HSMS. SANTÉ et SÉCURITÉ DU GROUPE Système de management
|
|
- Mathieu Pierre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 3 2 CONSULTATION ET RESPONSABILISATION 4 GESTION DES RISQUES 10 1 AMBITION, POLITIQUE ET RÈGLES AUDIT ET GRILLE DE MATURITÉ 9 LEADERSHIP, RESPONSABILITÉ ET ORGANISATION DOCCUMENTATION ET ARCHIVAGE PLANIFIER ET S'ENGAGER HSMS APPRENDRE ET PROGRESSER 8 PRÉVOIR ET RÉAGIR 7 INFORMER ET DÉVELOPPER PERSONNES COMPÉTENTES 5 6COMMUNICATION PRÉPARATION AUX SITUATIONS D URGENCE ET/OU DE CRISE ANALYSE ET REPORTING DES ACCIDENTS-INCIDENTS SANTÉ et SÉCURITÉ DU GROUPE Système de management 2015
2 Chez Lafarge, nous sommes fiers de la place que nous accordons à la Santé et à la Sécurité. Je veux vous remercier pour les progrès que nous avons réalisés dans ce domaine ces dernières années. Nous continuons à progresser avec pour objectif de prévenir et d éliminer les accidents mortels et les accidents de travail avec arrêt de créer un environnement de travail sain pour tous. La Santé et la Sécurité font aujourd hui partie intégrante de notre culture d entreprise, mais beaucoup reste à faire. C est pourquoi nous avons repensé notre système de gestion de la santé et de la sécurité (HSMS), pour être mieux en phase avec notre ambition de devenir l entreprise la plus sûre de notre secteur. Le HSMS est un système complet qui prend en compte la totalité des aspects Santé et Sécurité pour toute personne travaillant pour et chez Lafarge. Alors que nous continuons notre croissance, nous avons élargi notre périmètre d action pour la santé et la sécurité au travail, afin d inclure le bien-être de nos salariés et les risques inhérents à nos procédés de fabrication (Risques Spécifiques Métier), avec pour objectif de les éliminer. Nos résultats dans le domaine de la Santé et de la Sécurité sont directement liés à la réussite pour notre Entreprise. Le HSMS est le socle sur lequel repose toute notre organisation et il n est pas seulement destiné à notre équipe de direction il s applique pour tous. La Santé et la Sécurité ont toujours été notre priorité et le resteront. Je compte sur votre engagement et votre mobilisation pour intégrer le HSMS dans votre vie quotidienne chez Lafarge. Bruno Lafont Président-Directeur Général
3 Santé et Sécurité du Groupe Système de management (HSMS) Pourquoi un HSMS? À qui s adresse-t-il? Comment fonctionne-t-il? Préserver la santé et la sécurité des individus requiert une approche structurée. Le Système de Management de la Santé et de la Sécurité (HSMS) de Lafarge est un guide stratégique sur la manière dont l entreprise identifie et maîtrise en permanence les risques associés à la santé et à la sécurité. Au-delà d une simple gestion des risques, ce système couvre également des questions clés comme le leadership, la mobilisation et les compétences. Sa mise en œuvre réduit le risque de blessures et de maladies professionnelles, améliore la performance globale et, par le biais du cycle Planifier-Faire-Vérifier-Agir (Plan- Do-Check-Act / PDCA), garantit une amélioration continue pour pérenniser notre performance en matière de santé et de sécurité. Le HSMS est obligatoire. Il s applique à toutes les activités Lafarge et à toutes les sociétés en participation dont Lafarge est l actionnaire majoritaire ou le partenaire dirigeant. Il concerne tous les individus (employés, fournisseurs, transporteurs, sous-traitants et visiteurs), sites, usines, chantiers, bureaux et sites client qui accueillent des activités placées sous la responsabilité de Lafarge. PLANIFIER FAIRE Le HSMS est fondé sur dix éléments. Ces bases incontournables garantissent sa solidité et sa résistance face aux risques actuels ou émergents. Certains éléments sont stratégiques, d autres plus tactiques. À l instar des maillons d une chaîne, tous sont interdépendants et jouent un rôle crucial pour le bon fonctionnement du HSMS. Chaque élément s appuie sur des processus et des outils dont certains sont également obligatoires, tandis que d autres constituent des exemples de bonnes pratiques. Toutes les initiatives, activités et documentations relatives à la Santé et à la Sécurité découlent du HSMS. Les activités Lafarge doivent respecter toutes les réglementations locales plus contraignantes que les exigences spécifiées dans le HSMS. ÉLÉMENTS DU SYSTÈME DE MANAGEMENT SANTÉ ET SÉCURITÉ DU GROUPE AGIR VÉRIFIER G u i d SOLUTIONS e d a m é l i o r a t i o n c QUESTIONS o n t i e n u 2015 I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I PAGE 3
4 Élément 1: Ambition, Politique et Règles Nos ambitions en matière de Santé et de Sécurité sont définies par le Comité exécutif du Groupe. Elles s appuient sur la Politique et les Règles du Groupe en la matière, et instaurent un cadre clair pour atteindre ces objectifs et mettre en œuvre notre stratégie. La Politique et les Règles du Groupe en matière de Santé et de Sécurité décrivent la philosophie, l engagement et les attentes de l équipe dirigeante en termes de Santé et de Sécurité. Elles fournissent un guide clair pour l organisation toute entière. La Politique est signée et datée par le Président-Directeur-Général du Groupe. Les Ambitions, la Politique et les Règles sont révisées régulièrement pour garantir leur pertinence. Elles sont rééditées le cas échéant. Les règles s appliquent à chacun sans exception et ne sont pas négociables. Qu est-ce que cela signifie pour chaque Pays? Le Directeur Général du Pays signe et date la politique, s assure qu elle est pertinente pour chaque unité et veille à ce qu elle soit communiquée à toute l entreprise et à toutes les parties prenantes. Les ambitions, la politique et les règles du Groupe en matière de Santé et de Sécurité doivent être étayées concrètement par la mise en place d objectifs et de programmes. La politique doit être visible et accessible sur tous les sites Lafarge. Élément 2: Leadership, Responsabilité et Organisation Leadership et Responsabilité L encadrement est responsable de la mise en œuvre, de la communication et de la conformité pour tous les aspects ayant trait à la Santé et à la Sécurité. Les responsables d activité doivent démontrer leur engagement et leur leadership de manière visible, notamment par les actions suivantes : définition d objectifs ; revue régulière des progrès ; orientation et accompagnement du personnel opérationnel des effectifs et des fonctions support ; affectation des ressources humaines et financières nécessaires pour mettre en œuvre le HSMS ; entretiens individuels réguliers avec leurs subordonnés et discussions sur le terrain avec les employés ; participation aux audits HSMS du Groupe et suivi de la progression par rapport aux plans d action prévus. L encadrement, à tous les niveaux dans la hiérarchie, responsabilise ses subordonnés (N-1) en matière de performance Santé et Sécurité. La performance et le comportement de chacun en matière de Santé et de Sécurité, responsable et employé, sont pris en compte lors du processus d évaluation annuelle ainsi que dans l évolution de la carrière. Un processus graduel de discipline est mis en place pour gérer les infractions à la politique et aux règles de Santé et de Sécurité. PAGE 4 I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I 2015
5 Plan d Amélioration Santé et Sécurité Pays/Unité Toutes les unités Lafarge (les Pays et leurs sites) doivent disposer d un Plan d amélioration de la Santé et de la Sécurité. Il s agit d un volet essentiel du HSMS, car il fournit une preuve tangible de l engagement et des efforts d amélioration continus de la direction de l unité. Le plan inclut les actions d amélioration qui s ajoutent au fur et à mesure qu elles sont identifiées dans le cadre du processus de gestion des risques de l unité. Ces actions peuvent porter sur les éléments suivants : respect des standards et directives du Groupe, des Risques Spécifiques Métier et des Bonnes Pratiques ; enseignements tirés des incidents (alertes accidents mortels, Revues d Evénements Significatifs SER, rapports de quasiaccidents ) ; activités sur le terrain (audits, visites Visible Felt Leadership (VFL), suggestions des employés, inspections, y compris celles effectuées par des agences gouvernementales) ; sources d information internes ou externes (bulletins de sécurité, recommandations réglementaires, etc.) ; autres activités liées à la Santé et à la Sécurité. Un responsable doit être désigné pour accomplir chaque action dans un délai donné. Le plan doit être réexaminé et mis à jour régulièrement par la direction de l unité, qui doit contrôler l état d avancement par rapport aux objectifs. Organisation Chaque unité définit les rôles Santé et Sécurité, les responsabilités et les attentes pour chaque personne au sein de l organisation, du Directeur Général du Pays jusqu aux employés. L objectif est de garantir que les efforts en la matière sont bien coordonnés et optimisés. En outre, cette démarche permet d identifier clairement les responsabilités, les besoins en formation et les objectifs de performance personnelle. Une fonction Santé et Sécurité est définie et mise en œuvre au sein de tout le Groupe, jusqu au niveau de chaque site. Elle apporte à chaque activité un soutien, une orientation et un accompagnement adéquats, tout en l aidant à se remettre en question I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I PAGE 5
6 Élément 3: Consultation et Responsabilisation Pour atteindre l excellence en matière de Santé et de Sécurité, Lafarge est convaincu que la contribution de tous les employés est indispensable. En outre, le Groupe sait que son personnel représente une précieuse source d information et de connaissances en matière de risques sur le lieu de travail. Ils constituent également le meilleur moyen de réduire ces risques. L engagement et la mobilisation des employés sont essentiels pour identifier les actes et les conditions qui présentent un risque, même mineur, puis pour en supprimer les causes, démarche qui permet en retour d empêcher les incidents graves. Sur cette base, Lafarge s engage à impliquer tous ses employés dans ses efforts d amélioration de la Santé et de la Sécurité. La participation des collaborateurs est encouragée et favorisée (participation aux comités Santé et Sécurité des sites, participation aux inspections, audits, évaluations sanitaires, formation aux premiers secours, organisation de réunions d information sur la sécurité, suggestions d amélioration par le biais de programmes locaux, etc.). La participation à ce type d activité est prise en compte dans la définition des objectifs personnels annuels et dans le processus d évaluation de la performance annuelle. Le niveau d engagement et de participation est évalué à l aide d indicateurs prévisionnels appropriés, et les réussites sont récompensées par différents moyens, notamment par des récompenses remises par le Groupe ou le Pays/ Site, ou par l adhésion au Club Excellence. Tous les employés sont habilités à interrompre toute tâche jugée risquée ou néfaste pour la santé, et à mettre en œuvre les moyens nécessaires pour remédier à la situation. En outre, lorsqu ils sont confrontés à des conditions de travail risquées ou néfastes pour la santé, les employés sont tenus de prendre immédiatement les mesures qui s imposent pour y remédier. Au minimum, le responsable de la zone doit en être informé et doit régler la situation. PAGE 6 I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I 2015
7 Élément 4 : Gestion des Risques L objectif du HSMS est de ramener tous les risques prévisibles à un niveau acceptable. Les Standards et Directives du Groupe en matière de Santé et de Sécurité ainsi que les Risques Spécifiques Métier traitent des principaux risques potentiels identifiés dans nos activités. Néanmoins, ces listes ne sont pas exhaustives, car il peut exister d autres risques issus d agents physiques, biologiques ou chimiques, non couverts par un standard. Chaque Pays et chaque site doit donc définir des outils et des initiatives pour traiter les risques qui lui sont propres. Les Pays et leurs unités doivent développer des processus systématiques pour hiérarchiser, maîtriser et limiter les risques à long terme. Une revue est organisée régulièrement, ainsi qu à chaque changement de processus, d équipement ou de procédure opérationnelle. Processus Comme le décrit la norme du Groupe «Gestion des risques», le processus se déploie comme suit : au niveau opérationnel : mesure, évaluation et maîtrise des risques pour chaque espace de travail et toute population exposée à un risque, en tenant compte des impacts sur la santé et en s assurant que les personnes sont aptes pour leur poste. au niveau de chaque tâche : évaluer et maîtriser les risques pour la tâche, en amont (afin de définir des procédures opérationnelles de sécurité) et sur le terrain (c est-à-dire, juste avant d effectuer une tâche). Les mesures de maîtrise doivent être définies à l aide du principe de «hiérarchie du contrôle (HOC)». Mise en œuvre L évaluation des risques doit être réalisée par des personnes ayant les compétences nécessaires et anticiper tous les risques prévisibles. Les personnes susceptibles d être concernées par l un des risques identifiés, quel qu il soit, doivent être impliquées dans ce processus d évaluation et formées aux procédures opérationnelles de sécurité correspondantes I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I PAGE 7
8 Élément 5 : Préparation aux Situations d Urgence Des systèmes, procédures et ressources sont en place pour veiller à ce qu en cas d incident, nos collaborateurs, le public, l environnement, nos actifs et notre réputation soient protégés. Des plans sont mis en place pour réagir efficacement face à différents scénarios d urgence. Les points essentiels sont les suivants : 1. Les plans d urgence sont articulés autour des risques et prennent en compte : les risques inhérents à nos processus, à l énergie accumulée et aux matériaux ; les risques externes émanant des processus industriels environnants et des matériaux transportés par voie routière, ferroviaire ou maritime ; la situation géographique qui peut exposer potentiellement un site à des catastrophes naturelles, des troubles civils ou des insurrections ; la disponibilité, l efficacité et l accessibilité à des intervenants ou des partenaires externes : pouvoirs publics locaux, centres médicaux, autres entreprises ou encore organisations non gouvernementales. 2. Les plans incluent : les aspects Santé et Sécurité de toute intervention d urgence ; les stratégies d intervention pour toutes les urgences potentielles, y compris médicales ; l organisation interne, les responsabilités et les parties prenantes externes requises pour gérer les différents scénarios d urgence ; les mesures nécessaires à la continuité de l activité, au cas où l urgence dégénère en crise. 3. L identification d un responsable, chargé de: vérifier la disponibilité de plans efficaces, diffusés clairement à toutes les parties prenantes, notamment en cas de changement ; mettre sur pied des équipes d intervention compétentes, internes ou externes ; veiller à ce que les équipements appropriés sont disponibles pour les interventions d urgence, et sont compatibles avec les ressources externes nécessaires ; organiser régulièrement des exercices d évacuation et d alerte (au minimum chaque année) suivant divers scénarios qui reflètent les principaux risques du site ; revoir régulièrement les plans, pour valider et renforcer leur robustesse, et intégrer les enseignements retirés des exercices d alerte et de l analyse des principales causes d incidents. 4. Un système de communication est en place pour garantir : l existence de protocoles d échange d informations validés avec toutes les parties prenantes ; une formation adéquate du personnel concerné pour la prise de parole face aux médias ; la connaissance par toutes les parties prenantes des mesures à prendre en cas d urgence. PAGE 8 I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I 2015
9 Élément 6 : Communication L objectif de la communication est de maintenir la mobilisation et la motivation du personnel et de veiller à ce que les informations soient bien diffusées pour faciliter une prise de décision efficace. Lafarge a établi un processus et une organisation pour communiquer avec toutes ses parties prenantes en matière de Santé et de Sécurité. Une communication efficace est fondamentale pour mobiliser le personnel et les acteurs externes. Elle couvre entre autres les sujets suivants : Politique et Règles, Standards et Directives, performance, progression par rapport aux objectifs, réussites, incidents, procédures, bonnes pratiques et pratiques efficaces, Revues des Evénements Significatifs et Enseignements Clés. Le système de communication comprend : des réseaux clairs et bien établis et des modes de communication qui permettent une communication ascendante et descendante par le biais de médias et d outils bien définis ; une collaboration étroite entre les fonctions Santé et Sécurité et Communication, et ce, à tous les niveaux de l organisation, pour définir et hiérarchiser les moyens de communication et leurs contenus ; la participation du personnel dans le processus de mise en œuvre piloté par l encadrement opérationnel ; des prix et des récompenses Santé et Sécurité dans le cadre des programmes de reconnaissance du Groupe, du Pays et du site ; le stockage de toutes les informations clés en matière de Santé et de Sécurité sur les systèmes informatiques du Groupe, pour servir de référence accessible à tous; l établissement d un dialogue avec les communautés locales, les associations professionnelles, les pouvoirs publics et les organisations non gouvernementales sur la Santé et la Sécurité, par le biais du Programme de Gestion des Relations Extérieures avec les parties prenantes de l unité ; un processus pour répondre à toutes les réclamations/préoccupations des parties prenantes internes et externes ; des activités et des événements réguliers, liés aux questions de Santé et de Sécurité (Mois de la Santé et de la Sécurité, etc.) I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I PAGE 9
10 Élément 7 : Personnes compétentes Les compétences en Santé et en Sécurité figurent clairement dans les descriptifs de poste. Elles sont évaluées au cours du processus de recrutement, modelées selon les exigences du poste et mises à jour tout au long de la carrière. Il s agit d une part essentielle du processus d évaluation annuelle de la performance et de développement individuel. Les employés, l encadrement et les fournisseurs sont formés à travailler en sécurité et à gérer les problématiques Santé et Sécurité dans leurs domaines. La formation initiale prévoit une orientation sur le site, ainsi qu une formation générale et spécifique au poste. La formation de l encadrement souligne l importance du leadership pour la Santé et la Sécurité. Des formations sont également assurées à chaque fois qu un employé accède à un nouveau poste ou qu un processus est modifié. Des remises à niveau sont effectuées régulièrement, conformément aux lois en vigueur et aux pratiques de bonne gestion, ou suite à des évaluations, des audits et des incidents. Pour la fonction Santé et Sécurité, les compétences requises incluent l expertise technique, des compétences managériales et de leadership ainsi que des aptitudes à la conduite du changement (accompagnement, communication, etc.). Élément 8 : Analyse et Rapport des Accidents Le standard Groupe «Reporting et Analyse des Accidents» définit les mesures à prendre en la matière, notamment l utilisation systématique de la base de données de gestion des risques du Groupe («Emex»). Chaque site dispose d une procédure écrite qui définit les exigences spécifiques pour le rapport et l analyse des accidents et incidents. Un incident ou un accident Santé et Sécurité est défini comme toute situation ou événement imprévu, qui entraîne ou risque d entraîner (dans le cas d un quasi-accident) une blessure ou une maladie. Tous les incidents et accidents sont signalés, font l objet d une analyse par le niveau hiérarchique approprié, dont les conclusions sont diffusées. Les analyses portent notamment sur les causes profondes du problème et les actions correctives à prendre. La Matrice Opérationnelle Santé et Sécurité sert à valider l analyse des causes et vise à identifier les manquements potentiels à tous les niveaux de l organisation. Le résultat de chaque analyse est archivé. Des processus sont en place afin de garantir une mise en œuvre rapide, efficace et systématique des actions correctives. Chaque site a un plan de formation qui comprend des exigences en matière de formation Santé et Sécurité et la manière dont celles-ci vont être respectées. Le contenu de la formation tient compte des aspects locaux, des exigences réglementaires et des besoins en développement individuel. Un système de suivi permet de veiller à ce que chaque formation est bien mise en œuvre telle que définie. PAGE 10 I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I 2015
11 Élément 9 : Documentation et Archivage Des systèmes sont conçus et mis en place pour créer, diffuser, maîtriser et gérer les documents et les enregistrements permettant de répondre aux exigences en matière de Santé et de Sécurité. Les documents définis comme les standards, procédures, instructions, etc. écrites qui détaillent les mesures prévues. Les archives sont les comptes rendus écrits d activités antérieures : formations, réunions, évaluations des risques, permis de travail, etc. Les systèmes de gestion des documents et des archives doivent être conformes aux exigences réglementaires en matière de protection des données, de confidentialité des données médicales et de conservation des documents. Élément 10 : Audit et Grille de Maturité Le Groupe procède régulièrement à des audits HSMS pour vérifier la conformité de chaque unité aux exigences du HSMS et aux Standards et Directives de Santé et de Sécurité. Chaque audit suit un protocole et un calendrier définis. La maturité de l entité en matière de Santé et de Sécurité est évaluée au cours de l audit à l aide de l Outil Maturité HSMS du Groupe. Les conclusions sont communiquées à la direction de l unité et à celle du pays, qui sont chargées de définir un plan d action pertinent et rapide dans le cadre de leur processus de gestion des risques. À l échelon local, les unités effectuent leurs propres audits et mènent tous les trois ans une autoévaluation de leur maturité en Santé et en Sécurité, à l aide de l Outil Maturité HSMS. Le système d archivage permet également de segmenter et d analyser les données, afin d identifier des facteurs communs et des tendances, et ainsi, d anticiper les risques émergents I Système de management de la Santé et de la Sécurité du Groupe (HSMS) I PAGE 11
12 LAFARGE 61, rue des Belles Feuilles - BP Paris Cedex 16 - France Tél : Fax: health_safety.comms.group@lafarge.com
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailisrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle
isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle 2 isrs 7 : pour la santé de votre entreprise Pour répondre à l accroissement des multiples exigences de vos Parties Intéressées,
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailGuide de travail pour l auto-évaluation:
Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailPhase 2 : Mettre en œuvre. Gestion des projets. Gestion documentaire. Gestion du changement. R Collomp - D Qualité D 2 Ges4on documentaire
Phase 2 : Mettre en œuvre Gestion des projets Gestion Gestion du changement Gestion Plusieurs documents dans un organisme : Documentation technique Documentation sociale Documentation commerciale Documentation
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détail8.4. Le contrôle interne
8.4. 8.4.1. LE CONTRÔLE INTERNE : DÉFINITION ET OBJECTIFS est un dispositif du groupe qui comprend un ensemble de moyens, de comportements, de procédures et d actions adaptés aux caractéristiques propres
Plus en détailSynthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76)
Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) 1. Qu est-ce que le SDET : schéma directeur des espaces numériques de travail?
Plus en détailNOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité
Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailSTRATÉGIE DE SURVEILLANCE
STRATÉGIE DE SURVEILLANCE Décembre 2013 SOMMAIRE OBJET page 3 OBJECTIFS DE LA SURVEILLANCE page 3 PRINCIPES D ÉLABORATION DU PROGRAMME page 4 PROGRAMME 2014 page 5 RESSOURCES page 6 PERSPECTIVES 2015/2016
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailEric CIOTTI Président du Conseil général des Alpes-Maritimes
A sa création, en 2005, la FORCE 06, rattachée à l ONF, constituait une unité de forestiers-sapeurs dédiée aux travaux d entretien des infrastructures de Défense des Forêts Contre l Incendie (DFCI) et
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailLivre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie
Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailL assurance de la qualité à votre service
Atelier L assurance de la qualité à votre service Présentation de Jean-Marie Richard 24 et 25 novembre Sujets Qu est-ce que l assurance de la qualité? Initiation aux concepts de l assurance de la qualité.
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailPARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE
PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE «Nos valeurs et nos règles» pour nos partenaires commerciaux Code de conduite pour le partenaire commercial de MSD [Édition 1] MSD est engagée dans une démarche
Plus en détailQuestionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise
Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détailL application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés
Plus en détailAudit interne. Audit interne
Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils
Plus en détailBUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final
BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii
Plus en détailTECH COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INFOTECH # 33 INTRODUCTION RAPPEL : QUEL CONTOUR DU GROUPE D ASSURANCE AUJOURD HUI?
COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INTRODUCTION Marie-Laure DREYFUSS ASSOCIÉE Responsable du Pôle Gouvernance Tel. : + 33 (0)4 72 18 58 58 E-mail : marie-laure.dreyfuss@actuaris.com En matière de
Plus en détailL organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration
L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.
Plus en détailStandard de contrôle de sécurité WLA
Standard de contrôle de sécurité WLA Standard de sécurité et d intégrité des activités de loterie et de jeu WLA-SCS:2012 Association mondiale des loteries (World Lottery Association) Édition Novembre 2014
Plus en détailQuestionnaire «B» Peuvent être nommées procureurs les personnes ayant le casier judiciaire vierge et ayant le droit de vote qui ont acquis :
Questionnaire «B» I. Les conditions préliminaires pour la nomination au poste du procureur sont les suivantes : Aux termes de la loi régissant les rapports de service au sein du parquet : Peuvent être
Plus en détailCODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO
CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail
Plus en détailREGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL
REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION LA GESTION DES DOCUMENTS ET DES ARCHIVES
POLITIQUE DE GESTION CONCERNANT LA GESTION DES DOCUMENTS ET DES ARCHIVES Adoptées le : 27 septembre 2012 Résolution # : INM 12 13 129 1. But Cette politique est en application des lois, particulièrement
Plus en détailStratégie nationale en matière de cyber sécurité
Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l
Plus en détailIntroduction à l ISO/IEC 17025:2005
Introduction à l ISO/IEC 17025:2005 Relation avec d autres normes de Management de la Qualité Formation Assurance Qualité LNCM, Rabat 27-29 Novembre 2007 Marta Miquel, EDQM-CoE 1 Histoire de l ISO/IEC
Plus en détailMinistère de l intérieur --------
Ministère de l intérieur -------- Examen professionnel d ingénieur principal des systèmes d information et de communication du ministère de l intérieur Session 2013 Meilleure copie Sujet n 1 - Réseaux
Plus en détailPROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim
RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détailCharte de l'audit informatique du Groupe
Direction de la Sécurité Globale du Groupe Destinataires Tous services Contact Hervé Molina Tél : 01.55.44.15.11 Fax : E-mail : herve.molina@laposte.fr Date de validité A partir du 23/07/2012 Annulation
Plus en détailINTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003)
INTRODUCTION Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) Le cadre d évaluation des données (CEQD) propose une structure qui permet d évaluer la qualité des données en comparant les
Plus en détailActivités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets
Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailDIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE. Ensemble, agissons pour des achats responsables
DIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE Ensemble, agissons pour des achats responsables CONVICTIONS De l intention à l action systématique André SÉPANIAK Directeur des achats Le
Plus en détailGarantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale
LIVRE BLANC Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale Mai 2010 Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale CA Service
Plus en détailFormations dédiées aux acteurs du logement social
Gestion et communication de crise Formations dédiées aux acteurs du logement social Arjuna est un cabinet conseil dédié, depuis 1993, à la gestion et la communication de crise. Lors des formations qu ils
Plus en détail1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?
FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,
Plus en détailAnnexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement
MESURE 1 - ANNEXE Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement Responsabilité découlant de situations critiques pour l environnement Les Parties, Préambule
Plus en détailRÈGLEMENT RELATIF À LA SÉCURITÉ DES VOYAGEURS. TC numéro 0-16 Approuvé le 31 mars, 2000 {R- 33}
RÈGLEMENT RELATIF À LA SÉCURITÉ DES VOYAGEURS TC numéro 0-16 Approuvé le 31 mars, 2000 {R- 33} 2 RÈGLEMENT RELATIF À LA SÉCURITÉ DES VOYAGEURS TABLE DES MATIÈRES 1. TITRE ABRÉGÉ 2. DOMAINE D APPLICATION
Plus en détailGUIDE OEA. Guide OEA. opérateur
Guide > > Fiche 1 : Pourquoi être certifié? > > Fiche 2 : Les trois types de certificats et leurs critères > > Fiche 3 : La préparation de votre projet > > Fiche 4 : Le questionnaire d auto-évaluation
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailLivre Blanc Oracle Mars 2013. Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business
Livre Blanc Oracle Mars 2013 Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business Introduction 1 Qu est-ce qu un PMO orienté business? 2 Les six facteurs clés de succès de l alignement
Plus en détailGestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014
Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière
Plus en détailétude de rémunérations
étude de rémunérations dans la finance de marché Les salaires des métiers de la Moe et de la Moa AVEC NOUS, VOTRE TALENT PREND DE LA VALEUR 1 Sommaire Le mot des dirigeants Présentation METIERS DE LA MOE
Plus en détailPlan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise
Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience
Plus en détailPole Formation Catalogue 2013-2014
Pole Formation Catalogue 2013-2014 Mise à jour Octobre 2013 Page 1 de 13 Nos valeurs Respect : de nos partenaires clients et fournisseurs, de nos engagements Performance : par l exigence que s imposent
Plus en détailPolitique de gestion documentaire
Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailLA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE
LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE Une fois les objectifs fixés pour son équipe, le manageur doit définir une stratégie et mettre en place un plan d actions. Outil de prévision et de planification, ce
Plus en détailNotre Programme de responsabilité Formation au Code déontologique de Nyrstar Code déontologique Des craintes? Contactez
Code déontologique Le Nyrstar Way Se prémunir de tout préjudice Eviter tout préjudice à notre personnel, notre environnement, notre stratégie et veiller à l intégrité de nos sites et équipements Etre ouvert
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013)
POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) Le générique masculin est utilisé sans discrimination uniquement dans le but d alléger le texte. 1. OBJECTIFS Gérer efficacement
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailCaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL. Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence
CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence 4 CaLP ARGENT TRAVAILLER CONTRE AVEC TRAVAIL LES BANQUES
Plus en détailExtraits du Code du Travail
Extraits du Code du Travail Bruit au travail - Santé auditive QUATRIÈME PARTIE : SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL LIVRE IV : PRÉVENTION DE CERTAINS RISQUES D EXPOSITION TITRE III : PRÉVENTION DES RISQUES D
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détailPartenariat Faire reculer le paludisme (RBM)
Partenariat Faire reculer le paludisme (RBM) Cahier des charges du Groupe de Travail sur le Plaidoyer pour la lutte contre le paludisme (MAWG) Révision basée sur l examen du cadre de responsabilisation
Plus en détailDossiers personnels de l élève
Dossiers personnels de l élève Pauline Ladouceur Octobre 2008 - 2 - Principes de base à respecter: La protection des renseignements personnels repose sur trois principes de base : le nombre de renseignements
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailGUIDE QUALITE ARSEG S O M M A I R E METIER TRANSFERT OBJET ET DOMAINE D'APPLICATION CARACTERISTIQUES EXIGEES ET MOYENS MIS EN OEUVRE
GUIDE QUALITE ARSEG S O M M A I R E METIER TRANSFERT CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 OBJET ET DOMAINE D'APPLICATION GLOSSAIRE CONTEXTE 3-1- Caractéristiques de l'activité transfert 3-1-1 L'activité transfert
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS
POLITIQUE N o 11 POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS Adoptée le 14 juin 2005 cegepdrummond.ca Adoptée au conseil d administration : 14 juin 2005 (CA-05-06-14-19) Cégep de Drummondville 960,
Plus en détailGénie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5
Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailBUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final
Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL
Plus en détailFORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014
FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailpolitique de la France en matière de cybersécurité
dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le
Plus en détail3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)
3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier
Plus en détailLIVRE BLANC. Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités
Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités Sommaire Les défis de la gestion des vulnérabilités 3 Identification des principales faiblesses 3 Développement d un programme efficace
Plus en détailRECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)
RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article
Plus en détailRapport technique n 8 :
Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailCONVENTION ASSURANCE QUALITÉ (QAA) FONCTION NÉGOCIANT
1. Préambule 1.1 Généralités La présente convention d assurance qualité (QAA) définit les exigences posées aux fournisseurs REHAU en matière d assurance qualité. La QAA REHAU constitue des règles destinées
Plus en détailLean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable?
Lean Management : une stratégie de long terme Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Au cours de ces deux dernières années, les grandes entreprises du monde
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailEVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS
EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL
Plus en détailLa gestion des risques en entreprise de nouvelles dimensions
La gestion des risques en entreprise de nouvelles dimensions Octobre 2006 La pratique de la gestion des risques en entreprise devient plus cruciale et plus complexe de jour en jour. Les entreprises doivent
Plus en détailGuide pratique pour les clubs
Guide pratique pour les clubs Mise à jour le 19 août, 2014 Guide pratique pour les clubs Table des matières DISPOSITIONS GÉNÉRALES... 3 1. Exigences pour former un club... 4 2. Types de club... 4 3. Interaction
Plus en détailProjet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique
Projet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique Les conditions d exercice des missions des agents publics, leurs métiers et l organisation des services ont beaucoup évolué
Plus en détail