Les facteurs de risque : évaluer pour prévenir. Le repérage des résidents à risque. le caractère répétitif : 2 chutes ou plus sur 12 mois

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1 Les facteurs de risque : évaluer pour prévenir Le repérage des résidents à risque le caractère répétitif : 2 chutes ou plus sur 12 mois

2 Facteurs de risque : Facteurs prédisposants intrinsèques : poly-pathologies chroniques Facteurs précipitants intrinsèques : pathologies aigües, responsables de 50% des chutes (c.vasculaires, neurologiques, métaboliques,iatrogéniques ++ par poly-médication et automédication )

3 Facteurs précipitants extrinsèques : l environnement est responsable de 50% des chutes en EHPAD La recherche des facteurs environnementaux doit porter sur : l habillement: chaussures inadaptées (privilégier les chaussures à talon large et bas, semelles fines et fermes, tige remontant haut), vêtements trop longs, pas assez amples

4 Le mobilier : fauteuil, lit Obstacles au sol : tapis, fils électriques, objets, sol mouillé++ (ou trop adhérent) par mauvaise technique et /ou mauvais horaire de nettoyage Configuration des lieux dangereuse ou inadaptée : éclairage insuffisant, interrupteur mal placé, manque de points d appui dans la chambre, les toilettes, la douche, les couloirs Matériel encombrant les lieux de passage: chariots divers et variés, lève personne, fauteuils roulants, etc..

5 Prévention des chutes : Après avoir recherché les facteurs de risque, on évalue le risque de chute. C est le rôle du projet de soins personnalisé, mis en place par le médecin coordonnateur avec l ensemble de l équipe soignante. Il s appuie sur : une évaluation gérontologique interne : type ABCDEF: A=Autonomie, B=BMI, C=Co-morbidités, D=Drugs, E=Equilibre, F=Fonctions cognitives

6 Propositions des Drs. Fouassier et Boiteux : Evaluation de la Dépendance : Grille «new» AGGIR 2008 (bien cocher le 1 item «Transfert»! ) Evaluation de l Autonomie : échelle I.A.D.L. (Instrumental Activity of Daily Living ), Evaluation de l humeur : mini GDS (Gériatric Dépression Scale), Evaluation des fonctions cognitives : Codex, 5 mots, horloge, (MMS?) Evaluation de l équilibre et de la marche : appui unipodal, Timed Get up and Go, walking and Talking Evaluation de la dénutrition : perte de poids, IMC, albuminémie, surveillance de l alimentation sur X jours Evaluation de l environnement (cf. supra )

7 Actions de prévention : Elles doivent être précoces, actives, rapidement efficaces : prescription systématique de Vitamine D (équivalente à 800UI/jour ) à l entrée puis régulièrement, apports calciques journaliers (TT anti-ostéoporose?) corrections des déficits sensoriels, si possible! «dégraissage» de l ordonnance médicamenteuse, notamment pour les psychotropes évaluation kinésithérapique et rééducation à la marche, auto rééducation, gymnastique

8 Nomination d un «référent chutes» Maintien de la déambulation chez les déments ++ Politique d établissement en matière d alternatives à la contention et de contention, si réellement nécessaire (contention =prescription médicale après décision collégiale, réévaluation fréquente ) Protecteurs de hanche? Education des résidents sur les situations à risque et les gestes dangereux, recommandations avec un langage et des démonstrations simples Aménagement des locaux et de la chambre

9 En cas de chute : Le personnel doit se référer au protocole établi par le médecin coordonnateur : Protocole signé par le médecin coordonnateur et réévalué chaque année. Il doit être connu et accessible. Il décrit la marche à suivre en cas de chute: actions immédiates et celles à venir. La déclaration de chute dans l EHPAD, remplie selon le protocole établi, servira de référence et de document médico-légal

10 Eléments de la déclaration de chute : Lieu de la Chute : - Chambre - Salle de Bain - Couloirs - Salle à Manger - Salon - Extérieur Mouvement Effectué : - En se levant - En se couchant - Transfert assis -Toilette - Déplacement - Pendant habillage - Manœuvre de porte

11 Eléments de la déclaration de chute : Etat général du résident -A jeun - Malaise -Agitation - Fièvre Chaussant - Chaussures - Chaussons - Chaussettes/Bas - Pieds nus Matériel - Canne - Déambulateur - Lunettes Heure de la Chute : 8H/12H, 12H/14H, 14H/18H, 18H/21H, Nuit

12 Elément ayant provoqué la chute : - Obstacle présent - Sol Mouillé - Eclairage insuffisant - Autres circonstances Conséquences de la Chute - Traumatisme - Appel Médecin - Hospitalisation - lésions immédiates

13 Transmission : - Infirmière prévenue ou non - Médecin traitant prévenu ou non -Appel au 15 ou non - Famille prévenue ou non Actions: - Prise de la tension artérielle - Prise du Pouls - Soins effectués Remarques: - glycémie capillaire, fréquence respiratoire, SA O2 : ces constantes, qui peuvent, selon les circonstances, être utiles, n apparaissent pas systématiquement sur certains modèles de déclaration de chute. Elles peuvent être soit rajoutées, soit tracées dans les transmissions par l IDE (ou l AS de nuit, si compétente et autorisée ) - intérêt d une présentation avec cases à cocher - la déclaration de chute devra être validée dans les 24h à 48h par le médecin coordinateur

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17 Etude sur 8 mois dans un EHPAD de la région parisienne (Janvier à Août 2011 inclus ) : 115 chutes ont été répertoriées pour 39 résidents dans une institution qui en héberge 80 : - 15 ayant chuté 1 fois - 10 ayant chuté 2 fois - 4 ayant chuté 3 fois - 3 ayant chuté 4 fois - 1 ayant chuté 6 fois - 3 ayant chuté 7 fois - 2 ayant chuté 8 fois - 1 ayant chuté 11 fois L âge moyen est de 87 ans ½, avec 2 extrêmes 64 ans et 99 ans, ce qui correspond à l âge moyen des personnes présentes dans cet établissement. GIR 1 = 2,77%, GIR 2 = 55,6% GIR 3 = 19,44 %, GIR 4 = 22,22% - Pas de GIR 5 et 6

18 Nette prédominance des personnes classées GIR 2 : Présence importante de troubles cognitifs, mais seulement quelques déambulants.(3) Présence de handicap physique ou maladie neurologique handicapante (Parkinson) (4) Ce sont les plus grands chuteurs, 11 fois pour l un d entre eux. Les GIR 3 et 4 sont présents dans la même proportion (+- 20%) On ne note qu une chute, en moyenne, sur les 8 mois, pour les résidents classés en GIR 3 ou 4.

19 Analyse des facteurs «précipitants» : Etat général: - 6 patients étaient à jeun, (item rajouté car non noté sur la fiche de chute) étaient agités 1 présentant une température corporelle supérieure à 39 C. Commentaire : Etre à jeun peut-il induire une modification du comportement (sensation de faim) déclenchant un déplacement, pour trouver de quoi manger?

20 Le chaussant: - 54% portaient des chaussures : étaient-t-elles bien adaptées? - 16% portaient des chaussons, inadaptés pour la plupart - 1% en bas ou chaussettes, d où peu d adhérence - 29% pieds nus avec, dans ce cas, la totalité des chutes durant la nuit

21 Les aides techniques utilisées lors de la chute : -une canne pour 17 résidents -un déambulateur (adapté au résident et au sol? ) pour 34 résidents - les lunettes pour 23 résidents

22 Les horaires : 25% des chutes dans chacune des 3 tranches : 8H/12H, 14H/18H, 21H/8H - Le matin : Toilette donc déplacement seul ou accompagné. - L après-midi : Nombreux facteurs d attention, vigilance atténuée, heure de pause du personnel - La nuit : 2 Aides Soignantes pour 80 chambres et résidents, surveillance difficile. dans les 2 autres tranches : 12H/14H = 9%, 18H/21H = 16% - correspondent aux heures des repas. - L attention du résident est alors sollicitée dans un seul domaine, celui du repas. - Le personnel est très présent (aide aux repas ) donc surveillance accrue. - Les seuls risques de chute existent pendant les transferts

23 Lieu de chute: - 70% des chutes ont lieu dans la chambre - 10% dans la salle de bains soit 80% des chutes dans ce qui doit être considéré comme un lieu privé. Se posent donc les problèmes: - de la surveillance -de la rapidité des secours (incapacité à se lever du sol, à appeler) - du séjour au sol supérieur à 1heure, avec ses conséquences potentielles

24 Le mouvement: 54% des chutes ont lieu pendant un déplacement dont: - 3% pendant la toilette - 31% en se levant - 11% en transfert assis - 1% en se couchant

25 Elément déclenchant : - 1,56% des résidents chutent en présence d un obstacle - 2,73% chutent sur sol mouillé (urine, eau ) - 0% pour éclairage insuffisant? - 34% pour une autre raison (fil électrique, agression par un autre résident ) - 43% sans cause extrinsèque identifiable (ou précisée dans la déclaration)

26 Conséquences de la chute: 28,69 % de chutes se sont soldées par un traumatisme, une contusion, sans gravité apparente 20% ont justifié l appel à un médecin 13% ont justifié une hospitalisation dont : - 4 fractures 1 du col du fémur 1 du membre inférieur 2 de la main 10% ont présenté ou présentent des séquelles

27 Synthèse de l étude : - 39 résidents chuteurs sur 80 présents 14 ayant chuté plus de 2 fois (11 chutes pour un résident de 93 ans) - majoritairement classés GIR 2 - Le lieu de toutes ces chutes est à 80% l espace privé (chambre/salle de bains) - 1 fois sur 2 présence d un obstacle ou élément indésirable - 1 résident sur 2 était en principe chaussé correctement - Les chutes se produisent essentiellement en dehors des horaires réservés aux repas - Lors de la chute, 21 résidents ont présenté une modification de leur état habituel (malaise, fièvre ) - 13% ont nécessité une hospitalisation : 4 fractures ont été dénombrées dont 2 des membres inférieurs et 2 d une main. - 4% présentent des séquelles définitives et n ont pas retrouvé leur autonomie initiale (20% dans les statistiques nationales )

28 Quelles solutions apporter?: Informer et éduquer les patients sur les bonnes attitudes à adopter, compte tenu de leur handicap et de ce qu ils souhaitent. Lutter contre les conséquences psychomotrices ( Sd. Post-chute) : Cette perte d autonomie touche environ 80 à 85% des individus chuteurs. Même lorsqu il n y a pas de traumatisme grave (fracture) une perte d autonomie peut être retrouvée dans 30% des cas.

29 Réduire les facteurs de risques extrinsèques : - Revoir l aménagement des locaux - Espace de déambulation sans obstacles - Eclairage suffisant (la nuit en particulier), vernis photo luminescent - Rampes dans les couloirs, escaliers. - Sol non glissant et antidérapant - Barre de maintien (wc, salle de bains) - Rehaussement wc - Fauteuils et chaises stables avec accoudoirs et hauteur d assise adaptée au résident - Lit à hauteur variable - Bonne accessibilité des étages - Appel -aide soignante facile à utiliser donc accessible (poignet? ) - Signalisation visible et lisible, pictogrammes

30 Reste le problème de la surveillance des chambres, sans attenter à la vie privée, pour intervenir rapidement lors d une chute - Il existe bien des détecteurs d incendie, pourquoi pas des détecteurs de chutes, basés, par exemple, sur la chaleur émise par le corps ou tout autre indicateur? Problème éthique: -le dispositif, exerçant une surveillance permanente, limite l intimité du résident. - les capteurs devraient donc effectuer un travail sélectif et ne transmettre l image qu en cas d alerte. Ce système apporterait une réponse aux carences de surveillance, la nuit en particulier, raccourcissant le délai d intervention, mais n empêchant pas les chutes,de toute façon!

31 Formation du personnel: Elle doit être régulière: ( formation à «l humanitude»? ) - Rappel des bonnes attitudes et stratégies pour effectuer les transferts. - Privilégier la verticalisation. -Apprentissage par les A.S. de l accompagnement à la marche et du relevage, lors d animations ciblées - Sensibiliser le personnel aux problèmes de chutes : Mise en place par le médecin coordonnateur d un programme de formation sur la prévention des chutes et les alternatives à la contention physique

32 Conclusion (enfin!): En institution le risque de chute est important : 1 résident sur 2 a chuté ou chutera. Il est important que le médecin coordonnateur et l équipe soignante repèrent rapidement les sujets à risque de chute et les intègrent dans les actions mises en œuvre (projet de soins). Cette prise en charge sera pluridisciplinaire Lutter contre les facteurs de risque environnementaux, améliorer ce qui peut l être, utiliser les techniques modernes (informatiques?) pour repérer les chutes avec prise en charge rapide Remplir correctement les déclarations de chute Il est probable (le risque zéro n existant pas) queles chutes ne disparaîtrons pas mais : En diminuer le nombre par une meilleure prévention et intervenir plus rapidement lorsqu elles ont eu lieu, permettront de diminuer de manière significative la morbi-mortalité.

33 Bibliographie recommandée: «Evaluation et prise en charge des personnes âgées faisant des chutes répétées. Recommandations» Société Française de Gériatrie et Gérontologie Haute Autorité de Santé «Les Bonnes Pratiques de Soins en EHPAD» Direction Générale de la Santé

34 Merci de votre attention

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