de la statique pelvienne Indications et principes de rééducation JP. DENTZ Cds-Mk Paris
Rééducation périnéologique dans les troubles de la statique pelvienne Indications et principes de rééducation JP. DENTZ Cds-Mk Paris Illustration : Max Claude Cappelletti Le plancher pelvien LA STATIQUE
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailPrévention des chutes
Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailurinaire féminine à l effort de la femme
Evaluation clinique préopératoire d une incontinence urinaire féminine à l effort de la femme Jean-François HERMIEU Service d Urologie CHU Bichat 46, rue Henri Huchard 75018 Paris E mail : jean-francois.hermieu@bch.aphp.fr
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailK I N é S I T H é R A P I E & D B C
KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailPour toutes questions supplémentaires, veuillez communiquer avec nous au 514 340-3540 poste 4129.
Journal urinaire À quoi sert un journal urinaire? Nous vous demanderons de remplir ce journal à deux reprises : avant et après les classes d exercices. Les données recueillies nous permettront de mieux
Plus en détailIncontinence urinaire de la femme: quelle est la marche à suivre au cabinet du médecin de famille?
Incontinence urinaire de la femme: quelle est la marche à suivre au cabinet du médecin de famille? Jörg Humburg Frauenklinik, Kantonsspital Bruderholz Quintessence P L incontinence urinaire de la femme
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailIncontinence urinaire du post-partum : l évoquer dans la consultation suivant l accouchement
Incontinence urinaire du post-partum : l évoquer dans la consultation suivant l accouchement Isabelle Aubin UFR Paris 7 Cinq propositions pour une meilleure prise en charge en médecine générale de l incontinence
Plus en détailBrochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent?
Brochure d information destinée au patient Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Sommaire de la brochure Ce guide complète les informations qui vous ont été données par le médecin et l infirmière.
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailBilan, proposition de traitement et tests
- médiation sinokinétique - Fiche d'une incontinence urinaire du post-partum Bilan, proposition de traitement et tests Grégory RUCH, Aurélie VAISSELLET, Julie MARGUIER 11/2010 Madame X, 32 ans, vient en
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailExercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement
Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 27 avril 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 27 avril 2011 Examen du dossier de la spécialité inscrite pour une durée limitée conformément au décret du 27 octobre 1999 (JO du 30 octobre 1999) et à l arrêté du 8
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailTroubles mictionnels de la femme. Dysurie, urgenturies, douleurs vésicales
Dysurie, urgenturies, douleurs vésicales Xavier Deffieux Service de Gynécologie Obstétrique et de Médecine de la Reproduction Hôpital Antoine Béclère, Clamart Module 5 Gynécologie générale Troubles mictionnels
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détail1) Mme A, 86 ans a chuté dans une salle des fêtes lors d une réunion de famille. Elle vient à nouveau de chuter dans sa cuisine.
Chapitre 2 La prise en charge de la perte d autonomie du patient 1) Pourquoi? La fréquentation de l officine par toutes les tranches d âge de population, exposées à des situations de souffrances traumatiques,
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailAssurance de soins de longue durée
Assurance de soins de longue durée Feuille de renseignements à l intention du conseiller ne pas remettre au demandeur Ce que vous devez faire avant de remettre un formulaire de demande de règlement au
Plus en détailAméliorer la Qualité OUTIL D'AUTO-EVALUATION
Ministère de l Emploi et de la Solidarité MARTHE ENSP Améliorer la Qualité en E.H.P.A.D. OUTIL D'AUTO-EVALUATION Améliorer la Qualité en établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes L outil
Plus en détailGamme PHENIX Portable. Toute l électrothérapie dans un portable
Gamme PHENIX Portable Toute l électrothérapie dans un portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les exclusivités de la gamme PHENIX Portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les PHENIX Portable sont les seuls appareils portables
Plus en détailMERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T
À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détail