ETUDE DES PROIES CONSOMMEES PAR LES SALMONIDES SURDENSITAIRES IMPORTANCE DE LA PREDATION EXERCEE SUR LES AUTRES POISSONS

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1 ETUDE DES PROIES CONSOMMEES PAR LES SALMONIDES SURDENSITAIRES IMPORTANCE DE LA PREDATION EXERCEE SUR LES AUTRES POISSONS Novembre 2014

2 Delacoste M., Lucas M. : Etude des proies consommées par les salmonidés surdensitaires. Importance de la prédation exercée sur les autres poissons. Rapport FDAAPPMA 65, nov ETUDE DES PROIES CONSOMMEES PAR LES SALMONIDES SURDENSITAIRES RESUME Les contenus stomacaux de 80 salmonidés surdensitaires (47 truites fario, 13 saumons de fontaine et 20 truites arc en ciel) ont été recueillis auprès de pêcheurs en action dans 4 rivières Pyrénéennes aux caractéristiques physiques et de peuplements différentes. Ces salmonidés mesuraient de 20 à 57 cm et avaient passé de 1 à 51 jours en milieu naturel. Sur 80 estomacs analysés, 77 se sont révélés exploitables : - 10 (13 %) étaient vides, - 8 (10 %) ne contenaient que des débris divers (minéraux, végétaux ou de plastique), - 59 (77 %) contenaient des pièces d origines animales, seules ou accompagnées de débris divers. Sur les 78 estomacs analysés, un seul contenait des restes de poisson, sans doute un petit cyprinidé. Cet estomac provenait d une truite fario de 26cm, qui avait séjourné dans l Adour pendant 6 jours. Les 59 autres surdensitaires avaient ingéré des invertébrés aquatiques (insectes ou crustacés). Ces résultats semblent démontrer que la prédation des salmonidés surdensitaires sur les autres poissons du milieu dans lequel ils sont introduits, qu il s agisse de petites espèces d accompagnement ou de juvéniles de truites, est très faible. Aucune relation entre la présence de poissons dans les contenus stomacaux et l espèce de salmonidé surdensitaire, sa taille ou la durée de son séjour en milieu naturel n a en revanche pu être mise en évidence. Fédération des Hautes Pyrénées pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Novembre

3 ETUDE DES PROIES CONSOMMEES PAR LES SALMONIDES SURDENSITAIRES 1. INTRODUCTION Les introductions de salmonidés font partie des pratiques courantes et régulières des gestionnaires de la pêche. Pour la seule filière de production, les repeuplements représentent ainsi de l ordre de 7000 à 8000 tonnes de salmonidés chaque année. Le stade «surdensitaire» est sans doute le plus utilisé. Ces introductions de salmonidés de taille supérieure à la taille légale de capture constituent le moyen le plus efficace pour augmenter les captures des pêcheurs. Ces poissons peu méfiants permettent en effet des taux de recapture importants lorsqu ils sont utilisés dans de bonnes conditions. Les salmonidés surdensitaires ne passent ainsi en général qu un temps bref en milieu naturel. Parmi les questions que posent ces introductions, le risque de prédation par ces individus introduits des poissons vivant naturellement dans le milieu est régulièrement mis en avant. Mais on ignore quelle est son importance réelle. Les objectifs de cette étude sont donc de combler cette lacune, en : - analysant les proies consommées par les salmonidés surdensitaires, - déterminant quelle est l importance de poissons dans ces proies, - évaluant si la consommation de poissons et donc le phénomène de prédation, peut varier en fonction des types de cours d eau et de leur peuplement, de l espèce, de la durée du séjour en rivière et de la taille des salmonidés introduits. 2. METHODOLOGIE 2.1 Recueil des données Des estomacs de salmonidés surdensitaires ont été prélevés auprès des pêcheurs en cours de saison de pêche (de mars à juin) par les gardes pêche de la FDAAPPMA des Hautes-Pyrénées. Ces estomacs ont été conservés dans des tubes formolés, sur lesquels ont été notés le lieu, la date, l'espèce et la taille du poisson. Ces informations sont destinées à tester d éventuels effets cours d eau, espèce, durée de séjour en rivière et taille sur les résultats. Les contenus stomacaux ont été analysés ultérieurement. 2.2 Présentation des milieux Les prélèvements ont été effectués dans 4 rivières de 1 ère catégorie des Hautes-Pyrénées. Leurs principales caractéristiques sont données dans le tableau suivant. Arros Echez Adour Gave de Pau Type de rivière Résurgence calcaire Rivière de piémont Rivière de montagne Rivière de montagne Altitude des 586 m 820 m 2000 m 2600 m sources Pente moyenne 0.7 % 1 % 1.2 % 2.2 % Module 4.48 m 3 /s à Gourgues 1.8 m 3 /s à Louey 12.1 m 3 /s à Tarbes 50.2 m 3 /s à Rieulhes Tableau 2.I : principales caractéristiques physiques des cours d eau de l étude. Fédération des Hautes Pyrénées pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Novembre

4 Arros Echez Adour Gave de Pau Juvéniles truites Chabot Vairon Loche franche Goujon Barbeau Vandoise Tableau 2.II : abondance des juvéniles de truites et des espèces d accompagnement de la truite dans les cours d eau de l étude (+ : présente, ++ abondante, +++ : très abondante). 3. RESULTATS 3.1 Espèces Les contenus stomacaux de 80 salmonidés surdensitaires ont été recueillis et analysés. Ceux-ci provenaient de 47 truites fario, 13 saumons de fontaine et 20 truites arc en ciel. 3.2 Provenance 36 contenus stomacaux provenaient de poissons capturés dans l Arros, 16 dans l Adour, 20 dans l Echez et 8 dans le gave de Pau. 3.3 Taille La taille des salmonidés ayant fait l objet de prélèvement varie de 20,5 à 57 cm, pour une moyenne de 27,7 cm. Figure 3.1 : taille des salmonidés surdensitaires ayant fait l objet de prélèvement. 3.4 Durée de séjour en rivière Leur durée de séjour en rivière (calculée en fonction de la date connue du déversement et de la date de recapture) varie de 1 à 51 jours, pour une moyenne de 8,6 jours. Figure 3.2 : durée du séjour en rivière avant la recapture et le prélèvement. Fédération des Hautes Pyrénées pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Novembre

5 3.5 Contenus stomacaux Sur 80 estomacs analysés, 77 se sont révélés exploitables : - 10 (13 %) ne contenaient rien, - 8 (10 %) ne contenaient que des débris divers (minéraux, végétaux ou de plastique), - 59 (77 %) contenaient des pièces d origines animales, seules ou accompagnées de débris divers. Sur les 59 estomacs contenant des pièces d origine animales, un seul contenait des restes de poisson, sans doute un petit cyprinidé. Le salmonidé qui avait ingéré un poisson était une truite fario de 26cm, qui avait séjourné dans l Adour pendant 6 jours. Les 58 autres surdensitaires avaient ingéré des invertébrés aquatiques (insectes ou crustacés). Figure 3.3 : composition des contenus stomacaux 3.6 Influence des différents paramètres sur les résultats Aucune relation statistiquement significative n a pu être observée entre la rivière d origine, l espèce, la taille du salmonidé prélevé, la durée du séjour en rivière et la présence de poissons dans les contenus stomacaux (Kruskall-wallis). 4. DISCUSSION - CONCLUSIONS Si 51 % des salmonidés surdensitaires ayant fait l objet de prélèvement avaient passé moins de 3 jours en milieu naturel, 49 % y avaient séjourné au moins 3 jours, un temps largement suffisant pour au moins tenter de se nourrir. Il n y a cependant pas de différence significative (Kruskall-wallis) entre la proportion d estomacs vides pour les salmonidés surdensitaires ayant passé moins (15 % d estomacs vides) ou plus (11 % d estomacs vides) de 3 jours en rivière (figure 4.1), ce qui tendrait à montrer que ceux-ci commencent à essayer de se nourrir très rapidement après leur mise à l eau. Cela va d ailleurs dans le sens des observations de recaptures par les pêcheurs très tôt après l introduction. Figure 4.1 : comparaison des contenus stomacaux des poissons ayant séjourné moins ou plus de 3 jours en rivière. Fédération des Hautes Pyrénées pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Novembre

6 Figure 4.2 : composition du contenu stomacal en fonction de la durée du séjour en rivière. 0 = vide, 1 = débris divers, 2 = invertébrés + débris divers, 3 = invertébrés, 4 = poisson. De même, il n y a pas de relation nette entre la durée du séjour en rivière et la composition du contenu stomacal (figures 4.2). 25 % des salmonidés surdensitaires qui s étaient nourris présentaient des débris divers (végétaux ou minéraux) dans l estomac, seuls ou accompagnés de proies comestibles. Cela traduit une forme d apprentissage alimentaire dans un environnement nouveau, de la part de poissons n ayant connus que les conditions de vie en pisciculture, avec une nourriture distribuée sous forme de granulés. D une manière générale, les contenus stomacaux analysés étaient soit vides, soit quantitativement faibles (quelques invertébrés). Cela va dans le sens de l observation précédente et traduit vraisemblablement les difficultés à se nourrir en milieu naturel de ces poissons n ayant connu que les conditions d élevage. Ce résultat est également à mettre en relation avec les faibles survies généralement observées pour les salmonidés surdensitaires en milieu naturel, même en dehors des prélèvements par la pêche. La majorité des proies consommées étaient des invertébrés. Cette observation tendrait à montrer que comme leurs confrères sauvages, les salmonidés surdensitaires se nourrissent essentiellement à partir d invertébrés dérivant ou capturés au fond, sans doute pour des raisons de facilités et de moindre dépense énergétique. Consommer des proies dérivant de façon quasi inerte ou capturées sur le fond induit en effet une dépense énergétique plus faible que de chasser des poissons. L examen des contenus stomacaux par espèce montre que c est chez les truites arc en ciel que l on trouve la plus forte proportion de contenus stomacaux ne contenant que des débris non comestibles (figure 4.3). Toutefois, ce résultat change si l on élimine du jeu de données les truites arc en ciel du gave de Pau, échappées d une pisciculture après une crue (figure 4.4). Figure 4.3 : composition du contenu stomacal par espèce (ensemble du jeu de données) Fédération des Hautes Pyrénées pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Novembre

7 Sans les truites arc en ciel du gave de Pau, la proportion de salmonidés dont l estomac ne contient que des débris non comestibles devient très faible. Mais c est toujours chez les truites arc en ciel que l ont trouve la plus forte proportion d estomac contenant des débris (36 %), alors qu elle est de 13 % chez les truites fario et nulle chez les saumons de fontaine (figure 4.4). Cela peut traduire des différences de comportement entre espèces, certaines ayant plus de propension à se nourrir dans la colonne d eau et en surface où dérivent les débris (truites arc en ciel), alors que d autres se nourriraient plutôt sur le fond (saumon de fontaine). Figure 4.4 : composition du contenu stomacal par espèce (sans truites arc en ciel gave de Pau) Un seul des 77 contenus stomacaux analysé contenait des restes de poisson. Ce résultat semble démontrer que la prédation des salmonidés surdensitaires sur les autres poissons du milieu dans lequel ils sont introduits, qu il s agisse de petites espèces d accompagnement ou de juvéniles de truites, est très faible. Chacune des rivières de cette étude présentaient pourtant de bonnes abondances de petites espèces ou de juvéniles de truites. Ainsi, bien que des cas de salmonidés surdensitaires dont l estomac contenait des poissons soient parfois rapportés par des pêcheurs et en gardant des réserves du fait de la taille relativement modeste du jeu de données de cette étude (80 contenus stomacaux analysés), la prédation exercée par les salmonidés surdensitaires sur les poissons du milieu dans lequel ils sont introduits parait très faible voire négligeable. Aucune relation entre la présence de poissons dans les contenus stomacaux et l espèce de salmonidé surdensitaire, sa taille, la durée de son séjour en milieu naturel ou la rivière dans laquelle il a été introduit n a en outre pu être mise en évidence. Fédération des Hautes Pyrénées pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Novembre

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