Panorama des principales recommandations et synthèses CCLIN Est ( )
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- Sophie Morency
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1 Panorama des principales recommandations et synthèses CCLIN Est ( ) Dr Loïc Simon et l ensemble des relecteurs des ARLIN Journée inter-régionale ARLIN Bourgogne - CClin Est Le 10/02/2011
2 Constat Listes non exhaustives des recommandations récentes Hygiène des mains (SFHH, 2009), Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009), Prévention des IN en EHPAD (SFHH, 2010), Prévention des GEA en EHPAD (HCSP, 2010), Recommandations sur la prise en charge et la prévention des infections cutanées liées aux souches de Staphylococcus aureus résistants à la meticilline communautaires (SARM co) (HCSP, 2010), Rapport relatif à la maîtrise de l émergence et de la diffusion des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé français (HCSP, 2010), Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010), Infections associées aux soins : guide d aide à la communication (SFHH, 2010), Déchets d activités de soins à risque (Ministère de la Santé, mise à disposition 2010) Dépistage du portage digestif des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France à l occasion du rapatriement de patients en provenance de l étranger et maîtrise de leur diffusion (HCSP, 2010).
3 Constat (suite) Recommandations : nombreuses, lourdes et complexes Conséquences = les établissements ont du mal à en prendre connaissance et à les décliner. Le CClin/les ARLINs : difficultés à communiquer sur toutes ces recommandations édictées dans un laps de temps court les informations se bousculent les effecteurs potentiels s y perdent
4 Objectif Afin de faciliter la diffusion, l appropriation et à terme le bon usage de ces recommandations dans les établissements, un groupe de travail coordonné par le CClin Est, est institué, dans lequel chaque ARLIN est représentée. Ce groupe est chargé de préciser, à la lecture de ces recommandations, quels sont si possible les 10 points majeurs sur lesquels il convient d inciter les établissements à travailler. La communication CClin/ARLINs pourra être organisée autour de ces 10 points. Ces points pourront ensuite être revus (année N+1) en fonction de l avancée de l appropriation par les ES
5 Hygiène des mains (SFHH, 2009) Date de publication : juin 2009 Nombre de pages : 97 Nombre de recommandations formulées : 53
6 Hygiène des mains (SFHH, 2009) Parmi les 53 recommandations de ce guide, le groupe de travail a sélectionné les suivantes considérant qu elles représentaient un intérêt particulier. NORMES Pour le choix des produits d hygiène des mains de se référer à l évaluation des produits selon les normes européennes et françaises en vigueur.
7 Hygiène des mains (SFHH, 2009) INDICATIONS Effectuer un THF (traitement hygiénique par friction) en remplacement du lavage des mains (au savon doux ou antiseptique) en l absence de souillures visibles sur les mains - dans tous les lieux où sont réalisés des soins et - pour tous les professionnels de santé, - pour les prestataires internes et externes, - pour les visiteurs et les familles lorsqu ils participent aux soins, - et par extension aux collectivités accueillant des enfants Pour les patients pris en charge dans une structure d hospitalisation ou d hébergement collectif effectuer un geste d hygiène des mains avant d accéder à une pièce commune (salle de restauration, ).
8 Hygiène des mains (SFHH, 2009) TECHNIQUE Il est recommandé de respecter les points essentiels suivants : de ne porter ni montre, ni bijou, bague ou alliance, d avoir les avant-bras découverts (blouse à manches courtes), d utiliser un PHA répondant à la norme EN 1500, de l appliquer sur des mains sèches et visiblement propres. Si les mains sont visiblement souillées, préférer un lavage des mains, d utiliser un volume de PHA pour permettre une friction d une durée suffisante (ce volume pouvant varier entre les personnes et les produits), de couvrir toute la surface des deux mains et des poignets en suivant les sept étapes prédéfinies.
9 Hygiène des mains (SFHH, 2009) de répéter ces sept étapes à plusieurs reprises jusqu au séchage complet, de ne pas réaliser un lavage des mains avant THF : les savons sont détergents et suppriment la couche lipidique cutanée, favorisant ainsi l intolérance liée aux PHA. Cependant, certaines situations (mains visiblement souillées) ou certains microorganismes (C. difficile, agent de la gale) imposent un lavage des mains, parfois suivi d un THF sur des mains correctement séchées.
10 Hygiène des mains (SFHH, 2009) DESINFECTION CHIRURGICALE DES MAINS privilégier la désinfection chirurgicale par friction au lavage chirurgical des mains. effectuer, pour des raisons d efficacité et de tolérance cutanée, ce lavage des mains à l entrée dans le bloc opératoire, au moins 10 minutes avant de procéder à la désinfection chirurgicale par friction ; la dissociation du lavage des mains de la désinfection chirurgicale par friction nécessite un aménagement du bloc opératoire. faire la désinfection en deux temps. La première friction inclura les coudes, la seconde s arrêtera au niveau des avantbras.
11 Hygiène des mains (SFHH, 2009) PHYSIOLOGIE DE LA PEAU ET TOLERANCE Supprimer les savons antiseptiques utilisés pour les mains des soignants, quelles que soient les indications (haut niveau de validation) Eliminer les produits contenant des substances mutagènes ou tératogènes, en attendant que les AMM biocides interdisent la commercialisation des produits en contenant. OBSERVANCE ET STRATEGIE D IMPLANTATION Installer des distributeurs de SHA. à proximité du soin Développer des messages à destination des professionnels, patients, usagers et visiteurs en interne (posters, intranet, revue ou bulletin de l établissement, livret d accueil des nouveaux professionnels) et en externe (internet, communiqué de presse, livret d accueil des patients).
12 Hygiène des mains (SFHH, 2009) Points à mettre en exergue : - ne pas réaliser de lavage des mains avant friction hydro-alcoolique (sauf exceptions) - promouvoir l hygiène des mains des patients.
13 Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) Date de publication : février 2010 Nombre de pages : 71 Nbre de recommandations formulées : 10
14 Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) INFORMATION FORMATION Informer l ensemble du monde médical de la diffusion épidémique de E. coli BLSE, qui expose, à terme, au risque d impasse thérapeutique. Faire prendre conscience à la population de l émergence d un péril sanitaire (nouveau péril fécal) qui découle de l usage excessif des antibiotiques et de la diffusion épidémique de souches de E.coli BLSE (ou de leurs gènes de résistance) par suite d un respect insuffisant des règles d hygiène de base. Sensibiliser tous les microbiologistes au problème de la diffusion épidémique de E. coli BLSE et de leurs gènes de résistance, et aux moyens qui doivent être mis en oeuvre pour identifier ce type de résistance.
15 Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) CONSIDERATIONS THERAPEUTIQUES BON USAGE ET MOINDRE USAGE DES ANTIBIOTIQUES Définir, rassembler et faire connaître les situations dans lesquelles il est recommandé de ne pas prescrire une antibiothérapie (sphère respiratoire, urinaire, ). En cas d identification de E. coli BLSE, réserver l usage des carbapénèmes à la prise en charge des infections sévères (risque de favoriser le développement de carbapénémases).
16 Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) MESURES D HYGIENE Points critiques : hygiène des mains et gestion des excrétas. La gestion des excrétas, des déchets associés aux soins et du linge souillé, qui n est pas un point clé de la maîtrise de la dissémination du SARM, est cruciale pour la maîtrise de la diffusion des E. coli BLSE. (a) utiliser gants et tablier à usage unique, (b) à les conditionner de manière ad hoc et (c) à les évacuer le plus rapidement possible après pour éviter qu ils constituent des réservoirs de transmission croisée. Gants et tabliers sont éliminés dans le même temps.
17 Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) Les mesures s appliqueront dans les établissements de santé et en EHPAD (secteur médico-social). En établissement de santé, rechercher une colonisation digestive à entérobactéries BLSE, chez les sujets contacts d un cas Ne pas tenter d éradiquer un portage digestif de E. coli BLSE par un protocole de décolonisation.
18 Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) Point(s) à mettre en exergue : hygiène des mains gestion des excrétas
19 Prévention des infections en EHPAD (SFHH et ORIG, 2009) Date de publication : février 2010 Nombre de pages : 88 Nbre de recommandations formulées : 264!!!!!!!!!!
20 Prévention des infections en EHPAD (SFHH et ORIG, 2009) Précautions standard R15. Se désinfecter les mains avec un produit hydro-alcoolique dans toutes les situations où les mains ne portent pas de trace visible de souillures R16. Hygiène des mains constitue une priorité dans l établissement
21 Prévention des infections en EHPAD (SFHH et ORIG, 2009) Mesures spécifiques liées aux soins R88. Avoir un protocole de pose et de maintenance des sondes urinaires. R137. Elaborer un protocole écrit concernant la pose, l entretien, la surveillance et l ablation des cathéters veineux périphériques et des dispositifs de perfusion sous-cutanée. Mesures organisationnelles R240. Mettre en place une surveillance des infections à potentiel épidémique (grippe, tuberculose, infections invasives à pneumocoque, infections à Clostridium difficile, conjonctivite virale, gale ). R243. Le personnel bénéficie d une formation spécifique à la prévention des infections associées aux soins.
22 Prévention des infections en EHPAD (SFHH et ORIG, 2009) R247. Rédiger et diffuser un guide de bon usage des antibiotiques en ÉHPAD. R252. Mettre en place un programme annuel d incitation forte à la vaccination contre la grippe auprès des professionnels de santé et des résidents. R254. Mettre en place une politique de vaccination contre les infections à pneumocoque des résidents ayant une indication à cette vaccination avec un rappel tous les cinq ans. R257. Inclure dans le classeur d hygiène les documents relatifs aux procédures et conduites à tenir en cas de situation épidémique (grippe, infection invasive à pneumocoque, gale, tuberculose, etc.).
23 Prévention des infections en EHPAD (SFHH et ORIG, 2009) Points à mettre en exergue : «Hygiène des mains des résidents»
24 Recommandations relatives aux conduites à tenir devant des gastro-entérites aiguës en EHPAD (HCSP, 2010) Date de publication : janvier 2010 Nombre de pages : 77 Nbre de recommandations formulées : non quantifiées
25 Recommandations relatives aux conduites à tenir devant des gastro-entérites aiguës en EHPAD (HCSP, 2010) Mesures simples d hygiène Les consignes de l hygiène des mains sont à afficher pour les personnels d établissement, les visiteurs et les résidents. Mise en place d une politique de prévention et de gestion du risque infectieux L établissement désigne un «référent épidémie». Les procédures doivent être regroupées dans un document accessible à tout moment. L EHPAD sensibilise ses professionnels au risque épidémique lié aux GEA. Le personnel soignant doit notifier à la personne référente tout cas de gastro-entérite parmi les résidents.
26 Recommandations relatives aux conduites à tenir devant des gastro-entérites aiguës en EHPAD (HCSP, 2010) Devant un cas isolé de gastro-entérite Pour réduire le risque de transmission croisée d une infection entérique dans un EHPAD : rappeler les précautions standard qui doivent être appliquées en tout temps et pour tous les résidents ; signaler au «référent épidémie» de l établissement tout symptôme évoquant une GEA chez un résident (diarrhée ou vomissements) ; appliquer des précautions complémentaires (principalement de type contact et environnemental) sur prescription médicale autour du cas jusqu à 48 heures après l arrêt des symptômes.
27 Recommandations relatives aux conduites à tenir devant des gastro-entérites aiguës en EHPAD (HCSP, 2010) Devant un épisode de cas groupé de GEA Cellule de crise et mise en place les mesures de gestion de l épidémie. Prélèvements de selles réalisés et rapidement acheminés au laboratoire. Signalement des cas groupés de GEA si survenue d au moins cinq cas de gastro-entérites aiguës infectieuses, dans une période de quatre jours, chez des personnes résidentes ou membres du personnel, ayant des liens épidémiologiques entre elles. Signalement fait à la Cellule de veille sanitaire et de gestion au sein de l ARS et au CClin à l aide d une fiche standardisée.
28 Recommandations relatives aux conduites à tenir devant des gastro-entérites aiguës en EHPAD (HCSP, 2010) Points à mettre en exergue : Signalement des cas groupés de GEA = survenue d au moins cinq cas de gastro-entérites aiguës infectieuses, dans une période de quatre jours
29 Rapport relatif à la maîtrise de l émergence et de la diffusion des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé français (HCSP, 2010), Date de publication : mars 2010 Nombre de pages : 19 Nbre de recommandations formulées : non quantifiées
30 Rapport relatif à la maîtrise de l émergence et de la diffusion des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé français (HCSP, 2010), Points à mettre en exergue : - disposer d un plan de prise en charge des patients ERG, inscrit dans l annexe «risque infectieux» du Plan Blanc, - toute identification d une patient colonisé ou infecté par un ERG devra faire l objet d un signalement interne sans délai à l EOH de l établissement qui mettra en oeuvre les mesures adéquates en lien avec l ARLIN et le CCLIN, cette identification relevant aussi du signalement externe réglementaire
31 Déchets d activités de soins à risque (Ministère de la Santé, 2009 mise à disposition 2010) Date de publication : décembre 2009 Nombre de pages : 91 Nbre de recommandations formulées : non quantifiées
32 Déchets d activités de soins à risque (Ministère de la Santé, 2009 mise à disposition 2010) 1. revoir la durée d utilisation des collecteurs OPCT en concertation interne (personnels des services, CME, EOH) et vérifier les délais réglementaires d élimination après sa fermeture définitive selon le poids de production des DASRI. 2. pour les établissements de petite taille, si la masse de DASRI transportée est < 15 kg, le transport peut s effectuer dans un véhicule de service ou un véhicule personnel. 3. Les DMI actifs sont soit remis au fabricant soit remis à un collecteur dans la filière des piles et accumulateurs sous réserve d un protocole de désinfection.
33 Déchets d activités de soins à risque (Ministère de la Santé, 2009 mise à disposition 2010) Points mis en exergue : Gestion des containers OPTC
34 Infections associées aux soins : guide d aide à la communication (SFHH, 2010) Date de publication : juin 2010 Nombre de pages : 79 Nbre de recommandations formulées : non quantifiées
35 Infections associées aux soins : guide d aide à la communication (SFHH, 2010) La communication est le pré-requis indispensable à l instauration d une relation de confiance partagée entre les professionnels de santé et les usagers impliqués dans la démarche thérapeutique et préventive et contribue à l amélioration de la qualité des soins. Elle repose sur des exigences d explication et de transparence. La communication autour des IAS fait partie des missions des professionnels de l hygiène et de la gestion du risque infectieux.
36 Infections associées aux soins : guide d aide à la communication (SFHH, 2010) La formation des professionnels de l hygiène et de la gestion du risque infectieux aux techniques de communication est à développer. La communication ne se résume pas à la simple diffusion de supports, elle doit intégrer une démarche de médiation afin de partager des valeurs de prévention et de maîtrise du risque infectieux. Le message doit être adapté sur le fond et la forme à la cible afin d en faciliter la compréhension.
37 Surveiller et prévenir les infections associées aux soins (SFHH, 2010) Date de publication : septembre 2010 Nombre de pages : 175 Nbre de recommandations formulées : 170
38 Surveiller et prévenir les infections associées aux soins (SFHH, 2010) Utopie? Les précautions complémentaires contact (PCC) complètent les précautions standard (PS) Il est possible de privilégier les PS seules pour le contrôle de la transmission croisée si les critères montrant le bon respect des PS sont réunis : mise à disposition large des PHA observance élevée de l hygiène des mains (opportunité, qualité et quantité) bonnes pratiques du port de gants bonne connaissance de l épidémiologie des BMR expertise de l instance de suivi des IAS et de l EOH Les éléments principaux des PCC comportent le dépistage, la signalisation et l information, l isolement géographique, le port de moyens de protection
39 Surveiller et prévenir les infections associées aux soins (SFHH, 2010) CLIN (ou équivalent) définit avec l EOH les micro-organismes justifiant de mesures complémentaires et la politique de dépistage, en accord avec les recommandations nationales et en fonction de l épidémiologie locale des risques. Microorganismes nécessitant la mise en place de précautions supplémentaires : BMR encore plus résistantes que les BMR endémiques BMR émergentes (ERG, EPC ) bactéries encore non multi-résistantes mais à fort potentiel de diffusion (Clostridium difficile) bactéries à caractère hautement pathogène, forte virulence, potentiel de diffusion rapide au sein des collectivités (SARM Co) autres pathogènes (sarcopte de la gale)
40 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Date de publication : septembre 2010 Nombre de pages : 36 Nbre de recommandations formulées : non quantifiées
41 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Recommandations concernent des bactéries commensales porteuses de mécanismes de résistance émergents, ayant déjà diffusées en France seulement sur un mode sporadique ou épidémique limité, en opposition à des bactéries multirésistantes dont la diffusion sur le territoire national a déjà eu lieu de façon plus importante. Ce sont prioritairement les entérobactéries productrices de carbapénèmases les entérocoques résistants aux glycopeptides.
42 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Recommandation 1 Il est recommandé au personnel prenant en charge un patient concerné par ces mesures : 1) d identifier cette situation, 2) de notifier cette information dans le système d information hospitalier et le dossier médical, 3) de s assurer que l information a été transmise à l équipe opérationnelle d hygiène de l établissement. Recommandation 2 Il est recommandé d informer le patient rapatrié de la situation et de la nécessité de réaliser chez lui un dépistage de bactéries multirésistantes..
43 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Recommandation 3 - mettre en place, par la direction de l établissement, un système de signalement à l équipe opérationnelle d hygiène des entrants venant de l étranger - encourager le corps médical à s enquérir auprès du malade et de sa famille d un antécédent d hospitalisation récente dans un pays étranger. Recommandation 4 Réaliser immédiatement un dépistage par écouvillonnage rectal ou coproculture à la recherche d un portage digestif.
44 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Recommandation 5 Il est recommandé de mettre en place des mesures de prévention complémentaires contact Ces mesures seront réévaluées après le résultat microbiologique du dépistage. Recommandation 6 Si le patient a été placé en précautions complémentaires contact dès l admission, il n est pas recommandé de réaliser un dépistage de ses contacts (définis comme les patients pris en charge par le même personnel soignant).
45 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Recommandation 7 Le laboratoire de bactériologie doit alerter l équipe opérationnelle d hygiène dès la positivité de la recherche d entérobactéries productrices de carbapénèmases et d entérocoques résistants aux glycopeptides ou de P. aeruginosa et A. baumannii multi-résistants aux antibiotiques. Recommandation 8 Réaliser un signalement externe aux autorités sanitaires et au CCLIN de tous cas d isolement d entérobactéries suspectes d être productrices de carbapénèmase ou d entérocoques résistants aux glycopeptides importés par un patient rapatrié ou ayant un antécédent d hospitalisation récente à l étranger.
46 Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Recommandation 9 Identifier le mécanisme de résistance (par exemple pour la résistance à l imipénème : VIM, KPC, ) au laboratoire local ou à défaut en transférant la souche dans un Centre national de référence (ou dans un laboratoire expert) Recommandation 10 En cas de positivité du dépistage du patient, mettre en oeuvre les mesures préconisées pour la maîtrise de la diffusion des ERG diffusées par le HCSP en 2010 relatives au maintien des précautions complémentaires contact, de la signalisation, de la sectorisation, du dépistage éventuel des contacts du cas, du suivi du portage...
47 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) Date de publication : avril 2009 Nombre de pages : 138 Nbre de recommandations formulées : 118
48 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) Politique de dépistage : mettre en place une surveillance épidémiologique des agents infectieux «à haut potentiel de transmission croisée notamment les BMR», mesurer régulièrement l incidence de ces microorganismes à partir des seuls prélèvements cliniques, mentionner de façon explicite l identification d une BMR par le laboratoire
49 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) DEPISTAGE DU SARM en réanimation En cours de séjour en réanimation et à la condition qu un dépistage eût été effectué à l admission, il est recommandé de dépister les patients. en MCO En l absence d épidémie récente ou installée ou s il a été établi que l indice de portage est faible, le principe d un dépistage à la recherche d un SARM n est pas recommandé en MCO. en SSR Ne pas mettre en place un dépistage de SARM en SSR à l admission (sauf exceptions)
50 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) DEPISTAGE DES ENTEROBACTERIES PRODUCTRICES D UNE BETALACTAMASE A SPECTRE ETENDU (EBLSE) En réanimation, MCO ou SSR, il est recommandé de dépister les patients uniquement en situation d épidémie récente ou installée. DEPISTAGE DE PSEUDOMONAS AERUGINOSA En réanimation ou MCO, il est recommandé de dépister les patients uniquement en situation d épidémie récente ou installée.
51 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) DEPISTAGE D ACINETOBACTER BAUMANII (AB) Il est fortement recommandé de ne pas dépister les patients pour Acinetobacter baumanii à l admission pour les secteurs où il a été établi que l incidence du portage est faible en réanimation et en MCO.
52 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) Politique spécifique de maîtrise de la transmission croisée vis-à-vis de certains micro-organismes : Précautions complémentaires de type contact : Hygiène des mains Effectuer une FHA dans toutes les indications d hygiène des mains, immédiatement avant tout contact avec le patient, immédiatement avant tout soin propre et tout acte invasif, après tout contact avec un patient, après tout contact avec l environnement du patient et avant de sortir de la chambre. Port de gants Effectuer une FHA dans toutes les indications d hygiène des mains, il est recommandé de ne pas mettre systématiquement des gants de soins non stériles en entrant dans la chambre.
53 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) Protection de la tenue Ne pas revêtir systématiquement une protection spécifique de sa tenue en entrant dans la chambre d un patient en PCC Autres mesures «barrière» Placer systématiquement en chambre individuelle les patients porteurs de BMR, ou regrouper les patients porteurs de la même BMR dans une chambre ou un secteur du service. Organisation des soins entre patients tenant compte du risque infectieux Organiser l information systématique de tous les acteurs prenants en charge, même occasionnellement, un patient en PCC.
54 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) Gestion des dispositifs médicaux et autres équipements Bien que réglementaire, ne pas considérer comme des déchets d activité de soins à risque infectieux (DASRI), les déchets assimilables aux ordure ménagères (DAOM) issu d un patient auquel s applique les PCC. Il est recommandé d éliminer de la chambre de manière pluriquotidienne les DASRI des patients porteurs de BMR. Gestion des visites Réaliser un geste d hygiène des mains (FHA) pour les visiteurs Ne pas demander aux visiteurs d appliquer les autres précautions demandées aux soignants. Ne pas interdire l accès au plateau technique de rééducation, aux lieux communs de vie pour les patients en EPC sur un foyer infectieux ouvert mais encadrer cet accès par des mesures d hygiène spécifiques.
55 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) Levée des précautions complémentaires de type contact Maintenir les PCC tout au long du séjour en MCO. Si une décontamination a été effectuée, elle doit avoir montrer son efficacité (par exemple 2 ou 3 prélèvements négatifs successifs) avant la levée éventuelle des mesures. Au cours d un séjour en SSR ou SLD, ne lever les PCC qu après plusieurs dépistages négatifs
56 Recommandations sur la prise en charge et la prévention des infections cutanées liées aux souches de Staphylococcus aureus résistants à la meticilline communautaires (SARM co) (HCSP, 2010) Date de publication : décembre 2009 Nombre de pages : 60 Nbre de recommandations formulées : non quantifiées
57 Recommandations sur la prise en charge et la prévention des infections cutanées liées aux souches de Staphylococcus aureus résistants à la meticilline communautaires (SARM co) (HCSP, 2010) Prévoir des campagnes d information et d éducation aux bonnes pratiques d hygiène de base particulièrement dans les collectivités (sportifs, enfants, prisonniers.) où la promiscuité augmente considérablement le risque
58 Conclusions 10 recommandations majeures publiées entre 2009 et pages et des centaines de recommandations!!!!!!!!! Travail COLOSSAL d appropriation pour les ES et les EHPAD
59 Conclusions Hygiène des mains (SFHH, 2009) : 2 recommandations à mettre en œuvre immédiatement/53 Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact (SFHH, 2009) :? recommandations à mettre en œuvre immédiatement/118 Prévention des IN en EHPAD (SFHH, 2010) : 1 recommandation à mettre en œuvre immédiatement/264 Prévention des GEA en EHPAD (HCSP, 2010) : 1 recommandation à mettre en œuvre immédiatement/nq Recommandations sur la prise en charge et la prévention des infections cutanées liées aux souches de Staphylococcus aureus résistants à la meticilline communautaires (SARM co) (HCSP, 2010) : 1 recommandation à mettre en œuvre immédiatement/nq
60 Conclusions Rapport relatif à la maîtrise de l émergence et de la diffusion des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé français (HCSP, 2010) : 2 recommandations à mettre en œuvre immédiatement/nq Recommandations relatives aux mesures à mettre en œuvre pour prévenir l émergence des entérobactéries BLSE et lutter contre leur dissémination (HCSP, 2010) : 2 recommandations à mettre en œuvre immédiatement/71 Infections associées aux soins : guide d aide à la communication (SFHH, 2010) : 4 recommandations à mettre en œuvre immédiatement/nq Déchets d activités de soins à risque (Ministère de la Santé, mise à disposition 2010) : 1 recommandation à mettre en œuvre immédiatement/nq Dépistage du portage digestif des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France à l occasion du rapatriement de patients en provenance de l étranger et maîtrise de leur diffusion :? recommandation à mettre en œuvre immédiatement/10
61 BON APPETIT
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