BANQUES ET ASSURANCES

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1 2008 BANQUES ET ASSURANCES Institut pour le Développement des Compétences en Nouvelle-Calédonie 1, rue de la Somme B.P Nouméa cedex Tél Fax Courriel : idc.nc@idcnc.nc Site :

2 Sommaire Sommaire... 1 Préambule... 1 Généralités... 1 Poids du secteur des banques et des asurances dans l économie calédonienne... 2 Focus par sous-secteur... 2 Evolution du secteur perçue par les professionnels... 4 Organisation du secteur... 5 Avis des professionnels... 6 Population active et le profil des salariés du secteur des banques et assurances... 7 Métiers exercés par les salariés des banques et assurances (enquête emploi 2008)... 9 Marché de l emploi... 9 Résultats de l enquête emploi auprès des entreprises réalisée en Formations, les établissements et les diplômés en Besoins globaux par métier Quelques pistes de préconisations Préambule L est l un des trois pôles de l Institut pour le Développement des Compétences en Nouvelle-Calédonie, établissement public d appui à la politique de formation professionnelle du gouvernement. Dans le cadre du redéploiement de la politique de formation professionnelle, la Nouvelle-Calédonie a fixé comme priorité la mise en œuvre d études sectorielles prospectives emploi formation. Celles-ci sont destinées à évaluer les besoins en emploi et en formation professionnelle du pays et à fournir les éléments d aide à la décision nécessaire pour la programmation des formations. Ce document est une synthèse de l étude sectorielle banques et assurance réalisée en Généralités Dans la Nomenclature d Activités Française (NAF), le secteur des banques et assurances est constitué par les divisions suivantes : 65 : Intermédiation financière 66 : Assurance 67 : Auxiliaires financiers et d assurances Répartition des entreprises employeurs et des salariés par sous-secteur secteur d activité Autres auxiliaires financiers Caisse de retraite mutualistes Gestion de portefeuilles Assurance vie et capitalisation Banque centrale 0,5% 0,2% 1,7% 0,5% 1,2% 0,5% 3,1% 0,8% 1,9% 0,8% 2,6% 1,9% Entreprises Distribution de crédit Assurance relevant du code de la mutualité Organismes de placvement en valeurs mobilières Caisse d'épargne 6,7% 2,9% 6,4% 3,7% 4,0% 3,8% 6,1% 10,7% Salariés Assurance dommages Auxiliaires d'assurance 9,2% 9,3% 17,5% 19,8% 24,1% 60,1% Source : fichier ISEE/RIDET au 30 juin 2007 Unité : % 68 entreprises employeurs et 1660 salariés dans le RIDET Institut pour le Développement des Compétences 1

3 Poids du secteur des banques et des asurances dans l économie calédonienne Le secteur des banques et assurances est le huitième producteur (sur 14 secteurs) de valeur ajoutée en Nouvelle- Calédonie en 2004 selon l Institut de la Statistique et des Etudes Economiques (ISEE). La valeur ajoutée produite par ce secteur est passée de 16,6 milliards de F.CFP en 2000 à 21,2 milliards de F.CFP en 2004, soit une augmentation de 28,5%. Cependant, la part du secteur des banques et assurances dans le Produit Intérieur Brut (PIB) passe de 4,2% à 3,8% entre 2000 et Valeur ajoutée produite par le secteur des banques et assurances et PIB de la Nouvelle-Calédonie 441,9 439,4 472,0 518,5 559,5 Une valeur ajoutée qui croît quasiment au même rythme que le PIB 16,6 20,2 20,2 17,8 21, Valeur ajoutée banques et assurances PIB Focus par sous-secteur secteur La banque Masse monétaire Source : ISEE Unité : milliards de F.CFP La masse monétaire représente la quantité de monnaie en circulation dans une économie. Elle regroupe l ensemble des avoirs détenus par les agents économiques non financiers (billets, pièces, dépôts, etc.). L évolution de la masse monétaire Masse monétaire 211,4 224,3 230,4 240,9 278,9 303,0 350,0 390,2 +84,6% Source : IEOM - Unités : milliard de F.CFP, % La masse monétaire conditionne en grande partie l état et l évolution du marché bancaire en Nouvelle-Calédonie et permet en ce sens de mieux l appréhender. On note une forte hausse depuis quelques années de cet indicateur en raison notamment de l accélération de l ensemble des dépôts (+80,2 % entre 2003 et 2007). A noter que d'un point de vue macro-économique, le système bancaire conditionne à son tour la masse monétaire puisqu il crée de la monnaie en distribuant du crédit. Volumes des dépôts et des crédits L environnement économique est par ailleurs caractérisé par la dynamique de la demande de financement de biens et de services émanant des particuliers comme des entreprises. Le contexte actuel démontre que le secteur est en plein boom selon 2 indicateurs clés : La croissance des dépôts et celle des crédits. En effet, les volumes de ceux-ci connaissent depuis quelques années des rythmes de progression particulièrement soutenus. L évolution du marché (particuliers et professionnels) entre 2000 et 2007 Actifs collectés Encours de crédits Total ,0% ,4% Source : IEOM Unités : million de F.CFP, % Institut pour le Développement des Compétences 2

4 Entre 2000 et 2007, l ensemble des actifs financiers a connu une progression vive de 92,0%. Parallèlement, avec un encours global de millions de F.CFP au 31 décembre 2007, la distribution de crédits, sur la période, a augmenté de 80,4% en raison : Du dynamisme de la demande des particuliers : l encours des crédits à l habitat a augmenté de 77,3% ; Dans un contexte de grands projets, l encours des crédits à l équipement (notamment des sociétés non financières) a plus que doublé affichant une progression significative de 135,5% sur la période ; Dans le même temps, les crédits de trésorerie ont augmenté de 51,7 %. Situation bilantaire Parallèlement, la situation financière des banques montre, depuis 2000, une tendance globalement positive. Le bilan agrégé de l ensemble des établissements bancaires de la place a augmenté de plus de 50%. Ce rythme est plus important que celui observé en métropole. Total du bilan agrégé des banques FBF* au 31 décembre de chaque année ( ) 2007) Source : IEOM Unité : million de F.CFP - *FBF = Fédération Bancaire Francaise La structure globale de ce bilan agrégé est dite stable avec : une prépondérance, en 2007 comme auparavant, des opérations avec la clientèle, à l actif (76,5%) comme au passif (64,0%), une augmentation du volume des opérations de l ordre de 71,9% entre 2000 et 2007 principalement en raison, à l actif, d une augmentation des opérations de trésorerie (+88,4%) et des opérations avec la clientèle (+69,8%). La maîtrise des risques sur le marché du crédit Un autre indicateur clé, celui du risque crédits sur la clientèle, témoigne lui aussi de la bonne santé du marché bancaire en Nouvelle-Calédonie : Les risques crédits sur la clientèle (banques FBF) Créances douteuses brutes / encours total brut Source : IEOM - Unités : %, points Ecart ,6% 5,4% 5,4% 5,4% 4,7% 4,0% 3,4% 2,9% -2,7 points Le risque qui pèse sur les crédits n a donc cessé de diminuer au cours des dernières années. A noter que la Nouvelle-Calédonie est bien placée dans la zone Pacifique en terme de défaillance ; ainsi, le marché du crédit bancaire est constitué sur une base très saine. Les assurances Nous disposons de peu d informations concernant les assurances en Nouvelle-Calédonie. Institut pour le Développement des Compétences 3

5 Nombre de sociétés d assurances par type d actes en 2008 Nombre e de sociétés Vie 24 Incendie, Accidents, Risques Divers (IARD) 12 Incendie, Accidents, Risques divers et Transports (IART) 10 Transport 2 Incendie, Accidents, Risques Divers (IARD) - vie 1 Risques Divers 1 Collectives 1 Source : Direction des Affaires Economiques (DAE) - Unité : nombre Evolution du secteur perçue par les professionnels Total 51 Les données concernant l évolution du secteur perçue par les professionnels sont issues de l enquête emploi, réalisée par l Institut TNS en L enquête emploi a porté sur les 68 entreprises du secteur des banques et assurances (soit 1660 salariés). La confiance dans l avenir Les 68 entreprises ont toutes répondu qu elles étaient tout à fait confiantes en l avenir. 80% 76% 20% 24% 100% des entreprises sont confiantes dans l avenir du secteur. Assurances Tout à fait confiant Assez confiant Source : Institut TNS, enquête emploi 2008 Unité : % La perception d évolution du chiffre d affaires 100,0% 93,0% 0,0% 3,5% Assurances Croissance Décroissance Stagnation 95% des entreprises du secteur prévoient la croissance de leur chiffre d affaires. Source : Institut TNS, enquête emploi 2008 Unité : % Institut pour le Développement des Compétences 4

6 La perception d évolution du secteur d activité 100% 92% En développement 0% Assurances 8% En stagnation 93% des entreprises perçoivent leur secteur en développement. Source : Institut TNS, enquête emploi 2008 Unité : % Organisation du secteur L organisation politique et administrative L organisation du secteur des banques est principalement de la compétence de l Etat qui en exerce les missions fondamentales ; en effet, il exerce sa compétence réglementaire au regard de la monnaie, du crédit, des changes, des relations financières avec l étranger et du Trésor. et ce, par l intermédiaire de la Banque centrale des collectivités d outre-mer du Pacifique, ou Institut d Emission d Outre-Mer (IEOM) qui exerce toutes les missions fondamentales d une «Banque centrale» à l exception de la gestion des réserves de change. Le cadre réglementaire Le secteur bancaire et financier et celui des assurances sont respectivement réglementés par le Code monétaire et financier et le Code des assurances. Les articles 21 et 22 de la loi organique du 19 mars 1999 définissent les compétences respectives de l'etat et de la Nouvelle-Calédonie en la matière : En vertu de l'article 21, l'etat est compétent en matière de monnaie, crédit, changes, relations financières avec l'étranger et Trésor. En vertu de l'article 22, le Conseil d Etat a précisé que la Nouvelle-Calédonie est compétente pour réglementer le droit d assurance, qui doit s entendre comme comprenant notamment les règles applicables au contrat d assurance, le régime juridique des différentes catégories d assurances et les conditions d exercice de la profession d assureur par une personne physique ou morale. Cependant des particularités législatives encadrent l application et l applicabilité des textes en Nouvelle-Calédonie. L accompagnement financier IEOM : un rôle assimilable à une Banque centrale L Institut d Emission d Outre-Mer dispose non seulement du privilège de l émission monétaire depuis le 1er avril 1967 mais aussi d un certain nombre de compétences liées au rôle de Banque centrale qu il occupe en Nouvelle- Calédonie. Il gère la chambre de compensation de Nouvelle-Calédonie et assure le règlement des échanges interbancaires de valeurs (chèques, virements, effets de commerce ). Le solde résultant de la compensation quotidienne est inscrit au compte de chaque participant tenu par l IEOM. Il assure également le refinancement des crédits à court terme (inférieur à 1 an) destinés à couvrir les besoins de trésorerie des entreprises et celui des crédits à moyen terme permettant l acquisition d outils de production. Le dispositif de réescompte est accessible aux entreprises connues de l IEOM dont la situation financière est saine et équilibrée. L AFD : un rôle complémentaire aux banques Conformément à la mission qui lui a été confiée par l Etat, l AFD agit pour le développement économique et social des régions ultramarines. Elle joue un rôle complémentaire aux banques en re-finançant les établissements bancaires de Nouvelle-Calédonie pour la mise en place de Prêts Aidés à l Investissement (PAI) à destination des PME. Elle gère également le fonds de garantie interbancaire "SOGEFOM", qui contregarantie certains types de crédits bancaires des TPE/PME et permet ainsi un partage des risques avec les banques de la place. Institut pour le Développement des Compétences 5

7 Avis des professionnels Sur l entreprise : Des forces Les banques connaissent ces dernières années une bonne santé économique qui leur permet de continuer à prêter. Ce constat est lié à la précédente hausse des cours du nickel mais aussi à l émergence des grands projets métallurgiques qui se traduit par d importants investissements et par le recours aux entreprises de la place qui gagnent de l argent et le placent en banque, ce qui permet de prêter davantage ; Ces dernières années on assiste à un certain accroissement de la concurrence, les marges d intermédiation bancaires se sont réduites. Pour le bénéficiaire du crédit il y a eu une baisse des coûts liés à cette bataille sur les taux, mais l augmentation des commissions (facturations de services bancaires) contrebalance les effets de cette concurrence et les pertes qui y sont liées. Assurances Les principaux indicateurs qui témoignent de l évolution positive de l activité sont : l augmentation des immatriculations et la mise en place progressive de normes (qui peut pour certains être ressentie comme une faiblesse). Des faiblesses Il manque une véritable banque de développement qui soit capable d accompagner des projets risqués (entreprises innovantes) ; La bancarisation de l économie calédonienne est assez importante comparativement à celle de la métropole, mais celle-ci ne concerne que le Grand Nouméa. Assurances L absence de législation claire et adaptée demeure problématique. La compétence du contrôle des assurances appartient à la Nouvelle-Calédonie depuis 2000 mais celle-ci n est pas exercée. Il y a seulement désignation des agents spéciaux agréés par le gouvernement (arrêté du JONC) pour contrôler l activité. En guise de contre exemple, le Vanuatu a son propre Code des assurances. Il est souligné l absence de formation continue interne «groupe» à l instar de ce qu il existe en métropole dans les compagnies d assurances. Hormis une formation de base pour les nouveaux entrants, il n existe rien. Sur le secteur : Des menaces En cas de chute du cours du nickel, beaucoup de créances qui se trouvaient aujourd hui extrêmement saines pourraient demain se trouver en difficulté ; Par ailleurs, les banques étant rattachées à leurs filiales, elles s exposent aux problématiques internationales et aux risques qui pèsent sur le rationnement et les octrois de crédits. Une crise bancaire (comme celle des «sub-primes») peut éventuellement peser localement mais dans des proportions bien moindres qu au niveau international. Par ailleurs, les syndicats de salariés craignent que l automatisation et la décentralisation des back offices entrainent des licenciements ce qui représente une source potentielle de tensions et de conflits sociaux. Assurances La compétition, déjà importante, est renforcée par l entrée des banques sur le marché des produits d assurances. Ce phénomène se répercute sur les salariés puisqu une partie d entre eux souhaitent quitter les assurances pour le secteur bancaire, les conditions y étant plus attractives ; Les coûts mondiaux de réassurance sont très élevés et pourraient entraîner l arrêt d activité de certaines assurances en Nouvelle-Calédonie. Institut pour le Développement des Compétences 6

8 Des opportunités L automatisation de plus en plus poussée de certaines tâches et la diminution du nombre de guichets aboutissent au transfert d un certain nombre de personnels qui était auparavant dévolu au secteur administratif vers des emplois de commerciaux. A terme, les emplois seront plus qualifiés ; En terme de compétences techniques, les banques optent de plus en plus vers une décentralisation des back offices vers des sites uniques, et s orientent vers des métiers de front office (commercial et gestion de patrimoine), et ceci quelle que soit la banque, confirmant ainsi une tendance mondiale. C est une transition qui, en Nouvelle-Calédonie, n atteint cependant pas le rythme mondial ; La priorité des banques en Nouvelle-Calédonie est donc d achever cette transition c'est-à-dire l optimisation des back offices avec des raccordements des systèmes informatiques ; Le projet métallurgique du Nord offre des perspectives de développement des agences bancaires en Province Nord et principalement sur Koné. Population active et le profil des salariés du secteur des banques et assurances Composition de la population active en 2007 Salariés; 1655 Le secteur des banques et assurance concentre 2,2% des salariés de Nouvelle-Calédonie. Demandeurs d'emploi; 16 Indépendants; 176 Sources : ISEE, CAFAT, IDC-NC Unité : nombre Formes juridiques des entreprises SARL; 39,7% Entreprise individuelle; 5,9% Autres formes juridiques; 22,1% SA SAS; 29,4% EURL; 1,5% GIE; 1,5% La majorité des entreprises du secteur banques et assurances sont des Sociétés Anonymes à Responsabilité Limitées (SARL), des Sociétés Anonyme (SA) et des Sociétés par Actions simplifiée (SAS). Source : Enquête emploi, Institut TNS 2008 données extrapolées - Unité : % Répartition géographique des entreprises La majorité des sièges sociaux des entreprises est concentrée en province Sud et particulièrement à Nouméa. La répartition géographique des salariés est plus significative puisque elle prend en compte celle des agences bancaires et d assurances et pas seulement les sièges sociaux des entreprises. Institut pour le Développement des Compétences 7

9 Répartition géographique des salariés Province Sud; 94,2% 88,6% des salariés exercent leur fonction sur la commune de Nouméa. Province Iles Loyauté; 1,2% Province Nord; 4,6% Source : Enquête emploi, Institut TNS 2008 données extrapolées - Unité : % Répartition par genre des salariés 34,0% 66,0% En considérant les âges moyens, il apparaît que la moyenne d âge des salariés est plus bas que celui des non salariés : 40 ans pour les salariés et 50 ans pour les non salariés Hommes Femmes Source : enquête emploi 2008 Institut TNS Unité : % Niveaux de formation des salariés NRP/NSP; 24,4% sans diplôme; 2,9% niveau I; 3,8% niveau II; 7,8% niveau III; 15,5% 72,7% des salariés sont diplômés. niveau V; 18,1% niveau IV; 27,5% Source : enquête emploi 2008 Institut TNS Unité : % La très grande majorité des effectifs du secteur est diplômée (proportionnellement plus dans l assurance que dans la banque). On peut noter par ailleurs que les femmes ayant des diplômes de niveaux IV et V sont sensiblement plus nombreuses que les hommes ayant les mêmes niveaux d Education Nationale. Institut pour le Développement des Compétences 8

10 L ancienneté des salariés Les salariés du secteur de la banque et de l assurance ont une ancienneté moyenne plutôt élevée, de 13 ans (11,6 pour les non salariés). L ancienneté varie selon le sous-secteur considéré, mais reste sensiblement le même. Les contrats des d salariés 95,4% 97,0% CDI 4,6% Temps complet 3,0% CDD Temps partiel Type de contrat Durée de travail Source : enquête emploi 2008 Institut TNS Unité : % 95,4% des salariés du secteur des banques et assurances sont en CDI. De la même manière, 97,0% travaillent à temps plein. L emploi est donc stable avec la quasi-totalité des contrats en CDI à temps plein. Métiers exercés par les salariés des banques et assurances (enquête emploi 2008) Métiers spécialisés* : 76% des salariés Dont : Conseiller de clientèle bancaire : 17,4% Agent administratif des opérations bancaires : 15,6% Responsable d'exploitation bancaire : 14,2% Conseiller en assurances : 14,1% Agent de banque contact clientèle : 12,1% Métiers non spécialisés* : 24% des salariés Dont : Technicien des services comptables : 13,2% Dirigeant de PME/PMI : 8,7% Assistant de direction : 8,1% Informaticien d'exploitation : 6,1% Collaborateur juridique : 5,5% * Métiers spécialisés : présent uniquement dans le secteur étudié. * Métier non spécialisé : métier présent dans plus de 4 secteurs. Il n existe aucun métier diffus (représenté dans 1 à 4 secteurs différents) dans le secteur des banques et assurances et la plupart des salariés travaillent dans des métiers spécialisés. Marché de l emploi La demande d emploi en 2007 En 2007, la demande d emploi du secteur était égale à 195 demandeurs d emploi sur l année entière, soit 16 personnes en moyenne mensuelle (DEFM). Les métiers demandés étaient les suivants : Agent de banque contact clientèle (62,4%) Agent administratif des opérations bancaires (18,7%) Conseiller de clientèle bancaire (6,3%) Attaché commercial bancaire (6,3%) Conseiller en crédit bancaire (6,3%) Les entreprises du secteur précisent qu elles reçoivent beaucoup de candidatures ; le chiffre de 16 demandeurs d emploi sur l année est sans doute sous-estimé pour le secteur. Institut pour le Développement des Compétences 9

11 Répartition géographique g des demandeurs d emploi Province Sud; 88,7% Province Nord; 10,8% Province Îles Loyauté; 0,5% Sur 16 demandeurs d emploi en moyenne mensuelle dans le secteur banques et assurances en 2007, 15 sont diplômés (94%). Parmi eux, 8 (soit 50%) ont un diplôme lié au secteur. Source : IDC-NC Unité : % L offre d emploi en 2007 En 2007, les structures provinciales ont enregistré 58 offres d emplois dans le secteur des banques et assurances, réparties comme suit : Conseiller en assurances (64,0%) Agent administratif d'assurances (10,3%) Agent de banque contact clientèle (6,9%) Conseiller en crédit bancaire (5,2%) Conseiller de clientèle bancaire (3,4%) Attaché commercial bancaire (3,4%) Chargé d'études actuarielles en assurances (3,4%) Rédacteur juridique en assurances (1,7%) Conseiller financier bancaire (1,7%) Répartition géographique des offres d emploi Province Sud; 91,4% Typologie des contrats proposés : 55% d offres à temps plein, 60% d offres en CDI. Province Nord; 6,9% Province Iles Loyauté; 1,7% Source : IDC-NC Unité : % Résultats de l enquête emploi auprès des entreprises réalisée en 2008 Lors de l enquête emploi, les entreprises du secteur des banques et assurances ont été sollicitées pour exprimer leurs besoins en termes d effectifs et de métiers sur les 5 années à venir. Il leur a été demandé de distinguer leurs besoins liés à des départs à la retraite (remplacements) de ceux liés à des créations de postes. On dénombre 111 besoins (52 créations + 59 départs à la retraite). Parmi ces besoins, 92 sont des métiers spécialisés. 92 besoin en métiers spécialisés : Dont : 21 Agents de banque contact clientèle 20 Conseillers en assurances 12 Agents administratifs des opérations bancaires 10 Conseillers de clientèle bancaires 6 Responsables d'exploitation bancaires 19 besoins en métiers non spécialisés : Dont : 3 Secrétaires bureautique polyvalents 3 Chargés d'analyses et de développement 2 Techniciens des services administratifs 2 Cadres de l'audit et du contrôle comptable et financier 2 Collaborateurs juridiques Institut pour le Développement des Compétences 10

12 Parmi les autres études déjà réalisées, on identifie 5 besoins en métiers diffus ou spécialisés du secteur des banques et des assurances ; il s agit de 5 besoins concernant le métier d agent administratif d assurances recensés dans les secteurs «Administration» (3) et «Santé et Action Sociale» (2). Formations, les établissements et les diplômés en 2007 En Nouvelle-Calédonie, il existe 2 formations permettant d accéder directement aux métiers spécialisés du soussecteur de la Banque et appartenant au même groupe de la Nomenclature des Spécialités de Formation (NSF) : 313 Finances, banque, assurances En revanche du côté des assurances, aucune formation n y est spécifiquement dédiée. Ne sont retenus que les diplômés des formations dédiées au secteur de la banque : Formation continue : le BP Banque et le diplôme de l ITB. Tableau 28 : L évolution du nombre de d diplômés Formations dédiées Source : IDC-NC Unité : nombre Evolution du nombre de diplômés Niveau IV (BAC) Niveau I (BAC+5) Source : IDC-NC Unité : nombre Sur l ensemble de la période , les effectifs formés dans le domaine diminuent globalement. En 2007, on compte 6 diplômés (ceux du BP Banque). Pour le secteur des banques et assurances, le programme de formation propose deux diplômes de niveau IV (BP Banque) et niveau I (ITB). En moyenne, sur les cinq dernières années : 82,1% ont obtenu un diplôme de niveau IV ; 17,9% ont obtenu un diplôme de niveau I. Entre 2008 et 2010, 29 étudiants sont susceptibles de rentrer en Nouvelle-Calédonie avec un diplôme lié au secteur des banques et assurances. Près de la moitié auront un diplôme de niveau III, les autres se partagent entre les niveaux II et I. Institut pour le Développement des Compétences 11

13 Besoins globaux par métier Les besoins sont ceux exprimés par les professionnels des banques et assurances lors de l enquête emploi (2008), extrapolés sur 5 ans ; les demandeurs d emploi sont des diplômés du secteur extrapolés sur la même période. Besoins Besoins Diplômés Demandeurs Solde autres Formations d emploi secteurs dédiées Tendance Agent administratif des opérations bancaires Agent de banque contact clientèle Conseiller de clientèle bancaire Conseiller financier bancaire Attaché commercial bancaire Responsable d exploitation bancaire Concepteur gestionnaire de produits bancaires Conseiller en crédit bancaire Opérateur sur marchés de capitaux Agent administratif d assurances Rédacteur juridique en assurances Conseiller en assurances Technicien souscripteur d assurances Responsable d exploitation en assurances Concepteur animateur développement de produits d assurances Inspecteur technico-administratif d assurances Inspecteur délégué aux indemnisations en assurances Chargé d études actuarielles en assurances Opérateur sur marchés de capitaux Agent général, courtier Source : IDC-NC Unité : nombre Synthèse de l adéquation Excédentaires Responsable d exploitation bancaire Conseiller de clientèle bancaire Agent administratif des opérations bancaires Partiellement couverts Conseiller en crédit bancaire Agent de banque contact clientèle Inspecteur technico-administratif d assurances Concepteur animateur développement de produits d assurances Rédacteur juridique en assurances Technicien souscripteur d assurances Déficitaires Conseiller financier bancaire Agent administratif d assurances Conseiller en assurances Pour certains métiers, l adéquation ne fait ressortir aucun besoin : Attaché commercial bancaire, Concepteur gestionnaire de produits bancaires, Opérateur sur marchés de capitaux, Responsable d exploitation en assurances, Inspecteur délégué aux indemnisations en assurances, Chargé d études actuarielles en assurances, Agent général, courtier. Institut pour le Développement des Compétences 12

14 Quelques pistes de préconisations Quelques pistes de préconisations La grande majorité des besoins du secteur est comblée par le vivier existant en Nouvelle-Calédonie. Seuls 3 métiers restent déficitaires c est le cas de conseiller financier bancaire, d agent administratif d assurances ainsi que conseiller en assurances. Cependant ce déficit est relativement faible et peut largement compter sur le retour des diplômés calédoniens qui étudient hors de Nouvelle-Calédonie ou sur une formation en interne comme c est souvent le cas dans ce secteur, pour être comblé. Cependant, pour les métiers excédentaires, ne représentant pas non plus un grand nombre de personnes, il convient de rester prudent quant aux besoins qui seront amenés à évoluer à l avenir ; le maintien des aides (Bourses, BTF, etc.) est susceptible de pallier à de futurs manques éventuels. Principaux problèmes rencontrés par les entreprises dans leurs politiques de recrutement Les deux thèmes principaux qui ressortent comme problématiques du recrutement en général sont l insuffisance du vivier qualifié et l incompatibilité du profil recherché. Il semble qu il y ait une inadéquation manifeste entre les postes offerts par les banques et les assurances et le niveau des candidats postulant à ces postes. Il y a peu de turnover grâce sans doute aux salaires attractifs, aux formations motivantes et à l évolution des carrières ce qui peut expliquer qu il n y ait pas de grands besoins en recrutement (seulement quelques personnes par an). En revanche les besoins de technicité et de polyvalence sont importants. Certaines banques pratiquent la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) : il s agit d un système de gestion des carrières dans lequel sont réalisés des diagnostics et des anticipations sur les évolutions de l activité bancaire en termes de compétences et donc en termes de métiers. Cependant ce système de gestion n est pas généralisé dans le secteur. Pour les assurances, il n existe pas, contrairement à ce qui se pratique en métropole, de système de formation en interne. En effet, les délégations de compagnies d assurance n ont pas les moyens suffisants pour mettre en place des formations ou pour envoyer des collaborateurs se former en France. Seules les grandes compagnies d assurances pratiquent de la formation collective pour les nouveaux entrants mais il n existe pas de formation continue. Ce manque est remplacé par de la formation sur le tas ce qui n est pas idéal. Il y a donc un fort manque d accompagnement des assurances sur le plan de la formation. Amélioration de la formation souhaitée par les entreprises De façon globale, les entrepreneurs insistent sur l acquisition au cours des différents stades de formation de connaissances pratiques sur la réalité concrète de l entreprise tant sur l expérience métier que sur une attitude à avoir au sein de l entreprise (motivation, acceptation de recevoir des ordres ). Les besoins en savoir-être sont récurrents et communs à l ensemble des secteurs de l économie calédonienne. Pour le BP banque : il y a un problème de résultats, les jeunes sont peu motivés et manquent d assiduité. Pourtant, d après les employeurs, ce cursus est parfaitement adapté aux métiers de la banque car animé par des formateurs intervenants des banques. Mais demeurent les problèmes de motivation et d accompagnement des managers (formateurs). Pour le diplôme de l ITB : les étudiants, futurs encadrants, sont très motivés, mais la formation est difficile et demande un vrai investissement personnel. A coté de ces formations, certaines banques ont mis en place une équipe interne d animateurs à temps plein qui accompagnent les commerciaux. Ils supléent ainsi le manque de formation spécifique en Nouvelle-Calédonie. D après les employeurs, il est difficile de mettre en place et d organiser une formation compte tenu de spécificité et de la ponctualité de la demande. Les banques attendent des pouvoirs publics qu ils interviennent sur la formation initiale et les bac+2 car un recrutement à un niveau inférieur à bac+2 ne permet pas de promotion interne à un salarié. Il faut donc ouvrir des perspectives et permettre aux banques de prendre le relais avec le BP Banque et l ITB. Le programme «Cadre avenir» est par ailleurs très apprécié par les banques. Côté assurances, celles-ci insistent sur leur manque de conseillers en assurances de niveau III, formés et expérimentés. Selon un assureur de la place, la CCI envisagerait de créer un BTS Assurance en alternance. Institut pour le Développement des Compétences 13

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