Sylvie Hutin. Un cauchemar, une nouvelle vie

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1 Sylvie Hutin Un cauchemar, une nouvelle vie 2

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3 Chapitre 1 Un cauchemar Je suis née le 8 décembre 1973 à Lagny sur marne avec un poids de 3 kg 360. J avais que quelques jours quand ont découvrit ce petit bras inerte sans vie. Plusieurs séances de rééducation avant que je ne puisse m en resservir. Ce qui m avait évité d avoir un bras mort par la suite. Je vivais avec mes parents dans un petit appartement dans le vieux champ sur marne. Dans un petit pavillon transformé en quatre appartements pas très grand, mais suffisamment pour y vive en couple avec des enfants. Notre appartement ce trouvait au premier étages. Nous possédions, une chambre un salon, une salle à manger et une cuisine. Mais ce qu ont possédaient de plus sur nos voisins, c était que nous avions les toilettes. Se qui n était pas le cas de tout nos voisins. 2 3

4 Sans oublier le grenier que nous avions. Nous avions un jardin avec deux cerisiers et un prunier. Un super espace de jeu pour nous enfant sans risque. Où j ai vécu jusqu à l âge de 14 ans avec mes parents et mes sœurs avant d habiter en hlm. Comme mes deux parents travaillaient, ils m ont mes en nourrice dès l âge de trois mois jusqu à ce que je puisse rentrer en maternelle. Sur l année de mes quatre ans ma mère tombait enceinte de ma sœur isabelle qui faisait qu elle avait arrêté de travaillée pour s occupée de nous. Je venais de rentré en première année de maternelle. Quand ma sœur isabelle est née. Tout ce passait pour le mieux. Aucune moquerie des enfants de mon âge. Pendant mes trois premières années de maternelle. Je n avais aucun problème avec mes camarades de classe. Je fis trois années sans problème. Aucune moquerie des enfants. Tout ça ce passait avant que je me fasse opérée. J étais une petite fille très calme et mes parents n avaient rien à dire. Nous n habitions pas très loin de mes grands parents et de mon arrière grand mère que nous voyons chaque week-end. Au moins, je pouvais profiter assez souvent de mes grand parents ainsi que mon arrière grand mère que j ai pu connaître jusqu à l âge de neuf ans. 24

5 Chaque été, nous partions en vacance tous ensembles. Tout ce passait pour le mieux jusqu au jour où j ai du me faire opérée des amidales végétations. C est de là que commençait mon calvaire. Pour mes parents cela n étaient qu une petite opération. Sans savoir ce qui suivrait derrière. Ce n est pas après l opération que les kilos arrivaient, c est bien après quelques mois. De ce jour là, j ai commencée à prendre du poids. Seulement, c était que quelques kilos par ans. Au début cela n était pas très important pour mes parents. Etant donné que j étais jeune et pour eux c étaient normal. Mais plus, je grandissais plus mon poids venait important. Seulement, je ne savais pas qu avec les années cela allait devenir de pire en pire pour moi. Je me rappelle qu à l âge de 6 ans, j ai fais un séjour à l hôpital pour y perd quelque kilos en trop. Parce que j avais un poids de 24 kg. Se qui était trop pour une enfant de mon âge. Mais pour moi, c était un cauchemar qui commençait. Le séjour que j avais fais n avait rien donnée. C est de là que les médecins ont dit à mes parents que j avais un problème l obésité, je ne savais pas ce qu était l obésité. Je le serais bien plus tard, quand je commençais à avoir des problèmes pour m habillée. 2 5

6 Mais je crois que le plus dure pour moi à été les années passer en primaires. C est là que commençait les moqueries de mes camardes qui ce rendaient pas compte que cela pouvait blessée. C était l année du CP, celle d apprendre à lire, écrire et calculer. Où, j aurais du apprendre comme tout mes camarades l écriture, lecture et calcul. Mais cela faisait que commencer. J étais qu en primaire et je savais que cela serait encore pire quand je viendrais à aller au collège. Mais je ne préférais pas y penser pour le moment. Les années primaires étaient déjà bien trop dure en moquerie. Alors le collège n y pense pas. Mais aussi l année, où je suis tombé sur une maîtresse qui à gâché mon année. Parce qu elle me faisait dormir au fond de la classe, quand elle voyait que j étais fatigué. Mais cela n a pas duré, dès que ma mère à su ça par d autre mère. Ma mère a fait un scandale auprès de la directrice et auprès du maire. Ont apprit bien plus tard qu elle avait des problèmes dans sa vie privée. Et qu elle ce vengeait sur ses élèves. Et il fallu que cela tombe sur moi. Seulement ma première année avait été gâché. Et je ne savais pas que cela allait jouer sur mon avenir. 26

7 Mais quand vous avez un problème comme moi, vous êtes vite mis à l écart des autres. Même quand ont fait parti des filles très sympa. Cela ne change pas la solitude qu ont peut ressentir. Ont vous laissent joué toute seule dans votre coin. Parce que je n étais pas intéressante pour eux. Mais comment pouvait-il me mettre de coté sans même me connaitre. Sans savoir le mal que cela pouvait faire d être rejeter. Surtout à cet âge où l ont recherchent des copains et copines. A cet age, les enfants étaient très méchants envers ceux qui pouvaient être différents. C est comme ça qu ont s inventent des copains imaginaires et qu à ce coupé du monde. Une solitude qui s installe avec les années. Je devenais solitaire et je ne parlais à personne. Du coup pour moi, il n y avait plus qu une chose qui m intéressait. C était d en apprendre le plus possible. J essayais d avoir les meilleures notes et je me refugiais dans les leçons. Cela était devenu mes meilleurs amis les bouquins. La seule chose qui m isolait du monde extérieur et des moqueries des autres. L année suivante, je rentrais en CE1, je pensais que cela ce passerais mieux. Mais rien ne changeait, c était toujours la même chose. 2 7

8 Toujours rejeter par les autres et ma vie ne changerait pas. C était même encore pire que l année passée. J ai encore pris pas mal de poids pendant mes vacances. Se qui facilitait pas mon intégration avec les autres enfants. J étais toujours autant mis de coté. Je n y pouvais rien, si les gamins me rejetaient à cause de cette différence. Cette année là, je commençais à avoir des problèmes scolaires et que la maitresse disait à ma mère que je risquais de redoublée ma classe. Parce qu elle c était rendu compte que je ne m intéressais plus à ce que je faisais. Et qu il y avait un risque de redoublement pour moi. Se qui n était pas le cas. Parce qu ont m avaient parlé d une classe de perfectionnement pour enfant qui prenait du retard. Seulement cela ne m empêchait pas d être solitaire. Je jouais avec personne ou plutôt personne ne jouait avec moi. De là, je commençais à ne plus m intéressée à l ecole, j étais en échec scolaire. C est de là que je suis allé dans cette fameuse classe. Où je tombais avec des enfants qui étaient dans le même cas que moi. C étaient une classe de pas plus d une dizaine d enfants de tout âge. 28

9 A la place de me faire redoublée ma classe, ont m envoya dans une classe de perfectionnement pour enfant qui prenait du retard scolaire. Je fis un an dans cette classe de perfectionnement à l école de la lisière. Mais ont peut dire que dans cette classe, je n ai pas foutu grand-chose. Parce que la plus part du temps, nous n avions pas de maitresse. Une année où j ai plutôt glanfée que rattrapée mon retard scolaire. De plus chaque matin, je prenais le car pour y aller a l école. Avant d en faire trois autres à l école Lucien Dauzier. Où là c était complètement différent. Parce que nous n étions pas beaucoup dans la classe. Et que la maitresse avait du temps pour s occuper de chaque élève. Se qui allait beaucoup m aider pour le rattrapage scolaire. Nous n étions pas plus d une douzaine dans cette classe et presque tous d âge à rentré au collège. La maitresse de l époque avait pour but de nous faire rattraper nos années de retard. De façon qu ont puissent passer au collège sans problème. Moi, j y suis resté trois ans, seulement j ai appris beaucoup. Sinon, je n en serais pas là, si je n étais pas passer par cette classe. 2 9

10 L école ce trouvait juste à coté de la maison à dix minutes. Se qui me donnait l occasion de rentré mangé chaque midi à la maison. De plus ma mère avait arrêté de travaillé à la naissance de ma sœur isabelle. Cette maitresse avait fait du bon travail avec moi. Quand je vois où j en suis aujourd hui grâce a cette maitresse. J avais pu rattraper tout mon retard avant de rentré au collège. Mais dans cette classe de perfectionnement, j étais parti trois fois en classe de neige. C est là que j ai pu apprendre à skier. Que j ai eu deux fois une étoile en ski. Se que j aurais peut être jamais appris, si j avais fais mes classes normales. Et aussi en échec scolaire, si j avais continué. J étais en classe special, mais j ai peut être appris plus que si j avais fais comme les autres. La preuve d où j en suis arrivé depuis. Je savais qu après ses trois ans, j allais rentrer au collège. En sachent que cela ne serait pas encore facile. Mais cela n était plus un problème. Etant donner que j étais solitaire en primaire. Pour moi cela ne changerait pas. Je venais de rentré au collège. Et je savais que c était là que mon avenir allait cette jouée. 210