BILAN DES ÉMISSIONS POUR LE DÉPARTEMENT DES HAUTS-DE-SEINE. Mars 2012

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BILAN DES ÉMISSIONS POUR LE DÉPARTEMENT DES HAUTS-DE-SEINE. Mars 2012"

Transcription

1 BILAN DES ÉMISSIONS POUR LE DÉPARTEMENT DES HAUTS-DE-SEINE Mars 2012

2 BILAN DES EMISSIONS POUR LE DEPARTEMENT DES HAUTS-DE-SEINE DONNEES DE BASE ANNEE 2008 Mars 2012 Bilan réalisé par : Airparif, association de surveillance de la qualité de l air en Pôle Etudes 7, rue Crillon PARIS Tél. : Fax : Pour : Conseil Général des Hauts-de-Seine Le bon geste environnemental : n'imprimez ce document que si nécessaire et pensez au recto-verso!

3 Sommaire 1 - L INVENTAIRE DES EMISSIONS : DEFINITIONS ET UTILISATIONS SPECIFICITES DEPARTEMENTALES BILAN D EMISSIONS DES POLLUANTS ATMOSPHERIQUES OXYDES D AZOTE (NOX) PARTICULES (PM10) PARTICULES (PM2.5) COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS NON METHANIQUES (COVNM) DIOXYDE DE SOUFRE (SO 2 ) GAZ A EFFET DE SERRE (GES : CO 2, CH 4, N 2 O) CONTRIBUTION DES EMISSIONS DU DEPARTEMENT AUX EMISSIONS FRANCILIENNES 9 5 CARTOGRAPHIES DES EMISSIONS EN ILE-DE-FRANCE OXYDES D AZOTE (NOX) PARTICULES (PM10) PARTICULES (PM2.5) COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS NON METHANIQUES (COVNM) GAZ A EFFET DE SERRE (GES) CONCLUSIONS 12 7 POUR EN SAVOIR PLUS 12 1

4 Glossaire Généralités : Emissions : rejets de polluants dans l atmosphère. Modélisation : calcul des niveaux de pollution à partir d outils informatiques. Polluants : NOx : Oxydes d azote PM10 : Particules de diamètre inférieur à 10 m PM2,5 : Particules de diamètre inférieur à 2,5 m COVNM : Composés organiques volatils non méthaniques SO 2 : Dioxyde de soufre GES : Gaz à effet de serre (inclut le dioxyde de carbone (CO 2 ), le méthane (CH 4 ), et le protoxyde d azote(n 2 O)). Dans le total GES, les émissions de CH 4 et de N 2 O sont ramenées en équivalent CO 2, en fonction de leur pouvoir de réchauffement global. 2

5 Bilan des émissions pour le département des Hauts-de-Seine Données de base année 2008 Le bilan des émissions à l échelle départementale pour l année 2008 est effectué à partir de l inventaire régional des émissions. Il repose sur des méthodologies de calcul des émissions actualisées en Les émissions relatives aux années précédentes, calculées par AIRPARIF, ne sont donc pas directement comparables avec celles présentées ici. Les principales évolutions méthodologiques mises en place en 2011 pour l inventaire 2008 sont les suivantes : - Amélioration des méthodologies de calcul des émissions du secteur avec notamment une meilleure prise en compte du chauffage au bois. - Amélioration des méthodologies de calcul des émissions du secteur industriel, notamment une répartition affinée des installations dans les secteurs d activités. 1 - L inventaire des émissions : définitions et utilisations L inventaire des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre est réalisé à partir d un recensement le plus exhaustif possible de l ensemble des émissions, sur une période et un domaine géographique définis, ici l année 2008 et le département des Hauts-de-Seine. Cela nécessite l identification de toutes les sources de polluants atmosphériques. Les sources émettrices de polluants dans l'atmosphère sont nombreuses et concernent aussi bien les secteurs relatifs aux activités humaines (industrie, chauffage, agriculture, transports...) que les sources naturelles (végétation, forêts ). L inventaire des émissions est établi pour les besoins suivants : - Alimenter les outils de modélisation régionale ou urbaine. - Faire des bilans d émissions par activité et/ou secteur géographique et identifier les évolutions. - Servir de base à la construction de scénarii prospectifs. Les sources sont regroupées en 9 grandes catégories, pour lesquelles les émissions prises en compte sont précisées ci-dessous : - : émissions liées au trafic routier et aux stations services. Les émissions du trafic routier comprennent celles issues de la combustion des moteurs (émissions à chaud et démarrage à froid) ainsi que les émissions liées à l évaporation de carburant (dans le réservoir mais aussi dans le circuit de distribution du carburant), d une part, et à l usure des équipements (freins, pneus et routes), d autre part. Les émissions de particules liées à la remise en suspension des particules au sol lors du passage des véhicules ne sont pas prises en compte. - Plates-formes aéroportuaires : émissions des avions et des activités au sol (hors trafic routier induit en zone publique des plates-formes) pour les plates-formes de Roissy et Orly (les données relatives à l aéroport du Bourget ne sont pas disponibles). - : émissions du trafic ferroviaire (hors remise en suspension des poussières) et du trafic. - : émissions liées au chauffage des habitations et des locaux du secteur, ainsi que celles liées à la production d eau chaude et aux installations de chauffage urbain. Les habitations comprennent les maisons individuelles et les appartements pour le secteur résidentiel ; les établissements de santé, d enseignement, de sports et loisirs, les commerces, les cafés hôtels et restaurants, les bureaux, les habitats communautaires et les locaux liés aux activités de transport (logistique, gares,..) pour le secteur. Les émissions liées à l utilisation domestique de solvants sont également considérées : application de peinture, utilisation de produits cosmétiques, de nettoyants, 3

6 - : émissions liées aux procédés de production ainsi que celles liées au chauffage des locaux des entreprises. Les procédés industriels pris en compte sont principalement ceux mis en œuvre dans les aciéries, l industrie des métaux et l industrie chimique ; les émissions dues aux chantiers et travaux du BTP, aux carrières ainsi que celles liées aux utilisations industrielles de solvants (application de peinture, dégraissage, nettoyage à sec, imprimeries, application de colles ). - Production d énergie : émissions dues aux centrales thermiques de production d électricité, aux installations d extraction du pétrole et aux raffineries. - : émissions liées aux usines d incinération de ménagers et industriels, aux centres de stockage de ultimes et stabilisés de classe 2, et aux installations de traitement des eaux. - agricole : émissions des terres cultivées, des engins agricoles, ainsi que celles provenant des activités d élevage et des installations de chauffage de certains bâtiments (serres, ). Les émissions de particules lors des activités de labours et de moissons sont également prises en compte. - Emissions naturelles : émissions des végétaux et des sols des zones naturelles (hors zones cultivées). Les résultats concernent, pour l année 2008, les oxydes d azote, les particules PM10 et PM2.5, les COVNM, le dioxyde de soufre et les gaz à effet de serre. En, le dioxyde d'azote (lié aux émissions d oxydes d'azote), les PM10 et les PM2.5 sont les polluants atmosphériques les plus problématiques. Les émissions de gaz à effet de serre présentées ici sont uniquement les émissions directes, c est-à-dire celles directement produites sur le territoire départemental. Elles n intègrent pas les émissions générées à l extérieur par des activités du département, ni celles de combustibles fossiles utilisés hors du territoire pour produire de l énergie consommée à l intérieur du territoire. Les bilans concernent la ventilation départementale par secteur d activité et par polluant pour l échelle temporelle annuelle. La contribution du département aux émissions régionales annuelles est ensuite présentée. 2 - Spécificités départementales HAUTS-DE-SEINE Population Département 92 Source : INSEE Le tableau ci-après présente quelques éléments statistiques territoriaux et démographiques des Hauts-de- Seine. Ile-de- France % Département / Population en % Densité de la population (nombre d'habitants au km²) en Superficie (en km²) % Logement Département Ile-de- France % Département / Nombre total de logements en % Établissements Nombre d'établissements actifs au 31 décembre 2009 Département Ile-de- France % Département / Part de l'agriculture, en % Part de l'industrie, en % Part de la construction, en % Part du commerce, transports et services divers, en % Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en %

7 Le département des Hauts-de-Seine est l un des trois départements de la petite couronne francilienne, et est entièrement intégré dans l agglomération parisienne. Il couvre une superficie de 176 km², soit 1.5% de la superficie régionale, mais abrite néanmoins 13% de la population francilienne, ce qui lui confère une densité de population d environ 8800 habitants/km², la plus élevée des trois départements de petite couronne. Ce département est relativement urbanisé malgré la présence de quelques bois et forêts. La surface agricole utile constitue seulement 3% de la superficie du département, l agriculture étant beaucoup plus développée en grande couronne. Le département accueille un grand nombre de sièges sociaux d entreprises prestigieuses françaises et internationales, avec notamment le quartier d affaires de la Défense. De ce fait, l activité de biens et de services y est largement représentée. L activité industrielle est particulièrement spécialisée dans la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques, et l industrie pharmaceutique. Concernant l infrastructure routière, le département est entouré par des axes majeurs à fort trafic comme à l'est par le Boulevard Périphérique de Paris, ou à l'ouest et au sud par l'autoroute A86 (super-périphérique parisien). Il est irrigué par la N118 au départ de Sèvres, l'a13 depuis Paris près de Boulogne-Billancourt, l'a14 depuis Paris près de Neuilly-sur-Seine et la N315 à Gennevilliers. 3 - Bilan d émissions des polluants atmosphériques Les tableaux ci-dessous présentent le bilan des émissions 2008, en tonnes, par polluant et par secteur d activité, pour le département (en bleu) et pour l (en violet). Emissions NOx, PM10, PM2.5, COVNM, SO 2 en tonnes ; GES en kilotonnes Hauts-de-Seine (92) NOx (t) PM10 (t) PM2.5 (t) COVNM (t) SO2 (t) GES (kt) Plate-forme aéroportuaire Emissions naturelles Total départemental En raison de l absence d aéroport dans le département, il n y a pas d émissions générées par le secteur des activités aéroportuaires. Emissions NOx, PM10, PM2.5, COVNM, SO 2 en tonnes ; GES en kilotonnes NOx (t) PM10 (t) PM2.5 (t) COVNM (t) SO2 (t) GES (kt) Plate-forme aéroportuaire Emissions naturelles Total Les graphiques ci-après représentent la répartition des émissions en 2008 par polluant et par secteur d activité, dans le département (à gauche), au regard de la répartition des émissions à l échelle de l (à droite). 5

8 3.1 Oxydes d azote (NOx) Emissions de NOx en 2008 Département % 36% 0.4% 16% 3% Plate-forme aéroportuaire 8% 50% Emissions de NOx en % 5% 24% Les émissions de NOx du département sont largement dues au trafic routier (46%) et au résidentiel- (36%), puis à l industrie (16%). En effet, les nombreux axes majeurs qui maillent le département, les nombreuses activités s (quartier d affaires de La Défense notamment), et la population élevée, représentent des contributeurs importants. La part d émissions liées aux autres secteurs d activités est relativement faible (moins de 5%). A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de NOx se répartissent comme suit : trafic routier : 63% ; : 30% ; industrie : 8%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution du trafic routier ; une plus forte contribution du résidentiel- et de l industrie. 3.2 Particules (PM10) 27% Emissions de PM10 en 2008 Département % 0. Plate-forme aéroportuaire 25% Emissions de PM10 en % 29% 0, 27% Sur le département, les émissions de particules PM10 sont principalement réparties sur les 3 secteurs du (3), de l industrie (40%) et du trafic routier (27%). Dans le seul secteur de l industrie (40%), 63% des émissions de PM10 sont dues aux chantiers et BTP. A l échelle de l, les émissions sont réparties essentiellement sur les secteurs de l industrie (29%), du résidentiel- (27%), du trafic routier (25%) et de l agriculture (14%). Les autres secteurs sont de relativement faibles contributeurs aux émissions régionales de PM10. A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de PM10 se répartissent comme suit : trafic routier : 3 ; résidentiel et : 33% ; industrie : 36%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution du trafic routier ; une plus forte contribution de l industrie et des chantiers ; une contribution équivalente du résidentiel-. 6

9 3.3 Particules (PM2.5) Emissions de PM2.5 en 2008 Département 92 27% 27% 45% 0. Plate-forme aéroportuaire 3% 26% Emissions de PM2.5 en % 2 40% 0, Les émissions de particules PM2.5 dans le département sont réparties dans les plus fortes proportions sur les secteurs du (45%), du trafic routier (27%) et de l industrie (27%). Les autres secteurs interviennent très faiblement dans les émissions de PM2.5. Au niveau régional, les contributeurs les plus importants aux émissions de PM2.5 sont aussi le résidentiel (40%), le trafic routier (26%) et l industrie (2). A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de PM2.5 se répartissent comme suit : trafic routier : 30% ; résidentiel et : 45% ; industrie : 25%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, des contributions à peu près équivalentes de ces secteurs. 3.4 Composés organiques volatils non méthaniques (COVNM) 0. Emissions de COVNM en 2008 Département 92 23% 30% 46% 0.4% Emissions naturelles Emissions naturelles 15% Plate-forme aéroportuaire ferroviaire et 0, 0, 2 Emissions de COVNM en % 35% 0, Le secteur de l industrie est le principal contributeur aux émissions de COVNM sur le département (46%). Les COVNM sont émis notamment par les industries utilisant des solvants. Les émissions sont ensuite réparties entre le secteur (30%) et le trafic routier (23%), émetteur de COVNM notamment par l évaporation des carburants. Les autres secteurs d activités sont relativement peu émetteurs de COVNM. En, les émissions naturelles représentent un contributeur non négligeable de COVNM (15%). A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de COVNM se répartissent comme suit : industrie : 43% ; résidentiel- : 30% : trafic routier : 27%. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, des contributions à peu près équivalentes de ces différents secteurs. 7

10 3.5 Dioxyde de soufre (SO 2) 0.3% Emissions de SO 2 en 2008 Département 92 69% 0. 28% Plate-forme aéroportuaire 0,3% 39% Traitement des 4% Emissions de SO2 en Emissions naturelles 0% 4 Dans le département, la part du secteur est prépondérante dans les émissions de dioxyde de soufre (69%). Elle est notamment due au chauffage des logements et des locaux, en partie assuré par les chaufferies urbaines. Hormis l industrie, qui participe pour 28% aux émissions de SO 2, les autres secteurs sont de relativement faibles contributeurs. Au niveau régional, la répartition des émissions de dioxyde de soufre est très différente, principalement à parts équivalentes entre les secteurs de l énergie (4) et le (39%), puis en moindres proportions pour les autres secteurs d activités. Le secteur de l industrie représente 1 des émissions de SO 2. Ce sont essentiellement les centrales thermiques de production d électricité et le chauffage qui émettent le plus de SO 2. A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de SO 2 se répartissent comme suit : résidentiel- : 70% ; industrie : 20% ; le secteur de l énergie, dont les émissions de SO 2 sont négligeables dans le département, n est pas considéré. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une plus forte contribution de l industrie ; une contribution équivalente du résidentiel-, une moindre contribution des autres secteurs émetteurs de SO Gaz à effet de serre (GES : CO 2, CH 4, N 2O) Les gaz à effet de serre (GES) ont la propriété de laisser passer la lumière du soleil vers la terre et de capter une partie du rayonnement infrarouge qui est émis à nouveau par la terre vers l espace, provoquant ainsi le réchauffement des basses couches de l atmosphère. En plus de l effet de serre naturel, l accroissement des émissions anthropiques de gaz à effet de serre des dernières décennies a créé un effet de serre anthropique (lié aux activités humaines), du changement climatique observé aujourd hui. Les gaz à effet de serre pris en compte dans l inventaire francilien d AIRPARIF sont le CO 2, le CH 4 et le N 2 O, qui correspondent à 98% des émissions franciliennes de GES recensées par le CITEPA. Les émissions de ces trois polluants sont considérées en équivalent CO 2 (les émissions des différents gaz sont corrigées de leur pouvoir de réchauffement par rapport à celui du CO 2 ). Il est tenu compte uniquement des gaz et non des particules qui peuvent aussi contribuer à l effet de serre. 8

11 0. 18% Emissions de GES en 2008 Département % 0. 18% 7% 6% Plate-forme aéroportuaire 4% 0,3% 2 Emissions de GES en % 10% 1 A l échelle du département, le contributeur le plus important aux émissions de GES est le secteur (57%, notamment CO 2 lié au chauffage), puis le trafic routier et l industrie (18% chacun). Les autres secteurs contribuent plus modérément, chacun pour moins de 10%. A l échelle régionale, la répartition des émissions de GES est également dominée par le secteur (4) et le trafic routier (2). A l échelle régionale, si l on ne considère que les secteurs représentés de façon significative dans le département (plus de ), les émissions de GES se répartissent comme suit : résidentiel- : 49% ; trafic routier : 26% ; traitement des : 13% ; industrie : 1. Dans le département, on a donc, par rapport à la région, une moindre contribution du trafic routier et du secteur du traitement des ; une plus forte contribution du résidentiel- et de l industrie. 4 - Contribution des émissions du département aux émissions franciliennes Le tableau ci-après présente la contribution des émissions du département dans l, par secteur d activité et par polluant. Contribution des émissions du département à l'échelle régionale Hauts-de-Seine (92) NOx PM10 PM2.5 COVNM SO2 GES 0.6% 0.0% 0.0% 4% 0.0% 0.5% 2 10% 9% % 3% 0% 0% 6% 14% 9% 9% 1 14% 14% 8% 8% 8% 9% 8% 8% 6% 7% 7% 6% 7% 6% Plate-forme aéroportuaire 0.0% 0.0% 0.0% 0.0% 0.0% 0.0% % % 0. Emissions naturelles 0.4% % - 0.0% Contribution du département / 9% 7% 7% 9% 8% 10% Par rapport à l ensemble des émissions régionales, les émissions des Hauts-de-Seine représentent : - 9% des émissions franciliennes de NOx et de COVNM - 7% des émissions de PM10 et de PM2.5-8% des émissions de SO 2-10% des émissions de Gaz à Effet de Serre A l échelle régionale, le département des Hauts-de-Seine représente un contributeur modéré aux émissions des différents polluants. 9

12 5 Cartographies des émissions en Les cartes suivantes représentent une répartition spatialisée des émissions sur la région, pour différents polluants, à la résolution de 1 km², en tonnes/km²/an. 5.1 Oxydes d azote (NOx) Cette cartographie permet d observer des émissions de NOx plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération (en bordure de Paris) - aux abords des grands axes de circulation dont le tracé apparaît clairement - aux abords de la plate-forme aéroportuaire (au nord-est du département) - dans les communes où sont implantées de grandes industries, apparaissant sous forme d émetteurs ponctuels. 5.2 Particules (PM10) 10

13 Comme pour les NOx, on observe des émissions de PM10 plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération - aux abords des grands axes de circulation dont le tracé apparaît, bien que de façon moins nette que pour les NOx - dans les communes où sont implantées de grandes industries, sur une zone réduite 5.3 Particules (PM2.5) Le motif des émissions de PM2.5 est comparable à celui des PM10, avec des densités plus faibles. 5.4 Composés organiques volatils non méthaniques (COVNM) Cette cartographie permet d observer des émissions de COVNM plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération 11

14 - aux abords des grands axes de circulation mais de façon moins nette que pour les NOx - dans les communes où sont implantées de grandes industries, apparaissant sous forme d émetteurs ponctuels - en densité plus modérée mais visible, dans les zones rurales et les zones naturelles, au niveau des massifs forestiers. 5.5 Gaz à effet de serre (GES) Les émissions de GES apparaissent comme plus importantes : - à mesure qu on approche du centre de l agglomération - aux abords des grands axes de circulation et aux abords des plates-formes aéroportuaires, - dans les communes où sont implantées de grandes industries, apparaissant sous forme d émetteurs ponctuels. 6 - Conclusions Le département des Hauts-de-Seine fait partie de la petite couronne francilienne. Il est entièrement intégré dans l agglomération parisienne. Sa surface représente 1.5% de la superficie régionale. Sa densité de population est élevée, et il est traversé par de nombreux axes majeurs de circulation, entre autres des autoroutes et des routes nationales. Plusieurs secteurs d activités ne sont pas ou peu représentés sur ce département : production centralisée d électricité, installations de traitement des, aéroports. Les émissions sont donc principalement réparties sur les secteurs, trafic routier et industrie. Ce dernier secteur compte majoritairement des chantiers et travaux publics. Tous secteurs confondus, le département Hauts-de-Seine représente un contributeur modéré par rapport au niveau régional. 7 Pour en savoir plus Airparif Surveillance de la qualité de l'air en : Inventaire des émissions en Résultats - Année 2008 : 12

15 Emissions : air et climat : 13

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère

Plus en détail

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle

Plus en détail

Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne

Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d

Plus en détail

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...

Plus en détail

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2 FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée

Plus en détail

L exercice de prospective de l ADEME «Vision 2030-2050» Document technique 1 / 297

L exercice de prospective de l ADEME «Vision 2030-2050» Document technique 1 / 297 L exercice de prospective de l ADEME «Vision 2030-2050» Document technique 1 / 297 INTRODUCTION 10 SYNTHESE 12 PARTIE A LES ENJEUX D AUJOURD HUI ET DE DEMAIN 13 1. Les enjeux énergétiques et environnementaux

Plus en détail

Résumé non technique. Tableaux d estimation

Résumé non technique. Tableaux d estimation Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006

Plus en détail

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Index alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation.

Index alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Index alphabétique Commission permanente du 09/09/2005 Index alphabétique Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Accompagnement

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE

AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE

LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LIVRET D'ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE Passer de citoyen témoin à citoyen acteur en intégrant la préservation de l environnement au quotidien, c est utile et c est possible

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation

Plus en détail

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012 CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

NOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE

NOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE CONSTATS ET ENJEUX CHAPITRE 1 - NOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE GRANDEURS - CDDRA DE LA DRÔME DES COLLINES - - Juin 2011 POINT INFORMATION ENERGIE 44 RUE FAVENTINES, BP 1022, 26010 VALENCE CEDEX tél. 04

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président

Plus en détail

Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles

Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles Check-list à l'attention des chargés d'étude réalisant le Porter à Connaissance Cocher les lignes si le territoire

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse

Plus en détail

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport

Plus en détail

Eco-quartier 2011 Point 4 1/8

Eco-quartier 2011 Point 4 1/8 Eco-quartier Carte d identité et passeports énergie-climat Appel à projets éco-quartier 2011 - Point 4. Savoir gérer et évaluer son projet et son quartier La mise en place d un éco-quartier ne peut se

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE

Plus en détail

Certu. Les zones 30 en France Bilan des pratiques en 2000

Certu. Les zones 30 en France Bilan des pratiques en 2000 Certu Les zones 30 en France Bilan des pratiques en 2000 Pourquoi des zones 30? Introduites dans le code la route par le décret du 29 novembre 1990, les zones 30 délimitent des secteurs de la ville où

Plus en détail

RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT

RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne

Plus en détail

Propulsions alternatives

Propulsions alternatives Propulsions alternatives Huit formes de propulsion alternative existent aujourd hui à côté des moteurs à essence et au diesel classiques. Nous les passons en revue ici avec à chaque fois une définition,

Plus en détail

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une

Plus en détail

Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne

Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Logistique urbaine : Sogaris imagine des solutions adaptées à la ville de demain Le 16 avril 2014 Contacts

Plus en détail

Lutte contre l étalement urbain

Lutte contre l étalement urbain Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l

Plus en détail

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse

Plus en détail

Immobilier de bureaux en Plaine de France

Immobilier de bureaux en Plaine de France Immobilier de bureaux en Plaine de France Des dynamiques géographiques distinctes : La Plaine Saint Denis le Pole de Roissy Charles de Gaulle Le Cœur de la Plaine Rappelons que Paris et la petite couronne

Plus en détail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture

Plus en détail

les évolutions récentes

les évolutions récentes DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,

Plus en détail

Le Scanner 3D Dynamique

Le Scanner 3D Dynamique Le Scanner 3D Dynamique Présentation & Références 2015 Page 1 / 9 1. Présentation Techniques Topo, est une société de Géomètres Experts créée en 1964 comptant aujourd hui près de 120 collaborateurs répartis

Plus en détail

PLACE DE L ACADIE MISE À JOUR DES ÉTUDES ACOUSTIQUES À PARTIR DES PLANS DE SITE RÉVISÉS SOUMIS EN DATE DU 3 DÉCEMBRE 2008

PLACE DE L ACADIE MISE À JOUR DES ÉTUDES ACOUSTIQUES À PARTIR DES PLANS DE SITE RÉVISÉS SOUMIS EN DATE DU 3 DÉCEMBRE 2008 MJM CONSEILLERS EN ACOUSTIQUE INC MJM ACOUSTICAL CONSULTANTS INC 55, Côte des Neiges, Bureau 0 Montréal (Québec) Tél.: (5) 77-98 HS A6 Fax: (5) 77-986 Site internet: www.mjm.qc.ca Courrier électronique:

Plus en détail

Chaque page correspond à la version allemande. Vous pouvez imprimer les deux versions selon votre besoin.

Chaque page correspond à la version allemande. Vous pouvez imprimer les deux versions selon votre besoin. de notre prospectus Chaque page correspond à la version allemande. Vous pouvez imprimer les deux versions selon votre besoin. Page 1 Le fournisseur système Page 2 Bienvenue chez Schanzlin Une entreprise

Plus en détail

Evolution de la fiscalité des carburants

Evolution de la fiscalité des carburants Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),

Plus en détail

la Contribution Climat Energie

la Contribution Climat Energie Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble

Plus en détail

ADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats

ADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats Direction Communication, Formation, Développement Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique Présentation des résultats Juillet 2011 Contact BIO Intelligence

Plus en détail

Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe

Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe 1 Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril

Plus en détail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part

Plus en détail

GIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE

GIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE GIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE Résumé La Girafe est un Carport hybride prêt pour fournir de l électricité à votre véhicule ou à votre maison juste en capturant

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8 Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a

Plus en détail

Le réseau de transport public du

Le réseau de transport public du Un nouveau réseau de transport structurant pour la Région Capitale Le projet soumis au débat : 155 kilomètres de métro automatique en double boucle, pour relier rapidement Paris et les pôles stratégiques

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Paris-Saclay Index Immobilier d entreprise nº 1 mars 2015

Paris-Saclay Index Immobilier d entreprise nº 1 mars 2015 Paris-Saclay Index Immobilier d entreprise nº 1 mars 2015 125 000 m 2 de bureaux commercialisés en 2014 80 000 m 2 d offre neuve ou en chantier 220 HT HC m²/an de loyer moyen Chantier EDF Lab R&D, juillet

Plus en détail

> REnDRE LE BRuIt visible

> REnDRE LE BRuIt visible > REnDRE LE BRuIt visible > sonbase La Base de données SIG pour la Suisse Déterminer et analyser la pollution sonore pour l ensemble de la Suisse 02 > sonbase La base de données SIG pour la Suisse La base

Plus en détail

ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015

ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015 ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson 16 mars 2015 Plan de présentation Présentation générale du projet Par M. Jocelyn Leblanc, directeur de projets STM Lignes directrices conception

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles

Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles 10.10.2005 Soutenu par: Mobilservice PRATIQUE c/o beco Economie bernoise Protection contre

Plus en détail

Analyse territoriale d un quartier de la ville de Chelles et perspectives

Analyse territoriale d un quartier de la ville de Chelles et perspectives Ecole des Ponts Paristech 2012 Méthode d Analyse de Systèmes Territoriaux GARNIER Benoît TARDIEU Guillaume Analyse territoriale d un quartier de la ville de Chelles et perspectives 1 Table des matières

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE:

LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: État de situation et opportunités Michel Lachance CQVB 7 décembre 2012 East Angus PLAN Contexte la biomasse : une source d énergie pour le Québec Systèmes de chauffage Chauffage

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr

Plus en détail

1. Cadrages de l étude et précisions méthodologiques 1.1 Le modèle de déplacements de la DRIEA

1. Cadrages de l étude et précisions méthodologiques 1.1 Le modèle de déplacements de la DRIEA DRIEA Septembre 2010 ÉTUDES POUR LE DÉBAT PUBLIC SUR LE GRAND PARIS SYNTHESE DES ÉTUDES DE TRAFIC Cette note dresse un bilan synthétique des études de trafic réalisées par la DRIEA pour évaluer l efficacité

Plus en détail