Les troubles anxieux
|
|
- Alexandre Meunier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 OBJECTIFS Définir l anxiété Préciser la prévalence des troubles anxieux Citer la classification des troubles anxieux Définir et décrire les des différentes catégories nosographiques Indiquer les modalités thérapeutiques des traitements symptomatiques et de fond DEFINITIONS Larousse : «L anxiété est un sentiment d insécurité douloureuse devant un danger à venir, mais intérieur, latent, non défini». Guelfi : «L anxiété est un sentiment pénible d attente, une peur sans objet, la crainte d un danger imprécis» Quand l anxiété devient-elle un trouble anxieux? Son intensité ou sa durée sont plus importantes qu à la normale, compte tenu des circonstances où elle commence à se manifester (contexte familial et sociétal, comportement culturel et attentes) Elle entraîne une incapacité ou devient invalidante dans le fonctionnement professionnel, social ou interpersonnel Les activités quotidiennes sont perturbées par l évitement de certaines situations ou objets dans le but de réduire l anxiété GENERALITES «Anxiété = Un sentiment pénible d attente, une peur sans objet, la crainte d un danger imprécis» Symptomatologie fréquente Début : l adolescence ou chez l adulte jeune Évolution chronique Complications fréquentes : dépressions secondaires et d abus de substances Pronostic marqué par l importance de l handicap social, professionnel et familial Traitement spécifique : symptomatique et de fond CLASSIFICATION (DSM IV) Trouble panique, Anxiété généralisée (Trouble), Troubles phobiques, Trouble obsessionnel-compulsif, État de stress post-traumatique, État de stress aigu, Trouble anxieux dû à une affection médicale générale, Trouble anxieux induit par une substance, Trouble anxieux non spécifié. EPIDEMIOLOGIE Prévalence En population générale : - A 6 mois = 15% - Sur la vie entière = 25% Consultants en médecine : 30% Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 1
2 LE TROUBLE ANXIETE GENERALISEE I. Définition Le Trouble anxiété généralisée est caractérisée par une période d'au moins six mois d'anxiété et de soucis persistants et excessifs. II. Epidémiologie La prévalence du TAG dans la population générale 1 % à 3 % (prévalence à un an) 6 % à 9 % (prévalence à vie) Il est associé à de hauts taux de comorbidité :(généralement la dépression, un autre trouble anxieux ou un trouble induit par l abus de substances). Le TAG s accompagne d invalidité, de risque de suicide et d une utilisation importante des ressources de soins de santé. Les facteurs de risque identifiés : Sexe féminin ((ratio d environ 2 pour 1). Séparations précoces Personnalité dépendante Faible importance des facteurs génétiques III. Clinique 1. Anxiété et soucis excessifs La caractéristique essentielle de l Anxiété généralisée est une anxiété et des soucis excessifs concernant plusieurs événements ou activités. Ces soucis se rapportent souvent au sujet des circonstances quotidiennes de la vie de tous les jours comme les responsabilités professionnelles, les problèmes financiers, la santé des membres de la famille, les infortunes de leurs enfants ou de sujets mineurs (tels les travaux domestiques, les réparations de voiture ou le fait d être en retard à des rendez-vous). 2. Fatigue Elle est due à un état de tension interne durable. Cette tension est psychique, caractérisée par un état d alerte permanent, une vigilance inutilement augmentée. Elle est également physique, caractérisée par une tension musculaire trop important donnant lieu à des courbatures multiples. 3. Troublescognitifs Troubles de la mémoire Troubles de la concentration 4. Troublessomatiquesfonctionnels Appareil digestif, avec des douleurs abdominales soit épigastriques, soit à type de colites, des ballonnements, des alternances de diarrhées et de constipation Appareil locomoteur, avec des douleurs musculaires vagues, des courbatures Appareil neurovégétatif, avec des céphalées, des bourdonnements d oreilles, des sueurs, des fourmillements. Appareil cardio-respiratoire : Les manifestations de type cardiorespiratoire sont moins fréquentes qu au cours d un accès de panique : palpitations, douleurs thoraciques, sensations de flush, dyspnées. Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 2
3 5. Troubles du caractère Le patient est irascible, irritable, peu tolérant avec les enfants. Il ne supporte aucun dérangement et aucune remarque. Il peut être sujet à des troubles du caractère de type explosif : attaques de colère. 6. Troubles du sommeil Il s agit classiquement de difficultés d endormissement. 7. Troubles sexuels Baisse de la libido. IV. Evolution Chronicisation fréquente mais gêne sociale moindre que dans le trouble panique. Complications psychiatriques : - dépressions, - alcoolisme et toxicomanie médicamenteuse, - préoccupations hypochondriaques. Dépendance affective et besoin de réassurance sont fréquents. V. Traitement 1. Hygiène de vie Anxiété et environnement Anxiété et diététique 2. Traitement médicamenteux Paroxétine, escitalopram, sertraline, venlafaxine, alprazolam, hydroxyzine,.. 3. Psychothérapies Relaxation Thérapies Cognitives Psychanalyse et Psychothérapie d inspiration analytique Psychothérapie de soutien : - Accompagnement empathique - Volet pédagogique - Volet pratique (hygiène de vie...) LE TROUBLE PANIQUE I. INTRODUCTION Le trouble panique (TP) est une maladie chronique et récurrente qui s accompagne d une incapacité fonctionnelle importante. Le TP s accompagne d une invalidité significative, de taux élevés d idées suicidaires et de tentatives de suicide et de taux élevés d abus de consommation de substances et de dépression. II. DEFINITION La définition du trouble panique repose sur l existence d attaques de panique répétitives et entraînant une anxiété intercritique. Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 3
4 III. EPIDEMIOLOGIE Le trouble panique touche 1 à 4% de la population. La prévalence à vie des attaques de panique, évaluée en population générale, est de 10%. L attaque de panique est plutôt un phénomène commun tandis que le TP s avère plus rare. Les femmes seraient 2 fois plus susceptibles d avoir un trouble panique En moyenne, les patients souffrant de ce trouble font en moyenne, 37 visites médicales par an. Le trouble panique est associé à un risque élevé de dépression et de conduites addictives. Les tentatives de suicide compliquent 10% des cas. IV. CLASSIFICATION - le trouble panique sans agoraphobie - le trouble panique avec agoraphobie V. CLINIQUE A. ATTAQUE DE PANIQUE Survenue paroxystique Cet état survient de façon brutale ou rapidement progressive. Le plus souvent la crise est spontanée, mais on retrouve quelquefois une cause déclenchante non objectivement angoissante. L épisode dure de quelques minutes à plusieurs heures, la résolution est progressive laissant le patient épuisé. Sémiologie physique Elle domine souvent le tableau, conduisant le patient aux urgences médicales ou chez le cardiologue. Les principales manifestations somatiques de l anxiété aiguë sont les suivantes : - cardiaques : palpitations et tachycardie gêne ou même douleur rétrosternale - respiratoires : sensation d étouffement, de dyspnée - digestives : sensation de boule dans la gorge et de dysphagie, nausées, douleurs abdominales, diarrhées - neurologiques : vertiges, paresthésies, céphalées - neurovégétatives : hypersudation, bouffées de chaleur, frissons, tremblements - plus rarement on peut observer des symptômes urinaires (pollakiurie, mictions impérieuses). Sémiologie psychique - Sensation de mort imminente - Sentiment de devenir fou. - Impression d irréalité de l ambiance et de dépersonnalisation L ensemble de ces phénomènes crée une angoisse intense, un état de panique Sémiologie comportementale Sidération, fuite, attaques de colère, accès de violence hétéro ou auto-agressive pouvant aller jusqu à des comportements suicidaires impulsifs (précipitation d une fenêtre, sous une voiture...), prise de grandes quantités d alcool ou de psychotropes. Ces troubles ont pour caractéristiques d être paroxystiques, répétitifs. En dehors des accès, les patients sont capables de les critiquer. B. AGORAPHOBIE La caractéristique essentielle de l'agoraphobie est une anxiété liée au fait de se trouver dans des endroits ou des situations d'où il pourrait être difficile (ou gênant) de s'échapper ou dans lesquelles aucun secours ne pourrait être trouvé en cas de survenue d'une Attaque de panique ou des symptômes de type panique (p. ex., peur d'avoir une attaque subite de vertige ou une crise de diarrhée soudaine). Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 4
5 L'anxiété conduit typiquement à un évitement envahissant de nombreuses situations pouvant inclure le fait : - d être seul hors de son domicile ou d'être seul chez soi ; - d'être dans une foule ; - de voyager en voiture, en bus ou en avion ; ou - d'être sur un pont ou dans un ascenseur. C. TROUBLE PANIQUE : Attaques de panique itératives L AP se caractérise par la survenue brutale, sans cause organique, d une sensation de malaise intense (oppression thoracique, dyspnée, boule dans la gorge, sueurs, tremblements...) entraînant une peur intense de mourir ou une impression de déréalisation avec peur de perdre la raison. Cette anxiété est très physique, ce qui explique que l on retrouve bien souvent les patients aux urgences de cardiologie pensant faire un infarctus du myocarde. En état de panique, le patient peut présenter des troubles de comportement comme des réactions de fuite, une agressivité, une prise impulsive de médicaments... Anxiété intercritique L anxiété intercritique peut se focaliser sur la crainte de la survenue d une nouvelle crise, elle est alors dite anxiété anticipatrice, ou sur les conséquences éventuelles d une crise : apparaître malade ou fou aux autres, ne plus pouvoir vivre une vie normale, perdre son emploi... L anxiété anticipatoire est un état d inquiétude permanent, installé entre les accès et focalisé sur la crainte d une nouvelle attaque de panique ( peur de la peur ). L ensemble de ces troubles, attaques de panique elles-mêmes et anxiété intercritique, entraîne des modifications du comportement du patient comme l isolement ou la dépendance excessive, pouvant nuire à son fonctionnement affectif et social. VI. EVOLUTION Evolution - Début ans - Alternance phases d aggravation et d accalmies - Chronicité sur ans, puis atténuation progressive Comorbidité - Dépression (x30) - Autres troubles anxieux - Alcoolo-dépendance (x7) - Dépendances aux benzodiazépines Handicap Plus invalidant que nombre de maladies physiques chroniques (diabète, hypertension, de maladies rhumatismales ou cardiaques). - Handicap professionnel - Altération de la qualité de vie - Surconsommation de soins - Absentéisme professionnel - Réduction de la productivité au travail Complications - Agoraphobie - Dépression (x30) - Comorbidité : Autres troubles anxieux Addictions Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 5
6 - Alcoolo-dépendance (x7) - Dépendances aux benzodiazépines Mortalité - Tentatives de suicide 42% (sans dépression : 17%) - Mortalité cardiaque x10 - Risque d AVC x11 VII. DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS Urgence thoracique aiguë ; Infarctus du myocarde ; Péricardite ; Embolie pulmonaire ; Urgence abdominale aiguë ; Pathologie endocrinienne ; Hypoglycémie ; Hyperthyroïdie ; Phéochromocytome ; Poussée hypertensive VIII. TRAITEMENTS Thérapie comportementale et cognitive - Education, Approches cognitives, Exposition, Approches de contrôle des émotions, Résolution de problèmes, Prévention des rechutes Pharmacothérapie du trouble panique - Première recours : Citalopram, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline, venlafaxine - Deuxième recours : Clomipramine, imipramine, benzodiazépines LES TROUBLES PHOBIQUES I. DEFINITION Phobos : dieu de la panique La phobie est définie par la crainte exagérée, angoissante, déclenchée par un objet, une situation ou une personne n ayant pas en eux même de caractère objectivement dangereux. Cette crainte : - Est reconnue comme excessive ou pathologique - Entraîne des conduites contraphobiques : évitement de la situation phobogène, recherche de réassurement - Est source d une souffrance et d un handicap II. CLASSIFICATION Phobie sociale Phobies simples ou atypiques Agoraphobie III. ETUDE CLINIQUE 1. Phobie sociale a. Épidémiologie Avec une prévalence à vie de 8 % à 12 %, la PS est l un des troubles anxieux les plus courants. Elle est plus courante chez les femmes que chez les hommes (ratio d environ 3:2). La PS se déclare de façon précoce, atteignant un sommet entre les âges de 0 à 5 ans, puis à nouveau entre les âges de 11 à 15 ans; son apparition après l âge de 25 ans est rare. Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 6
7 b. Clinique Les phobies sociales correspondent à l anticipation anxieuse et à l évitement de certaines situations sociales dans lesquelles le sujet pourrait être observé par autrui ou se conduire de manière humiliante ou embarrassante. Ces situations sont principalement : parler, écrire, manger en public, aller aux toilettes, rencontrer une personne de l autre sexe, défendre son point de vue face aux autres. L exposition à la situation sociale ou de performance provoque presque invariablement une réponse anxieuse immédiate (AP) c. Approche psychologique - Éducation - Exposition - Exposition par l imagination - Exposition in vivo (réalité) à des situations suscitant de l anxiété sociale au cours des séances de traitement et en «travaux pratiques personnels» - Exposition à des simulations par jeu de rôles - Réduction des comportements sécurisants dans des situations sociales - Restructuration cognitive - Enseignement d habiletés sociales - Approches de contrôle des émotions : relaxation d. Traitement pharmacologique - Escitalopram, fluvoxamine, paroxétine, sertraline, venlafaxine, Clonazépam, alprazolam,.. 2. Agoraphobie a. Définition - Agora : Dans la Grèce antique, l'agora désigne le lieu de rassemblement, le marché de la cité. - Phobie : Peur b. Clinique Anxiété liée au fait de se trouver dans des endroits ou des situations d où il pourrait être difficile (ou gênant) de s échapper ou dans lesquelles aucun secours ne pourrait être trouvé en cas de survenue d une Attaque de panique ou des symptômes de type panique L anxiété conduit typiquement à un évitement envahissant de nombreuses situations pouvant inclure le fait d être seul hors de son domicile, de prendre les transports en commun, de faire les courses dans les grandes surfaces,... c. Evolution Variable. Elle peut disparaître en moins d'un an ou perdurer, devenir chronique, ce qui va entraîner une réduction de la vie sociale et professionnelle.les troubles peuvent ainsi interdire la plupart des déplacements seul ; le sujet devient très dépendant de son entourage avec un retentissement très important sur l'activité socio-professionnelle d. Traitement Traitement pharmacologique: antidépresseur (clomipramine, citalopram) Traitement cognitif: mise en question des pensées automatiques et des postulats concernant le danger Traitement comportemental: exposition en imagination ou exposition in vivo Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 7
8 3. Phobiesspécifiques a. Définition La caractéristique essentielle de la Phobie spécifique est une peur excessive, irrationnelle et persistante d objets ou de situations objectivement visibles et circonscrits. Elle s accompagne généralement de l évitement de l objet redouté. L exposition au stimulus phobogène provoque presque invariablement une réponse anxieuse immédiate. Cette réponse peut prendre la forme d une Attaque de panique situationnellement liée ou facilitée par les situations. b. Types de phobies spécifiques - Type animal : Insectes, serpents, araignées, chiens, chats, oiseaux, poissons, souris - Type environnement naturel : Hauteurs, proximité de l eau, tempêtes/orages - Type SIB : Vue du sang, injection, prélèvement sanguin, vue d une chirurgie - Type situationnel : Transports publics, tunnels, ponts, ascenseurs, voyage en avion, conduite automobile, espaces clos - Autre type : Étouffement, vomissement, hypocondrie, phobie liée à l orientation spatiale c. Épidémiologie Les araignées, les insectes, les souris, les serpents et les hauteurs sont les principaux objets ou situations redoutés. Prévalence à vie de 12,5 % d. Traitement psychologique Le traitement primaire des phobies spécifiques est basé sur l exposition et procure au patient une résolution symptomatique relativement rapide. e. Traitement pharmacologique Les benzodiazépines LE TROUBLE OBSESSIONNEL COMPULSIF I. DEFINITION Le trouble obsessionnel compulsif est définie par la présence d obsessions et / ou compulsions. II. EPIDEMIOLOGIE Prévalence: entre 1,9 et 3,2% [2%] 4 ème rang des pathologies psychiatriques Sex-ratio: voisin de 1 Age de début: souvent adolescence, adulte jeune Parfois dès 5 ans III. ETUDE CLINIQUE 1. Définitions Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 8
9 Les obsessionssont des idées, des pensées, des impulsions ou des représentations persistantes, vécues comme intrusives et inappropriées et entraînant une anxiété ou une souffrance importante. Les compulsionssont des comportements ou des actes dont le but est de prévenir ou de réduire l anxiété ou la souffrance et non de procurer plaisir ou satisfaction 2. Les obsessions Les obsessions idéatives : concernent les doutes et les scrupules, la crainte d un oubli ou d une erreur. Les obsessions phobiques : concernent la crainte : - d une souillure, - de la contamination, - d une maladie (cancer, SIDA). Les obsessions impulsives : consistent à craindre de faire un acte agressif, ou un acte indécent 3. Les compulsions - vérification - rangement - amassage - lavage - actes mentaux : l arithmomanie ; les formules conjuratoires Personnalité Obsessionnelle préoccupations par les détails, les règles, les inventaires, l'organisation, perfectionnisme, dévotion excessive pour le travail et la productivité à l'exclusion des loisirs et des amitiés, trop consciencieux, scrupuleux et rigide sur des questions de morale, d'éthique ou de valeurs, incapacité de jeter des objets usés ou sans utilité même si ceux-ci n'ont pas de valeur sentimentale, réticence à déléguer des tâches ou à travailler avec autrui à moins que les autres se soumettent exactement à sa manière de faire les choses, se montre avare avec l'argent pour soi-même et les autres, rigidité. IV. COMORBIDITES Maladie chronique, rarement rémission complète Comorbidités : - Dépression majeure: 30% (vie entière 67%) - Tics, Maladie de Gilles de la Tourette (5%) - Trouble Panique (14-50%), - Phobie spécifique (22-47%), - Phobie sociale (11-18%) - Usage de toxique (18%) - Troubles des conduites alimentaires (8-17%) V. EVOLUTION Evolution - âge de début en moyenne à 12 ans - 60% des TOC apparaissent avant 25 ans - Début habituellement progressif - Évolution chronique dans 80% des cas (aggravations par stress...) - Altération progressive (15% des cas) - Évolution phasique avec rémissions (5% des cas) Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 9
10 Complications - Décompensation dépressive fréquente - TS et suicide - Invalidité sociale et professionnelle - Alcoolisation - Abus de toxiques - Evolutions psychotiques rares (1%) VI. TRAITEMENT Thérapies Comportementales et Cognitives - Éducation - Exposition - Prévention de la réponse Réduction et élimination graduelle - Interventions cognitives - Participation familiale - Résolution de problèmes - Prévention de la rechute Pharmacothérapie : Fluvoxamine, fluoxétine, paroxétine, sertraline, Clomipramine, Psychochirurgie et neurostimulation L ETAT DE STRESS AIGU I. INTRODUCTION Traumatisme = - Blessure avec effraction - Expérience de débordement et d effraction des défenses psychiques Plusieurs descriptions et appellations : - Oppenheim (1884) : accidents de train, Guerres Mondiales ; du Vietnam II. EPIDEMIOLOGIE Prévalence : Population générale : 1-14% Population ciblée : 3-58% III. CLINIQUE 1. Traumatisme Le sujet a vécu, a été témoin ou a été confronté à un événement ou à des événements : mort ; blessure grave ; menace de mort ; menace de l intégrité physique Les catastrophes naturelles ; Les accidents technologiques ; Les accidents d automobile ;Les crimes contre la personne ; Le viol ; La violence conjugale ; Les abus physiques et sexuels de l enfant ; Les guerres ;Les tortures 2. Symptômes cliniques Stupeur Déréalisation Dépersonnalisation Frayeur Amnésie Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 10
11 Syndrome de répétition : images, pensées, rêves, épisodes de flash-back, sentiment de revivre l expérience Evitement persistant : des stimulus qui éveillent la mémoire du traumatisme 3. Évolution Début : 0-30 jours Durée < 30 jours I. Généralités Traumatisme Temps de latence Syndrome de répétition Modifications du caractère II. Traumatisme Mêmes caractéristiques III. Temps de latence qlq heures-qlq mois L ETAT DE STRESS POST-TRAUMATIQUE IV. Symptômes cliniques Symptômes spécifiques : Sd de répétition Il est caractéristique du syndrome de stress post-traumatique et signe donc sa survenue. Il consiste en des reviviscences de la scène traumatisante, accompagnées de décharges émotionnelles. La répétition de la scène peut être nocturne sous forme de cauchemars. Parfois, la scène est incomplète et se résume à des impressions fugaces, des sursauts ou autres décharges émotives au moindre bruit. Symptômes non spécifiques: - anxiété paroxystique ou permanente - conversions hystériques - crises excito-motrices - amnésie post-traumatique - manifestations phobiques : Evitement Modifications de la personnalité:dépendance, aboulie,... V. Evolution Très fluctuante Complications : Abus de substance, Dépression VI. Traitements Psychothérapie Éducation Approches cognitives Résolution de problèmes Approche pharmacologique Fluoxétine, paroxétine, sertraline, venlafaxine ; Fluvoxamine, Amitriptyline, imipramine, escitalopram Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 11
12 TROUBLE ANXIEUX DU A UNE AFFECTION MEDICALE GENERALE Des affections médicales générales variées peuvent causer des symptômes anxieux les affections endocriniennes: Hypoglycémie, phéochromocytome, hyper, hypo thyroïdie les affections cardio-vasculaires : AC, OAP, IDM, EP les affections respiratoires : BPCO,.. les affections métaboliques : Déficit en B12, Porphyries,.. les affections neurologiques : dysfonction vestibulaire, encéphalite TROUBLE ANXIEUX INDUIT PAR UNE SUBSTANCE Des troubles anxieux peuvent survenir en association avec une intoxication par une substance appartenant aux classes de substances suivantes: Alcool ; amphétamines et substances amphétaminiques; caféine; cannabis; cocaïne; hallucinogènes; solvants volatils; phencyclidine et substances similaires, autres substances ou substances inconnues. le sevrage à une substance appartenant aux classes de substances suivantes : Alcool ; cocaïne; sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques ; autres substances ou substances inconnues. D autres médicaments ont été rapportés comme pouvant provoquer des symptômes anxieux. Ils comprennent les anesthésiques et les antalgiques, les syrnpathomimétiques ou autres bronchodilatateurs, les anti cholinergiques, l insuline, les préparations thyroïdiennes, les contraceptifs oraux, les anti-histaminergiques, les médicaments antiparkinsoniens, les corticostéroïdes, les médicaments antihypertenseurs et cardiovasculaires, les anticonvulsivants, le carbonate de lithium, les médicaments antipsychotiques et les antidépresseurs. Les métaux lourds et les toxiques (p. ex., substances volatiles comme l essence et la peinture, les insecticides organophosphorés, les gaz nerveux, l oxyde de carbone, le dioxyde de carbone) peuvent également causer des symptômes anxieux. TROUBLE ANXIEUX NON SPECIFIE Cette catégorie comprend des troubles caractérisés par une anxiété ou un évitement phobique prononcés qui ne remplissent pas les critères d un Trouble anxieux spécifique, d un Trouble de l adaptation avec anxiété ou d un Trouble de l adaptation mixte avec anxiété et humeur dépressive. Pr Férid Zaâfrane 4 ème année de Pharmacie 12
Trouble d anxiété généralisée
Les troubles anxieux Le choix d une thérapie simple ou combinée est un choix personnel. Pour faire un choix éclairé, adapté à votre condition actuelle et répondant à vos besoins, oser poser toutes vos
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLes troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012
Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne Auteur Dr Lannes Médecin-Conseil SCOR Global
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailGuide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant
Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailDéfinition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique
Définition trouble psychosomatique TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289 La médecine psychosomatique est l étude des perturbations psychiques d ordre affectif et des troubles viscéraux qui en constituent
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailSNAP-IV Instructions pour la cotation
SNAP-IV Instructions pour la cotation La SNAP-IV est une version modifiée du questionnaire de Swanson, Nolan & Pelham (SNAP ; Swanson et al., 1983). Les items du DSM-IV (1994) du Trouble Déficitaire de
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailLa schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :
Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailIntroduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1
" Table des matières Introduction Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... 7 8 8 Chapitre 1 Connaître les bases de l'affirmation de soi et de la communication Les comportements
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailLa goutte la maladie des rois
La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détailL intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée
1 L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée Dans notre compréhension actuelle du trouble d anxiété généralisée (TAG), nous estimons que l intolérance à l incertitude joue un rôle
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailDIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE EN AMBULATOIRE DU TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ DE L'ADULTE
DIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE EN AMBULATOIRE DU TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ DE L'ADULTE MARS 2001 Recommandation pour la pratique clinique Service recommandations et références professionnelles Les recommandations
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailLE SYNDROME D ASPERGER ou AUTISME DE HAUT NIVEAU TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES
TROUBLES PSYCHOPATHOLOGIQUES ET TROUBLES SPECIFIQUES DES APPRENTISSAGES TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES Dyslexie Dyscalculie Dr. David Da Fonseca Pédopsychiatre, Marseille david.dafonseca@ap-hm
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailLa détresse psychologique
Fiche 3.4.4 La détresse psychologique L importance de ne pas rester seule avec sa souffrance Saviez-vous que... «Les gens qui font régulièrement de l exercice physique tirent plus de plaisir des petites
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailLa politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :
Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailCOMMENT SURMONTER SON ANXIÉTÉ
COMMENT SURMONTER SON ANXIÉTÉ L ANXIÉTÉ ET LA RÉPONSE «FUITE OU LUTTE» Que signifie le terme «anxiété»? Si vous avez répondu en employant des termes tels que tendu(e), nerveux, anxieux/euse, craintif/ve,
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailSOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE?
SOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE? Les changements de l humeur constituent un phénomène normal de la vie. Cependant, dans la maladie bipolaire, ces changements sont hors de proportion avec les énervements.
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailAimerais-tu en connaître davantage sur les troubles alimentaires? Clique sur chacune des sections pour avoir plus de détails
LES TROUBLES ALIMENTAIRES Les troubles alimentaires se caractérisent par des croyances, des attitudes et des comportements extrêmes à l égard de la nourriture et du poids. Ce sont des troubles complexes
Plus en détailMise à jour dans le traitement des troubles anxieux Jean-Pierre Bernier, Isabelle Simard
PHARMACOTHÉRAPIE Mise à jour dans le traitement des troubles anxieux Jean-Pierre Bernier, Isabelle Simard Résumé Objectif : Discuter de la place des traitements pharmacologiques dans les troubles anxieux
Plus en détailGUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Affections psychiatriques de longue durée Troubles dépressifs récurrents ou persistants de l adulte
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Affections psychiatriques de longue durée Troubles dépressifs récurrents ou persistants de l adulte Février 2009 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailCOMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME
COMMENT AIDER LES ENFANTS EN BAS ÂGE A SURMONTER UN TRAUMATISME Toute personne ayant survécu à une catastrophe en ressort forcément profondément bouleversée ; en particulier les enfants, les personnes
Plus en détailLe syndrome de fatigue chronique
Le syndrome de fatigue chronique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détail