Lettre d information des contrôleurs qualité
|
|
- Rachel Pinard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMMISSION QUALITÉ 3 ème trimestre 2012 Numéro 4 Lettre d information des contrôleurs qualité René KERAVEL Président Commission Qualité du CSOEC Expert-comptable Commissaire aux comptes Audrey FIEUJEAN Responsable Service Qualité du CSOEC Diplômée d expertise comptable Ce numéro traite de quatre thèmes qui ont été sélectionnés afin de vous apporter des précisions sur les obligations des professionnels et leurs conséquences sur le contrôle de qualité, à savoir, l obligation de formation, le contrôle des AGC, celui des professionnels conventionnés (visa fiscal) et la lutte anti-blanchiment. Vous êtes souvent questionnés sur l obligation de formation des professionnels de l expertise comptable. Nous avons donc fait un point sur ce sujet dont nous savons qu il est en cours d évolution tant au niveau de notre profession qu au niveau international. L avancée des travaux sur le contrôle de qualité des structures et des professionnels exerçant sous forme associative est d actualité. Nous vous présenterons les outils qui ont été élaborés ainsi que l organisation pratique de ce contrôle. Le contrôle des professionnels ayant signé une convention au titre de l article 1649 quater L du CGI doit être mis en œuvre dès cette année pour certains d entre eux. Nous vous informons sur l objectif de ce contrôle et sur son déroulement. Le respect du dispositif de lutte anti-blanchiment est vérifié dans le cadre des contrôles de qualité. Nous souhaitons compléter les informations déjà transmises dans les précédentes lettres. Bonne lecture et encore merci pour votre implication au service de tous. DANS CE NUMÉRO : Obligation de formation..2 Actualités du contrôle de qualité : Le contrôle des AGC...3 Actualités du contrôle de qualité : Le contrôle de qualité des professionnels conventionnés au titre de l article 1649 quater L du CGI 4 La lutte anti-blanchiment dans le contrôle de qualité.... 6
2 2 OBLIGATION DE FORMATION La qualité des travaux réalisés par les professionnels de l expertise comptable nécessite un haut niveau de compétence et justifie pleinement l obligation de formation prévue par nos textes. Rappel du cadre règlementaire : Le code de déontologie intégré dans le décret du 30 mars 2012 relatif à l exercice de l activité d expertise comptable fixe dans ses articles 145 al1 et 148 l obligation de formation des professionnels et de leurs collaborateurs. La norme «Maîtrise de la qualité» (arrêté du 20 juin 2011, applicable à compter du 1er janvier 2012) traite dans plusieurs paragraphes, de la compétence, de l acquisition des compétences et de la formation. Le respect de l application de ces obligations est apprécié lors des contrôles de qualité. Formation continue des professionnels de l expertise comptable : Formation continue des collaborateurs : A ce jour, aucun texte ne fixe le quota des heures à consacrer à la formation, la norme n 112 de compétence de 1990 étant abrogée. Le commentaire de la norme prévoyait de consacrer 40 heures au moins par an à la formation permanente. La convention collective nationale des cabinets d expertise comptable ne fixe plus de quota horaire depuis la signature des accords de branche relatifs à la formation du 5 avril 2007 (ancien quota 16 heures). Seul demeure au profit des salariés le DIF de 20 heures. Le cadre conventionnel est placé sous la responsabilité des syndicats professionnels. Formation et contrôle de qualité : Il convient d apprécier la compétence en tenant compte de la qualité des travaux observée dans le cadre des examens de dossiers. La règle des 40 heures constitue toujours un bon point de repère, pour des raisons pratiques, elle peut être appréciée sur une période pluri annuelle de trois ans au cours de laquelle 120 heures sont consacrées à la formation continue avec un minimum annuel de 20 heures. Ce volume d heure couvre l ensemble des activités des professionnels y compris le Commissariat aux comptes. Il y a lieu de préciser que les professionnels qui sont également commissaires aux comptes doivent respecter l obligation de formation des commissaires aux comptes, à savoir, 120 heures de formation cumulées sur trois ans dont la moitié au moins sur des actions en audit et commissariat aux comptes homologuées par le comité scientifique. Le conseil supérieur de l Ordre (tenant compte de la norme Education de l IFAC - IES 7) réfléchit à la rédaction d un guide d application de l obligation de formation continue ou à l élaboration d une norme professionnelle. A cette occasion, seront reprécisés les quotas d heures à effectuer et la nature des formations prises en compte.
3 ACTUALITES DU CONTRÔLE DE QUALITE Questionnaire AGC : Le contrôle de qualité des AGC : Dans le précédent bulletin, nous vous avons indiqué l ensemble des éléments relatifs à l organisation du contrôle de qualité des AGC, telle qu elle est prévue par l arrêté du 3 mai Qu en est-il des outils du contrôle des AGC? Nous avons travaillé sur les questionnaires actuellement utilisés pour le contrôle des professionnels de l expertise comptable exerçant sous forme libérale, afin d intégrer les spécificités des AGC. Un comité regroupant des experts-comptables contrôleurs qualité et des représentants des fédérations, sous la co-présidence de Messieurs C. BADRONE - Président de la Commission nationale d inscription*, R. KERAVEL - Président de la Commission qualité du CSOEC et G. RANCHON - Vice-Président du CSOEC a travaillé sur l adaptation des outils à l exercice de la profession sous forme associative. Extrait onglet P2 Les objectifs et la méthodologie du contrôle de qualité sont identiques quelque soit le mode d exercice de la profession. L organisation des questionnaires est inchangée, cependant, afin de tenir compte des spécificités des AGC, les questionnaires préparatoire et structurel ont été adaptés. Qu en est-il des équipes de contrôleurs devant faire les contrôles des AGC? La commission nationale d inscription a arrêté la liste des AGC faisant l objet d un contrôle de qualité en Conformément à l article 412 de l arrêté du 3 mai 2012, la CNI a choisi la liste des contrôleurs issus du secteur associatif, au vu des candidatures reçues. Les Conseils régionaux ont proposé une liste de contrôleurs issus du secteur libéral en sorte que la CNI puisse établir une liste unique mixte des contrôleurs devant effectuer en binôme les contrôles des structures et des professionnels inscrits exerçant en AGC. Extrait onglet structurel Les contrôleurs seront formés en deux groupes sur les 22 et 23 novembre 2012 et 12 et 13 décembre (*CNI : Commission Nationale d Inscription) 3 3
4 ACTUALITES DU CONTRÔLE DE QUALITE Le contrôle de qualité des professionnels conventionnés au titre de l article 1649 quater L du CGI (visa fiscal) : L article 1649 quater L du code général des impôts dispose dans son 6 que les professionnels conventionnés doivent se soumettre à un contrôle spécifique défini par l administration fiscale. L article 401 de l arrêté du 3 mai 2012 précise que les modalités spécifiques du contrôle de qualité sont définies par l administration fiscale et mises en œuvre par la profession. Dans ce contexte, un travail conjoint avec la DGFIP est en cours afin d élaborer un questionnaire préparatoire de contrôle satisfaisant les exigences de l administration fiscale et permettant au contrôleur d assurer sa mission dans des conditions optimales. «Le contrôle des professionnels ayant signé une convention doit être fait dans les 3 ans qui suivent la date de signature ou la date d effet de la convention.» Certains professionnels ont signé des conventions en 2010 avec un effet rétroactif au 01/01/2010. Le contrôle devra être lancé avant le 31/12/2012, par les conseils régionaux. Quel est l objectif de ce contrôle? L article 371 bis G annexe II du CGI indique qu il s agit de vérifier le respect des engagements prévus par la convention, à savoir : TELECHARGEZ LES LETTRES D INFORMATION SUR LE SITE DU CSOEC Rubrique contrôle de qualité : viser les documents fiscaux transmis par les clients ou adhérents, ou les documents fiscaux établis pour leur compte après s être assuré de leur régularité et avoir demandé tous renseignements utiles de nature à établir la concordance entre les résultats fiscaux et la comptabilité, Procéder à un examen de cohérence et de vraisemblance du résultat déclaré à partir notamment de ratios économiques et financiers, Dématérialiser et télétransmettre aux services fiscaux les déclarations de résultats de ces clients ou adhérents, leurs annexes et les autres documents les accompagnant, Obtenir mandat pour transmettre les déclarations correspondant aux obligations déclaratives, 4 4
5 Fournir annuellement un dossier de gestion, Fournir annuellement un dossier d analyse économique en matière de prévention des difficultés économiques et financières, Se soumettre à un contrôle spécifique défini par l Administration Fiscale. Comment va se dérouler le contrôle? Le contrôle va être diligenté par les régions. De la même façon que pour le contrôle général de qualité, le CROEC va informer le professionnel et lui envoyer un questionnaire préparatoire. Le contrôlé après l avoir rempli le renverra à son CROEC qui le transmettra au contrôleur. Le contrôleur se rendra sur place pour faire les contrôles sur pièces. Les résultats de ces contrôles sont transmis dans les trois mois de leur conclusion au Commissaire du gouvernement. Dans la pratique, quand vont commencer les contrôles? Comme nous l avons indiqué, les professionnels ayant signé une convention avec une date d effet rétroactive au 01/01/2012, seront informés de leur contrôle avant le 31/12/2012. Compte tenu des délais pour la mise en place des outils et de la nécessaire formation des contrôleurs qualité qui seront affectés à ces dossiers, les contrôles sur place se feront courant CHANGEMENT DU REFERENCEMENT DE LA DOCTRINE FISCALE : Un nouvel outil actualisé, le BO- FIP, base documentaire unique présente l ensemble de la doctrine fiscale de la DGFIP. Cet outil est en ligne depuis le 12 septembre
6 LES OUTILS POUR ALLER PLUS LOIN : La base documentaire contient un nombre importants d éléments vous permettant de compléter vos connaissances. Vous y trouverez (base version 2011 ) : la norme agréée par arrêté du 7/09/2010, le code monétaire et financier - livre V - titre VI la documentation du CSOEC : Guide d application de la norme anti-blanchiment (CSOEC 2011) Exemple de manuel de procédures à destination des petites structures d exercice professionnel (CSOEC 2011) L ouvrage «la déclaration de soupçon en pratique» (CSOEC 2011) L ouvrage «la norme blanchiment pas-à-pas» (CSOEC 2010) L ouvrage «notice destinée aux collaborateurs» (CSOEC 2010) Ces documents sont téléchargeables sur le site internet du CSOEC : 6 LA LUTTE ANTI-BLANCHIMENT DANS LE CONTRÔLE DE QUALITE : Les questionnaires préparatoire et structurel intègrent des points de contrôle relatifs au respect des obligations des professionnels de l expertise comptable en matière de lutte contre le blanchiment. Il s agit de s assurer que les obligations édictées par la norme sont connues et mises en œuvre : Obligation de vigilance, Documentation, Obligation de déclaration à TRACFIN, Mise en place de procédures et de mesures de contrôle interne, Formation. Des obligations relatives aux procédures et mesures de contrôle interne ont été prévues aux paragraphes 21 à 26 de la norme. Les contrôleurs doivent s assurer que les structures d exercice professionnel disposent d un manuel de procédures intégrant : la désignation d un responsable du contrôle interne, la désignation d un correspondant TRACFIN, l évaluation des risques de blanchiment et de financement du terrorisme au sein de l entité cliente pour laquelle un professionnel de l expertise comptable intervient ou est sollicité, au regard de la classification élaborée, la mise en œuvre des mesures de vigilance lors de l acceptation et au cours de la mission, la conservation, pendant la durée légale, des pièces relatives à l identification du client et du bénéficiaire effectif, le respect de l obligation de déclaration individuelle à TRACFIN, les modalités d échanges d informations au sein des structures d exercice professionnel et des réseaux, dans les conditions définies à l article L du code monétaire et financier, la mise en œuvre de procédures de contrôle périodique et permanent des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, l organisation de la conservation et de la confidentialité des déclarations de soupçons déposées. Le paragraphe 24 de la norme prévoit que chaque structure d exercice professionnel élabore une classification des risques de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme en fonction des caractéristiques des clients ou adhérents, des activités exercées, de la localisation de ces
7 activités, de leur forme juridique et de leur taille. Il s agit pour les contrôleurs qualité de s assurer que cette appréciation des risques a été effectuée et qu elle a été matérialisée dans le dossier. Le niveau de risque (faible, moyen ou élevé) doit permettre de mettre en œuvre des diligences adaptées. Le contrôleur qualité s attachera à vérifier le respect des obligations en matière d identification du client et du bénéficiaire effectif qui devra notamment être justifié par la présence dans le dossier des copies des pièces d identité, extrait Kbis etc Il convient de rappeler que les professionnels de l expertise comptable n ont pas à réaliser dans le cadre des prestations qu ils effectuent auprès de leurs clients ou adhérents des investigations spécifiques ayant pour objectif de rechercher des opérations susceptibles de comporter un risque de blanchiment ou de financement du terrorisme ( 11 de la norme). Toutefois, lorsque dans le cadre de leurs mission, ils ont connaissance d opérations particulièrement complexes ou d un montant inhabituellement élevé ou ne paraissant pas avoir de justification économique ou d objet licite, ils procèdent à un examen renforcé et collectent des informations auprès du client ou adhérent sur l origine des fonds ou la destination des sommes ainsi que sur l objet de l opération et l identité de la personne qui en bénéficie ( 12 de la norme). RAPPEL : La lettre d information n 1 précise l attitude à avoir lors des contrôles diligentés en 2012 en privilégiant le caractère pédagogique des interventions. En cas de doute non levé sur le caractère licite des sommes en cause, une déclaration à TRACFIN doit être effectuée, déclaration confidentielle dont l existence et le contenu n ont pas à être communiqués au contrôleur qualité. Enfin, lors du contrôle qualité, les structures d exercice professionnel justifient de l information et de la formation des professionnels et de leurs collaborateurs sur les obligations liées à la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme et sur les procédures mises en place au sein de la structure. 7
8 Commission qualité du CSOEC 19, rue Cognacq Jay PARIS
OGA et Expert-Comptable
OGA et Expert-Comptable PRESENTATION GENERALE DES OGA 6 JANVIER 2011 Cyrille BOUSSEAU créé en 1976 sous le n 1 02 510 1200 adhérents créée en 2007 sous le n 2 04 510 150 adhérents LES «OGA» Les avantages
Plus en détail«A R A P L de HAUTE NORMANDIE» Association déclarée, régie par la Loi du 1 er juillet 1901 ============ REGLEMENT INTERIEUR TITRE I
«A R A P L de HAUTE NORMANDIE» ASSOCIATION REGIONALE AGREEE DES PROFESSIONS LIBERALES de HAUTE NORMANDIE Association déclarée, régie par la Loi du 1 er juillet 1901 ============ REGLEMENT INTERIEUR TITRE
Plus en détailMise à jour juin 2013. Référentiel. normatif. des professionnels de l expertise comptable
2012 Référentiel normatif des professionnels de l expertise comptable Mise à jour juin 2013 Avant-propos Avant-propos LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR Le
Plus en détailNormes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous?
Normes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous? Intervenantes : Florence Hauducœur Expert-comptable et commissaire aux comptes, Présidente de la commission Déontologie et Etudes
Plus en détailPROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE
AVANT-PROPOS MISSION D EXAMEN LIMITE : UNE MISSION QUI CONSOLIDE LE ROLE DU PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE La mission d examen limité des comptes est une mission d assurance de niveau modéré, sur la
Plus en détailLa base de données dématérialisée de Bibliotique. Un accès personnalisé. Plus de 30 000 références en ligne autour de 8 thématiques
La base de données dématérialisée de Bibliotique Un accès personnalisé Plus de 30 000 références en ligne autour de 8 thématiques Des documents téléchargeables Bibliobaseonline est le site sur lequel la
Plus en détailLE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE
LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE Septembre 2011 Page 1 Au sommaire Préambule Le nouveau référentiel sur la forme Le nouveau référentiel sur le
Plus en détailSOMMAIRE GENERAL LES TEXTES FONDAMENTAUX... 5 LES TEXTES SPECIFIQUES... 221. Préambule... 3
1 SOMMAIRE GENERAL Préambule... 3 LES TEXTES FONDAMENTAUX... 5 Ordonnance n 45-2138 du 19 septembre 1945 portant institution de l ordre des experts-comptables et réglementant le titre et la profession
Plus en détailRAPPORT DE TRANSPARENCE
RAPPORT DE TRANSPARENCE 2013 21, rue de Sarre B.P 75857 57078 METZ CEDEX 03 En application des dispositions de l article 40 de la directive 2006/43/CE du Parlement Européen et du conseil du 17 mai 2006
Plus en détailLignes directrices relatives à la relation d affaires et au client occasionnel
Avril 2012 Lignes directrices relatives à la relation d affaires et au client occasionnel Document de nature explicative (Version actualisée avec mise à jour des dispositions législatives et réglementaires
Plus en détailGUIDES D EXPERT. Mission de présentation. des comptes annuels. Guide pratique COLLECTION PRATIQUE PROFESSIONNELLE. Edition 2012
Mission de présentation GUIDES D EXPERT des comptes annuels Guide pratique Edition 2012 COLLECTION PRATIQUE PROFESSIONNELLE AVANT-PROPOS MISSION DE PRESENTATION : UN ELEMENT ESSENTIEL DE LA MARQUE «EXPERT-COMPTABLE»
Plus en détailrégionales Juin 2015
Réunions régionales Juin 2015 Ordre du jour 1. L actualité Lactualité des OGA 2. L actualité des AGC : la mission de médiation 3. Les contrôles tôl qualité et visa fiscal 4. Les formations 5. Les «rencontres»
Plus en détailTABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE
TABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE L activité principale de l expert-comptable doit être l expertise comptable telle que définie à l article 2, alinéas 1 et
Plus en détailAdhérer à la CNCIF 1
Adhérer à la CNCIF 1 T A B L E D E S M A T I E R E S Présentation page 3 Historique page 4 La CNCIOB page 6 Les bonnes raisons de nous rejoindre page 7 Les valeurs de la CNCIF page 8 Rappel des activités
Plus en détailDCG 10 Comptabilité approfondie
DCG 10 Comptabilité approfondie en 32 fiches Robert MAÉSO Agrégé d économie et gestion Diplômé d expertise comptable 3 e édition Collection «Express Expertise comptable» DCG J.-F. Bocquillon, M. Mariage,
Plus en détailConférence «Contrôles de l ACPl. ACP, comment bien s y s y préparer. parer»
Conférence «Contrôles de l ACPl ACP, comment bien s y s y préparer parer» Programme -Introduction par le Président de RégionR -Présentation de CFDP -Conférence animée e par Isabelle MONIN-LAFIN, Avocate
Plus en détailVotre. complémentaire SANTÉ. Livret du salarié
Votre complémentaire SANTÉ Livret du salarié Juin 2015 La Complémentaire santé CREPA, une offre adaptée pour le personnel des cabinets d avocats. Le 1 er janvier 2016, l ensemble des salariés devra bénéficier
Plus en détailPRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010
COMMISSION DES MISSIONS COMPTABLES PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 Joëlle LASRY/Guy ZERAH CREATIVE WORK Page 1 PRESENTATION GENERALE Le Conseil
Plus en détailPRESENTATION DU CONTEXTE, DU CADRE JURIDIQUE ET COMPTABLE
PRESENTATION DU CONTEXTE, DU CADRE JURIDIQUE ET COMPTABLE Annexe 1 SEF - Pôle Analyses, Etudes Bancaires et Financières 1/8 I. CONTEXTE L Institut d Emission des Départements d Outre-Mer (IEDOM) a désigné
Plus en détailCODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME
CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME MAI 2006 LES ARTICLES > ARTICLE 1 ER périmètre et objectifs page 2 > ARTICLE 2 soutien de l esprit d entreprise en favorisant la création ou la reprise d entreprises
Plus en détailDécision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes
DECISION 2007-01 Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes Relative aux contrôles périodiques auxquels sont soumis les commissaires aux comptes Séance du 6 juillet 2007 Lors de la séance du
Plus en détailIntroduction Jean-Philippe Thierry, Vice-président de l Autorité de contrôle prudentiel
Introduction Jean-Philippe Thierry, Vice-président de l Autorité de contrôle prudentiel 2 Sommaire 1. Le dispositif préventif LCB-FT : l insertion au sein du dispositif de contrôle interne (Henry de Ganay,
Plus en détailaux Comptes et Attestation
Rapports des Commissaires aux Comptes et Attestation page.1. Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes annuels* 186.2. Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes consolidés* 188.3.
Plus en détailDELIBERATION N 2015-49 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE
DELIBERATION N 2015-49 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AUTORISATION A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES AYANT POUR FINALITE
Plus en détailSAGICAP Votre partenaire conseil en capital investissement et gestion d actifs
SAGICAP Votre partenaire conseil en capital investissement et gestion d actifs La Société Une équipe, une méthodologie Depuis 1998, SAGICAP est un partenaire indépendant et reconnu des sociétés de gestion
Plus en détailJORF n 0076 du 31 mars 2015. Texte n 24
Le 31 mars 2015 JORF n 0076 du 31 mars 2015 Texte n 24 DECRET Décret n 2015-362 du 30 mars 2015 relatif aux obligations déclaratives des entreprises d assurance et organismes assimilés NOR: FCPE1409747D
Plus en détail«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience
«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés
Plus en détailAutorité de contrôle prudentiel et de résolution
Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Instruction n 2013-I-10 du 3 octobre 2013 relative aux informations sur le dispositif de prévention du blanchiment de capitaux et du financement des activités
Plus en détailREGLEMENT DE STAGE DE COMMISSARIAT AUX COMPTES
REGLEMENT DE STAGE DE COMMISSARIAT AUX COMPTES Version approuvée par le Conseil national du 05 décembre 2013 SOMMAIRE Contenu I. OBJECTIFS DU REGLEMENT DE STAGE DE COMMISSARIAT AUX COMPTES... 6 1. Réglementation...
Plus en détailCHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective IDCC : 1468. CRÉDIT MUTUEL (29 juin 1987) AVENANT DU 24 SEPTEMBRE
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT ET CONTRE LE FINANCEMENT DU TERRORISME
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2765 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 183 19 novembre 2004 S o m m a i r e LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT ET
Plus en détailPosition recommandation AMF n 2006-23 Questions-réponses relatives au régime applicable aux conseillers en investissements financiers
Position recommandation AMF n 2006-23 Questions-réponses relatives au régime applicable aux conseillers en investissements financiers Textes de référence : article L. 541-1 du code monétaire et financier
Plus en détailLignes directrices conjointes de la Commission bancaire et de Tracfin sur la déclaration de soupçon
COMMISSION BANCAIRE Décembre 2009 Lignes directrices conjointes de la Commission bancaire et de Tracfin sur la déclaration de soupçon Les présentes lignes directrices, élaborées conjointement par la Commission
Plus en détailRAPPORTS DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR L EXERCICE 2013
ASSOCIATION NATIONALE DE GESTION AGREEE INTERPROFESSIONNELLE DE FRANCE (ANGAIF) Siège social 75008 PARIS, 56, rue de Londres Association régie par la loi du 1er juillet 1901 et par le décret du 16 août
Plus en détailQUESTIONNAIRE D AUTO EVALUATION
ETRE PRET POUR LE CONTROLE QUALITE 2007 page 1/5 0 INFORMATIONS GENERALES Existe-t-il des procédures dans le cabinet? Le cabinet est-il membre d'un groupe ou d'un réseau? Le cabinet est-il membre d'une
Plus en détailIntervention des experts-comptables
Stage de Préparation à l Installation Intervention des experts-comptables PLAN DE L'INTERVENTION Présentation de la profession d'expert-comptable Présentation des missions de l expert-comptable Présentation
Plus en détailASSOCIATION DES JURISTES DU MASTER ENVIRONNEMENT DE L UNIVERSITE PARIS SUD XI - A.J.M.E. Titre 1 Constitution.
ASSOCIATION DES JURISTES DU MASTER ENVIRONNEMENT DE L UNIVERSITE PARIS SUD XI - A.J.M.E. STATUTS DE L ASSOCIATION Titre 1 Constitution. ARTICLE PREMIER : DENOMINATION Il est fondé entre les adhérents aux
Plus en détailStage. www.cfpc.net. d expertise comptable. Vos formations. Centre de Formation de la Profession Comptable
Le Stage Vos formations www.cfpc.net d expertise comptable 2014 2015 E x p e r t s - c o m p t a b l e s s t a g i a i r e s Centre de Formation de la Profession Comptable EXPERTS-COMPTABLES STAGIAIRES
Plus en détailLES ENJEUX JURIDIQUES ET TECHNIQUES DE LA DÉMATÉRIALISATION DES MARCHÉS PUBLICS
LES ENJEUX JURIDIQUES ET TECHNIQUES DE LA DÉMATÉRIALISATION DES MARCHÉS PUBLICS MARCHÉS PUBLICS INTRODUCTION La dématérialisation des procédures de marchés publics est une technique permettant une gestion
Plus en détailLa lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme
SEPTEMBRE 2015 HORS-SÉRIE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Ce
Plus en détailPage. LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2
2014-2015 LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2 ASSURANCES DE PERSONNES Les bases de l assurance collective et de la loi Madelin 3 Les régimes obligatoires de protection sociale 4 Santé
Plus en détailChoisissez la filière de l excellence. Vers les métiers de l expertise comptable du conseil et de l audit
Choisissez la filière de l excellence Vers les métiers de l expertise comptable du conseil et de l audit L expertise comptable : un large éventail de possibilités La profession libérale L expertise comptable
Plus en détailUne ambition, construire l avenir ensemble. Expertise comptable Commissariat aux comptes Conseil
Une ambition, construire l avenir ensemble. Expertise comptable Commissariat aux comptes Conseil 1 L EXPERTISE COMPTABLE : NOTRE COEUR DE MÉTIER Prise de connaissance de votre entreprise et proposition
Plus en détailLignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE)
Janvier 2010 Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE) Document de nature explicative (Version actualisée avec mise à jour des dispositions législatives et réglementaires
Plus en détailCONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER
CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012
Plus en détailPROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT
PROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT Rôle de certificateur Jean SAPHORES C.S.O.E.C. 1 Handicaps des PME La chaîne de l information financière des PME est moins sécurisée que pour les entreprises
Plus en détailLignes directrices conjointes de l Autorité de contrôle prudentiel et de Tracfin sur la déclaration de soupçon
21 juin 2010 Lignes directrices conjointes de l Autorité de contrôle prudentiel et de Tracfin sur la déclaration de soupçon Les présentes lignes directrices, élaborées conjointement par l Autorité de contrôle
Plus en détailANNEXE VIII - DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.)
ANNEXE VIII - DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.) DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.) ARTICLE 1 : Conformément aux dispositions particulières
Plus en détailLe manuel des procédures du commissaire aux comptes
Le dossier du mois Le manuel des procédures du commissaire aux comptes Brigitte Guillebert, diplômée d expertise comptable, commissaire aux comptes, associée 01 Audit Assistance (CQFD-Audit) 4 Le manuel
Plus en détailPrincipes d application sectoriels de l Autorité de contrôle prudentiel relatifs au recours à la tierce introduction pour le secteur des assurances
Principes d application sectoriels de l Autorité de contrôle prudentiel relatifs au recours à la tierce introduction pour le secteur des assurances Décembre 2011 Les principes d application sectoriels,
Plus en détailDEMANDE D'INSCRIPTION SECONDAIRE AU TABLEAU DE L'ORDRE
Réservé au Conseil régional Code du dossier : Date de la demande : Inscription : session du (dossier complet) DEMANDE D'INSCRIPTION SECONDAIRE AU TABLEAU DE L'ORDRE QUESTIONNAIRE PERSONNE MORALE A retourner
Plus en détailAVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3161 Convention collective nationale IDCC : 2120. BANQUE AVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011 À L ACCORD DU 10 JUIN 2011 RELATIF
Plus en détailVu le Code monétaire et financier, notamment ses articles L. 612-23-1, R. 612-29-3 et R. 612-29-4 ;
AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION ----- Instruction n 2015-I-02 relative au formulaire de nomination ou de renouvellement de dirigeant des organismes du secteur assurance L Autorité de contrôle
Plus en détailBOURSES D'ÉTUDES TOUTES LES PRESTATIONS PRÉVUES POUR LES BOURSIERS DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS
TOUTES LES PRESTATIONS PRÉVUES POUR LES BOURSIERS DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS SOMMAIRE Allocations page 3 Frais de voyage et de transport page 4 Assurance page 5 Hébergement page 5 Titre de séjour page 6
Plus en détailDécision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes
DECISION 2009-02 Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes Relative aux contrôles périodiques auxquels sont soumis les commissaires aux comptes Principes directeurs du système des contrôles
Plus en détailDIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 13 JANVIER 2012 7 S-1-12
DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 13 JANVIER 2012 7 S-1-12 IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE. REDUCTION D IMPOT AU TITRE DES DONS EFFECTUES AU PROFIT DE CERTAINS ORGANISMES D INTERET
Plus en détailLes relations entre les commissaires aux comptes et l AMF : Actualisation du guide de lecture de l article L.621-22 du code monétaire et financier
Les relations entre les commissaires aux comptes et l AMF : Actualisation du guide de lecture de l article L.621-22 du code monétaire et financier Juillet 2010 * La loi de sécurité financière du 1 er août
Plus en détailLa Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements
La Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements Intervenants Véronique AUDRAIN Consultante Serge ANOUCHIAN Expert-comptable Sommaire Le contexte La mission
Plus en détailLe commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat
Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Objectifs de la conférence n Préciser les modalités pratiques de mise en œuvre de la NEP 510 - Contrôle du bilan d ouverture du premier
Plus en détailCOMPTE EPARGNE LOGEMENT. Une épargne constructive. Conditions Générales
COMPTE EPARGNE LOGEMENT Une épargne constructive Conditions Générales CONDITIONS GENERALES 1. Conditions d ouverture et de détention Toute personne physique peut être titulaire d un compte d épargnelogement
Plus en détailRèglement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme
Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme (Mémorial A N 224 du 24 décembre 2013) La Direction
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailAnnexe à l arrêté portant visa du Règlement du Conseil du Marché Financier relatif à la tenue et à l administration des comptes en valeurs mobilières
Annexe à l arrêté portant visa du Règlement du Conseil du Marché Financier relatif à la tenue et à l administration des comptes en valeurs mobilières Le collège du Conseil du Marché Financier, Vu la loi
Plus en détailCopropriété. Syndical en. Je veux entrer au Conseil Syndical
Copropriété Le Conseil Syndical en 10 Questions Je veux entrer au Conseil Syndical Association des Responsables de Copropriété 29, rue Joseph Python 75020 PARIS Tél. : 01 40 30 12 82 Fax : 01 40 30 12
Plus en détailCREDITS BANCAIRES TPE DE MOINS DE 25 000 EUROS
SPÉCIAL TPE SPÉCIAL TPE SPÉCIAL TPE SPÉCIAL TPE SPÉCIAL TPE SPÉCIAL TPE Les engagements : CREDITS BANCAIRES TPE DE MOINS DE 25 000 EUROS Une réponse du banquier dans un délai de 15 jours Une motivation
Plus en détailINSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES
INSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES Le Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l'afrique de l'ouest, Vu le Traité
Plus en détailSaisie en ligne des dossiers de demande de subvention Extranet
Saisie en ligne des dossiers de demande de subvention Extranet Guide de l utilisateur V 3.0 - décembre 2013 Sommaire / Référencement de votre organisme par l Acsé p. 3 / Ecran de connexion p. 4 / Rubrique
Plus en détailDossiers modélisés de demande de financement TPE/PME/ETI
Dossiers modélisés de demande de financement TPE/PME/ETI Guide d utilisation Télécharger les dossiers modélisés www.financement-tpe-pme.com Octobre 2013 Sommaire Financement en ligne : mode d emploi...
Plus en détailDématérialisez vos échanges de données avec la DGI et les OGA en EDI-TDFC via jedeclare.com
Dématérialisez vos échanges de données avec la DGI et les OGA en EDI-TDFC via jedeclare.com Version 1 Avril 2008 Fiche d identité du portail jedeclare.com Le portail jedeclare.com est administré par ECM
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailAGA des CHIRURGIENS DENTISTES
AGA des CHIRURGIENS DENTISTES - Compte rendu de Mission AGA - Télérèglement de l'impôt - Cotisation Foncière des Entreprises Compte Rendu de Mission Depuis l'an dernier, les Associations de Gestion Agréée
Plus en détailCession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie
Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE LA SARL
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable et Commissaire aux Comptes DESS en Banques et Finances GUIDE PRATIQUE DE LA SARL et de l EURL Création et gestion de la SARL, de l EURL, de la SELARL, de la SELU
Plus en détailDiplôme d'expertise comptable
Diplôme d'expertise comptable Dispositions relatives aux épreuves NOR : ESRS1400075A arrêté du 28-3-2014 ESR - DGESIP A3 Vu ordonnance n 45-2138 du 19-9-1945 ; décret n 2012-432 du 30-3-2012, notamment
Plus en détailAPPEL A PROJETS. WE NETWORK Le Silicium - 3, Avenue du Bois L abbé - 49070 BEAUCOUZE MARS 2015
APPEL A PROJETS Appel à projets à destination des PME pour l émergence et l accompagnement de projets d innovation en Pays de Loire dans le domaine des objets et solutions communicants (Internet des objets,
Plus en détailAVIS CNO n 2013-05 DEONTOLOGIE
AVIS CNO n 2013-05 DEONTOLOGIE AVIS DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES 18 ET 19 DECEMBRE 2013 RELATIF AUX CONTRATS PROPOSÉS PAR LA FÉDÉRATION NATIONALE DE LA MUTUALITÉ FRANÇAISE La Fédération Nationale
Plus en détailSTATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE)
STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE) Circulaire 31 août 2012 Références : - Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations
Plus en détailNOMINATION OBLIGATOIRE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES (tableau de synthèse)
NOMINATION OBLIGATOIRE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES (tableau de synthèse) Entités Textes applicables Organes compétents (en cours de vie sociale) Observations Administrateurs et mandataires judiciaires C.
Plus en détailPOINT SUR LA DEMATERIALISATION
POINT SUR LA DEMATERIALISATION Ce document complète et synthétise les différentes autres informations (documents, emails, etc.) que vous avez eues en votre possession précédemment. - Email du 8 Février
Plus en détailSCPI Amundi DEFI Foncier
SCPI Amundi DEFI Foncier SCPI de Déficit Foncier à capital fixe Souscription ouverte jusqu au 16 décembre 2015 - Pour bénéficier du dispositif fiscal de déficit foncier en 2014, souscription jusqu au 16
Plus en détailModèle de décision unilatérale mettant en place un régime complémentaire frais de santé
Modèle de décision unilatérale mettant en place un régime complémentaire frais de santé L entreprise Forme juridique, au capital de dont le siège est à Code NAF n SIRET Effectif salarié : Représentée par
Plus en détailEDI - TDFC. Échange de Données Informatisé. Transfert de Données Fiscales et Comptables. France - Gestion 1
EDI - TDFC Échange de Données Informatisé Transfert de Données Fiscales et Comptables France - Gestion 1 Historique La direction générale des impôts a souhaité dématérialiser le transfert de données fiscales
Plus en détailCONDITIONS GENERALES
CONDITIONS GENERALES Applicables aux produits d épargne proposés par VTB Bank (France) SA (31/03/2014) Dispositions générales Article 1 : Offre de VTB Bank (France) SA VTB Bank (France) SA (la Banque)
Plus en détailwww.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC
www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC IFEC - La démarche générale d audit et les nouvelles normes - septembre
Plus en détailCOMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT
COMPTABILITÉ APPROFONDIE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT 1. Expliquer les raisons pour lesquelles la société YPREMIUM ne peut
Plus en détail3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES
3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques
Plus en détailEXTRANET Adhérents Mode d emploi
EXTRANET Adhérents Mode d emploi 1 L extranet du CGA 47 est un lien direct entre vous, adhérent et le CGA 47. Comment y accéder? Connectez-vous au site www.cga47.fr Identifiez-vous dans la fenêtre prévue
Plus en détailtechnique : jedeclare.com s occupe de tout.
Édito Le mouvement est aujourd hui véritablement lancé pour faciliter via jedeclare.com, la dématérialisation des échanges de relevés bancaires et de liasses fiscales entre les cabinets d expertise comptable
Plus en détailCGP REGLEMENTATION APPLICABLE A LA PROFESSION
CGP REGLEMENTATION APPLICABLE A LA PROFESSION Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine 4, rue de Longchamp 75016 Paris Tél. : 01.42.56.76.50 Fax : 01.42.56.76.51 e-mail : info@cncgp.fr Site
Plus en détailCommunication et Marketing de l expert-comptable et du commissaire aux comptes
Séminaire ECF Communication et Marketing de l expert-comptable et du commissaire aux comptes Christian LAVAL CL Communication Franck DIET Expert Infos «Hier» Ordonnance 19/09/1945 Art. 23 «Toute publicité
Plus en détailDirection générale des entreprises
Direction générale des entreprises Service de l'action territoriale, européenne et internationale S-D de la réindustrialisation et des restructurations d'entreprises MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES
Plus en détailDossiers personnels de l élève
Dossiers personnels de l élève Pauline Ladouceur Octobre 2008 - 2 - Principes de base à respecter: La protection des renseignements personnels repose sur trois principes de base : le nombre de renseignements
Plus en détailLes 3 solutions pour permettre au cabinet d'accéder au compte fiscal d'un client.
Les 3 solutions pour permettre au cabinet d'accéder au compte fiscal d'un client. Demande d adhésion, de délégation ou de substitution 1 Si le service en ligne n'est pas encore géré pour le dossier et
Plus en détailREGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS)
REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS) Page 1 PREAMBULE Le présent Règlement de Déontologie spécifique aux sociétés de gestion d OPCVM
Plus en détailLes Estivales Juillet 2009. Alain Maurey
Responsabilité civile il : comment éviter la mise en cause? Les Estivales Juillet 2009 Alain Maurey Sommaire Les fondements de la responsabilité Quelques obligations de l expert-comptable Les grandes caractéristiques
Plus en détaildossier de souscription
Société Anonyme au capital de 37 000 Y Siège social : 5 rue de la Rochefoucauld, 75009 Paris 799 429 105 RCS PARIS Tél. : + 33 (0)1 48 78 16 09 Email : contact@chaocorpcinema.com Site : www.chaocorpcinema.com
Plus en détailLE DELEGUE INTERMINISTERIEL A LA SECURITE ROUTIERE A MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS MONSIEUR LE PREFET DE POLICE
PREMIER MINISTRE Le Délégué Interministériel à la Sécurité Routière LE DELEGUE INTERMINISTERIEL A LA SECURITE ROUTIERE A MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS MONSIEUR LE PREFET DE POLICE OBJET: Agrément des
Plus en détailActu Juridique & Sociale Dynamique Entreprise Avril 2015
LE POINT SUR La base de données unique (BDU) dans les entreprises de moins de 300 salariés Afin de renforcer l information des instances représentatives du personnel, la loi du 14 juin 2013 a créé un nouveau
Plus en détailDécision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux
Décision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux Sur papier à en-tête de l entreprise M À, le Objet : Généralisation de la complémentaire santé
Plus en détail